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[RP] Exécution Comtale - Schlak!

Daien
Un bourreau et sa hâche,ça coupe, ça couppppppEUUUUU..
Un bourreau et sa hâche, ça coupeeeeeeeuuu énormément!....


C'est en chansonnette fredonnante, qu'un homme encapuchonné arriva sur la place de l'exécution. Jetant un oeil aux alentour, il aperçut un peu de beau monde, mais pas encore assez à son goùt. Il vit même sa chère femme qui attristée attendait l'arrivée de la star d'une coupe. Elle ne devait le croire à boire en taverne...tss, même pô Allydou resterait en taverne, alors que nous allons voir une coupe de cou de très prêt. Il tourna la tête: "Tient, quand on parle de taverne, on voit la chope.. marmonna t-il.

Bref, la Capuche posa de nouveau ses yeux nonchalants sur l'estrade, et écouta le crissement de la lame sur la pierre d'affutage.
Pas de sentiments quelconque, plutôt de la neutralité en fait, comme à son habitude.
Ah si, il y avait un peu de nobles : Cristof le Comte, et Notre Jehan indétrônable. Daien abaissa sa capuche, et sourit. Finalement, un petit article aux Franc-Parler, aurait put dérider tout le monde, même le Fayom.


"Tant quà faire, l'ex Comte est mort.....le Comte y est" Tient oui, pas mal celle-là, ou alors, une petite histoire courte à raconter aux enfants politiciens gâtés, et pistonnés: "c'est l'histoire de Chuichian, Comte ambitieux qui fut vite dépassé par ces actes, et qui vit sa route croiser celle d'un bourreau...et Schlack le Chian!"

Daien essaya de cacher son sourire tant bien que mal, se disant qu'étant ancien collègue comtal de Chuchian, c'était vilain, mais alors "vilain-pas-bô-méchant-Ouuuuh-la-honteuuu" de faire de l'humour dans ces circonstances.

"Bofff..."
Thomaslatapie
Thomas regarda de loin cette attroupement. Il réfuté tous ce genre de violence. Il pensais que cela ne servait a rien. Peut importe qui seul dieux avait le droit de donnez la mort. Il se tourna et partit dans les ruelle pour ne pas voir cet atroce spectacle.
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Sexybabyphat
La baronne de Tiffauges arriva au bras de son époux , le baron et Seigneur d'Erguenault , vêtue sombrement pour cet occasion. Le poid de cette exécution était lourd à porter. Malgré les apparences elle avait de la peine parce qu'elle perdrait un ami mais aussi un tyran aux dires de plusieurs. C'était horrible! Chu se ferait trancher la tête...elle retînt ses larmes et se promit de ne pas regarder tant celà était terrifiant.
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Cyphus
Cyphus en ressentant l'émotion de son épouse, serre sa main dans la sienne pour la réconforter.
-Courage mon aimée..
Il faut admettre que le nobliau n'est pas fier non plus, et s'installe calmement avec son épouse dans la tribune d'honneur, au fond à gauche. Ayant laissé son sempiternel uniforme bleu nuit pour un mantel noir, le jeune baron ne garde de ses attributs que sa couronne baronnique et son épée Sobrié, dont les faibles éclats métalliques contrastent avec la sombre tenue de l'Intendant.
Tout en caressant machinalement la main de son épouse, un sentiment lointain mais pressant l'étreint doucement, un sentiment qu'il n'a plus connu depuis deux ans.. depuis qu'il avait abandonné son lieutenant pour sauver sa compagnie.. Cyphus se sent lâche.
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Cyclope
C'est tout de noir vêtu comme à l'accoutumé que le seigneur de Marsay rejoignit la tribune d'honneur.
Il posa un temps d'arrêt devant l'échafaud ou l'ancien comte allez être exécuter.

Cyclope se rappela l'instant de quelques secondes,le jour ou il avait fait prendre une cuite au comte ,encore policier alors à Thouars..

Le seigneur de guerre baissa la tête et monta rejoindre les tribunes avec un air pensif et sérieux...

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Elra
Le froid s'installait placidement dans le Sud Ouest du Royaume de France. Un vent marin froid et fort qui s'enfonçait insidieusement dans les terres faisait battre les différents étendards et fanions qui claquaient dans des bruits secs de tissus.
Ce bruit était aussi audible que les murmures et discussions voilés qui émanaient de la foule... La foule...On y percevait de l'inquiétude, de la nervosité, de l'impatience, une agitation perceptible mais feutrée.
On pouvait entendre parfois hurler dans la foule : "A MORT".

