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[RP] Une mairie tombe et les mouches tombent en silence...

Kiiara
[Dans la nuit au châteaux le 26 septembre 1457]

Le feu avait était éteint et de nouveaux appartement donner a la petite piromane…
Certe la chambre était moins grande et moins jolie
Fini les bougies dans le coin, fini les grand rideau qui retombe sur les 4 pant du lit
La mini fausse comtesse comme certain aimait l’appeler avait totalement changer la vie des châtelain
Il devenait rare de voir un pigeons s’aventurer du coté des tours résidentiel échaudaient par les cailloux reçut mainte fois dans le derrière, ce qui était triste pour la tiote qui adorer viser … tirer…. Puis entendre le « kay ! kay ! kay ! » Des pigeons étonner par la douleur de leur petit derrière…
Et elle de rire de sa voix cristaline et d’attendre à nouveau planquée derrière les pierres….
Malheureusement les oiseaux désormés faisait le grand tour pour apporter les messages au comte
Les villageois aussi avaient changés leur habitude… il ne frôlaient plus du tout les murailles. Trop mécontant de recevoir quelque mollard bien projeté par la pestouille qui leur servait de mini comtesse délurée
Plus les mois s’écoulaient et moins elle avait de quoi s’amuser …
Quelle tristesse pour une gamine de 5 ans qui demandait quand profiter de chaque instant
Il était tard en ce 26em jour de septembre la pleine lune filtait a traver les fenêtre sans rideaus et dans le grand lit la gamine dormait paisiblement emitoufflé dans sa couette, quelque courant d’air lui arrache des frisson dans son sommeil c’est qu’il fait froid dans cette vielle bâtisse ….
Tout a coup du bruit a l’extérieur….

elle ne l’entend pas tout de suite perdu dans un sommeil profond ou elle rêve encore et toujours que son p’pa et sa m’man s’aiment a nouveaux …

cris en arrière plan ….

elle ne comprend pas pourquoi des cris filtre a travers son rêve et se met a bouger dans son lit toujours entre le réveil et le sommeil, lover entre les bras de ses parents elle du mal a quitter ce paradis tout droit descendu du ciel

Fracas dans le couloir….

[i]Elle ouvre un peu les yeux, et remonte la couette jusqu'à son cou…
Elle n’a rien fait pourtant ça elle en n’est sur …


Des cris encore

on se parle avec hargne …
Elle s’assoie sur son lit et tend l’oreille


Des bruits d’épée qui se percute…
Est-ce qu’il y aurait un cour de combat auquel on ne l’aurait pas convier qui se jouerait juste devant sa porte
Non impossible .. la lune et encore haute dans le ciel, le soleil est loin de pointer le bout de son nez
Elle mordille sa lèvre la tiote …. Elle commence a avoir peur …
Enne se met a chuchoter tout bas …[/i] « p’pa …. P’pa viens zé peur … »
Bien entendu cette demande reste veine, il est clair que ce château n’est pas conçut pour entendre les plaintes d’une gamine apeuré….

La poigné de la porte se met a gigoter dans le vide … cette fois la peur l’envahis entièrement et c’est un hurlement suivit d’une porte fracasser qui retentit dans toute la pièce mélé au brouhaha en arrière plan


HHHAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!

Elle saute sur ses pieds et sort de dessous sont oreiller la dague volé a sa mère, il y a très longtemps maintenant

Qui … qui et la ….. vous …vous …. Prévient suis armée
Dit elle la voix chevrotante

Dans la pénombre un chignon haut toise la gamine qui pour sur va faire une crise cardiaque
La silouhette s’approche et la gamine et prête a défaillir quand elle
reconnait sa vilaine tata préféré!....
L’entonnement….


TATA ????!!!
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Kiliana
Dans les rues de Poitiers, à l'heure du grabuge...

Par Lug! Le ciel était tombé sur la tête de la donzelle! Et cette fois, chopes et autres flacons n'avaient rien à voir dans l'affaire!

Kiliana courait dans les venelles de Poitiers...

La capitale était en effervescence! D'aucuns, hagards, éberlués, avaient caché leurs marchandises pour qu'elles ne soient pas les proies de vautours opportunistes. D'autres levaient le poing et vociféraient. La donzelle souriait parfois, consternée par ces vains moulinets de bras. Moulins devant... Moulins de vent...
Irascible et hargneuse, elle jetait dans la figure un cri plein de mépris:


- Pas la peine de brailler le drôle! Si tu veux libérer la mairie de ces godelureaux, prends les armes, par Lug!

Et un coup de botte bien lancé pour motiver, ou faire taire les glapissements du meunier de service!

Kiliana courait encore dans les venelles de Poitiers...

Corps et sudation, cervelle et ébullition.
Certains Pictaves arrêtaient sa course effrénée pour l'interroger: qu'allait-il se passer? Des renforts devaient-ils arriver? Que faisait l'armée? La légion?
Haletante, la Pictave les tançait d'un regard sans aménité, et balayait d'un geste rageur leurs questions.

Leurs questions... justement... Moult questions taraudaient son esprit vindicatif.
Le château était protégé pour que le sommeil du comte Chui-pas-là ne soit pas perturbé. Le ChinChuilla qui devait se ronger les ongles... Pourquoi n'avait-il pas harangué les Poitevins? Pourquoi n'avait-il pas exhorté les Pictaves à prendre haches, lances, massues et épées?
Et les autres? Ceux qui briguaient le trône, ou qui le brillaient pour asseoir leur digne séant? C'était bien beau de palabrer, calfeutrés derrière des murs! C'était bien beau d'ergoter, un gobelet d'or à la main, sur l'avenir du Poitou! L'avenir du Poitou se jouait maintenant, à Poitiers! La capitale aurait-elle moins d'intérêt que leurs brocarts ostentatoires?

