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Parladou de Prouvènço - La gargote provençale : [RP]Memento Mori à la Croque Cigale

Afta
Depuis le moment qu'il rêvait d'en découdre... Il avait la haine, haine contre les provençaux, mais aussi haine contre les royaux, et contre un paquet d'autres personnes. Il il voulait absolument passer cette haine sur quelqu'un, se défouler...

Je sens que y'en a qui vont s'en prendre plein la gueule, dit-il

Entourés de ses suivants : Zahra, Way, Coco -Gorbo étant partis combattre au coté de ses camarades - Ils partirent à l'assaut des remparts. Le Prince avait fait forgé une couronne sur son heaume, pour briller dans la bataille et répandre la terreur... Son épée était légère mais puissante, de sorte qu'elle ne passait pas un instant sans s'écraser sur une tête ou un bouclier... Son corps était vêtu de plates de la tête aux pieds. Sur son bouclier de taille moyenne en forme d'amande, resplendissait ses armoiries qui permettaient de le reconnaitre. Way et Coco n'étant pas nobles et n'ayant pas de seigneur, il leur fit peindre ses propres armoiries sur leur bouclier afin qu'on les reconnaisse, vu qu'il répondait plus ou moins d'eux.

Cela faisait longtemps que le noble impérial révait de mettre une raclée aux indépendantistes. Mais l'empire jusqu'ici n'avait pas trouvé la force de le faire, malheureusement. Il se dit qu'au retour, il s'engagerait à prendre les choses en main. Il se retourna alors vers ses suivants et leur fît un petit discours...


Mes amis... Je sais que nous ne tenons pas vraiment à cœur la cause impériale, ses dirigeants l'ayant eux même oubliée. Mais on va fait comme si, hein ! La gloire, on la trouvera pas encore ici... Les fourberies de certains opportunistes nous l'empêche car les cartes ne sont pas encore dans nos mains... Par contre, nous pourrons trouver la richesse, nous la trouverons ! Donc les ptits potes, faites moi plaisir... Atomisez cette bande d'amateurs et revenez intacte, on a encore une fortune à gagner !

C'est ainsi qu'ils commencèrent à grimper les échelles et à rejoindre la mélée déjà bien engagée là haut. Directement il sauta sur le chemin de ronde et envoya d'une puissance extraordinaire son épée de haut en bas, qui alla fracasser le crâne sans défense d'une pauvre paysanne.


POUR L'EMPIRE!!!

Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Marixaly. Ce coup l'a probablement tué.


Et le combat commença... C'était le massacre du coté des indépendantistes, effectivement, ils s'en prenait plein la gueule ! Il remarqua une jeune provençale en train de se faire prendre de tous les cotés et manqua d'éclater de rire... Il gueula alors :

TOUS SUR LA CATIN !!!


C'est ainsi qu'une vingtaine de guerriers se jetèrent dessus comme des bourrins, lui même lui assenât un coup d'épée à la jambe.


Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Sany_88. Vous l'avez légèrement blessé.


Ils laissèrent alors la malheureusement complétement déchiquetée pour se diriger vers d'autres cibles. Cherchant quelqu'un à qui il pourrait mettre fin à ses jours, il aperçu dans la mélée... une rousse!!! (décidément, il n'y avait que des femmes dans cette armée... Dommage de les tuer, il n'y aura plus personne avec qui s'amuser après, si ce n'est la dame de beaulieu !). Donc, en apercevant cette rousse, il fût prit d'une excitation incroyable et se jeta sur elle.

A MORT LA ROUSSE !!!

Et il la martela d'une dizaine de coups d'épée terribles en l'insultant entre chaque coup d'un nom d'oiseau approprié à sa race exécrable.



Moche!
*Bam* Impure! *Bam* Catin! *Bam* Mongole! *Bam*Idiote! *Bam* Puante!

Eh oui! Il l'avait dit que certains allaient s'en prendre plein la gueule! Toujours croire Afta, sisi !

Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Isaure. Ce coup l'a probablement tué.

_________________
]Afta le Val de Rubempré D'Omaxiphallus, Prince de Commercy
Seigneur de Thiaucourt et de Châtas.
Namaycush
Le Jeu...l'Enjeu


Ramponneau retourné, devant les portes de la Ville brillant de peu de feux, force de frappe ennemie et alliée déjà calculée, l’officier au sens exacerbé de la responsabilité de la vie des ses hommes sait qu’il les envoie sans risques.

Il en a tant perdu autrefois…le soldat aux batailles qu’il ne compte plus…

Eclaireur d’intérieur, le Glabre s’est déjà arrangé, il le sait sans parole, instinctivement, pour que le Guet de piquet à la porte ne puisse opposer résistance sérieuse.

A pieds, combat de piétaille, point besoin de charge de cavalerie lourde ni légère, à sa main gauche une dague, de l’autre la lame de Ste Anne, féminine s’il en est mais si agile et rapide à entailler les gorges et fourrailler les ventres et surtout symbolique exacerbée de l’Elle, du bras droit il donne signe d’assaut….sourire satisfait aux lèvres, l’infanterie l’a toujours passionné, c’est là et que là, que les hommes croisent leurs yeux au moment de l’estoc…


Chargez !

