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[RP Ouvert] La Poste — Parce qu'on le vaut bien.

Della
16 octobre, parce que la politesse le veut...

Citation:
    De Nous, Della d'Amahir-Euphor, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan,
    A Vous, Jean de Cetzes, Comte de Toulouse.

    Le bonjour vous va !


    Permettez, votre Grandeur, que nous venions à vous, par ce parchemin, afin de vous apporter nos salutations et de vous assurer de notre bienveillance.

    Nous sommes arrivée ce jour en Toulouse, pour affaire personnelle, escortée par quelques uns de nos Compagnons d'Armes, notre lance stationne à Toulouse.
    Nous souhaitons demeurer quelques jours en la capitale, jusque lundi ou mardi prochain car trois autres de nos Compagnons doivent nous y rejoindre également.
    Nous espérons que notre présence ne contrariera pas votre Grandeur, pas plus que le peuple de Toulouse.

    S'il advenait que votre Grandeur passe par Toulouse, nous serions heureuse et honorée de lui offrir un verre à la taverne du coin !

    Que le Très Haut vous garde.




...et que cela en vaut la peine !

Citation:
      À Della d'Amahir-Euphor, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan,

    Salutations et paix !


Vous êtes évidemment la bienvenue en notre capitale et j'espère que vous y recevrez bon acceuil. Et si l'occasion me portait à votre rencontre sachez que tout le plaisir serait pour moi.

Que le Très Haut vous guide sur cette route.

Fait en Castel Narbonnais, le mercredi 16 octobre 1461, et scellé du sceau Toulousain.



_________________
Jean.de.cetzes
Or oyé, or oyé - message envoyé !

Citation:
    Message d'information du Toulouse passionnelle et joyeuse (TPJ) - Les Toulousains parlent aux Toulousains !

Nous l'avions promis et nous l'avons fait :

La baisse des taxes, la reprise du commerce, la réouverture et l'agrandissement du port, le redressement de l'économie, la refonte et la réouverture de la Chancellerie, la réforme des lois (en cours), la reprise du commerce extérieur, la création de deux armées sous agrément toulousain, la hausse du prestige (passage de 0* à 4* en un mandat, du jamais vu), bref !

Nous avons tenu nos promesses électorales et nous comptons bien poursuivre pour que les Toulousains se sentent à nouveau bien chez eux !

Nous avons besoin de vous pour mener à bien cet ambitieux projet alors n'oubliez pas d'aller voter mes amis, il ne reste que deux jours !

Pour voter ? Rien de plus simple ! Allez sur la place du village, puis à la Sénéchaussée. Consulter les listes inscrite pour l'élection du conseil, et hop, un bulletin dans l'urne ! (hrp : village--> sénéchaussée --> Election du conseil comtal --> Voter)

    Joyeusement vôtre,

    Les candidats TPJistes !

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Jean.de.cetzes
Une missive pour la chouette. Courte et efficace parce qu'en la matière les grands mots sont inutiles, voir ridicules. D'autant qu'il savait où les menaient les sous-entendus, l'emphase, les métaphores et les éllipses.

Citation:
    A vous.

J'ai appris, fortuitement, de la bouche de la Rousse, votre imminent départ pour l'Anjou. Rassurez-vous, je ne lui ai soufflé mot de nos relations et je pense qu'elle est loin de s'en douter. Peut-être un jour lui en parlerez-vous. Je saurai être patient. Quoiqu'il en soit, nous nous sommes quittés, brouillés, sur un malentendu que j'attribue à l'ivresse d'une boisson trop forte. J'ai pleinement confiance en vous.

Revenez moi, vite, entière et pleinement.
    JdC.


Parce qu'elle le vaut bien.

20/10/1461 00:10 : Vous avez donné 1 écu(s) à la province de Comté de Toulouse..

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Astana
Simplissime. Mais urticant, quelque part.

Citation:

    À vous.


    Je n'ai hélas aucune souvenance de ce malentendu dont vous parlez. Pour moi les choses étaient parfaitement claires. Il y avait d'un côté, ma main tendue couplée d'un aveu, et de l'autre, votre entêtement à me reprocher des faits fictifs. Je vous ai congédié non pas sur un coup de tête, mais parce que ce soir-là, vous avez clairement mis en évidence le gouffre qui nous sépare. L'alcool a sa part de franchise involontaire. Vous êtes bien trop jeune, et moi bien trop vieille pour m'engager dans une relation dont l'avenir se verra constamment remis en question par des interrogations qui n'ont pas lieu d'être. Vous avez besoin d'être cajolé, De Cetzes. Et moi, je ne cajole pas. On ne m'a pas appris comment faire, et ne le souhaite même pas.

