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[RP] La foret de Saintes

Kenneth.

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La foret de Saintes : accueillante, envoutante,bienveillante.
Vivante du rythme des saisons,sous la touche du pinceau de l’artiste-peintre:

vert brillant avec le soleil de l’été

roux
,avec l’automne

Blanc ,de la neige l’hiver.

Puis il vient le printemps,quand tout recommence, la renaissance.
Saison du retour.
Voila quoi il pense l’anglois, roux, saintais par adoption, saintais par amour.
Il avance comme de son habitude,des grandes enjambées.
parfois pressé.
Le vent dans les feuillage apporte vers son oreille des murmures

des idées des fruit murs et des confitures.
Est-ce le hasard il guide ses pas vers le petit ruisseau, caché, presque secret. Qui sait ?
Une envi d’aventure.
Dans sa gorge vient de l’emotion. la brulure
Le gout de la capture.
Belle exotique, captivante, nature.
Comme il aime cet endroit.

Il repere un bel arbre ,avec son tronc confortable, un tapis de mousse.
Dans sa poche son livre d’astronomie, vu depuis leur retour il etudis cette discipline.
Il s’assoit ........ plonge dans les etoiles

_________________
Alida
La hache sur l'épaule, à la ceinture une gourde pour la soif, au bras un panier parce qu'on ne sait jamais ce qu'on peut trouver en forêt:ça va du muguet de mai, aux champignons, en passant par les fraises des bois, les noisettes, les mûres, parfois même, c'est arrivé, un bébé confié aux bons soins de mère nature.
Alida cherche surtout un beau chêne qui fera plein de bûches, mais elle est ouverte à toutes suggestions:tout peut arriver ici:c'est la forêt du Petit Poucet, celle de Robin des Bois, on y trouverait même, c'est ce que disent les contes de bonne femme un arbre avec des pouvoirs magiques, pas très clairement définis...mais dont on ne parle qu'à voix basse , en ayant l'air d'en savoir bien plus que le voisin.
Elle ne trouve pas de chêne , mais un rouquin, assis au pied d'un bouleau, plongé dans un livre , près d'un ruisseau qui chuchote.
Elle pose tout son attirail sur l'herbe, s'avance subrepticement , car le charmant lecteur, absorbé -ou assoupi?- ne l'a manifestement pas entendue arriver
.

Comment vont Betelgeuse,Orion et Vega, mon coeur?

La question flotte encore paresseusement dans le silence de la forêt, quand celui ci (de silence) se trouve brisé par un fracas de branches froissées, tout près, qui fait sursauter la bûcheronne .....

_________________
Kenneth.
Sa tete dans les etoiles du livre,
puis des mots des etoiles dans ses oreilles.
Citation:
Comment vont Betelgeuse,Orion et Vega, mon coeur?

Il est necessaire d’ un petit instant pour que l’ensemble des information pose la derniere piece du puzzle : Certe il est lent cet anglois.

moins lent quand un super ,enorme , incroyable, bruit,
du boucan quoi !
fait il bondis sur ses pieds, pieds qui sont dans ses bottes.
Inevitable !

Son regard se pose sur sa belle qui sursaute inquiete, il la rejoint prêt de l’entrainer : Dans l'hypothese où surgisse un ours ou une autre bestiole pas de trop sympathique.

Les feuillages s’ouvrent……..
Il prends la main d’Ali……..
Puis ……… il eclate rire.

« Toby » !!




Sacredieu!

voila le fauve : l’ane celui il tire la charrette du bois.le vaurien il reussit de se detacher sans doute pour suivre la jolie bucheronne.

Sacripan ! tu fuis ?


se tournant vers sa belle :
Sans doute il amarre d’attendre, il sonne le signal .
Puis je Milady ?


Puis de soulever Ali par la taille , pour l’aider a s’asseoir sur le stock des buches.
Voila le trio sur le chemin du retour .
L’anglois siflote un air joyeux
_________________
Kenneth.
[campement des bucherons],un autre jour.



C’est quand le jour se couche que Kenneth arrive sur le camp de base des bucherons.
Le jour d’avant,le chef bucheron lui dis :
« venez le soir », sans doute je trouve le bois qu’il ait necessaire pour vous.
Ca tombe bien vu il doit poser ses pieges pour la nuit…..
C’est sur demain
C’est lapin.

