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[RP] Au Blaireau Pontife - quartier général.

Gerfaut
Gerfaut porte une attention qu’on ne saurait dire nonchalante ou distanciée. Mais de l’attention, il en a, autant que de la retenue en gestes et en paroles.

Ça ne m’écorche pas le saignant. Et, en question, à part l’adresse encore, c’est sera pour moi.

Il hésite à lui suggérer de prendre son tour, n'étant pas certain de l’utilité de suggérer quoi que ce soit à cette femme. Elle n'a pas l’air d'être en besoin de suggestion, que cela concerne son tour de question, ou sur le visiteur qui occupait audiblement la pièce voisine depuis presque le début de leur entretien. Et quand bien même elle aurait l’air de l'être, pas sûr qu’il se le permettrait. En même temps, il faut passer la balle.

… Pour vous ?

Réaction corporelle selon ce qu'on lui répondra. Comme il est déjà debout, difficile de mieux poser les deux pieds à plat au sol. Cependant, de dos trois quart, il pourrait se repositionner de profil à la porte.
Astana
Une mauvaise quinte de toux coupe toute tentative de réponse. C'est que l'hiver rude a laissé ses marques dans les entrailles de la danoise, et qu'aujourd'hui encore, ses poumons ont du mal à se remettre d’aplomb. Souvent à la sorgue, ils deviennent chatouilleux et lui font passer des drôles de nuits. Et comme Astana n'en dit rien, personne ne sait ni ne demande. L'orage passé, elle s'éclaircit la voix. Un peu comme si de rien n'était, et que les quelques secondes à tousser dans son poing noirci d'encre n'avaient pas jeté un vieux silence pesant dans la pièce.

- « Si vous n'investissez pas l'appartement, il restera vide, en proie à l'invasion des premières bestioles venues. »

Haussement d'épaules.

- « Votre présence là-bas épargnerait à votre bourse la dépense inutile d'écus. Songez-y. Il est toujours plus agréable de voir fructifier son pécule plutôt que de le voir amaigri au profit de tauliers plus avares de jour en jour. »

Plume est prise en prévision et note déjà une adresse sur un coin de parchemin. La chef du logis ne quitte pas encore sa poche, néanmoins. Une fois fait, Sørensen relève le nez et l'observe, lèvres pincées. Est-ce qu'on a fini ? Ne sachant pas s'il souhaite ajouter quelque chose ou simplement se carapater, elle trouve prudent d'affirmer :


- « S'il n'y a plus rien à dire, et que vous souhaitez vaquer à vos obligations, je peux vous libérer. »

_________________
Gerfaut
C’est clair. Gerfaut prend trois secondes pour lui-même, puis opine. L’adresse, la clef. Encore un remerciement, sobre mais pesé. Et il se retire. Les trois secondes, c’est qu’il déteste ces sorties où l’on se retourne à la dernière minute, sur le seuil de porte, parce qu’une dernière petite chose vous revient en mémoire.

Il passe d’une salle à l’autre, les idées fixées sur son bout de papier dans la paume. Et les idées passent du papier au plancher, tandis que le sol jonché de cadavres de châtaignes crisse sous ses pieds. Ce qui l’arrête net, ce n’est pas tant qu’une fille est perchée sur la cheminée, contant fleurette à un blaireau empaillé. Il ramasse un bout d’enveloppe, y porte un examen attentif, regarde la porte derrière lui, la porte devant, et finissant par s’adresser à la crapahuteuse.


Dites. Comment conservez-vous vos châtaignes fraîches jusqu’en avril ?
--Ghash


Le couple perché n'a rien loupé de l'entrée du barbu. La donzelle se fige, imitant inconsciemment l'empaillé, et le regarde se rapprocher en dessous d'elle. Une moue d'hésitation s'affiche. Il va forcément la voir sur ce trône improvisé, mais qu'importe. Non, elle se demande juste si ce gars a de l'importance ou pas, si elle doit lui faire les yeux doux ou s'en foutre. Il ne ressemble en rien à l'idée qu'elle se fait d'un tavernier limougeaud, mais il a capté l'attention des autres à coté et pendant fort longtemps.

