Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP] Vilaine en procès ? Panpan cul nu aux baudets nanifiés

Nessty_la_vilaine
[Chouquettes Express ou le Chou au Chaud-chaud-là !]



La Vilaine venait de replonger sa truffe pour découvrir la dernière caricature qu'on lui avait glissé



quand...

Une livraison pour vous m’dame…

Elle releva lentement sa truffe en entendant une voix masculine à côté d'elle, sans comprendre et toujours exaspérée par les derniers évènements. Les akènes qui croisent les manches d'une chemise attachée autour d'une taille. Hein ? Quoi ? Kékécékesa ? Puis un nombril ! Hein ? Et ce n'était pas tout puisqu'un nombril ne vient jamais seul. Il y avait des... des... enfin... pas de la mousse graisseuse mais des tablettes de chaud-chaud-là, là autour d'un nombril. De quoi élargir les pupilles et laisser la bouche d'une gourmande s'emplir de salive. Koikispass ? Presque envie de toucher pour savoir si elle était dans un rêve érotique ou non. Nessty commençait à avoir chaud. Le cou entraina le visage de la bougresse un peu plus haut, laissant son regard glisser doucement sur chaque rangée bien dessinée des abdominaux de ce met délicieux pile devant elle. Rooooo ! Komcébo ! Des pectoraux ! Oui : du muscle, du mâle, de la chair fraiche, de la tentation pure pour celle qui n'avait ni vu ni touché d'homme depuis des mois... Nessty eut du mal à déglutir avant que la bave ne déborde au coin de ses lèvres. Un visage ? Ah mais ça, elle n'en avait rien à foutre ! Et savoir ce qu'il voulait ? Ah mais ça non plus ! Le spectacle du jeunot à moitié nu lui suffisait amplement. Que dire s'il avait été complètement nu ? Elle lui aurait carrément sauté dessus ! Puis un viol en plein audience judiciaire, elle y avait déjà eu droit quand un témoin bien fait de corps et moins d'esprit s'était amouraché de sa belle procurette... Alors pourquoi pas elle ? L'en serait également capable !

La Vilaine avait carrément trop chaud ! Le col de sa chemise, des plus amples déjà puisqu'il tenait à peine sur ses épaules, la dérangeait. D'une main, elle l'élargie encore plus, jusqu'à ce que seul son corsage puisse le retenir et couvrir le minimum nécessaire pour rester décente. De l'autre, elle s'essuya la sueur naissante dans sa nuque. Pfiou... qu'est ce qu'elle avait chaud...

Malheureusement un importun, le sergent pour ne pas changer, vint perturber ce moment de contemplation hautement... hum... réaliste. Nessty cligna à plusieurs reprises des cils pour effacer son air béa et vérifier que tout y était encore : nombril, abdominaux, pectoraux. Elle manqua de se lever pour coller une torgnole au 4ème nain de la cour afin qu'il disparaisse. Du revers de la main, elle le chassa telle une mouche en lui grognant dessus.


Sergent l'Veau en Tek, dégagez ou j'vous colle votre engin là où ça fait l'plus mal !

Enfin un regard de merlan frit et une réponse quasiment inaudible pour le jeune livreur. D'une voix timide et tremblotante, la Vilaine, pas perturbée pour 2 sous mais bel et bien pour plus de 3 rangées de chaud-chaud-là, se lança dans la plaidoirie la plus courte de sa vie :

Vi ?

Et les chouquettes ? Mais elle ne les avait même pas remarquées ! Trop de chaud-co-bons pour penser un seul instant à autre chose. Elle en restait donc au Chou à kékette, ce mignon livreur qu'elle était prête à croquer tout cru.
_________________

--------------------------------> Collectionneuse de procès débiles : Touraine, Poitou
Louise.....
[C'est la valse brune
Des chevaliers de la lune
Que la lumière importune*]



Soupir de Louise y avait plus de chouquettes.... En plus le maire ne savait pas quoi répondre. C'était comme ça à chaque fois. Elle posait une question et comme ils étaient dans leur tord, soit ils répondaient à côté, soit pas du tout....

BANG

Elle sursauta. Non mais ils sont malades en Poitou.

