Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >>

[RP] Colocation.

Asdrubal1
[ES]

Asdrubal siguió a su esposa hasta la biblioteca, lugar que parecía guardar muy bien la temperatura, dado el cambio respecto del fresco que hacía fuera de aquel lugar. El castellano observó como la joven francesa hacía sitio de entre sus herramientas de costura. Menos mal que ella no le había visto cuando él se ponía a trabajar con sus papeles, aquello sí que era un desorden. El de Olite se aproximó hacia uno de los estantes y él tomó uno de los libros, que parecía una de las hagiografías de uno de los santos aristotélicos, el de la Barca sonrió irónicamente, aquella había sido su fe, como había sido la de su esposa, antes de convertirse en reformado.

-No es malo tener libros aristotélicos, sólo hay que saber cuando ellos mienten.-Asdrubal cerró con cuidado aquel libro, él tenía mucho respeto por la literatura, incluso la que él consideraba herética, él miró algunos tratados de heráldica, un tema que él adoraba, ello le serviría para aprender heráldica francesa.-Con más calma, yo podré detenerme a estudiar todo. Pero yo no os voy a tener esperando mientras yo leo ahora., eso sería muy descortés por mi parte.

El resto del día lo dedicaron a cenar y a descansar del viaje, que había sido largo y extenuante. Así, la mañana siguiente llegó con los primeros rayos del sol, Asdrubal abrió los ojos un poco molesto, él miró a su esposa que dormía a su lado, él supuso que pronto el sol haría su trabajo y ella también se despertaría, por lo que él decidió mientras tanto empezar a vestirse.

[FR]

Asdrubal a suivi à son épouse jusqu'à la bibliothèque, lieu qui paraissait garder très bien la température, vu le changement en ce qui concerne ce qui le frais que faisait hors de ce lieu. Le castillan a observé comme le jeune française faisait emplacement parmi ses outils de couture. Moins mauvais qu'elle ne l'avait pas vu quand il était mis à travailler avec ses papiers et sentences du le Tribunal, cela en effet qui était un désordre. Celui d'Olite a été approché vers une des étagères et il a pris un des livres, qui paraissait une des hagiographies d' un des saints aristotéliciens, celui de la Barca a ironiquement souri, celle-là avait été sa foi, comme c'avait été celle de son conjoint, avant de etre réformée.

- Ce n'est pas mauvais d'avoir des livres aristotéliciens, il faut seulement savoir quand ils ment. - Asdrubal a fermé avec des soins ce livre, il avait beaucoup de respect de la littérature, y compris laquelle il considérait hérétique, il a surveillé quelques traités héraldique, d'un sujet qu'il adorait, cela le servirait à apprendre héraldique française . - Avec plus calme, je pouvait étudier tout. Mais je ne vais pas avoir vous tandis que je lis maintenant., cela serait très impoli en ce qui me concerne.

Le reste du jour lui ont consacré à dîner et reposer du voyage, qui avait été long et extenuant. Ainsi, le matin suivant est arrivé avec les premiers rayons du soleil, Asdrubal a ouvert les yeux un peu gênant, il a surveillé à son conjoint qui dormait à son côté, il a supposé que tôt le soleil ferait son travail et elle se réveillerait aussi, ce pourquoi il a décidé pendant ce temps de commencer à s'habiller.

_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    La soirée avait été paisible et la nuit douce. Castelnau avait retrouvé le confort de la France, notamment du climat. Qui lui permettais de se cacher sous une couverture. Lorsque le jour se leva, c'est un grognement qu'elle émit. Quelques mouvements, et elle s'assit, s'étirant. La voilà, la crinière de lionne, brune et emmêler de la jeune femme. La voilà, sa mine boudeuse, à cause du soleil, qui l'oblige à sortir de la chaleur de son lit. Le pied est posé sur la douceur de la fourrure sur le sol et elle va derrière son paravent, changer sa chainse, s'habiller, de bleu, elle fit tinter la clochette et une domestique entra, pour aider la jeune femme à se coiffer.

