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[RP]Nul trépas,nulle défaite gloire au Rouergue

Sofio51
Il était de ces nuits noires, ou avancer sans bruits a tâtons elle s'en serait bien passée, étrange tous ces aboiements de chiens égarés, a peine la dernière maison de Millau passée.

Une longue file de soldats, certains amaigris, d'autres armée de bâtons, mais tous portant dans leurs cœurs, la certitude d'aller de l'avant pour une gloire inconnue,le visage fier, les pensées morbides, un pas de guerrier avertis, certains se sont retournés, j'en ais vu ramasser une poignée de terre et la mettre en poche.

premier émois.

La route est longue, pas le cœur aux chants, la route est noire, pas un murmure en rangs, combien de temps encore...

Ombres de la nuits, hé toi la lune t'es ou ce soir tu te caches?t'as la frousse?donne moi de ton rayon, que je puisse voir ou je fourre mes godillots, tant que ca avance devant, c'est que nul obstacle ne se présente.

Je fous quoi la?me peler les miches, rien a grailler de consistant, adieu belles tavernes, ou chaleur et bières, envoutent mon corps et mon esprit, quand vous reverrais je?
je suis pas chez moi la, ma terre d'Auvergne j'en vois pas les contours, et mes hauts volcans ont disparus, se sont éteint comme dans un souffle.

Avance.

La colonne de fer s'arrête d'un coup, le cliquetis des armes se tait, plus aucun bruit,j'entends une respiration pas loin, fatou...sa grossesse est avancée, elle a du mal a suivre le rythme, merdum j'avais dit reste au camp fais la tambouille, non ca quand ca sort d'Auvergne ca renonce pas.

Je vois les remparts de Lodeve, ils illuminent un ciel sans étoiles, peu prometteurs pour demain ca.Puis si il pleut faudra changer de godasses zut la poisse, patauger dans la gadoue.Manquerait plus qu'il tombe des grenouilles en route.

Le chef de file lève un bras, on sait.....des murmures se font entendre, puis le sol bouge, il tremble, il a peur.

Une course effrénée, et déjà les premiers sons de fers, puis des cris, des coups, dans la nuit, un homme est la tout prêt il est pas des siens, il pue la Languedoc!! elle fonce sur lui, l'abattre et le voir trainer au sol telle une bouse coulante, il finira au sol, a ramper sur le coté.

Qu'il crève, comme un puant, et que son sang impur se répande en tous vents, colère, pas bon, raisonne, ou sont les autres....

Revenir au devant, et frapper, taper jusqu'à ne plus rien voir , saleté de lune tu le paieras,un homme est la au sol, elle reconnait sa barbe naissante..vincentte, bordel sa sœur va me tuer, j'avais promis...

Plus loin , elle voit une hache, qui tournoie, des gens tombent partout, son épée se marre, elle s'éclate elle pourrait l'entendre se gausser si partout, autour et encore la des bras, des mains au sol.....

Zik, ta hache lâche la, elle s'approche de zik, il tiens sa hache comme un trésor, mais ses yeux sont fermés, il souffre, mais il vit, laisse le...

Elle cherche lel, ne le voit pas, ou es tu amour, m'entend tu, pas le temps, c'est fouinage ou tabassage, elle retourne, dans la mêlée, boucherie de sang, Languedoc tu ne passeras pas, on en crèvera tous les uns après les autres.

Un ami m'a dit tu es auvergnate tu ne meurs pas, merci a toi l'ami ce soir je pense a toi.

Saloperie de lune, tu te montres enfin, tu brilles et tu sors tes lianes de feux, pour venir me montrer en ton berceau le corps de rai,il avait parié qu'il ne tomberait pas avant d'en avoir tué, héé rai , honores ton pari bordel mais relève toi!!ils sont devenus fous.

Amas de corps enchevêtres, terre ensanglantés, du ruisseau le sang de la gloire coulera, qu'il aille porter au Rouergue l'air de liberté, nous ne sommes pas vaincus, certains sont tombés et ont soufflé aux vivants la rage de vaincre.

Petit matin, nous soignons nos blessés et comptons nos morts,je ne veut pas m'approcher d'eux, je ne veut pas voir les noms de ceux tombés, et je crache au passage sur l'ennemi, qui s'est replié.

Assise sur une pierre et je cache mon visage, j'ai vu lel debout vivant, j'ai vu fatou l'air hagard elle tiens encore son épée, les combattants du Berry sont la aussi, ca elle n'aurait jamais cru voir le BA et le Berry s'unir pour une cause, elle apprécie ses hommes venus de si loin, qui aurait cru que la force pouvait les réunir un jour.

Et la lune pourquoi tu te casses la??t'as finis ton travail de la nuit, traitresse.

Il est temps de se relever, le combat n'est pas finie,le premier acte n'a fait que commencer, ces fourbes seront la dés l'instant de l'entre chien et loup.

Elle prend une plume et commence a écrire.







Citation:
a Rasta

Mon cher, la nuit fut rude, j'ai pensé a toi, un auvergnat ne tombe pas, tu vois je suis vivante mais, nos amis sont tombés,j'ai entendu raianui tomber en criant semper fidelist, j'ai vu zikzok au sol, et vincentte tous tombés sous la proie des chiens du Languedoc, fatou et l'enfant qu'elle porte vont bien,nous sommes auvergnate rasta et nous résisterons jusqu'à la mort tu a raison

je t'embrasse

ta tendre sofio



vole pigeon vole, porte le pli au plus haut et ne te distrait pas par le vol des oies sauvages.