Quand il arrive sur le site, la journée du travail est finie, tous les bucherons sont rentrés, seul reste le grand gars. Il apercoit le roux, indique de son menton un tas de branche :
Peuplier …….
faut dire il est pas bavard, tans mieux parce que l’anglois tiens pas de faire la conversation, sa seule preoccupation c’est : du bois pour des fleches.

Des branches souples, elastiques toutes vibrantes mais sufisament lourde pour assurer une bonne penetration dans l’air.
Le bon equilibre.
Déjà il imagine, la taille du bois,puis quand il fixera les pointes de metal qu’il forge,meticuleux, depuis des jours.
Meme :
Qu’il se reveil la nuit pour apporter des modifications.
Qu’il file en douce du domicile conjugal.
Qu’il oublis de manger.
Tans sa motivation est grande. Faut dire un anglois il né avec un arc posé sur son berceau.

Alors imaginez quand il y a des competitions sportive, il revient l’instinct de l’archer.
Sur ce bois il sera parfait. Kenneth remercit le chef bucheron,l’invite de venir boire une biere dans la taverne.
Et voila que les branches,soigneusement rangées dans son sac a dos il s’eloigne du camp.

Mais il prend pas la direction de la ville. Il s’enfonce plus dans la foret. Il a une idée dans sa tete trouver les bonne plume pour l’empennage :
des plumes du hibou blanc.

Et sur ca cest pas gagné !.

_________________
Marie.d.equalon
Marie en revenant de l'archerie passa par la forêt elle y trouva de la fraicheur et par cette chaleur l'apprécia...elle s'assit sur un tronc et son esprit vagabonda...

C'est au prélude de cette aube
Quand se cambre sous l'apogée
Par le cortège de tes doux mots
Les plaisirs s'en sont amarrés

Vers nos rendez vous à l'ambré
Un vent s'invite d'une mélodie
En fusionne à nos sens mêlées
Comme deux amants sans interdit

Aux bruissements des ruisseaux
A l'orée de nos corps ondulés
Que le silence devient violon
Par nos deux êtres en scindés

L'esquisse du paysage dévoilé
Par nos regards qui se fondent
Que l'impatience d'être ancrés
Même sous cet orage qui gronde

Nos confidences qui se lovent
A l'amour osant cette envolée
Noblesse à nos ébats en décor
Nos subtiles souffles boisées

J'exalte la caresse en accord
Des frissons qui se propagent
Sur mon corps tout en abandon
Dissimulés derrière cet arbre

( N@th... )


C'est à Jo son amour qu'elle pensait , tout en récitant ce poème
_________________
Alida
Alida passait par les petits sentiers au coeur de la forêt; faisait frais sous les branches que c'en était un régal et on trouvait de ci de là des fraises des bois!la rouquine en faisait bombance rouges et sucrées et fraiches aussi sous la langue.

Et elle chantait , seule et euphorique:


Promenons nous dans les bois, tant que le loup n'y est pas.. si le loup y était.......

Enfin, n'importe quoi!
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Capichef
Ce serait elle perdue la blondinette Pictave? Et que fait elle dans cette clairière à creuser le sol? Mystère...
_________________
Alida
Alida passe plein de temps en forêt, d'abord parce qu'elle aime ça, et ce n'est point nouveau..Puis aussi, plus récemment parce qu'elle coupe du bois qui taillé, raboté, poncé, vernis servira à la coque de leur futur bateau à Kenneth et elle, pour s'en aller naviguer sur toutes les mers du Monde...Elle y passe quasiment ses journées entre deux tours en taverne , et l'accueil de 2 nouveaux venus.

