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[RP]Procès public de Domy11 et Fabrizio05 attaque d'Albi

Aldindethau


Le tribunal n'etait que bruits, vociferations de la foule, dehors le prévôts et ses marechaux tentaient de calmer une population en colère.
Aldin se leva et tapa comme un forcené sur le socle avec son marteau.


DU CALME !!! SILENCE, OU JE FAIS EVACUER LA SALLE !!!



L'exécuteur est allé chercher les accusés qui sont dans un piteux état de santé chez le medicastre, alors soyons patient, ils ne sauraient tarder.

Le juge se rassit et commanda à boire au garde du tribunal pour les jurés et lui-même.

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Roxanne7


Roxanne avait de plus en plus chaud, c'était la première fois qu'elle assistait à un procès public et elle était impressionnée par cette foule et les cris incessants. Elle remercia le garde qui venait d'apporter des boissons puis but une petite gorgée en scrutant le fond du tribunal. La jeune femme attendait avec une certaine impatience le moment ou elle découvrirait le visage des accusés.
Domy11
Elle avait gardé les yeux fermés tout au long du trajet.....
Un siècle de douleur sous les cahots violents de la charrette alors que sa main appuyait son bandage sous lequel la plaie s'était rouverte après leur transfert sans ménagement hors de l'hospitalet d'Albi.

Son cerveau refusait obstinément d'accepter ce qui se passait...
Ce n'était pas possible....
Ce ne pouvait pas être elle....
Ce ne pouvait pas être elle cette femme hagarde qu'on emmenait comme une criminelle sous les quolibets de la foule ivre de rage...

Ils étaient ballotés...Mains entravés....Tentant tant bien que mal de se caler les uns contre les autres pour ne pas tomber au fond de ce chariot de malheur.
Son époux faisait un appui de son corps et parvenait à la retenir maladroitement lorsque les secousses étaient trop violentes et que la douleur lui donnait envie de se laisser choir à ses pieds..

Lorsqu'ils parvinrent devant la salle de justice et que les chevaux s'arrêtèrent ,Domy ouvrit les yeux et faillit défaillir en voyant la haine qui emplissait le regard de ceux qui les attendaient.

On les fit descendre sans ménagement de la charrette et deux gardes la soutinrent en la tirant jusqu'au box des accusés alors que Fabrizio était lui aussi entraîné malgré sa résistance.

Serrer les dents....
Ne pas leur montrer qu'elle voudrait mourir là de suite..Tant elle a mal...
Tenir bon....
Tenir encore....
Tenir pour tenter de se disculper d'une faute dont elle ne connait rien....
Tenir pour espérer revoir un jour son fils .
Tenir pour laver son honneur...

La jeune femme tenta désespérément de se redresser en prenant appui sur le bord de son box....
Son flanc n'était que brûlure irradiant vers chaque fibre de son corps..

N'avaient-ils donc aucune pitié?

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Aldindethau


Aldin n'y tenant plus appela le garde et vocifera à son encontre,

Ou sont les accusés ? qu'on les emmene, je suis las d'attendre, mais que fait l'exécuteur ??

Au même moment les cris de la foule dehors avait doublé de volume, cela ne pouvait signifier qu'une chose, les accusés venaient d'arriver. La foule s'ecarta et les 2 accusés escortés de part et d'autres par les gardes du comté, les trainais jusqu'au box des accusés. Ils portaient les stigmates de la bataille et des traces de blessures ensanglantés barraient leurs corps.
Aldin pris son marteau et reclama le silence, qu'il obtint bizarrement tout de suite.
Dans un silence, d'église, il s'adressa au procureur qui etait debout pres de la barre.


Procureur, à vous la parole, les accusés sont présents vous pouvez proceder à l'accusation.

Se tournant vers les accusés il dit d'une voie forte et solennelle,

Accusés, levez vous !!! durant la lecture de l'acte d'accusation

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Fabrizio05
De l'hospitalet jusqu'au marche du tribunal , des gens se massaient à leurs passage.Au début ce ne fut que murmure et ce par quelques lourdiers.