Puis dans ma tête résonne encore la voix de la vieille de polignac

sang, pluie, rage, trahison

_________________
Fatou
Le temps est frais, le ciel est dégagé c’est une belle nuit mais si sombre. La lune n’a pas encore pointé son nez. L’obscurité règne en maitre, Fatou ne voit rien à plus de cinquante centimètre. Elle se dit souvent myope comme une taupe mais son état envenime la situation. Elle avance tête haute, elle reste ranger dans les rangs en suivant les bruits de pas et armures. Le silence est si pesant elle qui déteste le silence toujours à jacasser à meubler comme elle peut ces moment de calme que les gens disent apaisant.

Son enfant lui donne des coups, elle continu d’avancer en se crispant de temps en temps. Elle pose sa main sur son ventre pour le rassuré. Elle jette un œil derrière elle, puis regarde son ventre. Inconscience ou pur folie ? Elle se demande. Pourquoi ne pas être resté au camp ? Pourquoi ne pas être resté auprès de son Beuzy ? Pourquoi joué avec sa vie et de celle de l’enfant qu’elle porte ? Les questions se bousculent dans sa tête… Pourquoi ?? Est ce le remord… Le regret… La peur… L’instinct maternel… Ou juste de la mélancolie ? Dieu seul le sait. Elle se cogne contre un soldat en arrêt. Ils sont arrivés…

Elle lève la tête et tente de voir ce qui se passe devant… trop p’tite, elle se voit rien elle se hisse, se mets sur la pointe des pieds mais rien. Elle entend les premiers tintements d’épées, les premiers cris. Sa vient de commencer elle sort son épée… Elle sait soudain pourquoi elle est là. Elle sourit, elle veut juste se sentir vivre… vivre…

Il est si facile de vivre, la vie s'achèvera tôt ou tard par une mort définitive. Alors pourquoi s’attaché à la vie comme si elle était éternelle autant jouer avec elle et frôler, sentir, procurer la mort. Les cris se rapprochent… Elle se sent dans son élément, son enfant lui redonne des coups… Lui ou elle ne semble pas dans son élément.

Le combat fait rage, à l’aveuglette, à l’instinct, elle ne pense qu'à faire couler le sang peu importe d'où il vient, de ses adversaires ou d’elle-même l’essentiel est de se sentir vivre et de survivre à cette nuit. La lune pointe le bout de son nez. Elle y voit mieux maintenant elle contemple le carnage et le massacre. Beaucoup de ces alliés gisent au sol, sont ils blesser ou mort ? Sofio scrute les corps puis va s’assoir pour écrire un mot. Fatou la regarde au loin beaucoup trop épuisé pour bouger. Elle regarde autour d’elle est ce dit que cela en fait des corps pour son laboratoire sur ces pensés elle s’endort.
Dexter08
Le jour J était arrivé...

Le temps avait l'air calme, mais la route risquait d'être longue.
Dexter s'avança des hommes composant son groupe, il leur donna les dernières consigne et leur servit un verre de calva pour leur donner du courage et boire le dernier verre au cas ou.....

Dexter n'était pas inquiet de son sort, ce qui le préoccupait avant tout, c'était la sécurité de ses hommes.
Mais tous connaissait le risque en s'embarquant dans cette aventure.

Une fois le verre terminé, Dexter ordonna de monter à cheval.... tous étaient équipés et parés à se battre à côté de leur alliés.

Et c'est en pleine nuit que l'armée avança en direction de Lodève.
Un grand silence régnait tout le long de la route, on pouvait juste entendre les sabots des chevaux tapotaient sur le sol....

Le convoi approcha de la ville.... celui-ci pensait faire effet de surprise face aux défenseurs. Mais le contraire arriva....

Le convoi fut surpris par une embuscade.
Eux qui croyait n'avoir aucune difficulté de s'emparer de Lodève, il désenchanta vite fait.

Le combat qui se deroula ensuite fut sanglant. Les croisement s de fers s'entendaient de toute part. Les ennemies se trouvaient en supériorité numérique.
N'écoutant que son courage, Dexter et ses hommes s'engagèrent dans le combat en allant aider leur compagnon.

Des corps se trouvaient à terre, des cries de blessés demandant de l'aide résonnaient de toutes part....

L'ordre de repli fut donné.
Les blessés furent chargés rapidement sur un charrette... Dexter et ses hommes restèrent en protection, le temps de l'évacuation.

Un campement de fortune fut établi en attendant les nouvelles consignes, et les blessés reconduit sur Millau.
_________________
Lordmick
Lord Mick avait suivit les instructions, cela faisait des jours et des jours qu'il recrutais de partout, paufinant les plans, multipliant les conseils, que les pigeons n'arretaient pas de voler et ceci depuis l'invasion par ses couards du languedoc.

Le soir tomba rapidement ce jour là, il fit venir les chefs de sections et fit passer l'ordre final... On leve le camp se soir...

En toute discretion les hommes et femmes rangerai le campement puis s'equiperent avant de monter à cheval et de prendre la route en direction de leurs destins.

