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[RP ouvert] Balade à la rivière

Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Tout en discutant ensemble et en échafaudant des plans dans leur tête pour la ville, ils finissaient le panier de fruits ramené par Spawn, se gorgeant avec la chair jaune orangée dont le jus leur collait aux doigts et aux lèvres et dont le goût sucré contentait les papilles de Kalawina qui semblait sur un petit nuage... sans doute pas uniquement grâce à ce repas.

La jeune femme n'avait pas bougé depuis qu'elle était venue le bloquer en s'asseyant sur lui et le fait d'être appuyée sur ses genoux depuis un long moment commençait à être légèrement inconfortable. Elle laissa glisser ses genoux l'un après l'autre entre les jambes du maire, les lui écartant doucement sans mot dire, puis se retourna et s'assit en appuyant son dos et sa tête contre son torse, blottie contre lui.*



Tu sais que je n'hésiterai pas si j'ai besoin de quelque chose... J'espère juste pouvoir attirer l'une ou l'autre personne ce faisant, même si ce sera difficile !


*Elle attrapa à nouveau son verre pour le finir. La position, bien que confortable, ne lui permettait pas de voir Spawn, ce qui l'ennuyait grandement mais elle voulait lui laisser le temps de finir de manger. Ayant elle-même terminé, elle se releva pour s'accroupir près de la rivière et se laver consciencieusement les mains et la bouche, hésitant à replonger dans l'eau claire pour se rafraîchir, à défaut des idées, au moins elle-même, mais elle préféra revenir s'asseoir dans le giron de Spawn.*


Cela me fait bizarre d'avoir pour une fois le temps de profiter juste d'un moment calme, sans travailler, sans courir... C'est perturbant.
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit
*Ils avaient mangé avec appétit durant cette nuit les fruits apportés dans le panier. La soirée était magique, une soirée que Spawn savait restera inscrite dans sa mémoire pour l’éternité. Il était assis là sur le sol avec sa bien-aimée sur lui. Son ventre commençait enfin à être rassasié quand elle décida de changer de position, surement pour se mettre à l’aise. Il se laissa guider en gardant ses mains sur ses hanches pour l’aider à ne pas perdre l’équilibre dans ses manœuvres.

Elle était assisse juste devant lui sur son torse entre ses jambes. Il huma son parfum enivrant, et posa une main sur son épaule en la massant légèrement, son autre main attrapa encore quelques fruits qu’il mangea tranquillement, profitant de ce moment. Ses yeux regardaient ses cheveux sombres souples et brillants malgré son passage dans l’eau, ses mains petites, fines et les quatre jambes collées les unes contre les autres.

Son appétit était enfin comblé par les fruits apportés et il referma le panier par le drap qui le couvrait auparavant. Est-ce dû aux mouvements qu’il venait de faire ou autres, mais elle se leva et alla se nettoyer à la rivière. Il profita de ce moment pour finir son verre en la regardant sans dire un moment. Quand elle se leva pour le rejoindre, il vida la bouteille dans leurs verres.*


Oui, nous avons tous le temps, rien à faire, que s’occuper de nous…perturbant, oui... mais fort agréable quand nous sommes que nous deux avec personnes sur place ou qui reste d’apparaitre.
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Repue, heureuse, elle prit le verre qu'il lui tendit et plongea son regard brillant de malice dans celui de Spawn*

Mon tendre ami, essayeriez-vous de me saouler ?

*Elle esquissa un petit sourire mutin avant de plonger ses lèvres dans son verre pour en descendre le contenu en quelques gorgées avant de se retourner pour lui faire face, à genoux entre ses cuisses, et venir l'embrasser fougueusement en le poussant vers l'arrière, son petit corps frêle s'allongeant sur le grand corps musclé du maire, ses mains se glissant sur sa joue d'une part et dans sa tignasse de l'autre.

Se redressant légèrement en posant ses mains à plat sur le sol pour le regarder droit dans les yeux, elle le regardait avec une tendresse infinie au fond de ses yeux gris. Sa longue chevelure détachée avait glissé sur son épaule pour venir former un rideau doux noir comme l'ébène qui venait chatouiller doucement la joue gauche de son bien-aimé et la tunique trop large tombait vers l'avant en lui laissant une vue assez large de son décolleté jusqu'à la rondeur de ses petits seins.*



Je vous aime Messire Spawnounours.


