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[RP] Le Petit-Cîteaux

Verbam
Il se leva et s’inclina devant l’inquisiteur avant de prendre la parole

Je voudrais vous dire au préalable que je m’apprêtai a vous répondre lorsque vous avez passez la parole et finissais de demander au très haut que mes paroles soit comprissent.

Vous savez je n’apprécie pas spécialement ce mot poutrage, inventé par autre que moi; mais disons entré dans le langage courant.
Quand a sa définition pour moi, c’est le fait d’occire un ennemi ou au moins le rendre inapte pour un certain temps a toutes actions dangereuses, ceci ne pouvant être fait que par une armée.

Mais je crois que la question de ce tribunal n’est point là, mais bien de savoir ou pas si ordre a été donné de verser le sang un dimanche et qui plus est celui de Pâques.


Il détacha sa ceinture, son épée restant au fourreau y était accroché il tendit au duc le tout des deux mains

Votre grâce vous et moi avons eu des différents politique, mais jamais que je sache lorsqu’il s’agit de défendre notre Bourgogne, j’y ai voué ma vie et vous le savez, j’ai été de tous les combats contre les hérétiques et les malfaisants, si ce jour vous ne me considérez pas plus qu’eux, prenez cette épée est infligez la sentence que mérite les suppôts du sans nom.

Un instant il s’arrêta, baissa la tête accablé puis la releva pour continuer

Je n’ai rien a ajouter a ce tragique dimanche, si ce n’est que dans mon esprit l’action devait être exécuté le lundi matin et non dans la nuit du dimanche, je le jure sur la médaille de mon baptême.
J’ai peché par ignorance et non par intention et de cela je suis prêt a faire pénitence.

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Asdrubaelvect
L'inquisiteur écouta avec attention les paroles de l'ancien Duc. Puis lui répondit.

A titre personnel, je n'ai jamais ni ici ni ailleurs mis votre dévouement pour la Bourgogne en doute. Nos différents personnels sont issus de considérations autres que celle-ci. Mais cela n'a rien à voir avec ce Tribunal d'Exception où je suis défenseur de l'Eglise, et non point de moi-même.

Mais il serait bon que vous sachiez, ainsi que toute la Bourgogne par là même, qu'en tuant des hérétiques sans aucune considération pour les Saintes Trêves et pour les Vertus, on s'abaisse au niveau de ceux que l'on a juré de combattre.
Cependant, ce jour de la Trêve Pascale, il n'a été relevé le nom d'aucun hérétique tué, c'est donc encore plus grave puisque vous avez ordonné de répandre le sang d'Enfants de Dieu le jour commémorant la dernière apparition d'Oane -le premier guide- aux hommes.


Il secoua un peu la tête.

Et éloignez cette épée, mettez-la à terre, dans le tribunal d'Eglise, seuls les mots comptent.
Lorsque nous avons mené nos investigations avec SE Ingeburge, vos mots ont été tout ce qu'il a de plus désagréable et défiants à l'égard de clercs et par là même de l'Eglise. Je note que vos mots en cet instant sont des plus respectueux, et cela atténue la première impression que vous nous aviez donnée.

Toutefois, nous avons besoin de réponses à la manière de messire Snell qui a avoué être l'ultime maillon et qu'il aurait dû refuser, nous souhaitons vous entendre dire devant l'Eternel et les Hommes que vous avez ordonné l'attaque de toute personne, innocente ou ennemie, hérétique ou pieuse, le jour de la Trêve Pascale qui se trouvait même être un Dimanche.

Et bien que je puisses comprendre que vous ne connaissiez point la Trêve Pascale, et j'espère que vous ferez le nécessaire auprès de votre évêque pour être éduqué selon les Saints Principes, j'ai bien du mal à croire que vous ne connaissiez point la Trêve Dominicale...


L'Inquisiteur regardait à présent Verbam, cherchant la Vérité sur les expressions de son visage.
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Olivier1er
Grmmblblblembkb...

Gromelait le Seigneur de Sermage dans l'assistance depuis le debut du proces, puis s'adressant à voix basse à son voisin immediat.