La Kili allait tous les brocarder, pour sûr! Son sang bouillonnait, sa langue vipérine allait cracher son venin en son heure!

Mais d'abord, l'action! Kiliana avait un plan tout simple, une stratégie herculéenne! Investir la mairie! Dégager les rebelles manu militari! Massacrer! Trucider! Eviscérer! Estourbir! Etriper! Enucléer! Et pas la peine de demander au comte Chui-pas-là s'il fallait égorger en ouvrant l'artère gauche ou l'artère droite en premier! D'ici là qu'il débatte avec ses consorts qu'on avait envie de faire sortir, on serait au vingt-et-unième siècle!

Puis redonner son blason à la taverne municipale! La "Taverne du Gai Clain", baptisée depuis la prise du village, "Le Castel des imbibés".
Les couleurs criardes de l'enseigne avaient agressé le regard et le foie de la Pictave! La tavernière était la Ness-tea! Pouarf! Manquerait plus qu'ça! Boire l'eau amère des Anglois!

La farouche et fière Pictave voulait ardemment libérer la taverne de l'envahisseur! Sauver le "Clain"! Pas l'fleuve, évidemment!


- Theud! Theud! Les Pictaves sont prêts! Quels sont les ordres?
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Kissiou
[Dans la nuit du 25 Septembre 1457. Avant l'heure c'est pas l'heure après l'heure c'est plus l'heure.]

Ce n'était pourtant qu'une promenade au départ, seulement une balade, pour cuver un peu après une journée et une soirée bien arrosé pour pas changer. Un Sagai pas très commode, un noir avec qui elle a du avoir des gants d'velour pour lui arracher l'accord d'venir la rincer. Une blonde qui prenait sa trombine pour un dépotoir a miette et qui voulait voir si la bière était si bon pour les ch'veux en testant sur la chieuse. Un vieux con qui exhibe son cél'ri trop heureux d'le savoir en vie. 'Fin une journée des plus banale dira t-on ailleurs mais a Poitiers c'était faut s'le dire exceptionnel!

Mais à cet instant la chieuse n'voulais pas encore aller chercher sa fille car elle n'savait pas encore comment faire. Mais sans se rendre compte ses pas se dirigèrent vers le château et plus elle s'approchait, plus sa curiosité la faisait avancer rapidement en apercevant des torches et un sacré tintamarre devant la battisse. Tiens, ca faisait la fête sans elle? Pff la Chieuse grommela tout en alla rejoindre la meute voir s'qui s'passait et qui y avaient. Et à sa grande surprise elle r'connut certaines tête, de loin elle examinait la situation ça s'poutrait par ci et là entre, eux, les soldats et les gardes. Elle les aurait bien accompagnés sauf qu'une idée lui vint à l'esprit. C'était l'occasion pour s'faufiler et aller récupérer sa fille pendant qu' les zigotos du château étaient occupé à défendre leurs précieux.

Elle dégaine son épée la chieuse simplement par précaution d'attaque à son égard, puis s'avance à pas rapide la lame le long de son corps visant le sol. Elle esquive les personnes, elle rase l'côté jusqu'à pénétrer dans l'château sans avoir par moment bousculer quelques hommes qui s'jetait sur ses heu non pas amis.. mais ces compagnons d'beuveries. Elle accélère dans les couloirs à l'affut, elle voit un chignon par ci.... elle aperçoit un rouquin.... croise une blonde par là et non loin son noir, la chieuse elle, passe et ouvre les portes qu'elle trouve pour trouver la chambre d'la tiote, elle braille, est aux aguets..

Quelques minutes plus tard, alors que l'entrée était une fourmilière, la Kiss butine dans les couloirs sans se soucier des personnes qui l'interpelle. Soudain v'la qu'elle prend à gauche et dans l'tournant PAF!! Vas y que j'te prend une greluche en pleins face! Elle râle et vocifère. Puis son regard dévisage plus longuement la personne qu'elle vient d'se prendre. La vilaine! Ses yeux s'écarquille ensuite en la voyant porter comme un sac a patate sa fille!!


Mais ques t'fou avec elle?? T'comptais en faire quoi?!

Ni une ni deux la Chieuse attrape la mini chieuse, la fourre au sol, la prend par les poignet puis s'penche à sa hauteur ses yeux dans les siens pour s'rassurer qu'tout va bien. Elle lui replace ses mèches folle pour la rassurer ensuite elle de tout s'vacarme dans l'château d'son pôpa.

Écoute moi Kiiara, t'vas v'nir avec moi, d'accord? On va partir toute les deux faire une promenade hein, tu suis maman t'veux?

Elle l'embrasse sur son front puis la soulève pour la porter contre elle avant d'rangainer son épée..
_________________
--Kramdukon
[Un gros soulard hilare dans les rues de Poitiers, le 26 septembre]




Un gros rouquin arpentait les ruelles de Poitiers, aussi désertes de jour comme de nuit dans certains recoins, fallait pas se leurrer c'était une capitale et par définition la belle populace, majoritairement composée d'érudit et de nobles, ne trainait pas dans les rues. Ce n'est qu'aux alentours des bas fonds qu'il retrouva quelques trognes connues dont une majorité de ces personnes investies avec sa Grande. Enfin investies...chacune avait une bonne raison ne serait ce que celle de la convivialité autour d'un feu de bois et il aurait été stupide de ne pas s'associer car un adage dit bien : plus on est de fous, plus on s'amuse ! Kram s'arrêta en voyant un affichette devant le poste de police. S'approcha, en prit connaissance et la décrocha.

