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[Rp Joutes Février] L'hostellerie pour les jouteurs

Rosemay
Le Mont St Michel. Imposant, majestueux, Rose ne se lassait pas du spectacle de la baie d'où émergeait l'imposant Mont St Michel, un spectacle grandiose qu'elle admirait pour la première fois.

Oui votre Grâce ça va nous changer des tentes et un peu de confort ne fera pas de mal. Il parait que leurs omelettes sont célèbres par delà les frontières, j'ai hâte d'y goutter aussi.

Arrivés à l'auberge Ursus s'occupa de demander des chambres pendant que Rose admirait les lieux ... Elle salua à son tour d'un sourire la dame qui les recevez.

Le bonjour dame un bel établissement que vous avez là.
Keltica
Relevant le nez en entendant les salutations, Keltica sourit chaleureusement à Della.

Bonjour Della, vous êtes radieuse !! C'est un plaisir de vous revoir, également, comment allez-vous ?

Elle regarda l'homme que la Duchesse leur présentait et inclina la tête avec un sourire gracieux.

Non, je n'ai pas le plaisir de le connaître. Bonjour messire, ravie de faire votre connaissance !

Le jeune homme semblait discret, même un peu perdu au milieu de ce brouhaha typiquement féminin, et la blonde vicomtesse reprit conversation avec Della pour ne pas gêner davantage le vassal de la Duchesse.

Oh oui, le voyage a été bon, j'ai même un peu dormi, pour vous dire, cela a été très tranquille ! Et puis ça fait du bien de partir un peu sur les chemins... Vous le savez, maintenant que j'arbitre des joutes, je voyage beaucoup, ça me fait du bien ! D'ailleurs n'oubliez pas de vous inscrire et de surveiller les annonces, nous pourrons encore jouter !

Elle avait le regard pétillant et poursuivit.

Sinon, sauriez-vous nous dire s'il y a de jolies choses à voir dans les environs, hormis le Mont Saint Michel évidemment ? Je compte bien faire un peu de tourisme, tant qu'à faire, il faut profiter !

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Mere.poulard


Elle n'avait pas eu le temps de souffler que la porte s'ouvrit et un petit air frais s'y engouffra. Tous semblaient servis, elle écouta la demande des nouveaux arrivants.

- Deux chambres entendu

Elle récupéra d'autres clés pour les confier à l'hôte.

- Les clés sont à rendre à la fin de vostre séjour ici. Pour sûr que nos omelettes sont les meilleures, ce soir vous y goûterez et vous me direz si elles sont légères.

Je vous prévois des biscuits? Ils sont délicieux, c'est la maîtresse des lieux qui élabore les recettes.
Alix_du_vivier
Elle revint dépitée vers l'auberge, pas le moindre petit pour d'herbe sur ce fichu caillou, pour elle joute rimait avec campement et non avec auberge.
Un long soupire ponctua son arrivée dans la pièce.

Bien, je vais prendre une chambre alors si il en reste, s'il vous plait mère Poulard.

Elle rajouta.

une chambre et un bon verre de Calva.

il ne lui en fallait pas moins pour retrouver sa bonne humeur. Elle aperçut quelques têtes connues, qu'elle salua poliment.
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Do.....
Do attendant leurs clés, tout en discutant avec Keltica, fût surprise en entendant son nom, qui pouvait bien la connaitre en ces lieux, à part son Voyou, mais c'était une voix de femme, donc pas lui. Elle se retourna et vit Della, elle l'avait croisé quelquefois pour des votes au CDN mais rien de plus, sauf peut-être ailleurs mais sur l'instant elle n'en avait pas souvenir, étant donné que cette Dame habitait en Normandie, cela devait expliquer ce trou de mémoire pour Do'. Elle lui adressa un sourire ainsi qu'un salut de la tête.

Bien le Bonjour à vous Della. Merci pour la Bienvenue.

Un regard vers le Messire qui se tenait à ses côtés.

Non, je ne le connais point. Enchanté.

Puis Della enchaîna sur une autre question, fichtre c'est qu'elle papotait cette femme, un sourire et elle répondit donc à sa question.

Un voyage remplit de bosses, de trous , et long ...fatiguant même, je préfère largement les voyages à cheval où à pied, que d'être enfermé dans une chariote. Et vous, ce voyage ? Certes moins long que le nôtre étant donné que vous êtes de ce duché me semble-t-il.

Et elle attrapa les clés que lui tendait en même temps la dame de la réception.
Je vous remercie grandement pour les chambres l'une contre l'autre.

Se retournant de nouveau vers Della et son vassal, sourire aux lèvres.

Je vais vous enlever Keltica, nous allons regagner nos chambres, je dois lui poser plein de questions sur les joutes, étant donné que pendant le voyage, elle a dormi. Nous nous reverrons surement plus tard où aux joutes, bonnes chances à vous.

Un p'tit coup dans les cotes de la Do' de la part, ça s’était pour le passage sur son dodo du trajet, heureusement pour Do', elle n'avait pas signifier que keltica avait aussi ronfler mais avec élégance, sinon c’était un coup de pied au fondement qu'elle se serait pris a coup sûr, mais Do' adorait taquiner sa Keltica.
Allez Poulette, on y va !

Et d'attraper Keltica sous les bras et partir regagner leurs chambres, tranquillement en papotant des joutes, étant donné que Do' avait trouvé cette nouvelle activité fort plaisante et en plus elle était plus souvent avec Keltica.
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Mere.poulard


Elle commençait à souffler la Poulard, il y avait déjà moins de monde. Une grande jeune femme lui demanda une chambre et du calva, elle rajouta:

- Point de petit encas avec?

