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[RP] Lapin Cauvissonnais & félin Boissiérois

Jenifaelr
Elle hocha la tête. Ravie. Aucune négociation, parfait !

"- Pour les produits d'imprimerie. Suivez-moi. "

Elle lui fit signe de la suivre et monta à l'étage, montrant la salle de réception et de bal, qui était ... sombre et visiblement inutilisé, puis ensuite montant de nouveau un étage, ils arrivèrent à l'imposante bibliothèque qui servait aussi de bureau à la jeune femme. Là se trouver son courrier, ses livres, son sceau, la cire, les plumes, l'encre et dans un coin, une porte menant à la tour la plus proche qui contenait la volière.

"- Ces livres on étaient soit imprimés dans l'une de nos imprimeries, soit crée et relier là bas vierge. "

Le procéder typographique un révolution ! Elle termina.

"- Certains livres sont écrit par ma famille, certains sont des livres de comptes, d'informations, il y à quelques légendes aussi et des histoires fantastiques. "

Autant dire qu'il y en avait pour une fortune. Il y avait même dans le lot une copie du livre des vertues.
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Floscel
Floscel suivit Jenifaël sans rechigner. On aurait même pu dire qu'il la suivait bien volontiers. Il pris sa suite dans les escaliers et les gravit le sourire aux lèvres. Le premier étage dénotait d'une certaine absence de vie sur les lieux, du moins récemment. Le deuxième étage livra ses secrets. Floscel ouvrit de grands yeux ébahis, de ceux qu'un enfant pourraient offrir dans une échoppe de jouets en bois ou de poupées. Il commença à regarder les étagères bondées et se saisit d'un livre au hasard.

C'est vraiment merveilleux, magnifique.


Il passa la main sur la croûte de cuir puis ouvrit l'ouvrage dont il feuilleta lentement le contenu.

Du très bel ouvrage. Combien pour quelques exemplaires?
Jenifaelr
La belle annonça :

"- Tout dépend ce que vous désirez. Des livres vierges? Du papier? Des livres imprimer? Quels type? Pour l'éducation, ou des histoires? Le prix dépend de l'ouvrage. "

Elle ajouta, sortant une bouteille de vin rouge, de derrière le bureau, ainsi qu'un verre qu'elle remplit de vin.

"- Alors? Une idée? "

Elle bu un peu du breuvage, alcoolique à ses heures perdue, elle l'adore.
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Floscel
Floscel prit quelques secondes pour réfléchir. Il se demanda ce qui pourrait bien se vendre en Normandie. Il pensa que tout ceci pourrait lui revenir à cher et il avait encore bien des négociations à entreprendre par la suite. Il soupira un instant puis soupesa l'ouvrage comme pour en définir une certaine valeur. En fait, le geste était surtout l'expression de sa concentration.

Des livres vierges pour commencer. Si vous en avez dans plusieurs finitions, plus ou moins riches, je vous en prends ... Disons ... Une dizaine de chaque.

Le brun regarda alors la jeune femme se servir du vin et s'approcha d'elle lentement. Il se saisit de son verre. Il en but une gorgée sans la lâcher du regard puis lui rendit son bien.

Délicieux.
Jenifaelr
Jenifael fût surprise qu'il prenne son vin, mais ne dit rien. Pour cette fois-ci, le client était roi.

"- Pour une dizaine de livre vierge comme ceux-ci. "

Elle montra un bouquin de taille moyenne, en couverture de cuire de qualité et lettre d'or.

"- 25 écus par livres. "

Puis elle continua :

"- Si les lettres sont autrement et le cuire de moins bonne qualité, se sera 15 écus. "

Il avait les prix, elle lui laissa le verre dans la main.
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Floscel
Il profita qu'il avait toujours le verre en main pour en boire une nouvelle gorgée avant de le poser là où il y avait de la place. Il regarda à nouveau l'ouvrage. Loin d'être un expert, il savait tout de même constater de la qualité ou non de quelque chose. Il regarda Jenifaël et se résigna. Il ne pourra marchander avec elle. C'était au-dessus de ses forces.

Deux cent cinquante et cent cinquante qui nous font donc quatre cent pour dix de chaque ... Et bien, vous faites de bonnes affaires aujourd'hui on dirait.

Floscel adressa un léger sourire à son interlocutrice. Intérieurement, il se maudissait. Pourquoi se serait-il damner pour elle?

Et maintenant? Que faisons-nous?
Jenifaelr
Elle sourit.

"- Maintenant, eh bien, signons le contrat. Non? "

Sourire charmeur de la Dame de Boissières, qui ne s'imagine pas finir par plus avec cet homme. Elle s'installe au bureau, pour écrire le contrait. Indiquant leurs prénoms et titres respectif, les choses acheter et les prix payés, mais également le lieu et les engagements de chacun. Elle coula la cire, et apposa son sceau après avoir signé : " Jenifael Lisbeth VdR-C " puis retourna la feuille vers lui.

