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[RP] Université : Les cours alternatifs du jeudi

Jhoannes
Mentalement, il reste drapé dans l'aura de sa fonction. Il est recteur. Imperturbable. Il est le marionnettiste qui a joué avec les ficelles pour que tout le monde se retrouve là, ici, ce soir. L'orchestre de cette mélodie d'enseignement, le thaumaturge de cet amphit… D'accord, il en fait peut-être des caisses, redescend Blondin. Et Blondin redescendit parmi les siens, les chevilles amaigries et bercé par la douce conviction qu'il ne s'infligera aucune punition dont vient de lui faire la menace. Des têtes étudiantes ne sont pas chapeautées ?

- « Mince alors... »

… et double mince qu'avec la charte nouvellement votée y a que moi qui donne les punitions. Flûte, flûte, flûte…
Petit sourire.

Peu à peu, sa garde s'abaisse, il est pris par le cours, s'imagine, en pleine nuit sur une route, le front ceint d'une guirlande de buissons, y va de ses petits commentaires intérieurs.


Le Bond en fossé, ça je connais bien.
L
Le Plus c'est gros plus ça passe,, et allez, Thomas qui vient de faire une blague de merde à sa voisine. T'es pas fin Thomas. Je l'entends d'ici ta vanne de gros lourd.
Le Marchand de tapis, hop, on fuit le regard d'Astana, en gardant un air naturel.
Le Pied de nez, technique de gros frimeur.
L'Anguille. Nécessite l'application d'un corps gras. Peut-être de l'huile de balein… Hum ? Ah oui, c'est moi Monsieur le Recteur.

- « Assurément. »

Il vient se planter devant Nessia, gardant les mitaines dans ses poches. Oui, ça sent l'coup foireux. Vas-y fais-toi plaisir.
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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
Nalian_
    Il n'avait pas encore la tête à aller à l'université, les cours d'arabe ou de langue ne l'intéressait pas, une raison toute simple le Français été déjà compliqué, une langue ou tous les mots sont à double sens. Tout est pris dans les deux sens, tout est déformé et retourner si peu que Nalian avait inventé avec son épouse un langage bien à eux : "Le Code"
    Plus tard Shawie, Nessia, et d'autre encore s'étaient lancé corps et âme dans la quête du code, déchiffrer, inventé et essayer de comprendre le jeune couple que formaient Nalian et Iouna.


    Des maux de tête assurés pour tous ceux qui se sont essayés.

    Ce soir, c'est Ness qui donnait cours, et du coup l'intérêt de Nalian s'était réveillé. Déjà, c'est une princesse, c'est sa belle cousine et en plus, c'est La Big Boss, le Grand Manitou Durocassien. Il acquiesçait aux paroles de Nessia

    "Que tout l'monde enfile son voisin.. chapeau ! CHA-PEAU!"

    Les yeux de Nal papillonnent, il regarde à gauche son premier voisin, à droite l'autre voisin.
    Il lève la main comme à l'école
    . "Madame Varenne, puis-je passer l'enfilage de voisin Iouna n'est pas là, puis j'ai oublié mon chapeau... Il tortille sa bouche dans tous les sens...Par contre, il lève l'index en l'air plein d'assurance. J'ai un cadavre, on a écrasé quelqu'un avec le traîneau en voulant faire un créneau, ça marche pour les travaux pratiques ?"

    Voilà, Voilà, il ne fallait pas s'attendre à ce que ça vole bien haut

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Nessia.
Chronologie

J'ai un cadavre, on a écrasé quelqu'un avec le traîneau en voulant faire un créneau, ça marche pour les travaux pratiques ?"

La mâchoire se décroche, un brin, elle veut émettre un son, puis se ravise, en tiquant, l'index levé, va falloir bouger sinon elle va gober une mouche. Allez, pour le fun, la répartie qui tue
Gnn ?
Arête du nez pincée, on le retient ? On le retient pas ? Naaan on le retient pas
PUTAIN Nalian !
Voila. C'est fait.

On pourrait croire qu'elle est outrée par la remarque mais ..

Vous ne l'avez encore enterré ce cadavre ? Sérieusement ? Ca va puer, c'est dégueulasse.
Voila voila. Bienvenue chez les Durocasses. Hem.

Un chouilla après, au recteur de radiner son derrière. Par-fait.
Sans rien demander, parce qu'elle n'en a pas la moindre envie, puis elle n'a pas honte non plus, l'Oiselle retire sa propre cagoule et la lui colle sur le nez. Elle est sans doute trop petite - elle s'en fou - un rien crade - elle s'en tape - sans nul doute elle a postillonné dedans - elle s'en carre les miches complet et une fois qu'il a l'air de ce qu'elle pense être un pingouin - oui oui ! - la brune désigne le recteur des deux mains, comme dans un spectacle de magie - TADA !