Vain diù d'vain doux ! Vlà qu'la flicaille s'met à faire des communiqués en lieu et place des hautes autorités... Vain diù d'vain doux ! On n'en a vu aucun quand on a fini notre beuverie à la mairie, hein ?... Vain diù d'vain doux ! Qu'la Chieuse aurait été contente c'soir là de trouver un seul flicaillon car elle v'nait justement déposer une plainte... Vain diù d'vain doux ! Qu'la Grande Vilaine va pas être contente ! Vain diù d'vain doux !

Vain diù d'vain doux ! Mais c'est encore c'flicaillon véreux qui veut s'faire passer pour c'qu'il n'est pas. L'roupillait bourré comme un coin avec l'argent des amendes détournées au lieu d'être au guet comme l'exige son poste de lieutenant. Vain diù d'vain doux !


Le fel et feal Vilain continua son chemin, toujours grommelant ses "Vain diù d'vain doux !" Depuis deux jours, il portait mieux que jamais son nom de Kram du Kon bien qu'il aurait voulu en voir quelques uns au front, devant la mairie, pour les cramer... Quelques mètre plus loin, un nouveau placard, mais avec un sceau celui là, puis encore un... De quoi faire râler le gros roux qui les décrochait tous, les uns après les autres.

Tiens encore une ? Mais c'est l'automne !

Il déchiffra, avec beaucoup de mal mais... Un frottage des yeux fut nécessaire et comment ! Ce qu'il découvrait était...

Cyclope a écrit:
Si Poitiers est tombé sous leur attaque ce n’est nullement un manque de sécurité, car aucun ordre na été donné pour garder la mairie ou le château cette nuit la...mais comment le comte ou les services de sécurité pouvaient ils prévoir que le ver était dans le fruit…


Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Aucun ordre ?
Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Prévoir qu'l'ver était dans l'fruit ?
Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Mais l'est pire que l'flicaillon c'troufion !
Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Deux vrais bouffons ces deux là !

Manque plus qu'une annonce de Darking et le trio est complet.



L'Kram se souvenait de ce que son souriceau Mus Musculus lui avait ramené un soir, le 8 septembre pour être précis. Le ptit rongeur avait trainé dans les tiroirs de la légion et avait ramené des bouts de parchemin pour s'en faire une paillasse. Malheureusement, il avait décidé de faire son nid dans le heaume de l'ancien bourreau. Pour dire depuis combien de temps le rouquin n'avait par fourré sa tignasse flamboyante dans sa boite de conserve Pauvre bête, la ptite hein, elle vit son doux matelas disparaitre dans la pogne de son maître. Ben oui, Mus ne pouvait pas savoir que la Vilaine et son Kram allait quitter le Poitou sous peu car, rappelons le, ceci se déroulait dans la soirée du 8 septembre. Le rustaud avait ramené le papelard à l'enchignonnée qui reconnu instantanément les pattes de mouche du Chian. Normal, elle avait tant correspondu avec lui, au temps où il n'était qu'un gueux au poste de prévôt et elle la Vilaine qui ébranlait déjà toute la contrée périgourdine. Mais qu'était il donc écrit sur ces bouts de papier ? Pas grand chose sauf sur un, le plus gros de tous :

bout de papier troué a écrit:
Commandant, Le Poitou est menacé par ... (trou d'souris)..., c'est pôurquoi ... (trou d'souris)... mobiliser la légion et de monter une armée sur Poitiers. En tant que Vassal du Comte du Poitou, je vous demande de ... (trou d'souris)...


La Vilaine avait adoré la petite fantaisie sur le "o" de "pôurquoi" et avait bien rit. Tout comme elle rit encore plus fort avec le Kram quand, une semaine plus tard ils avaient apprit que Protozoaire était mis en procès pour suspicion d'attaque du château.

L'Kram continuait son chemin en ce 26ème jour de septembre,avec ces souvenirs en tête, vers le Castel des imbibés en riant et en ramassant toutes les affiches qui polluaient la ville comme de vulgaires papiers gras abandonnés ça et là. Toujours le rire en éclat.

Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Aucun ordre ? Mon oeil, c'est l'comt' qui l'a fait v'nir à Poitiers ou pour la défense de la ville !
Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Prévoir qu'l'ver était dans l'fruit ? Mon autre oeil car ils pistaient tous l'angevin mis en accusation et ma Grand Vilaine !
Mooooooooouuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaahahahahahahahahaha ! Quelle bande d'bouffons !



Sarmite
'5à Poitiers, évidement après les troubles)

Sarmite ne décolérait pas...Sa ville avait été violée et il avait mal.

Pas faute d'avoir prévenu...mais j'ten fiche , ils étaient si surs d'eux.

Le Comté avait retié ses maréchaux, le pantin municipal avait dédaigné les subsides proposés en échange et économisait sur la milice.

Poitiers n'était défendue que par de doux rêveurs inconséquents.