Sans surprise, porte craque, vagues s’engouffrent….et bien sûr Florentin à cheval….Il n’a jamais rien compris à l’infanterie lui, même du temps du grand Ost de Gascogne. Pas le plus mauvais ce Florentin…mais …instable…quoique cette fois il lui a promis beaucoup…et comme d’habitude, cœur sous la main et sensible à l’instant, le Cap, yeux dans les yeux, lui avait donné sa confiance….Pourtant Flo avait été à l’école de haute-voltige de Falco. Comme quelques uns dans la compagnie….Falco….son meilleur ennemi…à eux deux, Capitaine en armée et Cartel en embuscade groupée, ils avaient été redoutables…Disparition d’Aelyce signifiait aussi fin de dette…

Plus loin Théo, fidèle compère, criait une charge dans les règles de l’art…l’Arquian aurait de l’avenir en campagne….encore faudrait-il qu’il apprenne le terrain et le mouvement d’armée lourde. Autant il partage parfois le « Nouroux » avec lui, autant il a envie de le tuer d’autrefois…Il lui avait transmis le mot d’Ael…Il ‘avait pas réagi…encore…sans doute..choc…Il profiterait d’un lamage sanguin pourpré…en toute amitié et honneur bien sûr.

Fracas des hommes, des bêtes, du métal et du sang…histoire habituelle pour lui…en centre, entouré de siens, il marche à la chaloupe, œil dur et décidé, sûr de ses ailes renforcées par les ordres de la Spadasse aux hommes…

Lorsque soudain une femme, en habit de boulangère surgit devant eux…, lame au poing. Dans ses yeux il lit la conviction malgré le réflexe de sa main gauche de la lamer en poitrine avant qu’elle ne tombe sous la mêlée de ses hommes et du cheval….

Chez Memento on ne se retourne jamais, même pour les siens, on tombe et un autre arrive, on serre les dents et on avance, mais… la boulangère en armes l’a marqué par son courage et sa vaillance.

Tandis que mêlée se poursuit, il s’est déjà dirigé vers le bureau du maire. Normal, « Pa Capituna » est maître du statu quo et il va appliquer jouissance de leur droit.
Porte d’office qu’il défonce d’un coup de botte direct…comme en taverne quand il prend sa « Terre » pour l’amener au bout de la nuit.

Etat des lieux, comme su de toute manière. Depuis longtemps il ne rêve plus d’ailleurs.
Alors que la confrontation se termine à leur avantage, il écrit, dans son devoir de Seigneur de guerre et prend les mesures de l’état martial, impitoyable, qui ne connaît que l’application stricte de l’application de l’honneur. Sens inculqué par le grand général Eavan d’ailleurs…

Tiens l’encre de « La garce » n’est pas figée elle….elle est de qualité, fluide mais point trop…agréable à usiter…mais avant…il fournit l’âtre et bientôt feu saillant éclaire la pièce autant qu’il la réchauffe.



Citation:
A la populace d’Arles.


Adishatz !


Nous, forces armées de Son Altesse Sérénissime Ingeburge, avons pris le contrôle des territoires de la région d’Arles.

Que nous proclamons l’état martial.

Qu’aucune loi civile en vigueur jusqu’à présent n’est plus valide.
Néanmoins, tout abus sera puni de mort.

Afin que les valeurs aristotéliciennes soient respectées, nous prions la population civile innocente du conflit de se réfugier en l’église d’Arles.



Ainsi fait et publié en place publique arlésienne, le XII ème de février 1458.



Namaycush Salmo Salar
Capitaine Carmin
Imperator Pourpre



couleur était dans le rouge en ce moment…décidément…

Citation:
Au Peuple de Provence,
damné de la Terre

Adishatz !

Vous les braves, qui travaillez et payez pour votre terre !

Vous qui l’irriguez de votre sang !

Il est temps que vous sachiez que cet état de fait ne résulte uniquement de l’obstination de vos dirigeants.

A plusieurs reprises courrier leur fût adressé, aucune réponse. Je présume qu’ils sont bien en ville d’Aix, manquant ainsi à leur devoir de contrôle et de défense à la population.

Régner, c’est servir !
Régner, c’est se sacrifier pour la Terre, parce qu’elle est la Mère.

Et non pas envoyer paysans armés de fourches de bois contre des armées de fer.

Destituez les, et je vous jure, sur le sang et mon honneur d’officier et de noble de rang, que vous déciderez de votre destin.

Dans cette attente, couvre-feu est déclaré dans les territoires de l’Ouest sous le contrôle de mes troupes.

Que seul laissez-passer signés et scellés de ma main ou de la Vicomtesse d’Aubusson sont considérés valides.

Tout contrevenant risque de se faire abattre sans sommation.



Ainsi fait et publié à tous vents depuis la ville d’Arles, le XIIème de février 1458.