Un tonnerre d'applaudissement pour Lucien.

Cadeau, ahin.

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Nalian_
    Aller savoir, il y a des jours comme ça où il ne comprenait pas trop pourquoi Nessia l'enguirlandait toujours (du verbe enguirlander = mettre des guirlandes = mettre à l'honneur)
    "Bah oui, mais on n'a pas de pelle" répliqua Nal "et en plus, tu vois ça n'aurait servit à rien, on a bien fait de le garder !"

    il donne un coup de coude à son voisin qu'il n'a pas enfiler "Bah oui vous avez une pelle vous ? Si oui, vous avez un jardin ? Vous me prêteriez les deux ? C'est pour enterrer un truc" mais avant que son voisin n'ai pu dire ouf Nal se retourne pour applaudir Nessia et gueuler dans la salle.

    "OUH OUH OU HOU, Lucien Lucien Lucien, Bravo !! " les mains claquent puis il siffle en passant ses doigts entre ses lèvres

    Il avait clairement un grain. Un nouveau coup d'coude au voisin "Vous pensez que là, elle va baisser ces braies ? Non, parce que ça serait terrible là"
    il reprit en direction de Nessia
    "Tempora mori, tempora mundis recorda."
    puis revers son voisin "Voilà. Et bien ça, par exemple, ça veut absolument rien dire, mais l’effet reste le même, et pourtant j’ai jamais foutu les pieds dans une salle de classe avant aujourd'hui !"

    Alea jacta est, il ne fallait pas l'inviter, d'ailleurs pas sûr que Nessia le laisse revenir dans une salle de classe après ça

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Jhoannes
L'heure était venue de payer sa part du marché. Oui tu viens offrir ta science pour pas un rond, donc oui, je me prêterai au jeu. Et puis c'est drôle, de voir une figure d'autorité sombrer dans le ridicule. À Blondin, ça le fait doucement marrer aussi, s'il s'imagine un instant en train de mater le tableau lui-même, depuis l'estrade. Alors, oui : Krkrkrkr. La vraie dédicace revient à Valentinien Faust.

Bien entendu, qu'il se tape la honte, mais c'est pas dramatique. Heureusement, pour quelqu'un qui passe quand même une grande partie de son temps social à charrier les autres. Non mais c'est vrai. Attends par contre, j'pense qu'on peut avoir l'air encore plus couillon qu'ça. Il recadre le couvre-chef sur son crâne, renifle un instant ses doigts sur le retour, fronce le pif, ça pue ton machin quand même.

Petit remerciement d'une patte à l'acclamation du public, y a un gars qui a l'air bien motivé dans l'audience, du coup, c'est encore plus dur de conserver un semblant de sérieux. Et puis Blondin tique qu'il manque toujours un truc. Ah ! Il sait. Le détail qui tue. La petite mèche blonde à l'avant qu'on fait rebiquer vers le haut. C'pas mieux comme ça ?

Maintenant, le changement de voix. Jhoannes a déjà rencontré. Lucien, c'est un homme masqué échappé de prison. Un homme sybillin, au verbe austère. Un vrai connard mystérieux qui s'exprime d'une voix à la fois rauque et un peu teubée. Concentration…


- « Salut. Vous m'reconnaissez ? »

#jesuisLucien
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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
Jhoannes
Citation:
Les cours alternatifs reprendront le jeudi 20 mai.


Des gens intéressés pour monter sur l'estrade, le blond en avait dégotés. Et pas de la gnognotte en plus. Sauf que personne n'était disponible pour palabrer pile ce soir-là. Blondin, il trouvait presque toujours un moyen de retomber sur ses pattes. Et la solution aurait été bien simple : il n'avait qu'à donner un cours lui-même. On lui avait même soufflé une idée : les oiseaux. Oui, il adorait les piafs. Sauf que Blondin, il avait pas spécialement la patate non plus. Et qu'il préférait encore annuler que de broder une montagne d'âneries sur le pouce. Il placarda donc l'affiche, et décida que la salle de l'amphithéâtre resterait fermée jusqu'au prochain jeudi. Qualité, plus que quantité.
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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
Arry
    Citation:
    04:29 A force de persévérance, vous apprenez quelques règles de savoir-vivre (+1 point de charisme)


    Oh, putinasse. S'il avait traîné à indiquer à Jhoannes le sujet de l'alternatif cours qu'il avait été invité à donner, à force de persévérance, ça avait fini par lui taper au cervelet : LE SAVOIR-VIVRE. Bon, ça faisait d'façon partie des drôles de propositions larguées par les potos dans les précédents jours, mais là, c'était supérieure puissance qui l'y poussait. On aurait pu croire qu'un Comte avait autre chose de plus important à foutre que de jouer au pitre en salle de classe (parce que c'était clairement ce qu'on attendait de lui, hein ?), mais on était en Limousin-Marche, & Zolen était Zolen, bigre de conscient que la deconnade, le second degré & le peps' en groupe apportait autant - si ce n'était parfois plus - que les taupes secrètes réunions politiques en milieux fermés.

