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Château de Biron, en les terres du Vicomte BenDuguesclin

Don32
Monpazier... Cette terre vaillante et fière lui était échue... Don mesurait et l'honneur et la charge qui lui était donnée, plus encore maintenant.
Ce "Mont de la Paix" qui vérouille la route Sud venant de la Guyenne Agenaise, offrait ressources et défense au Comté, grandeur et prospérité aux terres de la Vicomté de Biron.
Réalisant avec émotion son anoblissement, Don vint s'agenouiller devant le Vicomte, ayant défourraillé son épée, la tendant à son désormais Suzerain ...

Messire Vicomte! Fort de l'honneur qu'il m'est fait ce soir et conscient de la responsabilité que Votre Seigneurie m'octroie, j'accepte la charge de défense et la responsabilité des terres dépendant de la seigneurie de Monpazier.
Je jure ici et dès ce moment Auxilium, Consilium et Obsequium à votre Seigneurie, déposant entre vos mains mon épée, je me fais votre homme-lige.


Relevant alors la tête, Don fixa le Vicomte dans les yeux scellant par là son serment, qui s'il était fait dans l'intimité, n'en était pas moins un engagement total pour lui...
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Louanne1000
Louanne etait tout sourire quand à l annonce faite pour l octroi du fief de Monpazier elle etait fière qu il échut à un être tel que Don quand elle entendit la suite du discourt de leur hôte ne comprit pas de suite le sens de sa phrase dite à Ludo quand les mots reussirent à pénétrer son esprit elle agrandit les yeux sous l effet de surprise et quelle surprise! sa seigneurie lui avait dans sa bonté octroyé aussi un fief elle en perdit un instant la parole(c est peu dire) elle vit Don s agenouiller et présenter son épée et se demandait si elle devait faire de même
Elle se dit quelle ne devait pas déroger aux coutumes et us qui certainement n avait plus de secret pour Don elle défourailla donc son épée mit un genou au sol la tendit à sa seigneurie désormais suzerain et répéta la phrase entendue précédament

Messire Vicomte! Forte de l'honneur qu'il m'est fait ce soir et consciente de la responsabilité que Votre Seigneurie m'octroie, j'accepte la charge de défense et la responsabilité des terres dépendant de la seigneurie de Montaut
Je jure ici et dès ce moment Auxilium, Consilium et Obsequium à votre Seigneurie, déposant entre vos mains mon épée je me fait forte de vous etre entièrement dévouée qu Aristote m assiste dans cette noble tâche


Elle se tint raide comme la justice pouvait l'etre et attendit avec angoisse espérant ne pas avoir fait d impair
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Ludodebordeaux
Ludo ne fut pas surpris outre mesure que la terre de Montpazier soit octroyé à Don il méritait amplement cette honneur , il était certains qu'il servirait le vicomte avec la même loyauté et le même dévouement qu'il avait pour le comté.

Il ne fut donc pas déçu que le fief ne lui fut pas octroyé mais la suite du discours du Vicomte le transporta de joie , un immense sourire illumina son visage .Quelle merveilleuse surprise que leur hôte leur avait réservé , les terres de Montaut lui aurait était octroyé qu' il n'en aurait pas était plus heureux.

C'est avec une grande émotion qu'il regarda Lou et Don prêter serment d'allégeance.
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Benduguesclin
BenDuguesclin savait que cette petite cérémonie improvisée n'avait pas de valeur auprès de l'Hérauderie. Toutefois, devant l'enthousiasme de ces nouveaux vassaux, il se prêta au jeu avec solennité.

Relevez-vous !

Don, seigneur de Monpazier,
Je te jure d'assurer mes devoirs de suzerain, à savoir protection, justice et subsistance envers toi, les tiens et tes terres de Montpazier.

Louanne, Dame de Montaut,
Je vous jure d'assurer mes devoirs de suzerain, à savoir protection, justice et subsistance envers toi, les tiens et tes terres de Montpazier.

Puissiez-vous tout deux, mais je n'en doute guère, vous occuper de mes gens avec justice, probité et fermeté !

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Don32
Don se releva. Il se retourna, enfin, face à sa paire en ce lieu qui se relvait aussi et lui tendit son bras...

Lou... Dame Louanne, je vous félicite pour avoir su démonter toutes les qualités qui feront de toi une grande et bonne vassale de notre Vicomte et me réjouis de cet octroi.
Me voici ton pair! Par ce bras tendu je te fais ce soir serment d'être pour le fief de Montaut un voisin aidant, coopérant, et respectueux.
Quiconque manifestera vélléités nuisibles pour toi ou tes terres,me verra se dresser à tes côtés.


