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[RP] Le Camp des Croisés

--Priester
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort,
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la vie éternelle.

Amen




Dans Dieu Nome. laisser le Effusion de sang rester Comment dit Christos.

Vivre et laisser vivre
Dans Die Nome pas de sang doit couler.
Mai Dieu vous bénisse
Linexiv
[Campement tourangeau : y sont téméraires ou juste (futurs) boucliers humains ?]

Après une arrivée des plus maussades qui concluait un dernier voyage encore plus déprimant que le précédent, les croisés tourangeaux eurent une belle surprise en découvrant l’emplacement choisi pour dresser les tentes qui désormais grâce au gel tenaient pratiquement toutes seules debout. Au moins maintenant, Line comprenait mieux pourquoi le Capitaine avait gardé un sourire sur ses lèvres depuis le départ de Chalons et ce malgré l’arrêt forcé à Saint-Claude.

Oui, pas la peine de chercher une excuse genre, dernier arrivé, dernier servi, un coup pareil devait avoir été manigancé depuis le début. En plus, ça correspondait parfaitement à l’esprit de la maison, à force de les côtoyer Line s’était rendu compte qu’ils craignaient toujours de ne pas en avoir assez à étriper. Cette fois-ci, pas de risques, ils seraient aux premières loges ! Mais quand même quelle idée !

Dire qu’après avoir pataugée dans la boue, puis la neige, plus propre mais plus collant et surtout plus glissant ; Avoir laissé la section de Donotach partir en éclaireur pour pousser les charrettes lors du passage du col en maudissant Skippy et son chargement. Parce que lui, évidemment, il était resté en arrière préférant leur laisser le privilège de trimbaler toutes les marchandises. Et avoir rejeté la proposition d’Ellana concernant l’allègement des carrioles de part la consommation de quelques bouteilles par crainte d’une nouvelle semaine de garde, elle espérait avant tout pouvoir souffler un peu…

Mais c’était sans compter les instructions du Capitaine données à Donotach qui stipulaient juste de monter les tentes …. du côté de l’entrée principale de Genève ! Et vu les uniformes sur les remparts, il semblait que la caserne de la ville devait être adjacente ! Cela risquait d’être musclé…

Enfin, ça sera une revanche pour le temps perdu devant Saint-Aignan…

Line haussa les épaules, une chose était sûre, si le Capitaine avait choisi cet emplacement, c’était pour faire peur aux habitants de la ville, alors mieux valait tout faire comme il faut dans cette optique. Et en premier lieu, veiller à planter les bannières de façon à ce qu’en face ils sachent bien à qui ils avaient affaire. Étant en charge de celle de son futur suzerain le Duc d’Azay, Line s’affaira à la manœuvre et dans un geste un peu trop cérémonieux manqua de fracasser la hampe.
Étendard et sol gelé, ce n’était pas compatible. L’idée d’aller chercher une pioche la fatigant d’avance, elle choisit l’option bonhomme de neige et entreprit de construire un petit monticule au milieu du quel elle planta ladite bannière. Le tout devant le regard affligé d’Ellana et de Donotach. Enfin s’ils avaient une meilleure idée pour Montlouis, Val de Loire et Touraine ! ça allait bien tenir, on ne risquait pas le dégel après tout !

La chance fut avec elle : la haie drapée passa l’épreuve de la première nuit, par contre, il allait falloir éviter d’y toucher trop : le tissu était en train de geler !

Bien décidée à faire définitivement oublier l’épisode honteux d’Autun, Line s’était préparée en un temps record et se dirigeait vers la tente de commandement pour prendre compte des instructions du jour et les transmettre aux soldats lorsqu’elle fut arrêtée par une étrange scène : l’un des gardes repoussait une invasion des plus dangereuses, un cavalier, trop fin et petit pour être un soldat qui semblait vouloir absolument passer.

Line s’avança quelque peu, les croisés étaient décidemment de plus en plus jeunes, voilà qu’ils recrutaient des mômes à présent ! Vu l’aplomb, le port de tête, pas d’hésitations à avoir, le gosse était de bon lignage.
L’énoncé de son nom confirma ses soupçons et fit plier le garde peu désireux d’écoper d’une sanction à dix minutes de la relève. Comme le jeune noble poursuivait sa route en menant son cheval par la bride jusqu’à rencontrer un page à qui il renouvela sa demande, elle décida de marcher à sa rencontre.


