Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>

[RP] Le fouillis COBRAdesque et l'alignement HILDEsque.

Hildegardeii
--
_________________
Cobra.
[Belley 16 février]

Cali m'avait écrit après ma rapide missive que je lui avais envoyé pour lui signaler mon départ de Genève et ma rupture avec Ma Vipère.
Elle n'avait pas tardé à me répondre Ma Brume.




Cobra,

Merci pour votre lettre. Je ne l'ai vu que plus tard. De toute façon, le premier choc passé, je n'ai pu m'empêcher de sourire... Vous et Hilde séparés? Est-ce que l'on peut fendre une falaise en deux? Est-que le vent peut s'interdire d'effleurer la rivière? Est-ce que l'océan lui même peut se contenter d'être mer d'huile sans se voir démonter par un ouragan? Rien ne pourra séparer définitivement ce qui a été scellé par mieux qu'un serment. Un contra de cent ans! Donc en attendant, je mange des chouquettes, je grignote des cacahuètes , et je tricote des chaussettes!

Tendres pensées,
Cali


Elle nous connaissait sans doute mieux que personne. Elle seule sans doute pouvait comprendre Hilde et moi.
C'est en souriant plume à la main que je lui griffais quelques mots sur mon vélin.




Ma Caliope .......
Vous etes unique .....
Mais sachez que la sonnette d'alarme avait pourtant retentie avec violence cette fois.
Cobra Laval: Bonne dégustation,
Nous vous embrassons fort.
Votre Vent.....


Le cas fée est prêt. Le pigeon s'envole.
C'est aujourd'hui que le Tournoi de Bâtons commençait. J'suis prêt.
_________________
Hildegardeii
bisou !
_________________
Hildegardeii

_________________
Hildegardeii

_________________
Hildegardeii

_________________
Hildegardeii

_________________
Cobra.
Le temps se suspend.....




Tout s'arrête, ce qui nous entoure se voile, nos regards se soudent, tout est oublié, plus rien n'existe que la douceur de ta peau sous mes mains, les marques rouges laissées par mes dents sur son satin, la brûlure de tes griffes sur mon dos, nos souffles qui se mêlent avant de fondre dans le velours de nos bouches où nos langues jouent avec volupté l'une à l'autre....
Je plonge avec délice dans la chaleur de ton être, te sonde, te fouille sans retenue, les gémissements qui s'échappent de ta bouche font échos aux râles rauques qui s'échappent de la mienne......le temps se suspend... le temps d'une envolée sauvage, rude où l'un et l'autre nous nous regarderons en souriant béatement, nos corps en sueurs, nos yeux voilés d'Amour....
Je vous Aime Hilde Mienne

_________________
Hildegardeii

_________________
Hildegardeii

_________________
Hildegardeii
---
_________________
Hildegardeii

_________________
Ward
Poum
Incendie faisant , maman a oublié que Poum dormait sur le lit dans la tour.......

Plongée dans un sommeil sans rêve, profond comme les abysses du monde, sa respiration relevant son torse par laps réguliers, paisible.

La fumée s'infiltre sous la porte, Brad lève la tête, regarde Poum puis se rendort.

Telle la main de la mort, la sinueuse tracée d'air vicié de rapproche de la belle endormie.....


Keuuff keuuff rreuuhhhh ....


Les poumons s'encrassent de suie.
Brad chien fidèle lui lèche le visage les coups de langue la sortent de sa torpeur, elle tousse à plein poumons, regarde Brad terrifiée.

Elle se lève vaseuse, court à la fenêtre pour respirer, trop tard les flammes lèchent les encadrements, la vitre explose, un retour de flamme lui caresse la joue la chaleur lui chauffe le visage, elle panique un instant les mains sur les oreilles, le feu crie. crépite, souffle autour d'eux.

L'escalier vite il faut sauver papa et maman ! Hipster est habitué heureusement qu'il m'a eue comme nourrice.

Des flammes partout impossible de sortir par l'entrée.

Sa mère est absente il n'y a que papa qui brule dans le lit.

Poum s'empare des chairs rôties de son père, elle tire fort son papa hors du lit les chairs à point cèdent, la voilà avec un scalp dans la main, le seul endroit où le feu n'a pas encore sévi, prenant une couverture elle frappe le foyer de toutes ses forces, finalement papa fini par s’éteindre, elle s'empare de lui sous les aisselles, tire, ne sentant plus la douleur la rage submergeant tout autre sentiment.
Le trou béant remplaçant la bouche de papa gargouille, s'en échappe un magma de sang fonçant sous la chaleur.


OUIII MON PPPAAPPPPAA JE TE SAUVES !