Ce jour là, la hache gaillardement posée sur l'épaule elle se dirige fort déterminée vers un chêne pour le moins centenaire dont elle espère venir à bout dans la journée.Quand soudain, elle entend gratter:un ours? un loup? un cerf? curieuse comme à son habitude, elle jette un oeil discret par dessus des branches , la hache à portée de main quand même parce qu'on ne sait jamais:De loup ni d'ours nulle trace, juste une blonde pictave au milieu de la clairière qui creuse le sol.Rassurée Alida passe la tête, rassurée, mais intriguée:


Mais que peut bien faire dans cette clairière à creuser le sol Lyli? A la recherche d'un trésor perdu, d'une tombe oubliée, d'une source miraculeuse? Ou a t 'elle quelque lourd secret à enterrer dans l'impénétrable forêt de Saintes?
La rouquine hésite à se montrer , puis décide d'attendre en observant, parce que foi d'Alida, il y a un mystère là dessous
!
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Capichef
Elle creuse un trou, mais comme elle ne trouve pas ce qu'elle veut, elle rebouche le tout et en creuse un autre un peu plus loin. A t elle décidé de labourer cette clairière pour faire pousser des herbes illicites? Non, non! Elle cherche visiblement.

Est ce l'or noir du Périgord? Mais dans ce cas ne devrait elle pas plutôt chercher à proximité des chênes, accompagnée d'un cochon truffier?

Soudain son visage s'illumine d'un large sourire. Elle frotte la terre sur une petite masse brune à peine plus grosse que le poing de Muéna, puis la dépose délicatement dans son panier. Elle en extrait plusieurs à la suite, certaines s'écaillent laissant apparaitre une surface lisse et blanchâtre. Elle éventre la terre tout autour pour récolter de nouvelles pièces pour son trésor.

Son rapt effectué, elle recouvre son panier d'un linge à carreau, lui donnant l'allure d'un simple pique-nique. Satisfaite elle fait demi tour pour rentrer chez elle.


AAAAAAAAh!


main sur le coeur qui cogne tant sa surprise est grande.

Alida? Mais qu'est ce que tu fais là?


Question idiote, c'est elle l'intruse et qui plus est, elle aperçoit une fraction de seconde trop tard la hache qui accompagne la rousse.
_________________
--Alida.

Alida? Mais qu'est ce que tu fais là?


Ah euh...ben...
Prise en flagrant délit d'espionnage, la rousse n'en mène pas large! Elle en a même oublié la hache qui repose sur son épaule, et lui donnerait le meilleur des alibis...Il faut dire qu'elle était en train de réfléchir profondément: qu'est ce que ça pouvait bien être que ces petites choses brunes dont la découverte a amené un sourire si joyeux sur les lèvres de la blonde:On aurait cru qu'elle venait de découvrir Musso, emballé dans un joli paquet cadeau rose...A première vue ça ressemblait aux crottes de quelque animal sauvage, mais bon, elle a beau être un peu bizarre, la Pictave Alida ne l'imagine coprophage...
Comme elle ne fréquente pas le Périgord couramment, elle n'a jamais ouï parler de truffes. Elle reste donc complètement à court d'idées pour identifier le "trésor" qui remplit le panier de la blonde, coquettement-et stratégiquement recouvert d'un tissu blanc immaculé. Ce qui explique qu'elle s'est laissée surprendre comme une imbécile, dans SA forêt dont elle connait le moindre arbre, ou presque. Vexée qu'elle est de ne pas savoir ce qu'elle peut recéler de si intéressant .

Après quelques heu! et ah! elle se souvient quand même que la meilleure stratégie quand on se sent coincé est l'attaque
:

Ben, et toi? Et que transportes tu dans ce panier? un pique nique?


Capichef
Lily se sent trop prise en faute pour remarquer qu’Alida est dans le même état d’esprit.
Qu’est ce qu’elle a dans son panier ? Zut ! La blondinette n’a aucune envie de partager son trésor, ni de révéler le pillage qu’elle vient d’effectuer dans cette clairière. Dégradation de forêt publique, ça va bien chercher dans les 1 jour de prison et 25 écus d’amende ça, non ? Au minimum, encore un procès pour trouble à l’ordre publique. En pleine campagne comtale, ça va lui faire perdre des électeurs, c’est certain.

Dissimulant son panier dans son dos comme ci celui-ci détenait la dernière bouteille d’alcool de mirabelle du royaume, elle cherche une explication à donner à Alida. Ni pique nique, ni champignons, Alida pourrait vouloir vérifier qu’ils sont comestibles, ni noisettes, elle partagerai volontiers en temps normal.


Non non , c’est pas un pique nique c’est …euh.. desdes pignes de pin ! Pour allumer ma cheminée ! Cet hiver.


