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[RP ouvert] Balade à la rivière

Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au milieu de la nuit

*elle avait accepté son baiser et maintenant elle se collait à lieu avec tendresse. Son corps tout contre lui, une sensation de plaisir mais aussi un sentiment d’anxiété. Elle était toute mince dans ses bras, il appréciait énormément le moment. Il déposa un baiser sur son front. Il resta ainsi pensant à tous les moments passés depuis seulement quelques jours qui les avaient amenés ici. La première fois qui s’étaient effleurés, sa façon de s’assoir sur le comptoir tout près de lui, sa moue qu’elle abusait et qui le faisait craqué à chaque fois, leur premier baiser, leurs discussions au bout de la nuit et maintenant cette nuit…mais il savait qu’il devait respecter les règles, il aurait tout le temps après.*


Tu peux rester dans l’eau ma tendre, je vais aller vider le panier, nous pourrons ainsi manger un peu. Tu sais bien que nous ne pouvons nous nourrir que de notre amour.


*Il se décolla un peu d’elle pour que la tête de Wina ne s’appuie plus sur son cou. Il lui déposa un baiser tendre sur ses lèvres en posant ses mains sur ses hanches. Ainsi en face d’elle, il recula un peu, et descendant son regard, aperçoit, sous l’eau limpide, sa gorge. Il remonte rapidement sa vision vers les yeux de Wina.*


Heu…Prends tout ton temps…tout ton temps.


*Il la lâcha doucement, le plus délicatement possible. Et il se retourna, pensant à ce qu’il avait aperçu et la réaction de son corps sur leur contact prolongé et cette vision. Il secoua un peu la tête et nagea vers le bord du ruisseau.*
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Ce moment de câlin partagé était agréable et les pensées de Wina voltigeaient à grande vitesse entre les moments passés ensemble depuis leur rencontre. Elle n'aurait jamais imaginé que tant de choses puissent se passer en un si court laps de temps et cela continuait de l'étonner.

Il se détacha d'elle en l'embrassant avec une telle douceur qu'elle sentit ses poils se hérisser sur tout son corps, lui procurant une sensation de plus en plus étrange qui ne pouvait être que décuplée par la vue de son corps s'éloignant d'elle et aux réactions que celui-ci avait à ce simple contact entre eux.

Secouant doucement la tête en le regardant s'éloigner pour tout préparer, elle marmonna doucement entre ses dents.*



Grand Dieu, aidez-moi à ne pas craquer parce que là, ce ne sera pas mission facile quand mon cœur et mon corps réclament ainsi de concert de se lier avec cet homme !


*Elle s'allongea sur l'eau sur le dos, fermant les yeux un instant pour se laisser porter par le courant en écoutant le bruissements de l'eau et le vent dans les feuilles des arbres. Elle se sentait bien en ce lieu et de pouvoir partager cet endroit idyllique avec Spawn lui mettait réellement le cœur en joie, même si la nuit promettait déjà d'être aussi difficile qu'agréable.

Après un instant à se laisser porter ainsi, elle se dirigea vers la rive, cherchant du regard où se trouvait maintenant le maire ... et dans quelle tenue, tout en se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir faire pour être un minimum décente avec sa chemise trempée.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au milieu de la nuit

*Il arriva sur la berge, et en évitant de se retourner et se rendit dans sa tente. A l’intérieur, il y prit une grande tunique noir s’y trouvant. Il se couvrit avec en sortant. Il s’arrêta brusquement à la sortie. Elle était là allongée sur le dos, flottant sur l’eau, montrant son corps ruisselant d’eau et brillant sous les lumières de la lune et des étoiles, ses cheveux flottaient tout autour d’elle ; la vue était magnifique, d’une beauté grandiose. Il resta un instant à la regarder, ne pouvant détacher le regard. Elle était magnifique.
Il secoua la tête. Il commençait à le faire de plus en plus souvent …*


Si tu es aussi sûr que cela, pourquoi tu laisses trainer…parce que tu attends le bon moment…Alors provoque le…

