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[RP] Dura lex sed lex - Palais de justice Lorrain

Sabifax
Incroyable! Sorcellerie ou don de divination extralucide.... Gnaaz sait tout, Gnaaz entend tout, Gnaaz voit tout. Et Gnaaz est bien meilleur qu'Aristote... il apparaît même en personne.
Ou alors... effet hallucinatoire d'un juge qui abuse de la mirabelle.


Ben... messire Gnaaz, faut pas vous énerver comme ça et dire des fausses méchancetés...
Pouvez vous me dire de quoi vous parlez ?


Le juge se demandait si le garde de Barberine faisait bien son travail pour avoir laisser entrer Gnaaz ici, et apparemment il avait volé la lettre que le juge avait porté sur le bureau de la procureure.

La seule chose que je peux vous répondre, concerne le cumul des charges et là... vous divaguez largement.

Pour la prévot, je suis membre non actif depuis que j'ai été nommé juge pour la première fois, le BGT n'est pas une institution mais un bureau, être membre d'un conseil municipal n'est pas une charge au sein de l'état ducal et... pour finir, je ne suis pas noble et donc pas membre de l'assemblée.

C'est incroyable le nombre de faussetés que vous pouvez dire en une seule phrase... j'ose pas imaginer tout ce que vous pouvez sortir en une journée.

Sur ce... je ne vous salue pas et, la prochaine fois que vous mettez les pieds dans ce tribunal, je vous prierai de bien vouloir frapper à la porte.



Le juge se demandait vraiment comment Gnaaz pouvait apparaître ainsi au milieu du tribunal...

J'ai demandé le respect des règles du RP dans un palais de justice... la moindre des choses est de faire un minimum de descriptif RP et d'éviter de confondre ce que le JOUEUR sait et ce que le PERSO sait.

Pour moi, fin de cette petite tranche de RP avec vous à moins que vous ne respectiez ce que je viens précédemment de dire. Dans le cas inverse, étant propriétaire du topic, je demanderai à la censure de faire le ménage de toute intervention qui ne respecte pas le RP.

Merci.

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Gnaazdemozgoard
Restez en au rp jeune homme et ne mélangez pas,les avis hrp gardez les pour vous


Citation:
Pour la prévot, je suis membre non actif depuis que j'ai été nommé juge pour la première fois, le BGT n'est pas une institution mais un bureau, être membre d'un conseil municipal n'est pas une charge au sein de l'état ducal et... pour finir, je ne suis pas noble et donc pas membre de l'assemblée.


Le bgt est un poste en plus d'être un bureau,vous êtes aussi a l'état major,de plus vous êtes au cd en poste occupant le poste de juge,ensuite vous êtes élèves de la prévôtés,et que vous êtes au cm de vaudemont ce qui vous rend coupable selon la lois !!!

Vous avez 5 jours pour démissionnais d'un des postes,c'est le comble qu'un juge ne respecte pas ses propres lois,ensuite un juge ne peux pas porter plainte sauf si il démissionne de son poste,le plaignant doit être civile !!

Vous voila avertis...
--Latronche




Latronche avait accompagné Barberine dans les rues de la capitale.

la procureure s'était attardée auprès de deux amis rencontés un peu plus tôt, et elle lui avait demandé de retourner monter la garde au palais.

En arrivant il voit le juge répondre à un personnage fort énervé qu'il ne connaissait pas.

Bonjour juge. Tout va bien , je peux vous aider ?

Cette personne ne vous ennuie pas ? Dois je le raccompagner à l'entrée ?

Décidémment il y avait foule aujourd"hui, une femme semblait faire le siège du bureau de la procureure.

il reconnait une jeune femme qui a eu a faire face à deux procès, en peu de temps et se demande bien ce qu'elle veut.

La Procureure n'est pas là, madame,vous ne pouvez pas rester ici.
Si vous désirez la rencontrer il faudra attendre un peu. Revenez plus tard.


Et il se poste résolument devant le bureau de la Procureure surveillant du coin de l'oeil que le juge n'ai pas besoin d'aide.



Majoie
Majoie toujours ses plaintes officielles en main avait entendu un sifflement qu'elle connaissait car déjà entendu mais n'y comprenait toujours rien à rien...

Le printemps était fort beau et la chaleur commençait à se faire sentir dans les bâtiments publics et elle s'éventait avec ses parchemins...

Je vais attendre encore un moment d'après ce que j'ai vu ici il n'y a aucun endroit où laisser les plaintes de façon légales....pas de greffier ...rien du tout...au pire je glisserait ces copies des parchemins sous la porte de la procure en plus de celui du juge Sabifax de toute façon je les ai fait parvenir à d'autres instances alors si je n'obtiens pas satisfactions ici je l'obtiendrait bien ailleurs!!!

Elle s'appuya sur un mur guettant âme qui vive passant dans le coin...
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Sabifax
Le juge haussa les épaules et préféra arrêter de discuter avec l'énergumène qui était apparu comme par magie au milieu du tribunal pour venir japper. A quoi bon ?

Citation:
Bonjour juge. Tout va bien , je peux vous aider ?

Cette personne ne vous ennuie pas ? Dois je le raccompagner à l'entrée ?


Bonjour bonjour....
Non..non... il a sut venir jusqu'ici, qu'il en reparte de la même façon.


Le juge avait beaucoup mieux à faire, il était plus intéressant d'aller voir la procureure pour discuter de la remise en marche du barreau lorrain autour d'une bonne bouteille ou simplement jaser du temps autour d'une bonne bouteille ou ne rien dire autour d'une.... Bon! Il faut que je vous avoue, qu'à force de parler avec, il commence à la connaître Barberine et il sait bien qu'avec toute l'agitation de la journée, elle doit avoir les pieds gonflés et un sacré mal de ciboulot. Pas le mal de crane qu'elle a les lendemains de soirées passées à travailler avec le juge, celles ou la mirabelle coule aussi vite que les mains remplissent les verres, ni le mal de tête que les dames prétextent parfois quand leur galant se fait trop pressant... non, non... je parle ici du mal de tête bien normal qui donne l'impression d'avoir le crane pris entre un étau alors qu'on ne veut justement pas se prendre la tête.

Il entra donc dans son petit cabinet privé, prenant bien soin de refermer la porte derrière lui pour que personne ne voit le nombre de bouteilles et de tonneaux que le duché lui avait alloué pour ses services de juge. Normal! Le travail était stressant et il lui fallait bien prendre parfois un petit remontant pour arriver à se requinquer... même si maintenant, il lui fallait bien une bonne dose généreuse du liquide qui l'aidait à se libérer son esprit de ces infâmes moustiques irritants qui lui tournaient parfois autour. Déjà, la vue des bouteilles si bien ordonnées et qui semblaient n'attendre que d'être bue, lui fit oublier ses tracas de la journée. Il en prit une sur la rangée du haut, contempla un instant le verre et ne put résister à l'envie de la goutter - Tout le monde sait que le juge a de nombreuses faiblesses et ne résiste pas aux tentations, surtout celle là. Le bouchon tomba par terre et les effluves alcoolisé du fruit d'or eurent à peine le temps de titiller ses narines que le liquide coulait déjà abondament dans sa bouche. Il ferma les yeux, juste le temps de sentir l'alcool fort lui apporter une chaleur qui descendit rapidement en lui. Aaaaaaaaaaaaaahhhh que ca faisait du bien.... Presque autant que...les baisers de sa troubadour. Grisant, enivrant, passionnant, excitant, exaltant, étourdissant et caaapiteux.

