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[RP] Exécution Comtale - Schlak!

Alienor.1
Alienor regarda Chuichian et détourna son regard, tête baisser elle se mit à penser, c'était donc cela, la vie ne tenais qu 'à un fil, Aristote n 'était pas le seul à avoir droit de vie ou de mort sur quelqu'un mais un homme le pouvait aussi.Drôle de Poitou à cette heure, ceux qui crie a mort, ceux qui semble attrister de l'acte qui va être commis.
Ses dernier jours assez éprouvant lui fit ouvrir les yeux sur certain hélas sur des personnes qu'elle affectionnait aussi...
Elle regarda la foule, Anggel n 'était pas la, elle aurait aimé être auprès de lui, mais non il ne pourrait pas monter jusque ici il n 'était pas noble.
Un regard vers son père tristement , elle se leva et descendit, elle ne resterais pas la haut à regarder comme ci c'était une attraction plaisante. Elle se faufila dans la foule à la recherche de son aimé, sa place était auprès de lui que cela lui apporte des soucis ou non.
Elle alla se pose contre un mur le cherchant du regard, elle était bien mieux ici que parmi les nobles, simple vassale, et conseillère comtale son choix elle l 'avait fais, elle ne remonterais pas la bas

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Extraelle
Dans la foule, une lourde capuche de velours noir cachait des boucles cuivrées, des yeux fauves et le visage fermé, hâve, d'une femme qui vivait sans doute le moment le plus difficile de son existence. La brune avait juré fidélité au Poitou, au Comte en exercice, mais le prix à payer était exorbitant. Son regard allait du frère au mentor, du condamné au juge tout puissant, et elle ne savait lequel des deux elle haïssait le plus en cet instant.

L'intervention de Cristof avait levé le mystère sur les raisons de l'exécution, qu'elle n'avait fait que soupçonner jusqu'alors. Le Chian s'était évidemment rendu coupable de crimes bien plus graves qu'une installation un peu cavalière de l'Archontat, comme elle le pressentait depuis l'annonce de l'emprisonnement, et même avant cela. Extraelle ne pouvait mettre en doute la sincérité de Cristof. Si elle s'était souvent heurtée à lui par le passé, elle n'en respectait pas moins l'homme, et avait confiance en son jugement. Et celui-ci, d'ailleurs, ne faisait que confirmer sa propre intuition sur Chuichian. Il n'était pas qu'un despote, il était avant tout un traitre, et leur nom serait à jamais souillé du sceau de la honte. Mais que lui importait ce de Montignac, légué à titre posthume par des parents qu'elle n'avait jamais connus, et qui n'avaient pas voulu d'elle. La seule famille qu'elle n'avait jamais eue, c'était son père adoptif, et puis ce frère, retrouvé à l'âge adulte, en qui elle avait placé bien plus que sa confiance. Un amour indélébile.

Et celui-ci mordait sauvagement les tripes de la brune, rongeait sa place en leur sein, se lovait, dans sa gangue de douleur et d'amertume, aussi sûrement en elle que la haine qui l'étouffait. Elle avait renié leur lien, mais celui-ci flottait encore, spectral et entêtant, et la rattacherait toujours à ce brun aux mains enchaînées qui, parvenu sur l'estrade, se dirigeait à pas lents vers sa fin.

Elle aurait pu ne pas venir. Ne pas voir. Mais la dame de Civray faisait partie de ces gens qui ont besoin d'affronter les choses en face. Pour qui le déni creuse une blessure bien plus cuisante et critique que le combat. Même quand ce dernier se joue contre eux-mêmes. Et elle se tenait donc là, anonyme parmi les anonymes, sans rien entendre des cris scandés par le public, ou même du grand silence qui accompagna l'arrivée du bourreau. Glacée dans son lourd manteau de nuit. Témoin impuissant et silencieux du jour qui poserait sur sa jeune vie le scel odieux et éternel, du deuil.

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--Combattant_de_la_nuit
Poignard en main, le Combattant se décida à passer à l'acte. Après avoir traversé la foule, de plus en plus dense, il arriva aux pieds des escaliers en bois qui mènent à la loge officielle, celle du Comte...