Namaycush Salmo Salar
Capitaine Carmin
Imperator Pourpre
Vicomte d’Aubusson
Baron du Dorat
Seigneur d’Agonac et de Ste Anne



fait soif dans le coin…

Citation:
Aux Teutons,
Commanderie de Nans-les-Pins

Adishatz !

Ce jour, couvre-feu est mis en application dans les terres de l’Ouest provençal réputées sous notre contrôle.

Bien que conscient de l’humanité de votre mission, nous avons le regret de vous informer qu’aucune dérogation ne vous sera accordée sans que missive de laissez-passer scellée de notre main ne vous soit communiquée.

En vous priant d’en prendre bonne note, nous vous prions de recevoir nos respectueuses salutations.



Ainsi fait en ville d’Arles, le XIIème de février 1458.


Namaycush Salmo Salar
Capitaine Carmin
Imperator Pourpre
Vicomte d’Aubusson
Baron du Dorat
Seigneur d’Agonac et de Ste Anne



un peu plus loin…pas loin…Nkhan…vieil ami, qu’il respectait lui avait écrit…

Citation:

Mon ami,

Je vais accéder à ta requête de te fournir en ravitaillement.
Mais auparavant il faudra que j’ai l’autorisation de mon patron.

Vois ça avec ton état-major.

Bien à toi.

Namay


Pénible ces courriers…il rejoint la troupe…alerte et assuré…

Spadasse …appel des troupes…rangs serrés …on reste attentifs et prêts !

Estafettes ! Ventre à terre à la distribution de courriers !

Le Glabre ..à moi !
lui fait signe de la main de s’approcher discret…main sur son épaule le fait se pencher…Veille à ce que ballots de paille soient bien calés en nombre dans tous les édifices sauf l’église…Rassembles-y les innocents !…fais viteclignement de cils…il se retourne vers une brune à l’épée cassée par les coups qu’elle a assénés…la regarde…se souvient pas trop…a-t-il su d’ailleurs ? …lui relève le visage d’un index replié sous le menton….force du regard… Noe…je crois…adresse-toi à ma femme, elle veillera à remplacer ton arme !

Alors, cet alors sempiternel et omniprésent….il a besoin de son amante…elle est tout d’ailleurs, amie, complice, épouse….

C’est viscéral chez lui, après le combat il a besoin de son Autre, la prendre, la posséder, labourer les terres dont il est le maître et qu’il mélange parfois avec le brun à la recherche de l’Auburn…


Bordel !
_________________
Waylander..
Il venait de sortir de la taverne de campagne. Le combat allait commencer dans quelques heures et il voulait avoir le temps de se préparer. Arrivé dans sa tente, il commença par changer de vêtements. Il rassembla ensuite les différentes pièces d'armures de cuir qu'il possédait. Il planta son épée dans le sol et s'asseye en tailleur devant. Il prit ensuite un verre d'alcool, ferma les yeux et laissa son esprit dériver. Les souvenirs des dernières semaines apparaissaient. Il s'en imprégnait puis les laissait s'en aller. Cela lui permettait de décompresser, d'éviter d'y penser pendant le combat. Il s'inondait de ce sentimentalisme et de cette douceur qui pouvait être une force dans certains cas mais qui ne serait qu'une foutue faiblesse lors de cette bataille. Après avoir repensé avec nostalgie a tout ce qu'il a vécu, il chassa ces pensées très loin et commença a méditer.

Une heure fila ainsi sans qu'il le remarque réellement et l'agitation qui commençait a apparaitre lui révéla qu'il était temps de se préparer. Il enfila donc les différentes pièces. Gilet (car il ne possédait pas de plastron en cuir) brassards, épaulières, protèges tibias (soleret ou grèves?) et glissa ensuite une sorte de gorgeron en cuir autour de son cou. Après la protection, il devait vérifier ses armes. Fourreau bien graissé, idem pour la lame, fil aiguisée, couteau a la ceinture et flèches qui sortaient du carquois sans s'emmêler. Parfait. Il s'équipa et sortit de sa tente. Il regarda autour de lui et aperçu Gorbo.


- Salut gorbo... Prêt pour la baston?

Le sourire des deux amis était sans équivoque. Ils étaient prêt. Gorborenne rassembla le reste des hommes sous son commandement et ils allèrent rejoindre le reste des troupes devant les palissades. Prêt. ils étaient tous prêt. La bataille commença. la palissade avait déja céder, surement des sapeurs s'en étaient occupés dans la journée. Les deux factions se rentrèrent dedans mais les provençaux n'avaient eu aucune chance, une trop large supériorité numérique. Le combat ne serait pas très passionant. Gorbo en avait déja étalé un pour le compte qu'un autre tenter de lui passer dans le dos. Way, d'humeur vicieuse, sortit une flèche barbelé et la décocha dans le bide de l'homme. L'homme était déja touché au poumon par un carreau d'Isa et Gorbo se retourna pour l'achever. Celui là ne pouvait survivre a ça. la moitié des défenseurs étant déja au sol, Way s'appuya sur son arc et regarda les derniers mourir.

Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Brouv. Ce coup l'a probablement tué.
Gorborenne
[Arles, au matin du 12 Février 1458]

13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Le feu de la bataille lentement retombe, déjà, la ville prend des allures de tombes, relents de crypte, dans les regards des villageois débusqués, rassemblés ou massacrés, la terreur sans peine se décrypte...... Le Démon jubile à répandre l'effroi, s'enivre de sang et de combats.... Mais face à lui plus une once d'acier qui se dresse, que des mains apeurées, implorantes la pitié où priant pour son salut.......

"Un homme capable de tenir une arme sans trembler doit aussi être capable de mourir"....... Ainsi, peut-être de cette bataille, l'honneur du courage leur revient elle...... Rire qui raisonne sur un bonne raison pour ne pas en chercher, et juste frapper.......

Fin des combats, Surt rode aux abords du charnier, s'amuse à deviner par quelle arme quelle plaie à été causée..... Celui-là a-t-il eu le crane fendu par une hache? Celle-ci a-t-elle été éventrée par une épée? Sourire étrangement affectueux quand il s'agenouille sur une victime pour contempler le carreaux qui lui perfore le thorax. Carreau de Cédalia, Dragonne de lumière crachant un feu d'acier..... Net et précis..... Sans pitié aussi?...... Un doute, un sourire....... Mais déjà une voix familière raisonne à son oreille, autant ferme et implacable qu'amicale..... le Cap'....... Sait-t-il en cet instant qu'Orion demeure tapi au fond de leur conscience partagée, que seul le regard ardent de Surt luit dans ses yeux? Sans doute oui.....


Veille à ce que ballots de paille soient bien calés en nombre dans tous les édifices sauf l’église…Rassembles-y les innocents !…fais vite

L'ordre est sans appel, si ce n'est celui d'un sourire carnassier à s'en déchirer les joues qui vient dévoiler la dentition du Géant.......

- Way, avec moi! Et là, vous autres, venez aussi

La Toise - lame nommée ainsi en raison de sa longueur - revient se pendre à son dos, alors qu'il entraine le Breton et quelques hommes vers les greniers repérés plus tôt dans le quartier du vieux port. Charrettes rapidement chargées de paille, on pourrait presque croire des fermiers venant de moisson traversant la ville...... Sauf que moisson est fin d'été, et nous sommes déjà presque fin d'hiver..... L'hiver, le froid..... Un bon feu pour se réchauffer......

La ville par maison se quadrille
Simple est la procédure
On échange entre quatre mur
de la paille pour ce qui vit

Survivants repoussés
Comme une marée dans les rues
Dans la cathédrale entassés
Aux premières loges pour la revue.........

Tout ce qui compte encore d'âmes vivantes en la cité se retrouve rapidement regroupé sous les voûtes consacrées...... Moutons apeurés et grenouilles de bénitiers..... Prient-ils pour leur salut? Le Démon n'en a cure..... Il ne tiendrait qu'à lui, c'est à l'église qu'on bouterait le feu en premier......... Mais un autre plaisir se prépare...... Empaillée pour le bucher, Arles vidée retient sa respiration...... Le Géant, savourant les heures à venir retourne vers l'entrée de la ville.....

Bras qui se lève et hèle un estafette.


- Toi, vas dire au Cap' que la cité est prête à rendre son dernier souffle dans une virevolte couleur de miel et de carmin......

Assis au pied des marches menant au rempart, le Géant attend l'ordre..... Le "quoi", il le sait très bien, l'ordre sera le "quand"...... Alors, sourire au lèvre il attend.....

Main qui décroche la flasque du ceinturon, liqueur de feu au teint sinople qui glisse dans sa gorge..... La Fée Verte, Absynthe, mêlant dans l'eau la flamme et la feuille, breuvage ardent à réveiller un mort, et tuer un vivant.......

_________________
Alcyone
[No one's gonna take me alive!]

Là, à ses côtés... Avec Lui, à Lui, toujours... Même si elle se faisait discrète au sein de Memento, si elle ne se montrait pas. C'est à dire que quand on a déjà perdu un bébé à la guerre, on n'a pas envie de réitérer l'expérience, alors on prend soin de soi, on a envie de se protéger, de se concentrer sur ce qui compte, à savoir l'enfant qu'on porte et son père.
Vous m'direz que lorsqu'on porte la vie, on n'a pas à faire la guerre. Mais faut lire, hein... Avec Lui, toujours, tou-les-jours, à jamais, à ses côtés... c'est là qu'est sa place...