Pas « bonjour », Pas... « Oh ? Que faites vous donc là »... Non.
Juste il pige pas pour les châtaignes.
La brune se penche en avant scrutant ostensiblement le dessus de son crane, du haut de son perchoir.


Tu deviens chauve, t'sais, ça ? C'est le début de la fin ! Faut pas laisser ton cerveau te manger les cheveux.

Un léger sourire avant de se retourner dans le vide en posant les mains sur le bois, puis se laisser tomber juste devant ses pieds en souplesse. D'un geste du menton, elle désigne son sac plein, à l'homme.

J'ai encore un silo plein que j'ai point ouvert. Elles sont un peu molles crues, mais bien plus sucrées. La classe quoi ! Du premier choix, et du pas cher pour un aubergiste qui voudrait en faire un plat prestigieux.

Son œil s'illumine, elle va bien réussir à ne pas rentrer avec, non ?
Et aussitôt de glisser malicieusement deux châtaignes dans la grande pogne du gars.
Gerfaut
Gerfaut considère tout ce manège. Le cerveau qui mange les cheveux, les acrobaties, le silo, la mollesse de la crudité, et le mirage d’un plat prestigieux à base de châtaignes. Le tri est vite fait.

Un silo plein…

Même au frais d’un sous-sol, et plongées dans une eau quotidiennement renouvelée, il ne se souvient pas d’avoir pu conserver des châtaignes – et péniblement, encore – au-delà des ides de février. Alors en silo. Il secoue la tête, le front froissé. Force est pourtant de constater en ouvrant sa main, les fruits sont là. Comme elle dit, un peu mous. Faudrait voir s’ils flottent dans le bain. Et le goût surtout.

Sa main gauche fourre en poche le papier et la clef qui l’empêchait, et en ressort avec un demi-écu.


Tiens. Je te prends les deux, mais pour davantage, tu ne t’adresses pas à qui il faut. Bon courage.

Là-dessus, il prend le chemin de la sortie.
--Ghash


Le demi-écu sautille dans la main de la donzelle, une façon de s'assurer de la réalité de la chose. Elle regarde le barbu - un brin chiffonnée - avant de le ranger prestement dans la poche de ses braies. L'intention n'était pas de se faire payer pour deux malheureuses châtaignes, mais c'était peut être là le début d'une immense fortune...

Je verrai avec qui de droit alors...


Léger reniflement en tournant le visage vers l'autre pièce, avant de revenir poser les yeux sur lui, et d'oser reprendre la parole.
Juste un souffle avant qu'il ne s'échappe.


C'se serait bête que ce soit les cochons qui les mangent.


Observant une dernière fois son sac posé au sol, elle songe aux longues heures passées à les trier, les disposer entre couches successives de brisures de fougères, puis de terre, dans plusieurs trous creusés à des endroits stratégiques, puis se retourne vers la deuxième pièce d'où venait les bruits de voix.
Bientôt, elle en aurait le cœur net.
Vera.
    [Plus tard quand je serai plus grande et que je n'aurai plus peur de rien je serai taxidermiste et j'empaillerai du blaireau aussi, le souci étant que je ne grandis plus, et que je suis et serai toujours une trouillarde. Bah quoi chacun ses lubies, ses rêves... voyons voir de quoi rêve la dame noire. ]

