Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

Cellule de Titca

Titca
La jeune femme ferma les yeux, les cloches commencèrent à sonner en temps normal elle courait vers l'abbatial pour écouter la messe et profiter des paroles du célébrant, là étrangement Typhanie n'était pas trop presser. Soaz avait déjà rejoint les bancs avec les invités, ainsi donc Lune et Titca était seule, prenant un grand bol d'air, elle laissa le pauvre nez de son amie retrouver sa forme et lui tendit le coussin avec les alliances.

Quand on sait que j'ai fait la guerre et sauvez des vies... qu'un simple mariage me rend morte de peur c'est à mourir de rire.

La novice voulait gagnée du temps quelques minutes, deux ou trois juste un peu quelques secondes même le temps de retrouver son calme de respirer un grand coup de profiter des dernières minutes de femmes libre, les invités trouvaient peu à peu l'abbatial, le jardin se vidais doucement un après l'autre. Mais les cloches sonnait toujours autant, ferment les yeux Titca regarda Lune.

Allons-y... Jacou dois déjà être là-bas ne pas me voir va lui faire peur. Dans un sourire elle se regarda une derrière fois dans le miroir



Serrent dans sa main qui n'était pas blesser sa médaille elle quitta sa cellule décider à se marier direction l'abbatial Saint-Bernard , sa robe flottant sagement derrière elle, arrivée au coin du couloir, Titca se retourna pour vérifier que Lune avait bien pris le coussin .
_________________
Titca
Horrible, sa journée était horrible, elle avait cherché pourtant à s'occuper l'esprit redoublent ses heures de travail au risque de faire du mal à son enfant, à sortir, parler, tentez de plus y pensez, mais rien à faire ! Son homme lui manquait et son absence semblait trop lourd à porter, il était là quelques parts dans l'abbaye en retraite de tous et elle souffrait à en perdre son souffle de vie. Rien, non plus rien à faire que d'attendre, son retour. Mais cela semblait tellement long, déjà ses bras lui manquait, son rire lui manquait et son odeur... Elle qui aimait se dire femme libre, indépendante... un énorme mensonge elle n'était ni libre ni indépendante, elle ne vivait qu'avec lui. Et comme part hasard ses amis avaient décidé d'être trop occupé plie à ce moment-là ! Un complot contre elle ! Voilà, c'était une envie de la voir à bout !

Typhanie poussa la porte de sa cellule et se laissa tomber sur le lit, une main sur son ventre, la tête bien cacher dans le mantel bleu de son époux, seule traces de sa présence, l'alliance à son doigt était encore plus lourde et plus présent que normalement.


Jac...

Typhanie glisse son nez dans le tissu et respira doucement, doucement son sommeil ce fit plus lourd et enfin elle s'endormit, encore quelques jours à tenir pour enfin le revoir, courage...
_________________
Titca
Poussant la porte, Typhanie retira ses bottes, puis elle tomba sur le lit. Depuis combien de temps n'avait-elle pas dormit ? Trois jours environs... fermant les yeux, elle s'endormit très rapidement. Ne cherchant même pas à manger ou boire avant, seulement dormir.
Demain elle irais voir Kro, ce soir elle dormait sur ses deux oreilles, son retour était une bonne nouvelle. Une très bonne nouvelle.

_________________
Titca
Typh avait dormit, combien de temps exactement ? Une heure ? Deux ? Une chose était certaine, le soleil était déjà lever ou pas encore coucher ? Allongée sur son lit de paille médiocre, la jeune femme s'étira et posa les mains sur son ventre rond. Elle c'était calmer, son bébé aussi. Une bonne choses accoucher ici et maintenant n'était pas une bonne idée, elle devait encore faire beaucoup et si sa présence aidait ses frères et sœurs, elle ce devait être présente ! Posant les pieds au sol, elle alla rejoindre la table et de la bassine prit un peu d'eau au creux de ses mains pour ce laver le visage, laissant sa fraicheur glisser le long de sa peau, lui donnant un peu de force au passage.