Mes respects… Jeune ... Sire

La mention du val de Marne l’ayant fait tiquée, elle ne put s’empêcher d’insister sur le dernier mot.

Je vais vous conduire jusqu’au Capitaine, Pierre du Val de Loire.
Si vous vouliez bien laisser votre monture au soin du page ?
Arfast


Octo entra dans sa tente au moment même où il jetait un oeil à quelques cartes et gribouillis qui trainaient sur sa petite table basse. Il lui demanda que faire pour les archers et se rendant compte de son erreur dit:

- Merci Octo, une chance que tu es là pour m'y faire penser, j'allais oublié les tours de gardes. Vient avec moi, nous allons voir ce que nous pouvons faire avec le bois qu'il nous reste.

Quelle chance que le premier faucon fut venu pour lui faire remarquer cet oubli, qui aurait pu compromettre leur défense. Il sortit de la tente Riveroy, laissant sur sa table quelques papiers dont sa carte de leurs positions.



Arfast ordonna qu'on reprenne haches et pelles pour bâtir les tours de guets aux entrées et aux coins du camp pour permettre aux archers de tirer d'une position plus aisée. Il en profita pour inspecter les défenses, rien n'avaient changé durant la nuit et la palissade était bien solide.

Lorsqu'il eut terminé son inspection, il donna un coup de mains aux vaillants faucons qui terminaient les dernières tours ( ce qui en fait, leurs pris presque toute la journée ). Certes elles ne valaient pas une tour en pierre sur les remparts mais elles leur permettait de voir plus loin la venue d'amis ou d'ennemis et de tirer à bonne distance, tout en gardant les entrées. Il vit alors le duc qui entrait dans sa tente et, ayant à faire à lui parler, il donna à Octo un parchemin sur lequel il avait organisé les tours de garde pour la journée et lui demanda de le faire connaître à tous les faucons, sans restriction de front.

Il salua ensuite ses soldats et les remercia de leur bravoure et de leur dévouement et les quitta sur un:

L'Orléanais vaincra fidèle à son Roy !

Le Patichon se dirigea alors vers sa tente, s'équipa et se rendit au centre du camp, pour demander à parler au Duc. Devant la tente deux gardes empêchaient l'entrée, hormis lors des réunions de l'État-Major.

- Dites à Sa Grasce qu'Arfast désire le voir pour entretien personnel je vous prie.

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--Priester
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort,
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la vie éternelle.

Amen




Dans Dieu Nome. laisser le Effusion de sang rester Comment dit Christos.

Vivre et laisser vivre
Dans Die Nome pas de sang doit couler.
Mai Dieu vous bénisse
Donotach
[Campement tourangeau : une section qui s'agrandit]

Le sous-lieutenant Line ayant reconduit le noble sire au capitaine alla cherché Donotach.

Lorsque celui-ci entendit son nom, il arrêta tout de suite sa besogne et alla voir le sous-lieutenant. Ben quoi il n'avait pas envie de la faire attendre et de se taper la corvée tout seul.

Nous avons un nouveau dans nostre armé vous dites. Vous voulez que je m'en occupe, ok pas de problème je l'incorpore dans ma section.

Tout en bavardant un peu avec le sous-lieutenant nous allâmes vers la tente du capitaine. Il y a un moment que nous n'avons pas eu l'occasion de discuter un peu, cela fait du bien.

Lorsqu'il arriva devant la tente du capitaine ils attendîres que le capitaine soit prêt à les recevoir.

Le capitaine sorti de la tente avec un jeune homme. Donotach était loin de se douter de qui il avait devant lui.

Bonjour capitaine, vous avec une recru pour moi à ce qu'il parait?

-- Donotach, je vous présente Sieur Grimoald de Montmorency, nostre nouvelle recru.

-- Je fut fort surpris de cette nouvelle, je ne m'attendait pas a un si jeune homme.

-- Je compte sur vous pour qu'il apprenne tout ce qu'il doit savoir me dit t'il. Je le mets sous vostre garde, de vous il dépendra.

Bien, je promet de veiller sur lui jusqu'à ma mort capitaine.

Puis nous nous retirâmes vers nos tentes. Bonjour, à vous sieur, je suis Donotach, meneur de la deuxième section de l'armée de la Crépi Coronia. Venez je vous présente aux autres membres de nostre section.