Elle regardait les scènes qui se déroulaient sous ses yeux. Et puis une ombre et surtout une odeur sucrée et douce. Elle regarda la Vilaine et n'en revint pas de ce qu’elle vit: un regard vitreux, de la bave qui tombait des lèvres et une couleur rouge qui montait jusqu'au front de la Vilaine. Eh be... ça transformait une femme un homme....

Du coup elle prit le sac de chouquettes des mains du bellâtre et le laissa dans les mains de sa cliente. Pour le moment, elle, elle avait faim de nourriture terrestre.


*VALSE BRUNE - JULIETTE GRECO
Ronald_le_jongleur
[La crampe du poignet, au fond de la salle.]



L’œil se marrait devant la scène du bellâtre boulanger.
Le témoin semblait cataleptique, le juge narcoleptique, l'avocate flegmatique et l'accusée extatique.
Grattement, frottement, charbon qui crissait sur le parchemin, plume qui soulignait le trait, le jongleur, lui était frénétique. Il ne croquerait pas de chouquette, mais s'en tiendrait à la Vilaine.
Dessin terminé, il le fit passer, comme à son habitude. Pour ses voisins, l'avocate et enfin l'accusée, il fallait au moins ça pour qu'elle sèche
.

- Hop, hop, on passe à son voisin jusqu'à la nanavocate et la flaque.








_________________
Julien_wotek
Julien arqua un sourcil.... Vl'eau en Tek?. Il haussa les épaules et attrapa furtivement une chouquette (ouais... bon... plusieurs en fait) et retourna dans son coin en se marrant silencieusement.
_________________
"Méfiez vous de l'eau qui dort"

Pate_en_croutman
Des chouquettes, des chouquettes... Y'en avait que pour la patisserie.
L'amicale des producteurs de pâté en croute niortais avait envoyé Paté-en-Coûte-Man sur le terrain, pour promouvoir la charcuterie locale. C'est l'économie niortaise qui était menacée par ces chouquettes.

Paté-en-croute-man voulait cependant rester anonyme. Il craignait que sa popularité auprès des femmes, des hommes, des chiens errants, des loups et autres charcutophiles ne l'empeche de sortir à visage découvert. Il portait donc un masque de cuir qui ne révélait de son visage que sa lippe aux coins blanchâtres et ses yeux porcins.

Toute la salle semblait encore obnubilée par l'éphèbe effeuillé. Pec-man ota donc sa chemise et se présenta à la suite du jeune Elvis. D'un coup de hanche habile et surtout bien plus lourd, il éjecta sans ménagement le jeune musclé et se présenta à Nesty.


Ma dame, il faut consommer local! haleta-t'il en dansant devant elle, toute brioche dehors.
Le paté en croute, ça se mange froid... Comme chaud! Il lécha ses deux index et les déposa sur ses adipeux tétons velus bien que dénudés, tout en regardant Nessty d'un air provocateur.
Croquez moi, ma dame, un homme un vrai! Vous ne serez pas déçue du voyage! Il parait qu'je laisse un bon gout dans la bouche... Avant que Nessty n'ait pu protester, Pec-man, se mordant la lèvre d'un air excité, lui avait saisi une main et l'avait faite disparaitre dans les bourrelets de son torse poilu. L'observateur averti ou perverti aurait pu imaginer voir une minuscule bosse se former dans ses braies.
Mieux vaut un paté en croute bien bourratif qu'une petite chouquette qui fond trop vite! Ho Dame Nessty, vous me rendez fou... Quelle femme!
Chouquettes
Le regard de la fameuse dame montrait que son commanditaire avait bien réussi ce qu'elle voulait mais n'était pas un sex symbol qui voulait. Lui il pouvait et le regard brûlant de désir sur ses Milkaway comme il les appelait en était la preuve. Un gars l'interpela mais répondre à des nigauds n'était pas dans ses attributions alors il l'ignora même quand ce dernier piqua une ou deux chouquettes qui était pour eux de toute façon. L'avocate avait pris celles destinées à sa cliente et donc le deuxième pli avait été pris aussi.