*Il regarda de nouveau sa douce et tendre dans la rivière.*


Pas cette nuit…

*Il entra dans la tente qu’il avait réservée pour Wina et sortie avec une grande tunique rouge. Elle était en train de sortir de l’eau. Il s’approcha d’elle en regardant le sol et tendant la tunique *

Ceci est pour toi, une vieille tunique de ma mère, très bien entretenue. Elle devrait te couvrir jusqu’aux genoux. Je ne serais pas contre ta tenue actuelle mais je ne risque de ne pas être très concentré sur tes mots.
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Alors qu'elle s'approchait doucement de la berge, son esprit se concentrant pleinement sur la façon de s'y prendre pour se couvrir un peu et hésitant même à prendre simplement le drap qu'il avait installé au sol, les condamnant à manger dans l'herbe, elle vit son bien-aimé la rejoindre en regardant ses pieds, une grande tunique rouge sur les bras. Elle sourit en le voyant ainsi, tout de noir vêtu et se retenant de la regarder. Il était si charmant qu'elle aurait pu se croire dans un rêve dont elle ne voulait surtout pas se réveiller.

Elle posa les mains sur la berge et se hissa hors de l'eau pour s'approcher de lui, ruisselante. Elle frissonnait légèrement sous la brise légère qui caressait sa peau mouillée et avait durci la pointe de ses petits seins. Elle laissa tomber sa chemise trempée au sol et prit vivement la tunique et se cacha dessous très rapidement en l'enfilant par la tête. Elle flottait un peu dedans mais il fallait bien avouer qu'elle était menue et c'était un plaisir que de se sentir un peu plus décente.*



Merci beaucoup pour cette charmante attention mon amour. Je t'avoue que je me demandais bien comment j'allais retrouver un peu de décence... Je n'y avais guère pensé en m'élançant ainsi dans l'eau. Je m'en serais voulue de perturber ainsi ton attention !


*S'approchant de lui pour glisser ses doigts fins sous son menton un peu râpeux en cette fin de journée, elle releva son visage jusqu'à croiser son regard, lui sourit et vint doucement poser ses lèvres sur celle du grand blond.*


Vous êtes un gentleman Messire Spawn ! Mais vous pouvez relever les yeux à présent.


*Elle se mit à rire et rougir à la fois, tout à fait consciente tout à coup qu'il était fort peu probable qu'il ne l'ait pas vue ainsi dévêtue alors qu'elle se laissait aller dans l'eau claire de la rivière et que même à la faveur de l'obscurité nocturne, sa peau pâle devait être visible.

Elle glissa sa petite main fine dans celle de Spawn et l'attira vers le grand drap pour s'asseoir dessus et l'attirer tout contre elle, la tête posée sur son épaule.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

* Il tenait la tunique rouge avec ces deux mains ainsi devant lui attendant qu’elle sorte de l’eau. Il aperçut ses pieds, lui qui regardait le sol pour ne pas voir de nouveau sa nudité, même si la tentation était bien là présente, le dévorant. Puis ses yeux virent le bas de ces jambes, toujours aussi douce et couleur pêche, Il appréciait à les regarder à chaque fois qu’elle grimpait sur le comptoir habillée d’une simple chemise très courte, les croisant avec délicatesse. Sa chemise tomba brusquement auprès d’elle, alourdit par le poids de l’eau, le sortant de ses pensées.*



J’avais préparé dans chacune de nos tentes une tenue de rechange sachant très bien que nous pourrions résister à l’appel de l’eau sous cette chaleur. Pour mon attention, ne t’inquiète pas, elle sera surtout pour toi.



*Elle posa sa main sur son menton. Elle le fixa, il baigna de suite son regard sur le sien, où il aimait s’y noyer dans ce gris magnifique et ensorcellant. Il se laissa faire en montrant un large sourire. Elle l’embrassa, qui le fit frissonner. Les sentiments se multipliaient sous cette belle nuit étoilée et Spawn était comme sur un nuage. Il ne cessa de la regarder tendrement jusqu’à qu’elle lui prit la main et l’emporta sur le drap, qu’il avait posé auparavant.