"- Voilà. Vous voyez, pour la suite ce que vous souhaitez faire."
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Aimelina
Un coursier se présenta à Boissières, et déposa un pli à un servant, qui serait remis... Quand il le faudrait. Genre pas quand la dame est occupée, si le servant est consciencieux, ou précisément quand elle est occupé, s'il craint qu'ensuite elle ne lui filât entre les doigts.

Citation:
D'Aimelina de Sìarr, Vicomtesse des Fenouillèdes, Baronne de Saint-Félix,

À Jenifael Vitalis da Roma, Dame de Boissières,

Salut.

Je crois que vous vous occupez des affaires de la Vicomté de Cauvisson, et faites le commerce de ses produits, et produisez à Boissières des ouvrages reliés. J'aurais besoin d'un livre terrier neuf, relié, pour reprendre à neuf l'inventaire et les comptes de ma vicomté de Fenouillet. Le livre doit être au moins haut comme une main d'homme est large, et long comme un avant-bras, avec couverture d'un cuir robuste, pour soutenir tant de papier (ou parchemin, qu'utilisez-vous ?).

Je voudrais savoir itou si vous êtes intéressée par l'achat de salicorne vinaigrée ? C'est un produit qui pousse fort bien dans les marais de Saint-Félix et qui égaie toutes les tables ; il se consomme fort bien dès que l'on a faim, accompagnant pain, fromage ou olives. Si vous le connaissez, vous savez de quoi je parle ; si vous ne le connaissez pas, je suis certaine que vous serez conquise.

Pensez-vous que nous pourrons faire affaire ?

Bien à vous,

A d S

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JOU-A-BI-LI-TÉ
Jenifaelr
L'intendante de Boissières reçu un courrier le 25 mai. Alors qu'elle était en train de manger, elle fit les gros yeux à Rosalie, qui lui apporta, lui expliquant en italien, qu'il s'agissait d'une lettre venu d'une inconnue, livré par un domestique. Elle soupira le pauvre homme avait suivit l'italienne sans comprendre un seul mot de ses paroles. Il indiqua à la Dame de Boissières de qui venait la lettre.
La blonde vénitienne s'empressa d'essuyer ses doigts après un regard sévère aux petites, pour lire la lettre. Elle soupira une nouvelle fois. Que de soupire !

Elle fit signe à l'homme de la suivre, et alla dans son cabinet de travail, où elle rédigea une réponse, après avoir noté sur une feuille la commande, qu'elle ferait passer à l'imprimerie de l'Encre Rouge qu'elle avait fait construire à Boissières.




De moi, Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma-Corleone, Dame de Boissières, Intendante de Cauvisson,
A vous, Aimelina de Sìarr, Vicomtesse des Fenouillèdes, Baronne de Saint-Félix,

Salut à vous,

Effectivement, je produit à Boissières des ouvrages relié, vierge ou imprimé, grâce au procédé typographique importé de Florence.
J'ai pris note de votre commande, que j'irais porté dès la fin de mon repas à l'imprimerie de l'Encre Rouge. Le cuire sera sélectionner comme vous le voulez, voulez-vous une inscription sur le livre, pour indiquer à quoi il sert?
Nous utilisons du papier généralement, mais si vous préférez nous pouvons utiliser du parchemin, tout dépendra votre préférence.

Pour ce qui est de la Salicorne vinaigrée, je n'est jamais goûtée et suis amatrice de nouveau goût, alors j'accepte de vous en achetez. Comment le vendez-vous? Sous quelle quantité? Et surtout, à quel prix?
Je suis désormais impatiente de goûter se met dont vous me vanter les mérites, avec un excellent fromage d'Italie ou encore quelques olives gorgée de soleil.

Je pense que nous pouvons effectivement faire affaire.

Bien à vous également,

Jenifael Lisbeth VdR-C



Elle scella la lettre de blanc. Il la cire blanche était unique, pour elle, mais la lettre n'était ni très privé, ni très officiel, ni intemporel. Et puis la belle aimer sa cire blanche si particulière !
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Aimelina
La vicomtesse infirme n'avait d'abord pas répondu, ayant besoin de s'entretenir avec l'intendant de Vinassan. Et puis ensuite, elle avait laissé courir, parce qu'elle avait eu d'autres choses à faire. Organiser son mariage, par exemple. Oui, oui, ça prend du temps.