Mais plus ils avançaient vers le lieu de leur destin , plus la foule devenaient plus dense.Les murmures font place maintenant aux cries , aux insultes.
Des fruits et des légumes pourries viennent à eux mais il est le seul à se tenir roide dans le charriot.

Nul autre que lui aurait la teste baisser mais pas lui;Fabrizio regarde devant lui, sourd à la colère, aux insultes et menaces de mort qui viennent à ses oreilles.

Soudain un Albigeois met ses mains sur la plus haute planche du charriot, s'aidant ainsi à monter et lui crache sur la joue droite.Mais il reste impassible.

Non il ne monte rien ,ses yeux bleus sont froid comme la mort, son visage reste de glace.Il n'a pas peur, il n'a aucune colère cachée en lui.
Non il n'est pas là.

A ses pieds se trouve sa femme;Fabrizio fait corps avec elle, il la protège de toutes attaques de fruits et de légumes, de se crachat qui dégouline le long de sa joue intacte.Chose gluante qui va lentement sur son cou.
Descendant tout en laissant une trainée derrière elle.

Mais il ne baisse pas la teste, il n'a pas peur simplement car il n'est pas là.

Une voix au fond de lui lui dit...Souviens toi...rappel toi ses moments...ceux de ton passé.

Souviens toi...Rappel toi de l'homme entravé et de la récompense pour l'avoir délivré.Et le surnom que tu as obtenu.

Alors oui il se souvient mais Fabrizio ne monte rien et si sa femme le verrait mieux que ce là , elle verrait ses deux mains entravées par une corde solide dans le dos, que ses phalanges en blanchissent tant qu'il serre les poings.

Mais le charriot bouge si fort parfois que ses hanches viennent dans un claquement fort heurtées une parois, à dextre ou à senestre.Alors c'est dans ses moments là qu'il entend le long soupir de sa femme, regimbant sur le parcours.

petits râles de souffrance de sa part, alors il tourne la teste vers elle, ses yeux la fixent, ils lui insufflent la force qui lui manque.Mais il continu à ne rien dire.

Les légumes pleuvent sur lui tous comme les insultes et menaces ainsi que de la sentence qui les attends.Mais il tiens bon, jambes écartées, en appuie de chaque côtés.

Il sait qu'ils arrivent, le charriot s'arrête brusquement sous les quolibets de la foule mais parmis tout se tumulte une voix s'élève parmis les autres.Une qui demande à ce qu'on épargne pas la femme, qui remet en cause le fait d'enfanté.

Alors même sous la brusque poussée en avant des vegilles;Fabrizio réagit par un arrêt de son corps et de ses épaules en stoppant la progression net devant le Sieur et tournant la teste vers lui, il le fixe attentivement et un énorme claquement de mâchoire comme un loup devant un lapin.

Puis il se redresse, ne le regarde plus et avance tout droit vers le tribunal.N'écoutant plus les vociférations de l'homme et de la foule.

Comparaissant très vite devant les magistrats et les jurés;Fabrizio se leva seul les mains déliées devant lui et s'adressant au magistrat il dit.


Pardonner vos grâces mais ma femme ne peut se permettre vu son état de santé de se tenir bien droite et longuement devant vous.

Il les regarda tour à tour, le visage fermé.
Iurek
Iurek, les yeux noirs, vérifiait que les accusés étaient bien menés devant le juge. Mais de loin . Premièrement, il n'avait aucune envie de paraitre devant le juge, qui allait certainement lui passer un savon suite a la relative lenteur de l'acheminement des blessés. Ensuite, ce n'était pas son rôle. Enfin, un vieux garde du château, qui regardait l'attroupement d'un air torve, lui avait mis d'autorité sa gourde de vin dans les mains.

"Par Aristote, Iurek, il a hurlé contre toi dans tout l'castel ! Qu'est ce qu tu fichais ?
-Ce maître Aymercah m'a fait attendre. Et les criminels étaient plus que moribonds. Je ne pouvais ramener deux cadavres ici... "

Il avala une gorgée de vin, et mit la main a son arme. Puis il rendit la gourde au garde.