Voici nostre petit coin, le plus rapproché des remparts de la garde Genevoise. Ne vous en faites pas mon petit, c'est nous qui avons la meilleurs vue de tous. Lorsqu'un soldat bouge le petit doigt sur les remparts, nous sommes les premiers à le savoir. Mes hommes les surveilles même lorsqu'il se repose un peu, Jamais il ne les quittes des yeux.

Comme nous n'avions pas été informé de vostre venu, je vous prends dans ma tente. Malgré la toile gelé on y dors bien. J'espère que vous avez vos couvertures avec vous au moins.

Fiocco, voici nostre nouvelle recru, j'ai quelques travaux à terminé. Armé le bien et je compte sur vous pour commencer l'entrainement du maniement des armes, voyez où il en est rendu de ce côté.

Puis je retournai au bannière histoire de renforcer les monticules créé par le sous-lieutenant. S'il fallait que ceux-ci tombe ce serait la catastrophe.
Wulfrik
[à l'écart du campement de l'Ost Orléanais]

Wulfrik priait. Un genou à terre et son épée en croix plantée au sol. Le vent d'hiver faisait flotter ses cheveux comme étendard au vent. Périgourdin d'adoption, mais danois avant tout, c'est dans sa langue maternelle que le colosse s'adressait au Très Haut:

- Jeg tror på Gud den Højeste Almægtige
Skaberen af himlen og jorden,
From Hell og Paradise,
Forestil dig vores sjæl i timen for døden.

Og Aristoteles, hans profet,
søn af Nicomachus og Phaet,
sendt til undervise visdom
og guddommelige love i universet for den tabte mænd.

Jeg tror også på Christos,
Født Maria og Giosep.
Han viede sit liv til at vise os vejen til Himlen.
Således, efter at have lidt under Pontius,
Han døde som en martyr for at redde os.
Han kom til Solen, hvor den venter på Aristoteles til højre for meget høj.

Jeg tror på guddommelig handling;
I den hellige romerske aristoteliske Kirke, ene og udelelige;
I de Helliges Samfund;
I syndernes forladelse
I det evige liv.

Amen.


Sa prière finie, il se releva dans un crissement de cuir dont étaient fait ses chausses et sa brigandine; crissement qui ne couvrait qu'à grande peine le bruit des anneaux de métal de sa cotte de maille. Il avait vu bien des gens en armure aujourd'hui, toutes rutilantes. Lui, soldat désœuvré et peu enclin aux richesses de ce monde, devrait se contenter de ce vieil héritage de famille que lui légua son père, qui le tenait lui-même du sien.

Lame toujours en main, il commença à effectuer quelques passes, face à un adversaire imaginaire. Au fur et à mesure de l'exercice, ses mouvements se faisaient plus précis, plus coordonnés mais hélas sans vraiment de grâce, tout taillé qu'il était comme un bûcheron. L'épée sifflait dans les airs, Wulfrik gardant les yeux clos et laissant son esprit se pénétrer des images lointaines de son pays natal, de son Jutland adoré, et de ses mêmes exercices que son père lui avait enseignés il y a, ce qui lui semblait, une éternité.

Rouvrant les yeux et reprenant son souffle, le danois posa ses yeux sur les remparts de Genève. Il avait depuis longtemps l'envie de les voir. Mais pas vraiment pour les mêmes raisons qui l'ont poussé à être là aujourd'hui. Il soupira. Si les combats éclataient, beaucoup d'innocents y laisseraient la vie. Pour une poignée de chiens, de scélérats, hérétiques ou non, qui avaient lâché une meute d'assassins, de pilleurs et d'affameur sur le Béarn. Il leva son épée vers les remparts, et se promit qu'il ferait tout ce qui est en ses humbles moyens, pour que quelques-uns de ces chiens périssent sous sa lame.

Détournant son regard, il reprit le chemin du camp, à la recherche d'un ou deux compagnons pour partager avec lui quelques bonnes rasades dans les tavernes extérieures de la ville.

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Patsy


[Campement normand...à coté de "Rohana"]


Conches fut surpris dans ses pensées par son vieil ami Mortain...

Bonjour Mortain...
Oui nostalgique comme tu dis, je me souviens comme cette "vieille ami" nous fut d'un grand secours à Vannes et comment elle nous ouvrit une brèche nous donnant ainsi la victoire.
Quand à la Normandie, non elle ne me manque point...