    "- Vous avez bien dormi ?"- Vous avez bien dormi ? "

    Elle se leva, elle était prête, pris sa cape noir et sa besace, guidant le castillan jusqu'à la salle à manger, où ils mangèrent, comme prédit, la jeune femme ne mangea guère et emportant en revanche, dans sa besace de la nourriture, puis ils partirent, alors à l'aventure, leurs chevaux étaient scellés et ils partirent, sur le plateau de la Buisse. Au bout d'au moins deux heures avant d'arriver sur les hauteurs. Ils arrivèrent à la moitié, et la jeune femme arrêta la monture, ils étaient à un endroit où le sol s’aplatissait, permettant de la stabilité. Elle s'approcha du Castillan, avec eux se trouvait la domestique qui traduisait, sur un cheval, mais elle rester discrète et traduisit les paroles de la Castelnau.

    "- Voilà, c'est déjà beau et voyez, le château est si petit, qu'on le voit à peine d'ici. Vous voulez que l'on continue ? "

    Ils étaient dans la chartreuse, des sommets guère hauts, des falaises plutôt en fait ...

    [ES]

    La tarde había sido apacible y la noche dulce. Castelnau había encontrado(recobrado) la comodidad de Francia, particularmente del clima. Que le permitía esconderse bajo una cobertura(cubierta). Cuando el día se levantó, es un gruñido que emitió. Algunos movimientos, y se sentó, estirándose. Hela ahí, la melena de leona, morena y enmarañar de la joven mujer. Hela ahí, su mina(aspecto) picona, a causa del sol, que lo(la) obliga a salir del calor de su cama. El pie es puesto sobre la dulzura de la piel sobre el suelo y va detrás de su biombo, cambiar su chainse, vestirse, de azul , hizo zumbar(tocar) la campanilla y una doméstica entró, para ayudar a la joven mujer con que hay que peinarse.

    " - ¿ durmió bien? " - ¿ durmió bien? "

    Se levantó, estaba lista, tomado su capa negro y su besace, guiando el castellano hasta el comedor, donde comieron, como predicho, la joven mujer no comió apenas y llevándose en cambio, en su besace del alimento, luego se fueron, entonces a la ventura, sus caballos fueron sellados y se fueron, sobre la bandeja(plató) de Buisse. Por lo menos al cabo de las dos horas antes de llegar sobre las alturas. Llegaron a la mitad, y la joven mujer paró(detuvo) la montura, estaban en un lugar donde el suelo se aplastaba, permitiendo de la estabilidad. Se acercó al Castellano, con ellos se encontraba la doméstica que traducía, sobre un caballo, pero quedar discreta y tradujo las palabras(voces) de Castelnau.

    " - he aquí, es ya bello y vea, el castillo es por muy pequeño, como lo vemos apenas de aquí. ¿ Usted quiere que se continúe? "

    Estaban en el chartreuse, cumbres apenas altas, los acantilados más bien en hecho...

_________________
Asdrubal1
[ES]

Asdrubal había cogido una camisa granate y él se había puesto unas calzas marrones, junto con las botas de cuero que él usaba para montar a caballo, el tomó un cinturón negro y sobre aquél, él puso su espada. Para abrigarse él escogió una capa, también negra, que él se echó sobre los hombros, él observó a su esposa levantarse, el de la Barca pudo apreciar la diferencia el pelo suelto a cuando ella se lo recogía. El castellano esbozó una sonrisa y, tomando un sombrero azul oscuro, se lo puso sobre la cabeza.

-Oui.-Él contestó en francés aunque luego él continuó en castellano.-Yo he dormido perfectamente, una cama muy cómoda.

Y eso era cierto, Asdrubal solía tener pesadillas, él no estaba acostumbrado a dormir tan bien, de manera que, en aquel día, él se encontraba descansado y fresco para el viaje. Al contrario que su esposa, él desayunó bien, no demasiado, pues es malo comer mucho antes de montar a caballo. Tentado el castellano estuvo, durante el viaje, de echarse al galope por aquel paraje, aquel sitio desconocido le invitaba a recorrerlo todo, sin embargo, él mantuvo el paso, sujetando con fuerza las riendas de su negro caballo, llegados ambos a cierto punto, ellos pararon a sus respectivos caballos. El de la Barca escuchó a su esposa hablar y, tras oír la traducción de la criada, él respondió;

-Nosotros llevamos algunas horas de viaje... Mais... Yo pienso, si vos queréis y no estáis cansada, que nosotros podemos continuar, yo tengo curiosidad por ver más de cerca las montañas.

