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[RP ouvert] Balade à la rivière

Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi
*Il était à peine arrive à ses pieds qu’elle se mit à genoux devant lui. Elle se mettait en position d’imploration. Il se figea, que cela soit son visage avec sa bouche entrouverte, que son corps. Elle devait surement une chose importante. Il pensa au mariage, mais cela était vraiment trop tôt. L’envie d’enfreindre les dogmes de la religion dans la passion charnelle, non, ils étaient trop impliqués dans la foi et l’Eglise, même si la tentation était présente. L’envie de voyager, sachant que lui, ne le voulait pas, non elle lui avait déjà confirmé son vœu de rester sur Laval. Son visage de désagrégeait à chaque nouvelle pensée traversant son esprit quand elle prit la parole d’un sérieux qui le glaça.

Il l’écouta et un large sourire se dessina sur son visage. Il secoua la tête et tomba à genou devant elle sans dire un mot. Il retira les fleurs sur sa boutonnière et la glissa au-dessus de son oreille droite dans ses cheveux noirs et brillants. Il resta sérieux et la regarda fixement dans ses yeux gris.*


Dame Wina, j’accepte avec un grand plaisir de devenir ton parrain, je t’accompagnerai avec grand plaisir sur le chemin qui te mènera dans cette grande famille de L’Église Aristotélicienne.

* Il ne pu garder son sérieux plus longtemps et éclatera de rire *

Bien sûr que oui que j’accepte. Tu me tueras un jour, tu m’as fait peur. J’ai cru plein de choses, même que tu étais malade et que les médicastres ne pouvaient t’aider.

*Toujours à genou, il posa ses mains sur ses hanches l’approcha doucement et l’embrassa.*
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Etait-elle allée trop loin ? En regardant la tête qu'il faisait, elle se le demandait, mais elle fut soulagée de le voir tomber à genou en face d'elle pour glisser les fleurs magnifiques qu'il avaient cueillies dans sa chevelure et lui répondre avec beaucoup de sérieux... avant d'éclater de rire. Elle pousse un petit soupir de soulagement et répondit à son baiser en l'enlaçant tendrement.*


Merci mon bien-aimé ! Tu n'imagines pas à quel point cela compte pour moi que ce soit toi ! Mais je suis désolée de t'avoir fait peur néanmoins. Je me sentais d'humeur taquine, mais je n'imaginais pas que tu t'inquiéterais en réalité... Ces fleurs sont magnifiques ! Merci beaucoup ...


*Elle l'embrassa avant de sauter sur ses pieds pour lui tendre la main et l'aider à se relever. Elle souriait de toutes ses dents et paraissait vraiment heureuse et apaisée, regardant le grand bleu avec des yeux brillants de plaisir et d'amour.

Elle l’entraîna au bord de l'eau et l'invita d'un geste à s'asseoir au bord de la rivière, ce qu'elle fit en plongeant les pieds dans l'eau.*



Je me suis dit que pour fêter cette bonne nouvelle, un petit repas dans ce lieu magique serait tout-à-fait opportun !


*Elle ouvrit son petit baluchon en le posant à côté d'elle comme une petite nappe, découvrant quelques carottes pelées, un morceau de viande séchée, deux petits pains ronds encore tièdes et un melon.*
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Le baiser fut tendre et d’un agréable moment. Le baiser finit, elle se leva. Sa tête au niveau de son ventre, elle était de tout bleu vêtue, une couleur qui lui allée si bien avec sa si belle peau de pêche et ses doux yeux gris. Il leva justement ses yeux vers les siens avec un grand sourire.

La main de la belle se tendit vers lui, il l’attrapa sans une seconde d’hésitation en l’empoignant fermement. Il se leva ainsi s’aidant surtout de ses jambes pour se lever et guidé pas la petite menotte entièrement cachée dans l’importante main de Spawn.