Certes, qu'il y ait une treve pascale une fois par an, peut encore aller, mais la treve dominicale... Si le Duc Asdrubaelvect à peur de se battre qu'il entre dans les ordres et que l'Eglise laisse aux hommes de courage la responsabilité d'assurer la securité ici bas afin que les hommes d'Eglises puissent diffuser le vrai foi Aristotélicienne.

Treve Pascale, Treve Dominicale et puis quoi encore, les clefs de nos villes aux pouilleux, Aux Brigands, et les clefs de nos eglises aux Heretiques aussi ?

Ah ! Elle est belle la sainte inquisition, j'ai connu des couards plus courageux, heureusement que le tres haut est derriere lui pour le proteger. C'est facile d'accuser, de reprocher quand on ne fait rien si ce n'est prier pour les ames des pauvres victimes...

Mais Ici bas, il n'y a que des gens courageux comme Le Vicomte ou comme Snell qui protegent les Honnetes Bourguignons. Visiblement l'église par la Sainte Inquisition est pour laisser faire les criminels - ou alors il faut qu'ils prennent rendez vous : Du lundi au samedi et pas pendant les heures de messes. pfff !

Il ne faut pas qu'il oublie que les hérétiques et les brigands n'ont que faire des treves Pascales et Dominicales.

[/b]
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Verbam
Votre grâce, je ne peux laisser dire qu’ordre était donner de tuer sauvagement et n’importe comment c’est faux.
J’en veux pour preuve que cette même nuit, entraient a Nevers plusieurs personnes, dont son altesse Armoria accompagné de messire Eusaias, mais aussi sa grâce le duc de Corbigny, celle qui deviendra son épouse accompagné d’un certain Idefix.
D’autres encore, j’ai si vous le souhaitez copie de ces évènements dans ma sacoche.

Je vous le répète, il n’y eu pas d’autres intentions que de sortir de Nevers et de la Bourgogne la vermine qui y grouillait, comme tout bon Bourguignon l’aurait fait.
J’ai cru agir le lundi, vous me dite que ce fut le dimanche, alors j’ai peché!
Je reconnais bien mal comprendre cette trêve et ne demande qu’a mieux en être informé afin de moi même la faire connaître.

Je n’attends plus maintenant que votre verdict.

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Asdrubaelvect
Le Duc secoua un peu la tête.

Et bien, hélas messire Erik ne peut point être présent ici et en ce moment...
Toutefois, il nous a fait parvenir une lettre lors de l'ouverture de l'enquête, que je vous lis à présent.


Citation:
Aux Sacrés Membres de la Sainte Inquisition, le Bonjour du jour ;

Au Sans Nom qui ne manque jamais une occasion de se faire remarquer, surtout sous la Lune, s'il me lit, qu'il aille se faire voir chez les succubes ! De toute la force de ma Foi en Aristote et en Christos, je le maudis, pour les siecles des siecles, lui et son infecte engeance, amen !

L'actuelle missive a pour tache de confirmer témoignage d'un fait insupportable qui est advenu en la Province communément nommée "la Fille Ainée de l'Eglise", j'entends par là, votre fidèle Bourgogne.

Adoncques, étant bien innocemment en chemin entre Autun, ma bonne ville, et Nevers la Fiere, accompagné sur ce chemin d'une Dame -Damoiselle Fitzounette de Dénéré-Penthièvre pour etre précis. Ma promise. Vos Eminences inquisitrices sont évidemment les bienvenues à nos futures épousailles. Mais je m'égare- à laquelle je faisais visiter mon Duché, quelle ne fut notre horreur de découvrir du sang et des membres éparpillés de tous cotés, sur les pavés, dans les fossés, partout autour, tandis que nous arrivions enfin au bout de notre route !

Messer le Capitaine Snell -qui, je me permets de le préciser, est mon Vassal- s'était entretenu avec moi la veille sur les ordres qu'il avait reçu de son Duc, sieur Verbam le fol, ordre ne souffrant d'aucune remise en cause d'aucune sorte.

Je ne cherche point là à dédouaner mon cher vassal mais je puis assurer à vos Eminence que le poids de son acte lui vrille les sangs depuis lors. Je sais aussi une chose, assurement, c'est que je ne pourrai probablement point vous bailler ce courrier si ce n'avait été lui le bras exterminateur et malfaisant d'un Duc ayant, je le crains, été soumis aux forces de la Bête...

