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[RP] Eglise de Thouars

Frany_misfits
Quand Frany vit voler la torche, elle ne réalisa pas de suite ce qu'il se passait. Elle la regardait comme hypnotisée. Elle n'avait pas vu qu'alentour, la cave venait de se découvrir. Pourquoi le flambeau avait atterrit là ?

Et c'est un hurlement qui lui répondit. D'où venait il ? C'était un son effroyable qui faisait dresser les cheveux sur la tête. Elle finit par constater que cela venait d'elle. Quelqu'un ou quelque chose l'avait touché, maintenant elle le sentait et une voix avait résonné dans cet endroit lugubre alors qu'elle était en transe.

Respirant fortement, revenue sur terre, elle se retourna doucement, les sourcils froncés. Elle aurait été un taureau, on aurait même vu de la fumée sortir de ses naseaux.


Comment as tu osé ? Me faire ça, à moi ! Tu vas voir ma vengeance sera terrible ! Tu ne perds rien pour attendre, Messire Shean ! Nan mais oh !


Frany croisa les bras et tapit du pied. Et si tout ce ramdam avait alerté le curé ?

Oh bon sang ! Tu penses qu'on nous a entendu ?

C'était plus des fantômes ou autres qu'elle avait peur mais du prêtre à présent.

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Shean
-Mais non mon Amour....plus personne ne vient ici depuis des lustres ,ce ne sont que quelques souris au pire n’aies pas peur je suis là...regardes tu as vu ce trésor...comme c'est beau...toutes ces bouteilles alignées...ça merite bien un tit péché non?....et puis si d'aventure le curé se pointait....suis certain qu'il trinquerait avec nous...donc ?..
Orlagnia
puisque son ordre était laïque elle alla dans une église pour prier , puisque ost la conduite as Trouhars elle a lla donc a cette église pour prier mon dieu pour quoi les homme ce brusqie lorsque je leur adresse la parole .
Le savez je suppose que oui me le direz vous sa je ne c est pas vous me ferez un signe du chemin pour pouvoir un jour serré mon prince charment et qu il me demande ma main



elle resta plantée encore pendants une dizaine de minute avant de se relever et de sortir de l église
Amand
Par ce bel après-midi d'automne, Amand ouvrit la porte de l'église et reçut de plein fouet la fraicheur de la nef.
Mais un subtil parfum de fleurs venait de devant l'autel.
Il s'avança et s'agenouilla sur le prie-dieu du premier rang.


Il pensa en lui-même
Seigneur Dieu, protège mes frères d'armes, qu'ils soient vaillants et qu'ils ne risquent point la mort ou de graves blessures.


Ses pensées vagabondaient vers ceux qui restaient chez eux

Faites en sorte que les choix et la gouvernance du nouveau conseil soient judicieux.


Il se releva et se signa.
Il murmura.


Et que Dieu protège le Poitou.
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Etiennus
En cette nuit d'hiver un homme vêtue aux couleurs du Poitou et à la carrure de taureau entre dans l'église. La lourde porte de bois dont le grincement se finit en fracas se referme sur le silence du bâtiment obscure. Un coup d'oeil autour de lui : des cierges finissent lentement leur vie agrémentant les parois de pierre et faisant étrangement scintiller les quelques vitraux. La lumière ainsi mourante venant englober le nouvel arrivant dans cette sombre atmosphère

"Personne" ..
s'exclame le rude gaillard à demi voix. Les habits sales, le visage marqué tel un soldat en campagne il s'avance au bénitier, accomplie un signe de croix sans grande conviction et se dirige vers l'estrade faisant vriller sa cape par sa démarche vif, ses pas résonnant dans la paroisse vide.

Il finit son chemin en face du sauveur et s'agenouille. Il reste ainsi quelques minutes le regard en biais, les flammes des bougies dansant dans son regard affûté dévoilant une mine à la fois sombre et dure.


La mâchoire crispé il finit par lâcher d'une voix rauque :
"Tout ça pour ça . T'aurais pas pu m'oublier moi ?.." La fin de cette question s'envole dans le silence nocturne de la paroisse et Etiennus endure ce silence encore quelques bonnes minutes avant de se redresser la main serrer à son pommeau. L'arme contrairement au reste de l'ensemble semble entretenue, une habitude de soldat..brigand ? Bretteur en tout cas.


"Si tu savais comme je te hais, toi et tes bons préceptes , toi et ta toute-puissance, toi et ton jugement sans failles...Rah !"explose-t'il .

