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[RP]Procès public de Domy11 et Fabrizio05 attaque d'Albi

Domy11
Elle reconnaissait bien là la douceur et la générosité de celle qui s'était si bien occupée à les soigner à l'hospitalet...Faisant fi de leur origine étrangère à la ville...N'écoutant que son coeur et son devoir pour leur apporter le réconfort dont ils avaient tant besoin.

Domy fixa Garri avec reconnaissance..
Bien sûr que certains changeaient....
Bien sûr que le doute était humain....

Mais soupçonner de trahison un homme tel que Fabrizio lui semblait si ridicule...Si aveugle...

La main de son époux enserrait la sienne ,et ce seul geste suffisait à lui redonner le courage nécessaire à attendre la suite qui serait donnée à leur affaire.
Elle sentait son courage revenir en même temps que la douleur se faisait moins obsédante.

Les esprits plus clairs,elle faisait abstraction des rumeurs haineuses qui pouvaient encore sporadiquement lui parvenir,concentrant toute son attention sur les propos des jurés ....Des témoins....Du juge....

Un espoir voulait s'installer en son esprit..
Cet espoir qui l'avait toujours guidée,qui lui avait toujours permis d'avancer...Coûte que coûte..
Il n'était pas possible que tous soient aveuglés à ce point..
La lumière allait se faire..
La vérité allait éclater....

Ils seraient enfin reconnus pour ce qu'ils étaient vraiment:
Un couple honorable qui avait fait l'énorme et impardonnable erreur de suivre le mauvais chemin avec les mauvaises personnes.....

Elle écouta avec attention ce que Maître Dheimet allait répondre à Garri.

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Heliorphee
La question de Dame Garriguette était pertinante, celle-ci relevait astucieuse une question d'autre psychologique. Il est vrai qu'une réponse possible au comportement de l'accusé pourrait venir de son passé et ainsi expliquer un tel acte. Pourtant si cela n'est pas avéré, qu'est ce qui aurait pu pousser un homme qui semble capable de sentiments humains, ainsi que de qualités à commettre des choses impardonnables devant Aristote....

Plus le procès suivait son cours, plus la turnure devenait aussi floue que passionnante.
Little_dheimet
Dhei avait entendu Donà Sofio... ravit qu'elle relata les faits tels qu'eux même les avaient présenté; Il n'avait aucune question à poser, malgré le ton et le style employé, tous savaient désormais que ses clients n'étaient que des victimes, et que s'ils avaient été mêlé à cette sombre affaire, cela relevait plus de l'erreur judiciaire que d'autre chose...

Garri demanda à s'exprimer, et posa une question qu'il attendait; à vrai dire, il l'aurait relevé lors de son réquisitoire; mais puisqu'un juré le demandait; l'av0cat qu'il était se devait de mettre les choses au clair...


Mesdames et Messieurs les jurés, votre Honneur, Messire Atornat,

la question soulevée par la juré Garriguette est essentielle... et à notre sens, il parait important que toute cette cours sache à qui elle a affaire, sache qui elle juge...

Avant tout propos, je voudrais commencer par répondre de façon directe à la juré...

Non Madame, avant ce jour, ni Messire Fabrizio, ni son épouse Domy, n'ont eu maille à partie avec la justice d'un quelconque territoire que ce soit; bien au contraire, ces fervents croyants ont au péril de leur vie tout fait pour défendre nos croyances...

Messire Fabrizio a commencé a commencé comme aspirant à la Garde Épiscopale, devenant tour après tour, Lieutenant puis Capitaine, puis aspirant Vidame et enfin Vidame; il fut en outre décoré pour ses états de service. Je tiens à noter qu'il a reçu un blason suite à la croisade de Genève contre les Lions de Judas. Il a été nommé Maitre d'Armes pour son parcours exemplaire.
Je terminerais la marque de considération qui le caractérise le plus.... c'est bien sur celle de Gouverneur Épiscopale du sanctuaire; titre décerné par le Cardinal Aaron.


Dhei marqua une courte pose, puis repris, et regardant Domy en face, qui semblait se sentir mieux...