Elra arrivait tardivement. Il se dirigeait vers la loge d'honneur où se trouvaient les conseillers et le Comte.
Discrètement et avec réserve, il salua toutes les personnes déjà présentes et finit par saluer le Comte pour enfin s'assoir à ses côtés.

Le Comte de Montaigu couvrit sa tenue bleue sombre habituelle de sa lourde et épaisse cape de velours finement brodée de ses armes, seule marque de distinction. Il ne portait sa couronne de Comte qu'exceptionnellement, certainement aussi souvent que son visage affichait une expression.
Le visage inexpressif, son regard bleu acier et perçant scrutait la foule et l'esplanade où la scène de tragédie allait se jouer.
C'est avec une grande tenue qu'Elra était assis pour observer le sombre événement.

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Kiliana
Elle avait entendu des clameurs qui s'élevaient dans le ciel de Poitiers... Une sorte d'hystérie collective... qui avait suscité sa curiosité.
Elle s'approcha de la place de Poitiers, où une effervescence inhabituelle régnait. Elle se fraya un passage parmi les badauds, qu'elle interrogea.

Le comte Chuichian allait être exécuté...

Kiliana mesura toutes les implications de cette annonce. Une exécution...
Quel était le motif de la sentence? Un procès avait-il eu lieu?
La Pictave tourna son regard vers la tribune érigée pour cet événement qui attisait une curiosité sordide, une curiosité morbide... Les notables du Poitou étaient assis, leur attitude oscillait entre compassion et amertume, indifférence et ostentation...
C'était tout de même la vie d'un homme qui allait être supprimée! Ainsi les pontes déifiés en avaient-ils décidé! La populace, elle, n'avait cure de savoir les raisons de cette décision! Du spectacle de sang! Le "Théâtre de la cruauté" pourraient dire certains! Même les enfants étaient conviés!

Ignorante des intrigues de la cour comtale, Kil rabattit sa capuche sur sa crinière noire, et entrecroisa ses doigts...

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Ventreachoux
Les préparatifs battaient leurs pleins, parmi les badauds ,un homme se la pète en jouant les philosophes;

Rien de plus furieux, de plus superbe ni de plus insolent qu’un homme élevé de la poussière, il gourmande le ciel, il depite les destins et croit que les astres lui sont redevables de leurs influences.

Des paroles sont foudres "A mort ! à mort !" , des regards foudroyants et des déliberations déferlent à tout và dans la foule.
Bien qu'il n'approuvait pas la façon dont l'ex comte s'était comporté, Ventreachoux n'en approuvait encore moins l'éxécution, la violence n'était pas dans ses attributs.Il était loin de s'imaginer qu'autrefois ce prédestiné qu'il avait cotoyé à l'AHF et qui n’aurait lésé jamais autrui se retrouverait en ce jour devant un bourreau suite à la calamiteuse histoire de ses aveux ayant mis le poitou en éffroi.Un frissonnement parcourait son corps en pensant que le bourreau se présentera face à cet homme offrant sa tête sous son rasoir, tandis que la foule se réjouirait de le voir décapiter.
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Cali
Il fallait qu'elle est confirmation de ses soupçons et ne retournerait pas à Thouars sans cela . Datan ne lui avait rien révélé . Inutile, elle entrevoyait la vérité.Il lui suffit de suivre les gens qui se dirigeaient tous dans la même direction pour arriver sur la grand place et là, elle eut l'impression d'halluciner.

La jeune femme tourna sur elle même pour voir l'étendue de ... la foire. Voilà.. la foire... c'est le premier mot qui lui venait à l' esprit. Un brouhaha confus de personnes qui discutaient entre elles par groupe, des exités qui commençaient à crier " à mort" , alors que le condamné n'était même pas encore là . Il y avait même des troubadours et des cracheurs de feu. Cali avait l' impression d'être là sans y être. Drôle d'impression , comme si elle n'avait pas sa place ici et que d'un instant à l'autre, elle allait se retrouver ailleurs. Sans doute était ce le fait que c'est ce qu'elle souhaitait. La jeune femme déglutit en voyant une estrade sur laquelle était posée un billot et... le bourreau affûtant sa hache.

Elle imagina le bruit que ferait la hache, en tranchant le fil de la vie pour ensuite se ficher dans le bois et quelques secondes après, le son de la tête détachée du corps et qui tombait puis roulait sur le bois . Elle en eut soudain la nausée et déglutit. Si elle avait pu en vouloir à Chuichian de s'être montré empressé , à présent elle ne lui en voulait plus. Il était condamné et il le savait. Peut être a t' il cherché en elle un dernier réconfort que bien sur elle n' était pas en mesure de lui donner.