Un frisson mirabellien teinté de rêves bleus lui parcourut l'échine pourtant fatiguée et sa bouche forma un petit 'o' qui laissa s'échapper un petit Mmmmmhhh soupir d'extase béate. Vivant d'amour et de mirabelle, le jeune amoureux aimait parfois abuser des plaisirs simples de la vie comme une simple caresse ou une main qui étreint celle de l'être aimée, signe de tendresse et d'affection, réconfort et émotions fortes mais aussi parfois prélude à d'autres effleurements charnels quand il plongeait son beau regard dans celui azur de la poétesse.

Perdu, ensorcelé par ses pensées cajoleuses, le jeune homme leva la bouteille et prit une autre grande gorgée d'eau de vie qui fit redescendre ses pieds et son coeur sur terre. Il clignota des yeux puis prit une bouteille pour Barberine... pas pour lui. Ben oui! Il abuse avec modération...

Revenu dans la grande salle du tribunal, il la traversa à grand pas sans prêter la moindre attention à savoir si il y avait du monde ou pas. Arrivé devant le bureau de la procureure, il fit un signe de la tête au colosse qui s'était remis de garde à l'entrée, poussa la porte du bureau de Barberine, puis il la referme soigneusement même si il sait très bien qu'avec latronche au milieu du passage, il ne risque pas d'avoir de la visite impromptu. Le bureau était 'vide', juste pleins de dossiers sur toutes les affaires en cours au tribunal mais la Barbie blonde n'y était pas. Le juge posa la bouteille qu'il lui avait amené sur le coin du bureau et se servit un verre pour s'occuper les mains le temps qu'elle arrive. En attendant, il allait réfléchir à l'examen d'entrée au barreau. C'est pas tout les jours que le barreau a deux postulants.


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Barberine




les joues encore rougies par sa marche rapide dans les rues de la capitale, et les bras chargés des victuailles qu'elle avait achetées au marché, se promettant de faire gouter ces bonnes choses à Safibax, histoire d'imbiber un peu le divin nectar qu'il auraient prochainement l'occasion de gouter péniblement penchés sur de documents parfois illisibles.

La procureure aimait la bonne chère, elle ne s'en était jamais cachée, ainsi que les trésors viticoles lorrains, et un de ses grands plaisirs au palais étaient ces longues séances de travail dégustatives avec le petit juge.

Entrée dans le grand hall, plongée dans ses pensées, elle se dirige droit vers son bureau, sans faire attention à ce qui se passe autour d'elle.
Elle fait un signe à Latronche en faction qui lui ouvre la porte et qui d'un simple haussement de sourcil lui indique que tout est sous contrôle.

Sous contrôle, c'était sans compter sur un petit incident qui... allait mettre sa dignité de Procureure en péril.

A peine la porte ouverte, elle pose le pied par mégarde sur un parchemin qui trainait par terre. La feuille l'entraine dans une longue glissade au cours de laquelle elle file sur une jambe et bras écartés devant le juge médusé. La course s'achève brusquement contre le bureau, éparpillant sur celui ci les provisions qu'elle avait lachées pour se retenir.

Quel est l'enfant de ******grrrrr ******qui a laissé trainer ça !!

Elle hurle.

Latronche qui est venu ici ?

Euh vous êtes là Juge ?


Elle rougit, mortifiée de s'être allée à de tels écarts devant l'honorable homme de loi qui garde toujours son calme, en apparence du moins, et indique à Latronche qu'en fin de compte elle n'a pas besoin de lui.

Elle montre les victuailles éparpillées sur la table, découvrant en même temps la bouteille qui semblait n'attendre qu'elle.

Hum je suppose que ce présent n'est pas venu la par hasard !!
Bien nous avons tout ce qu'il faut pour travailler agréablement


Elle installe un linge sur le bureau pour protéger le bois et s'asseoit dans son fauteuil, en envoyant valser ses bottes !

Approchez vous, si vous ne craignez pas trop ...l'odeur. Bien que vous ne risquiez rien. Avec la fin de l'hiver,mes bottes ont des aérations.

Faussement piteuse, elle lui désigne ses semelles élimées.



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Sabifax
Le juge résiste! Pourtant la bouteille de mirabelle est devant lui et surtout le verre dans sa main est vide. Il résiste....il resiste puis finit par céder, il s'apprête à saisir la bouteille quand soudain la porte s'ouvre devant un spectacle des plus surprenants lui faisant croire, un instant qu'il déjà trop abusé de la mirabelle... Mais comprenez le. Qui aurait put imaginer voir un jour la procureure débarquait dans son bureau dans un mouvement aussi gracieux qu'une ballerine dansant dans le lac des ci..cognes. Et elle était vraiment convaincante, illustrant parfaitement son rôle du volatile, ailes déployées et une patte en l'air... waouh.... tout à fait charmant! Une chorégraphie mélangeant la danse et l'acrobatie auquel on était peu habitué en Lorraine. A la fois spectaculaire et manifestant une technique du ballet - du balais ??? - merveilleusement maitrisée pour une entrée tout en beauté.
Par contre, il reste à la nouvelle étoile des parquets de danse lorrain à soigner un peu son final. C'était pas tant les charcutailles étalées sur son bureau qui contraste avec l'harmonie de ses mouvements digne d'une vénus mais ce qui s'en suit.Un juron s'en suivit puis un cri à faire se renfoncer un juge dans son fauteuil.


Latronche qui est venu ici ?

Oups... le juge avale sa salive au petit goût de mirabelle, oh qu'il aimerait se fondre complètement dans le fauteuil. ou mieux encore, Après que Barberine se soit pris pour un rat de l'opéra, lui aimerait être une toute petite souris et pouvoir se réfugier dans un trou quitte à y laisser sur place sa bouteille..


Euh vous êtes là Juge ?

Au ton de la voix mielleux et à la couleur qui empourpre les joues de la jeune femme, il comprend qu'il n'est pas la cible de son emportement. A peine le temps pour le juge de se remettre de toute ses émotions, que barbie est déjà en train de lui montrer que même au tribunal, elle sait se comporter en parfaite maitresse de maison


Ah! Ça tombe bien...j'avais un petit creux là.

Il pointe le coté de son estomac puis se dépêche de finaliser la prépartion de leur importante réunion de travail, en ouvrant la bouteille pour remplir les verres du fabuleux nectar... deux doigts pas plus. Puis il voit les bottes de la procureure prendre la voix parfumée des airs jusqu'au coin du bureau et là, il se dit qu'ils on vraiment atteint un stade intime rarement vu entre un juge et une procureure. Il réfléchit un instant puis décide, pour ne pas prêter flanc aux rumeurs, qu'il est plus sage qu'il garde ses chausses aux pieds. Et puis....sait on jamais, pour peu que Cyann débarque à sa recherche au tribunal et qu'elle le trouve chausses retirées en compagnie de Barberine et ses orteils à l'air... Il ne saurait pas trop quoi lui expliquer pour justifier la situation. Il lui adresse un large sourire poli mais aussi ravi de voir toutes ses victuailles à partager.