Ils étaient assis ainsi tous les deux sur le drap, la tête de sa bien-aimée sur son épaule. Le panier de victuailles était là à sa gauche. Il retira le petit tissu posé dessus et sortie deux verres et une bouteille de vin. Il posa la bouteille entre ses cuisses et retira le bouchon de la main gauche. Son autre main était posé sur l’épaule de Wina. Il remplit les deux verres, donna un des verres à sa tender et prix l’autre.*


A nous deux, à notre amour. Cela fait peu de temps que nous sommes vus, connus, appréciés…mais une chose est maintenant clair pour moi, je t’aime.

*Se penchant un peu il déposa un tender baiser sur ses lèvres rubicondes.*
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Elle était détendue ainsi installée sous le clair de lune auprès de l'homme qu'elle aimait. Elle avait les yeux mi-clos et profitait pleinement de cet instant. Elle reporta pleinement son attention vers lui en le voyant sortir de son petit panier d'osier une bouteille de vin. Depuis combien de temps n'avait-elle pas goûté à ce merveilleux nectar ? Elle accepta le verre avec un charmant sourire, ne quittant plus son regard vert-gris du sien, rosissant de plaisir en l'entendant ainsi déclarer sa flamme de la façon la plus claire du monde. Elle n'attendit pas après leur tendre baiser pour lui répondre d'une voix presque enfiévrée.*


A nous deux mon bien-aimé. Je n'aurais jamais cru pouvoir un jour rencontrer quelqu'un comme toi et encore moins d'en tomber éperdument amoureuse ainsi en si peu de temps. Je ne peux imaginer la vie sans que nous soyons côte à côte en regardant ensemble vers l'avenir. Je t'aime.


*Elle approcha son verre de celui de Spawn pour trinquer avec lui, ses yeux pétillants de bonheur plongés dans ceux du blond. Les deux verres tintèrent dans un joli son avant qu'elle ne trempe ses lèvres dans le délicieux breuvage et s'en désaltère avec un petit soupir de plaisir évident.*


Absolument délicieux ...


*Elle avisa une petite pierre plate qu'elle déposa sur le drap pour y poser son verre sans risque avant de chaparder celui de Spawn avec un air taquin pour le placer au même endroit. Elle poussa ensuite doucement le maire jusqu'à ce qu'il se retrouve couché sur le drap et vint se caler doucement à son côté, sa tête au creux de son cou et son bras posé simplement sur son torse.*


Ce qui est magnifique dans un endroit comme celui-ci, c'est qu'il permet certaines fantaisies qui sont plus compliquées ailleurs ... Je t'avoue que je commence à avoir sérieusement faim, mais j'ai envie de profiter de cette place dans tes bras sous le regard rieur de la lune...
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Il était maintenant allongé sur le drap allongé sur le sol, avec la femme qui l’aime regardant le ciel étoilé dans une agréable douceur d’été. Une de ces mains se posa doucement sur le coude de sa bien-aimée puis glissa jusqu’à son épaule passant ainsi sous sa tunique pour garder le doux contact de sa main sur cette douce peau presque aussi doux que le velours. Il ne pensait plus à ses vaches, son atelier, son bureau de maire, ses obligations de maréchal, il ne pensait qu’à elle, à eux, au présent*


Moi aussi, Ma Tendre, j’ai faim, mais pas encore assez pour te lâcher et de ne pas profiter de ce moment avec toi. Tu as su et tu continu à me faire apprécier chaque moment de la vie et plus particulièrement ceux passés avec toi.


* Il lui parla tout en regardant le ciel étoilé, et cette lune belle et brillante. Il profitait de la vue, laissant sa main glisser de son épaule à son cou et de son cou à son épaule, doucement et délicatement. Cela faisait plus de 25 ans qu’il n’avait pas tenu une femme de cette manière dans ses bras avec tendresse et amour. Il ne l’imaginait plus, et c’est cela qui rendait ce moment encore plus magique et irréel.

