Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>

[RP] Autopsie d'un règne

Zouk59
[pendant ce temps.... à Niort....]

Les températures continuaient de chuter et l'hiver s'installait doucement.
Devant le pas de sa porte, zouk regardait au loin, comme pour chercher des réponses à ses multiples questions.

Depuis son retour de Guyenne, beaucoup d'affaires ont secoués la maréchaussée du Poitou, ainsi qu'un prise de mairie ayant entraîné des pertes tragiques. Pour beaucoup ces évènements n'avaient aucun rapport entre eux, mais le sergent de police de Niort avait remarqué l'implication de certaines personnes, mais ce qui le dérangeait le plus c'est qu'au moins une d'entre elle lui était très proche.

Devant la maison de Néférouré, ce soir là il été vraiment indécis, et cela faisait plusieurs jours que ça durait mais maintenant il devait en avoir le cœur net.
L’heure tournait et il devait effectuer ses rondes et vérifier que les miliciens étaient tous en place pour la nuit, mais il n’avait pas forcement la tête à ça.

En passant sur les remparts de Niort, il s’arrêta près d’une échauguette qui surplombait la sèvre niortaise et, profitant de l’intimité qu’elle lui donnait il sortit une lettre qu’un pigeon lui avait amené en toute discrétion


Citation:
Bonjour Zouk, mon ami,

Je dois te dire en premier que je suis vraiment très surpris de voir que tu as réussis à me situer alors que j’ai changé d’identité. Il faudra donc que tu m’apprennes ou j’ai été négligeant, afin que je ne réitère pas mon erreur.


Ses craintes étaient fondées il avait réussi à remonter la piste d’arnaud_de_cervole qu’il connaissait sous le nom de Richemont et de Teraclion .
Celui qui l’avait tant aidé dans le passé, venez de lui mettre un coup de poignard dans le dos en l’accusant, ainsi ses collègues policiers de tricherie et avait à coup sûr des renseignements très précieux quand aux évènements de Poitiers et d’autres affaires.
Il avait une influence énorme, même si il était très discret et ses contacts étaient si nombreux, qu’il pouvait intervenir à distance dans toutes les régions du royaume.


Citation:
Dans ta lettre tu me disais que tu voulais des explications, et bien sache que je n’en ai pas. Peut être faudrait il que tu demande à ton père, il a diligenté une enquête, même si il n’a publié ni son développement , ni ses conclusions.

Quand à Nessty, bien que je n’ai pas d’amitié particulière avec cette folle qui finira par ce faire bouffer par ses chats, mais je crois bien qu’elle vient de donner une bonne leçon au très puissant Poitou, en vous baladant et en se jouant de tous vos systèmes de surveillances.
J’ai tenté de te prévenir à plusieurs reprises, je t’ai donné des dates et des noms avec des cibles potentielles. As-tu brusqué kar1 et ryo22 quand ils ont été en contact avec toi ? As-tu prévenu ton père ou autre autorité du comté ? Prend tes responsabilités maintenant et ne viens pas pleurer pour avoir tes explications.
Si tu en veux, il ne t’est pas interdit d’en demander à ton ancien compte, tu sais ce dirigeant que tu apprécies tellement, car si il n’est pas un des principaux organisateurs n’a prit une part active à cette tartuferie.
Et oui vous êtes, à des niveaux différents, des responsables de la situation qui vous arrive, alors tirez les enseignements de ce qui vient de ce passer car vous allez bientôt avoir fort à faire, et comme d’habitude vous n’allez pas voir la ruse de vos vrais ennemis, qui utiliseront le moindre prétexte pour vous attaquer sur plusieurs fronts.
Je penserais à toi très bientôt mais avant je pense prendre des vacances, peut être à Saintes histoire de causer avec ton père.
En tout cas je suis toujours très heureux de parler avec toi, et j’espère toujours qu’on pourra te compter parmi les nôtres

Teraclion


zouk était soufflé que devait il faire ?
En tout cas il en été sûr, cette lettre était explosive, il la détruisit entièrement par le feu et replongea dans ses pensées ………

_________________
Chuichian
[Cachot du Château]

Une goutte perla du plafond en pierre humide et froide. Sa fin était toute tracée: en droite ligne vers le sol. S'arrachant aux aspérités de la roche elle s'élança dans le vide et adopta ce profil si particulier. Quelques secondes, une ou deux tout au plus avant l'impact.