Kro voulait la voir ? Pourquoi donc ? Lui dire qu'elle était virée après l'épisode Louis ? Une boule se forma au creux de son estomac lui attachant un soupire de tristesse. C'était plus fort que tout, quand il la cherchait avec ses beau mot, Typh ne pouvait que répondre et serrer les dents ! Mouarf maudit noble ! Maudite Savoie, maudite histoire ! Repoussant la bassine, elle prit ses affaires et revêtit l'habit officiel des Cistercien avant de filer rejoindre la cellule du prévôt, autant faire face maintenant.

_________________
Titca
Ouvrant la porte au vol elle avait fuit les portes, Typh la ferma en la claquant et tomba sur son lit en larme, elle n'était pas grosse et lui était qu'un pauvre gueux sans cervelle, méchant, pervers et blessant ! Un homme qui n'a aucun coeur aucun sens moral ! Laissant couler ses larmes elle sanglota bruyamment.
_________________
Ellya
Ellya arriva au moment où la porte claquait. Après avoir toqué doucement, elle entra sans attendre de réponse et se dirigea vers sa soeur. Les derniers jours devaient l'avoir atteinte ... Puis le bébé.. L'intronisation proche... Et le reste... Elle devait être à bout.

Ma soeur?


Douce, elle passa ses bras autour du corps de Titca et posa sa tête contre son épaule.

Je vous en prie, ne lui en voulez pas... Il tient toujours des propos... étonnants. Mais c'est un homme doux qui a bon fond. Nous lui demanderons des explications pour éclaircir ces paroles qui n'avaient pas lieu d'être prononcées.

Les larmes ne cessaient pas et la jeune soeur redressa sa tendre étreinte.

Silencieuse, elle se contenta d'être une présence chaleureuse pendant que le flot s'apaisait. Puis elle s'écarta légèrement et laissa Titca reprendre contenance.


Il ne faut pas réagir comme cela avec lui... Sinon, vous le verrez toujours sous un mauvais jours, hélas.


Mal à l'aise, elle posa son regard sur la fenêtre. Si sa famille Cistercienne commençait d'ores et déjà à ne pas aimer son futur époux...
Titca
La porte s'ouvrit et Typh était déjà prête à se ruer sur l'homme pour le repousser au contraire elle tomba dans les bras de soeur Ellya pour pleurer. Elle n'était pas grosse, mais enceinte ce qui devait être les plus beau mois de sa vie terminai en insulte de la part d'un pauvre idiot sans cervelle. Ses larmes coulèrent encore et encore. Trop de choses vraiment trop de choses. Roger, Gadriel, Intronisation, Verty qui la cherchait, tout ce changement elle n'y arrivait plus vraiment plus. Son époux qui était mal, Louis qui lui mentait... non vraiment c'était trop..

Je... * snif * je sais mais * snif * je suis pas grosse et... * snif * pas folle... et...je fais de mon mieux vous savez ma soeur * snif* , mais je suis nulle, incapable d'être apprécier et... *snif * j'ai mal...

Elle leva le menton vers sa soeur, les joues plein de larmes et la voix tremblante encore. Comment un humain pouvait dire des choses si affreuse et il veux devenir curé ? Ben Tit n'avait pas hâte de le rencontrer dans une église.

C'est que... il y a tellement de changement on est tous à fleur de * snif* peau et faut bien rire un peu non ? Et... puis ... j'aime pas tout cela...les morts les changement et tout...je suis très *snif * sensible ... et je m'attache a mon bébé et...maintenant je suis grosse... une grosse vache...

Repoussant ses larmes de la main elle soupira et prit un mouchoir pour vider son nez, très romantique tout ca.

C'est pas contre lui... il dois être gentil...mais il est méchant avec moi...
_________________
Ellya
De sa douce main, elle caressa maternellement la joue de sa soeur pour en sécher les larmes.

Vous avez raison, vous n'êtes ni grosse, ni folle. Vous êtes une femme forte et pleine de vie, une Cistercienne que nous chérissons tous.