Elvis sourit à la vilaine et il allait ouvrit la bouche quand surgit une grosse saucisse qui l'envoya valser. Le commis se retrouva à 4 pattes et l'autre jambon en profita pour faire un discours... Indigeste, pensa le brun alors que mon corps fond sous la bouche. Il agita son fessier musclé et se redressa. Le boudin semblait prêt à sauter sur la dame. Elvis haussa les épaules et fit un clin d'oeil à Nesty et son avocate avant d'ouvrir en grand son panier et de faire le tour pour sa distribution de chouquettes. Bien sûr il s'avança vers les dames. On est un coq ou on l'est pas. Volaille et charcutaille quelle ville étrange quand même.

Mais du coin de l'oeil il ne pouvait s'empêcher de regarder vers le box de l'accusée qui était restée interdite devant le grand boudin blanc. Si elle préférait après tout...

N'empêche qu'il lui en foutrait bien du local. Quand on voyait leurs gueules aux locaux comme ce pseudo sergent ou ce paté en croute, ça donnait envie de manger international ou végétarien...
Julien_wotek
Julien, toujours en train de mâcher des chouquettes dans son coin, il arqua un sourcil... Le pâté en croûte? Du local?
-Euh... messire masqué au pâté en croute! De un, qu'est-ce que vous foutez dans un tribunal le visage masqué? De deux, le pâté en croûte vient pas de Champagne-Ardenne et de Lorraine? Nan parce que si vous voulez vraiment présenter du local, essayez le farcît poitevin!
_________________
"Méfiez vous de l'eau qui dort"

Cali
[ Pourquoi faire simple quand on peut faire dans le genre compliqué comme entrée]


Un coup d'oeil derrière la vitre lui permit de constater que le procès avait commencé. Arriver comme un cheveux sur la soupe ne serait pas des plus discret. D'autant plus que le pigeon envoyé à son Yoyo pour lui indiquer leur rendez-vous au tribunal ne devait pas encore être arrivé, il fallait encore qu'il puisse la retrouver. Agiter la main en direction de Nessty pour lui montrer sa présence n'était pas non plus une bonne idée. Elle aurait été bien capable de venir la chercher par la peau du fessier pour la faire entrer.
Aussi Cali commença par coller son oreille contre la surface glacée pour ouïr quelque peu le déroulement, en intervertissant l'autre également. Avec un froid pareil, il ne s'agirait pas en plus de se retrouver avec une oreille à décoller d'une vitre.
Beaucoup de monde entrait par la grand porte. Ce qui fait qu'au bout d'un moment elle n'y voyait plus rien avec toute cette buée. Il faut croire que la chaleur à l'intérieur avait du monter de plusieurs crans car quelqu'un eut la bonne idée d'ouvrir la fenêtre pour aérer.
Et bien entendu, la jeune femme qui s'appuyait contre la vitre de ses mains, de sa joue et de son oreille, bascula tête bêche en avant, se retrouvant à valdinguer entre deux bancs. En se redressant tant bien que mal, elle vit que son Yoyo arrivait à l'instant, les bras en avant et la mine dépitée. Il avait du voir la scène et vouloir la rattraper.
Pour la discrétion c'était un peu rappé comme entrée. Du moins elle espérait que ça ne soit que dans les derniers rangs, et elle tendit la main pour faire entrer son petit charpentier par ce sésame ouvre-toi inopiné.

A peine installés sur le banc tous les deux, la Thouarsaise découvrit enfin la salle d'audience dans sa totalité. Au fur et à mesure, de surprise sa bouche s'arrondissait comme celle d'une carpe hors de l'eau. Jamais elle n'avait vu tribunal si pittoresque. Ses yeux allaient du juge au regard sévère, à Nessty très à l'aise. Même très très à l'aise au vu du chemisier largement ouvert et de ses yeux pétillants en mangeant du regard un homme torse nu. Cali pouffa et se retourna vers son Yoyo.


-Sacrée Ness. Je ne sais pas comment elle se débrouille mais à chacun de ses passages, c'est un vrai champ de bataille. Et là on se croirait sur la place du marché, à la criée.

La brune n'était pas au bout de ses surprises car tentant de reprendre le cours des choses, sa vue fut obscurcie....ou éclairée...ça dépend de l'interprétation, par un buste , dénudé lui aussi, dont le propriétaire leur proposait la dégustation de ses friandises... euh dans son panier bien sur. Aussitôt, dans un pur réflex, Cali apposa ses mains sur les yeux de Yoyo.