Plop

Le son étouffé par le lieu de la chute ne fera pas trembler les murs du Castel. Goutte après tant d'autre et suivit par autant sinon plus, elle éveilla le corps entravé du locataire des lieux.

L'esprit brumeux, l'ancien Comte et Seigneur de Sigournais s'anime. L'odeur mêlé de l'urine, déjections et corps en putréfaction lui agresse les narines, rappelant à son bon souvenir sa condition.

Ouille.

Un gémissement de douleur alors qu'il porte ses mains à sa tête et sa nuque douloureuse, la massant doucement afin de l'apaiser. Le cliquetis des chaînes attire son regard: ces chaînes qui se raccrochent au mur... et qui le raccroche au mur par la même occasion. Il se retrouvait pieds et poings liés, dans le sens propre du terme.

Rhaaaaaaaaa!


Il hurla de dépit. Comment avait-il pu ainsi être mis en geôle? Comment avait-il osé? Il lui ferait payer cher cet affront, dans la mort, la mort de ce Comte imbu de sa personne, il trouverait le repos.

Gardes! Gardes!
cria t'il dans le vide. Il espérait bien avoir des explications sur son incarcération. Gardes! Faites descendre le Comte prestement!
Agitant ses chaines et multipliant les injonctions sans faiblir, il continuerait jusqu'a ce qu'on vienne lui répondre.
Cristof
Un garde vint prévenir le Comte que le prisonnier s'était réveiller.
Il termina quelques petites affaires puis descendit au cachot.


Alors mon p'tit père, tout va bien désormais, je suppose que cela aussi vous l'aviez prévu.
Qu'est-ce que je vais bien faire de vous désormais...

A votre avis ?


C'est désormais sur le visage du Comte qu'un sourire carnassier se dessinait, il tenait sa proie et ne comptait plus la lâcher.

_________________
Datan
Alors qu'il regardait au dehors par la fenêtre étroite du chateau Comtal, Datan entendit qu'on frappait à sa porte. Un jeune homme se tenait maintenant face à lui, qu'il fit aussitôt entrer.

PetitLu s'approcha du Seigneur de Dampierre sur Boutonne pour lui souffler quelques mots à l'oreille. Un sourire se dessina sur le visage de celui-ci. La déception avait été trop grande pour lui comme pour beaucoup de Poitevin et savoir cet homme là dans une telle situation n'était qu'un juste retour des choses. Cet intrigant ne manipulera plus personne de si tôt. Il y avait eu des Comtes absents, des incompétents, des imbus d'eux-même, mais celui-là n'avait que pour but de laisser des traces de son passage, au détriment des intérêts poitevins.

Comme se disant à lui-même :

Peut-être passerai-je le voir. Maintenant qu'il aura du temps, il m'expliquera peut-être mieux son projet de grande université qui n'états que du sable balancé au vent.

Quand je pense que l'on m'a accusé en public de copier une idée qui qu'ils avaient avancé à son stade d'application, alors qu'il n'en était rien. Nulle trace de quelconque structure ne fut visible à son arrivée...


Au moins maintenant les poitevins se rendraient compte que le Comte en titre était non seulement un diplomate ayant de grandes connaissances, mais surtout un homme agissant avec une autorité naturelle. Un homme à poigne, ne laissant rien au hasard, et sachant écouter les conseils avisés des personnes compétentes qui l'entouraient.
_________________

Porte-Parole du Poitou - Vassal du Vicomte Cristof - Heureux père de Dune - Champion du Poitou
Zouk59
[sur les remparts de Niort]

Toujours perplexe de la lettre qu’il venait de recevoir, zouk commençait à se refroidir, la piqûre du froid le fît se remettre en route et il continua a sa tournée d’inspection.