*Et elle l'embrassa amoureusement.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Dès qu’elle prit son verre en main, leurs regards se plongèrent l’un dans l’autre. *

Te saouler moi ? Je ne me permettrais aucunement de te mettre dans cet état. Je m’en voudrais.

*Il amena son verre à sa bouche. Et il commença à boire, amis quand elle se positionna entre ses cuisses, il posa rapidement son verre sur la pierre posée à cet effet juste à temps. Elle l’embrassa et le poussa sur le sol, pas qu’il était plus forte que lui, mais la surprise et son besoin de se laisser aller quand elle était dans ces bras, il se retrouva au sol avec un large sourire. Leurs yeux ne faisaient que de se regarder tout le long de ce baiser. *

*Elle se redressa en regardant avec ses yeux gris et il ne se détacha pas de son regard. Ses cheveux tombèrent sur sa joue, il passa ses mains dedans et remonta le long jusqu’à sa joue. Il aperçut la douce forme parfaite que faisait ses seins penchés ainsi vers le sol sans aucune contrainte d’attraction. Malgré la beauté que la nature lui offrait à cet instant, il détourna ses yeux vers son visage. *

Je vous aime aussi Dame Kalawina Yrwina.

*Elle se pencha de nouveau sur lui et il posa ces deux mains sur ces hanches. Ils s’embrassèrent. Il fit durer ce moment, ce baiser, ce contact comme si c’était le dernier moment de sa vie. Par une douce pression de ses mains sur ses hanches, il la poussa légèrement pour arrêter leur baiser. Puis il la fit basculer sur sa droite, toujours avec douceur. Ils se retrouvèrent ainsi sur le sol couchés sur une hanche l’un en face de l’autre. Il posa son front sur le sien sa main gauche se posa sur sa hanche droite et son autre main entre leurs deux corps attrapa la main gauche de son amour. *

Ma vie est pour toi, pour nous. La nuit aussi, mais elle est maintenant très avancée. Je te propose, mon amour, que nous dormions ici à la belle étoile, sauf si tu préfères les tentes que j’ai préparées.

*Il continua à fixer les yeux gris de sa tendre, attendant une réponse. *
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Elle profitait pleinement de ce moment empli d'une tendresse infinie entre eux deux, gonflant ses poumons de son odeur et jouissant de la texture de sa peau halée par le soleil, se laissant totalement aller contre lui.

Elle ne résista pas lorsqu'il la fit basculer de côté pour lui faire face, son petit coeur amoureux s'accélérant à ses actions et déclarations enflammées. Elle glissa ses doigts dans sa chevelure blonde dans laquelle des cheveux gris s'étaient installés et la fit glisser jusque sur sa joue pour l'embrasser du bout des lèvres.*



Je crains que tu n'aies amplement raison sur la question et qu'il nous faille nous reposer un peu, mais je n'ai pas la moindre envie d'aller m'isoler dans une tente si je peux passer la nuit dans tes bras sous la lueur des étoiles ... ou je te kidnapperai dans une tente ! Cela étant... je t'avoue que j'aurai bien du mal à dormir ainsi couverte ...


*Elle se mit à rougir ce disant, ses yeux se baissant pour fuir son regard.*


Crois-tu que cela puise être un problème si je dors... moins vêtue tout contre toi ? Je n'ai pas l'habitude d'être engoncée dans du tissu épais pour dormir. si elle est sèche, je peux enfiler ma chemise mais... je doute qu'elle le soit en si peu de temps et sans soleil pour l'aider.
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit
*Il écoutait ses mots tout en la regardant avec tendresse et plein d’amour envers elle. La fatigue l’entrainait un peu, mais assez pour profiter de ce moment avec elle. Quand elle eut finit, il fit un large sourire.*

Oui, tu as raison ces robes sont trop épaisse et pas faites du tout pour dormir. Je vais aller chercher une des couvertures pour nous couvrir dans cette nuit. Ainsi nous pourrons profiter de ces étoiles toute la nuit, et je serais près de toi. Je ne crois pas que nous aurons un problème, nous ne ferons rien de répréhensible

*Il lui fit un large sourire et lui déposa un doux baiser en glissant sa main sur sa joue. Puis il se leva, il attrapa le panier vidé par leurs appétits et se dirigea vers les tentes d’un pas tranquille et léger. La soirée était magique, douce et agréable, il aurait aimé qu’elle ne finisse jamais.*

Attend moi ici Ma Tendre, je reviens de suite, ne t’envole pas.