- Heu... ha non, Trompé. Elle récupéra ses mains pour les poser sur ses propres paupières afin de cacher à sa vue ce torse qu'elle ne saurait voir, puis après une rapide réflexion, les ôta et se frappa le front du plat de la main.

- Ha ben non suis-je bête ! Quand d'autres voient des nains partout... Petit regard amusé vers Nessty en folie... un médecin est censé en avoir vu à l'appel.. euh la pelle... des troncs.
Cali fixa le torse sans lever les yeux et piqua une chouquette dans le panier.
- Merci mon brave... torse.
Puis elle se tourna avec un air benêt vers son Yoyo en haussant les épaules.
- C'est offert de si bon coeur!
_________________
Yoyo_le_rouble
- Sacrée Ness. Je ne sais pas comment elle se débrouille mais à chacun de ses passages, c'est un vrai champ de bataille. Et là on se croirait sur la place du marché, à la criée.
- Vi... à la grimée...


Yoyo était assis, tout penaud, à côté de sa Cali, au milieu de la cohue et de la vive animation. Il en avait vu des champs de bataille, en tant que simple victime ou simple voyageur, et la scène qui se déroulait, pour une raison qui lui échappait, lui paraissait bien plus périlleuse que tout ce qu'il avait jamais connu auparavant.

Le charpentier en faisait toujours trop lorsqu'il voyait pareille agitation et qu'il savait sa namour dans les parages, et il était toujours sur le qui-vive, de peur qu'il lui arrive quoique ce soit. Surtout depuis qu'ils avaient frôlé la mort il y a quelques années, et qu'il n'avait rien pu faire.

Mais il le savait, il en faisait tout de même trop, et tout honteux, il essayait de se tenir tranquille après être entré tout paniqué en craignant, à tort, le pire, alors que sa Cali était encore sagement à l'extérieur de la salle.

Aussi Yoyo se tenait tranquille, même s'il restait à l'affût de tout mobilier, arme ou vêtement fusant d'une coin de la pièce ou de l'autre.


- Heu... ha non, Trompé.
- Vi... Trompe...

Malgré qu'il soit tout tendu, il ne put s'empêcher de rigoler en voyant son adorable Cali cache tour à tour ses yeux puis les yeux, puis finalement non. Visiblement, au moins elle s'amusait. Elle était toujours à l'aise partout.
Mais rapidement le visage du charpentier tourna au vert en observant l'air benêt de son épouse qui scrutait d'un air professionnel la grande partie anatomique du porteur de chouquettes.

Et ce fut à ce moment précis, un moment dont le thouarsais allait se souvenir toute sa vie, que Yoyo fit face au dilemme le plus inattendu auquel il s'attendait à pouvoir faire face un jour.
Il tenait machinalement une chouquette dans la main. Et son amour pour les chouquettes et sa jalousie s'affrontaient violemment dans son être intérieur.

Manger ou ne pas manger cette chouquette offert par un bellâtre que sa namour dévore des yeux ?
ô page, ô pété de poire ? N'est-il point de plus infâme gnome mini ?
... Quelque chose comme ça.

Et finalement, la jalousie et l'appétit signèrent un traité de paix.

Yoyo goba la chouquette qu'il tenait.

Puis il se jeta sur la chouquette prise par sa Cali avant qu'elle n'entre en contact avec ses lèvres délicieuses.

Et enfin, de manière préventive, engloutit toutes les autres chouquettes survivantes du panier en de grandes brassées voraces.