[FR]

Asdrubal avait pris une chemise grenat et il avait été mis des chausse marron, avec les bottes de cuir qu'il utilisait pour monter à cheval, il a pris une ceinture noire et sur celui-là, il a mis son épée. Pour se couvrir, il a une couche, aussi noire, qu'il s'est jetée sur les épaules, il a observé à son épouse se lever, celui de la Barca a pu apprécier la différence les cheveux libres à quand elle se le attacher.Le castillan a ébauché un sourire et, en prenant un chapeau bleu foncé, il le lui a mis sur la tête.

- Oui. - Il a répondu en français bien qu'il ait ensuite continué dans castillan. -J'ai dormi parfaitement , un lit très confortable.


Et cela était certain, Asdrubal avait généralement des cauchemars, il n'était pas habitué à dormir tellement bien, de sorte que, dans ce jour, il soit reposé et frais pour le voyage. Au contraire que son conjoint, il a déjeuné bien, non trop, parce qu'il est mauvais de manger beaucoup avant de monter à cheval.tenté le castillan a été, pendant le voyage, d'être jeté au galop par cet endroit, cet emplacement inconnu l'invitait à être parcouru par tout il a maintenu, toutefois, le pas, en tenant avec force les rênes de leur cheval noir, arrivés tous les deux à un certain point, ils ont arrêté à leurs chevaux respectifs. Celui de la Barca a écouté à son conjoint parler et, après avoir entendu la traduction de la domestique, il a répondu ;

- Nous portons quelques heures de voyage… Mais… Je pense, si vous voulez et n'êtes pas fatiguée, que nous pouvons continuer, j'ai curiosité pour voir plus près les montagnes.
_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    "- Je ne suis pas fatiguée, ça ne m'est plus réellement permis de tout façon depuis mon départ de la maison royale. "

    Elle tira légèrement sur les rênes de son cheval. Comtesse vengeresse et cœur en peine, se déplacèrent de quelques mètres du Castillan, avant de lancer. Et ainsi, le couple reprit son périple, puis elle s'arrêta. Ce qui les arrêta, fût un étendard impérial planté dans le sol près d'une pierre, la lèvre se mordit.

    "- Je craint, que nous soyons arrivée à la frontière avec l'Empire et son duché pleins de Savoyards ... Je ne vous propose pas de continuer, restons ici, nous sommes assez hauts. "

    Et elle posa pied à terre, s'éloignant un peu de la borne. Prenant sa besace, elle en sortie quelques biscuits au miel et aux amandes, pêchés d'enfance, pour en manger un et en proposer un autre à l'époux. Puis elle tendit le doigt au loin.

    "- Voyez, là-bas c'est La Buisse. "

    Bien sûr, ils ne voyaient rien de la terre, qui se situer en bas de la Chartreuse alors qu'ils étaient en plein dedans. Elle mangea son biscuit et continua ensuite, pointa de l'autre côté, une montagne, la jeune fille parler bien sûr de ce qu'il se trouvait derrière.

    "- Là-bas au loin, presque à la frontière avec la Provence, après Dié, et Embrun, se trouve Lazer. Le climat est un poil plus doux qu'ici, enfin à peine hein. Et voilà. Une fois, que vous aurez vu cela, alors vous aurez fait le tour de vos terres françaises, comme vous pouvez le voir, il ne s'agit de guère plus que de petites seigneuries, sans grande envergure, rien de comparable à Avilà, Olite ou Haro. "

    Elle ajouta.