*Il entra dans la tente.*
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Lui souriait-il pour la mettre à l'aise ou à la pensée de la voir et l'avoir nue pour la nuit, elle ne voulait pas vraiment le savoir, mais elle se sentait mieux à la pensée que cela ne nuisait pas à leur foi à tous les deux. Après tout, ils n'avaient aucune intention de faire davantage que dormir l'un contre l'autre !

Alors que son bien-aimé retournait vers les tentes pour aller chercher une couverture, elle se leva, sans aucune intention de fuir cette magnifique soirée dont elle aurait voulu qu'elle ne finisse jamais. Elle sentait déjà ses paupières s'alourdir depuis un long moment mais elle n'avait pas envie de dormir pour profiter encore et encore de ce moment en tête-à-tête.

Elle alla marcher jusqu'au bord de l'eau, regardant avec un sourire la vue magnifique du ruisseau s'en allant vers la ville... sa ville ! Elle ne s'était jamais sentie autant à sa place que depuis l'instant où elle avait élu domicile dans ce Comté, et particulièrement dans cette ville.*



Chez moi ...


*Elle se mit à sourire aux étoiles et enleva la tunique pour la plier délicatement sur une branche d'arbre avant de faire de même pour sa chemise encore trempée de son bain de presque minuit. La légère brise sur sa peau nue ne la faisait que se sentir plus proche encore de la nature qu'elle n'avait que si peu connu dans son jeune âge et cela lui plaisait.

Du bout des doigts, elle caressait les cales qu'elle avait dans les mains à force de manier la pioche ou la fourche et cela ne faisait que renforcer son sentiment d'appartenir à quelque chose de plus grand que là où était tous les grands justement. C'est pour ceux qui vivaient dans cette simplicité si agréable qu'elle avait envie d'agir et de changer les choses...*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit
*Il était dans la tente. Là, au milieu, sans bouger la couverture dans la main. Il pensa à tous les évènements depuis plusieurs jours, qui l’avaient amené là. Dieu lui pardonnait-il en lui offrant de nouveau l’amour d’une femme ou lui lançait-il un défi sur sa foi envers lui ou les deux à la fois. Il se dit que l’importance là maintenant, c’est qu’il était heureux, qu’il ne voyait l’avenir qu’avec elle.

Il sortit de la tente. Il s’arrêta aussitôt comme une statue, la bouche entrouverte. Elle était là au bord du ruisseau, nue sans aucun vêtement. Il ne voyait qu’elle, ses yeux brillaient devant tant de beauté. Sa peau couleur pêche brillait sous les lumières blanches de la lune et des étoiles. Le ruissellement de l’eau juste à ses pieds reflétait des ondulations sur son corps donnant un doux mouvement hypnotique. Il croyait voir une douce danse de son corps cherchant à l’envouté*


Elle est magnifique, merci Dieu.

*Il sortit de sa contemplation et ferma sa bouche. Il s’approcha la tête vers ses pieds vers le du drap posé au sol où ils avaient dévorés les fruits. Il fit le tour et se positionna devant celui-ci, le dos à sa tendre. Le désir était encore fort et il ne voulait pas que son désir envers elle rompt sa foi.
Il posa délicatement le drap apporté sur l’autre. *
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Le bruit léger des tissus qui se frôlent la tira de ses pensées mais elle mit un instant à s'arracher à la contemplation de la vie de cet endroit. Quand elle se retourna, elle l'aperçut dos à elle, un drap posé à ses pieds sur celui qui leur avait servit de nappe et leur servirait de couche pour la nuit.

Elle se mit à sourire en l'observant sans bruit, ses cheveux blonds semblaient éclairés par le scintillement des astres et sa silhouette massive se découpait dans la nuit. Il semblait si fort, si protecteur, et à la fois si fragile ainsi, comme perdu dans l'immensité de cet endroit et de ce moment qui n'appartenait qu'à eux.

Elle se dirigea vers lui avec une grâce un peu féline, faisant bruire légèrement l'herbe sous ses pieds et elle glissa ses bras autour de sa taille en se collant à son dos, lui caressant doucement le ventre et le torse et murmurant doucement dans la nuit.*



Et si nous dormions mon bien-aimé ?