En fin de compte, pourtant, alors qu'elle faisait la route entre Saint-Félix, près Narbonne, et Uzès, elle passa par la Vaunage. Prévoyant l'arrêt, elle avait pris soin d'emporter de la salicorne. Elle alla à Boissières, quoiqu'ignorant si c'était là que résidait l'intendante de Cauvisson, ou si c'était au château de Nogaret. Mais les gens, c'est connu, préfèrent vivre chez eux, quand ils le peuvent...

Arrivée en coche, elle attrapa un quelconque bonhomme de maison.


Faites dire à la dame, si elle est là, que la Vicomtesse des Fenouillèdes veut la voir.
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JOU-A-BI-LI-TÉ
Jenifaelr
Eh voilà. Le bonhomme de maison était allé prévenir Rosalie dans son Oc. Rosalie répéta la chose dans son italien, à sa maîtresse. Heureusement qu'il y avait trèèès peu de personnel à Boissières - c'est que ça coûte ! Pff -.

"- SIGNOOORRAAAAAAAA ! "

Jenifael, qui venait de s'accorder une sieste, après une séance de pleure - Son potentiel fiancé était en retraite et il lui manquait, elle se voyait déjà surnommer la " Veuve noir " ... - se réveilla, enfin ouvrit les yeux, grognon. Bouche pâteuse donc, elle demanda :

"- Mh? Quoi? "

La politesse? Pourquoi faire?

"- Viscontessa Fenouillèdes di entrata * "

Soupire désespérée, l'intendante en robe rouge sang, observe son image dans le miroir. Ses cheveux étaient assez en ordre à son goût. Elle posa la longue tresse épis de blé sur son épaule, puis descendit jusqu'à l'intérieure de la cours. Elle vit celle avec qui elle avait eu une petite correspondance, s'inclina.

"- Bonjour Vicomtesse. Je suis Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma, la dame de Boissières en Vaunage et intendante de Cauvisson, puis-je faire quelque chose pour vous? "

Bien sûr qu'elle pouvait, sinon elle ne serait pas là ! Té ! - comme dirait le gras du bide de Jurgen -. Elle venait de parler d'un trait, mais elle avait plus de souffle qu'on ne l'imaginais, même si on s'imaginait souvent très bien, au vu des ... poumons de la Vitalis, qui n'étaient pas les plus discret qui soit, à son grand regret.

viscontessa di entrata Fenouillèdes* = La vicomtesse de Fenouillèdes à l'entrée.
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Aimelina
Ah, adissiatz, dòna de Boissières!

L'infirme voyageait sans cape, car le temps occitan était chaudement bercé par le cers, ce vent d'ouest qui fait mûrir les amandiers. Son bras gauche était à vue de tous, dans d'amples manches déchiquetées, en lin fin. Lina suivait la mode bourguignonne à sa façon ; il ne gardait que les idées les plus farfelues, et oubliait la pudeur.
Sa difformité, des doigts comme jaillissant d'un ersatz de paume, sur son coude, était à vue de tous. Si en Vaunage, chez son amie, elle ne pouvait la montrer sans honte, où pourrait-elle ? Elle saurait bien gronder Jehanne si sa vassale se montrait désobligeante...


Je suis Aimelina de Sìarr, je vous ai écrit à propos d'un nouveau livre terrier que je voulais acquérir. Mais dites-moi, vous faites bien de la reliure ? Car je n'ai rien à imprimer dessus, sinon la page de garde, si c'est nécessaire.

Elle sourit. Ce n'était que la fin du printemps, mais elle avait déjà une peau tanée. Elle avait toujours eu cette peau olivâtre, elle tenait cela de sa grand-mère, Carmen, bien davantage que de sa rousse mère.

Je vous ai aussi apporté de la salicorne et des fromages de brebis du massif de la Clape. Mais je gage que pour le fromage, vous avez aussi de quoi... Qui n'a pas de brebis sur ses terres !

Le bétail le plus courant, a fortiori dans la garrigue. Sans coton ni lycra, avec quoi s'habille-t-on, en ce temps, sinon la laine et la peau ?
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JOU-A-BI-LI-TÉ
Jenifaelr
La jeune femme ne put s'empêcher de poser un œil sur la difformité, sans en dire un mot. Elle hoche la tête à l'attention de la vicomtesse et lui indiqua :

"- Nous faisons de l'imprimerie et de la reliure. Peut-être ... cela vous plairait-il de visiter l'imprimerie de l'Encre rouge, qui se trouve au village? Vous pourriez voir le procéder typographique que nous utilisons. "

Pour la jeune femme, voir les centaines de petits caractères mobile de plomb s'aligner sur les lignes qui former ensuite les pages étaient une chose fascinante, alors pourquoi pas pour celle-ci aussi?