    Retour de séjour de Tulle, je fais place à Limoges. On me fait les rapports de commérage, qu'est-ce que j'ai bien pu louper pendant les deux dernières semaines? Le départ de Victoire ? Certainement et c'est la première chose flagrante que j'ai remarqué. On me souffle que rien ne va plus niveau rendement de mines, ma réponse et solution sont simples : "bah allez aux mines hein". La Succube Dorée n'est plus qu'un simple bordel, c'est devenu un tripot, j'y suis allée, j'y ai mangé et je me suis faite dépouiller de "beaucoup" de deniers quantité relative selon le mental des gens, pour les débiles qu'ont pas compris qu'une comtesse fauchée peut exister, je suis née pour l'illustrer , le prouver. Je garde la tête haute et le docteur Zeinar en plus de me rendre joyeuse en me plumant au ramponneau , oui c'est une spécialité à moi, être en couple et gagner au jeu c'est tout sauf bon. Je mettrai cela sur le dos de ma naïveté ou sur l'éducation trop maternelle d'une vielle tante qui ne supporte pas mes pleurs. Après m'avoir gavé de "mais c'est le jeu ma pauvre Lucette, il y en a qui gagne toi tu perds!" et d'avoir toujours eu comme réponse "mais je suis Véra pas Lucette!" , la vielle Hortense s'était décidée à me tapoter l'épaule, suivi d'une accolade et d'un "ce n'est pas grave "heureux au jeu, malheureux en amour" . J'avais gobé cette version et depuis je me faisais une joie de filer mes deniers à Zeinar. Afin de limiter les risques de prise de conscience , le Docteur de Limoges était habile , il rebondissait rapidement sur des sujets tout aussi passionnants que le jeu : les nouvelles des contrats commerciaux et les ragots. C'est ainsi que j'avais appris qu'une femme me cherchait, elle avait visiblement la peau sale.

    Ce soir là, je rode comme toujours dans les ruelles de la capitale, à la recherche d'idées et de compagnie pour les développer. L'odeur de l'alcool même non consommée m'inspire. Je remarque que le Blaireau Pontife est éclairé, joie et bonne humeur s'en suive, peut-être que la fratrie d'Assay est revenue en Limousin, terminé l'escapade de baroudeurs en empire. Le Pasteur va recommencer à faire ses sermons ou prêche, la blonde égayera les soirées par ses brefs passages, puis on entamera peut-être la leçon anti trouille. Comment vivre avec des blaireaux vivants sans avoir peur de se faire mordre.

    Fausse joie, j'entre la taverne est visiblement vide. En observant de plus près au comptoir, une jeune femme semble tenter de se fondre dans le décor. Seul hic c'est qu'on ne peut pas la louper, je vois bien le blanc de ses yeux , le reste par contre on ne peut pas faire plus noir que le noir de sa peau. A ne pas en douter, c'est la crasseuse qui me cherche, une Triora alias Sac-à-Souris bis?

    Je l'observe un moment sans rien dire, elle semble complètement hypnotisée par le blaireau empaillé qui sert de décors à la taverne de l'Astana. Je me décide de la saluer d'un simple bonsoir, j'ai le droit à une vue sur les dents blanches de l'inconnue. Pas de grognements, pas de sourire, mais on dirait qu'elle n'est pas ravie d'avoir de la visite.


    -Tout doux hein. D'après la description du docteur, il paraît que vous me recherchiez ?


    Autant rentrer dans le vif du sujet et tenter de voir si j'ai tiré la bonne carte. Je garde mes distances et elle aussi. Nous sommes deux à nous méfier dans l'histoire. Elle est sur la défensive , partie pour m'expliquer qu'elle avait le droit d'être là, que Johannes et Maleus lui avaient dit. Une connaissance de la famille, dans le genre folklorique ils étaient servis les huguenots dites donc. La question suivante de la bonne femme, me laissa perplexe, voire dépressive.


    - Vous êtes Véra, ou la femme que Maleus a mis enceinte?


    Rapide check-up de mon ventre qui reste encore plat là, je suis en mode crève la dalle et je la regarde l'air à moitié vexée , ah la sorcière elle insinue que je suis GROSSE. Voila ma pensée immédiate , sauf que je suis chez le Blaireau Pontife, que je ne suis ni armée, ni accompagnée , qu'il ne s'agit pas de chercher la baston avec l'envoyée de Maleus.