Je me souviens, comme si c'etait hier que l'homme dont vient exactement d'être précédement question lui avait spécifié que, vos Eminences me pardonneront de citer de mémoire : "Et Corbigny, s'il se rend à Nevers, et s'il est avec la Dénéré, tant pis pour lui, il est mort..."

Cet ordre invraissemblable, mon vassal eu ce sursaut de sagesse de ne point le suivre même si d'autres que moi ni que ma mie ne purent en bénéficier...

Je n'ai nullement pour intention -qui serais-je pour seulement l'oser ?- de détourner vos honorables regards envers ce qui demeure, malgré tout, une faute. Mais je puis aussi ajouter que le Snell que j'ai connu avant cette nuit d'abomination a disparu corps et bien en un esprit d'auto-flagellation à rendre jaloux un capucin.

En revanche, de regrets de la part du Duc d'alors, point ! Pire ! Le même homme, enfourché par les griffes de son délire, sans doute, adressa à lui-même et à la face du monde une maniere de satesficit quelques temps plus tard, n'hésitant point à qualifier cette opération de franc succès...

Pardonnez-moi, Vos Celestes Eminences, mais ma plume hésite à poursuivre le cours de ce palimpseste tant l'évocation de cette nuit pourtant Sacro-Sainte du Jour de l'Asymptote Pascale et Cruciforme me tournevisse jusqu'au plus profond de mon âme.

... Une veille de Pâques... Aujourd'hui encore, je ne parviens point à comprendre...

Aussi, je venais me présenter à Vos Inquisitoriales Sapiences afin qu'elle sache que je me tenais à leurs dispositions quand bon il leur plaira si par évidence elles souhaitaient s'esbaudir de mon témoignage direct.

Que la Paix de Christos soit toujours avec vous et avec vos Esprits,

Votre humble et dévoué serviteur,

Erik de Josseliniere,
Duc de Corbigny,
Pair de France.


L'inquisiteur tendit alors la lettre à qui voulait la voir.

La manœuvre a t-elle donc raté ? Ou pouvez-vous affirmer que messire Erik ne dit point la vérité ?

Quoiqu'il en soit, nous avons eu le rapport des personnes tuées. "Charner, Lacienda, Lounna" étaient-ils des brigands ou des hérétiques ?

Je ne souhaite point par là prouver que s'ils avaient été des brigands ou des hérétiques, cela aurait été légal, mais juste pour connaître la qualification que vous donnez à ces personnes.

Quant à la date, vous avez donné l'ordre le dimanche pour exécution immédiate... Pensez-vous que l'armée allait agir le lundi ? Le rapport des victimes vous a été rapporté le lundi matin, car elle ne pouvait l'être avant.

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Ingeburge
Asdrubaelvect était presque parfait. Presque la perfection relevait du seul domaine du Très-Haut.
Mais c'était indéniable, la vêture d'inquisiteur était faite pour le Duc d'Amboise, elle ne le gênait point aux entournures, elle n'était point trop grande non plus.

Et le procès donc suivait son cours, mené de main de maître. Tout ce qui était dit, elle l'avait déjà entendu, elle avait participé à l'instruction. Elle suivait donc distraitement les échanges, s'attardant plus sur les intonations et les attitudes. Voir au-delà des mots qui mentait, qui prenait des arrangements avec sa conscience, qui n'hésitait pas à piétiner les faits pour mieux s'en sortir, voir qui était honnête, percevoir la sincérité, les certitudes.

Des murmures lui parvinrent comme ils parvinrent aux oreilles des moines qui l'entourait. Tous, comme un seul homme, se retournèrent vers l'indélicat osant troubler l'audience par des chuchotis déplacés.
Ingeburge reconnut le seigneur de Sermages et lui jeta un regard loin d'être équivoque. Avait-il donc oublié où il se trouvait?

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Asdrubaelvect
Le jeu du vicomte commençait à énerver sensiblement l'inquisiteur, aussi, avec fermeté mais sans lever la voix, il rappela.