La nuit etait belle et douce, elle leur permettais de se deplacer sans lumiere juste son cerceau pour les eclairer et leur donner la direction à suivre.

Lorsqu'il fut arrive à proximite du village, le grain de sable du plan se mettait en route. Une attaque de soldat ennemi fit rage obligeant Lord à ordonner l'attaque.

Apres une longue bataille, il fallait reculer et remettre les blesses ou mort en securite, apres avoir regarde ses chefs de section, ils deciderent d'installer un camp de fortune afin de faire le bilan et de permettre a tout le monde de se reposer.

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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
Rastaplegique
Camp des Terribles

Cela faisait deux jours qu'il restait enfermé dans sa tente, passant avec Shel les différents rapports au crible et échafaudant des stratégies en découlant. Alors qu'ils s'affairaient, un messager apporta un énième pli qui aurait attendu comme les autres s'il n'avait été destiné à Rasta personnellement.

Il s'en saisit curieux et le lisant son cœur se déchira. La rapide missive signée de son amie Sofio faisait état des dégâts du front et était des plus dures à accepter. Il avait déjà lu plusieurs bilans estimant les pertes suite à l'affrontement de cette nuit mais il s'était persuadé qu'aucun de ceux tombés n'étaient si proche de lui, la réalité venait de le rattraper.

Alors que son sang se mettait à bouillir il saisit une plume et maîtrisa sa main pour pouvoir écrire.



Citation:
Chère Sofio,

Je suis empli de tristesse et de rage à la lecture de ta lettre et ai peine à me retenir de partir sur le champ vous rejoindre. Aujourd'hui, je maudis ce serment qui me tiens loin de vous et m'empêche de venger dignement mes amis dans le sang de ces porcs languedociens.
Je vous en supplie, continuez toi et Fatou à vous battre et surtout à vivre telles des auvergnates car vous perdre serait une douleur trop vive à mon cœur.

Puisse ma force vous venir en aide,

Semper Fideliste, Rasta.


Confiant la lettre à un des messagers du camp il regarda son capitaine à qui il avait transmis le mot.

Si seulement nous y avions été. Lui dit-il simplement.
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[img]http://caserne-ba.xooit.com/redirect1/http://caserne-ba.xooit.com/image.php?image=http%3A%2F%2Fimg205.imageshack.us%2Fimg205%2F497%2Flesterribleavecclairettvv8.gif[/img]

Pour le B-A, Force et Honneur!
Thibali
Juste derrière Soso, Thibali avancait en jettant un regard vers ces hommes .
Les rouerguats , courageux comme toujours, avancaient en compagnie des Auvergnats, des Berrichons et d'amis.

Ils avaient lever le camp en direction de la frontière , celle séparant le rouergue du Languedoc. La nuit noire, ne leur facilitait pas la tâche, mais les cachait aux yeux des traitres.

Lordmick, en tête menait la marche. Les grognements se faisaient entendre de ceux qui pataugaient ou buttaient sur le chemin. La maistre de camp eut un sourire a ce rappel des nombreuses marches comme celle-ci.

Sourire qui s'effaca rapidement lorsque la troupe s'arrêta et que le cliquetis des épées résonna dans la nuit.

Ils étaient là ! Les maudits ! Sortant l'épée, elle fit face aux ennemis.
Le combat fit rage rapidement.....ne pense pas thib...ne pense pas....
Seigneur ! faites qu'on s'en sorte tous....
Quelqu'un tombe près d'elle....ne pas se laisser distraire, combattre encore plus, venger ceux qui tombent.

A peine plus tard, la lune apparait et le cor retentit....Les languedociens retraitent.....Les bras balants, elle fait un tour sur elle même, observant ces compagnons. Déjà sa hargne est tombée...pour le moment...son esprit en alerte est déja a organisé les soins.

elle lache ses armes et s'approche de greg...
--S.....



Il leur avait dit.....Rejoignez le camps....
Ils étaient arrivés le jour d'avant et avaient juste eu le temps de reprendre quelques forces après leur long voyage..
Recrutés.....Enrôlés dans cette armée parmi ces hommes et ces femmes qui n'étaient même pas des leurs...
Suivre Lordmick leur avait on dit....
Rien que pour défendre une cause semblable à la leur,parce que ,quelle que soit la région,quels que soient les hommes autours d'eux,c'est pour ça qu'ils sont là...

Séléna reste au plus près de d'Arkhenn même lorsque l'ordre de départ est donné...Ils avancent de front dans les rangs,dans la nuit qui les mènent vers Lodève,vers leur destin.

Autours d'eux le silence...Les ordres sont clairs....Pas un bruit,que le piétinement sourd des sabots et des pas des hommes en rangs serrés.
La peur lui noue le ventre maintenant qu'elle est là,elle qui n'a jamais combattu,qui a voulu se montrer brave...L'est elle vraiment?
Le petit vent frais de la nuit n'arrive pas à chasser les odeurs de sueur des soldats qui les entourent,son esprit s'échappe vers son enfant...Le reverra-t-elle un jour ou sa misérable existence va-t-elle se terminer au bout de ce chemin?
Elle n'ose lever son regard vers son compagnon de peur que la force qui la fait avancer au milieu de ce flot humain ne disparaisse et la fasse abandonner si près de leur but.