"Bon, je vais aller surveiller le procès... Sinon on va rajouter nonchalance à la liste de mes méfaits ! "

Il passa dans la foule, bousculant la foule massée, mouvante, hurlante, expédiant de ci de la quelques coups du plat de sa lame en hurlant :

"Faites place ! Silence !"

Il se tint au premier rang, avec les gardes du castel, et fit un signe de tête au juge. Puis il reporta toute son attention sur la foule vibrante de haine. Jetez un seul légume. Jetez en juste un seul. Car les deux personnes qu'il avait amené était sans peut-être des agresseurs, des ennemis, des tueurs.

Mais la peine corporelle, le châtiment, la honte et la violence, c'étaient ses prérogatives. Etroitement muselées dans un carcans de lois. Un carcan dans lequel il devait se tenir scrupuleusement, et faire respecter de même. Nul ne porterait la main sur eux sinon lui. Il y veillerait.

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" Jamais d'aultres armes nous prendrons que celles que nous élizons,
Et nous disons pour réconfort nous voulons la liberté ou la mort. "
Domy11
"Accusés, levez vous !!! durant la lecture de l'acte d'accusation"

Bon sang.....Elle avait déjà eu du mal à reprendre son souffle....
Se relever ......

Elle lança un regard impuissant vers son époux et agrippa le montant en bois de son box d'accusée.

Respirant à petits coups prudents,elle vit blanchir ses jointures avant de réussir,au prix d'un effort surhumain à se redresser et à plonger un regard brulant dans celui du juge qui lui demandait d'écouter l'acte d'accusation.

Ecouter.....
Elle voulait bien....
Si la douleur lui permettait de se concentrer suffisamment pour comprendre ce qu'on allait dire..
Si le peu de forces qui lui restaient la laissait capable de se tenir debout.

Domy serra les dents et osa ,pour la première fois ,survoler des yeux la salle où les badauds se pressaient pour le procès.
Ici ils étaient plus calmes qu'à l'extérieur,contraints au silence par l'autorité du juge.
Mais ce qui la faisait frémir c'était de sentir autant de haine monter vers eux ....

Elle se sentait innocente...
Elle n'avait jamais eu à se trouver confrontée à ce genre de circonstances.....

Elle n'aurait jamais imaginer être un jour de ce côté de la barrière et elle mesurait l'ironie du sort qui la mettait,elle,petite femme sans histoire, en une telle situation.

Les pieds bien plantés au sol et le poids de son corps retenu par ses bras crispés sur le bord du box,elle fit abstraction de tout cet environnement ennemi et attendit le paroles de ceux qui allaient décider de son sort.

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Aldindethau


Le juge Aldin etait finalement satisfait, il aimait ces moments ou la justice etant son bras et impose l'humilité.

Son regard parcouru l'assemblée et croisa le regard farouche de l'accusée qui tentait péniblement de faire bonne figure mais dont les traits crispés ne pouvait cacher la douleur.

Soudain, le juge fit signe aux 2 gardes qui etaient postés à coté du box et leur dit:


Que l'on détache les prévenus pour que le compagnon de l'accusée Domy puisse la soutenir durant la lecture de l'accusation et qu'on leur apporte à boire immediatement.
Il ne sera pas dit que les justiciables sont maltraités dans mon tribunal. On est pas des chiens en Comté toulousain et nous agirons en Aristotélicien.

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Valere


Les gardes attendirent la confirmation de l'ordre par le prévôt Valere, l'exécution de celui-ci ne se ferait qu'avec son accord.Ils éprouvaient tellement de haine envers les accusés,qu'ils se plaisaient à les foires ainsi,mi à nu devant la foule.
Le prévôt les avaient briffer bien avant le procès.

Les accusés étaient certes blessés et souffraient grandement,malgré le fait qu'ils résistaient avec héroïsme à cette douleur infligée à leurs chairs.
L'homme,ne baissa même pas la tête,en odieux personnage qu'il était.

La femme elle, s'agrippait faiblement à son boxe,alors en grand sadique qu'est le prévôt avec ce genre d'individus malfaisant,il donna effectivement l'ordre à ses hommes de les sortir du boxe et de les déliés.