L'odeur...oh ne vous en faites pas... Je suis habitué à pire.... * La fin de sa phrase et le sourire réveur qu'il accrocha à ses lèvres laissant presque sous-entendre qu'il pense à quelqu'un de particulier en la disant... *

Mmmmm... L'odeur des petites friandises que vous avez étalé ici est quand même capable de surmonter celle de vos... * Il regarde les pieds en éventails de la procureure * euh... de vos bottes.... Là bas...

Le jeune homme se dépêche de regarder vers le coin ou les bottes semblent agoniser en paix. C'est vrai qu'ils font pité ces bottillons usés, pense-t-il en se demandant si à force de parler de ses chausses, la procureure n'attend pas que le juge lui en offre en cadeau. Un peu comme lui il fait en parlant sans cesse de vin et de mirabelle et qu'ensuite il se montre surpris quand on lui proposé une bonne bouteille. A moins qu'elle ait apprécié son précédent bain de pied, la fois ou elle était tellement pompette et fatiguée qu'il lui avait préparé un baquet d'eau chaude parfumé pour relaxer ses pauvres petits pieds meurtris.

Le printemps arrive, bientôt nos pieds pourront profiter de l'eau rafraichissante qui coule dans nos lacs et rivières. En attendant, il ne nous reste qu'à... travailler.

Joignant le geste à la parole, il sort son couteau et tranche d'abord deux grosses tranches de pain puis commence à découper des rondelles de saucissons. N'ayant pas quatre mains pour tout bien préparer pour les dossiers qui les attendent, il hoche la tête vers Barberine et ajoute.


Pour une fois que j'apporte une bouteille dans votre bureau.... N'hésitez pas à vous servir un petit verre...et à moi aussi par la même occasion.

Bon... je voulais vous aviser que j'avais préparé l'examen pour l'entrée au barreau des postulants... J'y ai mis quelques questions bien corsées et d'autres pour voir un peu la personnalité des candidats.


Il se prend une rondelle de sauciflard et plante ses incisives dedans.

Miammm.... C'est vous même qui faites vos charcutailles ???

Pendant qu'il se reprenait une rondelle, il remarque un parchemin à terre et le ramasse. Il trouva surprenant que Barberine, pourtant d'ordinaire très bien ordonnée, laisse ainsi trainer des documents peut-être importants. Il le pose sur le coin de la table y laissant dessus une grosse empreinte de doigts bien graisseuse. Mais le parchemin lui rappelle aussi subitement la pile de dossiers qui l'attend encore dans son bureau, alors qu'il est ici...avec devant lui une magnifique tablée de victuailles, une bonne bouteille et Barberine...



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Barberine


Barberine se laissait aller contre le dos de son fauteuil. Elle savourait en silence ce petit moment de détente, une pépite dans sa journée fort chargée.

*Quoi de meilleur que de se prélasser en compagnie d'un juge agréable et à l'humour incisif. Elle appréciait de plus en plus leur collaboration, et la complicité professionnelle qui les liait.

Heureusement qu'elle n'avait pas eu à travailler avec certain juge.
là c'est simple elle n'aurait jamais mis les pieds ici.*


Pieds qu'elle agitait pour le moment béatement , remuant les orteils avec délices sous le nez d'un juge nullement incommodé.

Voila encore un avantage de cette collaboration, ils savaient l'un et l'autre qu'ils n'avaient pas à se gêner n'étant à cheval sur l'étiquette que dans l'enceinte du tribunal, pendant un procès.*

Pour le moment elle s’apprêtait à partager ces délicieuses victuailles avec Safi, et faire descendre rapidement une partie du contenu de la bouteille au fond du gosier.

Elle en était là de ses rêveries, quand la voix du juge la ramène à la réalité.

« Ah! Ça tombe bien...j'avais un petit creux là. »

Avec un sourire, elle lui tend la bouteille !

Je vous en prie, à vous l’honneur de déboucher ce divin nectar.

Elle l'observe en souriant ajoutant :
Je vois que vous savez-vous y prendre. Si jamais vous êtes aussi adroit avec les femmes j’en connais une qui …

Se rendant compte de l’incongruité de ses propos, elle s’arrête se sentant devenir écarlate et pour trouver une contenance elle feint de s’intéresser au parchemin tout graisseux que le juge vient de poser sur un coin de son bureau. Elle s’en saisit d’un air dégouté.

C’est quoi ça, !! C’était par terre ?
Mais c’est le document qui a failli m’assassiner !!
On ne peut pas le poursuivre pour tentative de meurtre sur la personne du procureur ?


Se rendant compte qu’elle en fait un peu trop, elle repose brusquement le parchemin sur le bureau, renversant du même coup la carafe d’eau qu’elle a toujours là , histoire de faire bon genre, mais qui doit être croupie à force de ne pas servir, rendant le papier totalement illisible.

Bah c’est pas grave, ce ne serait pas le premier document gâté par l’inconfort de ce bâtiment.

A ce propos, travailler vous dites ? Oui il faudrait bien, je vous écoute, qu’avez vous concocté pour nos futures stars du barreau lorrain ?

Leurs demanderez vous des effets oratoires, des effets de manches ou tout autre chose. Montrez moi, j’ai hâte de voir et de vous donner mon avis
.

N’ayant décidément pas la tête au travail, elle le regarde dévorer le saucisson .

Il est bon hein !!

Et avant qu’il ai eu le temps de lui poser la question, elle enchaine.

C’est du saucisson de cochon sauvage, savez-vous, un ami chasseur qui m’a rapporté la bête, enfin le produit fini. D’habitude c’est moi qui transforme dans ma boucherie, mais j’ai trop peu de temps en ce moment, et je ne vais plus que très rarement, dans mon échoppe. Les journées sont bien remplies et la nuit, humm, j’ai autre chose à faire.

Avec un soupir elle se rend compte que c’est la journée des gaffes, le printemps surement, elle pique un nouveau fard et se perd soudain dans la contemplation de son verre que le juge venait de remplir et l’avale d’un coup.


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Cyann
Le magistral bâtiment de pierres blanches se profilait d’ors et déjà au coin de la Grand rue quand Cyann laissa échapper de sa main un feuillet. Elle se précipita pour le rattraper avant qu’une mule, conduite par un vieux paysan venu au grand marché dans l’espoir - de vendre plus cher que dans son village - les productions de son maigre lopin de terre, ne vienne à les piétiner et à rendre, en les crottant de boue, illisibles ces preuves réclamées par la procureur Barberine dans le procès que l’ex rédactrice en chef de l’AAP souhaite intenter à Gnaaz. Lui faire rendre gorge …Or, la dégradation de preuve cruciale n’arrivait que trop souvent ces derniers temps laissant courir à travers la lorraine un fléau bien connu de tous : les mauvaises langues. La blonde se demandait toujours pourquoi gaspiller sa salive à dire du mal quand il y avait tant à faire de plus précieuses avec cet appendice ? Elle soupire et rêvasse … Comme se délecter d’un doux nectar, ou encore goûter l’un des fameux pâté en croûte fait maison ou encore une quiche de Rosana … elle regarde son panier sous son bras et hume salivant déjà …non aps la aquiche de rosana mais le saucisson maison il est grand temps de déployer tous ses charmes se dit la blonde en souriant d’aise. Mais une voix bien connue de Cyann résonne dans sa tête , Oma…

Dialogue intérieur…

« Arh so z’est du propreuu de fouloir acheter le chujeu pour entrer au barreau … tu aurais mieux fait, ma filleeuu, de réviser le codeexxeuu »

Bonbon ça va je le connais le codex ! Et d’abord, je te rappelle que je le « révise » tous les jours à l’hémicycle !