Il lui fit un baise-main et scella ce serment par un baiser sur les joues...
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Louanne1000
Lou s étant relevée sous l injonction de son seigneur vit Don avec un sourire mutin aux lèvres lui offrir son bras
Elle sourit à l ennoncé de son serment elle n en attendait pas moins d un tel ami fidel et loyal

Je te remercie Don euhh seigneur de Montpazier saches que je te serais tout aussi fidèle quand à notre voisinage et tu peux aussi me compter à tes côtes enfin nous que dis je!! Elle se tourna vers Ludo émut à les voir s échanger serments d amitiésNotre aide et notre amitié t es acquise depuis longtemps et le resterons rien ne pourra les dissoudre
Elle lui rendit deux bises sonnores sur les joues

Messire Vicomte nous allons prendre congé si cela vous agréé nous avons nos ateliers qui nous réclament le bon vin de Bordeaux que je fabrique demande hélas beaucoups de soin et d entretien
Ce fut une soirée qui restera gravée à jamais dans ma memoire je vous dit à très bientôt qu Aristote veille sur vous et votre famille


Elle fit une profonde révérence et laissa Ludo prendre congé
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Ludodebordeaux
Messire le Vicomte de Biron, Messire Don seigneur de Montpazier

Ce fut effectivement une soirée fort agréable et même si je ne suit point votre vassal vous pourrait en cas de besoin compter sur mon humble personne.

Don toute mes félicitations je crois que je n'ai rien a ajouter à ce qu'a dit Lou

je vous souhaite à tous deux une bonne fin de soirée , ce fut une belle rencontre que je n'oublierai pas de si tôt.

Ludo s'inclina et prit congé en compagnie de sa douce
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Benduguesclin
Fiche signalétique du fief de Monpazier que l'on peut également écrire Montpazier comme le Vicomte de Biron aime à le faire.




[b]Toponymie :
[/b]
Apparaît au XIIIe sous une forme latinisée dans Castrum Montis Pazerii. Il est donc possible que Monpazier vienne de montipasseri ou de mont paciarus, «mont de la paix».
De forme occitane, il se compose de mont, issu du latin mons, montis et de Pazier, un dérivé de patz qui provient, comme le français paix, du latin pax.

Origine
Bastide anglaise.

Date de fondation
1284

Fondateur
Edouard Ier. Paréage avec Pierre de Gontaut, seigneur de Biron.
Réalisation
Jean de Grailly.

UN BREF HISTORIQUE
La bastide de Monpazier fut fondée, en 1284, au nom d'Edouard Ier d’Angleterre, par son sénéchal Jean de Grailly qui, en 1285, passa un contrat de paréage avec Pierre de Gontaut, seigneur de Biron. Ce dernier apporta les terrains, en l’occurence le mont Pazerii, recouvert d’une forêt dense. Ce site offrait bien des avantages stratégiques : il contrôlait la route reliant l’Agenais au sud du Périgord et complétait ainsi la zone de défense déjà entreprise avec la création successive de Lalinde, Beaumont et Roquepine. Aux termes de cet acte, l’administration et l’exercice de la justice furent partagés entre le duc d’Aquitaine et le seigneur. Une moitié des impôts revenait à chaque partie.
Le premier bayle fut Bertrand de Panissols qui se révéla un administrateur avisé et respecté de tous. Les marchés du jeudi et les foires annuelles des Ier mai, 6 août et 18 novembre attirèrent les foules. Le calme régna et la bastide devint prospère.