Et le charpentier, les joues bombées tel un hamster prévoyant, tomba dans les pommes d'api, rêvant d'un monde où les chouquettes n'étaient pas distribuées par des pectoraux saillants et des abdominaux, c'est rosse.
Julien_wotek
Julien, toujours dans son coin, vit un type engloutir un nombre assez impressionnant de chouquette (qu'il avait clairement chourré à ses voisins). Soudain, le voleur sembla tourner de l’œil... Les chouquettes étaient-elles empoisonnées? Julien dégaina son épée (il avait envie de trancher un peu) et s'approcha du vendeur de chouquette.
-Dit donc vous! Y avait quoi dans vos gâteau? Parce que le type là il a calanché après en avoir bouffé!
Il appuya ses mots en pointant du doigt le type qui avait fait un malaise, mais il croyait qu'il était mort.
_________________
"Méfiez vous de l'eau qui dort"

Chouquettes
Il avait à peine commencé à distribuer les chouquettes qu’un gars mangea la sienne et sans doute conquis par cette divine sucrerie, même les dieux en mangent aux réunions des ambassadeurs… Hein c’est pas ça ? Au temps pour moi alors, revenons au jeune garçon aux chouquettes…

Donc le gars piqua celle de sa chérie puis s’envoya le restant du panier avant de tomber dans les vapes, c’est pourtant connu, trop de chouquettes tue la chouquette… L’estomac aussi et ruine les fringues après vomissements mais nous n’en étions pas là. Autant il aurait soigné l’apoplexie de la Vilaine d’un baiser fougueux, sous excuse de bouche à bouche bien sûr… Autant là il passait son tour… Il allait s’en retourner vers l’objet de son attention première, il fallait nourrir le soldat vilaine qu’elle avait écrit sa patronne du jour, que le sergent tête de veau comme il avait été nommé, enfin lui l’aurait dénommé tête à claque mais on peut pas choisir les noms des autres il parait… Donc l’a volo vint vers lui épée à la main genre je suis le vengeur masqué de la mort qui tue toussa ou bien qui rend plus fort je sais plus je me suis trompé de chanson … Et là on respire, promis vous aurez la suite, je résume.

Donc à ma droite beau gosse, pectoraux proéminent, pas forcément intelligent mais vu les autres il est pas pire non plus… A ma gauche sergent volaré ohoh… avec son épée, son flingue, sa dague, son couteau suisse, une hallebarde parce que des fois il en pleut, un arc des flèches même s’il aime pas les indiens, enfin sergent je suis une armurerie à moi tout seul qui accuse beau gosse d’avoir empoisonné un gars qui fait juste une crise de foie, de foi aussi peut être mais ça c’est une autre histoire… Franchement enfilez vous 3 douzaines de chouquettes en genre deux minutes et on verra si tombez pas dans les pommes, les poires et p’têtre les scoubidous ah…


J’vous signale que z’en avez mangé des chouquettes alors si elles étaient empoisonnées, seriez d’ja mort voyez… Rangez vot’ joujou, zallez vous blesser.

Il regarde le sergent en souriant, oui il est un peu con j’avais prévenu, sera jamais prix Nobel, ni n’inventera l’eau chaude mais mister Univers en 1464 oui mais chuuttt… Je vous ai rien dit.

V’savez ce qu’on dit par chez moi ? Quand un gars a une grande épée c’est qu’il a une petite b..e, même qu’avec deux t elle sert d’amarrage…

Il jette un regard entendu vers les braies du sergent et sourit en coin. Puis retourne s’occuper de la vilaine…
Julien_wotek
Julien rengaina son épée et foudroya le pâtissier du regard. Bon ok... C'était vrai qu'il en avait bouffé lui aussi des chouquettes... C'était vrai qu'il se sentait un peu con sur le coup... à moins que le poison ne soit actif qu'à partir d'une certaine dose... Mais il était vrai qu'un meurtre à la chouquette était plus que foireux. Puis il remarqua que le "mort" respirait encore...
-MEEEEEEEDIIIIIC! Lança-t-il d'une voix rauque.
Attend... mais c'était pas le bon jeu ça!
-Euh... Y a-t-il un médecin dans la salle?
Puis il se tourna de nouveau vers le pâtissier.
-Ouais ouais... j'connais le proverbe. Grosse épée, p'tite bite.
Puis il lui attrapa l'épaule avant de lui lancer un sourire sadique.
-J'ai deux question à vous poser l'ami: pourquoi croyez vous qu'on me surnommait la pigouille quand je boxais en taverne et est-ce qu'il y a autre chose que des chouquettes dans vos braies?
_________________
"Méfiez vous de l'eau qui dort"

Cali
C'était le moment de vérité, là où les papilles rejoignent les sens pour leur indiquer qu'ils ne l'ont pas trompé. L'explosion dans la bouche d'un bouquet goûteux à la saveur délicate. Le fondant dans une bouchée savourée d'avance. Et enfin.....
Le grand vide. Point de chouquette. Juste ses lèvres qui se referment sur du vent, léger courant d'air d'une main chapardeuse.
Bouche bée, Cali regardait la chouquette finir son envol, engloutie par son Yoyo qui, pris d'une gargantuesque frénésie, se mit à vider le panier du pâtissier en deux temps trois mouvements.