    Croyez bien que cela me coûte de vous dire ça. Sûrement autant qu'il vous a coûté de m'écrire en premier lieu, surtout lorsque je décèle des excuses sous-entendues. Mais à moi il me faut prendre l'air, le large, et oublier pour un temps votre charmant turban.

    Prenez soin.


      A.A.S


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Paquita



Griffonné à la hâte, sur un coin de comptoir encombré de chopes vides qui s'y amoullonnent au rythme des plateaux de service que ramènent les servantes, ce billet de Paquita, la mèche sur le front, les manches relevées, qui s'en retourne à sa vaisselle sitôt le poulet expédié.



Messer Comte de Tolosa

Mercé de vous enquérir de mes mictions mais je ne pisse plus de vinaigre depuis que je ne suis plus contrainte de boire ce Gaillac de malheur issu des vignobles affectionnés du Rogue_Fourbe. Céans, je savoure un velours de Minervois, tout en caractère et douceur.
Pour ce qui est de cuisiner votre turban pour le cas où Balma serait refoulé au perron de la Pairie, j'ai quelques recettes à vous soumettre, toutes en finesse et originalité.
Les trompettes de la renommée ont clamé jusqu'à nous votre quatrième étoile décrochée comme de juste.
Té, entre chefs étoilés, il me semble que nous pourrons désormais nous tutoyer. Cela me cause grand plaisir car le Comté de Tolosa et ses habitants en verront leur vie illuminée et bien simplifiée. Les retombées sont nombreuses et commercialement intéressantes.
Mais par dessus tout, j'avoue que ce qui me contente le plus dans le fait que vous accédiez en prestige ce dont je dispose en cuisine, c'est que cela va coller la diarrhée verte à tous ces Tordus Mondains, ces Perruchelets Paoniformes, ces Faux Féticheurs Sursoufflés, ces Empalafiés, et autre Trumeau faisandé que sont certains de vos détracteurs, le teint fielleux leur allant divinement.

Si Guillhem ne t'a point rapporté de cadeaux de ma part, c'est juste que j'ai décidé que tu n'en avais point besoin. Déjà nourri en festins plus que copieux, tu ne pourrais t'y insérer. J'ai pensé en revanche à en faire don à l'un de tes braves parmi les braves, garde rapproché de ton Eminence rose afin qu'il se défasse, si cela est possible de cette odeur de chèvre qui offense les narines à son approche. Reconnais que le cadeau est là : ton air s'en trouvera purifié !

Je finis cette missive avant de n'avoir plus de place pour écrire, la soirée étant fort animée et la taverne affichant complet.

Paquita


Ayant dépêché son courrier, elle tape dans ses mains et hèle l'une des servantes


Margot ! va porter cette tournée à la table des notables là-bas ! Et prends garde à ne rien renverser ! Allez ! Va !


Jean.de.cetzes
Ais-je du courrier ? Ah oui. Là. Deux. Hmm. L'une sent l'ortie - pas bon signe - et l'autre le graillon. La seconde est donc de la Paquita, sans doute accolée au gros. Une sacrée paire. Bon la première, dans la poche, parce que à chaud c'est un coup à faire pendre Balma. Oui le bouc - émissaire. Plus bouc qu'émissaire d'ailleurs. Pour preuve : il ne voulait pas être ambassadeur !

Et ? Bingo : la Paquita. Bon allez réponse séance tenante.
De l'encre et du papier pour le Comte ! Quitte à l'être encore deux jours, autant en jouir.

Citation:
    Dona - bien que je craigne que ce ne soit qu'un vaste travestissement - Paquita,

Quel ratureplaisir de vous lire et de savoir que tout le Gaillac en votre possession a fini - je le présume - dans la cabane au fond du jardin pour désinfecter le trou infecté - je l'imagine - par le gros. C'est encore la meilleure utilisation que vous puissiez faire des produits issus des terres puantes du prognathe mention rayé - son nom ne mérite pas d'être écrit. Sans doute pour lutter contre les doryphores aussi. Nous sommes d'accord, n'est-ce pas ? Tout autant que pour le prestige, j'en suis sur.

Que vous faites bien d'ailleurs de m'écrire ces quelques lignes à ce sujet. Elles me rassurent sur l'intelligence moyenne du quidam, que vous êtes. Enfin, du quidam supérieure bien sûre, vous êtes une incomparable quidam. Non mais Parce que, voyez-vous, les quidam de Foix, eux, n'y pipent quetsche , et le niveau, depuis le retour du Parotech, qui doit encore être au stade de se rogner les ongles des doigts de pieds, n'a fait que baisser. Je ne sais s'il ne faudrait que je leur fasse un petit dessin au fusain avec du coloriage et tout ça pour leur montrer l'utilité de ce prestige qu'ils confondent avec le pistou qui ne sert à rien. Quand on pense que tout ce ramassis de faquins, d'illettrés, et de fats a pu diriger notre glorieux Comté - qui ne l'était plus du tout suite à leur passage -, j'en serai malade si je ne pouvais caresser la couronne qui sied tant à mon turban. Quelle y reste Pardieu ! Sinon nous serons obligés de prendre d'assaut le château, ce qui serait fâcheux pour le prestige si fraichement acquis.