Au cours de la Guerre de Cent Ans, Monpazier passa et repassa de la domination des Capétiens à celle des Plantagenêts. Ce n'est que sous le règne de Charles V, roi de France de 1366 à 1380, qu'elle devient définitivement française, et ce, en 1369. Entre temps, elle fut reprise par les Français pas moins de quatre fois entre 1303 et 1369. C’est ainsi qu’en 1303, Philippe le Bel confisque l’Aquitaine au traité de Paris et place Monpazier sous son autorité en 1312. En 1316, Edouard, le second, reprend la bastide jusqu’en 1327, où elle redevient française pour une période de vingt ans. Après quoi elle repasse aux mains du comte de Derby pour une courte période de quatre ans. Puis à nouveau française jusqu’en 1360, date à laquelle elle redevient une dernière fois anglaise, par le traité de Brétigny, jusqu’en 1369.
En plus des affres provoquées par la guerre, la bastide connut les années de disette, puis ce fut l’année de la fièvre typhoïde et enfin en 1350, la peste noire qui ravageait le Midi de la France.
Le Baron Philippe Gontaut Biron fut tué en duel sans laisser de descendant, le fief de Biron fut reversé à la couronne du Périgord en 1450.
Celui-ci fut attribué pour ses grands mérites au seigneur Dazibao qui devint Baron en 1454.
Peu après la mort de ce dernier sans descendant, Biron et donc les fiefs dépendants de Monpazier et de Montaut furent attribués au seigneur BenDuguesclin comme terres de retraite. Biron, son domaine, était élevé en Vicomté. Il attribua à la suite de joutes Monpazier, à son fidèle compagnon de route Don32, et Montaut, à Dame Louanne qui lui avait fait forte impression lors de ce "tournoi".


Une Bastide :
La bastide de Monpazier fut créée a novo, c’est-à-dire qu’elle a surgi de terre dans une zone dépourvue de constructions antérieures.
Inscrite dans un quadrilatère parfait de 400 m sur 220 m, dont le grand axe est orienté Nord-Sud, des rues droites de 8 mètres de large courent d'une extrémité à l'autre parallèlement aux grands côtés, entrelacées de rues transversales secondaires.
À l'origine, toutes les habitations de Monpazier étaient de dimensions identiques, à savoir 8 mètres de façade pour 20 mètres de profondeur. À Monpazier, les «andrones» sont encore bien visibles.



Fief de Montaut

Montaut, village de 112 habitants (les Montoises et les Montois) sur une superficie de 1616 ha, est située en Dordogne sur le canton d’Issigeac en Périgord Pourpre.



Montaut c’est un territoire agricole où La Banège et la Conne prennent leur source. La commune est composée de plusieurs hameaux : Les Bigots, le Gambary, Les Bernoux, Le Madalary, Jurmillac. Son altitude varie de 113m à 171 m (Terme du Furgou)
Le nom en occitan est Mont Aut (Mûtaw) qui signifie le mont haut, élevé

Historique :
C’est en 1273, qu’apparaît pour la première fois dans un texte le nom de cette paroisse sous la forme de : Monteacon in Baianesio. En 1298 nous trouvons mons altus.

L’église : Saint Vincent.

Blason :
« D’or à un mont à trois coupeaux de sinople, au chef d’azur chargé d’une anille argentée»

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Benduguesclin
Biron, 18 septembre 1457.

En cette journée pluvieuse qui annonçait l'arrivée de l'hiver, BenDuguesclin écrivait au sieur Psycho pour le féliciter de la naissance de son fils qui avait été annoncé la veille en ville. Il s'interrogea à propos sur la grossesse d'Elainedetroy qui devait bientôt arriver à son terme. Il se promit de demander prochainement des nouvelles à Valnor.

Perdu dans ses pensées, le Vicomte sursauta lorsque son secrétaire déboula dans son bureau sans avoir pris la peine de frapper.

Martin, qu'est-ce encore que ces frasques !!!! Et si ton maitre céans était fort occupé avec une donzelle !!! Tu y penses !!!

Le jeune secrétaire rougit en pensant à la scène et s'excusa platement.
Le Vicomte riait sous cape.


Et bien parle maintenant que tu es ici !

-Messire, il y a une rumeur au village au sujet du secrétaire d'état...

-Ah bon, quel faquin a encore médit à propos du brave Petit.pierre ! s'emporta le vicomte

-non non vous n'y êtes pas... ce n'est pas ça. La rumeur le dit fort navré. On murmure même ça et là qu'il pourrait être passé à trépas compléta le secrétaire dans un souffle.

A trépas dis-tu ? Qu'est-ce encore que ces foutaises...
Je m'en vais lui écrire sur le champs, ce que tu me dis me rends nerveux.


Citation:
Messire le sercrétaire d'Etat, Cher Petit.pierre,

Bien des rumeurs courent à votre sujet jusqu'à Biron.
Vous seriez tantot blessé, tantôt décédé à cette heure s'il fallait que j'écoute tous les colporteurs de nouvelles qui transite par ce chateau.
Moi qui connait les péripéties et combats que vous avez subi lors de votre carrière, je sais combien vous êtes résistant et vous crois réellement invincible.

Merci de me donner par retour de pigeon de vos belles nouvelles.

Votre ami.

BenDuguesclin, Vicomte de Biron

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Don32
Biron, le 19 septembre.