Ah Quatsch ! Ne spielst pas zur les mots Catherine-Anne


Cyann chasse d’un revers de main dans sa blonde chevelure l’importune grand mère qui, même morte et enterrée depuis des lustres, continue de l’ennuyer avec ses conseils. Un visage s’impose à elle, elle sourit et se dirige vers le bureau de son juge préféré. Elle trouve porte close. La jeune femme fait une boue boudeuse, ses plans seront contrariés voilà tout, celle a traversé la salle d’audience, elle est vide, le juge est donc sorti. Cyann murmure pour elle même :

Bien il ne me reste plus qu’à déposer ces feuillets pour Barberine. Je vais les déposer dans son bureau … Ainsi, si elle est là , je pourrais la féliciter pour son travail remarquable à l’assemblée ducale.

La jeune femme se rendit donc devant le bureau de Barberine. Un homme de haute stature et à l’allure patibulaire …mais presque comme dirait l’autre. La jeune femme se doute que le garde ne va pas la laisser passer ainsi ..


Halte là ! Qui va là ?

Bonjour je me nomme cyann, je viens remettre ces éléments d’un dossier à dame barberine, nostre bien aimée procureur ..

Donnez maam Cyann je vais les lui porter

Heu … elle m’a bien précisé en main propre

La garde regarde ses mains noires de crasse et fronce les sourcils, il relève la tete en grommelant des borborygmes incompréhensibles et s’approche de la plantureuse Cyann pour la palper de bout en bout, de part en part, de long en large et de haut en bas. Celle ci s’agite et proteste

M’enfin ! ce ne sont pas là des maniè…

Pas d’armes. Entrez, elle est là

La jeune femme sent encore sur son corps les mains du goujat de service quand elle ;se réfugie plus qu’elle n’entre fans le bureau de la procure. Et là son visage passe par toutes le teintes devant la scène qui se joue devant elle.

Barberine, renversée et lascive en appui sur le dossier de son trône, révélant ses pieds nus, les orteils offerts devant son bien aimé, penché sur la table, au dessus de cet orteil , fruit de tous les interdits. rappelons qu'au moyen âge, il est très indécent de dévoiler ses jambes bien plus que ses seins.

Elle reste coite de stupeur un moment puis, elle s’écrie légèrement hoquetante tant sa fureur oppresse son cœur


Ah ben je vois qu’on s’offre du bon temps par ici !
Ah …on ne se refuse rien au palais de justice ! Les agapes, les plus doux nectars et même ….
l’orteil de la procure ! ah ça ….


* ça à l’air de lui en boucher un coin à la blonde allez savoir que le histoire d’orteil il y a entre les deux amoureux…*

Et vu que j’étais présentement ici pour entrer au barreau ….
Finalement, ce cher Gnaaz se trompait sur une chose …. Ce n’est pas un bordel ici mais un harem ! Le harem de vostre honneur !


La jeune femme plante son regard bleu devenu glacial, et d’un air furibond tourne les talons et sort, elle avise Latronche qui ayant entendu les éclats de voix et vu le regard de la blonde, ne bronche pas, elle lui colle le panier dans les bras et dit :

T'nez c’est pour vous Latronche ! Le meilleur saucisson qui soit !

Cyann papillonna de ses cils blond un instant comme éblouie puis son regard océan viré au vert tempête se posa sur les parchemins dans sa main, après tout ce n'était pas à elle d'être gênée ... elle, elle gardait ses orteils bien au fond de ses chausses au lie de les exposer au su et à la vu de tous... et bien sur, si Sabifax la surprenait en pareil posture avec un homme ...
Elle fit un demi tour digne d'un soldat et pénétra à nouveau dans le bureau de la procureur. Elle allât droit vers le bureau ou trônait une série d'orteils en général ces machins là ça va par dix ... allez savoir !

[i]Elle posa la liasse sur la table et repoussant les pieds de Barberine pour les pousser dans le même mouvement, elle dit de sa voix claire et chantante un tantinet trop froide pour l'heure


Cachez ces orteils que je ne saurai voir ... Barberine ...

Voilà les preuves demandées dans l'affaire Cyann contre Gnaaz

La jeune femme, se tenant bien droite, se retourna vers le juge et dit en le toisant

Je vous attends pour l'examen d'entrée au barreau vostre honneur ... à moins bien sur que vous n'ayez mieux à faire ...
[/i]
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Sabifax
[Être juge, c'est le pied!?]

Un petit verre par ci.... une rondelle de saucisson par là... et une tranche de pain tartinée d'une terrine de lapin forestière délicieuse à s'en lécher les doigts et pas le temps de répondre à la procureure. Le juge est parfois poli, quand ça l'arrange et il ne parle pas la bouche pleine. Vous me direz qu'il aurait put arrêter, au moins un court instant, de s'empiffrer... mais parfois, il vaut mieux se remplir la bouche et l'occuper à mâchonner sans relâche plutôt que de répondre aux remarques salaces que la procureure lui fit après qu'un petit 'pop' ait montré qu'il s'y connaissait avec les bouteilles tout autant qu'avec les cruches de mirabelle. 'Je vois que vous savez-vous y prendre. Si jamais vous êtes aussi adroit avec les femmes j’en connais une qui … '. A ces mots, le visage du jeune homme avait viré rouge pétard, fait pourtant très rare... mais un trop plein d'images avaient déboulé dans sa petite tête, souvenirs et projections de sensations suffisamment enivrantes pour laisser paraître son trouble. Il n'eut d'autres solutions que de s'enfiler un verre de mirabelle pour retrouver un minimum de contenance et que sa binette retrouve des couleurs plus naturelles. Par chance, Barberine ne s'était pas éternisé sur l'aspect concupiscent de sa remarque et avait complètement changé de sujet...

Quand elle insinua que la nuit elle avait d'autres choses à faire, Sabifax lui sourit simplement. Sans doute elle ne comprit pas pourquoi le jeune homme d'ordinaire si prompt à taquiner surtout sur de tels sujets n'avait eu qu'un simple sourire rêveur. Mails il s'était tout bonnement souvenu que Barberine était une jeune mère certainement très attentionnée. L'image de la procureure passant toutes ces nuits, l'oreille aux aguets, attentive au moindre bruit de son enfant prête à s'en occuper avec toute l'affection qu'une mère est capable ou berçant avec une infinie tendresse son petit ange s'était formée dans l'esprit du jeune homme. Il réalisa qu'il ne s'était jamais enquis de son chérubin... Comment s'appelait-il déjà ? Ah oui... Tristan. Faisait-il ses nuits complètes ? Non...certainement pas puis qu'il semblait la tenir très occupée...