Les poings se crispes, son regard toise le Christ sévèrement..L'homme inspire profondément comme pour repousser de sombres pensés et finit par lâcher sèchement entre ses dents :


"Qui vivra verra après tout ?"
..Un rictus ironique sur le bord des lèvres, l'homme d'arme tourne enfin les talons afin de sortir du lieu saint, claquant la porte massive dans sa "fuite"...
Lilyena
Lilyéna pousse devant elle Muéna et Eronn-ka dans l'église, puis elle secoue sa cape et la pose sur le bord du premier banc venu. La diaconesse sacristine de Poitiers est bien heureuse de se retrouver au sec et à l'abri du vent.

On va remercier Aristote d'avoir tenu les brigands hors de notre route.


c'est moi qu'allume la bougie!


tu ne l'as pas déjà fait la dernière fois?


noooon.

Lilyéna fait une moue peu convaincue mais laisse Muéna allumer le cierge puisque cela semble lui faire plaisir.


doucement hein.

oui-oui.

Lilyéna veut lui venir en aide mais Muéna se rebelle.

nan! moi toute seule.

d'accord, mais qu'est ce qu'on dit maintenant ?

marci Aritotote. J'ai bien domi dans la chawette et Môman elle est contente de pas avoi vu de vilainpabô. c'est ça?

et on ne pense pas aux autres?

ah si! marci aussi pour le maïs et faut en donné autant à tout le monde.

c'est très bien mon coeur.


Je peux soufflé su la bougie?


ben non, il faut la laisser bruler jusqu'au bout celle là.


Je peux pas soufflé et allumé encowe?

Lily hésite, mais n'a pas envie d'avoir un caprice en pleine église, alors elle donne l'autorisation.

bon d'accord, mais tu souffles que celle là, hein! et tu laisses Ronron jouer avec toi.

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Petition pour le codage de l'église
Lilyena
Après avoir assisté à la messe du père Doctorgradus, Lilyéna s'installe dans le confessionnal avec l'accord de son homologue Thouarsais. Elle n'a pas pu répondre à toutes les demandes des volontaires à Poitiers alors elle profite de l'attente à Thouars pour soulager ceux qui le désir de leurs péchés, afin de partir à la guerre plus serein.

Douze personnes ont pris rendez vous et Lilyéna est persuadée que si elle n'avait pas dit stop, la liste aurait pu s'allonger encore. Elle attendra l'avis de Nadjka en taverne et les consignes militaires pour se décider à réitérer demain ou pas.

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Petition pour le codage de l'église
Nao_surart
nao arriver a l 'églisse et pousser la porte doucement
pui entré et allez s'assoir et sort sa croix la place entre ces mains et prié en disant doucement

seigneur donner moi la force d oublier mon passer d'avancer
dite a ma famille que les aimes que je vie pour les retrouver
un jour dans une autre vie
que mon coeur saigne qu'il a mal
je vous remercie de m'avoir guider jusqu ici davoir mi un peut de soleil dans mon monde sombre


nao rester quelque instant silencieux a prié et penser
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Morghaan
Une ville est pleine de tentation, c'est un buffet à volonté de vices. Morghaan en prend conscience de jour en jour et s'efforce à rester sur le droit chemin. Derrière les murs du couvent l'ayant vue grandir elle n'avait pas pas la possibilité de se voir confronter à la vie réelle. A présent qu'elle est seule pour se gérer il lui faut parvenir à distinguer les limites, les six chopes de bière consommées plus tôt étaient certainement de trop... Peu à peu elle découvre aussi la gourmandise et tente tant bien que mal de se restreindre afin de ne pas tomber dans l'abus. Par chance son langage reste correct et les habitants de cette ville lui paraissent être d'une bonne influence, la blonde se sent à son aise et apprend avec plaisir à évoluer dans ce monde qui l'entoure.

L'église est toujours un lieu d'apaisement qui l'aide à se recentrer sur sa véritable nature et ses convictions, ce jour là elle se faufile dans ce lieu sacré en silence puis s'installe au fond sur un banc afin de s'y recueillir intérieurement. Les journées sont parfois longues ou difficiles, sa patience mise à l'épreuve, les yeux clos et les mains croisées sur ses genoux elle se contente de rester stoïque et de se vider la tête...

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Odyssee


Dans le village, il y a des moments où le clocher de l'église tinte des glas. Pour moi, c'est comme un appel, sauf que! je n'y vais pas tout le temps, à l'église.
Sauf le dimanche, lorsque Doctorgradus officie la messe. Puis il y a la confesse avec mes drôles de péchés dont je n'en suis même pas consciente.
Qu'importe!
Cet après-midi, je suis entrée dans la grande maison de Dieu. La porte quand je la pousse, il y a un énorme grincement. Cela résonne dans cet intérieur sombre et lourd de siècles.
Cette bâtisse, je l’admire. Je la vois plutôt comme une forteresse. Le cas échéant, elle pourrait très bien protéger tous les Thoursais d'une quelconque invasion, tandis que la défense réserviste, s'occupe des assiégeants félons et des malandrins.

