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[RP] Le fouillis COBRAdesque et l'alignement HILDEsque.

Hildegardeii

_________________
Cobra.
[La suite de la journée, alors .......]

Pas d'autre solution que de battre le fer quand il est chaud. Vu l'état de fureur dans lequel j'ai laissé la Princesse, pas l'droit à l'erreur.
Arrogance quand tu me tiens.....!


Je franchis donc la porte de notre appartement, et ramasse MA chope en étain à terre.
D'une voix calme en la regardant


mhm calmee ??
"sourire en coin
Elle grogne
j'écris !
.....je vois

Je me dirige vers elle et bouscule l'ecritoire.
Elle trace un trait en travers sous le coup de coude
Je la souleve dans mes bras et la plaque contre moi avec fermeté et douceur melées

bordel.........
je .............

Elle me toise
Je souris avant de fondre sur ses levres pleines, m'en empare avec delice..


tu crois m'impresionermfjaofjp cejpoael

Elle se débat comme une diablesse la plume à la main, me mord farouchement, furieuse contre moi.

.......surtout pas ......t'impressionner ......" l'souffle plus court avant de plonger et forcer ma langue sur le corail de ses dents pour la meler à la sienne langoureusement

ah oui !
et je dois penser quoi de ce que tu as écrit ????
..."elle fait référence à ci dessus..."

Je ris doucement en la sentant se debattre, appuie plus fermement ma main calee au creux de ses reins

......encore......

Elle gronde mauvaise.... prisonnière de mes mains qui l'entourent... montre les dents dans une tentative d'attaque vers ma joue
Je ne la laisse pas reagir, fondant à nouveau sur sa bouche dans un baiser fievreux et imperieux, nos dents s'entrechoquant sous la rage qui nous anime et nous embrase.

cesse........de lutter......

Elle heurte mes dents contre les siennes... secoue vigoureusement sa tete pour venir ensuite à ma rencontre me pousse du visage et fouille ma bouche de sa langue dans un baiser rude.

tu vas voir si je vais cesser............

J'aspire sa langue entre mes levres, la boit, mord sa levre inferieure au sang, passe le bout de ma langue sur la perle rouge, fremit au gout acre et métallique.

.......continues....!

Elle dégage ses mains, les poignets déjà marqué de rouge par ma poigne... vient planter ses griffes dans mes épaules saisissant le tissu de ma chemise..

aiiiieuuuuuuuuuuuuhh !!!!!!!!

Elle sursaute à ma morsure, se suce sa lèvre ensanglantée.
Je plaque son dos contre le bureau, entend le craquement de ma chemise ses ongles se planter dans mes epaules


.......peste ! ma chemise !

De rage elle s'empare de ma chemise et me l' arrache
......... salaud !
Je me fous royalement de ma chemise, baise à nouveau sa bouche, pressant mon bassin contre le sien, mon membre heurtant son entrejambe, dur et conquerant.
.......toujours !!

Elle vient porter sa main à sa lèvre qui gonfle déjà .... constate le sang qui coule .... me fusille du regard et surprise par mon attaque vient cogner contre le mur de la chambre... ma "jambe" pressant douloureusement son pubis.


pute borgne............ c'est pas ta jambe ?!!!!!!!!!!!

Usant du poids de mon corps contre le sien m'empare à deux mains de son chemisier et l'arrache à mon tour, sans vergogne admire son buste denudé, ses seins fiers et lourds dressés sous mon regard sombre et voilé.

.......ma (censuré).....l'effet que tu as sur moi Princesse!

Elle ouvre la bouche de surprise, exhalant l'air de ses poumons d'un seul coup... le froid saisissant sa peau..... un violent frisson de rage et plaisir mélés vient lui donner la chair de poule et tendre ses seins...
je vais te tuer !
Je ne resiste pas à m'emparer de ses seins sous mes paumes chaudes, les caresse diaboliquement sous mes doigts, les dessine, ma bouche plonge et en aspire un avec delice entre mes levres, etire sa pointe dure sous mes dents, la torture
.......je me meurs.....tu vois pas.....?