Dans la forêt landaise l’excuse serait passée comme une fleur, mais dans cette partie de la forêt de Saintes composée essentiellement de chênes et de châtaigniers, l’excuse est plus difficile à avaler. Alida va-t-elle lever le voile sur le mensonge de Lily ou directement le linge du panier ?
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--Alida.
des pignes de pin ! Pour allumer ma cheminée ! Cet hiver.

Ah oui? Des pignes de pin? Sous un châtaignier?

La rousse jette un regard circulaire sur les frondaisons avoisinantes:pas ex juge du Poitou pour rien:y aura pas d'erreur judiciaire! Et comme prévu, ya pas le moindre pin non plus! Elle la prend pour la reine des poires la Pictave! Mais bon sang, qu'est ce qu'elle peut bien cacher?
Que faire? Lui fiche une bonne pêche pour qu'elle avoue?Alida préfère éviter l'esclandre:


Mais c'est une vraie rareté ça! je peux voir?
Et de contourner lestement la blonde pour arracher d'une main preste le torchon à carreaux...
Dessous, y a bien les espèces de pommes allongées, noirâtres (de terre?) qu'elle a vu la mère de Bidule tirer du sol.

Elle scrute Lily: C'est quoi ça?
Capichef
Démasquée en beauté. Les espèces de petites poires noires (oui ça ressemble plus à une poire qu’à une pomme ce qu’elle à déterrer) sont au grand jour. La blonde pique un fard. Acculée, elle est bien obligée d’avouer son méfait.

Ce sont des oignons ! Pas des oignons à manger non, des oignons de Narcisse et de Jonquille. Quand je suis passée au printemps avec Rwany et Tellusine y’en avait plein dans cette clairière. Je me suis dit que ça pouvait être drôlement joli si je mettais ça devant ma taverne. Alors je suis venue … emprunter ?… quelques oignons.

Gros soupire.

Bon s’il faut je les remets en place !
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Lancel
    Il était arrivé de bon matin alors que les rayons du soleil n'était pas encore présent. Fatigué d'avoir passer deux nuits à dormir dans un campement de fortune, il fût bien content de revenir dans un village, rêvant déjà d'un bon lit, ainsi qu'un bon bain chaud. C'est d'ailleurs la première chose que fit Lancel : se mettre à la recherche d'une auberge digne de ce nom. Son petit périple ne dura pas bien longtemps, puisqu'il jeta son dévolu sur la première qui croisa sa route, il n'était pas en état de faire le difficile et de se baladait pendant des heures dans ce village a la recherche de la perle rare. Frappant comme un forcené sur la lourde porte en bois de l'auberge, il du encore attendre quelques minutes pour qu'un homme vienne lui ouvrir. A la vue du visage du tenancier, il était clair que le blond venait de le sortir du lit. Qu'importait la bien séance à présent, il avait bien trop envie d'un bain et d'une bonne couche pour être désolé pour lui, son or arrivera très bien à lui racheter une conduite. C'est d'ailleurs ce qu'il fit, sortant de sa besace une bourse bien remplit et la gigotant devant les yeux du type qui s'illuminèrent au passage. Demandant une grande chambre ainsi qu'un bain immédiatement, il sortit quelques pièces d'or de sa bourse et les lui donna.
    Alors qu'il déposait son baluchon sur son lit le jeune homme put découvrir la chambre dans laquelle il allait passer quelques heures de sommeil avant d'aller poursuivre sa visite de ce village. Rustique pour ne pas dire austère, elle n'avait rien pour plaire, mais bon elle remplirait parfaitement son rôle et qu'importe si cela n'était pas digne de sa propre demeure ou encore de l'ancien château familiale. Il s'assit sur le lit et attendit avec patience que le tenancier fasse des allers-retours entre sa chambre et la cheminée dans la salle principale pour qu'il remplisse petit à petit le baquet d'eau chaude pour son bain. Ce petit manège dura plusieurs minutes et une fois terminé, Lancel donna une nouvelle pièce d'or au gérant, lui indiquant qu'il pouvait retourner dormir à présent. Enlevant ses vêtements rapidement pour finir nu, Lancel se glissa dans le baquet d'eau chaude et fumante dans un long soupire de soulagement et de contentement. Il attendait cela depuis des heures maintenant alors il profita de chaque instant et de chaque sensation. Petit à petit ses muscles se détendirent et lui posa négligemment sa tête contre le bord du baquet, fermant les yeux. Et c'est alors que la fatigue eu raison de lui et il s'endormit ...

