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[RP] DE L'AUTRE CÔTÉ DU MIROIR...

Coyotte
Coyotte ouvrit le recueil. Il avait eu une légère inspiration, et tenait à écrire.

Elle ne m'a peut être pas donné la vie
Mais c'est exactement comme si.

Dès que je l'ai rencontrée,
Je dois l'avouer
Je l'ai appréciée.
Bavardant avec les autres habitants
Toujours aimablement
Personne ne peut avouer
Ne pas l'aimer !

Rien ne pourra m'empêcher de l'apprécier
Même si quelqu'un venait à me tuer
Jamais ! Jamais je ne cesserai de l'aimer
Elle, ma mère, Sché


Pour ma mère, que j'aime plus que tout au monde

Il ferma délicatement le recueil et partit.
_________________


La femme est l'instrument qu'emploie le diable pour posséder nos âmes...
Kingcesarus
King rends visite à Schéhérazade, âpres avoir bu le thé ensemble, elle s’absente quelque instant en laissant King seul, il jette un coup d’œil autour de lui quand son regard est attiré par une voix prévenant du miroir, il s’avance de plus prés, et son regard se pose sur ce livre étranger, il l'ouvre en feuilleton quelque page puis, il prend une plume et par delà ses penses, il écrit ….

Comme la plus lumineuse des étoiles,
Tu brille dans mon cœur,
En illuminant mon bonheur,
Tu hypnotise mon regard,
Par un sourire ensorcelant,
Tu attire mes penses,
En fascinant mon amour, à ton égard.

Comme la pluie qui ne cesse de pleure,
Je m’attriste de ne plus te voir,
Tel un jeune enfant qui aime sa mère,
J’ai tant besoin de ton amour, dans mon regard.

Comme un soleil qui est né pour briller,
Tu éclaire mes journées,
Aucun nuage ne peut te cacher,
Je t'aimerai pour l'éternité.

Comme cette plume que je tiens dans ma main,
Tu m’inspires cet éloge,
Et avec bien sur,
La plus belle écriture.

Comme la plus gentille reine,
Belle et douce, toi ma marraine,
Je veux te remercier pour tout,
Et que tu vois ça m'a rendu ému.


Apres avoir fini, il ferme le livre et s'en est allé comme il est venu
Puce019
Puce entra dans le bureau pour souhaiter convnablement l'anniversaire de sa soeur, pris sa plume et commença

Je vient te souhaiter un joyeux anniversaire
Avec toi je viens partager
Ce moment si cher
Je désire que pour toi la vie soit toujour Rose

Ce voeux émane du fond de mon coeur
Tu mérites beaucoup pour moi tu es la Meilleure
Mon amitié pour toi veritable
Il n'est ni éphémère, ni imaginaire
Je viens te souhaiter le plus beau des anniversaire
En te le souhaitant de la meilleur manière


Sur ses mots , Puce déposa un jolie paquet sur le coin du bureau, ce paquet contient un très jolie bracelet égyptien qui fût porter par une reine, rien de mieux pour sa soeur


pnj


Marylou errant dans les rues de Bourbon, s'arreta devant le bureau , ouvrit le recueil, lu de très jolis poèmes, elle prit la plume et commença a ecrire...




Libre de penser, de rire et d'aimer
Profiter des secondes de bonheur
De paix, de joie et savoir décider
Sans aucune crainte , ni peur

Savoir dire non, oser, choisir,
Construire, entreprendre, bâtir

Il suffit de peu de chose
Un peu de courage si j'ose
La vie n'est pas toujours facile
Mais il suffit de redresser la tête,

D'affronter certaines adversités
Avec beaucoup de sincérité
Suivre son coeur, ses pensées,
ses choix, ses propres idées

C'est alors et seulement ainsi
Que l'on devient acteur de sa vie

Il faut dans la vie savoir aussi
Tendre la main a celui qui en a besoin
Sans esperer un retour....rien




Elle referma le livre délicatement et sortit ......
Scheherazade
Juste pour se faire patienter, juste pour ne pas désespèrer...
Juste pour se sentir aimer, juste par envie d' écrire aussi...
Essuyant quelques larmes la bédouine, ajouta ses mots, submergée d'amour pour son époux dont la retraite devenait de plus en plus difficile à supporter...