Quant à Donà Domy, cette femme courageuse, elle a été bourgmestre de Dunkerque... mais aussi Diaconesse.

Et cet amour pour le Très Haut et la préservation de la foi, leur a valu de célébrer un mariage qui est resté dans les anales, car béni par deux Archevêques de renom que sont Monseigneur Bigornea et Monseigneur Polteau....

Voilà Mesdames et Messieurs, Votre Honneur, les personnes que nous jugeons ce soir.

Maintenant, ce qu'on voudrait nous dire, ce serait que le sans nom se serait emparé de leur âmes, au point de leur donner envie de ...

... piller une ville?

Non, il n'en est rien, il y a eu une profonde méprise, et ayant foi en notre justice, je demeure convaincu que force reviendra à la loi.


Il terminait en se dirigeant vers son siège.... puis se rassis, en attendant une éventuelle réaction...
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{Pour toi, avec toi... pour l'éternité. Dans mon cœur tu demeures à jamais, reposes en paix}
Aldindethau


Le Juge Aldin avait laissé le temps de la plaidoirie de la défense et à la fin de celui ci, il s'adressa au greffier:

La plaidoirie de la defense etant terminée, j'appelle à la barre le deuxieme et dernier témoin de la défense messire le médicastre Eric.mrk.

C'est a vous la parole.


Aldin montra la barre au temoin et regarda les réactions de la foule.

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--Jules_le_paysan




Le paysan était en train d’émerger du coup de gourdin qu'un garde lui avait sournoisement administré. Celui la, il perdrait rien pour attendre, il le connaissait bien c'était le neveu de Frénégonde, la vielle sorcière au village. Echappant à la vigilance du garde il se leva et hurla de toute ses forces avec l'énergie de l'ivrogne et de la bêtise,

Vindiou, à les écouter bientôt va falloir leur remettre des médailles à ces vide goussets, ces tire-bourses, que le bourreau leur coupe les mains et leur brule la langue, le sans nom parle à travers leur bouche, donner moi une couillasse pour les occire comme il faut. A moi, venez tous !! On va s'occuper d'eux

dit-il d'une voix véhémente, la bave aux lèvres.

Un groupuscule dans la foule s'agita et plusieurs voix criaient,

Allons y, prenez la corde, qu'on les pende au gibet!!!

Une autre voix de femme

C'est de la vermine !!! Il faut les exterminer!!!

Le juge s'était levé et hurlait:

Silence, silence ou je fais évacuer la salle, gardes, exécuteur, veuillez ramener le calme dans cette salle !!!
Momose


Le procureur était assis là, au milieu de tout cela, se jouant devant lui la scène d'un quotidien bien triste, la foule était aux aguets de la moindre erreur de la justice ou de l'accusé les gens se bousculer et n'avaient guère peur de la justice et que telle comportement devant la cour était un outrage, il écouta l'avocat de la défense suite à la lecture de la lettre du témoin des douane, qui il le savait bien, aller miser sur cette pièce pour mener leur défense et n'étais pas surpris. Il écouta l'avocat et se dit que l'avocat de la défense est habille, mais un peu trop sur de lui et qu'il voulait éviter les sujets qui fâchent, il prêta l'oreille, une fois la plaidoirie terminer, il vit entrée le témoin de la défense, il la regarda repensant aux quelques mots qu'elle lui avait écrit, il l'écouta attentivement ne baissant pas le regard et une fois que le témoins eu terminer, il se mit à réfléchir et prit quelques notes. Un juré avait une question a posé à la défense, le juge accepta la requête et le juré s'exécuta, il l'écouta, puis l'avocat de la défense prit la parole, une fois terminé le juge demanda qu'on fasse entre le second témoin, le procureur un peu surpris se leva ...


Votre honneur, l'accusation aurai des questions à poser au témoin, merci

Attendit la réponse du juge...
Iurek
Iurek se retourna sur les cris du paysan qu'on avait dejà éjecté une première fois . Il entendit :

"Vindiou, à les écouter bientôt va falloir leur remettre des médailles à ces vide goussets..."