La pauvre nonnette avait toujours le coeur en miettes quand ses proches souffraient. Aussi essayait-elle de peser tous ses mots afin de trouver au mieux ceux qui consoleraient sa jeune soeur. Sincère, elle reprit,

Les changements sont durs pour nous tous, mais nous nous serrons les coudes en conséquences. Cela permet aussi de nous rappeler combien nous pouvons compter les uns sur les autres. Votre enfant a une chance merveilleuse de vous avoir comme mère et je suppose que le ventre rond fait partie des étapes qui précèdent une nouvelle vie.

Elle esquissa un tendre sourire avant de reprendre,

Vous êtes magnifique en future mère. Ne faites plus attention à ce qu'il vous a dit... Il est trop maladroit pour avoir voulu être méchant intentionnellement mais j'irai chercher des explications, je vous le promets.

Que faire pour vous rendre votre beau sourire, Titca?
Titca
Typh écouta d'une oreille attentive soeur Ellya et sourit en coin, entre les larmes qui coulaient sur ses joues, d'un geste Ellya les effaça et Titca lui sourit plus ou moins timidement. Déposent son nez dans le cou de la soeur elle soupira et ferma les yeux quelques seconde seulement le temps de ce reprendre de cacher les démons de la tristesse et retrouver la joie de vivre. Relevant la tête, elle approuva d'un petit geste et fît un superbe sourire derrière les traces de larmes.

Merci, ma soeur c'est... ca va mieux ...

Cependant, elle ce posait quand même une question, comment connaissait-elle tellement de choses de cet homme ? Se mouchant une derrière fois dans le tissu, elle effaça toutes traces de blessure profonde et renifla encore un petit coup.

Comment vous savez tout cela sur lui ? C'est un ami à vous ? J'ai remarquer que vous l'avez enlacer aux portes.
_________________
Titca
Quelques temps après :

Typh poussa la porte de sa cellule, tombant sur le lit elle prit de quoi écrire et chercha les mots, il fallait relever ce défit...pas simple, sa soeur avait taper haut et fort. Dans le calme de sa cellule elle décida de travailler un peu pour la confrérie, entre deux visites.
_________________
Thibalt
[Un accouchement plus qu’imprévu]

D’un coup de pied, Thibalt entra dans la cellule de Typhanie et la posa sur le lit alors qu’il la portait. Il était en sueur, épuisé d’avoir dû la porter dans toute l’Abbaye jusqu’à sa cellule et épuisé par le stress qu’un accouchement pareil provoquait chez lui. Il ne savait pas quoi faire. La jeune femme avait déjà perdue les eaux, aussi il ne pouvait plus attendre. L’Aragonais se pencha vers elle et lui dit en essayant de se calmer lui-même :

« Calmes-toi Typhanie, calmes-toi. Respires un bon coup, et expire tout doucement. Ne pousses pas pour l’instant, d’accord ? »


Dans la cellule de Typhanie, bien qu’austère, il réussit à trouver une petite bassine d’eau tiède ainsi qu’un morceau de tissu suffisamment épais pour pouvoir contenir de l’eau. Thibalt mis le morceau de tissu sur son front en lui indiquant que tout allait bien se passer et il essaya de se souvenir de tout ce qu’on lui avait apprit quand il était à Belrupt. Bref, finalement il sortit de la cellule et hurla :


« Typhanie est en train d’accoucher ! J’ai besoin d’aide ! Vite ! »

Il retourna dans la pièce et se à genoux à côté de Typhanie pour lui donner la main.


« Ca va aller, ça va aller. Y’aura surement une sage femme qui va pas tarder, t’inquiète pas. »


Dans la confusion de ses pensées, Thibalt tutoyait Typhanie allait qu’il n’avait jamais osé le faire. Il ne se posait même pas la question à savoir si c’était ou non respectable. Il voulait qu’elle se calme, surtout, car la plus grande peur qu’il avait été qu’il ait besoin de se débrouiller seul.

_________________
Titca
Pauvre porte ! Thibalt l'avait frappé comme jamais, avec cela la moité de l'abbaye allait venir en courant. Ne pas pousser ? Quel marrant lui, ben voui mon bébé reste au chaud encore un mois ou deux. Typh posa son dos sur le mur et ses mains sur son ventre, respirer doucement... Aieuuuuuuuh ! Serrer les dents aussi et les jambes semblaient une bonne idée ! Jacou, ou était Jacou ! .

Jacccccccccccccccccccccooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !

Un coup d'oeil à droite, un à gauche, puis Tit sans prévenir le moins du monde ce leva en sursaut, mon Dieu ! Il fallait son Mamour, elle voulait le voir c'était important pour son calme et son courage aussi, paniquée, angoissée, complètement inconscience du danger. Elle cherche à se mettre sur ses jambes, mais ne réussit qu'a tomber sur le lit et pousser un petit, mais puissant crie de douleur.


Mon...époux...


Réussit-elle à marmonné en lui montant du doigt un pigeon plutôt costaud sur le bord de la fenêtre, c'était ''Piouf'' son pigeon de guerre, il l'avait aidé durant les diverses guerres faites pour transmettre ses messages rapidement, mais aussi efficacement. Après quand elle était rentrée dans l'ordre Cistercien elle avait dressé Piouf pour retrouver son époux en toutes circonstances, fallait dire que ses débuts était tellement douloureux que l'aide de son chéri n'était jamais refusé dans pareille situation.

]Faut prévenir...Jacouillet.... pitié...

Dans un dernier murmure courageusement prononcer, elle tomba sur le lit, les mains sur son ventre coucher et chercha a calmé sa respiration. Malgré toutes l'amitié que Thiblat et elle pouvait partager, personne et surtout pas un homme irait sous sa robe ! Ou alors son époux... et encore il allait être dégouté pour six mois le pauvre. De l'aide il ne risquait pas d'en avoir, tous était trop occupé à redresser l'abbaye après la retraite du recteur, ils étaient seuls et c'était peut-être mieux ainsi ? Monter sa fleur bleue a tout le monde c'était terriblement gênant.

[Hrp : Comme prévu un petit courrier à Jacouillet en IG si possible et RP forcement ^^' Rajoute peut-être le lien en bas qu'il tourne en rond dans l'abbaye ]
_________________
Macricri
Macricri revenait de présenter sa demande de pastorale et rejoignait tranquillement sa cellule, quand un hurlement la fit sursauter. Quel supplice devait encourir une des novices pour crier ainsi... Il y avait de quoi glacé le coeur le plus aguerri. Elle poursuivit chemin lorsqu'un autre cri se fit entendre :

"Typhanie est en train d’accoucher ! J’ai besoin d’aide ! Vite ! »

Les moines devaient savoir s'occuper de cela. Mais Macricri devait passer devant la cellule à la porte ouverte. Elle hésita un instant, puis frappa au battant de la porte pour attirer l'attention.

Tout va bien Titca ? Vous auriez besoin de quelque chose ?
Thibalt
Typhanie semblait vouloir son mari. Tout du moins, c’est-ce qu’elle faisait comprendre au travers de ses multiples demandes que Thibalt ne pouvait refuser. De toute façon, il voulait que le mari de la demoiselle soit présente tout simplement car il n’avait aucune envie de faire accoucher qui que ce soit. Dans ses études, on lui avait appris que c’était les femmes qui faisaient ce genre de choses, un homme, qui est plus qui ne serait pas le mari serait vraiment mal vu autant pour elle que pour lui.

Alors qu’il tentait de calmer un peu Typhanie tout en faisant quelques allers-retours entre le lit où elle se trouvait et la porte pour vérifier si quelqu’un venait, il tomba finalement nez à nez avec une personne qu’il ne connaissait pas. Alertée par l’appel de Thibalt, il semblerait qu’elle soit venue. Bref, il crut un instant lui sauter dans les bras tant il avait peur de devoir faire cela seul. Il lui dit :


« Ecoutez, Typhanie est en train d’accoucher. Moi, je dois prévenir son mari. J’ose espérer qu’il ne sera pas trop loin… En tout cas, occupez vous d’elle le temps qu’il faudra et si par malheur son mari est trop loin pour arriver dans l’heure qui suit, il va falloir la faire accoucher sans lui. »

Espérant que l’inconnue accepterait d’aider Typhanie dans cette épreuve, il prit presque un air suppliant. Il devait prévenir son mari, mais il se voyait mal écrire un courrier, surveiller que tout se passait bien entre ses jambes et demander de l’aide aux cisterciens. Impossible d’être partout… Chaque chose en son temps, comme on dit.