Son regard se porta sur la tribune où siégeait le conseil comtal . Elle les connaissait pour la plupart et remarqua leurs mines sombres. Bien sur qu'il n'étaient pas à la fête et certains sans doute contraints d'assister à ce spectacle mais ils étaient aux premières loges.

Datan venait de se lever et traversait la place, accompagné d'une garde de soldats...il allait le chercher pour l'exécution ....

Cali le suivit du regard puis décida qu'elle en avait assez. Elle avait la réponse qu'elle était venue chercher. Elle rabattit sa capuche sur la tête et s'éloigna de la place, puis prit le chemin de Thouars. Tout ça n'était pas pour elle. En tant que médicastre, chaque jours elle se battait pour préserver la vie et n'était pas prête à la voir ôter si rapidement sous le fil de la lame. En s'éloignant , les bruits s' atténuèrent ... le silence revint mais pas sa tranquilité d'esprit.
La jeune femme secoua la tête et disparue au loin...

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Alienor.1
A mort , A mort!!!

Les cris résonnaient, elle ne le supportait plus, elle posa ses mains sur ses oreilles espérant ne plus rien entendre.
Otez la vie était une chose , mais voir des personnes s'en réjouir était inadmissible.
Elle connaissait la personne qui allait être exécuter, elle l avait apprécier, détester, mais il lui avait donner réponse, elle avait pardonner.
Un miracle, elle priait un miracle.
Une exécution au Poitou.. pas possible.
Elle regarda la foula s'amasser de plus belle.
Toujours mains sur les oreilles elle inclina la tête pour saluer le Comte Elra.

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--Anya
Au milieu de la foule une silouhette frêle d'apperence, enveloppée dans sa cape noire, capuche cachant partiellement son visage, elle observait. Pas à dire cette famille savait éliminer ceux qui les génaient.

Une grande partie était sur l'estrade à savourer leur pouvoir, des souvenirs lui revenaient en mémoire ... ses yeux gris se posérent sur cette femme dont la beauté extèrieure n'égalait pas sa laideur intérieure, intrigante, sachant manier les rumeurs et mensonges avec une dextriété sans égale si ce n'est peu être celle de son père .... hummmm vraiment joli tabelau qu'ils faisaient tous !

La foule semblait en transe, pensait donc un noble et ancien comte allait se faire découper en toute légalité sur ordre du nouveau, pas tous les jours qu'on voyait ça ! Les cris fusaient de toute part ... à croire qu'ils n'attendaient que ça pour égayer leur vie morne ... les mères avaient emmené leur marmaille qui tentait déchapper à la surveillance pour aller voir de plus prés .... mais voir quoi ? l'échaffau ? Ces nobles qui paradaient sur cette estrade ? Aller donc savoir avec les enfants ce qui pouvait bien attirer leur curiosité.

Un sourire ironique s'afficha sur ses lèvres voyant la dame faire sa mijorée ... sur elle aurait peu être aimé voir un autre à la place de ce comte, mais la vie ne donne pas toujours ce que l'on veut malgrés tous les mensonges et traquenards que l'ont peut tendre.

Sans plus prêter d'attention à cette mascarade elle repartie voir si le soleil pourrait briller plus loin dans d'autres lieux.
Natale
De voyage en terres poitevines le vescoms de Rabat était évidemment passé par Poitiers capitale de ces Etats.
Attroupement sur la grand’ place et cris de la foule qui stoppent la route de la charrette et du carrosse de la petite Duchesse.
Sur son destrier le vicomte tente tant bien que mal de s’imposer.

Avisant alors un gueux qui s’attarde un peu trop près de sa monture :

Holà ! Que se passe t-il faquin ?

_ Exécution capitale m’seigneur.

Et qui est donc le larron ?

_ Un Comte à nous autre, Chuichian

Le Méridional ne connaissait point.
Bigre !
Qu’avait-il donc fait ? Il préférât ne point en demander plus.

S’adressant alors au conducteur de la charrette pleine de marchandise.
Hey ! fait demi-tour, nous ne pourrons pas aller plus avant et ce n’est point un spectacle à offrir à la ptiote.