Elleattrape mon épaule et vient griffer mon bras de rage et me redresse d'un geste vif.... plisse les yeux et fond sur moi pour me faire basculer en arrière et venir tenter de me plaquer au sol en pesant de tout son poids


Je suis surpris par sa force decuplee par sa rage, desequilibre, je tombe au sol la receptionnant dans mes bras en riant
Rebelion ........amore ?
ah tu ris ?!!!
D'un coup de hanche la fait rouler sous moi, la regarde avec force
.......je ne devrais pas...?

Elle mord le creux de mon épaule me marquant de ses dents.... rageusement... et ............... hannnnnnnnnnnnnnn !!!

J'ai glisse une jambe entre les siennes avec force.
Je rale sous la morsure qui decuple mon desir
Elle se débat tentant de repousser mon corps pesant mais est entravée par ma jambe que je plante entre les siennes... crie de rage et d'impuissance..

Je sais là, que chaque seconde est precieuce pour garder l'avantage, je maintiens dans une main les deux siennes au dessus de sa tete.

raaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!
........suffit ......? ou encore ?

Mon souffle court a quelques millimetres de ses levres
Elle se tord telle une vipère sous moi ... le souffle court... le sang battant dans mon cou
Elle retrousse ses lèvres prete à me mordre encore
.

Je laisse ma langue darder sur sa levre tumefiee, la frole avec une douceur folle
........... tu sais comme je te hais là !!!!!!!!!
........hais moi toujours !

Elle feule.. tendant sa bouche vers moi ... ivre de colère.. laisse glisser ma langue brulante sur ses lèvres tuméfiées
Je touche sa langue du bout de la mienne faisant fi de ses dents acerees prete à me mordre
Je m'abandonne longuement à la douceur de nos langues, m'electrise à leur duel lent et sensuel.

.....oui ........hais moi toujours ainsi .....amour
Elle respire fort... va pour claquer ses dents sur ma langue .... hésite un instant et ......... bordel........ Cobra.......... tu me rends folle !
je suis ................ je suis............ raaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh !!!!


Elle est perdue .....Reddition .......totale. .... !

Pour le reste je ne peux vous le livrer, je m'auto censure.

Mais The Matador Himself, était dans l'arène....!
_________________
Cobra.
[Ce Matin là à Peronne]

Le calme nous enveloppait dans cette taverne où seul le bruit du feu, attirait notre oreille. A croire que les habitants avaient mieux à faire que de venir boire un verre avec des gens comme nous de passage.

Quoi de mieux, que le silence et la quiètude pour écrire, croiser ton regard, sourire, t'aimer de mes yeux.

Je remarquais les boulettes à tes pieds, ton acharnement à barrer les mots, moi à pester contre mon récit dont je n'en voyais la fin.

Mais si je m'attendais à ça !!

C'est plus tard que le pigeon me le livra. Je ne sais si des hommes aiment entendre le mot je t'aime comme moi je l'entends et le ressens si fort en moi à la lecture de ton parchemin. Nous ne savons pas être simples. Le serons nous un Jour .....? Si ce jour venait à arriver je crains que cela voudrait dire ..... que nous serions morts.

Personne je le crains, ne peut compendre, ne peut ressentir, ne peut nous comprendre.
Fous nous sommes perçus souvent dans notre couple. Démesurés. Oui toujours dans la demesure. Mais je m'en fous ! Moi là je me sens vivant, vivant et comblé de toi, par toi, de nous.


Je glisse là ce pigeon, comme j'aurais déjà pu en glisser tant depuis le temps....



Trois fois...

Celle ci est la quatrième.
Je sais pas comment te dire ça mais... je crois bien que je t'aime. Je sais que ça sonne commun, un peu faux aussi. On dirait ces bonnes femmes qui dégoulinent d'amour en halle et qui changent de type au bout d'une semaine.