Soudain Lodève est devant eux.

La première lame qu'elle aperçoit la couvre d'une mauvaise sueur de terreur .
Va-t-elle s'enfuir?
Son esprit lui crie de courir loin....De renoncer....De vivre...
Son regard capte la silhouette de son compagnon qui a déjà le masque du guerrier et lève un bras sans pitié...

Sa main se crispe sur la garde de Leochain...
"Donne moi la force..."
Le premier adversaire est devant elle,sourire ironique devant cette petite femme rousse qu'il va massacrer.
L'instant d'après c'est lui qui baigne dans son sang,gorge tranchée,les yeux grands ouverts sur un dernier étonnement.

Les gestes mille fois répétés avec d'Arkhenn prennent enfin tout leur sens,elle avance et entaille,recule,évite,ne réfléchit plus....Ressent....Tue...Découpe....

L'odeur du sang....Il lui en avait parlé..Elle ne connaissait pas....Elle n'est plus elle même...

Il avait dit:
"Tu ne devras pas penser à moi..."
Elle avait ri,n'imaginant même pas que ce fut possible un instant..

Elle l'a oublié....Elle déborde de haine....Elle avance...

Elle voit tomber des hommes qui marchaient avec eux et sa haine décuple...
La Bourgogne n'aura pas honte d'elle...Même si elle tombe...Elle n'aura pas failli...
Les attaquants survivants se souviendront d'une petite silhouette rousse...Une furie enragée qui grognait comme une louve et qui ne reculait point.

L'aube lui fit découvrir le massacre lorsque les troupes se séparent .
Le peu de ceux qu'elle connait sont indemnes mais hagards,d'Arkhenn reste debout,il regarde vers la ville,son épée dégoulinant du sang des Languedociens.
Les râles des blessés la ramènent à la réalité...
Elle aperçoit Soso, la tête entre ses mains,les traits ravagés....Soudain ses genoux tremblent,elle s'affaisse sur une pierre et réalise ...

Elle a tué....Elle a suivi...Séléna lève les yeux vers d'Arkhenn qui s'approche d'elle,les yeux encore pleins des horreurs de la nuit...

Auront-ils le temps de refaire leurs forces?
Demain la bataille reprend...Elle sait maintenant qu'elle ira jusqu'au bout.....


Hector_
Les ordres étaient tombés en début de soirée, une attaque surprise était prévue pour cette nuit. Tous les soldats étaient conscients du caractère très périlleux de la mission et peu de monde parlait au camp ce soir là. Un peu de peur, de la concentration et surtout beaucoup de détermination animait les soldats. Les responsables avaient fait leur travail en attisant la haine dans chacun d’eux envers le Languedoc. Beaucoup ne savaient d’ailleurs pas pourquoi la guerre avait lieu, tout ce qu’ils savaient, c’était que le loup était le Languedoc et qu’il fallait le châtier. Probablement qu’en Languedoc, le même discours était tenu. Peu importe, les soldats ne sont pas là pour réfléchir, ils sont payés pour tuer.

Hector était encore jeune, trop jeune pour mourir. L’inconscience de la jeunesse lui donnait le sentiment qu’il était invincible et que la mort frappera les autres, mais pas lui. Il s’était engagé il y a déjà longtemps, dès les premiers jours de son arrivée en ville, lui qui ne connaissait alors que la campagne de ses parents. Encore très immature, il était pourtant conscient que la gloire ne s’obtiendra que grâce au travail. Alors il s’était entrainé dur tous ces mois, très dur.

Jusqu’à ce jour, où il va connaître sa première véritable bataille. Il était de nature solitaire mais ce soir là, il n’avait même pas décroché le moindre mot, faisant la bataille dans sa tête avant même de l’avoir commencé. Son souhait était de mourir au combat, mais pas maintenant, pas avant d’avoir prouvé quelque chose.

Des gradés lui avait proposé de l’alcool fort voir certaines substances bizarres afin d’évacuer la peur légitime d’un soldat, il avait décliné, souhaitant garder l’esprit clair. Déterminé à être décisif dans cette bataille. Ca ne l’empêchera pas d’être cruel, lui qui cultivait depuis longtemps ce coté cruel, pas naturel chez lui, mais devenu de plus en plus présent. Les meilleurs soldats sont en fait souvent les plus cruels et il l’avait bien compris. La force ne suffit pas au soldat.

L’heure du départ était venue, il rejoint donc les rangs au coté de Thibali et Greg notamment. La nuit était vraiment sombre, surement choisie par les officiers pour une attaque surprise efficace. Tout le monde était silencieux.

La route fût longue, plusieurs heures avant de tomber sur l’ennemi à un endroit visiblement pas attendu. Tout s’enchaina alors très vite et le capitaine hurla son ordre d’attaquer. On n’y voyait pas grand-chose, ce fût un véritable massacre. Contrer des coups que l’on voyait très difficilement arriver n’était pas chose aisée.

La bataille se termina et Hector n’avait rien. Il retira alors son armure afin de se soulager de ce poids. Des hommes et des femmes étaient partout allongés sur le sol. Il chercha alors Thibali, sa supérieure. Elle était auprès de Greg qui avait reçu un coup très sérieux. Il alla alors vers eux.