Il la suivit sans dire un mot, toujours la regardant avec amour et passion. Ils étaient maintenant assis sur le bord de leur rivière. Il retira ses bottes et l’imita en mettant se pieds dans l’eau. L’eau n’était pas très froide vu l’heure de la journée, le soleil avait fait son travail. Mais l’eau entre ses orteils étaient très agréable et donné une sensation d’apaisement. *


C’est une très bonne idée, mon amour. J’apprécie vraiment ces moments ensemble et surtout ici. Ils sont de plus en plus nombreux, mais j’aimerais toujours qu’il y en est plus.

* Il la regarda défaire son baluchon et se ravi en voyant le repas qu’elle venait de découvrir.*

Nous allons nous régaler.

*Il posa sa main sur sa joue et se pencha au-dessus de la nappe et déposa un baiser.*

Merci...Je t’aime.
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Les pieds dans l'eau, ils se regardaient, n'ayant pas vraiment besoin de parler pour se sentir bien. Le bruit de l'eau qui coulait et glissait entre leurs orteils était comme un doux murmure qui chantonnait à leurs oreilles et la jeune femme sourit en voyant son bien-aimé apprécier à sa juste valeur le calme et la beauté de ces lieux. Non loin d'eau, un petit écureuil les observait du haut d'un arbre tout en jouant à se cacher entre les branches comme un enfant coquin.

Frissonnant des doux mots d'amour qu'il prononçait envers elle, Kalawina prit une toute petite carotte entre ses dents et s'en vint esquisser un baiser à son compagnon, presque aussi joueuse que le petit rongeur qui semblait s'amuser la haut. L'embrassant tendrement, elle croqua en même temps la carotte pour lui en laisser la moitié et le regarder avec un petit sourire taquin.*



Tu sais, cet endroit est vraiment celui qui m'a fait aimer Laval dès les premiers instants. Je crois qu'il est très prometteur. Et je voudrais te montrer quelque chose plus loin auprès de cette rivière tout à l'heure. C'est juste à la sortie de la ville, en-dehors des remparts, mais c'est un endroit magnifique où il doit faire bon vivre je pense.


*Elle lui sourit, mystérieuse et attrapa la viande séchée qu'elle coupa en deux en s'aidant de ses dents pour en glisser la moitié dans un petit pain et le tendre à Spawn avant de faire la même chose pour elle-même.*


Bon appétit mon bien-aimé. J'espère que cela te plaira avant notre petite balade ! Et penses-tu que le week-end du 11 août pourrait te convenir pour mon baptême si Monseigneur Dragon Noir est disponible ? Cela me permettrait de prévenir Monseigneur Rookie et les quelques personnes que je connais par ici.
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi
*Oui, Il profitait du moment. Que pouvait-il faire en ce moment ? Il était entouré de la nature, belle et resplendissante et par la personne qu’il aimait le plus au monde. L’eau continuait à virevolter entre ses orteils paisiblement, donnant un sentiment de vie et aussi de liberté et tranquillité.

Elle lui apporta aux bouts de ses lèvres un morceau de carotte avec l’aide de ses dents. Le contact de leurs lèvres lui fit frissonner un peu, appréciant le petit jeu sensuel de sa bien-aimée. Ill attrapa la moitié du morceau de carotte et la mâcha tranquillement, gardant ses yeux dans les siens.*


Un endroit en dehors des murailles ? Sur le bord de NOTRE rivière ?Et bien, je crois que je vais te suivre avec grand plaisir, je suis vraiment curieux de voir ce lieu que tu dis magnifique..

*Il prit ce morceau de pain avec en son sein ce morceau de viande qu’elle lui tendit. Il le porta à sa bouche et commença à manger en l’écoutant..*

Bonne appétit Ma tendre. Sinon, pour le week-end du 11 août cela sera parfait. Je suis disponible pour toi et heureux de te voir te baptiser.