Il voulait rester ainsi tout la nuit. De cette manière, ils respectaient le Tout-Puissant, collés l’un à l’autre profitant de leurs contacts et de leurs odeurs.*


Tu sais Ma Tendre, je ne suis né dans cette région et je ne l’ai pas quitté depuis 45 ans. J’y suis bien et encore plus avec toi. Je ne crois pas que je la quitterai un jour. Si un jour tu veux voyager, voir de nouveaux horizons, je ne suis pas certain que j’aurai l’envie.
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Sa main glissant contre sa peau la faisait frissonner légèrement et elle se sentait si bien à cette place que ce fut presque une torture que de se redresser légèrement mais elle voulait le regarder droit dans les yeux pour ce qu'elle avait à lui dire. elle voulait être sûre qu'il comprenne bien et surtout qu'il se le rentre dans le crâne une fois pour toutes.

Elle l'enjamba pour s'asseoir sur son torse et lui attrapa les mains, ne le lâchant pas un instant de son regard perçant. Elle avait bien conscience de ne pouvoir le bloquer ainsi s'il décidait de bouger ... elle faisait même un peu demi-portion ainsi sur lui mais au moins ne risquait-elle pas de lui faire mal.*



Mon tendre ami, je vais tenter d'être aussi claire que possible... Si je devais avoir envie de partir un jour, nous en discuterons avant parce que je ne pense pas pouvoir me passer d'être à tes côtés, mais pour l'instant, à part visiter éventuellement le Comté, je n'ai nulle envie de me balader dans le Royaume. Peut-être un jour voudrai-je aller voir ma famille, quand les approcher ne me fera plus courir aucun risque, mais à ce jour, ma seule envie c'est de relancer l'activité dans notre ville et de rester avec toi ... Te quitter... ce n'est juste pas envisageable !


*Elle se pencha sur lui, sa chevelure encore mouillée tombant contre son visage comme un rideau les cachant aux yeux de la rivière et elle posa doucement les lèvres sur les siennes, lâchant ses mains pour en poser une sur son torse et la seconde pour lui caresser la joue avec tendresse. Elle espérait qu'il comprendrait à quel point elle était sérieuse sur ce sujet. Elle tenait trop à lui pour avoir envie qu'il s'inquiète.

Elle se redressa après ce chaste baiser et le regarda d'un air taquin.*



Et si nous parlions de ce repas ? J'espère que mon bien-aimé à prévu autre chose que ses douces lèvres à me laisser dévorer ou je risque bien de ne pas me tenir de façon correcte bien longtemps après cette longue journée à la mine !


*Toujours assise sur lui, elle le regardait avec un petit sourire en coin, ne semblant pas montrer la moindre intention de le laisser se relever pour l'instant.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

* Elle se retrouva rapidement dessus lui. Un peu surpris au début, il la laissa agir sans donner aucune résistance. Il écouta ensuite faisant dessiner doucement et surement un large sourire sur son visage. Tout se dissiper dans sa tête, il regrettait même d’avoir dit ses mots. Elle se pencha sur lui et elle l’embrassa, le faisant frissonner comme à chacun de leur baiser. Ses yeux n’avaient pas quitté les siens, buvant ses paroles et hypnotisé par sa beauté.

Après ces derniers mots sur le repas, il ne répondit pas de suite. Il se contenta de la regarder avec un grand sourire comme s’il préparait quelque chose. Mais rien n'arrivait.*


Mon amour tu, me dit ne pas te tenir de façon incorrecte si je ne te donne pas assez en nourriture terrestre…Tu me fais vraiment regretter d’avoir rempli mon panier.
Je voulais te dire que je suis désolé d’avoir parlé de voyage, d’aventure… Pardonne-moi pour ce que j’ai dit. J'ai confiance en toi, et je n'aurais pas du émettre pas mes mots cette évidence.