    "- Des plantations de fruits variés permettent à mes seigneuries de subsister et de me rapporter de faible revenus, la couture et les fonctions que j'ai occupée on fait le reste. Sa Grâce Elianor, m'a proposé d'installer un atelier sur ses terres et j'ai accepté. Je m'en servirais pour vendre, principalement, je pense. Sa terre est en domaine royal, alors elle me permettra de toucher celui-ci, plutôt que la province seule du Dauphiné. Voyez les robes que je porte, je pense que je pourrais en vendre un exemplaire aux enchères, dans cette boutique, ce qui me permettrait de ne pas dépenser trop, et même de rapporter de l'argent supplémentaire, puisque je n'ai plus de fonctions. "

    [FR]

    " - no soy cansada, esto no me es permitido más realmente totalmente con un modo desde mi salida de la casa real. "

    Ligeramente disparó las riendas de su caballo. Condesa vendadora y corazón en pena, se desplazaron algunos metros del Castellano, antes de lanzar. Y así, el par(pareja) repitió su periplo, luego se paró. Que los(las) paró(detuvo), sea un estandarte imperial plantado en el suelo cerca de una piedra, el labio se mordió.

    " - yo teme, que hayamos llegado a la frontera con Imperio y su ducado llenos de saboyanos... No le propongo continuar, quedemosnos aquí, somos bastante altos. "

    Y puso pie a tierra, un poco de(un poco) alejándose del límite. Tomando su besace, ella en salida algunas galletas a la miel y a las almendras, siendo pescado por infancia, para comer uno y proponerle otro al esposo. Luego tendió(alargó) el dedo a lo lejos.

    " - vea, allá es Buisse. "

    Por supuesto, no veían nada de la tierra, que situarse abajo el Chartreuse mientras que eran lleno dentro. Comió su galleta y continuó luego, apuntó por el otro lado, una montaña, a la joven chica hablar por supuesto de lo que detrás resultaba.

    " - allá a lo lejos, casi en la frontera con Provenza, después de Dié, y Embrun, se encuentra Lazer. El clima es un pelo más dulce que aquí, por fin apenas cómo. Y he aquí. Una vez, que usted habrá visto esto, entonces usted habrá dado la vuelta a su tierras francesas, como usted puede verlo, se trata de sólo de pequeños señoríos(señorías), sin gran envergadura, nada comparable en Avilà, Olite o Haro. "

    Añadió.

    " - plantaciones de frutas variadas permiten a mis señoríos(señorías) subsistir y darme beneficio de debilidad decepcionados, la costura y las funciones que ocupé hacemos el resto. Su Gracia Elianor, me propuso instalar un taller(estudio) sobre sus tierras y acepté. Me serviría de eso para vender, principalmente, pienso. Su tierra está en dominio(campo) real, entonces me permitirá tocar ésta, más bien que la provincia sola de Delfinado. Vea los vestidos que llevo, pienso que podría vender en pública subasta un ejemplar, en esta tienda, lo que me permitiría no gastar demasiado, y hasta producir(traer) dinero(plata) suplementario, ya que no tengo más funciones. "

_________________
Asdrubal1
[ES]

Asdrubal miró serio a su esposa, la partida de la casa real no había sido para ella algo agradable, aquel puesto había sido importante para la Castelnau, el castellano no podía imaginar cómo él reaccionaría si de pronto se viera obligado a abandonar la capilla heráldica, como mínimo eso sería un duro golpe para él. Todavía él estaba pensando en aquello cuando Jenifaël indicó que ellos habían llegado a la frontera con el sacro imperio, con el ducado de Saboya;

-Yo no sabía que la Saboya estaba tan cerca... Yo creía que aún estábamos lejos... Pero vos tenéis razón, nosotros no debemos continuar, lo último que yo supe sobre el ducado de saboya es que estaba en guerra.

Ambos bajaron del caballo, Asdrubal miró donde su esposa le indicaba mientras él escuchaba sus palabras, el de la Barca esbozó una sonrisa y repuso;

-Puede ser que la Buisse no sea tan grande como nuestros feudos castellanos, pero con diferencia su paisaje es más bello que Ávila, es una verdadera lástima que nuestras tierras estén tan lejos unas de otras. Yo creo que si, a la vez, nosotros nos propusiéramos ir viajando por ellos, nosotros tardaríamos varios meses en llegar de uno a otro.

