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[RP] L'Océan... Vers le grand Bleu

Lafavorite
elle savait qu'elle ne monterait pas à bord...
Mais elle aimait se rendre' au port pour regarder les bateaux....

Elle les admirait, dansant sur les ondes...la licorne...et aussi cet autre bateau bien plus petit....ce Pigase....

Elle aime alors rêver à l'ailleurs qui sera son demain....

Assise au bout de la jetée, les pieds se balançant dans le vide, au dessus de l'eau qui courait sans se presser par en dessous, elle envoie quelques mots écrit plus tôt déjà à son compagnon Eole....
... tout en espérant que sa mule Conficius se transforme en cheval ailé...




Oh Eole,

Que j'ai eu peur lorsque je ne t'ai pas vu au campement!

J'ai cru que tu avais filé comme le vent, une saute soudaine d'envie d'ailleurs qui t'aurait prise sans que tu puisses m'en avertir.
Tu vois comme j'ai peur finalement de penser ne pas savoir retenir le vent.

Et puis, j'ai ensuite compris que tu devais faire le tour du village, afin d'inspecter les murailles, vérifier si à part les courants d'air, personne ne pouvait se faufiler entre les interstices que laissent passer les pierres.

Je puis maintenant me réchauffer au coin du feu sans crainte. Je sais qu'Eole n'est pas loin, qu'il va revenir au campement me retrouver.

Peut être alors, nous allons préparer nos affaires, pour enfin prendre notre chemin, main dans la main.
Confucius a besoin d'espace pour dégourdir ses jambes. Il brame d'ennui.

Viens me retrouver Eole et souffle moi à l'oreille quand je devrais me lever pour enfin décoller.

A bientôt, peut être....

Fav

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Lexianne
Dans l'air frais de ce matin de décembre.. la rosée était froide.. le vent glacé.. le soleil se levait timidement...

Lexianne marchait sur le sable.. les joues rosies et le bout de nez rouge. La brise trop fraîche mêlait au sable lui faisait verser quelques larmes accompagnées de picotement...

Dans une de ces mains.. ces bottes s'entrechoquaient a chaque mouvement. Ces pieds caressaient le sable a chacun de ces pas. Une sensation d'humidité et de froideur entre ces orteils.
L'odeur du sel dans ces narines lui faisaient plaisir et le bruit des vagues s'abattant sur le sable était comme une mélodie gracieuse.

Ces cheveux virevoltaient dans tous les sens sans son chapeau..mais qu'importe.
Lâchant ses bottes au sol.. elle croisa les pieds et se mit assise a même le sable regardant l'immensité devant elle.
Où donc s'arrêtait l'eau... a l'horizon peut être...
Son esprit vagabondait au loin...

Lexi tenait un mouchoir dans une main.. elle reniflait de temps en temps.. l'air frais du matin...
Le soleil se levait doucement.. les rayons lui caressaient la peau sans la chauffer.
Les yeux fermés.. la jeune femme apprécia ce moment de tranquillité en respirant profondément.

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Parce que survivre a deux, vaut surement mieux que de mourir seule..
Bikko
Pelle à la main, face a la mer, Bikko regardait ses deux gourmandes en soupirant et dit
J'espère que j aurai la chance d y gouter au moins, me faire pêcher des crustacés dans l eau froide en plein mois de décembre.
Puis regarde sa petite bien enrhumée qui le regarde avec ses yeux demandeur, si elle peut l accompagner. Il la regarde d un sourire en faisant signe que non maais son petit regard tristounnait le fait flancher et lui dit
Chipie vaaaa ^^ bon aller d accord mais tu ne viens pas dans l eau mais tu sera sur mon dos. Aller monte, p'tit singe héhéhé papa vas te montrer comment on fait pour trouver des crustacés et si on a de la chance , des petite crabe en dessous des rochers. Stell, tu pourrais mette une peau sur son dos comme ça elle sera au chaud
Apres qu elle couvrit leur fille Bikko embrasse sa femme et commence a marcher dans l eau a la recherche de petit trous là ou sont cachés les coquillages.
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Lalie
    - Meyi la barre du rube ! pfff peut pa rébirer..

    Premières paroles du matin de la môme de quatre ans à sa mère qui la tire du lit. Aujourd'hui promenade en bord de mer... vi ils veulent l'achever hein ou peut-être la noyer..

    - Mais Meyi l'édé dentille hiin..