Il va s’en sortir ?
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Un seul talent, un seul destin...prendre des vies.
--Le_cavalier_arkhenn
Ils sont là, chevauchant leurs coursiers caparaçonnés de fer, deux par deux , les estrannières au vent du soir.

Au début ils étaient sans arrois, une mêlée de gens en armure, sans aucun signe de leurs appartenances, non rien n'indiquait d'où ils venaient et qui ils étaient.

Seul manquait à l'appel deux cavaliers, une rousse et son frère.Tous deux en plein préparatif d'atournement.

Il se tenait là sous leur tente, deux lits se trouvaient là, opposés mais se faisant face, un petit brasero pour les séparés.Nul surcharge de bagage, non juste deux êtres à ce moment là en armure, lui fermant le gorgerin de Séléna et dans un brusquement mouvement après c'est de lui passer son épée dans le fourreau et de la regarder intensément.

Puis tous se fait rapidement , ils sortent , lui mettant son heaume, donnant un signe à leurs troupes pour forhuir l'appel.

Les hommes et femmes de leurs lances se mettent en selle, suivis de leurs chefs et dans un ordre bref tous se mettent en colonne par deux et sous un autre , leur gonfanon qui se trouvait prisonnier d'une main de fer le maintenant fermer se déploie pour que tous puisse y voir un lion d'Or rugissant et griffant.

Sans plus de paroles ils font mouvement allant vers l'enchas, y trouver solas à meurtrir les soldats ennemies, à allez à l'estourmie.

D'Arkhenn voit sa sœur à ses côtés, paraitre faible, à avoir peur et de craindre le trépas, mais lui il la déjà ressentit et le ressent encore même en ce moment.

Ils sont là sur le flanc gauche du commandant de cette armée, ses yeux bleus fixent devant lui l'horizon tandis que la troupe de cavaliers lourds se rangent à leurs côtés.


Il est là , sa visière ouverte, il respire un bon coup, ses eux se lève vers le ciel qui commence à se s'éveiller.
Et là...

Devant lui les premiers rangs sont tombés sous les premiers jets de flèches, les gorges gargouilles, des hommes s'affaissent sans un bruit ou son contraire, hurlant sous la douleur.
Devant lui il voit des flancs transpercés, des pieds touchés ou des cuisses dont nul armure ne protégeait les vougiers.

Les épées sont levés et ils frappent devant eux, sur les côtés évitant un débordement de toute part.Les écus font leurs offices mais pas assez vite, d'autres hommes et femmes du Rouergue tombent, certains sans un bruit, d'autres dans d'horribles cries de souffrance ou bien râlant dans cette plaine.

Sa teste se tourne vers elle, ses yeux presque enfantin se font dure, ses yeux reflètent maintenant la mort et dans un murmure il dit à Séléna.


Il est l'heure de meshaignés ces lourdiers.Et de relinquir ?....jamais.

Et à la fin de son crie, ils s'ébranlent, la terre se lève à leurs passage, les fraies de leurs montures montent jusqu'au ciel.
Et dans une pensée D'Arkhenn se dit que là au moins le paradis se lèvera tôt et qu'ils ouvriront leurs portes plus tôt.

Les coups pleuvent autour de lui, leurs attaquent fait une petite percer dans les lignes mais elle se referme aussitôt, laissant derrière eux des corps de chevaux et de cavaliers.

Les corps se démembrent sous ses coups, les casques se fracassent, la cervelle en coule, là où était la surprise, il n'y a plus qu'un cadavre.

Là où un homme en arme tenant épée ou hache, il n'y a plus qu'un être sans bras se tordant par terre.Il est là dans la mêlée, regardant à dextre, frappant; regardant à senestre et décapitant.

Il est là comme un faucheur de blé, mais il est en ce moment le faucheur d'âmes.
Il est là comme un bucheron mais son office se fait sur des corps ennemies, son cheval piétine sans frémir, sa teste se tourne pour embrocher.

ce combat lui parait durer une éternité, son front dégouline de sueur, son bras lui fait mal, trancher et meurtrir lui font du mal et le fatigue.

Mais il ne s'appartient plus, son démon en lui c'est réveiller et il réclame pitance et son du.

d'Arkhenn sans y prendre garde lui offre tous ce qu'il veut.Et sans aucun regret.Ni scrupule.

Seul un son de cor, lui fait arrêter sa besogne et il relève la teste sous son heaume et voit Séléna.

....................................................................
--Villageois
[Devant Lodève quelques heures avant l'assaut]



Antonin aimait son duché, il était vraiment fier d'être Languedocien et il aurait tout fait pour le défendre jusqu'au bout.
Mais il avait plus important à faire pour l'instant...
Il s'était trop attardé en taverne, et la nuit tombait déjà... Il courait maintenant les verdoyantes vallées languedociennes à la recherche de ses brebis égarées...
Aucune trace d'elles, il commença à s'inquiéter...
Puis il se rappela, l'an dernier, elles avaient fui jusqu'au bois à l'Ouest de Lodève.
Il marcha une dizaine de minutes, et y parvint...
La nuit était maintenant noire, il avançait à tâtons dans la forêt, un peu au hasard.
Au détour d'un sentier, il entendit des bruits de sabots. Rapidement, il se dissimula dans un bosquet...