*Il finit de manger sa viande et son pain, tranquillement, mâchant lentement et presque méthodiquement, toujours son regard vers ses yeux..*
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Le repas semblait plaire à Spawn, tout autant que l'endroit énigmatique où elle comptait l'emmener. C'était tellement mignon qu'il considère l'endroit comme leur rivière, comme s'ils pouvaient avoir quelque possession sur la nature. Cela la fit sourire de toutes ses dents. Plus elle l'observait, plus elle avait envie de rester à ses côtés sans être séparée de lui plu de quelques instants et chaque séparation était comme une torture imprimée au fer dans sa chair, comme si elle se retrouvait avec un morceau d'elle manquant.

Elle ne l'avait pas quitté des yeux pendant tout le temps où elle mangeait son petit pain, en silence, se contentant de s'abreuver de sa présence et de respirer son odeur qu'elle trouvait enivrante. Elle garda encore ses yeux plongés dans les siens plusieurs minutes après que les petits pains disparaissent dans le fond de leur gosier avant de revenir à elle et de partager le melon en enfonçant une petite pierre légèrement pointue dans l'écorce du fruit pour taper dessus avec un second caillou doucement, méthodiquement sur tout le tour du fruit jusqu'à ce que celui-ci se sépare en deux, découvrant une chair orangée très parfumée. Elle sépara à nouveau chaque moitié en plusieurs morceaux plus facile à manger avec les doigts sans se couvrir le visage de jus collant. Elle en tendit un morceau à son bien-aimé avant de plonger elle-même les dents dans la chair savoureuse.*



Décidément, excellent ! Mhh, et garde les pépins qui sont dedans. C'est délicieux grillé au feu de bois dans une salade !


*Elle lui sourit et entreprit elle-même de garder les précieux pépins dans un petit morceau de tissu blanc. Elle acheva de manger et attendit qu'il fasse de même avant de se lever en lui tendant la main.*


Si vous êtes curieux Monsieur le Maire, venez donc découvrir ce petit endroit enchanteur de votre village ! Mais d'abord ...


*Elle attrapa alors le petit morceau de tissu et se rendit à la rivière, le fermant en petite boule pour le plonger dans l'eau et l'en sortir en le frottant entre ses mains, nettoyant comme elle le pouvait les pépins. Elle rouvrit son petit sac et retira les filaments orangés encore dans les pépins pour les enlever et réitéra l'opération jusqu'à ce que ce soit parfaitement nettoyé. Elle glissa alors la petite boule de tissu remplie dans une bourse en cuir vide et revint près de son compagnon en souriant.*


Prêt ? Nous y allons ?
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi
*L’invitation au bord de ce ruisseau lui avait plaisir et il appréciait le moment. Il n’avait pas été surpris par le repas offert . Mais l’invitation à une visite l’intriguait. Il mangea le melon tendu en pensant toujours à ce mystérieux lieu.*


Oui, j’adore ce fruit surtout en fin de saison, il est très juteux. Mais pour les pépins je n’ai jamais mangé les pépins. Tu seras obligé de m’y faire gouter.


*Elle lui laisse les pépins et finit de manger son fruit toujours la regardant amoureusement. Elle l’invita à se lever en se levant elle-même. Il lui prit la main et se leva brusquement tout proche d’elle et lui déposa un baiser furtif sur ses lèvres.

Elle entreprit le nettoyage des pépins au bord du ruisseau. Il la regardait ainsi accroupie avec sa splendide chevelure tombant sur son dos, ses hanches fines et dessinées harmonieusement. Il ne se lassait pas de la regarder, il remerciait Dieu de lui avoir fait croisé son chemin. Elle se releva enfin et revient à lui *



Oui, je suis prêt. Allons-y, je te suivrais où tu voudras.
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Il semblait qu'il ne pouvait s'empêcher de la dévorer des yeux et ça la perturbait à chaque fois tant elle avait du mal à croire en sa chance depuis qu'elle était arrivée dans cette ville magnifique. Peut-être n'y avait-il pas grand monde mais ceux qui vivaient ici ne manquaient pas de piment et les visiteurs qui passaient la rendaient curieuses de la vie qui se vivait dans d'autres régions.