    Citation:
      Jho',

      Si vous êtes d'accord pour que mon cours ait de nuitée lieu - la journée, j'ai ciboulot qui pieute -, j'ai matière à vous pondre instruction de haute qualité. Au programme, LE domaine dans lequel excellent limousins, marchois & affiliés : le savoir vivre.

      Zo'.

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Jhoannes
À son retour de vacances, pêche Astana & sun sur Ventadour, le blond avait trouvé une montagne de lettres, sur son bureau. Ah bah oui, une. Vu l'engouement général des dernières semaines pour les cours et les réquisitions sauvages à cause des embrouilles avec le taré sur son trône, il avait temporairement fermé les portes de l'université. Sauf pour le cours alternatif (et sacré), du jeudi. Alors un seul pli, oui, mais qui contient une offre du genre qu'on ne peut pas refuser — enfin dans l'absolu, il pourrait, mais il en a pas envie. Arry et le savoir-vivre, c'est un gros oui.

Citation:
Zolen,

On part là-dessus. Je programme le cours ce soir, sur les coups de vingt-et-une heures. Samedi rime avec jeudi, les gens s'en remettront. Ce sera le cours alternatif du jamedi soir.

J


Vole pigeon, car la pédagogie clandestine n'attend pas.
En attendant je vais préparer l'affichage dans les règles.

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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
Jhoannes
Citation:
Le savoir-vivre
Professeur invité : Arry

Salle de l'amphithéâtre, samjeudi 22 mai, à 21h.


Les pas résonnent davantage dans une université déserte. Blondin file le long des salles fermées, occupé à piocher des olives dans un bocal et à répéter mentalement sa prise de parole introductive. Ne pas oublier de préciser la règle sur les boulettes. Ne pas parler la bouche pleine. Et surtout, surtout, avoir l'air réellement convaincu par toutes ces règles.

Au fond du couloir, il aperçoit un chapelet de silhouettes qui attendent l'ouverture de l'amphithéâtre et gobe une dernière olive à regret avant de se recomposer une tête de recteur. Il ne sait pas bien à quoi est censé ressembler le résultat final, mais c'est pas grave. Des gens ont fait le déplacement. Même Thomas est de la partie ! Salut Thomas.

Les portes de l'amphithéâtre s'ouvrent.
Descente directe vers l'estrade. Une dernière dernière olive fugitive avant de planquer le bocal en équilibre sur le lectrin.
Et, lorsque le plus gros du monde aura pris place sur les bancs :


- « Bonsoir à tous et à toutes, merci d'être là malgré le contexte… particulier. Si des personnes ont des questions à poser ou des demandes à m'adresser à propos de la fermeture de l'université, je tâcherai d'y répondre et je vous entendrai, mais en dehors de ce cours. Mon bureau reste ouvert. Pour l'heure, Arry est notre professeur invité de ce sam… j'di et va nous parler du savoir-vivre. Oui, rien que ça. Ouvrez bien vos esgourdes, bande de barbares, et peut-être que vous sortirez d'ici parés d'une aura nouvelle. Ou pas du tout, mais au moins vous aurez essayé. Petit rappel des règles en vigueur : les questions pour la fin, la fumette est autorisée, les commentaires sont à faire sous cape avec doublure, les boulettes à noircir de mots doux. Et bon cours. »
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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
Arry
    Bourré au stress, relisant nerveusement fichettes recap' de dernière minute, trépignant d'un peton sur l'autre pour tenter de contenir vessie... QUE DALLE. Ca se saurait depuis belle lurette si le Zolen était du genre à se chiasser les braies à l'idée de jacter en public. Après tout, il était mec de spectacle, pitre de tavernes & il était au bercail, en LM, présent à l'invit' de chouette recteur, ça avait de quoi lui filer pep's en pagaille & faire oublier à sa carcasse le quota d'heures de pieute qui lui manquait. Souriant pleine tartine - ce qui n'annonçait pas forcément du bon - il coucouta Joh' & ses étudiants victimes du bandana avant de s'en aller taper popotin nonchalant au bureau. Là, là, en place. Ca y est, il pouvait l'ouvrir ?

    Camarades, l'salut à vos frimousses !

    Bon, s'il ne devait pas y aller de suite, c'était désormais TROP TARD. La machine était lancée, il était taquet-taquet & il avait illustre savoir à répandre.