De là ou il était, il pouvait voir les gardes, à l’extérieur et à l’intérieur de la cité, les miliciens qui quadrillaient le secteur de la mairie, les membres du gign, aux aguets et les soldats en train d’écumer les tavernes.
Comme tout était en ordre il descendit afin de préparer son rapport au lieutenant Jmanci pour enfin rentrer tranquillement auprès de néfé.

En bas du chemin de ronde, un des gardes l’appela d’un « zouk !!zouk !!


Que ce passet-t-il ?

Le garde tout en se portant à son niveau lui dit « des nouvelles du château, sur les routes on à repéré…… » et il finit sa phrase en chuchotant à l’oreille du policier comme si les murs avaient des oreilles « bzzz bzzz bzzz »

Bon inutile de s’affoler on va procéder dans l’ordre. Ils ne seront pas à Niort tout de suite !!! Retournes au château et tiens nous au courant de la situation, et si tu ne me trouve pas, vois avec le Lieutenant, réveilles le si il faut !!!....moi je vai…..

Une silhouette, cachée dans le noir venait de l’interrompre, et, après avoir donné congé au garde, il se dirigea vers elle …..

_________________
Chuichian
Un mince filet lumineux apparut, seule une ombre se laissait deviner dans l'encadrement de la porte, droite, noble, écrasante. La position de Chu n'était guère enviable: limité par ses mouvements, derrière des barreaux dans de sombres geôles, il faisait peine à voir.

Une voix, voix comtale sans aucun doute s'adressa à lui. Le ton était amusé, faussement désespéré d'avoir à gérer un fardeau tel que lui. Cristof. Il serra les dents, rageur.


Je vous ferais payer pour cette affront Comte, je vous le ferait payer de votre vie... mais cela vous vous en doutiez.


Il ne répondit pas à la question du comte, fausse question de toutes évidence: En vérité le comte devait d'ors et déja avoir établi un projet le concernant. Comment avait-il pu éluder cette possibilité? Comment avait-il pu se laisser avoir de cette manière?
Il se redressa comme il pu, sa dignité ne serait pas souillé. Il regarda le Comte, son regard flamboyait mais il parla avec calme.


Comte, j'imagine clairement ce que votre imagination à pu faire naitre dans votre esprit mais je doute que cela parvienne à terme. En attendant, je souhaite que ces fers me soient enlevés, après tout je suis désarmé et derrière ces barreaux, je ne vais pas m'envoler. De plus et en attendant mon procès, je veux que parchemins, plumes, et bougies me soient fournis... et si cette requête vous ne pouvez pas satisfaire, faites donc quérir ma soeur Extraelle.

L'instant de silence lui paru une éternité, le plop-plop rythma les secondes qui doucement s'égrènent dans ces lieux, lieux qui n'auront jamais eu autant de visite que ces derniers mois.
Cristof
Dans les sous-sols du Château , l'humidité suintait sur les murs éclairés par les torches.
De temps à autre, on pouvait y voir des rats s'enfuir, mais jamais on avait vu de prisonnier s'échapper.

Le Comte regardait le Chian se démener avec ses fers. Des traits durs se dessinaient sur son visage, serrant les dents et plongeant un regard sombre sur celui qu'il considérait comme traître au Poitou.


Un procès dites-vous ...
rétorqua le Comte avec cynisme

Ce n'est pas nécessaire, vous avez avoué votre félonie.
Je n'ai même pas du vous y contraindre ou vous torturer...dommage d'ailleurs, cela m'aurait donné un certain plaisir.
Vous êtes coupable de Haute Trahison, et nul besoin de procès pour cela, seul la sentence doit encore être rendue pour que justice soit faites.

Pour ce qui est de votre sœur, elle n'aura qu'à venir vous voir sur la place de Poitiers le jour ou vous devrez répondre de vos actes.


Le cynisme laissait place à une colère sourde et à un besoin de vengeance, sur celui qui avait hypothéqué toute chance d'un règne tranquille pour son successeur. Jamais les "Parisiens" n'avaient été si méfiant , jamais le Poitou n'avait été aussi isolé diplomatiquement. Obligé de faire Alliance avec l'Anjou, l'ennemi de toujours pour retarder l'échéance d'une guerre inéluctable avec ses anciens alliés, le Comte avait du s'y résoudre.