Son compagnon prêt à la suivre, elle attrapa sa main en se glissant à ses côtés et l'entraîna le long de la rivière vers la sortie de la ville, ne s'éloignant pas de l'eau et marchant tout à son aise. Elle s'arrêtait fréquemment pour lui montrer des têtards qui gigotaient dans la rivière, un héron qui se tenait là sans s'effrayer de leur présence ou encore pour ramasser un coquelicot et venir le glisser sur la chemise du maire, donnant une petite touche de rouge supplémentaire à son habillement.

Chemin faisant, elle ne pouvait s'empêcher de raconter toutes les différences entre la vie ici et celle qu'elle avait connue.*



Tu sais, c'est une chance de vivre dans des lieux aussi magnifiques, sans devoir obligatoirement passer dans des rues étroites qui puent la merde et enjamber les détritus que les gens jettent dans la rue des bas-quartier. Ici, seule la nature a pris possession des lieux et elle ne fait que nous tolérer si nous la respectons. C'est l'une des choses que j'aime dans ce lieu magique...
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi
*Elle lui avait pris sa main et il ne la quittait plus. Il la suivait d’abord par la curiosité de la surprise qu’elle lui avait faite mais aussi pour la joie d’être avec elle dans ce beau début d’après-midi.

Le voyage devenait très créatif, qui apportait à cette ballade un aspect très vivant. Elle lui redonnait l’envie d’apprécier de nouveau son entourage, la nature qu’il l’entourait. Il n’avait connu que cela depuis sa naissance et il ne regardait plus, ne faisait plus trop attention. Elle lui montrait la chance qu’il avait de vivre ici. Elle lui posa un coquelicot sur sa chemise, qu’il renifla doucement.*


Merci Ma Tendre.

*Elle avait vécu dans une grande ville, rien avoir à la vie qu’il avait vécu. Il pensa qu’il devrait un jour lui montrait les villages alentours qui étaient encore plus proche de la nature, comme Interamnes et ses 3 rivières, le Presbyster de Bono Campo et bien sût où il a le plus vécu, Meslay. *

Oui, j’ai de la chance, et tu as raison de me le rappeler. J’avais oublié. Mais une chose est sure, tu me confirmes que j’irais jamais dans une grande ville, comme la capitale.
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Elle semblait perdue dans ses souvenirs tout en étant pourtant présente, accrochée à la main du blond qu'elle entraînait à sa suite. Elle s'arrêta un instant, les yeux dans le vague suite à ce qu'il disait sur les villes, puis elle plongea son regard dans le sien, les yeux légèrement embués par la tristesse qui était sienne lorsqu'elle repensait à ces lieux fréquentés si souvent.*


Tu sais ... j'aurai peut-être envie un jour de retourner là-bas moi. Non que ça me manque, mais ... même si Père et Mère ont bien des défauts, j'aimerais te les présenter un jour je crois. Ils restent ma famille, que je le veuille ou non ...


*Elle lui sourit et prit sa deuxième main en venant plus près de lui. Ils étaient entrés sous le couvert des arbres et un rayon de soleil venait dorer la chevelure claire de Spawn. La jeune femme ne put s'empêcher d'y passer la main en le regardant avec tendresse.*


Cette famille-là, je ne l'ai pas choisie, mais elle fait partie de moi. Et crois-le ou non, il y a aussi de belles choses à la capitale, même si j'ai haï bien des façons de faire et des gens par là-bas ! Alors oui ... peut-être un jour aurai-je envie de te faire découvrir cette partie de ma vie ... si tu le veux. Quoiqu'il en soit, je ne suis pas sûre de vouloir y retourner sans toi à mes côtés et encore moins affronter Père et Mère sans la famille que j'ai choisie.


*Elle l'embrassa du bout des lèvres avant de l’entraîner plus avant dans le sous-bois qui menait à la sortie de la ville et où elle avait repéré l'endroit qu'elle comptait lui montrer.*
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Elle avait des yeux tellement triste quand elle prit la parole qu’il resta un peu stoïque, leurs mains tenant ceux de l’autres. Il écouta attentivement, gardant un visage sérieux. Elle avait su lui dire les mots qu’il fallait. Il n’aimait pas les grandes villes et les mots qu’il lui avait dits ne réfléchissaient qu’à son déni.