Et eut un sourire noir . Signe de tête aux autres gardes, qui mirent qui la main à l'épée, qui la main à la lance, et dégagèrent un espace entre le jury, les accusés, le juge et tous les officiels, et le peuple. Le temps pour Iurek d'apercevoir les fouteu... les emmer... les agitateurs, et de s'approcher du groupe en bousculant la populace, d'autres gardes sur les talons.

Attrapant par le col un paysan, il fut frappé par l'haleine solidement avinée du personnage, l'œil fanatisé, le côté sauvage de l'engagement... Bref, par le fait que l'homme avait l'alcool mauvais, et s'arrangeait pour le faire savoir à tout le monde. Il lui adressa un sourire carnassier, et lui envoya un violent coup de tête, non sans cesser de le tenir. Puis, aux gardes :


"Mettez moi celui là au frais, le temps qu'il reprenne ses esprits. Disons, une bonne nuit. Le prochain qui moufte, je le pend personnellement à un arbre la tête en bas, le temps que ma fantaisie jugera nécessaire."

Il lacha le paysan groggy, qui fut ramassé par deux gardes.
Les autres gardes firent refluer les agitateurs, les repoussant fermement à l'extérieur, avec force coups de hampe de lance, de plat d'épée. Le jugement pourrait reprendre. Dans le calme. Il y veillerait.

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" Jamais d'aultres armes nous prendrons que celles que nous élizons,
Et nous disons pour réconfort nous voulons la liberté ou la mort. "
Eric.mrk
Appelé par le Juge, Eric Aymercah s'avança...

Honorables Juges, Jurès, Procure et avocat, me voici devant vous...

Je suis albigeois et médicastre, responsable de l'Hospitalet d'Albi, lieu de soins ouvert à tous. Je n'ai qu'une déclaration personnelle et professionnelle à faire au sujet des accusés ici présent: j'ai été mandé par Jalna, maire d'Albi, de me porter au secours des blessés et mourants, sans distinction de bord, suite à la tentative d'invasion d'Albi par l'armée des Oies Sauvages. J'ai été sur le champ de bataille et j'ai soigné et ramené en l'Hospitalet tous les blessés trouvés là... Je n'ai pas connaissances directes et personnelles des accusés antécédentes à ce moment !

Ils sont subi de graves blessures dues a la bataille et je ne saurais dire s'ils ont été victimes ou participants actifs...

Je suis néanmoins prêt a répondre aux questions qui me seront posés par cette honorable assemblée, dans la mesure de mes moyens et connaissances.


Il inclina la tète, attendant les questions...
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Vous aimez la Nature et aider votre prochain ? Rejoignez La Guilde des Herboristes !
Aldindethau


Aldin qui avait beaucoup de mal à ramener le calme, fulminait contre les appels au lynchage du peuple.

Quand il vit le procureur réclamer la parole, il laissa terminer le temoignage de messire Eric.mrk


Excusez moi Maître Momose, a vous la parole, vous en profiterez pour posez les questions aux 2 temoins.

Greffier !! respectez et faites respectez la procédure, dit il durement

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--Rouquin
S'il avait voulu passer inaperçu...Avec sa tignasse poil de carotte..C'était loupé...
Il avait l'impression que tout le monde le regardait et son teint déjà rose d'origine était en train de virer au rouge brique lorsqu'il parvint enfin jusqu'au greffier pour lui donner la lettre qu'on lui avait confié quelques jours auparavant.

L'exécuteur l'avait accompagné jusqu'à la tribune où siégeait je juge et tous les yeux étaient braqués sur lui..
Il n'en menait pas large et c'est d'une main tremblante qu'il tendit le parchemin que la mère supérieure lui avait donné.

"Humppf....Mess...Maî....Monseign.....Heu....J'ai un pli.....humpf...S'you plait...Faut l'donner à Dame Domy ou Messire Fabrizio qu'elle m'a dit la mère....Moi j'vous l'donne hein..."
Il s'étrangla à moitié et se tut en transmettant le plis avec soulagement.