Mais ce n'était sans compté que Domy la femme, celle qu'il avait déjà blessée lors des violents affrontements qui eurent lieu,la laissant aux portes de la mort...Elle était prête à s'effondrer !

Tout deux furent alors liés à un poteau afin qu'ils ne tombèrent poins seuls....et cette exposition permettrais à la foule si elle n'était heureuse du jugement que sir Aldin de Thau rendrai,de se charger de la basse besogne plutôt que de l'exécuteur officiel.

Il connaissait comment était parfois respecter rendu la loi dans ce comté,et il ne tolérai pas un instant que ces assassins,puissent sans s'en tirer comme cela.

Il lança quelques mots au maitre du procès


Voyez... cette femme ne tient plus debout et cette homme ne mérite pas plus longtemps de manquer de respect envers cette cour,pour ne point baisser la teste.

La honte ne l'atteint point ?

Voilà comme on doit traiter ces âmes de démon !!!!


Il désigna alors les deux malfrats,entrain de se faire lié...les belles cordes tressée dans son échoppe, prenait toute leurs dimension.

Sauf votre respect ,que cela ne vous empêche point de faire votre loi,messir le juge.
Heimrich
Les accusés arrivent enfin dans la salle du procès. Ils semblaient déjà en piteux état, mais lorsqu’on les attacha à moitiés dévêtues à un poteau, le sang d’Heimrich ne fait qu’un tour… Il se redresse blême et interpelle les gardes du Prévôt

Il suffit !

S’adressant au Président il poursuit

Messire Président avec tout le respect que je vous dois, j’ai certes fait serment d’être Juré sur cette affaire, cependant bien avant cela j’ai fait un autre serment, celui d’Hippocrate. Nous sommes dans une cour de Justice alors qu’on ne condamne pas avant le jugement. En tant que Doyen de la Faculté de Médecine je vous demande donc de bien vouloir au nom du respect de la dignité humaine, au nom du respect de la Justice, au nom des valeurs que nous a enseigné Aristote, de désentraver les prévenus, de les couvrir, je trouve indécent d’ainsi les présenter à moitié nu. Je vous demande aussi l’autorisation de donner une potion a cette femme qui souffre, je ne voudrais pas que notre bourreau fasse son œuvre, s’il doit la faire, sur des moribonds… Je ne voudrais pas non plus que notre Comté passe pour des barbares. La justice soit, mais dignement…

Il attendit un peu tendu la réponse du Président, sachant qu’il pouvait s’attirer les foudres du procureur ou d’autres. Mais il se devait aussi à son devoir de médicastre, il en assumerait les conséquences…

Aldindethau


Aldin, avait regardé la colere du prévot et son ordre allant à l'encontre du sien. Biensur les gardes avait choisit l'ordre du Prévôt et avaient dévétus et attaché les accusés.

Prévôt, gardes, détachez les immediatement et qu'ils se rhabillent, il ne sera pas dit que nous sommes des barbares en provinces toulousaines. Nous devons respecter la dignité humaine dans ce tribunal!!

aldin devint rouge de rage de voir les gardes mettre peu d'entrain à exécuter son ordre, il fulmina:

Gardes, exécutez l'ordre sur le champs ou c'est 10 coups de fouet à chacun et je vous condamne à outrage à la Cours.

Surpris par la menace du juge, les gardes s'exécuterent prestement et laisserent les deux accusés côte à côte, avec les lambeaux d'etoffes qui couvraient leurs corps.
Puis se retournant vers le Juré Heimrich:

Juré, vous devez rester neutre et en aucun cas ne vous impliquer dans la santé des prévenus. Dans ce tribunal, c'est aux gardes que revient la charge de maintenir la santé des accusés. Donnez la potion à ce garde qui va leur administrer. Retournez à votre place. Le procés peut reprendre, Procureur, c'est à vous.