Il devina à une trentaine de pas une blonde, avec des tresses, et un visage d'acier. Muet, il parvint à saisir un morceau de sa phrase...


Norf de norf, Ulrich, vous n'allez pas me dire que la nature seule a pu faire pousser ces bois, Aristote y a forcément mis la main!

Elle passa devant lui, sans le voir, et continua sa route... Elle semblait parler toute seule...

Une fois qu'elle fût passé, le jeune berger oublia ses moutons, et en un éclair, il comprit que les berrichons, facilement reconnaissables avec leur "norf" et qu'on disait alliés au Rouergue étaient l'avant garde de l'armée Rouergate... Il prit un raccourci, et une fois à l'orée du bois se mit à hurler...


AL...


Il ne put continuer à s'exprimer...
Piyen
[Bois devant Lodève, quelques heures avant l'assaut]

Ulrich écoutait vaguement sa belle essayer de le ramener à la raison; mais sans y prendre garde, il accéléra le trot de son destrier, et s'éloigna d'elle...

Parvenu à l'orée du bois, et constatant qu'il avait perdu sa douce, il descendit de cheval, pour satisfaire un besoin naturel, contre un arbre en l'attendant; et en pestant contre le babillage incessant des femmes.

Soudain, un ombre surgit devant lui en courant...

Il s'arrêta net, et se colla contre l'arbre sur lequel il était en train de faire son affaire, afin de se faire le plus discret possible.
En un éclair, il comprit que la forme qui se mouvait était probablement un espion languedocien qui avait vu les éclaireurs berrichons, et qui comptait avertir ses semblables.

Ulrich sortit son poignard de cheville et s'approcha rapidement, mais silencieusement dans le dos de l'homme qui semblait reprendre son souffle...



AL...


Ulrich ne le laissa pas finir, il colla la tête du petit homme contre son épaule, et lui trancha la moitié de la gorge, par une longue entaille sur le devant.
L'homme tomba à genoux, et Ulrich se baissa par instinct, pour rester encore un peu à côté de sa victime mourante...
Il resta là, quelques instants, sans rien dire, et appréciant la chaleur du sang d'Antonin qui dégoulinait sur sa main droite, et sur sa miséricorde.
Dans le silence de la nuit, il prit un réel plaisir à entendre le sang de sa victime tomber au sol, parfois, par gouttes s'écoulant de ses mains, parfois, par coulées plus importantes.
Il se prit à humer fortement l'odeur du sang de sa victime, mêlée à une forte odeur de mouton, mais il n'en avait cure...
Ulrich sourit, voilà longtemps qu'il n'avait pu satisfaire ses bas instincts. Il attrapa l'homme par les épaules, et lui murmura...


Tu sens le mouton, vil gueux, il faut choisir entre te battre et travailler ta terre... Misérable chiure de mouche, je m'en vais te laisser là, pour que les corbeaux, les fourmis et les mouches digèrent ton infâme cadavre putréfié. Ce soir, lorsque Lodève nous ouvrira ses portes, alors que ton âme de gueusaille sera déjà sortie de ta bouche mal formée, je passerai sur ton aînée, et je la souillerai, ainsi que ses soeurs et ta femme à la lueur des flammes de ta misérable chaumière; puis, si cela ne me satisfait pas, je leur crèverai un oeil à chacune, et leur trancherai une oreille, avant de les livrer à des soudards bien moins raffinés que moi...

Ulrich se releva, après avoir essuyé ses mains et sa dague sur la chemise d'Antonin. Il lui donna un grand coup de talon dans le torse afin d'être bien certain que le gueux ne pourrait plus jamais donner une quelconque alerte.

Puis il remonta sur son destrier, comme si de rien, tout en réajustant son foulard parfumé, attendit sa belle, qui ne tarda pas, et lui fit un grand sourire... Diantre, qu'elle était belle! Il comprit qu'il l'aimait vraiment plus que tout, et se remit à chevaucher à ses côtés, lui narrant un bon mot, fort délicat et spirituel qu'il avait entendu dans un castel dans le nord, et qui l'avait ému aux larmes...

_________________
Lelmax
L heure de la bataille avais sonner il était temp de se mettre marche, aprés avoir parlé a chaqu un des siens , l'accolade fraternel leur souhaitant la bonne fortune pour les heures a venir car la bataille serai terrible comme toute ceci dit, mais il espérait au fond de lui de perdre aucun des siens car ils les considérait tous comme sa famille !


Allons y mes freres puis surtout veillez sur vous , que chacun protege l autre

Longue colonne d'hommes à cheval à pieds , cliquetis des armures, bruit de pas dans la nuit profonde , juste le son des coeurs qui battent, des pieds qui foulent le sol, pas un bruit quand tout à coup ...

Le combat s engage, le capitaine intiment l ordre de rompre les rangs , toute sa fine équipe soudé fonce sans réfléchir, épées qui ce croisent, bouclier qui s entrechoquent, bruit de hargne de colère de haine mélangé, des bras qui tombent des têtes qui roulent puis un cris, une des siens plis sous les coups, pas le temps de se retourné l épée la transperce de part en part, il a juste le temps de le décapité, trop tard elle morte...Soso j espere que tu as eu plus de chance , ne pas pensez à elle pas la cherché sauver lavie des autre sa vie .