Et c'était arrivé, la Capitale était souillée.
Que ce fut par celle là, moulin à paroles qui puisait là sa seule importance tout en épuisant son auditoire, ce n'avait guère d'importance aux yeux du triple seigneur.
Pour ce qu'il en savait, 3 ivrognes en goguette auraient fait aussi bien.
La présence de Protozoaire l'étonnait plus car celui là n'avait qu'un seul culte, l'Or...Et Poitiers, c'était pas la résidence secondaire de Crésus.

Mais là où sa colère allait croissante, c'est d'apprendre que le pouvoir allait permettre au bourgmestre fautif de retrouver son fauteuil .
Il avait oublié de défendre sa ville...allez, pas grave, on va lui redonner une chance de refaire l'imbécile.
Surtout que la prise de la mairie n'avait pas profité d'un soir chanceux...c'était la situation normale à Poitiers que de ne pas avoir de défense.

Récompenser l'incompétence, fallait y penser.

Sarmite était dégouté ...
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Datan
[Niort, nuit du 26 au 27 Septembre 1457, sur les remparts]

La nuit fut longue, comme à chaque garde sur les remparts de Niort. Les volontaires de la milice, ainsi que les bénévoles du GIGN veillaient, et la tension était palpable. Au coeur de la ville, la police parcourait les rues à la recherche de visages connus et suspects. Les portes de la ville étaient filtrées, et n'entrait pas qui voulait. Tout était en place cette nuit-là, pour que le pire soit évité.

Après l'attaque de Poitiers la veille, et la présence de la vilaine là-bas, il était évident qu'elle ferait faire cette prise de mairie par d'autres. Ne pouvant se "servir" là-bas, ils penseraient pouvoir le faire ici.

Les yeux fixés sur les différents chemins, Datan passait de l'un à l'autre pour s'assurer qu'ils allaient bien. La prise de contact était primordiale dans ce genre de situation, il le savait bien. L'avantage de connaitre chaque femme et chaque homme qui oeuvraient dans l'ombre pour défendre la ville, permettait à tous de sentir cet esprit de fierté et de solidarité. Cette volonté commune de défendre leur ville à tout prix émanait de chacun de leur actes.

Cette nouvelle nuit sur les remparts allait être longue...
Comme à chaque fois.
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Porte-Parole du Poitou - Vassal du Vicomte Cristof - Heureux père de Dune - Champion du Poitou
Nessty
[Les rencontres ne font pas oublier que le château est en vente ! ]
Poitiers, le 25 septembre en soirée.


Ce soir, ce serait le bon ! Fallait aller dans ce château, fallait le vendre à tout prix car la gueuse avait besoin de ces 150 écus. Elle pelota le pompon de la cagoule du roux. Parait que ça porte chance qu'il dit l'Proto. Et bien c'est ce que la Vilaine allait voir sinon elle demanderait le remboursement.

Sortie de taverne, aussi imbibée que le nom gravé sur la pancarte qui grince au vent au dessus de l'enchignonnée.

Ptit tour pour saluer Lady. Vieux souvenir de la spoliation d'une amie de Nessty sur une route lors d'étrange manoeuvres militaires non annoncées. Les prémices d'une Vilaine pleine de haine et pourtant elle avait gardé une image de la comtesse qui méritait le respect de l'impétueuse. Et oui, y a des gens comme ça, que la Vilaine respecte même après leur avoir jeté pierre et fiel.

Pas comme les deux autres crétins attablés non loin de là et qui ricanaient sans cesse des incohérences flagrantes ! Ils narguaient la donzelle qui leur avait ravie une mairie comme si elle leur avait maraudé le seul poil de virilité qu'ils avaient dans les braies. Des incantations de sorcier tombèrent de leur bec même avec d'étranges mots comme "pingouin", "manchot", "Romu2". Ah nan le dernier semblait être l'ami des deux glousseurs, une petite frappe que la Vilaine avait suivi en procès quand elle était procureur, un pouilleux qui se prétendait brigands des grands chemins et être à l'origine de la prise du château de Poitiers, bien que ce château n'ai pas encore été pris... Allez comprendre ce qui se passe parfois dans la tête des crétins... Croire que elle, Nessty la grande Vilaine, répondait aux ordres de quiconque, nan mais ! Fallait vraiment être le roi des crétins ou l'ami de ces 2 urluberlus ! L'avait rien compris celui là, tout à fait de l'acabit de Theudrik et Darkking, à se prendre pour quelque chose de grandissime alors qu'ils avaient un comportement de gamins. Au moins, ils firent rire brièvement la Vilaine avec leur stupidité combinée. Malheureusement le disque rayé lassa rapidement l'enchignonnée et la blondinette.

Demi tour, pour un retour à la case départ. Bah non, en chemin elles firent un ptit tour ailleurs pour saluer une Icie toujours aussi glaçon et une Marmite qui se met à faire le marmiton. Toujours donneur de leçon parce qu'il avait un triple nom mais fallait pas dire cela à la gueuse sinon elle le traitait de triple quelque chose se terminant auss par "on". Bah tiens donc, le donneur de leçon était du même avis que la gueuse au sujet de l'ancien mairie et actuel candidat pour un autre mandat. Pour sur qu'il finirait au conseil comtal un jour ! Pas le Marmiton, déjà fait, mais le Dada selon le pronostic personnel de l'enchignonnée au sujet de la dernière course de baudet organisée et orchestrée par le Chian en personne. Un Dada avec une Doudou et une autre Alie aussi félonne que couillonne. Vlà un joli tiercé gagnant de braves vaincoeurs !


Il était l'heure d'aller refourguer ce château à l'escroc angevin, nan mais ! Elle avait donné sa parole, elle voulait son argent !