*Il se redressa sans difficulté, elle toujours assise sur lui et lui assis sur le sol. Ils étaient maintenant l'un en face de l'autre, très proche. Il passa une de ses mains dans son dos et l’autre sur sa nuque. Il approcha ses lèvres au sienne et l’embrassa tendrement.*

Voici pour l’entrée. Pour le reste ce n’est pas un grand repas. Il s'agit juste une bonne raison de ne pas nous quitter dès notre sortie de taverne.

*Il sortit de son panier dans un premier récipient une coupelle où se trouvé des fruits, des abricots et des pêches. Il attrapa les verres posés sur des pierres et offrit son verre à Winna. Puis il attrapa un abricot et le tendit délicatement aux lèvres de sa tendre.*
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Son sourire s'étirait sur son visage à mesure que celui de son bien-aimé faisait de même. Il semblait avoir parfaitement compris ce qu'elle voulait lui dire mais elle n'avait jamais souhaité qu'il se sente mal d'avoir dit quelque chose et à ses plates excuses, c'est l'impression qu'il donnait. Elle n'eut pas l'occasion de réagir de suite, se retrouvant tout à coup presque collée contre son torse alors qu'il s'était redressé sans la moindre difficulté et avait posé tendrement ses lèvres contre les siennes.

Son cœur battait à toute allure en sentant leurs torses se frôler pendant leur baiser ou lorsqu'il tentait d'attraper à boire ou à manger. Elle en avait quelques gouttes de sueur qui coulaient le long de sa colonne vertébrale,intimidée de cette proximité comme à chaque fois qu'ils se rapprochaient un peu plus.

Elle n'avait pas dit mot depuis sa réaction et le regarda approcher de ses lèvres un abricot juteux dans lequel elle mordit à belles dents jusqu'au noyau pour arracher un bout de chair orangée et pulpeuse. un peu de jus fruité glissa à la commissure de ses lèvres jusque sur son menton. Elle ferma les yeux un instant en appréciant la fraicheur du fruit avant de prendre le temps de répondre à son compagnon en passant ses bras autour de son cou, les collant l'un à l'autre, et en venant poser son front contre le sien.*



Tu sais, je ne voulais pas de tes excuses ... parce que tout simplement il n'y a rien à pardonner ! Tu m'as fait part de ton sentiment et je le respecte. Je voulais juste te faire également part du mien. Je ne peux donc en aucun cas accepter que tu sois désolé, tu n'as pas à l'être !

Quant à ce repas, j'aime beaucoup à la fois l'entrée et le plat, et je ne vois aucune raison de dire que les magnifiques fruits de nos vergers ne sont pas un grand repas ! Je trouve qu'ils sont grandement sous-estimés ! Et je pense que c'était nécessaire de remplir ton panier... Nous avons chacun juré bien des choses, à nous-même ou à notre propre foi et je ne vois pas l'intérêt de les renier ! Nous sommes plus forts que cela, même si j'avoue que c'est loin d'être aisé !



*Elle avait le souffle un peu court entre sa tirade et cette position inhabituelle qui les maintenait si proches l'un de l'autre qu'elle en était enivrée par son odeur et par les pulsations de son cœur qu'elle sentait contre sa poitrine. Elle le regardait, les lèvres légèrement entrouvertes et le regard brillant et fiévreux, jouant dans ses mèches blondes d'une de ses mains et caressant sa nuque de l'autre.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*La vue de sa tendre mangeant le fruit tenu par sa main, le mit dans un état étrange, où se lier chaleur, frissonnement ainsi un plaisir envahissant.
Elle posa son front sur le sien toute en passant ses mains dans son cou. Les quelques poils s'y trouvant se dressèrent légèrement. Dans cette douce position où sa poitrine se collée à la sienne, elle lui exprima ses sentiments sur les excuses qui avait exprimées et sur le repas, simple et frais qu’il avait préparé. Il l'écoutait religieusement.*


Oui, ma tendre, c’est et cela sera loin d’être aisé pour nous. Mais nous suivrons notre foi.