J'veux pas être associée à ça. Je ne suis pas que ça. Ce que je ressens est tellement plus énorme et je suis si mauvaise que je ne sais même pas l'écrire.
Je pourrais dire que tu es ce que je mange, ce que je bois et ce que je respire, mon éclat de rire, ma fantaisie ou mon fantasme, tout ça serait vrai mais tu n'es pas QUE ça. J'ai aussi envie de te tuer, mon Prince, souvent même. C'est de l'amour ça ? non hein... L'amour c'est joli, ça fout des papillons roses partout dans un ciel limpide et moi c'est pas ça que je vois.... J'ai pas de champs de coquelicots qui apparaissent devant mes yeux quand je pense à toi. J'ai pas non plus des images de maison à la Charles Ingalls. Des fois même j'ai envie de chialer quand je pense à toi. Me demande pas pourquoi, j'en sais rien. C'est si stupide. Mais ça me plait.

J'te regarde là écrire et je me demande ce que tu me trouves. Ca fait un moment que je me pose cette question, sans trouver de réponse. Je suis pas ce qu'on peut appeler un modèle de nana, j'ai tous les défauts de la terre et ptet meme d'autres encore... Même toi tu parles d'affrontement...

J'me demande ce que tu écris. J'vais sans doute bouillir d'envie de le lire mais je vais attendre un peu, manière de faire monter la pression encore... encore ! Je sais, ça va mal...
J'dois t'aimer sans doute.

Hildegardeii


J'ne dois pas, je suis sur moi que je te t'choume*

*je t'aime en langue esperança ....langue inventée par votre humble serviteur.
_________________
Hildegardeii

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Cobra.
[b][Reims ville endormie, au matin]

Rien n'est jamais simple. Rien n'est jamais acquis. Mais là elle me tue ! Elle me tue une fois au matin, et je lui ai rendu le coup avec violence.

Tout commence pourtant bien, j'ai l'impression de la voir nez à la fenêtre quand j'entre dans l'appartement loué pour notre séjour sur la Capitale.
Je me glisse dans son dos, soulève ses cheveux et baise sa nuque, la respire, m'enivre de l'odeur de sa peau. Rien. Même lorsque le bout de ma langue frôle le pourtour de son oreille.
Je suis là......mais toi tu rêves et penses à quoi dit moi ?

Mes pas se dirige alors, sans réponse, sans réaction de sa part "et pour cause, c'est un fanstasme vous suivez !!" vers la cuisine où je me verse un cas fée, un peu paumé. Je m'installe dans un fauteuil, savoure le breuvage chaud quand elle passe la porte.

oh... tu étais là ?
Elle sourit, vous savez le sourire du matin, celui qui vous fait boum dans la poitrine.
oui..et apparement sans aucun effet sur toi
Je grogne, pensant qu'elle est restée sans réaction.
du monde au marché.... ils m'ont retenue...
mais... recommence...


Demandez vous à un homme de recommencer ce qu'il a déjà fait et avec le résultat que je viens de vous dire !

j'ai du reve de baiser ta nuque alors
non je recommence pas !

sans doute....
un fantasme ?

Encore ce sourire
Je me cale dans mon fauteuil avec ma tasse de cas fee à la main, mes jointures deviennent blanches. En plus elle se fout de moi ?
Non ??????
Voix aigue longue dans son non.
J'ai parlé à Cali hier, je te raconte ....?
Mon regard posé sur elle.
pourquoi non .. Cobra ?
pourquoi non quoi ?
Voix calme,boit une gorgee de son breuvage bouillant
bien
je vais aller faire un tour en taverne.... j'pensais que tu serais content de me voir me dépécher

c'est pas le cas
Pardon ??????????
Je la fusille du regard.
Tu plaisantes là j'espere ?
Je me glisse dans ton dos, baise ta nuque avec une infinie douceur....

tu as l'impression que je plaisante ?
JE......n'étais pas là !!!!!!
Là j'peux vous dire qu'elle m'a tué de ses violines.

Là à ce moment précis, tu penses que tu as merdé, tu as du vraiment rêver, fantasmer !
Et là j'bondis de mon fauteuil, je me glisse à nouveau dans son dos, en ayant pris soin de poser ma tasse sur la table bien entendu, je l'encercle d'un bras, soulève ses cheveux, dépose mes lèvres chaudes sur sa nuque....et PATATRAS !!!!!!!!!!!