Un garde était posté devant les marches. L'air pensif, il ne paraissait pas un obstacle difficile à surmonter. Le Combattant attendit que ce dernier tourne son regard vers la foule pour le rendre hors d'état de nuire.

Il serra son poignard de toutes ses forces, s'assura qu'aucun autre ne le regardait et se précipita vers lui. Le pauvre homme n'eut même pas le temps de voir son agresseur lui sauter dessus que le poignard lui transperça la cage thoraxique. Son regard, terrifié, étant maintenant plongé dans celui du Combattant. Les deux hommes se regardaient, mais aucun son ne sortait. Le temps semblait arrêté. Puis, un flot de sang s'écoula de la bouche du fonctionnaire. A ce moment il sentit la lame glacée se retirer lentement de son corps et son esprit le quitter. Il s'écroula sur le sol.

Le Combattant s'assura qu'aucun garde n'avait donné l'alerte, il regarda autour de lui. Rien à signaler.


Passons à la suite...Le temps est venu...

Il grimpa lentement les marches qui mènent à la loge. Plusieurs fois il crut être demasqué par le craquement du bois. Il n'y avait pas de temps à perdre. En haut des escaliers se dressait une grande porte en chêne massif. Elle était fermée.

Toc Toc Toc ! Ouvrez, je voudrais parler au Comte !

Pas de réponse, le silence. Au bout d'un moment le Combattant voulut enfoncer la porte, mais au moment de prendre son élan il entendit le cliquetis d'une serrure qu'on dévérouille. La porte s'ouvrit sur un garde, qui poussa un cri de frayeur avant que la lame ne lui tranche la gorge.

Le Combattant vit alors tous les regards de la loge se tourner vers lui. Il regarda un par un tous les occupants de la salle, une angoissante surprise se lisait sur leurs traits. Le Comte était au milieu d'eux, assis sur son trône. Deux gardes déboulèrent vers l'intrus, épées en main. Le Combattant brandit son couteau, cria pour se donner du courage et fonça vers le Comte...


Pour toi, Mon Dieu...

YAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!
Cyphus
L'Intendant s'était retourné en entendant frapper, un garde s'affaisse..
-Aux armes!
Cyphus dégaine et par réflexe bouscule son épouse pour la protéger derrière lui. Épée en main il tente d'assener un coup mais l'assassin trop vif est déjà entre le baron et le comte. D'un cri il alerte un des deux gardes en faction devant la tribune.
-Melinoraaa!
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Melinora
Plongée dans ses pensées, le cœur serré au souvenir de ces lointaines soirées en taverne avec celui qui allait être exécuté du temps où il était encore policier, la dame de Cugand se sentit soudain mal à l'aise. Quelque chose ne tournait pas rond...
Son regard se porta sur le Comte, et au même moment elle entendit une voix familière l'appeler. Cyphus!


-Melinoraaa!

La nuance d'urgence dans le ton du baron eut une conséquence prévisible sur un soldat des Aigles de Thouars aussi entraîné qu'elle : ses réflexes prenant le pas, elle dégaina et dans le même élan se jeta sur le Comte pour le protéger de son corps.
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Lefilsdisabel
Lefilsdisabel surgit, brandit son épée et bouscula l'assaillant pour protéger le comte ...... afin que celui-ci puisse se mettre en sécurité.
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Datan
Resté au pied de la tribune comtale, à quelques pieds en dessous du Comte, le porte-parole a l'oeil rivé sur l'estrade où va se dérouler l'exécution. La fatigue prend de nouveau le pas sur sa vigilance en cet instant. Bien entendu, il n'est plus beau parleur que soldat, mais sa lame est toujours au service du Poitou, en particulier pour ce Comte là.

YAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!

Le cri vient de la tribune au dessus de lui. Il ne voit ce qu'il s'y passe et l'espace d'une seconde, regrette de ne pas être aux côtés de son suzerain. Ses mains sortent de son dos et s'accrochent aux poutrelles de bois qui maintiennent la tribune. Arrivé en haut, il cherche l'auteur du cri tout en sortant son épée de son fourreau. De là, il voit son Comte sur lequel vient de se jeter une femme soldat pour le protéger, puis la parade tentée par Lefilsdisabel qu'il a côtoyé à Niort.