Et plus encore aujourd'hui, alors qu'Aelyce n'est plus... Aelyce... celle par qui tout est arrivé... Celle avec qui elle discutait en taverne un soir, puis qui lui a dit "On part ce soir avec Cartel. Suis, si tu oses". Et comment qu'elle avait osé! Et finalement, c'était grâce à elle, à eux qu'elle n'avait pas sombré autrefois. Et ce fut encore Ael qui avait eu l'intuition qu'entre Namay et Alcyone, tout ne serait que feu, passion, folie... Carmin et émeraudes, raison et déraison... Alors tous ces souvenirs remontèrent à la surface lorsqu'elle apprit la funeste nouvelle. Le Capitan ne pleurait jamais, comme elle... ou si peu... la dernière fois, c'était alors qu'elle venait d'apprendre qu'elle avait perdu leur enfant. Alors cette douleur, ils la connaissaient déjà, tous les deux, lui la revivait une fois de plus, une fois de trop... Elle aurait voulu prendre sa douleur, la porter à sa place... mais pour avancer, le deuil doit se faire. Mais elle faisait en sorte qu'il sache qu'elle était là et serait toujours là, pour lui, pour écouter et partager, s'il en avait besoin.

Mais la guerre, elle, n'avait que faire des drames privés, elle n'attendait pas. Elle était, et elle était à faire. Alors la rouquine se prépare en conséquence... renforce les protections, et de toute façon, à peine plus de deux mois de grossesse, il n'y a que son Capitan qui puisse commencer à voir son état, lorsque nue dans ses bras, elle prend sa main pour la poser sur le ventre brûlant de lui...

Elle n'est pas bien loin, lorsqu'il donne les ordres, qu'il donne le signal, celui qui ouvre les hostilités...
Le pas est décidé, la lame est sûre, les coups précis. L'odeur de sang lui monte à la tête, ne faisant que renforcer sa détermination...


Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Zorro. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Marixaly. Vous l'avez légèrement blessé.
12-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Surtout, surtout ne pas baisser la garde, ne pas se laisser distraire, se concentrer juste sur l'adversaire. Mais quand tout est fini, quand les cris s'estompent et que la poussière retombe, le premier regard est pour Lui... le premier sourire aussi, lorsque d'un coup de botte, il défonce la porte de la mairie. D'ordinaire, c'est pour l'enlever qu'il a coutume d'ouvrir aussi délicatement les huis...

L'affaire est entendue et vite réglée, en fait... la ville brûlera, il ne restera rien. Vae Victis! Et après le temps du sang, vient celui du Sang... le Sien, le leur... Après le feu, le Feu...
Une autre bataille fait alors rage... encore des cris, encore... mais ces cris-là sont la vie, bordel!
Alors que la vie soit! Que Noux soit, à jamais!


Avec toutes mes excuses de n'être pas plus présente... impossible HRP en ce moment...

_________________
Azoura
Première bataille, ou Äzoura avait préféré être en spectateur,sans trop se montrer, même pas pris la peine de sortir sa trancheuse de son foureau...il était la en observateur ,jettant un oeil sur la façon de faire des dragons...
Le géant Gor était rapide en manoeuvre, deux têtes tombées en si peu de temps, il prendra donc l'avantage pour ce ptit concour de couvre-chef...
Isa,se faisait la mairesse,Noê écrasait de sa hâche tout ce qui passait et Sofio avait un style bien à elle mais d'une rare efficacité...elle qui avait peur de mourir, il est pas encore né celui qui lui fera manger poussières.

L'après midi avait été joviale,tous étaient présent au retour...taverne ou coulait boisson et discution relatant le combat de chacun...
La nuit fût vite arrivée, le temps passa si vite, retour au tente,raccompagnant belle damoiselle sous toile....

L'insomnie était présente.
La brute se fît une petite sortie pour s'oxygéner les poumons.
Se hazardant dans les ruelles,il arriva devant la mairie ou lumière il y avait...trouvant cela étrange il s'aventura , entrant dans les lieux....sa lame était déja collée à lui,prête à pourfendre la menace...
Soudain,deux ombres tapies dans un coin se ruèrent sur lui,il fit un pas sur le coté avec un mouvement bref du poignet, sa lame était déja enfoncée jusqu'à la garde dans le corps de son assaillant, tandis que l'autre s'écroulait après avoir reçu en plein coeur sa dâgue...


13-02-1458 04:07 : Vous avez frappé Mykana. Ce coup l'a probablement tué.
13-02-1458 04:07 : Vous avez frappé Hoeneim. Ce coup l'a probablement tué.
13-02-1458 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Il lui avait fallu que deux secondes pour évité le traquenard...
Stoppant net, à l'écoute..plus de bruit ...quadrillage des lieux...rien ..le calme...il revint vers les deux corps chercher ses fameux casques se disant

***voila "dragonet"...égalité....***
Retour sous tente, mais avant de s'y engouffrer, il planta un bâton dans le sol et y accrocha les deux casques visibles par tous...
_________________
Ecustiod


[12 février, Arles assaillie]


Ecu avait aimé retrouver les senteurs provençales. Lui qui avait quitté sa terre d’adoption toulonnaise il y a longtemps pour voir le monde. Et voir aussi les tripes d’un peu de monde. Les rapines le nourrissait bien, mais n’était pas la vie qu’il voulait. Il avait fait ça dans son jeune temps, c’était une nécessité, pas une carrière. Alors l’occasion de revenir en Provence, pour délivrer sa terre de la morosité permanente qui y flottait et de l’intolérance qui était élevé au rang d’art par ceux qui en étaient les maitres, il la saisie sans hésiter. Une idéologie qui le pousse à se battre, un ordonnateur qui lui garantie de pouvoir se battre sans s’inquiéter. Il pourrait passer sa vie à se battre, se battre est devenue son travail.