Vas y qu'elle me repousse, vas y qu'elle hurle dessus !

Cobra !!!!!! Non !!!!!!

Deuxième tentative, je resserre mon etreinte. Gronde. Sourdement, important de gronder sourdement à son oreille à ce moment là.

Mon souffle chaud glisse sur son oreille, ma langue la chatouille avant d'envahir son doux creux.
Hummm........Hilde.....Mienne.....
laisse moi.... je suis en colère.....
tu as autant envie de baiser ma nuque là que d'aller te pendre s'il y a bien une chose que je ne fais jamais c'est jouer Cobra..... et feindre. ou simuler


Non......? Tu te fous de moi ?????
Parce que tu penses que JE simule ou que JE feins avec toi ?
Elle jette sa besace .. sur le fauteuil
là oui.. tu n'as pas envie de m'embrasser
Je me dirige vers la porte et la claque derriere moi en hurlant.

VAS te Faire .............foutre !


Et je descend en taverne avant de l'étrangler ! Fin de l'acte Un !


Acte Deux Scène deux et trois ! Je fais ce que je veux d'abord c'est mon bordel à moi ! Donc vous suivez sinon tant piRe !!! * même les fautes j'ai LE droit !*


Elle à l'Appart avant sa descente en Taverne : donc là Scène deux ? Oui voilà la numéro 2 sans sonner chez mademoiselle Angèle !


bien !
Elle reprend son sac furieuse de s'etre débattue contre tous ces cons au marché pour ça !!!
Elle regarde la lettre qu'elle n'a meme pas eu le temps d'ouvrir ce matin et la fout au feu

ah je vais me faire foutre.... ben c'est ça oui...!!

Acte Deux scène trois ..? Allez on fait comme ça va pour la trois ! Et l'autre Angèle qui répond toujours pas !!

Je suis en taverne, fin enervé vous pensez bien, elle déboule, s'installe. Me balance qu'est ce que tu as ? Je me demande si elle me prend pas pour un couillon là !
Echange terrible. Fugulrant ! Qui ferait mourir de trouille le comparse de taverne fantôme, le bonhomme vert vous m'suivez ? Pas celui qui va vous faire des crédits rhaaaaaaaaaaaaaa ! Voyez j'suis hors de moi ! Elle va jubiler en me lisant là !! Sentir comme je m'énerve ! Comme j'étais énervé !!
Elle me dit, je pars ! Tant mieux ça va m'faire des vacances laisse moi juste le chien !
Ca part dans tous les sens ! Elle balance même une charrette à la poubelle municipale de Reims ! Ben voyons déjà qu'elle me ruine en chope inutile ! Continuons le gaspis !!
Et là ! Elle s'enquille les verres ! Trop c'est trop ! Une femme ivre ! Tres peu pour moi !
Et me voilà à nouveau dehors la porte tremblant encore sur ses gonds.

Fin de la scène ?????? pfffffffff pas grave on continue !!
*je sais c'est long mais plus c'est long .....plus c'est bon non ? Pis j'vous demande pas de lire hein !!*

Reprise de la suivante 3 je crois, suivez bien, le Serpent est dans l'appart, Hilde en taverne.

J'entre dans l'appart et claque la porte derriere moi
qu'elle picole .....qu'elle ........lfkdqsjklmfm........bordel !
Pendant ce temps elle fracasse la dernière chope contre le mur de la taverne
Je suis furieux le mot est faible là.
Elle se demande bien c'qu'il peut lui reprocher.... demandait rien qu'un peu d'amour...
elle a ose me dire que je feins.........que je simule
Elle a reçu un "va te faire foutre " en retour
Alors qu'il n'etait que douceur et tendresse ce matin,
elle aime le pousser ........lui là n'en avait pas envie
l'a attendu pendant qu'elle etait sur le marche patiemment
fulmine, sans arriver à se calmer


Il veut la pousser dans ses retranchements pour ne pas qu'elle le regrette.. parfait.... il passera donc des vacances sans états d'ame..... pas sur qu'elle oui...
Elle rêvait d'une journée à s'aimer.... pour justement se regretter et penser l'un à l'autre chaque jour... foutu...........

s'dit que si elle part, il rampera pas pour aller la retrouver, hors de question là....
Il ouvre une bouteille de jack et s'enquille l'alcool direct au goulot

Elle se dit que c'est pas possible.... il peut pas lui faire ça sans raison ..... il doit y avoir autre chose
tente de réfléchir.... une autre femme........... ?
se lasse t il d'elle ?