Messire Verbam, votre silence vous dessert, toujours.
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Verbam
Pardonnez moi votre grâce, je ne savais pas si je devais répondre ou si cela était réflexions personnel.
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Ingeburge
Ingeburge en entendant Verbam aurait pu en tomber de son banc tant ce qui venait d'être dit était surprenant. Elle jeta un regard entendu à ses frères, tout ceci était décidément grotesque. Mais elle n'était pas une seule seconde étonnée, elle se souvenait des interrogatoires et de la patience infinie qu'Asdrubaelvect et elle avaient dû déployer face au fautif et à son comportement pour le moins...

Décidément grotesque.

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Verbam
Quand une armée illégale se trouve en construction devant une ville, que la même ville est infestée de brigands et autres créatures du sans nom et qu’après une opération la dite armée n’existe plus et quelques jours après les malfaisants ont quitter notre sol, bien qu’usant de bien bas moyens, je considère en effet que l’action a réussi.
mais bref, je ne pense pas que le but de ce tribunal soit de parler de résultat militaire.

Pour ce qui est des victimes, seul le très haut connaît leurs ames, pas moi!
brigand, hérétiques ou pas, je ne sais pas, par contre hors la loi oui, ils ont enfreints l’état de siège de Nevers et savaient ce qu’ils risquaient, je les qualifie donc de victimes collatérales comme toujours dans ces conditions.

Pour la date, je l’ai dis et le repaître très sincèrement, pour moi l’exécution de l’ordre devait être le lundi matin et non le dimanche.
J’ai donc peché par ignorance et le confesse une fois de plus.

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Asdrubaelvect
Le Duc secoua la tête.

Je le répète, vous moquez de la Justice d'Eglise est une manœuvre très périlleuse et risquée. Je ne suis point ici pour me parler à moi-même...

Vous qualifiez victimes de dommages collatérales, mais lorsque les seules personnes qui ont à craindre l'assaut d'une armée sont des personnes innocentes et qui n'étaient pas visées, je n'appelle pas cela des dommages collatéraux, mais bien une volonté manifeste de faire couler le sang.

Et pour appuyer cela, vous ne répondez absolument pas aux accusations de messire Erikdejosselinière citées par moi-même dans la lettre adressée de la Sainte Inquisition.

Et vous considérez le fait que ces brigands qui ont, malgré la mort de toute personne sortant de Nevers, réussi à sortir et même à enlever deux nobles bourguignons, qui sont revenus deux mois plus tard pour semer la mort en Bourgogne en compagnie d'hérétiques. Vous considérez cela comme une action réussie ?
J'avoue que je me pose de plus en plus de questions sur l'intérêt que vous avez eu à ne faire couler le sang que le jour de la trêve pascale...

Enfin, quoiqu'il en soit, répondez aux dernières questions. L'audience sera bientôt levée.

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Ingeburge
N'aurait été la voix puissante et ferme du Duc d'Amboise, Ingeburge se serait déjà endormie tant l'attente était longue entre les question de l'Inquisiteur et les réponses de Verbam. Et quand ces dernières finissaient finalement par arriver, c'était soit pour ne rien dire, soit pour parler en dehors de ce qui était demandé.

Lassant, c'était tout simplement lassant et Ingeburge était soudain bien heureuse de ne pas avoir à présider ce procès. Elle avait été déçue de ne pouvoir le faire, ayant participé à l'instruction... mais là, non, aucun regret, pas le moindre car elle se connaissait, elle n'aurait pu s'empêcher d'envoyer des piques bien senties!

Ingeburge serra plus fermement son chapelet, il ne fallait pas qu'elle s'énerve, cela était de toute façon inutile. Mais en verraient-ils jamais le bout? Elle avait l'impression d'être là depuis des lustres et en avait franchement assez.
Un regard en coin à ses compagnons fit qu'elle se gourmanda quelque peu, les moines eux, restaient sereins et imperturbables. Elle avait encore beaucoup à apprendre d'eux.

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Verbam
Verbam était fatigué, il ne savais plus quels mots utiliser pour être compris, on tournait en rond.

Encore une fois, les quatre victimes bravaient la loi elles en ont subit les conséquences.
Et encore une fois aussi, ordre n’était pas de tuer tout ce qui bouge aveuglément, ils y avait des autorisations.