Arles, il n’y était jamais passé, pas sur son chemin quand il était parti, pas la ville qu’il préfère, pas la maire qu’il préfère non plus, loin de là. Il ne connait pas la tactique, et il s’en moque, il suis les ordres qu’on lui donne au moment où on lui donne. Une confiance absolue dans le Cap, sa réputation n’est plus à faire et la vie de ses hommes lui importe. S’il dit que prendre la vie est faisable, alors c’est que c’est vrai, il n’y a pas a en douter. Et il le dit.

12-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


L’ordre tombe finalement et les troupes s’élancent. Tout jeune dans le métier, Ecustiod ne se tient pas sur la première ligne, il est loin d’être le plus fort et le plus expérimenté. Une bataille à son actif et il n’y avait pas fait grand-chose mais cette fois il compte bien être utile et il est fier de servir dans la section du capitaine.

Comme prévu la ville est prise facilement mais des batailles il ne verra rien, il ne fera qu’entendre le bruit des lames qui se croisent, des lames qui se brisent. Le bruit des vies qui basculent, des vies qui sont prises. Les hurlements qui résonnent dans la pénombre de la nuit finissent par laisser placer rapidement aux gémissements des blessés et agonisant.


Arles est tombé, il aura fallu une journée.
Nadaelle
[Soirée du 12 février ]

Journée entière à s'entrainer avec cette fichu épée , Nadaelle était éreintée , un bon verre en taverne lui ferait le plus grand bien . Le soleil commençait juste à descendre derrière les collines , il était encore tôt , mais les soirées entre amis sont ainsi , on commence tôt on finit ...........TRÈS tard !
Elle entra dans la taverne de Sofio , seul le grand tavernier était la , ce cher Way . Nada l'avait trouvé très froid quand elle l'avait connu , mais plus les jours passaient , plus elle commençait à l'apprécier . Petite discussion banale , et il lui offrit un verre , venant apparemment d'une bouteille un peu spéciale .


C'est alu si l'on gène , lui dit il .

La fermière qu'elle était ne connaissait pas grand chose , elle ne comprit rien du tout à se qu'il disait , mais bon , pas grave , c'était à boire et avec un sucre en plus ! Que demander de mieux .
Elle accepta volontiers ce verre , petit mais ..................costaud !!!
Elle avait pourtant l'habitude de boire , surtout depuis qu'elle était en leur compagnie , et l'alcool ne la dérangeait pas du tout , mais la , elle sentit sa tète tourner rapidement , mais chose surprenante , elle se sentait très bien . Une impression de planer .
Alors qu'elle buvait tranquillement , un troupeau d'éléphant entra dans la taverne !
Oui oui , des éléphants , Nada en était sure ! Mais que faisaient ils donc ici ????
Puis Florentin fit son apparition , plus rien ne pouvait compter à ce moment la pour Nada , elle se précipita sur lui , l'embrassant de toute part . Il avait l'air très perturbé , mais Nada n'en prit pas cas . Elle lui passa la main dans les cheveux et resta fort surprise .
Ben pourquoi tu t'es fait un chignon ?
Elle secoua la tète , le regarda mieux et resta bouche bée . Ce n'était pas Flo , c'était Sofio ............
Décidément , la boisson de Way avait des effets bizarre sur Nada . Elle se promit de ne plus en reprendre .


ça va passer au bout d'une heure lui dit Way , ça ira mieux après .

Progressivement , elle retrouva toute sa tète , et la soirée continua paisiblement .
Le soir venu , Florentin les avait rejoint , le vrai , cette fois ci , celui qui faisait tant vibrer Nada .
Celui pour qui elle avait envie de donner jusqu'à son âme . Elle ne comprenait pas trop se qui lui arrivait , était ce cela aimer ?? était elle tombé amoureuse ? OUI ! Elle n'en avait aucun doute , Elle ne savait pas se que l'avenir lui réservait , mais ne voulait surtout pas y penser . Vivre le présent , seulement le présent , demain sera un autre jour ..........


[1ere victime le 13 février]


Le son du cor retentit à nouveau , il fallait encore attaquer , mais attaquer qui ?? On avait le contrôle de la ville , Nada ne comprenait plus rien , mais fidèle à ses compagnons , elle partit sur le front .

Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Un petit groupe longeait les remparts , sans aucune hésitation , Nada se rua sur eux , épée bien droite cette fois ci . Ces leçons avaient été bénéfiques , d'un seul coup , sa lame s'enfonça vers un de ces adversaires .


Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Hoeneim. Ce coup l'a probablement tué.


Elle regarda le corps tomber à terre , fière d'elle . C'était sa première victime .
On avait dit couvre feu à 21h ! que tous ceux qui voulaient rester en vie reste dans l'église . Vous n'avez pas entendu notre grand Chef !!!Aucune pitié pour les inconscients .