Les pas lents et dévotieux jusqu'au bénitier où je plonge les doigts. Petite genou flexion accompagné du signe de croix, pour ensuite rejoindre le banc du milieu.
Je me mets à genoux. Pour prier je récite le Credo que m'a appris Inracien lors de mon pastoral.
Enfin je poursuis ma prière pour remercier le Très Haut de me donner la chance de vivre à Thouars avec Etiennus ; avec des gens que j'apprécie.
De tout coeur, je souhaite que cela continue. C'est aussi grâce à eux que l'on considère une vie comme réussie.

Enfin, c'est mon opinion. Ensuite, tout est relatif! Si je parviens à rendre heureux les gens, alors je peux dire que j'ai tout bon. Et donc, je souris.
Ma richesse!

Bon, je pense, je pense.. Il faut que j'y aille, maintenant.
Ce n'est pas rien, le rôle de maire! Demain sera un autre jour. Un Grand jour!


Aussitôt pensé, je me mets sur les pieds et je m'en retourne après une nouvelle baignade pour les doigts dans l'eau bénite.
Pour cette fois-là, je me tourne pour faisant face à l'Autel dans le signe de croix.
Et puis, je sors au grand jour. Le ciel est bleu. C'est l'Automne, une saison que j'affectionne particulièrement pour ses mille couleurs changeantes.


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Doctorgradus
Le vieux prêtre afficha sur le panneau de l'église le document que lui avait remis la Garde Épiscopale.



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Père Doctorgradus, vicaire de Thouars, ancien évêque de Poitiers.

Nao_surart
nao entre dans l'église en silence avec une bougie blanche a la main

il s'approche de l'endroit ou on depose les bougie et l'allumé et dit tout bas

seigneur pardonné moi de mon silence et pardonné moi de ce secret que j'ai du mal a dire a mes amis car j'ai si mal a ne pas parler et dite a mon petit bout de choux que sont papa l'aime et qu il lui manque


nao rester silencieux ces larme coulant sur c'est joue

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Archibald_ravier
Il s'appuyait de plus en plus sur l'église. Le bâtiment autant, si ce n'est plus que l'institution.
Les lieux, souvent vides, toujours calmes, l'attiraient.
Oh, bien sur, il avait la foi, comme tout le monde. Ni plus, ni moins.
Enfin, peut être bien plus, à force. Allez savoir, avec toutes ces journées passées à prier. Prier pour ne pas désirer. C'était assez délicat, tout de même. Il se confessait de plus en plus souvent, mais mentait, parfois.
Jouait sur les mots, les maux, surtout. Oui il désirait, et c'était mal. Très mal. Mais beaucoup plus mâle que ce que le confesseur pouvait imaginer. Désirer un homme, avait-on idée ?
Lui, il en avait une bonne, d'idée. Il savait ce que cela faisait, de partager un lit tous les jours avec celui qu'il désignait comme son frère. Celui qui n'était pas, pas encore, non, celui qui ne serait jamais son amant. Pas question de finir par passer l’Éternité sur la Lune. Pas question d'entrainer le blondinet sur ces chemins de la dépravation. Il était tellement innocent, le blond. Tellement pur.
Déjà, qu'il l'aime en retour, qu'il se love contre lui pour dormir, tout fraternellement, c'était... émerveillant. Et dangereux. Tellement, tellement dangereux.
    Alors déconne pas, Dieu. Pave mon chemin de bonnes intentions, laisse moi épouser Isaure. Mon alibi. Mon autre aimée. Celle que j'ai le droit d'aimer. Et de toucher, quand on sera mariés.
    Et ça aussi ça commence à presser, alors déconne pas, Dieu, aide moi à avancer, avancer vite. Il faut que je sois seigneurisé rapidement. Que je sache lire, écrire, monter à cheval sans tomber d'un stupide poney, me battre comme son fantasme, l'Eddard adulé, et surtout, surtout, que je sache correctement la demander au suzerain Dédaigneux.

Ouais, c'était compliqué en ce moment. Mais beau. Si beau. Ils étaient si beaux, tous les deux.
Pantelant, il récita un credo, mains jointes. Mais le credo l'appelait toujours, elle. Après tout, c'était elle qui le lui avait appris, en le lui faisant réciter toute une journée, ne route vers le sud est du royaume.
Et c'était lui qui le lui avait récité, une nuit, bien plus tard, sur tous les tons, au milieu des soupirs, pour le seul plaisir de la faire rougir, longtemps, longtemps après.
Alors il se concentra, récita la prière du pardon du mieux qu'il s'en souvenait. Après tout, il avait beaucoup à se faire pardonner.
    Allez, merci, Dieu. A demain, sur'ment.

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Image d'origine
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