Mais le rapport qu’elle tenait envers sa famille l’avait ému. Cette relation intime et fusionnelle malgré les désaccords qu’ils avaient. Il n’avait jamais connu ses parents et sa vie de famille avait été très compliquée. Mais il comprenait ce qu’elle exprimait, il avait eu trois enfants, qu’il avait élevé seul. Mais la relation de famille n’avait jamais été très forte.
Il n’arrivait pas à exprimait quoique cela après ses mots.


Il se laissa embrasser et entrainer plus loin, toujours curieux du lieu où ils se rendent..*
Roseflamboyante
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

[Une brochette d'amoureux, ça vous tente ?]



*Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait plus dû dormir à la belle étoile, sans une bande de chiens galeux à sa botte pour venir la servir et lui obéir au doigt et à l’œil et ce changement n'était pas pour lui plaire. La dernière affaire devait pourtant être rondement menée pour la sarlatane mais comme toujours, il avait fallu que cet imbécile de Vincenzo se loupe et la flamboyante rousse avait été contrainte de fuir les bas quartiers de Sarlat, son domaine bien-aimé, si elle voulait éviter la geôle... ou pire encore.

C'est ainsi que celle qu'on appelait Rose Flamboyante s'était retrouvée, avec son cul rebondi et provocant ayant déjà fait tourner bien des regards, perchée en haut d'un arbre dans un village minable qui ne fleurait pas l'argent autant qu'elle l'aurait voulu. Installée sur des branches touffues, elle jouait avec sa bourse devenue bien maigre tout en réfléchissant à quelques coups fumants qui pourraient la remettre sur les rails et à la possibilité d'aller voir l'artiste en prison. C'est que cet enfoiré de première zone lui manquait en réalité.*


Pauvre conne, comment ce bâtard qui 'a mis dans la merde peut-il encore te manquer ? Tu as tout perdu par sa faute ...

*Alors qu'elle grommelait ainsi entre ses dents, elle entendit vaguement un babillage en contrebas. Un sourire sadique s'afficha sur son visage en voyant un petit couple de tourtereaux en balade. Voilà qui pouvaient faire de très bonnes victimes pour un début. L'homme semblait vieux par rapport à la donzelle, sans doute sa maitresse, ce qui permettrait de le faire chanter, et ils ne semblaient pas complètement sans le sou. Comble du bonheur pour la Flamboyante, ils n'étaient même pas armés ! Qui donc pouvait encore se balader presque nu de cette façon dans la campagne ?

Agile, elle sauta comme un félin en bas de son arbre, l'épée à la main et vint directement en poser la pointe sur la gorge du vieux blond, attrapant le bras de la femme... où cette planche était-elle plutôt une enfant ? Elle attire la gamine vers elle en lui tenant le cou au creux de la main.*


Tiens tiens tiens ! Mais que vois-je donc là ? Tu vas gentiment rester sans bouger papy ou ta pute va passer un sale quart d'heure et mon épée va rougir de ton sang, c'est bien compris ? A-t-on encore idée par les temps qui courent de se promener ainsi désarmé et sans regarder où l'on va ? Mais vous avez de la chance ... mon silence et votre vie peut s'acheter ...

*Elle plongea son regard émeraude moqueur dans celui de l'homme qui semblait fulminer intérieurement, ce qui l'amusait d'autant plus. Elle remonta doucement la pointe de son épée vers la joue de celui-ci en appuyant très légèrement, le marquant d'une fine balafre peu profonde et faisant couler quelques gouttes de sang.*

Ceci n'est qu'un préliminaire mon chou. Si tu tentes quoique ce soit, j'appuierai nettement plus, j'espère que tu as bien compris et qu'on est bien d'accord ? J'imagine que ta femme serait bien énervée si elle savait que tu t'envoyais en l'air dans les bois... on ne t'a jamais dit qu'il fallait être discret ? Cela étant...