La regardant qui s'étire sur sa chaise prendre une pause dans son verbiage incessant et un autre verre de mirabelle, il allait lui justement lui demander des nouvelles de son fils, savoir comment elle trouvait ça.... d"être mère. Prendre quelques nouvelles, par curiosité mais sans trop d'indiscrétion. Quand soudain il vit entrer, telle une tornade, Cyann... Cyann... Le jeune homme figea de surprise. C'est qu'il ne s'y attendait pas du tout... mais alors pas du tout. Être pris ainsi, partageant un moment de plaisir épicurien avec la procureure, lui les doigts tout graisseux, tache de pâté sur sa chemise et effluves de mirabelle autour de sa tête; Elle pied en éventail, pose lascive et regard perdu fixant avec envie le saucisson que le juge pointait en l'air.

Elle n'aurait pas eu besoin de parler - mais peut on empêcher une femme de parler ? Alors.... une troubadour ??? - que rien qu'à son regard il aurait compris que la suite n'allait pas être une partie de plaisir. Regard froid, foudroyant.... le même qu'elle lui avait lancé l'autre jour... regard de la méduse comme il avait pensé... mais celui là semblait plus dur encore, plus incisif comme une morsure de deux canines qu'elle lui plantait dans le cœur en traitant le tribunal de 'Harem'.

Le juge fut un instant atterré, la regarda faire sans rien dire. Faire demi-tour puis revenir... Belle, fière et si belle malgré son regard implacable et qui trahissait ses émotions, silhouette élancée et droite, taille encore mince malgré son amour de la boustifaille lorraine et les déjeuners partagés avec le jeune homme, jambes longues cachées sous sa robe et ses jupons à l'extrémité desquelles trônaient les précieux, les inaccessibles, les insaisissables orteils pourtant si désirable à croquer (Non...non le juge n'est pas un fétichiste du pied, C'est vraiment juste une petite histoire d'orteil entre eux deux). Et surtout ce regard, ces deux yeux qui faisaient à la fois sentir au jeune homme toute une mer de culpabilité d'avoir été pris en flagrant délit de zieutage d'orteils, ces deux yeux lançant des éclairs qui foudroyaient toute l'assurance du jeune homme, ces deux yeux brulants et vifs chargés d'étincelles qui mettaient le cœur du jeune homme en émoi... Et pourtant même en colère, elle restait belle, éblouissante, resplendissante de superbe, blonde et flamboyante. Mais bon... c'était peut-être pas le moment de le lui dire.



Je vous attends pour l'examen d'entrée au barreau vostre honneur ... à moins bien sur que vous n'ayez mieux à faire ..


Le jeune homme fait mine basse un instant, un air un peu piteux, celui d'un enfant pas sage pris sur le fait d'une bêtise dont il n'a pas conscience. Puis il redresse son visage vers celui de la jeune femme dont il est tellement amoureux.

Cyann...

Là il marque une pause, hésitant à ajouter un petit mot doux de sa part, y aller d'un désormais classique mais tout aussi charmeur 'ma cruche adorée' ou s'essayer d'un 'bibiche' qui la laisserait un instant bouche bée puis déclencherait sur le jeune homme les foudres d'une colère Cyannesque. Le jeune sait déjà qu'il ne faut pas jouer avec le feu...tout comme il ne faut pas jouer avec les orteils des blondes.

Bref....là, autant essayer de limiter les pots cassés et faut pas pousser ma mie dans les ort...eils.


Je... j'allais justement en discuter avec Barberine.

Il mentait à peine. Le juge et la procureure ne faisaient que prendre des forces pour ensuite mieux discuter, l'estomac pleins et l'esprit léger des affaires de justices ducales. Il avait rédigé les questions d'entrée au barreau... certaines de droit, d'autres pour cerner l'éthique des candidats et voulait valider l'examen d'entrée avec Barberine. Certaines difficiles et demandant des solides connaissances et d'autres plus légère, à la portée d'une blonde.

Bon! Fallait quand même qu'il rassure un peu la donzelle sur ce qu'il traficotait avec Barberine... C'est que sa douce semblait n'avait pas apprécié de les trouver ainsi, pourtant si inoffensif... mais les apparences pouvaient être trompeuses. Et allez savoir ce que la troubadour s'imaginait. Était elle en train d'écrire dans sa tête un conte défait ?


Nous prenions un tout petit instant de... détente...

Il avait faillit dire 'plaisir' mais se ravisa juste avant que le mot sorte de sa bouche.
Faisant un pas en direction de sa bien aimée, il esquisse un sourire puis il désigne Barberine de son saucisson, évitant de croiser ses orteils du regard.


Et Barberine prenait un peu ses aises...
Vous savez... La procureure rencontre parfois des casse-pieds...

Excuses sincères et très fidèle à la réalité. Restait plus qu'à espérer que Cyann les croirait. Au moins ça serait un début... ensuite, il ne resterait au jeune homme qu'à se faire pardonner.

Allez... il s'essaye: Sourire charmeur au visage, yeux brillants et lui dit à voix basse et mielleuse...


Voulez vous un verre de mirabelle... ma petite cruche adorée?



_________________
Barberine



la Procureure croquait joyeusement dans un morceau de saucisson, profitait pleinement de ces instants de détente.
quoi de meilleur que ces discussions à baton rompu, avec un juge qui comme elle n'était pas trop à cheval sur l'étiquette. Le pied si on peut dire.

Jamais en ces illustres lieux on avait vu une telle entente entre les deux actants principaux de la justice.

Barberine devait quand même surveiller ses paroles, sa remarque sur les bouteilles avait fait monter le rouge aux joues de Safibax. Elle avait préféré changer de sujet, mais il avait fallu qu'elle fasse une allusion à ses nuits ...Heureusement, il n'avait rien entendu, ou fait semblant de ne pas entendre, ou avait mis cela sur le compte des nuits passées à s'occuper de Tristan.

*Tristan, comme il grandissait, pas toujours en sagesse d'ailleurs, son père avait pris en charge une partie de son éducation, et déjà ce petit bout de bonhomme ne rêvait que de courir, jouer, comme tous les enfants de son âge, et de faire tourner en bourrique sa nounou qui cédait à tous ses caprices.
il faudrait bien qu'elle l'amène ici, mais il ne tiendrait jamais une journée entière, et sur qu'il faudrait repartir sitôt arrivés. *



Elle en était là de ses reflexions, contemplant béate ses orteils écartés, etouffant discrètement un rot silencieux de sa main devant sa bouche, à moitié somnolente après cette dinette impromptue, se demandant quelle excuse invoquer pour repousser la discussion sur l'examen d'entrée au barreau, quand la porte du bureau s'ouvre.
Une jeune femme apparait.
Barberine n'a pas le temps de rectifier la position et de se lever pour l'accueillir, que la jeune femme, en qui la Procureure reconnait la blonde avec qui elle travaille parfois à l'Assemblée Ducale, et au demeurant muse bien aimée du Juge, s'arrête, pousse un hoquet de fureur, et tourne les talons.