Dans le mouvement des personnes présentes, Datan n'arrive pas à distinguer l'assaillant, caché de lui par le soldat niortais.

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Porte-Parole du Poitou - Vassal du Vicomte Cristof - Heureux père de Dune - Champion du Poitou
Cyphus
Cyphus sourit en ayant pu se dégager des rangs serrés des sièges ô combien élégants mais si peu pratiques.
Il descend vers le bas de la tribune sur la gauche derrière l'homme coincé par la réactivité des deux gardes.. qui n'étaient évidemment pas choisis pas hasard: sa vassale et le second des Ours de Niort. Écartant les pans de sa cape Cyphus tient fermement son épée et de la main gauche dégaine son poignard; pour couper toute retraite à l'assassin.. mise à part une chute.. trois mètres plus bas.
-On ne bouge plus!
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Sexybabyphat
La baronne de Tiffauges se tient le ventre et regarde la scène horrifiée Elle met la main sur son fourreau prête à dégainer..

Elle a peur pour le comte, entend son époux crier et se place à côté de lui et dégaine en regardant par-dessus son épaule pour voir si sa grandeur est blessé! La baronne voit son époux se mettre dans l'allée pour lui couper toute retraite. Elle crispe les poings et ne bouge plus.

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Choupi22
choupi22 était dans la foule pour assister à l'évènement , et grande chance aujourd'hui il n'étais pas mobilisé dans le service de sécurité de la cérémonie ....

Il errait donc dans la foule comme un simple badaud , prêtant le regard aux différentes chose qui accompagnait généralement ce genre d'évènements :

ci et là des troubadours chantaient , alors que d'autres dansaient ........

et tout cela était dominé par la grande tribune de la Noblesse du Comté ou il reconnut au loin l'Intendant des Armées qui était assis tout prêt de sa Grandeur le Comte .

Il entendit soudain les grands cris qui annonçait l'arrivée du Condamné et toute les personnes autour de lui commencèrent a crier

A MORT !! A MORT !! A MORT !!

Souhaiter la mort d'une personne , voila une chose qu'il ne comprenait pas , même si cela était justifié il était contre cette peine , et il ne prit pas part à ces cris et il était venu ici , sur cette place , par simple curiosité et pour voir à quoi ressembler une exécution

Alors qu'il était encore dans ces pensées , son sens de la conservation lui fit comprendre que quelque chose de bizarre se tramait et alors qu'il vit le condamné s'avançait vers le bourreau , il entendit un cri


YAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!

il fit un cercle du regard et il vit immédiatement une certaine agitation en provenance de la tribune ou se trouvait son Intendant Cyphus et le Comte

dans un geste quasi-mécanique il releva sa cape et sortit son épée du fourreau ...........

La femme à coté de lui poussa un cri de stupeur et de crainte en voyant l'arme ainsi dégainée.........

dans la continuité de son geste , choupi22 enleva complétement la cape qui le recouvrait et apparut ainsi son uniforme d'officier de l'Ost et il vit du coin de l'oeil que le calme réapparu sur le visage de sa voisine

Il se dirigea épée à la main vers la tribune du Comte , tentant de se frayer un chemin dans la foule compacte , il n'y voyait pas grand chose mais il savait que quelques choses se passaient et il luttait de toutes ses formes pour se frayer un chemin vers la tribune


POUSSEZ VOUS , POUSSEZ VOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!

FAITES PLACE !!!!!!!!!!!!!!!



Heureusement qu'il n'était qu'a une vingtaine de mètres de la tribune , et il continua a tenter de se frayer un chemin vers la tribune
--Combattant_de_la_nuit
Le Combattant courut vers le Comte, poignard en main. Une de ses protectrices lui fit barrage de son corps. Il tenta de la saisir par l'épaule pour la dégager afin d'accomplir son acte. Mais celle-ci resitait...Il serra son poignard de plus belle et voulut lui trancher la gorge mais à ce moment il sentit un violent coup sur son côté droit. Il tomba à terre et s'aperçut que Lefilsdisabel était à l'origine de cette opposition.