*Elle passa sa langue dans le cou de la jeune femme en souriant d'un air mauvais.*

Tu as plutôt bon goût en matière de fillette... Elle est un peu plate mais elle a un joli minois !

*S'adressant à Kalawina, elle glissa sa main vers ses fesses pour la tâter, collant ses courbes opulentes débordant presque de son blanc corset dans le dos de la petite*

Tu ne voudrais pas plutôt travailler pour moi dans un beau bordel gamine ? J'assurerais certainement mieux ta protection et ta richesse que le papy !
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Elle avait entraîné son bien-aimé sous le couvert des arbres et il ne restait que peu de route pour arriver au lieu mystérieux dont elle avait fait la promesse alors qu'ils quittaient leur lieu magique favori. Elle s'apprêtait à lui parler de sa famille un peu plus en profondeur lorsqu'elle avait senti une main accrocher son cou et vu une épée pointer la gorge de son compagnon. Elle n'avait pu empêcher un cri de frayeur de sortir d'entre ses lèvres et n'osait plus bouger, presque tétanisée contre les rondeurs avantageuses d'une rousse à l'air revêche.

Ne venait-elle donc pas de traiter son bien-aimé de vieux et elle même de catin de bas-étage ? Elle brûlait d'envie de courir rejoindre le blond mais la femme était grande, bien plus qu'elle, et elle avait une de ces poignes ! Elle ne supportait pas sa voix doucereuse, ses manières et sa façon de parler d'elle ou à son compagnon, mais que pouvait-elle donc faire contre une femme armée ? Elle se crispa contre la femme quand elle blessa Spawn, serrant les poings par la même occasion.*



Arrêtez ! Ne lui faites pas de mal je vous en prie ! Et cessez de bafouer son honneur ainsi que le mien !


*Elle se mordit la langue. Elle devrait probablement apprendre à se taire face à une telle femme. Mais la rousse n'hésita pas à se venger à sa manière, lui léchant le cou et lui tâtant les fesses comme si elle avait un quelconque droit sur elle. Elle retenait à grand peine une furieuse envie de vomir en sentant une inconnue oser ainsi poser les mains sur elle en la traitant de catin. Même si la jeune femme n'osait pas bouger, elle retourna son visage vers la brigande et lui répondit sèchement.*


Je ne cherche ni richesse ni autre protection que celle de l'homme que j'aime !


*Elle aurait bien essayé de se dégager, mais elle était paniquée à l'idée de cette lame pointée sur Spawn et du risque que la rouquine en vienne à le blesser si elle n'était pas sage, aussi observait-elle son bien-aimé en attendant un moment adéquat pour agir de concert.*
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*La promenade se continuait toujours aussi bucolique, très champêtre. Ces cheveux blonds très courts, coupés souvent pour estompés des poils blancs de plus en plus visible, ne ressentait pas la douce brise qui faisait onduler les doux cheveux noirs de sa bien-aimée. Ses yeux ne faisaient que la regarder. Ses oreilles ne faisaient que de l’écouter. Il ne fut pas étonnant qu’il fut surpris et tétanisé quand cette femme venue de nulle part posa son épée sur sa gorge.

A peine quelques secondes où il passa d’un esprit joyeux et paisible vers un esprit de peurs de de colère, juste le temps pour que cette rousse prenne le dessus en attrapant WIna et le tenir à l’écart grâce à cette arme qu’elle tenait en main. *


Mais...

*Il ne put continuer à parler, leur agresseur prit la parole et n’arrêtait de parler, des mots plein de mots. Elle la laissa s'exprimer la regardant de temps à autres mais regardant surtout son amour pour voir si elle allait bien. Il se demandait comment pourraient-ils lui échapper. Mais à force de l’écouter elle se dit que c’était sans doute la solution, la faire parler, la distraire et le moment voulu, aider de l’impulsivité de sa tendre. Elle était moins forte et plus petite, mais justement cela pouvait l'aider à la surprendre.*


Calmez-vous dame, nous pouvons discuter, avant de faire quoique ce soit que vous pourriez regretter. Vous parliez d’acheter votre silence et nos vies. J’aimerais savoir de quel silence vous parlez. Car à y réfléchir nous nous ne connaissons pas, je m’en souviendrais et je n’ai rien n’à cacher. Je n’ai pas de femme qui m’attend ailleurs qu’ici et je n’ai aucun autre amour que la dame que vous tenez entre les mains.