    Oui pas facile à la comprendre d'ordinaire, mais là avec un rhume.. Toujours est il que les voilà sur le sable, son père en fier conquérant des mers et de ses habitants brandit une jolie pelle, sa mère toujours aux petits soins, puis elle, qui se gêle faut bien le dire. .. Bon il fait froid, y a du vent et la môme ressemble à un poisson qui manque d'air. Puis son père décide d'aller à la pêche avec.. sa pelle ! Waaa mais son père c'est un précurseur de l'exploration marine ! Et comme Melyane vénére son père et qu'elle aussi veut devenir une exploratrice de mondes inconnus, elle lui fait sa petite moue..

    - Dada l'embède Meyi ? teuplééééééééédeu

    Bientôt elle se retrouve hisser sur son dos , le serrant au cou, voyant le monde telle une grande personne. Et ça c'est trop bien. Elle voit des trucs plus petits qu'elle ! Siiiiiiiiiiiii ça existeeeeeeee !

    - On ba péché quoi Dada ? des boulludes ? aprèd on ba les mandé ?

    A croire que la gamine prend un malin plaisir à causer du nez, voir si son père la comprend. Le sourire sur le minois, elle s'aprête à glousser quand une bourrasque lui fait faire de l'apnée. Panique à bord, elle agite les bras en fermant la bouche.
Stelliem
[Dans leur chambre]

Il faisait froid mais le soleil etait de sorti. Sortie sur la plage de prevu, Stell s'occupe de preparer sa fille et l'habille chaudement tout en essayant de comprendre ce qu'elle barjaque, riant parfois des quiproquos.

Oui ma cherie tu est gentille on va voir l'ocean.

Elle la mouche pour la enieme fois et ecrase un peu de feuille de thym dont elle en fait une tisane pour lui en faire inhaler quelques minutes. Enfin elle la couvre bien et la laisse suivre son pere deja pret. Elle enfile rapidement ses vetements et bien couverte aussi les rejoints et partent pour la plage.

[Sur la plage...]

Le vent les decoiffe et rougit leurs joues mais cela ne les empeche pas de continuer et d'apprecier la promenade. L'animal court devant eux en aboyant pour revenir ensuite soulevant du sable a chaque fois. Et de le regarder en riant puis elle sourit quand Bikko se decide a aller pecher. Elle retient un grognement et leve les yeux en le voyant ceder à sa fille et prend sa cape et son col pour l'emmitouffler et la mouche une derniere fois. Elle embrasse Bikko tendrement avant de les laisser partir tout les deux suivi de Sergent.

Elle va vers une grosse souche et pose sa besace puis recupere des bouts de bois pour faire un feu en les attendant. Petite bataille entre la belle et les elements pour le faire prendre et un cri joyeux et les bras levés au ciel ponctue sa victoire sur les éléments. Elle fouille dans le sac de Bikko pour trouver de quoi faire cuire leurs trouvailles. Enfin elle s'agenouille pret du feu et les regarde en souriant. Elle profite de la chaleur qu'il dispense n'ayant plus sa cape pour la proteger du vent.

Mely tient toi a ton père !! Tu vas finir par tomber ! Et de grogner en les voyant au loin puis de rire doucement sachant très bien que la petite ne risque rien avec son père.
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Bikko
Bikko, en train de pêcher par ci par la avec sa petite chouette d amour perchée sur son dos, lui montrant comment les trouver et pêcher. Cela lui rappelait de bon souvenir d enfance quand il était avec son oncle, celui qu il a éduqué.
Regarde Melyane, tu vois le trous dans le sable et ben cela veux dire qu il y en au moins un la d' dans papa va creuser et on va voir, Il faut que mer soit basse on appel ça marée basse. hmhmhm tu ne comprend pas trop ce que ton père dit hein ^^ mais plus tard tu va t en rappeler et tu comprendra . . . aaah en voila une belle regarde et une autre . . . on va aller voir plus loin . . .aaah ici on as un couteau de mer regarde sa forme longue et ççççaaa ma petite chouette d amouuuur c est tellllement délicieeeeeeuuux

Finalement, le sceau bien remplit de crustacé, mollusque et d eau salée, les deux pêcheur de coquille revienne près du feu pour se réchauffer et cuire et manger enfin

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Bailey_


La nuit était tombé depuis longtemps. On entendait non loin des bruits vagues de marins gueulards. Une soirée au club des marins? Ainsi que le son des vagues s'écrasant sur la côté au Sud. Combien de temps qu'il n'y était pas venu? Une semaine? Un mois? Le marin se tenait debout face à l'océan, à la sortie du port, près des côtes, son regard perdu dans le lointain. Le vent soufflait dans ses longs cheveux bruns qui virevoltaient. Cette petite pause lui procura un bien fou. Plus loin, les immenses navires narguaient les étoiles. Le soldat resta planté là, longtemps.