*Elle lui prit la main et tira doucement pour qu'il se retourne vers elle et prit son menton entre ses doigts fins pour venir l'embrasser du bout des lèvres et lui caressa la joue avant de s'allonger sur le drap de côté, sa tête posée au creux de sa main, coude posé au sol, l'attendant et le dévorant des yeux.*
Spawnounours
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Il finissait de positionner le drap, qui leur servirait de couverture ou de lit pour dormir au cœur de la nuit. Les chaleurs de ces jours leur permettaient de l’envisager sans qu’ils aient aucune peur du froid. Mais quelques soient le temps, rien ne pouvait gâcher ce moment, même le temps. Les bras de sa bien-aimée l’encerclèrent. Ces contacts répétés le rendaient toujours aussi heureux. Il sentit tout d'un coup son corps se coller à son dos, et en sachant qu’elle était couverte d’aucun vêtement il frissonna. Il resta d’abord sans bouger, ne voulant pas être tenté par sa beauté au plus naturel qu'il pouvait être. Il se laissa ensuite guider quand elle le retourna pour l’embrasser.

Il était là le corps vers le ruisseau et elle venait de s’allonger juste derrière lui. Il souleva sa robe au niveau de la taille tout en s’accroupissant. Il retira sa robe par sa tête. Il la plia délicatement et la posa au sol. Il se retourna et se coucha en glissant le long du drap de telle manière que sa tête remonta de ses pieds à sa tête en regardant se corps magnifique, d’une beauté comme dessiné par les plus grands artiste, son index de sa main s'étaient posé sur son pied et tout en gardant son doigt en contact de la peau de Wina, il remonta toute la jambe, la hanche, le bras, l'épaule.

Ses yeux étaient maintenant en face des siens. Il s’approcha doucement et lui déposa un tendre baiser.*


. Oui , Ma Tendre, dormons.
Kalawina_yrwina
Laval, le 24 juillet 1466 au cœur de la nuit

*Elle ne l'avait pas quitté des yeux alors qu'il se déshabillait et se laissait glisser contre elle des pieds à la tête en la caressant doucement, découvrant de plus près leurs corps mutuels sans trop oser se toucher autrement du regard par pudeur, timidité et respect. Il l'embrassa doucement après s'être allongé face à elle et cela la fit sourire timidement. Elle sentait sa chaleur non loin d'elle et pouvait voir son large torse se soulever à mesure de sa respiration.

N'hésitant qu'un bref instant, elle vint s'allonger contre lui, venant caler sa tête au creux de son bras et l'enlaçant à la taille, une de ses jambes se glissant subrepticement entre celles de son bien-aimé. Fermant les yeux d'une voix déjà alourdie par le sommeil de cette longue journée, elle eut encore la force de prononcer quelques mots avant de s'endormir tout contre lui.*



Douce nuit mon Bien-Aimé...
Spawnounours
*Un agréable moment finissait mais il ne regrettait pas. Il pensait déjà à l’avenir. Cette soirée, cette nuit, le réconfortait dans ce qu’il ressentait pour sa tendre pour la vie futur. Elle se cala tout contre lui, leurs corps enlassé, glissant quelques mots.*

Une douce nuit, Ma Tendre.

*Elle s’endormit rapidement dans ses bras. Sa chaleur et son odeur embaumaient agréablement son nez, la vue de ses cheveux toujours magnifique malgré le traitement de cette soirée dans les eaux de la rivière tombant de parts et autres de sa tête et tombant sur son bras et son torse ravissaient ses yeux. Il resta quelques minutes à la regarder tendrement et ne résista rapidement au sommeil dès qu’il ferma ses yeux. *
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*La dernière fois qu'elle avait passé du temps en ces lieux, c'était pour s'éveiller à l'aube dans les bras de son bien-aimé après la meilleure soirée de sa vie. Elle avait été désespérée ce jour-là, il y a à peine une semaine, de devoir le laisser pour rejoindre la mine mais elle avait pris le parti de profiter de chaque instant passé en sa compagnie.