*Il sentit une goutte de sang glisser sur sa joue. Il avala une gorgée de salive. Il essayé de ne pas montrer sa peur, mais elle était bien là surtout envers sa bien-aimé, la regardant sans cesse pour essayer d'apercevoir une opportunité.

Il n’apprécie vraiment pas qu’elle l’embrasse ainsi dans son cou, qu’elle la touche ainsi tâtant ses fesse. Oui, la colère montait toujours, ses poings se crispaient un peu.*
Zukko.


    C'était pas à côté Rohan et le retour était toujours long et fatigant. Pas loin, mais pas à côté. Le voyage touchait à son terme et Zukko ne rêvait plus que de s'allonger sur sa paillasse.

    Il passait toujours près de la rivière et l'endroit lui était familier. Le calme y régnait toujours. Il fut donc fort surpris lorsqu'il entendit des voix s'élever. Qui pouvait donc être là à cette heure ? D'autant que les voix semblaient être assez fortes et pas amicales du tout...

    S'approchant en silence afin de se faire une idée de la situation sans être vu, il découvrit son ami Spawn en proie à une femme armée qui semblait dégénérée. Son regard lui était caché, il arrivait dans son dos, et les paroles perçues incompréhensibles, mais le ton de voix était sans équivoque. De plus, il vit Kalawina, en panique, que la femme tenait par le cou...


    Arrêtez ! Ne lui faites pas de mal je vous en prie ! Et cessez de bafouer son honneur ainsi que le mien !


    Cette femme menaçait son ami et sa compagne. Que faire pour leur venir en aide ? Comment approcher assez afin de désarmer cette furie ?

    Il posa son bardas sans un bruit. Habitué à fuir qu'il était, Zukko savait se montrer discret. Puis s'approcha sans plus réfléchir, ne voyant que le danger sur la gorge de Spawn, à pas de loup, tout en dégageant sa hache de sa ceinture. L'attrapant de deux mains fermes et décidées, ses pas leur menèrent dans le dos de la rousse, très occupée à tenir ses deux victimes en respect. On sentait qu'elle essayait de les effrayer le plus possible.

    La chevelure flamboyante montrait assez bien le contour de sa tête. Taper la tempe serait un jeu d'enfant.
    Il leva son arme qu'il avait tant utilisée pour couper du bois. Mais cette fois le côté tranchant à l'opposé de la mire. La cognée serait efficace, mais il ne fallait pas louper son coup. Question de vie ou de mort pour ses amis...

    **Il n'avait pu sauver Pietr en Ecosse. Il l'avait laissé se perdre pour une femme qui au final était son assasin ou tout comme. Cela ne pouvait se reproduire !**

    Il entendit Spawn parler et pensa furtivement que ça pouvait aider à la manoeuvre... La femme n'assurait pas ses arrières, tout occupée qu'elle était à terroriser ses victimes.

    Calmez-vous dame, nous pouvons discuter, avant de faire quoique ce soit que vous pourriez regretter. Vous parliez d’acheter votre silence et nos vies. J’aimerais savoir de quel silence vous parlez. Car à y réfléchir nous nous ne connaissons pas, je m’en souviendrais et je n’ai rien n’à cacher. Je n’ai pas de femme qui m’attend ailleurs qu’ici et je n’ai aucun autre amour que la dame que vous tenez entre les mains.


    Dans un mouvement fluide et efficace, l'Écossais abattit la hache sur la tempe de la rousse à la crinière de feu. Sans vouloir l'éliminer mais assez fortement pour l'assommer, il heurta la tête dans un bruit mat...

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