La bataille fut de courte durée , nada repartit tranquillement en taverne , pas une seule égratignure , tout allait très bien .
Elle retrouva quelques amis et tous racontèrent leur exploit . Nada en bégaya tellement elle était heureuse , et c'est à ce moment la que l'accident arriva . L'un de ces amis lui tapa dans le dos pensant surement qu'elle avait le hoquet . Nada partit tète en avant et s'éclata le nez contre la table ..............1ere blessure de guerre !!
Attia.
[ One again a Bis to BAAAAAASTOOOOOOOOOON...]

Journée joviale qui venait de s'ecouler. Tous n'en étaient qu'a leurs impressions de combats, les tetes qui étaient tombée, les trophées materiaux et humains, comme cette oreille qui pendrait certainement au cou de Noellie, et aussi ceux qui n'avaient rien pris mais qui n'en étaient que plus déterminés.

Cependant le manque de sommeil s'était fait sentir, on avait eu droit a un tavernier particulièrement grognon face au beguin plus qu'inatendu d'un portier porté sur le vice.

Tout était bien allé cependant, et la gitane ignorait si cette nuit serait tranquille... certainement pas...
Les arlesiens ça avait la tete dure, yavait qu'a voir leur moribonde mairesse...
La gitane lacha un eclat de rire inquiétant.
Elle avait appris quelques astuces de la part de Kilian qui pourraient l'aider face au combat. Il parait qu'a la guerre les coups bas sont permis, c'est bien rentré dans la caboche brune pour sur.

Alors qu'elle regagnait sa tente le coeur fébrile, sans pouvoir trouver une seconde de sommeil, les ordres s'eleverent se firent clairs, BAAAAAAAASTOOOOOOOON !
La gitane le cheveu un peu ebouriffé s'extirpa de la tente, cherchant les visages amis pour se donner de l'assurance, bouclier au bras qui commençait a se muscler a force et l'épée a l'autre elle s'elança.

Les consignes sont claire! Couvre feu et innocents a l'eglise, le reste, n'a pas raison d'etre alors la gitane ferme les yeux sur l'once d'humanité qui peut encore retenir ses gestes! c'est la guerre bordel!

La voila donc qui s'elance, l'epee a la main, ce cri devenu sien a la gorge et cette envie d'en découdre coute que coute.


Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Elle avance dans les ruelles de la ville, en se rememorant les conseils de Kilian.
Aucun bruit, juste le silence ou les ombres se tapissent pour frapper en traitre.
C'est alors que deux ombres surgissent. La panique la gagne la gitane, comment qu'on fait pour blesser ou tuer une personne? ça personne lui a jamais appris...
Le cœur bat a tout rompre, c'est donc cela qui la différencie des vrais guerriers, ceux qui ont deja le sang sur les mains, ceux qui deviennent des pierres faces a leurs ennemis...
Perdue dans son questionnement existentiel, la gitane evite un coup que son bouclier encaisse. Son agresseur est une femme, l'autre semble ne pas se soucier d'elle.
Que faire ? un coup de genou? c'est pas un homme! Sortir sa dague? c'est pas une bagarre de taverne, c'est la guerre.
Alors la gitane donne sans réflechir un coup d'épée dont la violence la fait se renverser, elle tombe, alors que son ennemie est blessée.

Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Mykana. Vous l'avez grièvement blessé.


Se reprendre sinon elle est perdue, un frisson la traverse, mais pas la peur de mourir... La gitane regarde ahurie... pile a temps pour que le charmeur geant, azoura arrive. Un premier corps tombe et il vient donner le coup de grace a l'ennemie qui s'abat au sol, un filet de sang venant tacher la joue de la gitane...
Elle lache un profond soupir le regard perdu dans le vague, pas le temps pour les émotions, faut se relever et se mettre a couvert...

Elle a vu tomber deux personnes... le sang recouvre sa poitrine et son visage... Elle sait pas bien quoi ressentir et elle arrive même pas a bouger...
Ce n'est qu'en voyant Azoura revenir chercher les casques qu'elle esquisse un mouvement et se lève, ne rien montrer... Juste un signe de tète en remerciement au géant qui semble bien content de sa prise...

Le calme revenu la gitane regagna rapidement sa tente. les mains plongées dans un broc d'eau glacée, elle essuya le sang qui lui tachait sa peau, respirant cette odeur a laquelle il fallait s'habituer, pour le moment ça n'était pas encore son propre sang qu'elle essuyait...


Arrangé sur le passage de Azoura vu qu'on a eu la meme victime! J'espere que c'est assez coherent ^^

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Gorborenne
[Dans les rues d’Arles, du 12 au 13 Février 1548]

Le Démon rode, une fois de plus…… Attendant son ordre du Cap’….. Ses pieds ne cherchent pas à éviter les flaques pourpres s’évadant des cadavres. Souriant au milieu du charnier comme un enfant parmi ses jouets, de temps en temps la botte retombe avec rage….. Craque un crâne sous le pied et se répand la bouillie ensanglantée, le bras retombe inanimé…..