    Il se réveilla en sursaut quand il sentit un contact sur son épaule et pendant qu'il ouvrit le yeux, il chercha à tâtons le pommeau de son épée, croyant que l'on en avait contre sa vie. Il lui fallut plusieurs secondes pour que ses yeux s'habituent a la lumière ambiante, il put ensuite apercevoir une femme à l'allure maternelle qui lui secouait doucement l'épaule. Se détendant soudain, il s’aperçut alors qu'il était complètement gélé. L'eau de son baquet n'était plus du tout accueillante et chaude, mais plutôt glaciale et hostile. Combien de temps avait t'il dormit ? Certainement des heures ! Heureusement que cette femme est venu le sortir de son sommeil, sinon qui sais ce qui lui serrai arrivé ? Mort certainement ! Se levant péniblement du baquet sous les yeux mi gênée, mi admiratif de la femme, il ne perdit pas un instant pour s'habiller de tout ses vêtements avant de la remerciait et de sortir de l'auberge, ayant soudain besoin d'un verre ! Courant presque a la recherche d'une taverne, le blondinet s’arrêta devant la première ou il crut apercevoir du monde à l'intérieur, ne prêtant même pas attention au nom de celle ci, il s'installa sur un siège tout en saluant une jolie jeune femme qui se trouvait être la tavernière des lieux, une certaine June. Autour d'une bonne chope -enfin- le blondinet fit légèrement connaissance avec la jeune femme, lui demandant au passage ce qu'il y avait de beau à faire dans ce village. Bah oui ! Quitte à rester une journée ici, autant trouver une occupation, vous êtes pas d'accord ? Elle lui répondit tout simplement que les balades en forêt était un délice. Une balade en forêt ? Il avait déjà vu beaucoup mieux comme occupation, mais bon.

    Après plusieurs dizaines de minutes de conversation avec la jeune tavernière ils quittèrent la taverne presque en même temps. Lancel lui prit le chemin de la forêt avec comme espoir secret d'être agréablement surprit par cette balade, car actuellement il n'avait aucun enchantement pour la balade qui l'attendait. Arrivant à l'orée du bois, il eu un petit moment d’hésitation, puis tout en caressant le pommeau de son épée, il continua d'avancer. Un pied devant l'autre, regardant tout autour de lui aux aguets d'une petite merveille, il faisait au final une balade tout ce qu'il y avait de plus ordinaire. L'automne n'était pas encore sur eux, mais la nouvelle saison ne saurait tardé et l'on pouvait apercevoir ici ou la des signes. Un grand nombre de feuille sur un sol humide, pour ne pas dire boueux. Le blondinet resta insensible aux multiples charmes de cette balade en forêt. Il s’apprêta à faire demi tour pour retourner à son auberge lorsqu'il trébucha sur quelques choses qui l'envoya face la première sur un gros tas de feuille. Plus de peur que de mal, le jeune homme se releva en grommelant. Se retournant pour voir l'objet du "crime" il tomba sur un petit morceau de bois. Les rouages du cerveau blondesque de Lancel se mirent en route jusqu’à faire "tilt". Il attrapa le morceau de bois, le tira jusqu'à un tronc d'arbre qu'il s'installa contre, avant de sortir un coteau de sa botte et de commencer à tailler le morceau de bois. Au final, Lancel ne fut pas subjuguer par la beauté des lieux mais il tomba sur une idée qui lui fit le plus grand plaisir. Au final, une bonne idée cette balade en forêt ...
Victor_colin
La pluie ne tombe plus.
Assis sur un tronc, Victor_colin jette des petits cailloux dans une flaque d’eau
Il est prêt pour l’expédition, avec tout le matériel, pioche, pelle, des gourdes.
Il attend cette demoiselle qu’il a rencontrée un soir dans la taverne municipale, avec qui il a parlé de sa recherche d’une source d’eau pure.
Cette demoiselle qui a proposé d’être son guide. Lui est habitant de Saintes depuis peu, il ne connait pas chaque endroit, et moins encore ceux de la foret.

un petit caillou dans la flaque.
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