Soudain, le faux silence disparut. Il se retourna et aperçut un couple qui sortit d'une petite bicoque derrière. Saoul, bruyant, collé, le couple de paysans lambdas, ça faisait plaisir à voir. Il se surprit à vouloir lever le poing pour les encourager. Il revient ensuite à ses pensées. Celles-ci le conduisirent jusqu'à la côté où il s'assit sur les cailloux. Le soldat réfléchit à tout ce qui s'était passé ces deniers temps. Sans le vouloir, il avait allumé une flamme qui prenait peu à peu. Son esprit vagabonda sur le sens de l'être qu'il avait étudié aujourd'hui. Il pensa partage et égoïsme, tentation et plaisir.

Petit à petit, une image se figea dans son esprit. Le gentilhomme chantonna une vielle contine calme et lente.A chaque chanson disparaissait une fiole de calva...

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Dans la vie, tout est question de point de vue.
Bailey_


Coeur brisé

Lors d'un bal sur la Licorne, Bailey fut envoûté par le charme exquis d'une créature nommé Pigasse. Après moult échanges, tous deux échangèrent un baiser inoubliable. Ainsi démarra une relation épistolaire, fondé sur de rares entrevus. Tandis que le temps passait, le galant s'amouracha de cette perle de l'Ouest. Inébranlable face à certaines avances, il attendait chaque jour dans le seul espoir d'obtenir ne serait-ce qu'un sourire de la belle. Des mois, chaque jour, à attendre la présence d'une femme. Des semaines interminables à attendre ne serait-ce que l'ombre d'un sourire.

Tout à coup, alors qu'il passait une soirée en taverne, elle entra. Elle lui dit que tout était terminé en quelque mots et s'en alla, comme on expédie une affaire courante. Elle venait de lui dire je t'aime pour finalement lui dire au revoir. Il resta de marbre face à pareille retombée. Il salua les gens présents, proposa quelques farces et sortit. Bailey regagna la plage où il se réfugiait souvent. Ici, dans la pénombre, il s'effondra et laissa s'exprimer son chagrin. Il pleura des heures durant, se remémorant chaque instant passé aux côtés de sa première compagne.

Ses adversaires, répondait un poison bien pire que ce qu'il imaginait. Il n'avait pas détruit sa popularité, sa carrière, sa maison, ils avaient détruit sa vie. Qu'ils devaient-être satisfait à festoyer sur le sort du malheureux. Et tandis que d'un côté, le village retrouvait une image positive, on lui plantait la plus cruelle et la plus violente des estocades, celle du coeur. Ce fut d'abord le regard du capitaine à son retour, qui signifiait beaucoup même sans mot dit, puis l’abandon de Pigasse. Le Bailey s'était tellement battu pour changer ce monde de mensonges qu'il n'avait pas vu arrivé le coup.

En quelques secondes, il perdit chacun des repaires, noyé dans un monde d'apparences et de on-dit. Sa joie et sa bonne humeur furent aspiré dans un abîme de tristesse qui ne trouvait pour réconfort que le bruit des vagues sur l'océan. Pourquoi? Pourquoi en arriver-là? Lui qui aspirait à soulever le monde pour créer un idéal de vérité et d'amour, le voilà privé de coeur, avec de nombreux regrets.

Il caressait machinalement Philibert, le labrador couleur beige.

Ca va aller Phil, ça va aller... C’est le gros bébé à son papa ça!

Bailey s'amusa à jeter un os à son chien qui courrait partout, provoquant sone maître. Ils s'amusèrent ensuite quelques heures tous les deux. Cette prmière leçon de la vie, jamais il ne l'oublia, jusqu'à la fin. Une léger changement s'opéra en lui, si infime qu'on l'eut cru invisible. Néanmoins, l'homme naïf et insouciant qu'il était disparut ce jour...

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Dans la vie, tout est question de point de vue.
Cybella
Il faisait froid mais enfin beau, un soleil radieux et un ciel totalement, immensément bleu! Ah qu'il faisait bon de retrouver son océan argenté, ses rouleaux bruyants et mousseux qui s'échouaient sur le sable en faisant des petites bulles.

En haut de la dune, bien emmitouflée dans son long manteau, elle respirait l'air frais iodé à plein poumons. Bon ce n'était pas encore la douceur du printemps mais les vols de grues et d'oies dans le ciel annonçaient bien qu'il arrivait à grand pas.

Descendant doucement la dune, faisait éclater les plaques de sable gelé à chaque pas. Quelques mouettes criaient et se disputaient une pauvre crevette sur la grève.

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