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Garriguette
Garri ne se sentait pas bien... la chaleur, la foule, les cris, toute cette haine qui transpirait dans ces yeux exorbités, ces bouches tordues... Perdue dans cet environnement inconnu et hostile, elle regarda l'accusée. Son visage gardait toute sa dignité malgré la souffrance endurée. Elle avait du mal à se tenir debout, ses mains étaient entravées. Un sentiment de honte envahit garri...Honte d'être là, honte d'assister impuissante à ce qui semblait devoir être une parodie de justice ! c'est alors que le sieur juge intervint


Citation:
Que l'on détache les prévenus pour que le compagnon de l'accusée Domy puisse la soutenir durant la lecture de l'accusation et qu'on leur apporte à boire immediatement.
Il ne sera pas dit que les justiciables sont maltraités dans mon tribunal. On est pas des chiens en Comté toulousain et nous agirons en Aristotélicien.


Ses paroles firent écho puisque l'un des jurés en appela également avec force éloquence, au respect de la dignité humaine, de la justice...valeurs qui animaient Garri depuis toujours et que nulle situation, nulle raison aussi valable qu'elle puisse être ne pourrait lui faire abandonner ! Les paroles prononcées par ces 2 hommes eurent pour effet immédiat de rassurer Garri et de lui permettre d'appréhender la suite avec plus de confiance... Elle regarda Eric, son visage était fermé et tendu, elle savait qu'en ces instants, il avait éprouvé la même révolte qu'elle !
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Domy11
"Voilà comme on doit traiter ces âmes de démon !!!!"

La voix lui parvint au milieu d'un brouillard nauséeux....

Tiens bon...Tiens bon....

Après la première intervention du juge elle avait cru un instant à un adoucissement de leur sort...
Si improbable que fut cette éventualité....
Mais elle y avait cru....

Et cet horrible personnage.....Le prévot.....Etait arrivé avec sa haine...Sa colère....Sa bouche tordue par les mots qu'une fanatique révolte convulsaient.....

Tiens bon....

Ils l'avaient saisie de leurs mains brutales....
Ils l'avaient traînée comme on traîne une bête à l'abattoir...
Ils l'avaient entravée sans considération aucune de ses blessures...
Ils en avaient même oublié qu'elle était un être humain...
Ils ne voyaient même plus qu'elle n'était qu'une femme...

Tiens bon.....


Au bord de l'évanouissement qu'elle était tentée de souhaiter tant sa douleur était grande,Domy faillit s'effondrer avant que les liens ne pénètrent ses chairs,la retenant contre le dur poteau contre lequel son misérable corps ne voulait plus tenir.

Tiens bon...

L'échange qui se fit entre le juge .....Le juré....Les gardes.....Elle n'en saisit point tout le sens,mettant tout ce qui lui restait de forces à respirer doucement...Par à coups....Cherchant seconde après seconde à juste vivre encore......

Tiens bon...

On la délia...
On la couvrit...

Une main charitable approcha un gobelet de ses lèvres exangues...

On lui laissa enfin la possibilité de se rapprocher de son époux...
Le sentir là..
Le sentir plus proche....
Le savoir prêt à la soutenir...
Elle but de cette potion qu'on lui accordait...
Elle frémit de honte sous les yeux de cette foule hostile...
Elle sentit la fièvre la faire trembler....

Tiens bon....

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Heimrich
Merci Messire Juge…

Heimrich fouille dans sa besace qu’il a toujours avec lui, prend un petit flacon, détache sa cape, et donne le tout au garde en lui murmurant

Qu’elle avale la totalité de la fiole et couvrez la avec ma cape…

Il retourne ensuite s’asseoir à sa place, attendant la suite du procès…
Keskiabis
Kes regarda, d’un air amusé, le juré qui se disait doyen de la faculté de médecine ….Celui là était encore plus pervers que le prévôt ……….Il ne voulait pas que le bourreau fasse son oeuvre sur des moribonds …….Encore un qui avait surement des accointances avec la Sainte Inquisition.

C’ était bien leur genre, torturer pour faire avouer n’ importe quoi, puis soigner une fois les aveux extorqués et en suite passer les malheureux au bucher, pour la plus grande joie des manants.

Ces paroles résonnaient dans sa tête " je ne voudrais pas que notre bourreau fasse son œuvre, s’il doit la faire, sur des moribonds "

Faudra se méfier de lui, sous ses airs de bon samaritain il pourrait bien faire pencher la balance de son coté, pensa t’il.
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