Branlebas de combat, ça gigote, ça remue dans tous les sens. La Vilaine tente de donner des consignes :

Hey ! *Hips* T'vas où toi ? Hein ? C'est par là le château qu'j'te dis ! *Hips*

Du déjà entendu ? Ben oui sauf que cette fois ci la Vilaine montrait la bonne direction et... naaaaaaaaaan, certains partaient dans l'autre sens Une magnifique bande d'imbibés... Et tater le pompon de la cagoule d'un roux ne portait pas plus de chance que de mettre une pied là où il ne fallait pas. Il allait falloir combler ce manque à gagner par une nouveauté...
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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.
Liamchaa
[Chat qui rit, Château qui pleure, quelque part le 26]

Troupe dans la mairie.
Affalé contre un tonneau.
Il zieute les allées et venues.
Une blonde sur les genoux.
Repos du guerrier.
Bien mérité d'ailleurs.
Journée tranquille.
Une bière.
Un poisson au maïs.
Une bière.
Un câlin.
Le pied.
Un cri.
Un rassemblement.
On y retourne.
Une enchignonnée qui chahute.
Une chieuse qui sort de son champ de vision.


Hey ! *Hips* T'vas où toi ? Hein ? C'est par là le château qu'j'te dis ! *Hips*

Comme d'habitude.
Faire comme il veut.
Un groupe derrière ou devant.
Peu importe.
Tant que l'action est là.
Porte qui vole en éclat.
Fantômes de défenseurs.
Et pourtant.
Doit y en avoir en face.
Mais timides sans doute.
Des couloirs.
Une Chieuse encore.
Accroupie cette fois.
Pas l'heure des gâteries pourtant.
Mais qui sait.
Foncer devant.
Être repousser au dehors néanmoins.
Replis en mairie.
Regard à la Blonde.
Toujours là.
Sale nuit.
Fayom


le 26 septembre au soir dans son cher Niort.


Les informations arrivaient chaque jour à la mairie. Des renégats étaient bien maîtres de la mairie de Poitiers depuis hier. D'après ce qu'on disait son amie Nessty avait été le cerveau de l'affaire. Voilà qui donnera une bonne raison aux Poitevins pour s'en prendre à elle; à force de crier au loup, il était venu. Enfin ce coup ci, Fayom ne sera pas là pour la défendre; d'ailleurs il n'hésiterait pas à marcher contre elle.

Mais ce qui l'étonnait c'était d'apprendre que d'anciens légionnaires y prennent part. On y citait Gerscorps, Feodorowska et surtout le nouveau maire @lex. Fayom eut une pensée pour Kissiou, elle aussi ancienne légionnaire : avait elle participé ? Son nom n'était pas évoqué, mais peut être que son chiant d'ex-compagnon, pardon notre bien aimé comte, avait dissimulé sa participation. Ce qui paraissait clair en tout cas, c'est qu'on cherchait à porter atteinte à Cyclope. Et c'était réussi, car au moment où il se présentait aux comtales, en dénigrant ouvertement l'Ost, on pouvait aisément constater :
- qu'une, la légion n'était pas infaillible car tout l'affaire s'était passée à leurs nez et à leurs barbes.
- qu'ensuite ce n'était pas du tout la grande famille soudée qu'il déclare.

Il arrêta de penser à tout cela, laissant les autorités chercher le pourquoi du comment, préférant s'occuper à la défense de Niort. Sauf que étrangement, on leur demandait pas de défendre . Vous pouvez rentrer chez vous que le commandant avait dit. Fayom ne partageait pas leurs opinions et décida de mettre sa compagnie à la surveillance. Toutefois, ses hommes étant sollicités depuis presque deux semaines, et compte tenu de la qualité du GIGN, il leurs accorda ainsi qu'à lui une journée de repos. C'est donc dans son potager qu'il passa sa journée, il y avait à faire. Entre le voyage et la mision, le potager était délaissé et ce n'est pas Cibeline plus que jamais proche d'accoucher qui allait le remettre en état.
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Sons
(saintes...deux jours après la prise de la mairie)

les premiers voyageurs de l'aube arriver avec leurs flots de nouvelles.. la rochelle.. niort.. poitiers.. celle en provenance de poitiers semblaient être dés plus inquiétante.. poitiers aurait été prise voici deux jours et cela ne leur parvenait que maintenant.. un groupe d'une poignée d'homme et de femme se serait emparé de la ville.. certain disait que l'attaque avait été menée contre le château.. mais que seul la mairie serait entre leurs mains.. leurs informations étaient entremêler d'histoire plus ou moins flou.. certain disait que la légion du seigneur cyclope aurait été sur les lieux.. et que lui même si trouvait.. et qu'ont les auraient contourner par surprise.. que ses hommes étaient plus occuper a labouré les champs qu'a manié l'épée.. et que le soir ils étaient fourbu de fatigue.. pensez donc.. une attaque de nuit.!!.. aucun cliquetis d'armes ne pourrait troublé leurs sommeil.. leur casque et bouclier leurs servant plus d'oreiller qu'a se défendre.. qu'on pouvais entendre.. chacun s'inquiéter de la santé du comte.. mais d'aucun ne pouvait en donné.. pas de nouvelle depuis deux jours.!!.. disait on.. serait il secrètement a l'arrière a constituer la défense.?.. enfui.?.. ou a t il était fait prisonnier.?.. aussitôt ce trouble de nouvelle arrivait.. saintes resserra les bases.. les gardes.. chaque nouveau arrivant en ville était épiée.. chaque saintais était inquiet.. et si la capitale poitevine venait a tomber.?.. le château serait il réduit a un simple amas de pierre.?.. qui serait au pouvoir demain.?.. la population se côtoyait dans les rues plus qu'a leur habitude.. cherchant des qu'il le pouvait a en savoir plus pour s'informer..
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au fil de l eau,ou le courant le mene
Darkking56
King pris place devant la foule, déroula un parchemin et s'exprima :