Ce jour, elle revenait avec plaisir au bord de la rivière, après avoir envoyé un pigeon à Spawn pour qu'il l'y rejoindre sur le coup de midi. Elle portait un petit baluchon sur son dos comme si elle se préparait au voyage et celui-ci semblait bien rempli. Elle semblait avoir changé sur cette semaine. Ses traits étaient tirés, comme si elle avait très peu dormi et elle semblait s'être un peu musclée, probablement grâce à toutes ces nuits de ronde à veiller sur la ville.

Le soleil était bien présent mais l'air était un peu plus frais que lors de sa dernière visite et un petit vent faisait bruisser les feuilles et onduler le miroir scintillant de l'eau. La jeune femme s'avança vers l'eau et s'assit sur la berge, les pieds dans l'eau en faisant attention de ne pas abimer les jolies braies bleues confectionnées avec talent par Dame Esquimote. Elle était tellement heureuse de ne plus se balader avec les fesses à l'air qu'elle en prenait grand soin et elle espérait vivement avoir bientôt une réponse de la tisserande concernant son autre commande.

Elle posa son baluchon à son côté avec délicatesse. Attendant son bien-aimé, elle observait la nature environnante en chantonnant tout doucement d'une voix claire.*


Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouches
De l'homme auquel j'appartiens

Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose

Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose

Il est entré dans mon cœur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause

C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré pour la vie

Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat
Spawnounours
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi
*Depuis plusieurs jours, les matins étaient très agréable pour lui. Dès qu'il posait un pied en dehors de son lit, il repensait à ce matin, où il s'était réveillé auprès de sa tendre au bord cette rivière. Les autres pas de la journée étaient pleins d'entrain et encore plus vivaces quand il la croisait en taverne ou dans les champs.

Ce jour après, après son petit déjeuner avec du lait de ses vaches, un pigeon se posa sur le bord de la fenêtre. Un pigeon qu’il reconnaissait maintenant entre mille. Il se précipita vers lui, pour lire son message. Sa tendre l’invitait à midi dans leur lieu préféré. La matinée de travail fut rapidement accomplit pour prendre le temps de se rafraichir au puits et changer de vêtement, plus propre et moins odorantes des vaches et de champs.

Sur le chemin, il avançait à grand pas pour la rejoindre le plus rapidement possible. Il arrêta brusquement devant des lys du jour, de couleur orange et rouge. Il se dit qu’elle irait bien à son teint avec sa peau et ses lèvres. Mais il savait qu’elle ne dure pas longtemps, il n’en pris que deux ou trois pour les lier ensemble avec de lierres qui trouva sur le chemin. Puis il accrocha sur sa boutonnière pour se libérer les mains.

Il accéléra sa démarche quand il entendu une douce voix chanter. Il s’approcha plus doucement et reconnu la silhouette de sa bien-aimée. Tout en s’approchant d’elle et ne voulant pas la surprendre. Il frappa plusieurs fois dans ses mains.*


Le bon jour, Ma tendre. Et félicitations tu as en plus une voix magnifique et claire. Tu es vraiment parfaite.

*Il s’approcha d’elle réduisant l'espace entre eux, le cœur palpitant de plus en plus vite*
Kalawina_yrwina
Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi

*Elle était tellement dans ses pensées et occupée à pousser la chansonnette qu'elle n'entendit pas son bien-aimé arriver derrière elle et elle fit donc un bon de plusieurs centimètres lorsqu'elle l'entendit taper dans les mains en la complimentant, ce qui ne fit que provoquer une fois de plus de très jolies rougeurs sur son visage... une habitude à force.

Elle se retourne et se releva pour s'approcher de lui, laissant son baluchon au bord de la rivière pour venir poser un genou dans l'herbe devant son bien-aimé, les yeux rieurs et taquins. Elle attendait de voir quelle réaction il aurait bien à la voir ainsi. Elle se retenait d'éclater de rire en voyant son visage changer et gardait tout son sérieux pour faire sa demande.*



Mon tendre bien-aimé, ces derniers jours ont été pour moi un enchantement. Depuis que je t'ai rencontré, ma vie a pris un autre tour et est devenue comme un rêve éveillé. Tu es tout ce que j'aurais pu attendre de mieux de la vie. C'est pourquoi je te le demande aujourd'hui ... accepterais-tu d'être mon parrain pour mon baptême maintenant que j'ai terminé avec succès ma pastorale avec Monseigneur Dragon Noir ?


*Elle esquissa un grand sourire en restant à genoux, en attente de sa réponse.*


Alors, Messire Spawn ?
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