Pour en revenir au pistou, je crains en fait que la mixture ne constitue la nature de la cervelle de certains de nos adversaires. Aussi je prie chaque jour le créateur pour qu'il nous garde que cette matière ne leur coule des oreilles et leur sorte par les trous de nez. Ce sera a proprement dit infecte. Et gare aux chiens à qui prendrait l'envie de la lécher, ils en deviendraient tout aussi sots qu'eux, ce qui n'est pas une mince affaire et n'est pas donné au premier venu. C'est en effet à ce stade un tour de force que d'être aussi bête. Et cette bêtise je vous le confesse ne cesse de m'étonner. Quand j'entends la chèvre de Foix braire que les armées, sous prétexte qu'elles sont sous agrément de la Guyenne - enfin étaient mais elle ne s'en est pas rendue compte l'aveugle mairesse, trop focalisée sans doute à racheter le maïs sur son marché, on ne sait jamais il pourrait y en avoir trop - il me prend des envies de promenade, si vous voyez ce que je veux dire. Toutefois, ils peuvent toujours courir. J'y suis, j'y reste.

Quant au cadeau, je ne m'en formalise pas d'avantage, tu as bien fait. J'ai bien assez de choses inutiles autour de moi pour que tu ne m'en envois pas une supplémentaire.

    JdC.

_________________
Jean.de.cetzes
C'était plus tard dans la soirée, à tête reposée des interminables débats électoraux, que de Cetzes lu, enfin, l'urticant - oui il l'était - pli de la danoise. Et même se fendit d'une réponse. Il ne pouvait résister au besoin de gratter lorsque ça démangeait.

Citation:
    De vous à moi,

Vous n'êtes qu'une vieille chouette ! Vous tendez des mains les poings fermés, avouez à demi-mots, la mâchoire serrée, et vous grognez par dessus le marché que j'en sois mécontent ! Et bien je vais vous le dire : vos cajoleries vous pouvez bien vous les foutre au cul, je n'en ai cure. Croyez-vous vraiment que si j'en avez "besoin" - comme ce mot est mal choisi - vers vous je me serais tourné ? D'autres, et de plus douces, m'auraient données satisfaction sur ce point. Repoussés elles furent, même celle qui m'invite à becter de la pintade ! Et si j'avais voulu une douceur danoise, j'aurais fait préparer un risalamande. Alors ne vous dupez point vous-même Sørensen je ne suis pas de la nature infantile et mièvre que vous m'attribuez si aisément vous fondant sur un critère bien subjectif. Mais s'il vous plait à le croire, qui puis-je ?

Si ce n'est vous proposer de me départir, temporairement, de ce turban - aussi charmant soit-il - puisque vous souhaitez l'oublier.

    À vous de voir !


Ultime gage de bonne volonté, envers cette fondante danoise !

Qu'il du enchainer avec une missive - dont on l'avait contraint à rédiger - à l'adresse d'un mauvais vassal.


Citation:
    Messer Parotech,


La meilleure part de vous même s'est éteinte. Paix à votre âme.

    JdC, Comte de Toulouse.

_________________
Parotech
Sort de derrière la boite à lettre.

Bonser, vous avez oubliez les 2 écus pour vos deux lettres.
_________________
Parotech
Et la question à 3 écus pour le coms.
Citation:
21/10/1461 00:39 : Vous avez donné 3 écu(s) à la province de Comté de Toulouse.


Citation:
Messer JDC.

Sans me connaitre, vous me parlez de ma meilleure pars qui c'est éteinte.
Pourriez vous en dire plus afin de l'éclairer?

Paro

_________________
Astana
De la pintade ? Serieusement ? Est-ce que je te parle de mes prétendants foutus à la porte avant même qu'ils n'ouvrent la bouche, De Cetzes ? Ainsi donc, le pli qui se voulait plus agréable à la lecture que le premier se fait amère et trop franc.

Citation:

    Jean,


    Vous avez raison. Je ne suis qu'une vieille chouette qui tends des mains les poings fermés, avoue à demi-mots la mâchoire serrée, et grogne plus que de raison. Seulement voilà. On change vite à votre âge, et moi je ne changerai plus. À la vérité, j'ignore ce dont vous avez besoin, vous le savez mieux que moi, mais je sais que ce n'est pas d'une ferrailleuse aussi rude que venteuse, qui a vu passer plus d'hivers qu'il n'en faut. Croyez-moi. Allez donc becter de la pintade, c'est de votre âge. Peut-être en trouverez-vous une dans le lot qui puisse vous contenter sainement. Dans le doute, multipliez les expériences. La nouveauté offre toujours un moment d'euphorie.