*Il posa ses mains sur les hanches des bouts des doigts*
Il est vrai que j’adore aussi bien ton esprit, ton caractère, ta vivacité…que ton corps …

*Il retira une de ces mains de sa hanche, et passa son index autour de son œil, glissant d’abord sur son sourcil puis en dessous, très lentement profitant du moment *
Tes yeux clairs et limpides. Avec ce gris vert, me rappelant l’eau de ce ruisseau, où maintenant que je suis certain pour mon amour pour toi, je m'y noierai chaque jour que Dieu me fera.

* Son doigt glissa sur le son nez en commençant par la racine, glissant sur l’arête et faisant le tour d’une des ailes *
Ton nez avec une belle courbure comme le reste de ton corps et ces ailes arrondies à la perfection qui m'ensorcèlent à chaque instant.

*Son index passa sur ces deux lèvres délicatement sentant encore sous son doigt les reste d’abricot*
Tes jolies lèvres où…comment dit-on encore …je ne sais plus, cela reviendra un jour… les crêtes de tes lèvres sont bien dessinés, que cela soit les deux pointes qui remontent que celle descendant vers le centre de ta bouche, indiquant ainsi où t’embrasser. Elles sont d’un rouge qui attire l’œil et qui ne font que t’apprécier encore plus intensément.

*Son doigt se détacha de son visage passant devant ses seins sans y toucher *
Deux astres d’une noble rondeur, tentants et que l’on devine ravissants malgré l’entrave des tissus qui les couvrent.
Tu es parfaite, mon amour.


* Avec sa main sur sa hanche, il conserva le contact entre le corps et l’embrassa avec tendresse glissant son autre main dans son dos remontant très lentement et avec tendresse sa colonne vertébrale*
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Elle se sentait déjà fiévreuse par la position et les mots qu'ils s’échangeaient, mais ce n'était rien comparé aux caresses qu'il lui prodigua alors du bout des doigts en détaillant tout ce qu'il aimait chez elle, la faisait rougir et lui donnant si chaud qu'elle avait bien envie de courir à nouveau vers la rivière pour y plonger toute entière. Elle s'arrêta brusquement de respirer lorsqu'elle sentit ses doigts quitter ses lèvres rubicondes pour descendre vers ses petits seins et elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit gémissement lorsqu'il les complimenta sans les toucher. Elle aurait fait de l'ombre aux pivoines, aux coquelicots et aux roses du rouge le plus pur et il arriva à faire une chose que peu pouvait se targuer d'avoir réussi avec elle... lui couper la chique au point qu'elle ne sache plus que dire.

Elle le sentit glisser sa main dans son dos pour le caresser tendrement et ses lèvres se poser sur les siennes, toujours entrouvertes. Les pensées voltigeaient dans son esprit et tout y semblait chamboulé en cet instant. C'est à peine si elle savait encore comment elle s'appelait après de telles déclarations mêlées de tant de sensations nouvelles pour elles.

Elle se laissa aller contre lui, oubliant tout, se serrant contre son torse musclé et son ventre moelleux, glissant ses mains pour s'agripper à sa taille et dans sa nuque avec toute sa force de jus de carotte et serrant ses cuisses musclées entre ses genoux posés de part et d'autre de lui, comme si elle ne voulait surtout pas le laisser partir. Le tendre baiser qu'il lui prodiguait se transforma doucement en quelque chose de plus fougueux, sauvage et passionné.

Même si elle avait recouvré ses esprits et l'usage de la parole, elle n'aurait su que dire que ce baiser n'exprimait pas déjà mieux... parfois une action vaut bien mieux qu'un long discours. Elle aurait pourtant eu envie de lui dire tout ce qu'elle aimait chez lui, mais elle n'y arrivait pas, elle en avait les larmes aux yeux de bonheur de sentir tout l'amour qu'il envoyait vers elle alors qu'elle n'avait jamais été que quelqu'un qu'on considérait comme pouvant être vaguement utile. Sans qu'elle puisse l'expliquer, elle se mit à pleurer, rendant leur baiser salé, toujours fermement accrochée à lui comme si sa vie en dépendait.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit
*A la suite de ces mots, un long moment de plaisir suivit, avec sa bien-aimée collé à lui. Le baiser offert par Wina était d’une fougue qui monta la température de son corps au point de sentir des gouttes de sueurs sur ses tempes, son dos et ses mains. mais ce n'est pas une des gouttes de sueurs qu'il sentit glisser sur sa propre joue. Il se détache doucement de l’étreinte, et fixa sa bien-aimée. Il essuya les quelques larmes sur son visage..*

Je crois bien que cela va trop vite pour nous deux, nous avons du mal à contrôler nos sentiments. Nous devrions ralentir, mon amour. Pour que nous puisons ravir et profiter chaque moment.