Déclaration d'un papillon




Je t'ai aimé, toujours je t'aime
Tu es, tu seras, tu resteras, ma joie... mon poème
Mon illusion... mon bourreau
Ma destinée, mon rêve le plus beau.
Ma petite folie, mon paradis…
je suis le taureau et toi le matador
même dans l'attente ou les pire tortures, je t'adore...
Tu es aussi mon enfer, le diable de mes nuits…
Ma pire déchirure, mon plus long soupir,
Ton abandon est ma terreur, vivre sans toi ma pire douleur
Mais tu es aussi, et de cela, merci ! Mon plus délicieux sourire…
Mon souffle de vie, mon visage qui rougit,
Mon coeur qui bat et ma bouche qui gémit...


Doucement, elle ferma le grimoire ... Remit sa belle plume de Paon dans son encrier et sourit ... Se leva, il était temps de rejoindre les autres...
_________________
Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Scheherazade
Schéhérazade avait enfin finit le poème promis à Puce et à King, cet hymne à l'amitié avait pris naissance, il est vrai, en lisant les poèmes de ces deux là. Sa petite soeurette de coeur et son fillot qui confondait toujours les fenêtres et les portes, jusqu'au jour où...
Mais beaucoup d'autres à qui elle avait penser en l'écrivant étaient venus l'étoffer.
Elle nota simplement ceci à l'avant du poème :


"MERCI à tous ceux qui viennent lire nos écrits et ajouter gracieusement les leurs..."


Tambours et Derboukas

Ô mes amis…
Quand je pense à vous,
Mon cœur chante et se réjouit
Le sourire éblouissant, je ferme mes yeux et je tends l’oreille
Aux souvenirs délicieux, en moi, qui se réveillent…
M’offrant des images pleines de beautés et de merveilles

J’entends les tambours de l’amitié en moi résonnés,
Comme naguère lors des festivités,
Qu’ils sont joyeux ces tambourins
Toujours premier témoin bruyant d’allégresse
Même frappés à coups de bâtons fins,
De doigts baladins ou par des mains…
Ils restent enjoués, malgré tout, entraînant, distribuant leurs présents
Musique magique, langage ethnique, parabole symbolique

Annonciateurs de joies et de festivités, accompagnés de rires sucrés et dorés;
De youyous ensoleillés, sortis des bouches de bédouines aux vêtements colorés
Paradant avec tous leurs bijoux d’or et d’argent
Djinnia adoratrices du serpent, les hanches en transe,
Exécutant la danse de la fraternité, toute la nuit sous le Ciel étoilé…



Tambour ou Darbouka, c’est pareil pour moi, c’est le cœur extérieur de la joie…
Ils rythment la vie aux sons les plus endiablés et entraînent les hommes sur leur passages
Je ferme les yeux et je vois encore les enfants courir à travers les dunes,
Enchantées d’entendre cette musique pleine de liesse et de fortune….
Je me souviens encore des mélopées aux sons rauques susurrées
Je respire même l’odeur qu’exhalait le thé en se versant dans les timbales de fer forgé
Quand je vous retrouve mes amis, c’est tout cela que vous représenter pour moi…
Pour ce que vous êtes, et parce que vous êtes mes amis, je vous dis du fond du cœur
MERCI…

_________________
Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Puce019
Puce se promenant dans bourbon avec une humeur noire, entra dans le bureau de sa soeur n'y voyant personne , elle ouvrit le livre est se mise à écrire

Apocalypse

Une lueur étrange, venue de nulle part
Flotte sur les décombres qui s'étendent partout
Sur le monde détruit.

Et, aussi loin que puisse embrasser le regard,
On ne voit que pierrailles qui ont recouvert tout.
Toute vie a péri.

Pas un son, pas un bruit, pas un halètement
Connu de l'être humain avant le cataclysme
Ne peut se percevoir.

Vision de cauchemar, spectacle hallucinant !
Les terres éventrées ont déformé les isthmes,
Ouvert des entonnoirs.