Elle se saisit d'une clé pour la chambre et la confia, de même, elle demanda un petit verre de calvados. La Mère Poulard n'appréciait guère la boisson, jugeant qu'elle était trop forte et qu'elle tuait les arômes de la nourriture.

- Voici pour le verre de calva Dame
Eunice.
Voilà des heures qu'elle avait contemplé cet ilôt rocailleux que les vents violents et furieux, venus tout droits de l'océan, frappait de manières incessantes. Et lui, dont la silhouette lui était apparu dans le lointain, s'était soudainement retrouvé à ses pieds, se dressant devant eux avec une majestueuse arrogance, dominant le paysage, à des lieues à la ronde.

Était ensuite venu le moment de s'aventurer dans sa grande rue, évoluant au sein d'une foule compacte. Tant de monde, qui, comme eux sans doute, affluait, attiré par l'organisation des joutes à venir.
Passant au devant des cabanes de bois, hébergeant tantôt commerçants, artisans et pêcheurs, la Rosenthals s'appliquait à ne pas perdre des yeux son compagnon de route, forçant la monture sur le dos de laquelle elle se trouvait juchée, à coller au plus près Vorobeï. Ainsi, durant de longues minutes, elle avait suivi le Cosaque sans rien dire, certaine qu'il les conduirait à l'exact endroit où ils devaient se rendre. Seuls, quelque fois, leurs regards s'étaient croisés dès lors qu'elle sentait sur elle ce coup d'oeil qu'il avait prit l'habitude de poser. Façon bien à lui de s'assurer que tout allait bien pour elle.

Et tout s'était à nouveau bien passé. Un sourire d'Eunice était d'ailleurs venu le confirmer à l'instant où Torvar s'était rapproché, l'aidant à remettre pied à terre. Un sourire parmi tant d'autres ; expression joyeuse retrouvée, qui longtemps, avait laissé place à de vilains traits, marqués par la morosité et l'épuisement. Personne d'autre que lui, en cet instant, n'aurait alors pu deviner le bien que cela lui procurait d'être là. Et dire qu'elle avait lutté, essayant de lui faire entendre que sa place n'était pas là, avec lui, mais plutôt auprès de ses neveux dont l'un était toujours souffrant. Quelle chance alors que l'homme qu'il était soit à ce point obstiné et, à force de persuasion, Eunice avait fini par céder, avec toutefois une condition : qu'Annchen, l'aînée des Rosenthals accepte de quitter Besançon pour rejoindre Friede restée auprès des enfants.

Ravie d'être là, et qui plus en bonne compagnie, la Rosenthals s'engouffra dans l'auberge, avançant aux côtés de Torvar et adressant quelques signes de têtes en guise de saluts courtois aux personnes déjà présentes sur les lieux. Laissant ensuite le Cosaque se charger de la réserve de leurs chambres futures, Eunice s'était pendant ce temps, dirigée vers la cheminée, cherchant à se réchauffer au coin du feu. Profitant de ce flot chaleureux qui se dégageait, emplissant agréablement la pièce, elle était restée figée là, attendant qu'on mette à leur disposition une chambre où loger. Puis subitement, une voix féminine avait interpellé sa curiosité. Tournée, dos au feu, elle avait observée cette femme venue de l'étage et qui semblait connaître chacune des personnes rassemblées dans la salle. Aussi, ce fut tout naturellement qu'elle s'éloigna de l'âtre pour aller reprendre sa place près de Torvar qui ne tarda pas à enchaîner les présentations. Un énième signe de tête, adressé particulièrement à Della s'en suivi, accompagné d'un sourire, preuve de son ravissement, et le tout accompagné de simples mots :


    -" Ravie de faire votre connaissance."

Bref échange de regards entre les deux femmes avant que la Dame de la Mirandole ne s'en aille vers d'autres conviés. A la voir, cette femme semblait être une hôte parfaite et soucieuse de l'accueil fait à ses invités.
Son regard s'en détournant, elle reposa les yeux sur le Cosaque avant qu'ils ne se fige sur les deux jeux de clefs qu'il avait désormais en sa possession, puis l'interpellant, elle attira son attention.


    -" Que diriez-vous d'aller voir ce à quoi ressemble nos chambres pendant que notre hôte fini d'accueillir ses invités ? J'aimerai pouvoir me rafraîchir un peu et passer d'autres vêtements que ceux que je porte actuellement. Voyez-vous, puisque j'accompagne un "Seigneur", il me faut être un minimum présentable. C'est que je n'voudrais pas faire mauvaise figure et encore moins vous faire honte. "
Della
Della aussi avait souri à Torvar alors qu'il tentait de mettre les titres dans le bon ordre. Elle appréciait le naturel de son vassal qui arrivait toujours à la faire sourire. Preuve en est.

Dame Eunice Rosenthals, je suis réjouie de faire votre connaissance. Assura-t-elle avant de revenir vers Torvar. Vous avez fort bien fait, Torvar, d'amener ici, cette dame. Et cette fois, à l'attention des deux : Je connais un médecin, en Orléans, la Baronne de Bréthencourt, dame Leanore. Elle a soigné mon fils, j'ai toute confiance en elle et comme elle fut Premier Médecin Royal, ses connaissances sont assurément très vastes. Peut-être pourrait-elle vous aider.

Della laissa Torvar et Eunice prendre congé, elle entretiendrait Torvar plus tard, à propos de ses attentes concernant Cheny. Ou elle lui écrirait, selon le déroulement des joutes...

Au compliment de Keltica, elle rosit un peu, se mordant la lèvre inférieure, à l'image d'une enfant.

Merci, Keltica. Vous semblez en forme également.
Les Bourguignonnes s'en allèrent à leur tour et Della prit le relai auprès de la cheminée, observant les allées et venues de l'auberge.
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