Après avoir été visiter la seigneurie de Monpazier, Don vint se présenter en castel de Biron, certaine rumeur lui était parvenue et voir son suzerain lui était nécessaire. Il se présenta à la poterne et demanda audience...

Bonjour!
Veuillez quérir le sieur Martin pour Don, vassal de Biron!


Il ne savait pas s'il aurait satisfaction à sa demande, mais il devait voir sans tarder voir le Vicomte. En attendant la cérémonie qui en ferait de fait le seigneur des terres de Monpazier, mesures devaient être au moins planifiées... Si la rumeur était fondée, chose qu'il redoutait, trop de gens la lui avait rapportée...
Il attendait, récupérant fontes et confiant sa monture à un valet d'écuries.

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--Sarladais
Biron, le 19 septembre

Martin arriva rapidement.

Bonjour Messire Don, nous ne vous attendions pas si tôt. Je ne pense pas que la cérémonie soit déjà planifiée...
Quoiqu'il en soit bienvenu à Biron ! Je m'en vais quérir le Vicomte, il va être très content de vous voir icelieu.


Le secrétaire poussa la lourde porte et monta rapidement la volée de marche pour aller prévenir son maître.
Don32
Le fidèle secrétaire du Vicomte avait été vif à se présenter...

Bonjour messire Martin!
Oui je sais bien pour la cérémonie, mais j'eusse aimé rencontrer notre Seigneur, pour une affaire inquiétante je dirai.
Il est question du Seigneur de Mas-Marteau...


Pas vraiment le temps d'exposer le pourquoi de sa présence, que l'homme de confiance arpentait déjà les marches de l'escalier menant aux appartements du Vicomte... Don suivit, avec moins de célérité... Pas la peine de se présenter essoufflé à son suzerain...
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Benduguesclin
Martin déboula dans le bureau de BenDuguesclin.

Et bien encore toi ! Ne t'ai-je pas demandé hier déjà de mander l'autorisation avant d'entrer !
Le Vicomte souleva les épaules en soupirant...

Si, désolé... euh... le sieur Don est là... au sujet de Mas-Marteau...

-Et bien qu'est-ce que tu attends ! Fais-le entrer. rugit le Vicomte.

Le secrétaire fit demi-tour en maugréant. Son maître était vraiment d'une humeur exécrable ces temps-ci.
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Don32
Don arrivé à l'étage où se tenait le bureau de son Suzerain, entendit la voix de ce dernier... Rares pourtant étaient les fois où le Vicomte manifestait une mauvaise humeur. Martin plutôt précipité lui indiqua l'entrée du bureau, signifiant par là qu'il pouvait y pénétrer, une mimique traduisant un désarroi quant à l'humeur de son maître se lisait sur son visage...

Merci Martin. Don entra dans le bureau après avoir frappé...

Mon Sire mes respects! Il s'inclina

Veuillez pardonner cette intrusion, mais une rumeur m'est parvenue qui... m'inquiète.
En place de Monpazier que j'ai été visiter hier, j'ai entendu dire que notre ami Petit.pierre serait décédé.
Voilà déjà quelques jours en Bergerac j'avais entendu qu'il était malade...
Ce sont deux rapports qui sont trop répandus et surtout éloignés l'un de l'autre pour qu'une vérité alarmante n'en soit la cause.
D'autant que nous n'en avons plus de nouvelles depuis le début d'août dernier...
Sans doute Votre Seigneurie en sait-elle plus?


Don voyait bien que son seigneur était préoccuppé, il l'avait déjà vu dans cet état alors qu'il siégeait en son Conseil... Cependant aujourd'hui cela paraissait plus grave. Une ride de tourment barrait son front pourtant plutôt lisse en général...
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Benduguesclin
Le Comte repensa à la mort de Bouquet, seul et anonyme dans une rue froide de la capitale. Il frissonna.

Mon cher Don,
Je suis bien aise de te voir.
Mais je n'ai pas plus de nouvelles que toi. Mon pigeon adressé à notre ami est revenu sans réponse.
Je suis bien inquiet. Dame Mélior est-elle encore dans notre Comté ? Peut-elle en sait-elle plus que nous sur la question ?
Si c'est le cas, Martin, prépare mon destrier, je m'en vais chercher quelques provisions à la cave pour la route et si tu en es d'accord Don, nous partons sur l'heure la quérir. Et si elle ne sait pas, diable, nous irons jusqu'au château alarmer le Comte s'il le faut !

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