YAAAAAAHHHHHH !

Il tenta de se relever en criant mais il sentit la lame glacée d'une épée se poser sur sa nuque. Il cessa tout mouvement. Plus personne ne parlait, l'agitation collective s'était brusquement dissipée. Il tourna son regard vers le Comte, puis vers son protecteur qui, d'un mouvement d'épée, pouvait ôter la vie au Combattant. Une lueur de haine se devinait dans ses yeux. Le Combattant dit, d'un ton calme et posé :

Mon cher ami, je vous conseille de me laisser accomplir mon devoir...ou bien Aristote vous punira...
Alienor.1
Alienor regarda la scene de loin horrifiée elle couru pour rejoindre son père, son oncle était protéger fort heureusement.
Arrivée près de son père elle respira de nouveau, elle regarda l 'estrade ou se trouvais le condamner et la foule, un étrange sentiment lui vient en tête, si si cette attaque n 'était pas faite pour mobilisé les soldat afin que Chuichian puisse se sauver. Les soldats occuper ici ne l 'était plus en contre bas.
Elle réfléchis un instant et ne dit mot. peut être que le miracle escompter arrivait.
Elle s accroupie près de son père


Papa tu es sur que tu veux rester la et regarder cela ?

Elle lui faisait comprendre du regard qu'il n 'était pas habituel de regarder cela.
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Lefilsdisabel
L'épée du Second était bien appliquée sur le cou du combattant, d'un coup de pied, il le désarma de son couteau et le maintenu au sol, la botte sur le poignet.

" un mot tout d'abord ... qui es tu ? et pourquoi t'en prendre à la vie de sa Grandeur ?
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--Combattant_de_la_nuit
Le Combattant regardait Lefilsdisabel. Il accepta de répondre à ses questions, après peut-être aurait-il l'occasion d'achever sa mission...

Je suis un Combattant de Dieu...Le Comte Cristof doit mourir, le Comte Chuichian doit me suivre...

Voyant l'air interrogateur pris par son interlocuteur, le Combattant ricana et ajouta :

Vous ne pouvez pas comprendre...Mais croyez-moi, laissez-moi tuer le Comte Cristof et embarquer le Sire Chuichian, Dieu vous en sera éternellement reconnaissant...Sinon vous périrrez dans les abîmes de l'enfer...

Un rire démoniaque s'empara de lui.
Choupi22
Choupi22 arriva enfin au pied de la tribune Comtale , il venait de traverser la foule qui fort heureusement avait reconnu l'uniforme de l'Ost et cela lui avait faciliter le passage

Il fit le tour de la tribune afin d'accéder aux escaliers , et les monta quatre par quatre .

Il arriva sur le palier de la porte , enfin le palier car la porte n'y était plus et les gonds restant au cadran étaient arrachés

il resserra l'étreinte sur la garde de son épée et franchit le pas de porte

devant lui, a quelques mètres , il vit tout de suite la silhouette imposante du Lefilsdisabel , tenant en respect au bout de son épée une personne à moitié accroupie parterre

Choupi22 fit un pas en arrière , de manière a bloquer la seule issue de la tribune et se mit donc devant le pas de porte , et prêt à bloquer toute retraite possible si le félon décidait de fuir .

Prêt à se servir de son épée , il entendit la question de Lefilsdisabel


" un mot tout d'abord ... qui es tu ? et pourquoi t'en prendre à la vie de sa Grandeur ?


Choupi22 était prêt à agir , il fixa la personne que tenait Lefilsdisabel au bout de son épée , prêt a intervenir à tout geste suspect de sa part

il entendit sa réponse


Je suis un Combattant de Dieu...Le Comte Cristof doit mourir, le Comte Chuichian doit me suivre...

Choupi22 serra de plus belle son épée , il se dit que cela ne se passerait surement pas comme cela et il ferait tout pour
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