Citation:

Chers Pictaviennes et Cher Pictaviens et autres Poitevins présent dans la Capitale.
Ces derniers jours n'ont pas été évident, tant pour moi que pour tous ceux qui ont aidé à la défense suite à la prise de la mairie par une bande de moins que rien dont je citerais seulement les membres les plus importants ou influencés.
Parmi cela, il y a la "Vilaine" ou plus communément appelée Nessty. Elle a organisée cette prise de mairie pour seul but de s'enrichir sur le dos de braves paysans et artisans que vous êtes.
Ensuite je vais citer Ryo22. Peu ont entendu parlé de lui mais il va aller se faire la malle avec vos écus.
D'autres membres ont été démasqués comme Protozoaire, Feodorowka, ancienne de la légion Poitevine, ainsi que Fanette.debronnec et Kar1

Au total, cette bande de "gueux" comme ils aiment bien nous appelés mais qui leur correspond d'avantage, ont piller à la mairie et donc à tous les habitants de Poitiers l'équivalent de 2550 écus.

Mais ceci n'aurait pas eu lieu sans celui qui leur à servit de maire, un certain @l3x, ancien de la légion poitevine aussi, qui était plus intéressé par la révolte que l'argent et qui s'est laissé influencer par une "Vilaine" prête à tout pour montrer à tous sa méchanceté et son sens de l'égoïsme.

J'ai prévenu les services de prévôté et leur ai fourni toutes les preuves afin que ces brigands puissent être arrêté.

Je demanderais donc à chaque loqueteux, paysan, artisan et autre nobles d'éviter ces individus qui essayeront d'un moyen ou d'un autre de vous piller le peu que vous avez ou vous faire participer à des opérations de ce type où ils ne se mouillent pas et préfère envoyer au casse pipe des pantins qu'ils auront bien dressé.

Je viens de reprendre la mairie et avec l'aide de mes confrères des autres villes du Comté et du Comté même, je ferais tout pour que cela ne recommence plus.

Soyons fiers d'être Pictaves, Soyons fiers d'être Poitevins!

Kinmar de Guyvreau, Maire de Poitiers, Capitale du Poitou

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Chuichian
[Au matin du Vendredi 25 Septembre 1457, Niort]

Courir après une angevine n'est guère un passe temps amusant, surtout quand elle a 5 ans. Lexy, fille de Kilia, avait décidé d'aller faire un tour pour voir son parrain, Fayom... que le monde est petit.
Missive avait été reçu par le Comte, d'une mère inquiète de revoir rapidement sa fille revenir au bercail et son arrivé la veilel n'avait pas permis de retrouver la donzelle.

Logeant dans les appartements comtaux, un château mis à disposition du Comte et de sa suite, Chuichian De Montignac terminait sa nuit.


Toc Toc Toc

Coups frappés rapidement, et dans un grincement la porte s'ouvre avant même que l'autorisation en soit donnée. Apparaissant dans l'embrasure de la porte, le loyal Yohan, valet du Comte.

Mon Comte! Votre Grandeur réveillez vous! Messager provenant de Poitiers vient de me déposer cela et m'a précisé le caractère urgent de cela. Il attend encore afin de fournir réponse au plus vite. Réveillez vous!


Ouvrant péniblement les yeux, alors que le soleil pointe discrètement en cette fin septembre, le comte arrache des mains du valet la missive encore scellé.

J'espère que cela n'est point faribole ou alors il en cuira à l'expéditeur.
La lecture des quelques lignes est d'abord lente, presque indifférente, avant que celle-ci ne s'accélère.
Prépare mon cheval, nous partons.


[Dans l'après-midi du Vendredi 25 Septembre, Poitiers]

Remontant l'artère principale à toute allure, le comte arrive au château, le château de Poitiers qui entre des mains poitevines est encore. Le Prévôt l'attend déja avec les dernières nouvelles:
Comte, le dénommé alex détient la mairie... il est poitevin... et voici ce qu'il a été possible de trouver, regardez la signature et reconnaissez la plume.

Nessty évidemment...
Avez vous mis toutes les milices en état d'alerte? Une idée de ce que contient la mairie de Poitiers? Combien sont-ils? Demande t'il tout en se rendant au conseil.
Deux mille écus tout au plus dans la mairie Votre Grandeur, les milices attendent les ordres mais sont prête. Quand au nombre... au minimum onze.

La salle du conseil est pleine et les éclats de voix résonnent contre les pierres.

Ce qui devait arriver arriva !

La mairie de Poitiers est tombée cette nuit... il parait qu'il y a bon nombre d'indésirables à Poitiers depuis quelques jours, dont le fameux Protozoaire, son amie Nessty et bon nombre de bien connus... mais a cela nous ne mettons aucune sécurité en place pourtant avons prévenu toutes les autres villes d'être vigilant !


Certes, il y a là une erreur et il y aura des explications qui seront donné en temps et en heure. Mais il hors de question de négocier avec eux.
Ils devront être pendu dès qu'ils auront été mis aux arrêts, chose que l'on va s'appliquer à faire.