Barberine ahurie regarde le juge .

c'est quoi c'ette allusion au harem du juge ?
m'enfin c'est pas des manières, vous direz à votre......

Elle n'a pas le temps d'en ajouter davantage, quela blonde furie revient fait volte face en lui ordonnant

Citation:
Cachez ces orteils que je ne saurai voir ... Barberine ...


Barberine, d'un abord plutôt conciliant, n'aime cependant pas qu'on vienne lui donner des ordres dans son bureau. Et puis ses orteils, qu'ont ils de dérangeant ses orteils, à part une légère odeur, de plus en plus légère d'ailleurs, presque agréable maintenant que l'odeur du saucisson et de la mirabelle l'avaient enveloppée.

le regard de Barberine allait du Juge à sa blonde troubadour, interrogative, guettant les réactions de son jeune confrère. Amusée, elle constate qu'il ne sait pas trop quoi dire, essaie de plaisanter pour alléger l'atmosphère mais qu'il n'en mène pas large.

*Ah ça mais ... notre petit juge porte la robe au tribunal, mais il semblerait qu'en privé ce ne soit pas lui qui porte la culotte. Soit mettons les choses au point. Ce sera une explication entre blondes alors.*

Contenant sa colère, elle s'adresse à la jeune femme.

Je vous souhaite le Bonjour Dame Cyann.

La plus élémentaire politesse voudrait que vous fassiez de même. Vous êtes dans mon bureau, vous n'avez pas à me donner d'ordres ici, ne l'oubliez pas. Et si la vue de mes orteils vous offusque vous n'avez qu'à fermer les yeux.
Nous sommes en pleine réunion de travail, et sachez que j'ai autre chose à faire que d'exhiber mes pieds endoloris sous le nez du juge, pour je ne sais quels motifs inavouables. j'ai eu un dure journée voila tout, et ... puis en fait je n'ai pas à me justifier devant vous.


Elle prend les documents laissés par par la jeune femme, et les pose sur le meuble à côté.

Ces preuves pourront attendre, pour le moment je n'ai pas les moyens de découvrir où il se cache, bien que certains le voient tous les jours. De la sorcellerie pensez vous ?

Avec un sourire, elle replie ses jambes, rangeant modestement ses orteils sous sa robe de procureur.

Calmez vous Cyann, partagez avec nous la fin de ces modestes agapes, et surtout la mirabelle que l'administration nous octroie si généreusement.
Puis nous verrons ensemble les modalités de votre examen d'avocat, si le juge est d'accord.


Elle tend le bras pour lui désigner le fauteuil à côté de celui du juge, en pensant in petto * heureusement qu'elle ne m'a pas surprise endormie dans le bureau de son bien aimé les pieds faisant trempette dans une cuvette remplie d'eau aromatisée à la lavande.*


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Cyann
Cyann...

Je... j'allais justement en discuter avec Barberine.

Nous prenions un tout petit instant de... détente...

Et Barberine prenait un peu ses aises...
Vous savez... La procureur rencontre parfois des casse-pieds...

Et dire qu’il se fait tout miel…

Je vous souhaite le Bonjour Dame Cyann.

La plus élémentaire politesse voudrait que vous fassiez de même. Vous êtes dans mon bureau, vous n'avez pas à me donner d'ordres ici, ne l'oubliez pas. Et si la vue de mes orteils vous offusque vous n'avez qu'à fermer les yeux.
Nous sommes en pleine réunion de travail, et sachez que j'ai autre chose à faire que d'exhiber mes pieds endoloris sous le nez du juge, pour je ne sais quels motifs inavouables. j'ai eu un dure journée voila tout, et ... puis en fait je n'ai pas à me justifier devant vous.



Cyann est coincée et elle le sait.
Cette situation lui laisse peu d’échappatoire… Si elle repart vexée, on pensera qu’elle est jalouse inutilement, qu’elle ne supporte pas qu’une autre femme approche Sabifax ou pis encore ! Alors que l’amitié de Barberine et de Sabifax n’a jamais gêné la blonde qui elle même a quelques amis du sexe opposé et croit sincèrement en cette amitié homme femme. Et les agapes …elle est toujours pour la troubadour ! Boire et manger y’a que ça de vrai pour sur… E comme aurais dit feu oma, « il faut savoir choindre l’utileueuu à l’hagreableeuuu » Toujours la première à profiter des choses simples de la vie.

Non ce qui gêne la jeune femme éperdument amoureuse du juge, c’est de le voir en train de se sucer les doigts et de lécher ses lèvres d’un air de gourmand satisfait juste en dessous de 5 orteils au comble de l’extase …. Sans doute d’être libérés enfin, de l’emprise d’une botte aussi contraignante que puante mais .. voilà … il la provoque c’est clair. Il la convie à venir au tribunal pour passer l’examen d’entrée au barreau et quand elle y arrive, elle trouve comme par hasard devant elle, un Sabifax en train de baver devant les précieux d’une autre blonde … il ne peut pas ne pas l’avoir fait exprès. Barberine ne sait peut être pas -à moins qu’il ne l’ait mise dans la confidence …-mais Lui sait. L’orteil, c’est sacré. Il en ont rit, ils en ont joué, c’est THE tabou, elle lui a même écrit un poème là dessus. C’est comme un gant jeté à sa face surtout en ce moment où son humeur se fait un tantinet irascible …

Cyann se demande bien pourquoi celui à qui elle a confié son cœur se rit ainsi de ce qui va a coup sure la toucher. En prime, il en rajoute une en révélant à cette amie à lui l’un de ses nombreux surnom qu’il lui adresse dans l’intimité. Alors même : qu’il lui a demandé expressément de pas utiliser leur petits noms en public il y a déjà fort longtemps. La blonde ne peut que se sentir trahie. Mais pourquoi diable lui fait il cela ? elle n’en a strictement aucune idée. Elle nage fans le bonheur. Et lui avait l’air tout à fait heureux aussi … Pourquoi lui fait il cela ? L’esprit de la blonde (sisi elle en ont ) cogite à 18 lieux à l’heure. Puet être est elle trop attaché à ce symbole, peut être ce là pur hasard et peut être le jeune homme s‘est t il simplement pris dans une toile d’évènements qui l’ont conduit un peu malgré lui là à se lecher ses lèvres oulets douce comme de la soie malencontreusement …. Le pardon s’imposerait il ? il lui sourit adorablement et se penche vers elle puis ajoute



Voulez vous un verre de mirabelle... ma petite cruche adorée?


Cyann sursaute, il a osé ! Dire qu’il lui a demandé de ne pas révéler ses petits noms qu’elle lui donne en privé en public et voilà que lui sans aucune vergogne et alors même qu’il ‘est déjà mise en fâcheuse posture dévoile un de ses petits noms qu’il lui donne, al blonde rougit un instant elle est suavé par Barberien qui apres l’avoir rabrouer vertement, se reprend sur un ton aimable.

Calmez vous Cyann, partagez avec nous la fin de ces modestes agapes, et surtout la mirabelle que l'administration nous octroie si généreusement.
Puis nous verrons ensemble les modalités de votre examen d'avocat, si le juge est d'accord.