Ouf...au moins il avait fait ce qu'on attendait de lui..il n'avait plus qu'une envie...S'éloigner de là le plus vite possible...
Aldindethau


Aldin vit venir au pretoire un gamin roux avec plein de taches de rousseur sur le visage. Un gamin dans cette assemblée ou la tension est à son comble etait un peu surrealiste. Il tendit un pli au greffier qu'il fit passer au juge. Apres avoir brisé le sceau de cire, il l'a parcouru et la rendit au greffier.
C'est une lettre destinée aux accusés, souhaitez vous que nous en faisions lecture devant le Jury??

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Little_dheimet
Un jeune rouquin à la coiffe qui faisait plutôt penser à une carotte, s'avança dans la salle, avec moult difficulté pour se frayer un passage... il réussit néanmoins à arriver après accord de la garde, à arriver devant le juge. Il semblait être porteur d'un message; ceci ce confirma lorsque le juge, après en avoir pris connaissance informa l'assistance qu'il s'agissait d'une lettre privée adressée à l'un ou l'autre des prévenus.

Petite consultation, et l'avocat autorisa le juge à lire en public la lettre. En pareil circonstance, mieux valait jouer la carte de la transparence, pour montrer à tous qu'ils n'avaient absolument rien à cacher. Toute autre réaction aurait pu susciter des commentaires déplacés ou une interprétation fallacieuse.

Ils s'apprêtèrent donc à attendre ce qui serait lu.... sans trop savoir ce qu'ils entendraient...

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{Pour toi, avec toi... pour l'éternité. Dans mon cœur tu demeures à jamais, reposes en paix}
--Greffier_de_justice


L'avocat ayant donné l'accord, le greffier ouvrit le pli et lu à haute voix:

C'est un message comportant une signature de l'EA:


Citation:
Couvent des Clarisses

Millau

Le 4 Novembre de l'An de Grâce 1457.



Message à faire parvenir à Dame Domy d'Alaric ou à son époux Messire Fabrizio de la part de la mère supérieure des Clarisses,Mère Brunehaut des sept douleurs.

Nous avons eu vent d'évènements se déroulant sur Albi et ,n'ayant point de nouvelles de vous depuis votre passage à Lodève,nous avons craint pour vos existences.
Les renseignements que nous avons fait prendre ont hélas confirmé nos craintes lorsqu'on nous a appris que vous étiez tous deux en l'Hospitalet d'Albi.

Pourrez vous avoir possibilité de lire cette lettre ou quelqu'un sera-t-il assez charitable pour vous en faire connaître le contenu?
Je ne le sais mais je prie le ciel que la réponse soit "oui".

Sachez que nos soeurs prient pour vous chaque jour avec ferveur...Pour votre guérison bien sûr,mais surtout pour que vous puissiez retrouver très vite votre petit Enguerand qui fait la joie de notre communauté.
Il a grandi...Il est beau comme un coeur...Et ses babillements résonnent dans nos trop silencieux corridors,animant notre vie monacale et emplissant de joie l'existence de nos soeurs.

Mais ,malgré la peine que nous aurons lorsqu'il nous quittera,notre voeu le plus cher est de le voir retrouver sa famille et l'amour de ses chers parents.
Nos soeurs lui parlent de vous chaque jour afin qu'il ne vous oublie pas et que votre image reste bien ancrée en lui.


Nous attendrons que ce messager revienne....En espérant qu'il nous apporte,par la grâce du Très Haut,des nouvelles rassurantes.


Nos prières vous accompagnent dans les épreuves que vous traversez...

Qu'aristote vous ait en sa sainte garde...

Mère Brunehaut des sept douleurs, supérieure du couvent des Clarisses,

Le 4 Novembre de l'An de Grace 1457.


Le Juge fit signe au procureur à la fin de la lecture:

Cette missive ne concerne en rien ce procés, Messer l'Atornat vous pouvez poursuivre.




Garriguette
Garri écouta la lecture de la lettre....certes, le juge avait raison....Il n'en demeurait pas moins qu'un enfant attendait sa mère et qu'à cette pensée, le coeur de Garri se serra...
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Momose



Ayant vu que sa question précédente a été évité par la défense. Le greffier commença à lire le courrier envoyer aux accusés, il l'écouta et comprit bien des choses sur la façon dont la défense a de montrer les accusés... le juge lui fit signe de poursuivre .... se leva et regarda les jurés ...