- Heu....

D'abord elle eut envie de ronchonner, puis elle se mit à rire mais arrêta aussitôt et se leva d'un bond en agitant les mains en l'air, affolée, quand elle vit les joues de son petit charpentier se gonfler.

- Raaaaaah! Arrête, arrête!

Trop tard. Le mal était fait. Boule et mie avaient frappé. Et touffe ment n'allait pas tarder à arriver. Refusant de céder à la panique, Cali se jeta sur son Yoyo pour lui extraire vivement chaque chouquette de ses joues, un peu comme une poule qu'on plume après l'avoir ébouillantée, pendant que derrière son dos elle entendait deux zozios s'apostropher.
-Euh... Y a-t-il un médecin dans la salle?

Toujours à vider les joues de son époux, Cali se retourna avec une envie de meurtre.

- C'EST MOI LE MÉDECIN DANS LA SAAAAALLE !!

Ce n'est que lorsque la bouche fut entièrement vidée que la jeune femme appliqua la sienne pour insuffler son souffle longuement, son blondinet retrouvant peu à peu des couleurs et sa respiration dans une quinte de toux.

- Bon sang Yoyo ne me fais plus jamais ça!! Prise entre l'envie de l'engueuler et le soulagement de le voir respirer, Cali le serra fort. Enfin pas trop quand même, il ne faudrait pas l'achever en plus. Mais qu'est-ce qui t'a pris d'engloutir tout ça? Rhooo.
_________________
Chouquettes
Le sergent posa la main sur son épaule et cela fit sourire Elvis

Un gars qui tripote un gars torse nu je trouve ça plutôt glauque. Je n'ai rien contre vos moeurs mais vous manquez de nibards pour moi. Nulle offense... Quand a votre question je dirais parce que vous gagnez les tirage au sort en jouant à " Pic nic douille c'est toi l'andouille? " Je vois pas d'autre raison ... Et des chouquettes j'en ai plus mais si elles venaient de mes braies vous les avez rudement appréciées... Sur ce pardonnez moi j'ai été payé pour distraire la dame pas vous.

Il dégagea son bras et parti voir Nessty après s'être assuré que l'empoisonné ne l'était plus.
Fayom
Un procès qui semblait ne pas démarrer

Fayom entendit le maire de Niort donner des semblants de réponse. Fayom avait un peu honte d'avoir laissé la mairie à un pareil demeuré mais il voulait du repos. En tout cas le conseil comtal devait être aux anges, voilà le parfait mouton qui dira amen à tout pour le peu qu'il sache compter jusqu'à 5.

Tout un coup un coup retentit d'un objet que l'on aurait cru voir que des décennies voire des siècles plus tard. Les armes à poudre avaient récemment fait leur apparition en Europe, bombarde, couleurvrine mais pas encore des portatives tels que des fusils ou pistolets.

Enfin le bazar s'instaurait dans cette salle, ce qui fit dire à Orobas :

Je n'aimerais pas etre a la place du juge, entre Nessty qui a decidee de marquer les esprits pour son retour en Poitou, le procureur qui ne sait pas mettre en forme les documents, un garde qui se donne en spectacle et un témoin qui ne répond pas.
Si jamais il n'arrive pas a redonner un semblant d'ordre dans son procès, tu vas voir que la vilaine va finir par lui prendre son marteau

Tu vois ce que je te disais. Dans dix minutes, elle a le marteau dans la main, le juge a la niche, et le maire de Niort sur le banc des accuses.


Fayom se marra à ses remarques en se disant que oui c'était en effet possible. En attendant de plus en plus de zouk et de moins en moins de procédures s'instaurait, il était pas prêt de témoigner !
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)