Barberine la d’abord prise de haut, affirmé sa suprématie « mon bureau » « la procureur » « nous on travaille » genre Cyann glandouille toute la journée elle se fait les ongles… ils travaillent eux… tu parles on bouffe et on boit oui ! Comme si Barbie et Cyann ne se connaissait pas… on dirait qu’elle s’adresse à, un sous fifre … elle se prend pour qui la greluche ? Cyan a mal au cœur elle attedait autre chose de celle qu’elle apprécie beaucoup ..Et voilà qu’il faut qu’elle décalme la troubadour…
MMmhh Il ne faut pas partir, elle perdrait la face… d’un autre coté, Sabifax s’est servi de leurs secrets intimes, et ça la blesse. Par contre Cyann soit avouer qu’elle comprend Barberine, elle aussi elle en a plein les bottes de cette journée …

La jeune femme se décide


Oui vous avez raison Barberine, il ne faut jamais gâcher de si PRECIEUX trésors au frais de la princesse et comme vous j’en ai plein les botttes de cette journée … partageons cet encas à ce propos ….

Cyann fait volte face pour la troisième fois, rouvre la porte et se plante devant Latronche puis, elle lui reprend le panier de victuailles des mains (à l’allure ou il réfléchit il a pas eu le temps de lui trouver une place d’autant qu’il est trop occupé à écouter aux portes.

Désolée .... vous savez ...les femmes ont l’humeur changeante dit on
Vous vous en remettrez mon brave * sourire framboise désarmant *
Voilà pour votre peine


Elle brandit un saucisson et lui glisse dans al poche avant de sa chemise puis retourne dans la bureau du procureur en prenant bien soin de fermer la porte derrière elle. Elle dépose le panier sur le bureau et dépose ses bienfaits sur la table. Pains ronds et croustillants et deux saucissons maison. Elle regarde Barberine lui a avancé une chaise. Elle dépose son châle bleu clair sur le dossier, s’assoit se penche vers ses pieds, grimace et finit par déployer surval table un éventail de doigts de pieds fripés et nauséabonds, tout en affichant un sourire radieux, elle s’étend, baille , prend ses aises et un chat faisant le dos rond pour ensuite étendre ses pattes. Elle se redresse légèrement devant leur regards ahuris du changement d’attitude et sourit malicieuse

Ben quoi ?
A Rome on fait comme les lorrains…


Tout en se penchant pour attraper une tranche de pâté et un pain qu’elle engloutit prestement. Elle dit à voix basse en aparté à Barberine sur un ton de confidence

Et puis faut que je me fasse bien voir par le juge si je veux avoir l’examen …

Le pâté n’est qu’un prélude… à l’orgie qui va suivre. Elle avale mange engloutis dévore le tout en n’oubliant pas de se délecter, de se pourlécher les doigts avec force mmhhhhb cruntch, de savourer, de goûter de tout par curiosité et de regouter par pur plaisir… c’est à croire que la Cyann mange pour deux.. trois ? La fontaine se fait puits sans fond. Une fois repue, elle s’étire et s’allonge la tête appuyée contre le mur du fond, les pieds sur la table et semble légèrement somnoler …
_________________
Sabifax
[La vie ne vaut d'être vécue sans avoir été gourmand de ce qu'elle offre... ]

En voyant les petites flammèche qui traversaient les yeux de son aimée, le juge comprit que la blonde réfléchissait. Ses neurones menaient un débat intérieur qui inquiétait le jeune homme. Non pas qu'il craigne le fait qu'elle réfléchisse... mais surtout l'issue de sa réflexion. Il savait qu'il avait fait une gaffe, un peu comme un enfant pris en faute, qui baisse la tête et regardes ses pieds en attendant que l'orage passe. Mais là, avoir sut... le juge aurait regardé ses propres pieds dès le début au lieu de se mettre les pieds dans le plat comme il l'a si bien fait. Il paraît que la vengeance d'une blonde peut être terrible, alors il s'inquiète.

La jeune femme ne semble pas avoir apprécié son ton tout mielleux ni son petit surnoms intime et affectif lancé devant la procureure. C'est que le jeune homme aime la taquiner. 'qui aime bien taquine bien' est un peu sa devise même si il aime bien l'autre expression aussi... 'qui aime bien chatouille bien'. Mais la blonde sait bien se défendre et il est plus facile de la taquiner que la chatouiller. Par contre, c'est plus risqué.


Tiens en parlant d'expression, il lui en aurait bien sortie une là, mais pouvait-il-se permettre de lui murmurer 'Tant va la cruche au rire grelôt qu'à la fin, il lui fit la bise' ? Une bise chaste et pure. Bien plus sage que d'enchainer d'autres expressions '...ils se grisent', '...il retirèrent leurs chemises' ou '...ils s'embrassèrent avec gourmandise' puis finalement '...ils firent des bêtises'. Bref... variation d'amour concupiscent et de convoitise charnelle autour de la seule, l'unique C... adorée.

Il regarda faire son aller retour jusqu'à latronche. Le pauv' type ne semblait plus trop comprendre cette histoire. Au moins, le garde y avait gagné un saucisson et le juge venait de décider que s'était une raison de plus pour sympathiser avec Latronche.


Quand Cyann posa finalement son panier sur la table et en sortit charcutaille et petit pains chaud, il sourit rassuré. La belle n'était pas partie, ce qui aurait plongé le jeune amoureux dans un grand désarroi. Et là, qui sait ce qu'il aurait fait ? Serait-il allé jusqu'à se jeter à ses pieds pour obtenir son pardon ? Tout ça pour une histoire de pieds prenant l'air. La situation peut paraitre anecdotique, mais depuis le début de leur histoire, les orteils de la blonde étaient un peu son jardin secret. Trésor pour l'instant interdit qu'elle préservait précieusement. Quand il a vu son regard, il a réalisé que flirter avec les orteils d'une autre sous son nez était bien pire qu'aller tremper son doigt dans un pot de confiture aux groseilles, c'est pour dire...

Sabifax était quand même philosophe, les choses auraient quand même put être pis, si il s'était retrouvé de surcroit, en train de manger du kougloff avec une faim de loup au moment ou la Blonde aux rubans bleus serait rentré. Le genre de trucs que Cyann n'aurait pas facilement passé l'éponge.

Il la regardait du coin de l'oeil pendant qu'elle s'installait à la table. Espérant qu'elle lui dise un petit mot, un signe qui fasse comprendre au juge que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais Rien pour lui...

Quand le troubadour s'étira sur sa chaise puis posa ses deux pieds bien en évidence sur la table, 'Noooon...non... pas ça...' pensa-t-il en la voyant faire. Sa bouche forma un 'O' bien rond et aucun son ne put sortir. Il commença par blêmir, n'osant pas trop regarder les orteils tentant que la belle étalait entre un paté en croute et un petit gâteau moelleux. La sirène n'a pas les pieds palmées. Elle avait osée exhiber sous ses yeux l'objet de tant de fantasme pour le jeune homme. Qu'il les voit n'était pas le plus gênant, mais là... au tribunal et devant une procureure qui devait se demander à quoi jouait les deux tourtereaux. Sabifax secoua les plis de sa robe pour se redonner contenance puis laissa ses yeux glisser distraitement vers ces dix convoitises paradant fièrement tel des soldats en rang prêts pour la revue des troupes par le colonel. Justement, il savait bien que si son regard se perdait dans ses appendices tout aussi nauséabond qu'envoutant et que ses pensées le menaient entre les creux d'orteils, il ne serait pas long à se mettre au garde à vous.