Mélange de tristesse de rage de hargne retourné aux combats pas réfléchir, au matin nous compterons nos mort comme eux...
Première lueur du jours,nuit plus longue que jamais, les deux camps se retire, il cherche regarde autour de lui, elle est la non loin de lui entière ,
tous les autres la juste une perte, accolade avec eux,sans un mot, retour au camps, ce soir l acte deux va se jouer
Sofio51
Rendez vous non galant

La lune est de retour présente et fidèle a son rendez vous du soir, les chiens galeux grognent leur hargne, bientôt ils seront la, il est temps, la journée fut des plus belles a s'attarder sur les choses essentielles de la vie, une fleur qui bouge au gré du vent, un caillou dans le ruisseau, un baiser a son aimé.

Il est venu le temps, sortir l'attirail de fer, lourd et froid, il est venu le temps, du combat de la justice.

Un blessée est mort encore, ce matin de sa blessure de sang, elle a trempé son épée dans son sang répandu, elle ne le connaissait pas, il venait du Rouergue, elle n'a aucune anecdote sur lui, mais elle aura son sang sur son épee, et une part de lui même transpercera un être du mal.

vengeance soldat mort, dors en paix.

Dernier baiser échangés, lel mon amour sois fort sois dur, frappe fort.

Dernier regard sur cette côte escarpée, aucun étendard n'est visible, aucun son ami,ne s'approche, semper fidelist.

La brume va se lever, elle englobera la terre, et les hommes, le vent a soufflé ce jour balayant des nuages a travers d'autres plaines, Aristote pourra mieux voir du haut de son très haut.

l'allure folle, le premier bruit, la troupe est en marche, un air de déjà vue, chaque caillou, et roches saluent le passage, comme un retour a la mort, la marche en avant.Les pas foulent le sol, et le souille, les visages sont déterminés plus que jamais, en chacun nous avons des noms a venger, des visages tombés la veille, en chacun notre haine gronde, et la colère fait rage, elle nous portent comme une mère porte son enfant.

l'allure fière, nous voila, peuple du Languedoc, si prêt de toi qu'a tu fais pour être si diffèrent, es tu fait de chair et de sang?et pourtant il le faudra, combattre pour vivre, combattre pour gagner.

Rempart de feu, nous voila, et toi , tu ne t'attendais pas a tomber sur des carnassiers, on es repoussé, on es balloté, mais jamais on ne renoncera, connais tu l'Auvergne pierre maudite? l'Auvergne c'est la carne , l'Auvergne , c'est les ronces qui ont ouvert le chemin jusqu'ici, l'Auvergne est a ta porte, et tu vas l'ouvrir!!!!il est venu pour toi ,le temps de payer de tes mensonges et calomnies.

Combats, feu, fers, sang, le nombre est la, la force prend le dessus , Languedoc tu es faible ce jour, tu me déçois presque, frappe mais frappe fort bon sang!!! ou es tu tu tapes au vent!!viens!!!tafiotte!!!


Et puis ca tombe, ca finit par tomber, le chef d'arme du Languedoc est vaincu, il pourrira sur place, que sa chair donne tripaille aux corbacs, et ca tombe encore, encore.

Regard sur Fatou, purée elle y va , elle cogne sec et fort, elle se bat comme une lionne, beus tu peut être fière, elle défend sa carne, elle défend sa panse.....

Dans un mouvement, de vide elle sent de la chair sous son épée, il est la face a elle, un soldat du chien, ses yeux la fixent, elle regarde ses entrailles, du sang gicle, tu as pris l'épée du sang, son sang est dans toi, et te feras crever, regarde moi bien, je suis auvergnate chien, la terre des volcans qui restent calmes des années avant de fumer un jour pour tout renverser!!regarde moi chien, ne fermes pas encore tes yeux , tombe doucement, meurs en souffrant je le veut!!!

L'homme articule, aucun son ne sort, elle s'approche et perçoit dans un souffle.


vive le Languedoc

Un sourire, elle lui caresse la tête, relève son menton et se surprend a l'embrasser, en retirant son épée d'un geste sec, pour l'achever par une saignée.dommage le Languedoc il ne le verra plus, quand elle se retourne, c'est pour faire face a deux soldats, regard brillant casque dorés, mouarff quel air de tueurs, alors il faut y aller,mais le son de ce fers puissant la surprend et la déséquilibre, les coups portés sont fort, elle tombe au sol, elle en voit un avancer, l'épée en l'air, elle a mal, la douleur la transperce, elle a entendu le bruit de sa chair transpercer, son sang se répand tout autour, elle regarde.

Lel......

Il lui semble qu'elle a dit a haute voix, oui elle l'a appelé, lance au vent, dans un cri, elle ne veut pas mourir avant de l'avoir vue encore une fois, la douleur lui brule les temps, elle rampe sur le cotés, pour mieux permettre son souffle de sortir, elle expire a fond, et crie.