*Il attrapa la coupe de fruits et l’apporta entre tout les deux en gardant leur position, elle, assise sur ses cuisses. leurs corps l'un en face de l'autre. Lui , les yeux dans les siens.*

Mangeons, buvons et profitons de la quiétude de cette nuit.
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Il était si doux et attentionné avec elle qu'elle en était toute perturbée. Elle ignorait encore il y a à peine quelques jours que deux personnes pouvaient réellement compter à ce point l'une pour l'autre et vouloir tout faire pour l'être aimé. Elle le regardait, fixant ses yeux gris-vert alors qu'il essuyait ses larmes et suggérait d'y aller piano mollo. Elle lui sourit doucement et prit une pêche en hochant la tête.*


Je suis désolée. C'est juste ... beaucoup de changements et je suis heureuse. Ca coule tout seul !


*Elle mordit à pleines dents dans le fruit juteux, se régalant de son parfum prononcé et de son goût fort et mangea un moment en silence en regardant son bien-aimé si proche d'elle.*


Je ne parviens pas à comprendre pourquoi les vergers sont si peu remplis finalement... Ces fruits sont tellement bons que les habitants devraient se ruer à leurs échelles... Pas étonnant que l'économie se porte mal et que bien des produits manquent sur le marché.


*Elle soupira, ses pensées voltigeant sur la façon de s'y prendre pour pouvoir relancer le village à ce niveau mais la question était complexe... trop pour une aussi agréable soirée. Elle acheva sa pêche et jeta le noyau dans la rivière avant de poser ses lèvres doucement sur celles du maire.*


Je pense que je vais travailler un moment sur un petit projet que je présenterai au charmant maire de la ville d'ici peu... J'ai peut-être une petite idée, mais j'ignore encore si elle portera ses fruits... c'est le cas de le dire !
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit
*Les yeux gris de sa bien-aimée brillaient de mille feu, Spawn lisait son amour et son affection à la perfection. Ses yeux parlaient pour elle. Quand elle prit la pêche, il fit de même et la mangea rapidement, l’écoutant parler. Il était ému par son regard, ses mots. Il rougit un peu sur l’émotion, elle était heureusement, ces mots étaient important pour lui.*

Ne soit pas désolé mon amour. J’aime en toi, ta spontanéité, ta franchise, ton laissé aller. Non tu n’as aucune raison d’être désolé. Continue à être toi et ne rien cacher. C’est bien pour cela que tu as quitté tes parents, pour être toi, pour exprimer tes sentiments, tes envies. Et moi, c’est cette femme qui m’a charmée, qui m’a ensorcelée.

*Il reprit une autre pêche dans le récipient entre eux, imitant son amour pour se débarrasser du noyau précédent.*

Nous manquons cruellement d’habitants mon amour. C’est le point le plus important dans notre ville, et le verger en écope les conséquences en premier. Il est vrai qu’avec plein de fruits nous pourrions négocier avec les autres villes et même tout le comté y gagnerait.

*Il haussa les épaules en mettant sa nouvelle pêche dans sa bouche en écoutant, toujours son regard ans le sien.*

C’est bien d’avoir plein de projets, cela dynamise la ville. Si tu as besoin d’aide pour ton idée, n’hésite pas à venir me chercher, chez moi ou en taverne.

*Il finissait ses pêches très rapidement. L’expression, l’appétit venait en mangeant, prenait son sens à ce moment .Il dévorait ses fruits et les yeux de sa tendre.*
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