Les volcans réveillés crachent de la fumée ;
La lave rougeoyante se répand sur leurs flancs.
Le soleil est caché.

Le vent soudain furieux entasse les nuées
Assombrissant encore cet aspect désolant
Du monde ravagé.

La tempête rugit, le feu tombe du ciel ;
La terre et les nuages semblent ne faire qu'un bloc.
Vision dantesque !

Des cataractes d'eau, déluge torrentiel
Inondent les vallées en submergeant les rocs.
En les brisant presque.

Le monde est revenu au temps de la Genèse
Tel qu'il était avant, un magma primitif,
Un chaudron infernal.

Au moment où les dieux créaient cette fournaise
Ce bourbier qui resta constamment agressif
Et toujours asocial.

Qui était donc celui, pris soudain d'hystérie
Qui avait le premier, sur le fatal levier,
Osé poser le doigt ?

Mais n'étions-nous pas tous atteints par la folie ?
N'avions-nous pas confié aux apprentis sorciers
Un peu de notre foi ?

Nous leur avions donné de quoi construire la bombe
Qui, soi-disant, devait nous garantir la paix
Et pacifier la terre !

Et le résultat fut cette immense hécatombe
Où les «civilisés », leur terre transformaient
En vaste cimetière !




Puce , une fois fini se mise a sourire (étrange) puis elle repartit la gaité sur son visage
Leylalil
Comme à son habitude, Ley furetait d'un bureau à l'autre et le récit de Puce la laissa songeuse.
Elle le relut à plusieurs reprises et se souvint d'un cauchemar qu'elle avait fait quelques années plus tôt et qui , à chaque fois qu'elle l'évoquait la mettait mal à l'aise

Avec un sourire en coin elle décida de noter ce sombre rêve à la suite de l'obscure rage de Puce.

Après tout il s'agissait de l'autre côté du miroir et de l'autre côté parfois, il y avait des choses bien noires...


"Hum... conjurons le sort par les mots..."


Cours, cours,
Ils te rattraperont toujours.
Il fait nuit.
Il fait noir.
Ecoute : les voilà ils arrivent!
Surtout ne regarde pas derrière!

Cela faisait longtemps qu’ils t'attendaient.
Les sans noms, les sans visages.
Ils t'ont choisi.

Aucune aide, aucun répit
L’oubli pourrit le cœur des hommes
Et ce monde est désespoir

Cours, cours !
Dans les forets ou les déserts,
Parmi les ombres et les vipères,
Ils sont là tout près.
Ils te suivent à la trace.
Sens-tu leurs mains de glace qui se referment sur ta gorge ?

Pourquoi hurler ? Et pour quoi faire ?
Ils ont lié le silence dans tes veines
Et personne n'entendra jamais tes cris!

Cours, cours ne t’arrête pas !
Laisse les encore jouer avec toi

Cours, cours
Jusqu’à tomber!
Ils seront toujours là
Pour te ramasser
Résigne-toi
Laisse-les t'emmener...
En bas, tout en bas…


Ley sortit sans se relire ni se retourner, elle avait déjà d'autres choses à penser
_________________
Tita201
Tita aimant venir lire ces poèmes,elle ne pu s'empecher d'en ajouter un,bien qu'étant totalement débutante dans ce domaine

Reves
Je ne sais pas quoi écrire...
Laissons glisser ma plume sur le papier
Laissons les rêves m'emporter
je sais qu'un jour je trouverais
Je sais qu'un jour je reviendrais

De fil en aiguille,
De rêves en cauchemar pleins de guenilles,
Un lien se tisse,puissant et sombre
Entre la lumière et l'ombre


Je repars en monde réel,
Dans ce monde magique j'aurais voulus rester
J'aurai voulu y demeurer
Si il existe une échapatoire,laquelle?

Revenu à la réalité,
Ma plume glisse sur le papier
Et ce poème achevé,
Est la stricte réalité.

Tita /¤/


Tita relut une dernière fois ces vers,et les remarqua qu'elle avait rajouté un petit pictogramme,

bah,pas grave!