Des Bretons désormais se baladaient au Poitou sans qu'il puisse s'y opposer...du moins pour l'instant.
Le Comté, on lui avait rendu sur la paille avec à peine de quoi payer les soldes. L'impôt serait très dur pour certains Poitevins, mais il fallait bien réparer les erreurs commises par un Comte trop dépensier.


Vous n'avez désormais plus rien à exiger, c'est la mort qui vous attend.

_________________
Fayom
Le capitaine comme à son habitude, passait sa journée à la caserne, à étudier les rapports des espions, à transmettre les ordres, à gérer la logistique .... Toutefois, il devait quitter ce lieux devenu depuis un mois sa demeure pour se rendre au réunion du conseil au château comtal. Or ce jour, une fois la réunion terminée, il entendit un bruit de couloir : Il paraîtrait que le comte Cristof avait mis aux geôles l'ancien comte, le fameux comte, celui qui l'avait mis dans ses mêmes geôles il y a deux mois. Fayom eut un fou rire en entendant cela, il ne pensait pas qu'il pourrait jouir de cette situation aussi rapidement. C'est qu'il ressentait encore les séquelles du tête à tête avec le géolier, géôlier dont il avait obtenu la tête dès qu'il fut nommer capitaine.
Il descendit donc vers ce lieux qui lui rappelait de sombres moments, son esprit imaginant tout ce qui pourrait lui faire pour assouvir sa vengeance.
_________________
Alienor.1
Assise dans son bureau Alienor entendit des bruits dans le couloir,se leva , toujours curieuse elle tendit l'oreille.Après avoir compris ce qui se passait elle retourna a son bureau amusé.
Elle connaissait un peu l'ancien comte, elle lui avait déjà parler à plusieurs reprise, avec courtoisie, avec dédain et mépris. Elle ne connaissait peu l'homme et avait bien discuter avec en de rare moment mais le connaissait plus comme le comte qu'il avait été, bien déçu de sa part d'ailleurs. Elle avait de la peine pour sa soeur Extraelle qu'elle avait appris a connaitre en la voyant très peu, une femme admirable qui ne ressemblait pas a son frère.
Elle se hata à finir ses travail, le bétails pour les Poitevins avant tout et sorti de son bureau pour allez voir le Chian , une question lui brulant les lèvres depuis longtemps.Elle était ambassadrice et voulait savoir...

_________________
Chuichian
[Dans les cachots les plus visités de France]

Avait-il réellement dit cela? Il le regarda sans comprendre le sens des mots... ou peut-être les mots avaient-ils subitement un sens bien trop lourd? Poitiers? Place publique? Mort?
Il déglutit difficilement et se prépara à répondre, afin de se donner contenance mais sans réelle opportunité, quand la porte s'ouvrit, à nouveau.

Il reconnut la silhouette d'un simple coup d'oeil, silhouette qu'il avait lui-même scruter, observer et provoquant jubilation lorsque sous les mains adroites du geôlier elle s'était tordu de douleur.
Venait-il savourer ce même spectacle? Il eut un rictus, mi-amusé, mi-nerveux, en se disant que finalement il aurait toujours une longueur d'avance sur lui.


Et bien Comte je crois que l'on vient vous tenir compagnie. Auriez vous tellement peur de moi que le Capitaine vienne lui même vous escortez? Soyez un homme et affrontez moi!
Fayom
Fayom était arrivé aux geôles, la vue qu'offrait ce lieux sinistre lui était pour une fois des plus agréables. Lorsqu'on ouvrait la porte, on avait la chance de tomber de suite sur cette crapule de Chuichian. Fayom était aux anges et ne se donnait pas la peine de le cacher. Hélas le comte du Poitou était présent; quel dommage, il aurait voulu lui rendre la monnaie de sa pièce en toute discrétion. Enfin tout n'était pas perdu, il s'approcha du comte qui s'était retourné vers lui après les dire du seigneur. Puis il lui chuchotta :

Mon comte, me feriez vous la joie de me laisser quelques minutes en compagnie du seigneur Chuichian ? Une injustice à laquelle je tiens fortement à réparer.