Le conducteur s’exécutât tant bien que mal tant que la manœuvre était difficile et la foule nombreuse. Enfin ! l’on parvenait à quitter la place. La petite lui demanderait certainement les raisons du pourquoi du comment on changeait de trajectoire soudainement.
Sur son destrier le vicomte jetât un dernier regard en direction de l’estrade qui serait le lieu de l’exécution. Il prit une grande inspiration, il avait bien failli y passer lui aussi un jour.
Il fallait continuer le chemin et surtout ne point trop s’attarder céans.

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Vescoms de Rabat & Senher de Santa-Maxima
Lunarion..
Faut croire que l'ancien Comte avait beaucoup d'amis …
Le nain s'était attendu à une exécution normale : des nobles venus asseoir leur pouvoir en signifiant que la trahison était passible de mort, des bourgeois venus goûter au spectaculaire de la chose et des gueux venus éduquer leurs enfants.
Pas beaucoup de marmaille apeurée à qui on apprenait à craindre la justice des puissants sur le cou d'un des leurs.
Les nobles avaient l'air torturés, comme s'ils faisaient quelque chose de mal …
Et les bourgeois avaient tous peur de perdre leur copain préféré.

Des personnes saines d'esprit auraient souri de façade pour que leur amitié ne se voie pas trop en cet instant.
De telles inclinaisons pouvaient vous coûter la nuque si les nobliaux et le bourreau avaient la suite de l'après-midi à perdre.
Mais le Poitou est fou, ça fait déjà quelques semaines qu'il s'en est rendu compte.

Vexé qu'il est le Lunarion.
D'abord parce qu'il est le seul vrai Fol du Comté mais aussi parce que personne n'a pensé à lui pour l'exécution alors qu'il est le fils du plus grand bourreau tourangeau.


Gentes damoiselles et élégants damoiseaux, gueux rutilants et rombières endimanchées !
Laissez moi vous conter une histoire …


En quelques … bon, beaucoup vu ses jambes courtaudes, enjambées il traverse la place et se met au premier plan de la scène.
Tenter de faire revenir la situation à la normale même si ce jugement n'a rien de normal.


Laissez moi vous conter l'histoire … l'histoire du Chian !

Il fait une pause, attendant que la foule se taise trente secondes pour le laisser continuer en silence.
Tandis qu'il agite la main une flopée de rubans lui passe sous le nez et il se félicite de ne pas encore avoir terminé sa livrée aux couleurs des Montignac.
Sûr que ça ferait tache.

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Xedar
Xedar patientait, la place se remplissait mais il manquait à ses yeux encore quelqu'un, il rédigea une lettre et avisant un mioche, il lui tendit quelque pièces d'or et la lettre.

Va porter cela au comte.

Citation:
Votre grandeur,
je vous écrit d'un tabouret, assis comme vous attendant la suite des événements. La foule est la, le boureau aussi, les nobles sont assis. Il manque Le principal intéresser Chuichian, et un membre de la sainte église Aristotélicienne. Il nous faut pardonner dans la mort quelle que soit les actes commis, donc si un membre de notre église pouvait se tenir prés de lui afin de l'accompagner de sa montée vers Aristote je vous en serais fort gré. Si ceci est déjà prévus, excuser mon message.
Qu'Aristote vous garde,
Xedar


Il suivit des yeux l'enfant qui se faufilait dans la foule et le voyant remettre la lettre à un garde, ce dernier à son tour la présentant au comte. Il reporta son attention sur ce curieux personnage qui voulait conter la vie du Chian.

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Datan
Datan se retrouvait encore une fois face à Chuichian. Toujours impassible, le visage tendu, masque posé de part sa fonction, cachant tout sentiment. D'ailleurs, les sentiments...
Nous sommes fin prêt Seigneur. Nous pouvons y aller.

Tandis qu'ils descendaient les marches menant à l'entrée, l'esprit du porte parole continuait à vagabonder. Datan avançait à grand pas,les yeux fixés droit devant lui, un parchemin à la main, mains croisées dans son dos. La grande porte se présentait maintenant devant eux. Lorsqu'elle s'ouvrit, la pénombre fut remplacée par un jet de lumière éblouissante et une bourrasque vint presque déséquilibrer les personnes présentes. Un vent frais frappait régulièrement les visages.

Encadré de huit gardes, Chuichian avançait vers l'estrade qui avait été fabriquée, dans une sorte de couloir formé par deux lignées de soldats. Datan le précédait ; il marchait maintenant à pas lent.

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Porte-Parole du Poitou - Vassal du Vicomte Cristof - Heureux père de Dune - Champion du Poitou
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