C'est dans les événements graves que les caractères se révèlent et ce n'est plus le procureur qui discute mais le Sous-Lieutenant de Police de Saintes, dont les notions de pillage et de contre-attaque prédominent ses prises de paroles. Il est d'ailleurs le premier à demander la protection du château plutôt que la reprise de la mairie.
La discussion est houleuse, le rythme de départ et d'arrivée de message est soutenu. Le temps passe.


Pour le moment pas d'autres informations sur les participants. Par contre j'aimerais vraiment comprendre pourquoi on ne décide pas de la fermeture des frontières.

Pas de fermeture des frontières, que la prévôté se concentre sur la surveillance et l'enquête plutôt que sur l'envoi de courrier.

La nuit tombe doucement sur Poitiers.


[Dans la nuit]

On attaque le Château!
Le cri déchire la nuit. Quelques torchent sont visible dans la nuit et scintillent. Rien n'est visible d'abord, tout est calme et soudain cela s'agite; les torchent s'animent et se multiplie pour illuminer le sol comme mille lucioles.


[Au matin du Samedi 26 Septembre, Poitiers]

Les premiers noms des personnes, aperçut dans la lueur vacillante au pied du château, apparaissent, Fanette.debronnec, Ryo, Feodorowka... Kiiara.
Si Kiiara était là, Kissiou n'était surement pas loin.

Grimace à l'idée de la suite des événements: les récemment démissionnaires de la Légion poitevine associée à quelques brigands... la lie du Poitou en quelques sorte qui s'associe pour attaquer le plus prestigieux des Comtés du Royaume de France.

Les ordres sont donnés afin que la sainte journée du Dimanche mette un terme à l'insurrection des quelques vilains.



[Dimanche 26 septembre, Poitiers]


La nuit avait encore était une fois animé mais Poitiers avait résisté et de toute sa force repoussé les pillards dans les faubourgs sombres de la capitale. Darkking reprenait sa place de maire et ne put que constater les dégats.

Rétablir la situation était maintenant la première occupation du conseil, cependant Poitiers et le Poitou, devait prendre l'entière connaissances des faits et le Comte devait s'exprimer.


Le Comte du Poitou s'avança de la terrasse qui lui permettait de s'exprimer à la foule, cette terrasse qui permettait à celui qui s'y trouvait d'embrasser tout Poitiers du regard. Les événements de ces derniers jours étaient grave, le Poitou avait été en danger par son sang et blessé en son âme. Il s'adressa à la foule réunie et d'une voix forte déclara:

Peuple du Poitou, Pictaves,

Je viens en personne faire toute la lumière sur les événements de ces derniers jours, le conseil comtal et moi-même estimant qu'aucun fait ne doit être masqué dans cette affaire, qui touche chaque poitevin dans sa chair. Procès a été lancé il y a dix jours contre le sinistre individu angevin Protozoaire, dès son arrivée non désirée en Poitou. Nos services de renseignement nous informaient que celui-ci cherchait à recruter parmi la population pour prendre d'assaut le château, et servir ses noirs desseins.


Il fit une pause afin de laisser à ceux qui l'écoutaient de bien comprendre chacune de ses paroles. Il était important que tous comprennent l'enchainement des faits.

Ces menaces se sont vues confirmées dans la nuit du 24 au 25 septembre, le vil personnage ayant contre toute attente réussi à semer la graine de la discorde dans le cœur de quelques âmes faibles, qui l'ont aidé à prendre la mairie de Poitiers par les armes, avec l'ancienne conseillère comtale Nessty, qui comme vous le savez s'y entend également en matière de discorde.

Vous vous demandez certainement pourquoi la mairie n'a pas été reprise aussitôt. Tout simplement parce que c'était ce que ces brigands attendaient. Se révolter contre eux la nuit suivante aurait impliqué qu'on ne défende pas le pouvoir dans le même temps, et ils auraient pu ainsi en profiter pour prendre le château. Nous n'avions d'autre choix que de défendre la ville, et nous remercions tous les poitevins, Pictaves ou non, qui se sont illustrés en défendant leur liberté et leur honneur de la plus belle des façons. Une bataille mémorable s'est déroulée devant le château dans la nuit du 25 au 26 septembre. Les félons, qui cette fois s'attaquaient comme prévu au château, ont été battus cette nuit-là, et les défenseurs ont pu en arrêter un certain nombre, et identifier les coupables. Aux organisateurs de cette félonie, Protozoaire et Nessty, se rajoutent le pilleur de Poitiers, @l3x, et Feodorowka, anciens de la légion Poitevine, ainsi que Fanette.debronnec, Kar1, Ryo22. D'autres personnes sont également suspectées, l'enquête est en cours pour déterminer si les soupçons sont avérés.

La mairie a été reprise sans heurts pendant cette bataille, et le Comté remplira son devoir de solidarité en renflouant les caisses de la capitale. Les autres mairies pourront également faire un geste, et les Pictaves n'auront pas à pâtir davantage de cette infamie.

Il y a eu beaucoup de rumeurs ces derniers jours, la plupart venant des félons qui tentent de justifier leur geste, ou qui se plaignent qu'on ne rentre pas en contact avec eux. On ne négocie pas avec les traitres. Le Poitou a repris ce qui lui appartenait, et n'aura de cesse désormais que de punir ceux qui lui ont fait du tort.


Nouvelle pause, afin que ses prochaines paroles ne passent pas inaperçues.