Elle saute à travers les flammes sur le balcon aperçoit sa mère sous Ward, elle est sauvée pas Ward ? étrange mais l'instant ne se prête pas à réflexion.
Elle emplit ses poumons et crie :


MMAAAMMMMAAAAAAAAANNNNN j'ai papa !


Elle saute du balcon sur les broussailles en feu, atterrit sur le corps sanglant de papa.

La main tendue vers l'aide tant attendue elle entend sa mère proférer ces mots vides de sens.....


Il m'a dit qu'il n'avait plus le goût à rien.
Il m'a dit qu'il sentait qu'il allait tomber malade et ne s'en relèverait pas.
Je n'ai fait qu'abréger ses souffrances !


La porte est barricadée.. maman est contente !

Que faire de papa ? Il gargouille toujours sa bave bouillante.


OLLLAA venez m'aider avant que je m'auto-brûlasse avec les restes vivants de futur feu papa !!!!!!!!!!!

Plus de nez, plus d'oreille, plus d'appareil reproducteur.... il est en piètre état le torero ...
fini la temps de sa grandeur, il git, râlant, membres atrophiés, consumés, fumant encore


Euhh papa je crois que nos chemin se séparent ici ... tu es le seul père que j'ai vu mourir par le feu, je ne l'oublierai jamais. PROMIS !
Je ne te bise pas tu comprendras, j'espère, non ne tente pas de répondre tu souffres.
Je vais juste me tourner et t'oublier ! C'est mieux pour tout le monde

Adieu el torero !

_________________
Cobra.
Bordel que de poussières !

L'orgueil et ses ravages,
Laisse l'Homme affronter le pire des orages,
Tumultueux sillage qui mènent aux pires affres,
L'enfer est plus doux, lisons le sur une épitaphe,
Un jour où les deux êtres aimés,
De paroles et de cris, de rage et de passion mêlés,
Pour avoir voulu avoir le dernier mot,
N'aurons plus la force d'écrire un mot.


Sauf que,
L'histoire serait si simple s'il en était ainsi non ?
Bon, il me semble qu'il est temps que je lève la plume à nouveau, et la trempe dans l'acide de mon encre.
Ah ça faisait longtemps vous allez me dire Amigos ! Vrai ! Mais là il est temps de poser quelques barres sur le T et quelques points sur le I.

Il était une fois, une famille de Serpents, installée sur Genève..... Misère si je commence comme ça ....je vais vous faire peur !
Là, il me faudrait le ptit père Musaraigne, qui fait mouche en trouvant le bon mot au bon endroit. Non ? Oh je vous vois en train de me dire mais qu'est ce qu'il fait le Persifleur ... il nous perd.
Vous perdre c'est ma marque de fabrique ne l'oubliez pas. Pour le brodage sans un fil qui dépasse c'est Hildegardeii, avec deux I. Sauf que là faudra vous démerdez avec ce que je vous donne, yé zoui tou zeule !* je suis tout seul ok ?*

Revenons à nos moutons Amigos.

Flash Back :

Septembre, au environ du 24, en fait c'est le 24. Nous sommes installés en taverne, ma femme, ma fille, mon fils qui suce son pouce et moi. Nous. Et je plante un truc du genre : "Je suis las" ....Malheur, Misère, Pute borgne !
Le Raz de marée est en route. C'est comment vous dire ? Cinglant. Violent ? Oui ....
Je sais là, que ma sortie vient de signer mon arrêt de....mort !
Je ne me suis pas trompé. Le soir même, la rage au ventre Mon épouse adorée, fait tout flamber. Moi y compris. Enfin le pense t elle. Mais vous pensez bien, on ne reste pas aux côtés d'une Vipère pendant autant de temps que moi sans la connaître par coeur. Le thé à la menthe qu'elle me donne dans notre couche sourire aux lèvres, finit dans la plante verte sur le balcon donnant sur le lac. J'installe, dès que ma Princesse quitte la chambre, le pauvre bougre dont je ne pouvais me douter en vous le racontant là qu'il était père de 8 chiards, dont la Francine, sa femme était porteuse du 9 ème.
M'enfin moi je me devais de sauver ma peau. Donc couik. Pas d'état d'âme. Enfin un peu là que je sais que j'ai fait une pauvre veuve ! Et je me tire. Admire le spectacle, haut en couleurs. Je vois Poum, qui s'acharne à me sortir, enfin "le" sortir. Suivez un peu !
Et je me fous au vert. Loin de la vie active de la ville. Je fais parfois tourner mon moulin, j'embauche des gens de passage
pour travailler mes champs. Ca n'échappe pas à ma femme pensez bien.
Et elle finit un jour par me trouver et là ....

Crampe du poignet ! Suite plus tard si vous êtes sages.

Avec un peu de chance Hildegardeii avec deux I, va comme d'habitude vous donner SA version. On a jamais la même vous le savez Amigos non ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)