N’attendant pas la réponse, Thibalt se permit de prendre un parchemin qui se trouvait sur le bureau de Typhanie, une plume ainsi qu’un encrier et lui dit :


« Je vais prévenir ton mari. Ca va aller t’en fais pas. »


Retournant face à l’inconnue, son matériel en main, il attendit sa réponse comme un condamné attendant la sentence.

_________________
Eloin
Cellule d'Eloin

Belle journée qu'icelle, une nouvelle fois. Chaude, ensoleilée, agréable, une belle journée pour estre au dehors.
Et pourtant, depuys plusieurs jours, depuys que les récoltes au jardin se faisoient moins soutenues, Eloin s'estoit retirée en sa cellule. Et pour cause, elle y soignait des coups de soleil pris alors qu'elle avoit passé des heures et des heures à récolter légumes, fruits et plantes médicinales, montrant à des novices comment recognoistre la maturité de tel ou tel plante.
Assise à sa petite table de travail, donc, elle se reposoit en lisant un livre sur la médecine d'Avicenne. Quand soudain, un cri :


Typhanie est en train d’accoucher ! J’ai besoin d’aide ! Vite !

Un sursault agita la jeune femme, elle qui n'estoit point habituée à entendre des hurlements dans l'Abbaye, lieu d'ordinaire calme et reposant. Mais l'auteur des cris fut bien vite excusé lorsque son esprit eu imprimé ce que les paroles masculines avoient annoncé.
Se relevant prestement, elle ouvrit le petit coffre rangé sous son lit, et qui comprenait une pharmacopée d’urgence, composée de plantes et de plusieurs flacons aux couleurs diverses. Elle étendit sur la table une serviette de drap propre et y déposa les fioles et plantes qui luy seraient utiles, ainsi qu’un nécessaire de couture. Rassemblant les bords du drap, elle prit le tout entre ses bras et s’en alla frapper à la porte de la cellule de Titca.


Cellule de Titca

Sans vraiment attendre de réponse, Eloin avoit ouvert la porte de la cellule, et haussa un sourcil en voyant un homme dans la pièce. D’ordinaire, les hommes n’estoient admis à assister ou observer les accouchements des femmes qu’en des cas exceptionnels. Mais, à la vue de la sueur que semblait ressentir l’homme, elle devina qu’il avoit porté la parturiente jusqu’icelieu, et elle ne luy tint donc nulle rigueur de sa présence.
Saluant sœur Titca d’un sourire, elle adressa à l’homme et à la femme jà présents un signe de teste, et déposa ses ustensiles au pied du lit.


Bonjour, je suys sœur Eloin, je vais aider sœur Titca dans cette épreuve. Vous estes tous deux bienvenus pour m’assister.
Madame, il me faudrait une bassine d’eau supplémentaire, afin que de pouvoir nous laver les mains. Il y a un puits au centre du petit jardin qu’entoure le cloistre…
Messire, je vois que vous semblez jà avoir pris les choses en main, je vous en remercie.


Puys elle tourna son regard vers sœur Titca, serrant sa main dans la sienne et luy adressant un regard d’encouragement.

Ma sœur, nous sommes là pour vous assister, vous pouvez hurler tant que vous voudrez, les moines et moniales vous pardonneront cet excès de voix en apprenant que vous avez mis au monde un enfant au seing de Noirlac.
Dictes-moy, combien de grossesses avez-vous eu avant icelle ? Depuys combien de temps ressentez-vous les contractions ? Préférez-vous mettre bas en position couchée ou accroupie ?


Eloin attendit la réponse de la jeune femme, se rendant compte qu’elle avoit pris la direction des opérations sans en avoir l’air. Elle espéra que l’homme n’en prendrait point ombrage…
_________________

Plus beaucoup là, si besoin contactez-moi par MP ou MSN...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)