Elle s'en alla,courant et volant dans l'air.

_________________


chez moi :> http://parcelle-159-bourbon.xooit.fr/index.php
Puce019
Après un longue marche du côter du cimetière , Puce entra ouvrit le livre et survola les poèmes, puis elle tomba sur celui de Leylalil et pense "humm intéressent"
Puce pris sa plume est se mise à écrire


Tentation

Dans l'obscurité des abysses de l'éther,
Ton âme en un souffle, en fumée, s'évapore,
Parfumant mon air de l'essence de la Mort,
O Senteur nauséabonde! O Sorcière !

En ce néant de l'au-delà, tu es fier,
Tu ris face à ton propre et morbide sort,
Heureux d'avoir fait couler le sang de ton corps,
A ton passage sur Terre, si éphémère.

Moi, dans ma fragilité, sans toi, je me perds,
Du poison, je me verse en dizaine de verres,
Comme je suis pitoyable en cette misère !

Oh, moi aussi, je suis attirée par la Mort,
Mais, je ne veux lui succomber, non, pas encore,
Mon coeur, face à la tentation, sera fort.


Puce reposa la plume est sourit encore une fois et s'en alla sans se retourné
Antechristsuperstar
De retour à Bourbon, le jeune père se demandait comment il allait pouvoir surprendre son Aimée... Une idée lui vint en tête, une petite boutade en accord avec une de leurs plaisanteries habituelles...

La Petite Pointue
S'en va dans la campagne
Toute émue
Poursuit son chemin
Cherche l'engin
De chair et de ferraille
Mouille et se déplie
Sous sa main

Il est beau
Quand le désir l'enflamme
En couchant
En plein champs

Les chapeaux
Des paysannes
Ondulent sous le vent
Elles crient
Parfois jusqu'à l'unisson
En rêvant d'un tel amant

Le muscle est déjà gorgé
As-tu trouvé la clé ?
Cette année le forgeron a fait
Une belle ceinture fermée

Petite Pointue
Où t'en vas-tu?
Poitrine de la mort
Mais que fais-tu?
Le referas-tu encore?

Personne ne sait ce qu'elle lui fait
Personne ne croit
Il faut qu'il voie
Mais Marc et Robert sont quand même là

La Petite Pointue
Dans la campagne
Et les bazouls ?
La Petite Pointue
Dans la montagne
Ton Anté, ton amant
Petite Pointue
Conduis-le aux flammes
En plein champs

La Petite Pointue
Allongée dans la campagne
Des va et vient
Sur son chemin
Serpentin de chair, de ferraille
Dur et blanc
Dans la planque

Reverra-t-on
Une autre fois
Passer la Petite Pointue
Si connue ?
C'est pas moi qui répondrai

Personne ne sait
Ce qu'elle lui fait
Personne ne croit
Il faut qu'il voit
Mais moi je suis quand même là

Petite Pointue
Où t'en vas-tu?
Petite mort
Mais que fais-tu?
Le referas-tu encore?

Reverra-t-on une autre fois
Passer des amants comme ceux-là ?
C'est pas toi qui répondra.
Scheherazade
Son époux avait pousser le jeu plus loin cette fois, lui demandant une surenchère au poème . Schéhérazade possédait le même humour que son mari, décalé et fou, et c'est avec joie qu'elle vint déposer à son tour sur le cahier , ces quelques rimes un peu folles mais toujours drôles...


1ère Version

La petite dodue
S'en va dans la campagne
Va et vient sur le grand serpentin
Embrassant son diablotin , faisant de sa chair
Bombance et ripaille ...
Toute mouillée, gémis sous la pluie

Qu’ il est beau le diablotin
Quand le désir l'enflamme
Se couchant près de sa dodue
Ils combattent à travers champs

Faisant volés les chapeaux
Des paysannes ...
Elles envient tous leurs cris
Parfois même jusqu'aux larmes
Rêvant ,elles aussi d’avoir un tel amant!

L'amour est déjà germée
Anté as-tu rentré l’endiablé?
Cette année, à moi tu l’as fait
Encore et encore,
Avec toujours plus de bienfaits.