Que faire ?

Il tourne son visage vers la procureure qui semble tout aussi surprise que lui, sauf que elle.... il est évident que la situation l'amuse tout de même. Elle doit comprendre qu'avec cette histoire de pied, le juge est dans l'eau chaude sans trop savoir comment en sortir. La poétesse lui a fait un sacré pied de nez. Retrouvant un peu des couleurs, il lance en bafouillant...



Hum... euh... Vous ne trouvez pas qu'il fait chaud ici ?
Que diriez vous si nous ouvrions la fenêtre ? Après tout, c'est le printemps et un peu d'air frais nous fera le plus grand bien.


Il est arrivé à parler... Il se lève sans attendre la réponse et ouvre grand la fenêtre qui donne sur la grande place de la capitale Lorraine. L'odeur du stand de la poissonnière située juste au pied du mur lui arrive à ses narines. Peu importe, il prend une grande respire et sent les couleurs lui revenir un peu Après tout c'était le printemps. Dans la campagne lorraine les oiseaux recommençaient à gazouiller, les écureuils gambadaient à travers les branches des arbres et les petits poissons frétillaient au fond des cours d'eau. Sabifax devait affronter les orteils.

Il retourne à la table. La plantureuse blonde engloutit des montagnes de charcutailles, se lèche les doigts et les babines sans vergogne. ( Les lecteurs modernes verront ici, de qui Rabelais a put s'inspirer quand il a écrit Gargantua). Le juge se mord la lèvre inférieure, il fulmine un peu et commence à se poser bien des questions. Apparemment la vengeance est un plat qui se mange tout aussi bien chaud que froid pour la blonde.

Le jeune homme sourit, il ne peut pas s'empêcher de penser 'Tant va la cruche au rire grelôt qu'à la fin, elle s'empiffre de friandises'. Mais shhhhttttt... il ne dit rien. Faut pas non plus pousser le bouchon trop loin. Elle semble calme, à moitié endormie mais qui sait ce qui sommeille en dedans ?

Il pourrait lui faire remarquer qu'elle va grossir... Mais peut-on dire ça à une femme ? Puis... elle verra bien qu'à force de manger ainsi, son ventre va bedonner. Il l'aimera quand même...

Sabifax se prend une tranche de saucisson à l'ail, croque dedans et ne peut s'empécher de regarder ses orteils tendus. Le saucisson l'aide à déglutir et l'empêche de trop bavouiller. Il ne manquerait plus que Barberine le voit avec un filet de bave au coin des lèvres. Il suit des yeux les petites formes arrondis qui se dressent dans les airs et gigotent parfois. Il résiste tant bien que mal... croque ou croque pas ces petits petons ? Ils sont là, appâtant le jeune homme qui imagine bien des choses autour de ces orteils... un fantasme à portée de main ? Juste une croque, une petite du bout des dents, lui faire sentir la pointe incisive piquer sa peau ou suçoter un gros orteil comme on suçote la pointe d'un ... sucre d'orge. Ce sont des pensées troubles qui envahissent le jeune homme alors que son imagination très (trop ?) fertile se lance déjà à l'assaut du galbe des mollets de la délicieuse jeune femme.


Aiiiie!!!!


Il vient de se mordre les doigts, trop perdus dans sa rêverie que la tranche de saucisson entière s'en est retrouvée engloutie. Un doigt a suivi. Dans un sens, c'est salvateur. Son errance concupiscente prend fin avec un coup de dent pas là ou il rêvait. Il reprend ses esprits... Pourquoi est il ici déjà ? Ah oui...

Bon! C'est pas tout... mais maintenant que nous avons tous bien mangé...
Si nous nous mettions au travail ?


Il regarde les deux jeunes femmes qui n'ont pas l'air très motivée à se mettre à l'ouvrage. L'heure de la digestion et L'air frais rentrant par la fenêtre ouverte n'aident en rien. Le jeune homme lâche un soupir... Arffff.... le travail... ça sera pour une prochaine fois. Il tire sa chaise à coté de celle de Cyann. Sous la table on entend un petit frottement de tissus, le juge fait une petite grimace d'effort puis... d'un coup il s'affale sur sa chaise et pose ses deux pieds sur la table. Il sourit à Cyann, sous le regard encore plus éberlué de la procureure - Qu'est ce qu'elle doit penser d'eux ??? Le jeune amoureux, laisse son petit orteil flirter contre le pied de son amante, pose sa main sur la sienne, ferme à moitié ses paupières et sourit heureux... Main dans la main, Pied contre pied avec sa bien aimée. Encore et toujours le bonheur par fée.




_________________
Barberine



Barberine avait suivi cet échange entre le juge et sa fée avec un petit sourire de connivence, mais en même temps elle s'empifrait sans vergogne , à l'instar de son homologue blonde.

Un petit paté par ci sur une épaisse tranche de pain, un peu de saucisoon par là, agrémenté de légumes et surtout entrecoupé à intervalles réguliers par le pur produit du terroir lorrain.

A force le rouge lui montait aux joues et elle devait réprimer des hoquets sonores qui la secouaient.
Elle se laissait plonger peu a peu dans une douce béatitude, ayant du ml à garde les yeux ouverts.

C'est tout juste si elle entendit la vois quelque peu pateuse du juge
Citation:
Hum... euh... Vous ne trouvez pas qu'il fait chaud ici ?
Que diriez vous si nous ouvrions la fenêtre ? Après tout, c'est le printemps et un peu d'air frais nous fera le plus grand bien.



Elle se redresse un instant et murmure f f faites... en faisant un vague signe de la main, ses petits pieds s'agitant joyeusement sous sa chaise.

Elle s'enfonce plus profondément dans son fauteuil, ferme à demi les yeux, sursaute au cri poussé par ... par qui au fait, la blonde ou l'honorable juge ?

le sommeil la gagne.

Elle parvient tout juste tout juste à entendre Safi qui demande
Citation:
Bon! C'est pas tout... mais maintenant que nous avons tous bien mangé...
Si nous nous mettions au travail ?


bandant sa volonté elle répond

papotib pasque euh ..papotib demain..

et sans résister davantage, elle s'envole dans le royame des rèves où des visions agréables lui dessinent un joli sourire aux lèvres

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Barberine




quelques jours plus tard

Barberine avait été nommée Procureur pour un autre mandat.
Et le juge était toujours son collègue et ami Safibax.

Après un petit détour elle revint le coeur léger dans son bureau, portant précautionneusement une bouteille de vine de glace du domaine de Faulquemont, cadeau que le lieutenant de la maréchaussée d'Epinal, Olivier, lui avait apporté juste après avoir démissionné de sa charge, en lui suggérant qu'elle pourrait le déguster en compagnie du juge.

Elle prépare donc de quoi déguster cet inestimable cru, et attend le petit juge pour avoir son avis


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