S'dit qu'il a tout fait pour que quand elle arrive elle trouve son cas fee, son pigeon avec cali tout.......resultat...............elle l'accuse de FEINDRE ...........SIMULER son envie de l'embrasser ?
La trouve si injuste là .......

Elle veut en avoir le coeur net... remonte pour vider son sac et espère qu'il lui dira si c'est le cas... supporterait pas de l'apprendre par la bande*fm..?
Il pensait qu'apres l'apres midi d'hier elle avait compris vraiment qu'il etait sien tout comme elle etait sienne..........apparement non desilution totale.
Le Serpent reboit une longue gorgee de Jack, n'appreciant meme pas le gout, juste la chaleur de la brulure dans sa gorge


Acte 2 ....?

J'entends son pas dans les escaliers, elle ouvre la porte au moment où je picole à même le goulot. Ma tête se tourne vers la porte. Vers elle ......!

et ben ! j'croyais que tu ne supportais pas de voir les gens boire... ça ne s'applique pas à toi visiblement
Je ne dit mot
enfin... peu importe
Je controle ma fureur, ma deception, l'envie de l'étrangler.
referme la morte.... le regarde fixement
porte *
*lapsus volontairement laissé par l'écrivain,plaisir personnel. Eh oui !*
Je ne fuis pas son regard, la fixe sans ciller a mon tour
Tu m'expliques là ? Avant qu'on s'etrippe ?
T'expliquer quoi ?
d'une voix froide
à quoi tu joues...
Cobra... je sais bien que ce soir je te perds
je sais bien que ce soir tu pars
Tu n'me perds pas .....
si....
faux!!!

je ne vais pas encore chez les moines !
c'est pas la peine de te forcer si tu n'en as pas envie...
Mais merde !!!!!!
De quoi tu parles là ???????
comment ça tu ne vas pas chez les moines ???


ben pas ce soir non !
le regarde interdite
j'vais sans doute avoir à faire dans les jours qui viennent mais j'vais pas chez les moines !!
ben c'est pareil... le résultat est le meme pour moi
j'te perds

Ah tout s'explique d'un coup ! Les futures occupations de chacun, vont faire que nous allons moins être ensemble !

j'y ai pensé toute la nuit... bordel

Tu te fous de moi j'espère ?
arrete de répéter que je me fous de toi
Moi si je pouvais bourrique .........j'serais toujours dans l'coin !
"fronce les sourcils
a te plaquer contre le mur !

"le regarde.... aimerait bien oui...
a te faire hurler et abdiquer sous mes mains, mes levres, ma qu... !
a foutre en l'air tout les cons qu'on croise !

Elle respire doucement....
merde !!!!
"pose son sac sur la table et s'approche et lui .... ce type ne comprendra jamais rien

ai je dit ça ?
Tu m'a balance que je simule .......que j'ai pas envie de t'embrasser ! que je feins !!

Rien ne pouvait plus me blesser ! Merde !
lorsque je t'ai demandé de recommencer..... tu m'as dit NON................. ensuite, voyant que j'insistais......... stupidement je l'avoue......tu as fini par poser ton cas fée et venir recommencer............ je l'ai ressenti comme ça... c'est tout...


non ........ pas vraiment ainsi ......
maintenant je vais pas feindre moi
tu m'as dit que j'avais du fanstamer car tu etais au marché
[b] et faire semblant d'aimer que tu me fasses une chose qui ne te plait pas[/b]
je me suis donc leve pensant que TU avais raison !
le regarde
et j'ai voulu oui voulu te montrer ce à quoi j'avais fantasme !!
Elle sourit un peu
sentir ta peau sous mes lèvres
sentir ton odeur !
te respirer !