      A.A.S

_________________
Jean.de.cetzes
Vraiment ? Dans le lit d'une autre tu veux le voir ?

Citation:
    Astana,

J'ai toujours raison, mais vous ne le savez pas encore.

Et, d'expériences vous seriez surprise si je vous les contais, ce que la pudeur et la modestie - qui me caractérise - m'empêchent de faire. Aussi je n'ai que faire de vos conseils - forts mauvais en la matière. La pintade m'a toujours écoeuré. Je la trouve par trop dodue et babillante, ce qui ne me satisfait guère. Voyez, je sais tout à fait ce dont j'ai besoin : de vous. Toute Ferailleuse et Venteuse, que vous êtes. Et alors ? Croyez-vous que le turban craigne le vent ? Nenni, il s'en abrite, et protège du fer, votre cousin m'en a donné la preuve. Aussi je n'aurai que les bons côtés de vous, que je saurai trouver, nécessairement.

Quant à la saine bectante, croyez bien que je m'en bats l'oeil. Dussé-je mourir jeune, je préfère encore avoir vécu et mangé ce que bon me semblait, quitte à jeuner.

Chercherez-vous d'avantage d'excuses pour vous carapater chez les fous ?

Jean.


Et l'autre qui ne comprend rien.

Citation:
    Messer Parotech,


Je parlais de votre femme, et c'était une lettre de condoléances...

    JdC, Comte de Toulouse.

_________________
Parotech
La à 0 écus

Citation:
Pour ce genre de chose, vos mieux se la fermer que de venir jouer à des joutes verbales.

Surtout après avoir insulté sa famille sans savoir qui elle était.

Dans la vie tout se paye...

Paro

_________________
Astana
Trust issues. *

Citation:

    Jean,


    Un jour vous entendrez peut-être que je suis mieux placée que vous pour parler dans ce genre de choses. Lorsque je vous dis que je n'ai rien à foutre à vos côtés, à l'heure qu'il est, c'est qu'il y a une raison. Même plusieurs. Toutes énoncées dans mes autres lettres. Relisez. Peut-être vous paraissent-elles floues, ou de mauvaise foi. À moi elles m'apparaissent criantes de vérité. À chacun la sienne, dit-on. Vous avez trop crié au loup, je crois. N'allez point croire que votre pli me laisse roide. Juste que vos mots me sont arrivés trop tard ; et qu'aujourd'hui je n'ai plus guère la tête à plonger au creux de vos bras. D'autres vous attendent, et ne faites pas comme si l'idée ne vous était pas déjà passée par la tête. Peut-être vous y êtes-vous jà perdu avant cela. Qu'en sais-je.

    Vous êtes un homme. Vous avez vos faiblesses. Et j'ai les miennes.

    N'allez point croire non plus que fous tout sur votre dos jà si chargé de responsabilités. J'ai merdé, quelque part. Mais je vous en veux aussi.


      A.A.S



[Problèmes de confiance]
_________________
Jean.de.cetzes
Citation:
    A.,

Peut-être en ais-je eu avant de vous connaitre vraiment, mais depuis plus aucune. J'ai, pour ainsi dire, fait le vide autour de moi, pour vous, et c'est très bien ainsi. De cette faiblesse vous êtes donc prémunie, j'en suis vacciné. Oui, jà. Malgré mon jeûûne âge.

Les bras que vous délaissez vous étaient ainsi réservés. Vous les abandonnez.

Vous êtes une femme. Vous avez vos faiblesses. Je n'en ai plus.

Tant pis ?
    J.

_________________
Astana
    [La veille]

Pli rédigé d'une main orgueilleuse à souhait. Qui tient en six mots et une initiale.

Citation:

    Jean,


    Dieu que vous êtes lourd...


      A.


Il ne sera pas envoyé. Dix minutes de survie, chiffonné, aplati, roulé en boule puis au feu.


    [Aujourd'hui]

Retour du Blaireau. Lettre à chaud.

Citation:

    Jean,


    Offrez cette place dans votre vie à quelqu'un d'autre. Réservez-lui vos bras, votre âme et cœur. Mariez-vous avec, faites des gosses. Tout ce que vous voulez. Mais par pitié, évitez de dire que vous êtes un homme sans faiblesse aucune. Des bien plus armurés que vous ont défailli à promettre pareille sottise. Et moi, je ne suis plus dupe.

    Une pintade serait plus réceptive à ce genre de propos, je pense.


      A.

_________________
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