Il chercha un document dans sa sacoche qu’il tendit a l’inquisiteur

Citation:
13/4 : Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Kiberen, l'armée "Brigade du Borgne" dirigée par Snell, un groupe composé de FitzounettedeIdefix et de Erikdejosseliniere, Charner, Francois_joseph, un groupe composé de Ripouf et de Lounna, un groupe composé de Armoria et de Eusaias, et Lacienda.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "Brigade du Borgne" dirigée par Snell.


Voici une copie de mes notes prisent cette nuit là.
Comme vous pouvez le constater certaine personnes sont passés d’autre pas.

Répondre aux accusations du duc de Corbigny, c’est encore et toujours là même avoir fait couler le sang ce dimanche de pâque et je m’en suis expliqué.
Je crains tout de même que sa grâce est fait un détour je ne sais où avant son arrivée a Nevers, en lisant ceci


Citation:
quelle ne fut notre horreur de découvrir du sang et des membres éparpillés de tous cotés, sur les pavés, dans les fossés, partout autour, tandis que nous arrivions enfin au bout de notre route


A le lire on se croirait sur un immense champ de bataille tout ça avec quatre victimes.
Il semble aussi m’accuser d’avoir voulu l’assassiner, or vous voyez sur le document que je viens de vous transmettre que ceci n’est point vrai, il est entré a Nevers avec sa future épouse et un ami sans la moindre égratignure comme il en sortira de même quelques jours plus tard.
Je tiens a faire remarquer aussi que la missive du duc de Corbigny n’est point daté, ce qui laisse donc planer des doutes sur le moment de sa rédaction et son intention.

Oui je continu a considérer qu’ avoir réussi a neutraliser la construction de l’armée illégale et fait prendre la fuite a ses indésirables est une action réussi, bien sur si nous avions pu en passer quelques un par l’épée cela aurait été encore mieux et ’d’opération ou action réussi j’aurai parlé de belle et noble victoire.

Vous avez évoquez votre grâce la façon dont ils se sont enfuis, tout simplement lâchement, sans honneur en prenant en otage son altesse Armoria et le duc de Corbigny ils savaient très bien qu’ils avaient là un billet de sortie.
Si donc ils sont sorti sans combats, vous savez pourquoi, nous ne pouvions mettre en danger la vie de son altesse et du duc, après c ‘être vu refuser un combat entre homme d’honneur par un homme qui pourtant se prétend seigneur Angevin, le Général Snell, ne pu que regarder partir son altesse aux mains du ravisseur, il fut atteint profondément et quelques jours plus tard il n’avait comme tous d’autre choix que de les laisser sortir.

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Asdrubaelvect
Le Duc écoutait toujours attentivement, sa patience avait été mis à rude épreuve, mais il demeurait grave et sérieux. L'objectif de la Justice d'Eglise n'était-il pas le pardon ?

J'ai bien entendu vos réponses et elles me conviennent mis à part celle concernant la volonté de tuer même le Duc Erik.
Il a bel et bien expliqué dans sa lettre qu'il avait pu passer pour la simple et bonne raison que le Général Snell a refusé de l'attaquer. Ainsi donc s'il y a eu refus, c'est qu'il y a eu ordre, n'est-ce pas ?

Enfin soit, vous vous défendez qu'il n'y en a point eu, j'entends bien cela.


L'inquisiteur fit quelques pas autour de son bureau, cherchant un point à éclaircir s'il y en avait un. Il ne trouva point.

Et bien... messire Verbam, avez-vous quelque chose à ajouter ?
Quelqu'un dans la salle souhaite t-il prendre la parole par devant le Tribunal d'Eglise ?

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Verbam
Le vicomte n’avait plus rien a dire, ses traits étaient tirés il lui tardait d’en finir de ce procès qu’il comprenait pas bien.

Je n’ai rien a ajouter votre grâce, si ce n’est des excuses a ceux que j’ai pu irriter par mon comportement, mais jamais je n’avais eu a faire a la justice des hommes ou de l’église, là aussi j’ai un manque de connaissances.

il s'inclina pour saluer le duc et retourna a sa place
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