Asdrubal cogió una de las galletas que le ofrecía su esposa y él la comió en tanto escuchaba la descripción que ella hacía de Lazer y de los campos de los feudos, así como de su próximo proyecto;

-La verdad es que yo no administro tan directamente nuestros feudos castellanos como yo querría, yo dejo su organización en mi tesorero, Archibaldo Folc de Cardona, que me da los informes de los beneficios, el resto de las rentas provienen de mis cargos en la corte castellana... Y, cuando yo lo soy, de ser juez del reino, cargo que yo ya no ostento pues yo he venido aquí.-El de la Barca guardó silencio un momento y añadió.-Si vos queréis, la próxima vez que vos volváis a Castilla... Yo os presentaré a mi tesorero, seguro que él os puede dar consejos sobre cómo mejorar las finanzas del feudo, a mí me fue de verdadera ayuda.

[FR]

Asdrubal a surveillé sérieux à son épouse, le départ de la maison royale n'avait pas été pour elle quelque chose agréable, ce poste avait été important pour la Castelnau, le castillan ne pouvait pas imaginer comment il réagirait si d'il était tôt obligé d'abandonner la chapelle héraldique, au moins cela serait un coup dur pour lui. Encore il pensait cela quand Jenifaël a indiqué qu'ils étaient arrivés à la frontière avec le sacré empire, avec le duché de Saboya ;

- Je ne savais pas que la Saboya était tellement près… Je croyais que nous étions encore loin… Mais vous avez raison, nous ne devons pas continuer, dernier ce qui j'ai su sur le duché de saboya est qu'il était en guerre.

Tous les deux ont baissé du cheval, Asdrubal a surveillé où son conjoint lui indiquait tandis qu'il écoutait ses mots, celui de la Barca a ébauché un sourire et l'a remis ;

- Peut-etre que la Buisse n'est pas tellement grande comme notres fiefs castillans, mais avec différence son paysage est plus beau qu'Avila, est une véritable pitié que notres terres sont tellement loin quelques d' autres. Je crois que si, à la fois, nous nos proposions voyager par eux, nous tarderions plusieurs mois à arriver d'un à l'autre.

Asdrubal a pris un des biscuits que lui offrait son épouse et il l'a mangée dans tant écoutait la description qu'elle faisait de Lazer et des domaines des fiefs, ainsi que de son prochain projet ;

- La vérité est que je n'administre pas directement nos fiefs castillans tellement bien que je voudrais,je laisse son organisation dans mon trésorier,Archibaldo Folc de Cardona, qui me donne les rapports des bénéfices, le reste des revenus proviennent de mes charges dans la cour castillanne… Et, quand je le serai, d'être juge du royaume, charge que je ne montre déjà pas donc je suis ici. - Celui de la Barca a gardé du silence un moment et l'a ajouté. - Si vous voulez, la prochaine fois que vous retournez à Castille… Je vous présenterai mon trésorier, sûrement qu'il vous peut donner des conseils sur comment améliorer les finances du fief, m'a été de véritable aide.

_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    Elle se mordit la lèvre et après avoir rangé ses biscuits elle pris la main de l'homme.

    "- Je doit vous dire quelque chose ... "

    Puisqu'ils étaient en plein air, autant l'avouer.

    "- Je ... euh ... Après mon retour en France ... j'ai certes, quitté la Maison Royale et été humiliée, mais j'ai également perdu autre chose ... j'ai failli ne pas le savoir, mais il se trouve qu'en partant de Castille j'étaie enceinte. D'après le médecin, il est courant que cela arrive, bien sûr, cela ne m'a affecté psychologiquement, je n'étais même pas au courant, mais la chose est là ... "

    Ils pouvaient être rassurés d'une chose, être l'un comme l'autre fertile. Elle avait lâché la main du Castillan.

    "- La prochaine fois, peut-être ... Mais il faudra que j'évite de voyager entre autres, si j'ai bien compris les indications du médecin. "

    Elle se reprit et continua.