    -Je ne suis pas la femme enceinte non, je suis Véra Von Bretzel, à ne pas confondre avec l'autre Véra, nous sommes deux à Limoges. La femme enceinte c'est Thaïs et elle est rousse ma Mie.


    Tout de suite après la présentation, les traits de la jeune femme s'adoucissent , comme si elle était plus ou moins rassurée. A elle de me raconter son histoire, mes avis que si elle me cherche ce n'est pas pour faire la causette. Attendre le bon moment pour la questionner, si la peau c'est du tannage au soleil ou c'est de la crasse, auquel cas elle va avoir le droit au bain, savon et tout le tralala. Elle se lève doucement , laissant apparaître son vêtement de fortune, une chemise d'homme qui a l'air d'appartenir à un géant, assez usée, cintrée par une ceinture. A première vue ça sent la pauvreté à plein nez, mais bon elle au moins à de quoi se couvrir les miches contrairement à d'autres qu'ont pas idée de ce qu'est la pudeur pour moi la Von Bretzel. La soirée débutait, j'étais en mode toute ouïe prête à écouter son Histoire.



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En ce moment Véra c'est ça.
Athelstan
- « Fffff. »

Au-dehors du Blaireau, roussâtre exulte. Il passe une main nerveuse dans ses tifs qui, s'ils n'ont jamais été particulièrement dociles avant, semblent avoir pris le parti d'une totale anarchie ces derniers mois. Il observe les femelles réunies d'un air circonspect, hésitant à interrompre leur discussion pour les simples besoins d'une mission confiée par la danoise. C'est que la Noiraude l'a toujours rendu nerveux. Noire, toute noire. Et des dents blanches, trop blanches, comme prêtes à vous prendre à la gorge. Athelstan accuse un frisson. Il pleut.

Sa Blondeur n'en saura rien s'il remet ça à demain. Demain il fera jour, et les sourires de Tigist lui paraîtront moins menaçants en pleine lumière.

Il s'apprête à faire demi-tour lorsqu'une grosse goutte le cueille sur le nez.


- « Mais aïe ! »


Le grand dadet et ses manières de précieuse. Toujours.

Tu parles d'un hasard. Athelstan n'est pas dupe. Le grand barbu d'au-dessus l'a forcément fait exprès. Encore une histoire de Volonté Divine et tout le toutim. J'irai demain, j'ai dis. Relevant le nez, il jette un regard noir au ciel et s'en prend une dans l’œil droit. Hé ! Il ravale un juron destiné à qui de droit, mais n'en pense pas moins en se frottant la partie lésée, secouée de spasmes inconfortables. Ouais, ça pique. Après un bref moment d’apitoiement il lève prudemment la tête, la main en visière, pour aviser l'étage du Blaireau. Quand il flotte dehors, il flotte dedans, et donc sur la brindille noire qui ira pioncer là-haut. C'est pour ça que t'es là, imbécile.


- « Bon. J'y vais, mais uniquement parce que JE l'ai décidé. Mais que ce soit bien clair : T'as rien à voir là-dedans. »

Et le natif anglois de se confectionner des airs de sauveur foireux en franchissant la lourde porte. Même s'il a un oeil tout rouge, et une dégaine à faire chialer un môme.
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Tigist
[La dame noire ne rêve pas, elle cauchemarde.]

La Gelada avait été vue pour la dernière fois à Toulouse, plusieurs mois auparavant. Une fièvre orientale l'avait saisie et délirante, elle avait quitté sa masure à l'orée des bois, convaincue que le Colosse l'y attendait. Point de Nerra dans le bois toulousain, rien que des ombres et des prédateurs, et perdue, l'abyssinienne n'avait eu d'autres choix que de lutter pour sa survie, bête parmi les bêtes, craignant la vue des braconniers, seuls hommes à venir s'enfoncer dans les tenèbres feuillues.
Retrouvant la lumière et son chemin, Tigist avait réussi toutfois à retrouver le chemin de la maison, à retrouver le chemin menant à Toulouse. Une Toulouse brûlée, où plus rien n'était comme auparavant, le Blaireau brûlé, les Assay partis, autant de raisons de retourner se terrer dans sa maison puisque celle-ci avait échappé au brasier trop éloigné de la ville. Le coup de massue à sa raison : Eikorc, parti une semaine auparavant. Eikorc, vivant mais qui l'a abandonnée.