Mon grand Anté
Où t'en vas-tu?
Engin de la mort
Mais que fais-tu?
Le referas-tu encore?

Personne ne sait ce qu’il fait
Personne ne croit
Il faut qu'on le voit
Mais moi je suis quand même là

Le petit train
Dans la campagne
On obtient des enfants?
Les petits trains
Dans la montagne
Et hop on devient des grands-parents
Petit train
Conduis-moi aux flammes
A travers champs, par delà les montagnes

Le petit train , adorable diablotin
S'en va dans la campagne
Va et vient
Poursuit son chemin
Serpentin de chair, de ferrailles
blanc au yeux gris
M’envoûte sous la pluie

Reverra-t-on
Une autre fois
Passer des amants
Comme ces deux là?
Ce n'est pas moi qui répondra

Personne ne sait
Ce que l’on fait
Personne ne le croit
Pourtant Il faut qu'ils le voient
Et nous nous sommes toujours là

Petit diable
Où t'en vas-tu?
Engin de la mort
Mais que fais-tu?
Te reverrais –je encore?

Reviens moi
Car moi je ne veux que toi
Mon grand serpentin de bois?
Je t’attendrais , je serais toujours là
Et la petite mort à nouveau tu me donneras…





Parce que je t'aime mon amour et que je veux te prouver que je t'ai battu ! Oui! Deux versions pour le prix d'une...

2ème Version:

Le diable ce matin, m’ a prit par la main
Moi la petite dodue perdue au loin,
Enivrée de caresses et de champagne
Il m’allongea dans l’herbe verte de la campagne
Glissant avec appétit sa langue sur mes bouts pointus
Avec ardeur je suis devenue sa compagne
Rassasié, heureux et repu,
En riant, je lui disais: "Grand fou ! mais que fais –tu ?
Il me répondit : " Rien ! Ma petite dodue, je joue au petit train,
au grand serpentin, de ta chair tendre et dodue, je ferais ripaille… »
De ses crocs il mordit mes bazouls
Et aussitôt , il devint maboul
Le géant malin me quitta au petit matin
On l'a vu filer vers la montagne
Tchi tchi fou tchi tchi fou
De ses grandes jambes, tape dans ses mains
Le cœur et les braies pleins d'entrains...

Dans les prés, il y a toujours des tâches
Restes humides et blanchâtres
De leurs ébats passionnés...
Ce p'tit diablotin embrasse avec panache
Tchi tchi fou tchi tchi fou
De son nez et de son serpentin
Recrache de la fumée grisâtre...

Le beau derrière agite son drapeau rouge
Pour dire bon voyage au beau mécano
Mais dans la campagne, les voyageurs du plaisir
S'amusent et butinent, vivants à fond leur désir.

Le diable malin qui veut croire aux miracles
Me laisse les sens en pleine débâcle
L'air de rien s'en va en sifflotant
Et les jouvenceaux admirant le spectacle
Tchi tchi fou tchi tchi fou
Sont contents...

Hélas, il y a des gens qui trouvent que c'est exagéré
De donner tant d'amour à une petite dodue toujours gaie
malgré leurs dédain , mère dodue tout en remuant son popotin
Va se promener...

Il revoit les champs et les rivières
Et les voies qui sentent bon l'été
Il revoit toutes les humbles chaumières
Tchi tchi fou tchi tchi fou
Dans les près...

Le serpentin ralentit près de la jolie dodue
Et le mécano la salue de la main
Elle voit le feu rouge dans les yeux de son adorable tortionnaire
Qui s'éloigne doucement et se perd dans le lointain...

Le serpentin a perdu la bataille
C'est la fin des belles coquineries
De sa belle mort
Il s'en va vers le paradis
et mère dodue aussi,
C'est fini...

Mais plus tard, lassés des grands voyages
Nous penserons souvent au petit train
Qui flânait parmi les verts bocages
Secouant le popotin de sa belle en nage
Tchi tchi fou tchi tchi fou tchiiiiiiiiiii


Satisfaite d'elle, elle retourna vers les siens, un petit sourire aux lèvres flottant sur son visage...
_________________
Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Antechristsuperstar
Refusant la défaite, il relance le défit avec une nouvelle histoire...