Mesdames et Messieurs les jurés, la défense tant à nous présenter les faits comme une simple erreur ou une méprise de la part des instances judiciaires et que leur clients par leur parcours ne pouvaient pas commettre de telles acte.

recule de deux pas.

Donc si je me mets à votre place en tant que juré, comme vous demande la défense de le faire pour les accusés, je dois comprendre que les accusés parce qu'ils n'ont pas d'antécédent judiciaire et parce qu'ils ont de bons états de service, ils ne peuvent pas commettre d'acte répréhensible, permettez-moi d'en douter et d'apporter un fait, la plupart des infractions relever par la maréchaussée, montre que l'auteur des faits n'avait pas d'antécédent et je laisse à la défense le soins de débattre à ce sujet


regarde les jurés

Car oui mesdames et messieurs les jurés, la défense tant à vous mener vers le terrain de la pitié envers les accusés et du miroir de soi en vous demandant de vous mettre à leur place, vous ne pouvez pas vous mettre à la place de quelqu'un, votre rôle est unique et vous ne pouvez comprendre les agissements de chaque personne, car il y a des facteurs comme la colère, la jalousie, la cupidité, la haine qui font que telle ou telle personne agit, ensuite j'en reviens aux accusés qui clament leur innocence dans cette affaire, messire Fabrizio et dame Domy s'obstinent à nous dire, ainsi que la défense qui parle du sang nom qui aurait poussé les accusés à commettre telles actes, ma fois je me dis que ces personnes n'ont pas bien compris ou peut être tous simplement n'ont pas envie de comprendre les actes qu'ils leur sont reprochés.

reprend son souffle et prend une voix calme ...

Non Mesdames et Messieurs les juré nous devons comprendre, ainsi que la défense, qu'aujourd'hui la cour de Tolosa juge des faits et non des états de service et que vous devez garder en tête que les accusés ici présent sont accusés de trahison par leur participation à l'attaque des oies sauvages contre la mairie d'Albi, donc se rendant complice par la même occasion, oui je dis bien attaque

se tourne vers la défense

oui une attaque, depuis le départ les accusés et la défense nous montre les albigeois comme des agresseurs et qu'ils ont subi l'assaut de personnes sauvages et dénue de bons sens et en faisant passé nos braves défenseurs pour des mercenaires, des hors la loi, mais en fait non grâce à eux la mairie d'Abli a pu éviter le pire ...

se tourne vers les jurés ...

Nos défenseurs ont bien subi une attaque, actuellement dans le comté du limousin et de la marche se tient le procès du meneur des oies sauvages.

se tourne vers le témion Sofio

le témoin pourra vous le confirmer

se tourne vers les jurés

le meneur qui se nomme Lelmax est accusé de trahison, lors de ce procès l'accusé, a reconnu les faits et a fait des aveux clairs et précis sur ses intentions, qui était bien le pillage de la mairie d'Albi, donc je vous demanderai de bien prendre ses éléments en compte, les défenseurs d'Albi ont bien subi une attaque, lancé par le meneur de l'armée des oies sauvages et que les accusés par leur présence dans cette armée se sont rendus complice de cet acte, que l'accusé Fabrizio nous dit que c'est par négligence, je lui demanderai d'assumer son acte et les conséquences de sa négligence, qui aujourd'hui nous montre bien ce qui se serait passé si les défenseurs n'auraient pas été là.

se tourne vers le témoin Sofio, qui dans ses paroles, on pouvait sentir de l'arrogance et du mépris contre la justice, car il a pu voir lors du procès du limousin, qu'elle tenait à cet homme.

dame Sofio j'aurai deux questions à vous poser,

Étiez-vous au courant des intentions du meneur ?

Qu'elles sont vos relations avec messire Lelmax ?


la regard dans les yeux...

N'oublier que vous avez prêté serment et jurer de dire la vérité

Alla s'asseoir en attendant la réponse du témoin et n'ayant pas de question a posé au second témoin...
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