Il prit un instant avant de répondre à la suite...se frottant les mains afin de se réchauffer quelqus peu...

Ma vassal, ton épouse a bien raison...
J'ai la chance d'avoir retrouver ma fille, Mathilde, que Sophie avait cru perdre en couche à Vendôme durant son emprisonnement . Elle fut recueilli par une famille noble de la région puis, grâce à la volonté du très Haut, Mathilde arriva chez Evreux...


Il eut un large sourire...

Tu serais heureux de la connaitre, elle est pleine de vie et fait fie des convenances...cela m'amuse mais je ne dois pas lui montrer, elle a un rang à tenir et un nom à défendre.
Je peux te dire que elle et sa mère me manque bien plus que beaucoup d'autres choses et d'autres personnes.


Comme Mortain il vit deux vieilles connaissance le Baron de Gros Theil et le Seigneur de Montérolier...

Bonjour les amis...n'est ce point dur de telles conditions climatiques pour des Salamandres?

Il s'abstint de la traditionnel phrase humoristique avec le Baron, du fait de la présence des hommes à coté...un ancien jeu entre les deux amis qui furent fait Baron en même temps, Gros Orteil et Put du Bec.
Il vit le chat faisant surement quelques calculs savantspour le tir de Rohana...Il dit au Duc:


Gage que tu aimerais qu'elle tire sur une autre direction, mon ami?
Camellote74
[Campement Normands, le tours des portes de Genève]


Came avait décidé de faire le tour des remparts de la ville de Genève, il commença son inspection par la porte des bastions , porte imposante, celle -ci sous de bonne garde, porte située au sommet des remparts, pas facile d'accès par son étroite ruelle et pentue..

Il continua en contourna par les rues basses, l'endroit n'étant guère aisé aussi pour une attaque, l'accès au remparts de cette ville était des rue très étroite et de forte inclinaison, un avantage certains pour les Helvètes...

La dernière porte étant plus confortable d'accès, la porte de Saint Antoine, celle-ci était de plus large accès , sans pente, il remarqua une forte concentration de garde suisse, sans aucun risque pour lui il se tenait a bonne distance...

Il repris le chemin du campement pour rendre compte de ses connaissance du lieu... Il put apercevoir les dirigeant, Pierre, Alcalnn, Galahad et Foulque autour de Rohana la Bombarde....

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Arianrod


[Prégny- Apres être passée d’une tente de campement à une chambre réquisitionnée pour chaque noble de l’Armée de Conches]

Toquement à la porte de cette pièce dont on lui avait dit qu’elle serait sienne le temps qu’il serait à Prégny. Elle aurait aimé rester au camp avec tous les autres croisés plutôt que cette chambre froide et loin de nombreux croisés auquel elle s’était attachée depuis le départ de cette croisade. Enfin de toute manière elle n’arrivait pas à trouver le sommeil, surement car elle ne trouvait pas ses marques ici seule…

Je disais donc toc toc toc à la porte, la Baronne lèva la tête puis alla ouvrir, surement des ordres de Mortain pour la journée, mais non juste son messager personnel, encore des missives ?! Elle n’en aura jamais reçu autant que depuis qu’elle est avec tout ce beau monde. Tient étonnement de la brune, ce ne sont pas des missives mais un message du maire de Genève qu’il avait pu trouver sur les chemins entre Genève et Prégny. Surement grâce au vent ou alors par acte volontaire du maire en place pour mettre du feu au poudre en lisant le contenue.

La Baronne s’énerva quelque peu à chaque mot qu’elle lisait, elle respira un grand coup puis dans un grand calme elle écrivit missive pour les responsables à Rome.

Citation:
Du coté des Normands au pied de Genève, un matin au réveil grâce à un messager

Il se dit que nous croisés affamons les Genevois, mais je me pose des questions sur qui affame qui quand je lis le courrier du maire qui m'a été gentiment apporté par un messager ce matin au levé du jour, comme pour envenimer la situation.

Je me permets de vous retranscrire le message du maire de la ville de Genève (HRP/ message reçu IG par l'option message du Maire)

Citation:
message d'alerte de Monsieur le Maire

Expéditeur : Monsieur le Maire
Genevois, Genevoises, amis.....