LEL

Puis sa tête vient au sol, ou sont ses membres??elle veut bouger encore, se lever et crier, pour la victoire, elle veut chanter encore des chants de fous dans des tavernes maudites, boire a outrance, et finir nue dans un lac, elle veut sentir les mains de son aimé sur elle, elle veut sentir son corps sur elle, mais elle voit une lumière blanche aveuglante, ce n'est pas déjà l'aube, la lumière s'ouvre sur un sentier fleuri, démons!!sorcellerie!! un homme est la tout au bout, elle le connait , c'est lui qui lui a tout appris, c'est ulrich, delphe est a ses cotés ils se tiennent la main!! héé attendez moi j'arrive je veut venir.......me laissez pas vous êtes ma seule famille , mon pére ma mére

Un trou noir, c'est un vide, on tombe on tombe, jamais la chute ne cesse, la douleur se tait, car l'esprit la contrôle,terres d'Auvergne, ou es tu? étendard ami ou es tu??je veut sentir le vent sur mon corps, je veut sentir ta main encore...........

semper fidelist je te sens si loin et si prêt, rasta ne dis rien je sais, tu a dans tes yeux ce que peut peuvent avoir, mais tes mains sont entravés ton cœur est déchiré, et brûle comme le feu de nos volcans qui jailliront un jour


Le voile est noir, jeté comme une parure qui m'inonde, de son diamant, larmes de rage,Languedoc tu n'auras pas cette terre car elle regorge de sang amie, si tu la veut viens la chercher en son sein, si tu la veut oses.

LEL.......

Ce n'est plus un cri, ni un murmure c'est une voix d'outre tombe, ce n'est plus un appel ni de l'aide, c'est le cri du ventre, son être le réclame, sa chair ses entrailles le veut tout prêt, ce n'est plus elle mais son corps,ce n'est plus rien que le rempart de la bestialité, un dernier recours pour s'accrocher au monde d'amour.
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Lordmick
La journee avait encore service au preparatif de la nuit, apres avoir soigné les bléssés et enterrer les morts, ils s'etaient tous afferes à preparer les tactiques de la nuit.

Le soir tomber, les hommes s'afferaient à se preparer à la confrontation nocturne. Leurs visages etaient marques par la bataille de veille et la fatigue se faisait ressentir mais Lord voyait dans leurs yeux la flamme et l'envie de se battre.

Avant de partir, il s'ecarta un peu du groupe afin de trouver la tranquilite. Il marcha un peu et s'arreta à l'oree du bois. Il s'installa et aiguisa son épée tout en pensant à la suite de la nuit.

Apres un moment qui lui semblait une eternite, il se releva, s'avanca vers tout le monde et calmement et s'adressant au chef de section leur vit comprendre que l'heure etait venu.

Un moment plus tard, sans vraiment comprendre il se retrouva au coeur de la bataille.

Il entendit les gens crier pour se donner de l'espoir ou sous le coup des armes. Le bruit des lames et des boucliers qui s'entre choquais raisonnait dans sa tete au fur et a mesur que lui en donnait. L'odeur du sang lui rentrait dans les narines, l'adrenaline gonflait son corp et appuyait ses coups. Il aimait ca, cette sensation qui l'envahissait, se plaisir d'etre la avec ses compagnons d'armes, les coups qu'il portait, la folie qui etait sienne.

Il ne pouvait regarder que devant lui les forces ennemis arrivait en masse. Un soldat adversers s'avanca sur lui et il sentit sont epée leur transpercer de part en part. Apres quelques intant, il reconnu celle qui venait de frapper mais se manque d'attention lui fut terrible...

Il sentit la froideur d'une lame qui le transperca. Il posa un genou à terre, ses yeux se troublant et une sorte de voile se mit devant ses yeux. Il ne voyait que des ombres faces à lui qui se melangeait.


Il est à terre !!! Sortez le de las'ecriat un soldat

Ce fut la derniere chose dont il se souvient, il tomba inconscient epuisé par le combat et la douleur. Son heure etait elle venu? Son destin s'arreterai ici, sur ce champ de bataille? Il etait plus maitre de sa vie.
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
Hector_
La première vague de la veille avait été sanglante, la nuit prochaine promettait de l’être encore davantage. Les officiers avaient passé la journée à élaborer le plan d’attaque. Il fallait vaincre cette armée ennemie, mise en difficulté la veille. Les soldats eux, ont du s’occuper des blessés, qui ont été rapatriés sur Millau tandis que les morts ont été enterrés.

Les rangs avaient donc été reformés en fin de soirée, moins garnis cette fois mais encore davantage déterminés à vaincre les bourreaux qui avaient fait tomber leurs camarades la veille.

L’armée reprit la route en direction du Languedoc. Les deux armées se retrouvèrent rapidement face à face, prêtes à livrer bataille de nouveau. Les lions foncèrent sur l’ennemi…

Hector se retrouvait rapidement au contact de l’ennemi, il laissa la haine s’emparer de lui pour frapper très fort. A force de tuer, la confiance montait en lui et il se battait comme un lion…Comme un lion du Rouergue. Les soldats des deux cotés étaient bien entrainés et pouvaient combattre pendant des heures.

Le jour commençait à se lever, le chef de l’armée Languedocienne avait été touché, son armée était en déroute. Hector mit alors un genou à terre de fatigue, il se rendit très vite compte qu’il était recouvert de sang, la bataille avait fait rage. Il vérifia qu’il n’avait pas de blessure à faire soigner, heureusement non, il sera apte à combattre lors de la prochaine échéance.

La bataille semblait gagnée…

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Un seul talent, un seul destin...prendre des vies.
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