Sché, Sché, Sché,
Oh ! ............
Langue salée salie
Baladée .........
J'aime encore plus
Au ralenti................
Oh !
Sché, Sché, Sché
Oh ! ....................
Affolé affolant
Je glisse comme un gant
Pas de limite............
Reste comme ça je continue en mordant
Aïe
Sché.

Sché, Sché, Sché
Oh !.............
Alléché...........
Accolés tout collés
Très alanguie, elle semble en raffoler
Toute étourdie, mais
Un très grand appétit
Oh !
Sché, Sché, Sché
Oh ! ...............
Dévergondée......... enlacée, élancée
Si je te mords et encore et encore
Quand dans ton dos
Je hurle le mot :
Oh ! Sché !


Suite au MP envoyé au joueur et aux règles du forum, certains mots ont été supprimé , Garanth
Scheherazade
Avec un émoi tout particulier, Schéhérazade lut la nouvelle invite au jeu coquin de son époux, se mordillant la lèvre inférieure de désir et de fièvre, elle attrapa sa plume et tout en réprimant un frisson, laissa voler ses propres mots sur le cahier, répondant ainsi à son coquin de mari, elle adorait ces jeux poétiquement passionnés qu'il proposait…

OUI ! Mon époux , oui!
Je ...............
................, tout contre ma peau dorée
Baisers salés, maudis, passionnés
Enlacés, comme des vignes enchevêtrées
Dans notre grand lit, tu crées l'inédit
Dans ma vie, dans nos rêves, je deviens ta petite folie
Doucement, à l’envie, avec sauvagerie et même
Au ralenti je soulève les interdits !
Un à un, sans un mot, dans le silence je cries :
« Oh ! ANTÉ ! ANTÉ »

....................
Laisse toi envahir par mon venin !
Laisses courir sur moi tes mains
Affolée ! Affolante ! Douda impatiente
............ comme un serpent
Anaconda de mes nuits enfiévrées
Pas de limite, au vertige de la nuit,
C’est vraiment Satan qui m’habite
Reste allongé je vais te rallumer,
Diable condamné par une orientale enfiévrée
Aïe !
ANTÉ !

ANTÉ ! ANTÉ ! ANTÉ !
Oh ! .....................
Alléchée, combative, je veux être dévorée
Accolés tout collés, contre moi je sens ton souffle
envahie par l’envie, je me sens toute étourdie
le dos lacéré, par tes griffes de loup affamé
Ogre d’un très grand appétit,
Je te réponds en minaudant :

Oh ! Oh ! Oui !
ANTÉ ! ANTÉ ! ANTÉ !
Tu te tiens tout contre moi
Dévorée, embrassée, enlacée, plaquée
Tout contre toi, je te murmurerais
« Mords moi ! Encore et encore !!! »
Quand dans ton cou, possédée par toi
Je soufflerais ces mot :
"Oh ! Je t’aime ANTÉ…"


La bédouine encore une fois, le cœur allégé par le sentiment de soulagement que donne la mission accomplie et les reins enflammés par l’envie, s'en allla fière d'avoir rempli sa part du défi, attendant, avec impatience, la surenchère certaine et assurée de son filou de mari…

Suite au MP envoyé à la joueuse et aux règles du forum, certains mots ont été supprimés
et bien sur , il ne pourra avoir surenchères tout au moins sur la halle

Garanth

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Tout ce que j'aime est immoral ou fait grossir...

Puce019
Puce eu envie pour une fois d'écrire un poème qui ne parlait ni d'amour , ni de mort . Même si elle pense que ce sont ses meilleurs inspirations.

Au temps du moyen âge
Des gentes dames
Des rois, des chevaliers
Des curés du clergé
Les châteaux forts
Contenaient du roquefort
Les paysans menaient la vie dure
La nuit était bien triste
Les brigands pillaient
Mais la justice les rattrapaient
Au temps du moyen âge.


Puce repartit éclater de rire, car ceci ressembler plus a une contine
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