    "- quant à votre intendant, ma foi, je ne doute pas qu'il soit efficace, mais les terres de Lazer et La Buisse sont bien gérer ... Quant à vous, il faudrait vérifier les comptes de votre intendant, peut-être ... Certains ne sont pas fiables."- quant à votre intendant, ma foi, je ne doute pas qu'il soit efficace, mais les terres de Lazer et La Buisse sont bien gérer ... "

    [ES]

    Se mordió el labio y después de haber arreglado sus galletas tomadas la mano del hombre.

    " - yo debe decirle algo... "

    Ya que estaban al aire libre, tanto reconocerlo.

    " - yo euh... Después de mi vuelta a Francia tengo por cierto, dejado la Casa Real y humillada, pero también perdí otra cosa estuve a punto no saberlo, pero resulta que por lo tanto de Castilla apoyo recinto. Según el médico, es corriente que esto llegue, por supuesto, esto me afectó(destinó) psicológicamente, hasta no estaba al tanto, sino la cosa está allí... "

    Podían ser tranquilizados por una cosa, ser el uno como el otro fértil. Había soltado(lanzado) la mano del Castellano.

    " - la vez próxima, posiblemente... Pero hará falta que evite viajar entre otras cosas, si comprendí bien las indicaciones del médico. "

    Volvió a empezar y continuó.

    " - en cuanto a su intendente, a fe mía, no dudo para que sea eficaz, sino las tierras de Lazer y El Buisse son administrar bien... En cuanto a vosotros(usted,vosotras), habría que verificar las cuentas de su intendente, posiblemente... Algunos no son fiables. "-en cuanto a su intendente, a fe mía, no dudo para que sea eficaz, sino las tierras de Lazer y El Buisse son administrar bien... "

_________________
Asdrubal1
Asdrubal cambió la vista desde Jenifaël hacia su criada, y de la criada hacia Jenifaël, aquello él no lo esperaba, el de Olite permaneció en silencio unos momentos, para asimilar la información que él había recibido;

-¿Vos... estabais... Embarazada y el niño se perdió?.-Porque él iba a ser niño, el castellano estaba convencido, el de la Barca clavó la mirada en la figura de su esposa, él era lento en la ira, pero cuando el enfado en él aparecía, éste solía ser una explosión. Sin embargo, culpar a la joven francesa no sería justo, máxime teniendo en cuenta que seguramente había sido producido por el estrés al que ella había estado sometida desde su salida de la casa real, la idea de aparecer en París junto a su guardia empezaba a ser una idea agradable.-No, vos no perdisteis al niño... Ellos os lo perdieron.

Asdrubal relajó el gesto, él esbozó una sonrisa.

-Nosotros tendremos cuidado a partir de ahora, los viajes continuos no son buenos para un embarazo... Tal vez sea yo el que tenga que acudir a Francia más a menudo en lugar de vos a Castilla.

Asdrubal escuchó las palabras de su esposa sobre su tesorero, el castellano amplió su sonrisa;

-Él es un spinozista, con ellos nunca se sabe, a ellos les gusta demasiado el dinero. Yo seguiré vuestro consejo y de vez en cuando yo revisaré sus cuentas, no vaya a ser que él se tienta tentado a adueñarse de lo que no le corresponde.

[FR]

Asdrubal a changé la vue depuis Jenifaël envers son domestique, et de la domestique vers Jenifaël, cela il ne l'attendait pas, celui d'Olite est resté en silence des moments, pour assimiler l'information qu'il avait reçue ;

- Vous… Vous étiez… Enceinte et le fils est perdú?. - Parce qu'il allait être fils, le castillan était convaincu, celui de la Barca a cloué le regard dans la figure de son épouse, il était lent dans la colère, mais quand l'ennui en lui apparaissait, celui-ci était généralement une explosion. Toutefois, accuser au la jeune française ne serait pas juste, principalement en tenant en compte du fait qu'il avait été sûrement produit par le stress à auquel elle avait été soumise depuis sa sortie de la maison royale, l'idée d'apparaître à Paris avec sa garde commençait à être une idée agréable. - Non, vous n'avez pas perdu à l'enfant… Ils vous l'ont perdu.