Me regarde sérieusement.

te sentir vibrer contre mon corps !
sentir les battements de ton coeur s'emballer comme le mien !
VOILA ........ ce que je voulais !!
mais non mais noon !!
y'a fallut que tu m'balances en me repoussant

bordel............. je t'aime c'est affreux..................
[b]que je feignais !
que je simulais !!
que je me FORCAIS !
ca .....ca j'peux encaisser alors que hier encore j't'ai tout livre avec la meme passion et le meme amour que toi !
alors oui oui ..........oui et oui
ma fureur m'fait dire alors...
VAS TE FAIRE FOUTRE !

m'dire que tu fous l'camp ....
que tu balances tout......

la regarde
tu cherches à m'faire mal de quoi Amour ?
dis moi ?

déglutit lentement...... s'avance vers lui... s'agenouille et vient poser ses mains sur ses cuisses, le regarde intensément
dis......
Je glisse une main sur ses cheveux, les ecarte pour les glisser derriere son oreille degageant sa nuque que je caresse sous mes doigts chauds et doux.
...tu cherches à me tuer dit moi ....?
je cherche à te faire mal.. comme moi j'ai mal... de te perdre.. je meurs à chaque fois.... tu ne le sais pas évidemment comme l'idée de ta retraite m'est difficile..... je m'y prépare à chaque fois mais je n'ai que ça comme façon de lutter... me mettre en colère
Folle !

Fin ....de la matinée tranquille sur Reims. On s'en souviendra !

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Cobra.
Pigeon toujours sur REIMS, début d'après midi

Il y'a des choses que je perds tout le temps, alors ce pigeon reçut là je vais le poser.
Jamais je ne saurais dire les mêmes choses à une femme, même à la Mienne. Hilde Mienne, je suis vraiment là qu'un homme. Maladroit et brut, manquant de finesse.
J'aimerais tant pouvoir faire passer dans mes écrits, l'intégralité de ce que je ressens.






Titre : Juste là...
Matador,

Plus que jamais tu portes haut et fort ce nom que je ne sais par quel éclair de génie, je t'ai donné un jour.

Comment, en un seul homme, peut on concentrer autant de perversité insolente, de rage incontrôlée, de cynisme perfide et d'amour immodéré ?
Et comment est il possible que je n'aie de cesse de te pousser toujours à m'en donner davantage, jamais rassasiée de toute cette hargne, de la fureur dont tu emplis ma cervelle à coup de phrases acides et de regards assassins ?

Suis je si tordue que j'aie besoin de toujours allez plus loin ?
Et toi ? Es tu si malsain que tu me suives aveuglément dans mon extrémisme et m'amènes plus loin que mes derniers retranchements ?

Dans quelques siècles viendront au monde ceux qu'on appellera les fous de Dieu. Prêts à se faire péter les tripes par passion.

Et je te vois bien un jour, attacher solidement autour de ma taille, une ceinture d'explosifs, reliée à sa jumelle que j'aurai moi, attaché à ta taille avant ...
... Et je nous vois bien, main dans la main, accrochés par les yeux et par les lèvres, glisser chacun notre index dans la goupille d'une grenade et l'arracher d'un geste sec pour exploser ensemble.

Ca arrivera peut être. Quand nous aurons épuisé toute la patience et usé tout le désir qu'on a l'un pour l'autre. Pour l'heure, le volcan gronde encore et prépare l'éruption ultime qui détruira le monde. Ce ne sont que des préliminaires. Ils peuvent durer des milliers d'années.

Hilde........

.......................................................... TIENNE


Je te T'choume Princesse. Merci de me hair encore et toujours.
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Hildegardeii

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Hildegardeii

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Cobra.
Je suis encore dans mon lit, l'côté droit envahit par mon corps alangui. Tornade qui passe la porte et la claque avec force.
Elle est en forme ! Elle me bouscule ! Elle n'aurait jamais du l'impudente me sortir de mon sommeil.