Des lettres parties vainement, des lettres dont elle n'espérait pas de réponses. Terrée dans les décombres de l'ancien repère des huguenots, elle avait attendu sans savoir quoi. Les pierres étouffant les cris de terreur de la Gelada à la nuit tombée. Et une réponse était venue : Limoges, Vera. Comprendre la relation liant la noiraude et le borgne relèverait d'un défi qu'eux-même n'oseraient pas relever. Elle avait su trouver auprès de la famille d'Assay, un semblant de sécurité, et tel le chien retourne à son maitre en bravant les éléments, elle avait rejoint Limoges pour les retrouver comme le suggérait Maleus.

Dents dehors, griffes sorties, teint rendu plus sombre encore par la poussière de la route, les vêtemens déchirés, elle avait su s'attirer la sympathie d'un balte, ou sa pitié, et ainsi revêtue d'une chemise d'homme trop grande pour elle, la Gelada avait contre toute attente retrouver la personne qu'elle s'attendait le moins à voir : Johannes, tenancier du tout nouveau Blaireau.
Une autorisation à occuper l'étage, une autorisation et une protection nonchalante comme seul l'époux de la Toute-Blanche en est capable. Elle a retrouvé l'abri du Blaireau, et ne compte laisser personne l'en déloger, même pas cette femme qui entre. Réflexes animales, elle défend son territoire, puisqu'elle a le droit d'être là.
Quelques questions, quelques réponses, les mots reviennent facilement, et en dépit de la vesture simple, ils n'ont rien d'hésitant. Elle a appris, il y a longtemps leur langue, et si les longs mois de silence ont rendu pénible le retour à la civilisation, la Gelada a soif de vivre, soif d'expliquer, de n'être plus seule.

Confidences pour confidences, elle aura appris dans le même temps que Maleus a rompu son deuil et que de ces rapports, un fruit s'apprête à tomber d'un arbre roux. Et en parlant de roux.. La porte s'ouvre, les lèvres se retroussent sur les dents prêtes à mordre avant que de s'ouvrir en un sourire. Femme a-t-elle déjà été plus heureuse que Tigist à l'instant où son regard se pose sur le dadais qui sert d'homme de main à la Toute-Blanche ? Jamais.
Comme le ferait le babouin, elle saute du comptoir et s'approche d'un pas dansant vers Athelstan, en poussant des petits cris de plaisir. A-t-elle oublié combien sa présence l'inquiète ? Pas le moins du monde ! Elle s'amuse de la terreur provoquée chez l'anglais, un temps, un petit temps seulement.


- « Comment va Toute-Blanche ? Va-t-elle revenir ? Dis moi ! Dis-moi ! »

Elle les enchaine et à chaque « dis-moi » l'index s'écrase dans le bras pâle. Dis-moi où est mon Contraire, dis-moi si je la reverrai un jour, si je ne serai plus seule.
Loin de la bête terrorisée d'alors, c'est l'enfant terrible d'Abyssinie qui refait surface, la benjamine choyée d'une famille atypique. Et les regards qu'elle jette à Vera et aux roux, ont des relents de joie idiote.

L'appartenance au maître n'a pas de logique, et comme elle le ferait avec Maleus ou Astana, la voilà qui passe d'Athelstan à la limousine bretonnante. Elle dort seule mais elle n'est plus tout à fait seule, et cette perspective ne saurait plus la séduire.

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* C'est pas moi, c'est LJD Mau'
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