Asdrubal a détendu le geste, il a ébauché un sourire.

- Nous aurons des soins dorénavant, les voyages continus ne sont pas bons pour une grossesse… Peut-être je suis celui qui dois souvent aller à la France plus au lieu de vous à Castille.

Asdrubal a écouté les mots de la Castelnau sur son trésorier, ce qui est castillan a étendu son sourire ;

- Il est un spinoziste, avec eux il n'est jamais su, ils aiment trop l'argent. Je suivrai votre conseil et de temps à autre je réviserai ses comptes, n'allez pas être que il est tenté de prendre ce qui ne le correspond pas
_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    Il lui semblait qu'Asdrubal avait une pointe de reproche dans la voix, qu'il semblait avoir une colère maintenant et les épaules Castelnaudienne se voûtèrent.

    "- Je suis désolé Asdrubal, je suis sincèrement désolé, je vous garantis, je prendrait toutes les dispositions nécessaire, pour que cela n'arrive plus. "

    Elle termina d'écouter les paroles du Castillan, pour reprendre.

    "- Vous n'aurez pas à venir plus souvent, cela fonctionnera, je vous le garantis. "

    Puis elle se leva et ils reprirent la route, pour rentrer à La Buisse. Alors qu'ils étaient presque arrivés, une nouvelle question faillie de ses lèvres.

    "- Le paysage vous à plu ? "

    Ce soir, elle mangerait un peu, avant d'aller se coucher, elle mangerait et elle fuirait sûrement la présence de l'époux, de peur de le décevoir. Le tout, passerais rapidement à la jeune fille, le sentiment de culpabilité s'effilocherait, mais pour l'heure, il pesait sur ses fines épaules, aux clavicules visibles.

    [ES]

    Le parecía que Asdrubal tenía una punta(aguja) de reproche en la voz, que parecía tener una cólera ahora y el hombro Castelnaudienne se encorvó.

    " - soy afligido Asdrubal, sinceramente soy afligido, le garantizo, yo tomaría todas las disposiciones neceser, para que esto no llegue más. "

    Acabó de escuchar las palabras(voces) del Castellano, para proseguir(repetir).

    " - usted no tendrá que venir más a menudo, esto funcionará, se lo garantizo. "

    Luego se levantó y reemprendieron el viaje, para volver a Buisse. Mientras que casi habían llegado, una nueva cuestión quebrada de sus labios.

    " - ¿ el paisaje usted a gustado? "

    Esta tarde, comería un poco, antes de ir a acostarse, comería y evitaría seguramente la presencia del esposo, por miedo de decepcionarlo. Todo, pasaría rápidamente a la joven chica, el sentimiento de culpabilidad se deshilacharía, pero por ahora, era un peso sus hombros finos, a las clavículas visibles.

_________________
Asdrubal1
[ES]

Asdrubal imaginó que sus palabras podían haber hecho daño a su esposa, su tono no había sido el apropiado, aquello había sido duro para la joven francesa y él se había limitado a insinuar que eso había sido culpa suya. Aunque aquello no había sido su deseo del todo. El castellano escuchó las palabras de su esposa en silencio, sin hablar hasta que ella le preguntó por el paisaje.

-El paisaje es perfecto, él es incluso más bonito de lo que yo hubiera imaginado.

El de la Barca no era precisamente bueno rompiendo el hielo, y él todavía no había aprendido cómo eran las reacciones de su esposa. Con todo, tras un leve suspiro, el castellano dijo;

- Vos sabéis que yo no pretendía haceros daño, verdad, yo he dejado que la decepción me impidiera pensar con claridad, mis palabras han sido más rápidas que mi pensamiento y ellas han sido egoístas.-Pedir perdón no era algo que el Conde hiciera muy frecuentemente, aquello era lo más parecido a una disculpa que él hubiera podido decir alguna vez.- Yo nunca os culparía por algo que vos no podéis controlar... Eso no sería justo.

Después de todo, ella también había sufrido la pérdida, más duramente que él, algo en lo que él no había recaído antes. Finalmente él añadió, en un terrible francés;

- Le voyage avec vous a été très bon.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)