Aurais je du préparer le cas fée alors qu'une femme doit prendre soin de son mari ?
Se moque t elle ? L'odeur de la brioche arrive à mes narines, je hume la bonne odeur.


Je me redresse et me cale contre l'oreiller, la fixe passant de la colère de ce reveil, à un regard emplit de gourmandise. Si j'avais fulminé j'aurais pu m'assoir sur la douceur qu'elle tient encore en main. J'inspire. Il va me falloir être fin, sans avoir besoin de me lever, pour déjeuner au lit.

Hum..je pensais sincèrement le faire, qu'il soit tout comme tu l'aimes Amore .......
Mais je ne sais pour quelle raison je me suis rendormi, peut etre que je suis fiévreux, je couve sans doute quelque chose. Tu sais bien que j'aime prendre soin de toi
"pas en faire de trop tout de même", mais juste ce qu'il faut.

Tu ne penses pas qu'une brioche et un cas fée, ne pourraient me faire grand bien?Je me sens si.....faible là . la tête me tourne....

Mine de cocker, faux air fébrile. Je cherche à faire vibrer sa corde sensible. Elle va craquer......je le sens .......je le sais......me chouchouter, m'aimer, me soigner mon mal imaginaire.
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Hildegardeii

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Cobra.
[L'enfer est là, quand on ne peut rien faire, sauf subir !]

Rien n'avait pu filtrer derrière les murs épais du monastère, rien ! Pas même un pigeon vaillant qui aurait pu contourner l'intransigeance de mes gardes ! Oui gardes ! Jamais vu monastère si austère, si terrible. Coupé du monde extérieur pour expier toutes mes fautes. Moi ? Alors que je suis la bonté même. Jamais mauvais. Un comble !

Seul, au fond de ma cellule je profitais au mieux que possible de ses moments. Tel un adolescent, je fermais les yeux, la visualisait, nous visualisait et j'usais de manustupration. L'instant orgasmique passé, j'étais toujours empli de ce même sentiment de frustration et de manque. Je défoulais ma colère en me confessant à genoux, n'épargnant mon confesseur de rien ! Quitte à payer tribu au très haut, autant tout dire! Ah ! Ils se souviendront de mon passage ces moines de Champagne ! Me priver de ma femme ! Sacrilège ! J'imaginais le pire ! Le nombre d'hommes à tuer à ma sortie. L'enfer. Et puis .....il fut temps enfin !

Retour à l'appartement

Il est impossible de raconter, de poser des mots sur cet instant. Le temps est suspendu.
Je ne peux laisser qu'un couple de troubadours tenter de vous le faire comprendre. Et encore ......on est si loin du compte......encore !


Retrouvailles Champenoises.
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Hildegardeii

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Hildegardeii

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Cobra.
[L'arrivee en Helvétie]

C'est pas dans le meilleur état que je pose les pieds avec Hilde chez les Helvètes. En plus en découdre avec du vilain pas beau qui veut d'après ses dires faire la peau à ma femme.
Ca commence bien je vous le dit. Ou comment déjà me foutre en rogne sans avoir vu personne.
Je vomis tripes et boyaux depuis plusieurs jours, j'ai évité la rencontre avec l'herbe aromatique Romarin.Romaric.......ou le romantique menaçant.
Encore un qui doit jouer de la dague avec des cicatrices partout.
Par contre Saint Claude à défaut de pipes, m'a fait roy, en chantant mes louanges.
Si vous êtes sages peut etre, je dis bien peut etre je vous entonnerai quelques paroles.
On dépose tout dans un appartement qu'Hilde nous a déniché, le temps que je soigne notre Falcounet et l'hongre blanc à taches bleues que j'ai loué quelques jours pour notre voyage.
Oui des taches bleues, j'ai pensé que cela irait bien avec notre Brad orange.

Bon Hilde, allons voir si la ville est aussi animée qu'on nous l'a laissé entendre !
Je ne sais s'ils ont du cas fée dans le coin.


Pressons !! Pressons !!
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Hildegardeii
bisou !
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