"- Je vous remercie pour la salicorne et les fromages, signora de Fenouillèdes. "

Sourire de la féline blonde, le teint halé de la jeune vicomtesse en face d'elle ne la déranger pas plus que ça. Elle n'avait pas le teint pâle non plus, sans être halé comme Aimelina, le teint de la Lisbeth était tout ce qu'il y à de plus commun. Une fois les remerciements, elle continua, sur les affaires :

"- J'ai lancer la production des feuilles à l'imprimerie, ainsi que de la couverture, mais il me manque toujours une information vicomtesse. Voulez-vous que la couverture possède une inscription, permettant de savoir à quoi correspond l'ouvrage."

La chose n'avait pas était préciser en faite. Quand au papier, les chiffonniers étaient allés hurler dans toute la Vaunage pour obtenir assez de chiffons. L'Encre rouge travailler donc sur l'ouvrage, avec soin. La tenue de la dame était à son image. Simple et élégante. Les manches étaient moulante, accentuant les formes de ses bras, alors que le reste du tissu tomber comme une petite corolle fleurit à ses pieds. Les broderies de fils d'or étaient discrètes et assez torturées, courant de façon aléatoire sur le tissu.
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Aimelina
La Linèta hocha la tête :

Je visiterai volontiers, oui. Quand je serai un peu reposée.

Pour une visiteuse qui arrivait, en été, par la route, elle espérait quelque collation, mais il faudrait sans doute attendre un peu. C'était l'occasion d'y faire allusion...

Je vous laisserai me dire si la salicorne vous plaît. Nous en produisons en quantités dans la Clape. Cela alimente certaines tavernes alentour, bien sûr, et quelques tables bourgeoises, mais je souhaiterais élargir la clientèle. C'est un produit qui mérite sa place sur de belles tables. Sous le règne de Béatrice de Castelmaure, nous étions fournisseurs royaux.

Et nous le serions encore si je n'avais eu la flemme de répondre, à l'époque, au Maître d'hôtel du roi. Tiens, pourquoi ne pas en toucher deux mots à Skip ? Il travaillait à l'office de la Bouche, après tout...

Sur le devant du livre terrier... Et bien, "Pagus Fenolietensis". Je peux vous l'écrire, si vous le voulez.
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JOU-A-BI-LI-TÉ
Jenifaelr
Elle hocha la tête, fit signe à la vicomtesse de continuer la conversation à l'intérieure. Elle mena celle-ci dans l'aile droite du petit château de Boissières, là se trouver la pièce la plus grande du bâtiment, la salle à manger. Ou plutôt la salle de réception. Enfin la salle quoi !

S"y trouver une longue table de bois sombre, des chaises - rien de très mirobolant, de quoi s’asseoir quoi ! - et quelques bancs aussi. Le décor était simple, la pièce était à cette période de la journée dans une certaine obscurité obtenue grâce aux tapisseries sur les fenêtres. Trois immenses tapisseries, visiblement neuve représentant des scènes de couple. Un jeune homme déclarant des vers à une belle dame, aux ondulations blonde vénitienne, la seconde il était coucher à ses pieds, sur la dernière, il donner son cœur à celle-ci. Les tapisseries avaient était acheter par la jeune femme, quelques semaines plus tôt aux galerie Lafayotte à Paris, chez Clarissima. Elles étaient belles et romantique et permettez à l'endroit d'être assez frais. Sombre oui, mais frais aussi. Des bougies étaient allumées du coup, pour offrir de la lumière. S'adressant à Rosalie, qui venait d'apparaître, elle demanda :


"- Apporte du fromage, du vin, des fruits et pourquoi pas, un peu d'eau pétillante. Ainsi notre invitée goûtera. "

Oui bon ok, on étaient là pour les livres, mais vous allez pas lui reprocher de faire la promo du vin et de l'eau de la Vaunage, quand même ! Si?
L'italienne brune aux yeux noisette apporta donc les choses demandées, Jenifael offrit à la vicomtesse de s’asseoir.

Il y avait de la salicorne porté par la brune vicomtesse.


"- Dit m'en plus sur cet aliment. Comment se déguste-il? Avoir quoi le mangeons-t-on et enfin que peut-on boire avec? "

Sa curiosité était éveillée, c'était le moment ou jamais de vendre réellement le produit. Le moment ou la blonde vénitienne serait totalement attentive et goûterais cela.

Puis l'italienne demanda à la vicomtesse :

"- che si vuole bere? *"

Jenifael traduit pour elle, ne sachant pas si elle parler l'italien.

"- Rosalie vous demande ce que vous souhaitez boire. "

Elle sourit. Etait présent sur la table du vin blanc. Celui de Vaunage.
Le rouge provençal, elle ne le servait pas, pas en Languedoc du moins, préférant le garder aussi pour elle.


[HRP :
che si vuole bere? * = Que voulez-vous boire]
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