En se temps de guerre 4 armées nous encerclent pour nous affamer. Ils volent nos pains sur le marché et nos autres victuailles
Mes amis, en ces temps difficiles, une guerre se prépare et c'est pourquoi je vous demande pendant que les armées ennemies nous encerclent, et parce que cette guerre sera certainement autant economique que tactique,
- ne plus vendre pain, maïs, fruits, legumes, viande ou poisson
- de retirer de la vente toutes les armes et protections
- de ne plus vendre de denrées consommables sur le marché

Nous allons également lever un petit impôt afin de vousvprotéger en ne subbissant pas ce que nous a déjà infligé Vénisia lors de la dernière prise de mairie
je vous annonce également que la taverne les retrouvailles sera toujours fournies, donc n'hésitez pas à vous y rendre lorque le marché sera vide ou trop cher.

ne perdez pas foi en Genève, nous tiendrons bon quoiqu'il arrive

Rgmax
Avoyère de Genève



Le maire ou La mairesse car je ne saurais dire, je garderais le féminin pour parler de cette personne. Elle même fait mourir sa ville qui demande:

- ne plus vendre pain, maïs, fruits, légumes, viande ou poisson
- de retirer de la vente toutes les armes et protections
- de ne plus vendre de denrées consommables sur le marché

à ses propres villageois ?! Pas nous les croisés, pas nous qui achetons et pillons un marché, marché dont je rappelle nous ne pouvons avoir puisque nous ne sommes encore jamais rentrée dans Genève.

Si les Genevois écoutent cette personne dites moi comment ils feront pour se nourrir, bien nombreux sont les villageois qui vendent leur production tout de suite afin de nourrir leur famille, payer les impôts qu'ils doivent, payer les dettes pour certains. Comment feront ils s’ils ne peuvent même plus se nourrir puisqu'elle demande elle m'aime de tout arrêter, de vider clairement le marché de tout ?!

Et après on ose dire que se sont les croisés qui affament ?! Faites moi rire, enfin j'en souris doucement car j'ai peine pour ces pauvres Genevois à qui on essaye de faire croire que se sont nous les méchants.

En retirant les armes du marché cette personne empêche même ses propres villageois de pouvoir se défendre si le Lion et ses fideles hérétiques venaient à attaquer.

Je plains Genève, je prie pour ces villageois qui par la faute d'un maire qui retire tout, les tue doucement à petit feu de jour en jour.


Je m'en retourne prier pour le salue de tous.

Arianrod de Cénorel.
Citation:



















Une fois finit elle confia la missive, et renvoya son messager.

- Fait donc savoir à tous les croisés ma pensée s'il te plait au propos du torchon qu'à pu écrire ce maire, que cette missive soit lu de tous et des Genevois que tu croisera sur ta route !!

Elle se capa et s’encapuchonna, elle devait aller se détendre un peu, allait discuter, retrouver du monde, restée seule à rien faire commencer à la rendre folle d'ennuie.

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Capitaine de la Garde Royale




























Alcalnn


[Genève, fin de mâtiné, 2eme jours retranchement Normando-Languedocien, Nord Ouest de la ville]




Alcalnn trouvait que Pierre revivait en campagne. Non décidément ils n'étaient pas fait pour rester le cul coller sur un trône à rendre des jugements à leurs sujets pour une histoire de haie trop grande ou de vache appartenant à l'un ou à l'autre des paysans du cru. Non, ils étaient fait pour vivre au grand air, bannière au poing, vêtu de fer, toujours acceptant des défis nouveaux. C'est en cela qu'on reconnait un noble Normand, il cherche toujours un champs de bataille ou exprimer son art meurtrier.

Une lance de gascon, soldés par Mortain, passa vouges et hallebardes bien visible, leurs chaussures ferrées foulant la neige jusqu'à ce qu'elle devienne boue. Ils étaient bien installés, retranchés et fin prêt mais l'ordre de marcher sur la ville ne venait pas. Rome était pleine d'impotent, tout surpris d'avoir autant de pouvoir, qu'ils s'en pissaient dans les braies, si tant est qu'un Cardinal à des braies. Depuis qu'ils étaient entré dans l'Empire, ils n'avaient eu que des bâtons dans les roues de la part de certains Prélats. Le pire de tous était le Primat d'Empire qui méritait vraiment de finir sur un bucher tellement elle était fausse et ignominieuse. Sans parler de sa panoplie complète de pêchés capitaux.