    Comme l'a dit Jho', aujourd'hui, on est là pour causer savoir-vivre. Mais pas n'importe quel savoir-vivre. Le savoir-vivre à la limousine & marchoise, aka LE savoir-vivre que TOUS nous jalousent.

    Quiconque avait déjà foutu petons en Limousin-Marche plus de deux jours saisirait l'ironie. Arry laissa s'écouler quelques secondes (le temps de demander, en signes très compréhensibles, à Jho' si y'avait moyen de se faire offrir bol de lait miellé) & reporta son attention sur assemblée, faisant comme si interruption n'avait jamais eu lieu :

    J'ai malheureusement pu constater à tartine d'occasions que certaines & certains peinaient à apporter touche d'originalité à leurs insultes. Alors que, bigre, l'insulte est le fond'ment même du langage. C'est la base d'la plupart d'nos rapports entre limousins & marchois & vous êtes plusieurs à avoir oublié son délicat maniement. Plusieurs fois, j'me pointe en taverne & qu'est-ce que j'entends ?

    Roulement de tambours imaginaire, mine faussement dépitée, exagération totale.

    "Faîtes chier", "Sale bâtard", "J'te conchie". Outre l'fait particulièrement vexant qu'ces grossièretés n'me soient même plus tellement destinées, c'est quoi ça ? D'la parlotte d'étriqués de l'imaginaire ? D'jà qu'on doit s'cogner les langages d'sauvages d'ces foutus ritales, d'ces éclatés d'angloys, d'ces noirauds façon Rai' & d'ces bouffeurs de hérissons d'gitans, si vous, vous n'faîtes aucun effort dans l'maniement du bec, ça n'va pas l'faire. J'en appelle donc à votre créativité. L'reste du Royaume compte sur nous pour enrichir son vocabulaire. Ne décevons pas !

    Arry réajusta instinctivement son bandana & retomba lestement, sur petons, à bas du bureau, paré à dégainer prime exercice pratique pour s'assurer du sérieux de son auditoire.

    Premier cas pratique, qu'on puisse évaluer l'niveau global.

    Et faire gentiment chier Jhoannes au passage ? Mais tellement pas. Hahin. Ca vaaaa, c'était mignon.

    Imaginez qu'notre adoré recteur ci-présent ait critiqué la forme d'votre croupe - ouais, il a rien respecté -. Imaginez qu'il ait ajouté qu'vous r'fouliez la sueur à même degré qu'Grolin. Imaginez qu'en surplus, il ait osé vous d'mander l'adresse d'votre mère pour lui rendre nocturne visite. Imaginez tout ça, saccagez tout en bocal, laissez l'imagination vous prendre & insultez-le. Insultez-le putinasse d'bien. A la limousine & marchoise. L'premier qui m'sort une banalité, il sort. Sans passer par la case nougat.

    D'ailleurs, quelqu'un avait prévu des nougats ? Ouais, nan ? Parce que c'était l'un des rares trucs capables de faire clore la gouaille d'un Arry lancé. Elémentaire, donc.

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Jhoannes
- « Connard ! »
- « Thomas tu sors. »


Foudroyé par le regard noir d'un recteur en train de secouer la caboche, l'air atterré et peiné à la fois, Thomas remonte sa carcasse de gros lourd jusqu'aux portes de l'amphi. Blondin n'aime pas Thomas, non. Personne n'aime réellement Thomas. Parce que Thomas, c'est ce genre d'étudiant qui se place devant, bien devant, comme les intellos mais sans en être, et qui enfonce toutes les portes ouvertes avec un gros sourire débile. Et en plus il pue des pieds. Des plaintes sont remontées jusqu'au bureau. C'est toi le vrai connard, Thomas, songe Blondin. Mais vrai de vrai.

D'ailleurs, tout l'amphithéâtre semble respirer mieux, de l'esprit et du naseau, une fois que Thomas s'en est allé. Jhoannes peut enfin se concentrer sur l'exercice en cours. Il sonde du regard les rangs en face de lui en faisant des paris intérieurs sur quelle sardine va oser se lancer en premier. Même qu'un peu il trépigne. Parce qu'il a beau pas être limougeaud, Blondin, les insultes, c'est sa petite liqueur sucrée du langage. Il en est amoureux. Alors lui aussi, il a des attentes qui pèsent. Et un peloton de belles horreurs à dire qui commence à se bousculer au portillon. Attends, moi aussi, j'ai le droit de jouer.


- « On fait ça… Vos globes grelottent tellement que ça me donne envie d'chialer et admettons que j'ai proposé de retourner votre maman pour un deux à sept. Par contre, le savoir-vivre, c'est plus beau quand il y a retour de balle. Donnant-donnant. Loi de réciprocité. Alors j'me donne droit de réponse. »
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En noir c'est Jhoannes.
En vert c'est Caillou, une de ses voix intérieures. Caillou est vil.
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