Il attendit sa réponse priant intérieurement pour que sa grandeur lui accorde cette faveur.
_________________
Alienor.1
Alienor rangea ses dossiers, sortit de son bureau tranquillement et se partit en direction de l'endroit ou se trouvait le Chian, En arrivant elle aperçu le Comte, et Fayom. Elle attendit qu'il termine de parler afin d'obtenir l'autorisation de causer au Chian
_________________
Ventreachoux
Le jour était clair et frais en cette journée d'octobre.Il avait plue presque tout la journée, mais le ciel était maintenant dégagé, laissant place à la clarté du jour.Un léger vent froid faisait onduler les arbres dénudés et s'emmitoufler les gens dans leurs vêtements.De ses cheveux blonds en bataille qui suivaient le souffle du vent, Ventreachoux, d'une longue cape sombre reposant sur ses épaules avait traversé les rues de Poitiers .Ses bottes claquaient sur les pavés de la capitale poitevines le guidant de ses pas vers les portes du château.A l'entrée se tenait un garde avec lequel le noble cervièrois s'entretenait.

Bonjour mon brave! j'ai un parchemin que j'ai rédigé de mes mains destiné au triste sir Chuichian et comme je suppose que je n'ai pas accès à sa geôle, pourriez vous le lui faire transmettre.J'ai ouie dire qu'il ne portait pas les niortais dans son coeur, ça lui fera une occasion de plus de se le rappeler.

Le Niortais extrait le parchemin d'une poche de son mantel et le remit au garde.

Citation:
Trahison

Deux mois de règne, deux mois de souffrance,
Tous ces beaux jours face aux idées de violence,
D'un homme perdu dans ses errances,
Qui dans ses confidences,
D'aveux outrancier qui dépassent la démence,
Ne recherche aucune délivrance.

Vous avez fait votre choix,
Vous aviez vos idées, vos raisons,
Vous nous avez donné la définition,
De la bassesse, de la déraison, de la trahison,
A un peuple qui a cru en vous lors des élections,
Et qui pour vous seul, était prêt à se mouvoir en ovations.

Le vin qui coule de nos pressoirs -
Est moins traître que les plus perfide yeux noirs.
De votre idéal à la lumière blafarde équivaloir,
A celle de l'intelligence d'un cafard errant dans un couloir,
Vient entraver, étouffer, ce faux espoir,
De voir un comte remplir son devoir.

De l’amour, de l’honnêteté,
De votre folie démesuré,
De la passion pour votre comté,
Si toutefois vous la connaissez,
Vous n'avez apporté,à ceux qui vous ont aimé,
Qu'un monde d'incompréhension et un océan de regrets.

Prévenir la trahison, débusquer le fou,
Le traître, le jaloux,
avant qu'il inocule son venin doux,
Avec sa vanité et ses ambitions floues
est une opération et un traitement aussi complexe et aussi fou
que celui de nettoyer l'editat de cenzori d'un vieux loup.

Je ne connais rien de plus vil, de plus malsain,
de plus méprisable, de plus vilain
de plus borné et de plus lâche qu'un sénil suzerain,
Qui se complait a cracher son venin,
vous n'en n'avez point les qualités, quand vous vous dites poitevins,
Alors! votre âme! allez la vendre au malin.

Ventreachoux, le niortais.


prenant ensuite congé de la sentinelle.Plongé dans ses pensées au sujet d'Extraelle, il se rémémorait la phrase d'un de ses amis.

Citation:
"on choisit ses amis mais rarement sa famille" (renaud)

_________________
Alienor.1
Alienor s'approcha doucement du Comte et s'inclina.
Toujours incliner face à Cristof elle lui fit une demande.


Votre Grandeur je souhaiterais parler au Chian, je me suis acharner à mon travail deux long mois j'aimerais lui poser une question, et converser quelques minutes avec lui en privé.

Elle se releva et murmura a Fayom.

Promis après je te le laisse laisse moi quelques minutes au moins.

Elle regarda la direction ou se trouvait le Chian pour croiser sont regard déçu
_________________
Cristof
Le Comte du Poitou en avait fini avec ce triste Sire.

Et bien, je vous le laisse...

Et le Comte sans un regard quitta cet endroit lugubre.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)