Visiblement, les Salamandres étaient toutes joyeuses d'installer la bombarde du Duc, mais ce dernier craignait fortement qu'il ne faille la remballer plus vite que prévu. Il jura intérieurement et se dit qu'avec un peu de chance le lendemain, ils auraient enfin satisfaction. Il salua donc les présents et adressa un signe de la main à Faurgemont qui n'était pas loin.


[Genève, fin de mâtiné, 3eme jours retranchement Normando-Languedocien, Nord Ouest de la ville]


Le Chat se leva passablement en rogne. Vers la mi-nuit, il avait été réveillé par un coursier au cernes tellement voyantes, qu'on avait l'impression qu'il était croisé avec un basset normand. La nouvelle était si désagréable que le Chat décida de convoquer tout les bannerets de la Compagnie Normando-Languedocienne.

-Vincent! Va me chercher tout ce qui compte dans cette bourgade, tout ce qui porte un écu armorié et dit leur d'être le plus rapidement possible dans la salle qui sert de réfectoire aux officiers, j'ai une nouvelle importante à annoncer. Vas!


L'enfant qui avait accouru, ramenant son visage tacheté de roux dans l'encadrement de la porte, détala aussi vite qu'il était venu... La vue de son maitre lui avait annoncé la couleur, on était dans un très très très mauvais jour. La caisse de bourgogne apportée la veille n'avait rien changée. Il n'avait même pas prit la peine, tellement il n'aurait rien trouvé de gentil à répondre, d'envoyer un remerciement à la jeune damoiselle qui pensait leur faire plaisir. Il se rattraperait une fois loi d'ici.


-Luhpo! beugla t il!

Le jeune escuyer italien ramena lui aussi timidement sa frimousse qui plaisait tant à la gent féminine:


-Mon garçon, écris donc une réponse à la jeune Aleanore de Jagellon d'Alterac s'il te plait. Dis lui que sa caisse est comme un rayon de miel dans ce froid mordant. Et magnes toi! J'ai besoin que tu sois là, dans le réfectoire des officiers, j'ai une annonce à faire!

Non vraiment, ce n'était pas un bon jour...

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Chris2403
[campement de l'ordre de la cosse de genêt: armée de bourguignon]

Depuis quelques jours déjà tous étaient réunis au pied des remparts de genève. A nouveau, lui le vieux soldat, allait combattre aux côtés de ses frères et soeurs d'armes. Les lances de la cosse avaient chevauché depuis l'orléanais aux côtés de l'armée de bourguignon avant de se joindre définitivement aux saintes armées. Le campement dressé, la vie s'organisait peu à peu et tant bien que mal.



Ils avaient tous entendus des tas d'âneries notamment en franche comté sur la croisade et son but? Comment pouvait-on mettre en cause la volonté du très haut? Les hérétiques devaient être combattus et cela dans et hors du royaume. Aucune frontière dans le royaume d'aristote et si certains devaient leur barrer le chemin et bien paix à leur âme. Tous les frères et soeurs d'armes présents à genève étaient de vieux briscards, déjà bien "rodés" aux diverses missions et conflits. L'attente sous des remparts ils connaissaient de même que le siège des bastides et autres forteresses. Certains étaient plus impatients d'en découdre que d'autres mais tous attendaient patiemment les ordres chaque jour.
Dès qu'il se levait le matin, il regardait vers la ville et ses murs, affutant avec soin son épée

Bientôt...Bientôt...
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Actarius


[Dans le camp de l'armée du Vicomte de Pierre de Courtalain de Conches]

Au lueur du troisième matin, alors que la veille du Mendois et du Comte du Gévaudan près des petites fortifications touchait à son terme, un homme aux couleurs de Mortain vint les prévenir qu'ils étaient attendus. Le temps était donc venu, une décision avait dû être prise. Bonne ou mauvaise peu importait finalement, les doutes et l'attente seraient bientôt levés.

Quelques temps s'écoulèrent tandis que les deux Languedociens chevauchaient en direction du bourg. Durant ce court trajet, le sourire du Vicomte avait pris le dessus et affrontait courageusement la froide bise. Rome avait-elle agi comme il le pensait ou dans un élan surprenant avait miraculeusement décidé d'une attaque ? Quatre armées venues d'aussi loin, tous ces gens rassemblés pour une noble et pieuse cause... qu'allait-on en faire de ces pions après les avoir menés en Franche-Comté où une vache aurait été mieux traitée, après les avoir conduit au devant de Genève où l'avoyer faisait montre d'une attitude des plus étranges en gardant les portes fermées, puis en exigeant des mesures économiques pour affamer sa propre populace ?