A ceux qui attaquent le Poitou, à ceux qui aujourd'hui se terrent dans les sombres ruelles de Poitiers, à ceux qui comptent fuir par les chemins et dans la forêt nous échapper: Priez la mort de vous prendre avant que cela soit le Poitou. Vous serez traqué et pendu. Traqués telles des bêtes par les poitevins, qui ne trouveront de répit qu'à la vu de votre corps se balançant du haut des remparts de Poitiers.
Kissiou
[27 Septembre 1457. Devant le château, Quand le Comte cause, une chieuse se gausse.]

Kiss comme beaucoup d'Poitevins avaient écoutés le discours du Comte ce soir là. Tout l'long elle picola, comme tout les jours d'ailleurs.. binouze comme l'dirait la blonde, à la main, postérieur en appui sur un tonneau elle écoutait... écoutait.. Jusqu'à la phrase final, elle en aurait presque eu froid dans l'dos si elle n'connaissait pas les habitants de ces terres.. et encore plus les Pictaves..

Priez la mort?? Nanmého, s'il descendait s'lui là aussi, marmonna t-elle, lui aussi il prirait té! Pardi.

Traqué et pendu? Rhooo mais quesqu'ils ont tous avec les têtes? ent' le Seigneur marcelle.. bafouilla t-elle a mi voix, les mots échappant sa pensée. Le seigneur d'Marsay qui imaginer couper des têtes de son épée et v'là qu'maint'nant le Comte veut du pendu... Eurk.

Parcontre pour s'qui était d'la traque, c'était faisable, pourquoi pas... la plupart des villageois était de sarée bon chien à leurs maître, y savaient bien r'muer leurs queue, lever leurs papattes pour pisser un tit coup manière de. Donc aucun doute qu'savait courir! Mais courir aussi vite que des sal'tés d'vilain pas beau là était son doute. Qui sait ca pourrait être amusant même se faire suivre par des toutous.. Ils sémeront même des caramels pour les aider un peu.. Elle haussa les épaules et rebut une lampé d'sa chope avant d'écouter la suite d'la phrase.

Balancer son corps du haut des remparts? Mouuuahah La chieuse ne put s'empêcher de s'esclaffer seule parmi la foule dont certains s'retournérent en la foudroyant du regard. Elle se retint aussitôt de rire ne faisant que pouffer alors pour n'pas bafouer davantage les personnes qui n'était pour rien. Car oui elle en méprisait quelques un en particulier deux! mais elle en appréciait aussi pas mal, elle pensait d'ailleurs à eux d'puis quelques jours.. mais bon, la vie c'est comme ça on a pas tous s'qu'on veut. (mon gars^^)


Nan mais vous jure..on r'connait plus personne ici... incroyable.. incroyable... bougonna t-elle en r'prenant sa route dans la capitale.
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Nessty
[A annonce comtale de vive voix, réponse de la principale concernée de vive voix !]
Poitiers, dimanche le 27 septembre


Dans la foule, enfin parmi le peu de pictaves qui trainaient dans le coin, au pied du balcon de celui qui se prenait pour une Juliette, sortit une gueuse au sourire plus narquois que d'habitude. Nessty mit ses mains en porte voix et roucoula une sérénade pour celui à qui elle avait offert un jour son décolleté :

Te vlà enfin toi ? Tu reviens à Poitiers pile le jour où nous avons rendu la mairie ? Spèce de lâche !

N'oublie pas que j'ai ta fille en otage ! Alors viens me chercher, viens nous chercher ! Nous t'attendons si tu as les attribus suffisants pour cela, ce dont je doute d'après ce que j'ai pu en voir !

Nous ne quitterons pas la place de Poitiers tant que nous ne t'aurons pas mis à nu devant le peuple poitevin.

Puis arrête de mêler le rouquin angevin à ce coup comme tu le fais ! T'es jaloux ou quoi ? C'est moi, et moi seule, qui ai décidé de lui vendre le château et j'attends toujours que tu m'en donnes les clés !

Allez descends de ton promontoir qu'on règle ça entre 4 yeux... si t'es encore capable de me regarder les yeux après ce que tu as fait à moi, à mes amis et aux poitevins !

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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.
Akashia
Akashia était a Thoaurs quand il apprit la nouvelle ... il s'en suivit un ballai des plus magnifiques dans un maelstrom de sabots ...
Messagers sur messagers ... ordre ... contre ordre ... Et ordre a la con tout ca dans un joyeux désordre !


La Maire de Poitiers a été prise par @lex ??

Akasia ne put s'empécher de rire a chaudes larmes

Un ancien sénéchal qui prend la mairie aux yeux et a la barbe de son ancien Commandant !!! c'est impayable !!!
Il était probablement plus occuper a regarder son nombril qu'a etre attentif a la protection des citoyens de Poitiers !!

Et dire qu'il se présente pour etre comte alors qu'il a déjà du mal à s'occuper de son poste ... il veut en plus s'occuper d'un poste plus important !!
Cet homme ne doute de rien !!

MOUHAAAAAAAAA


Il continua a lire les messages ...


Hum oui oki ... il met ca sur le dos des autres ... oki ... comme il le fait d'habitude ... décidément rien ne change

Il continua a lire ...

Oki les attaquants se défendent ... les défenseurs attaquent ... oki ... Chacun disant que c'est pour le bien du peuple .... Oki

et bien et bien ... voila qui donne un petit coup de sape a la liste du mégalomane totalitaire ma fois !

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
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