Le sort des petits importait peu aux grands et ce de tout temps. Mais ces petits n'étaient pas des moindres, ils étaient puissants feudataires de toute la France, pour la plupart et fidèles croyants pour les moins pieux. Le Mendois secoua la tête, chassant ses sombres pensées passagères. Car la politique ne pouvait être autre chose qu'une sombre pensée. Le sourire avait disparu au fil de la réflexion. Et ce fut la mine sombre et sérieuse que le Languedocien mit pied à terre.

Les chevaux déjà étaient pris en charge alors que les deux Gévaudanais se rapprochaient de la salle commune où ils pénétrèrent tantôt. Seul était présent l'Amiral.


Votre Grasce, bonjorn !

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Arianrod


[Réfectoire des officiers Normando-Languedocien]

A peine sortie de sa chambre qu’elle tomba nez à nez avec Pierre dans le couloir. Elle sursauta en le voyant si près d’elle.

- Vous m’avez fait une peur !! Pierre vous avez décidé de me tuer ?! Est-ce là un ordre de Mortain ??!!

- Excusez-moi Baronne, je ne voulais point vous affoler, mais Sa Grasce de Mortain désire vous voir avec bien d’autres au réfectoire des officiers.

- Merci bien Pierre, je m’y rends tout de suite.


Elle lui sourit et rejoignit Mortain au réfectoire. Les avaient ils tous convoqués seulement pour la lettre du maire ?! Ou la situation enfin ils allaient tous savoir ce qu’il en est ? Cette attente commencait à etre longue, à ne savoir que faire les croisés se posaient de nombreuses questions.

Le réfectoire, elle entra, Mortain était déjà là, le Vicomte Actarius était là aussi.


Vicomte mes hommages.... Elle s'inclina dans une petite révérence. Mortain me voila comme demandé.

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Capitaine de la Garde Royale
Galahad*
[Arrivée au réfectoire des officiers Normando-Languedociens]

Galahad finissait de surveiller les travaux des dernières fortifications. Il salua Patsy venu se rendre compte par lui-même des travaux et lui fit remarquer qu'il n'était plus un Salamandre, mais un ami, lorsque Vincent vint l'alerter d'une réunion urgente de tous les responsables, organisée par Alcalnn, dans la salle qui sert de réfectoire aux officiers. Ses chausses boueuses, son manteau tâché, ses gants terreux, Galahad prit rapidement un bain, prenant quand même soin de se décrasser soigneusement, changea de tenue et se dirigea vers le lieu indiqué. Il savait qu'il ne serait pas le dernier au rendez-vous.

Il rencontra différente troupes sur le terrain, mais aucune ne semblait animer d'une quelconque ferveur. Elles patrouillaient sans enthousiasme et des sodlats désoeuvrés jouaient aux dés. Galahad était intrigué, mais il n'intervint pas, soucieux de cette étrange urgence à devoir rencontrer
le duc de Mortain.

Parvenu à la salle, il entra et découvrit Dame Arianrod et Alcalnn. Galahad fit une révérence à la baronne et salua Actarius et Alcalnn en informant ce dernier que Rohanna et les positions de défenses étaient fin prêtes. L'atmosphère était lourde, il devait vraiment se passer quelque chose de grave.

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Robin_de_locksley
[Devant un feu, campement de la Crepi]

Maudite trêve! Maudits soient les Genèvois avec leurs désaveu des minettes de Judas... Il s'était quand même pas tapé tout ce foutu chemin pour batifoler dans la neige sous les remparts de cette ville. Enfin, ils sont quand même bien armés et nombreux pour des 'enfants de chœurs'...
Robin espérait que l'ordre d'assaut serait donné sous peu. Il avait hâte de voir comment se défendait ses montagnards et de quel couleur était leur sang. Mis à part aiguiser son épée et monter la garde, les sources d'occupations étaient réduites. Même pas de bière dans la tente-taverne du camp, c'est dire si il était malheureux. Heureusement que certains étaient venu avec leurs réserves personnelles d'alcool. ça avait l'avantage de remotiver et de réchauffer les troupes, enfin surtout Robin.

Après avoir grogné un coup et maudit une nouvelle fois les helvètes, il se leva et pris la direction de la tente du Capitaine afin de lui faire son rapport sur l'état des vivres au sein de la Crepi.

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