Achever les blessés, d’abord ceux qui geignent, puis ceux qui crient, enfin ceux qui gémissent…… Par ordre de préférence, on garde le meilleur pour la faim..... euh, la fin……

De la pitié ? Oui, ce regard là semble l’implorer…… Genoux qui fléchissent et le Géant plonge ses yeux au plus profond de la supplique…… Regard ne laissant doute sur ses intentions, rien que pour savourer l’horreur en envolée, dans les yeux du malheureux, brillant l’espace d’un instant, l’embrasure des portes du trépas, et l’y enfoncer du bout des doigts……Main qui se referme sur la gorge, resserre son étreinte jusqu’à ce que le regard se voile de l’absence, se relâche et recueille le souffle ultime……

Au suivant…… comme dans la chanson……

Un autre géant qui passe, le Bel Archange, trophée en main. Sourire de complicité sur une égalité…… Le Démon railleur moque à la mémoire des pauvres innocents gisants autour d’eux…….

Ne suis là que pour briser broyer et bruler
Ne suis venu que pour me repaître et renaître……

Et la besogne continue….. Surt se prend à siffler en travaillant, comme on dit. Mais quelque chose attire son attention, dans l’ombre, un mouvement, à l’orée de son champ de vision…… Reflet argenté du ciel sur l’acier….. Un couteau ? Une épée ? Qu’importe, s’il y a une main pour la tenir, il y a encore quelque pour périr…… nouveau sourire…..

Toise du dos qui se décroche, poing sur la garde, dressant la camarde, le Démon s’approche…….

Un visage familier, aperçu de derrière l’émeraude dans l’obscurité d’une échoppe……. Blessée à mort mais encore vivante…… Face à lui, la boulangère d’hier gît à terre, mais un regard à l’envie invaincue……. Démon qui se trouble comme lac sous l’ondée….. La tuer, la goûter, là ! Il le veut, mais ne peut s’y résoudre…….

Dans la bataille, il l’a aperçue, frappée à plusieurs reprises…. Là, à nouveau face à face, la brune a sa vie qui toujours s’agrippe au petit nœud du fil de son existence….. Dressant un couteau en guise de rouleau et d’ultime défense……



…… cherche renarde……


Hoquets qui s’écoulent carmins à sa lèvre, et la dague d’elle-même s’affaisse……

-...... mon Reiner......

L’épée qui retourne aux omoplates, le regard couleur de rubis a le teint soudain qui calme et verdit……

Orion s’agenouille au pied de la boulangère, lui enlève le couteau des mains et glisse celui-ci en travers de sa ceinture, passe un bras sous les jambes et l’autre sous les épaules de la jeune femme agonisante et la soulève sans peine…… Le Géant hésite un instant, mais choisit pour la cathédrale finalement……


Pas lent dans les rues qui avance
Silence absurde qui plane
Carmin qui goutte la cadence
Pétales qui se posent et se fanent….

De sang et de terre, l’élix-ire
Union Auburn passionnée
N’est pas celle qu’attendait le désir
Mais l’aube d’une vie brisée……


Le Géant revient devant la maison d’un culte ne lui ayant jamais apporté aucun refuge ni réconfort…… Peut être quelques leçons de vie, mais sans plus…… Ce qui reste d’innocents vivants attend à l’abri entre les murs bénis…… Un garde en faction le regarde, la surprise au visage. Scène irréelle de celui qui ramène un blessé après journée à les achever…… Sinistre brocarde……


- Pourqu….

Je veux rien entendre, ouvre moi cette porte !

Battant qui s’écarte, la silhouette démesurée se taille dans le contre-jour et reste immobile un instant, toisant les visages apeurés et bouffis d’avoir trop pleuré se tournant vers lui. Déjà, les bancs des fidèles sont devenus couches d’hospices, et l’on se soigne comme on peu, avec ce que la misère laisse à la précarité…… Une pair de bras jailli, petit mouvement de recul, mais ils n’ont rien d’ennemis….. Plutôt d’une infirmière à qui le zèle et le travail ne laisse le temps de pleurer et craindre…… Un sourire alors que la nurse emporte la boulangère blessée. Orion croirait reconnaître là sa Cédalia, qui pour leur bonheur n’aura personne des leur à sauver ou recoudre……

Regard sur la scène d’une autre facette. Ce qui reste d’une bataille, du côté de la défaite……
Sourire qui se fige tristement. Rappel que l’écu peut tomber des deux côtés, à tout moment……

C’était la dernière…… Pour les autres manquants, désolé, mais il faudra attendre leur du requiem pour les rejoindre, le leur est déjà terminé……

Porte qui se referme en claquant
Coup de tonnerre retentissant
Sous la voute le tumulte se tait
Enfer et Paradis affichent complet……

Les mains sur les deux battants, le Géant reste appuyé, visage tourné vers le sol…… Pensée qui s’entrechoquent, reproches d’avoir sauvé, d’avoir tué, Orion et Surt se disputent. La Feuille de nature protège quand la Flamme plutôt abrège…… C’est dans leur nature, ce combat depuis longtemps perdure……

Mais dans le regard fiché au crâne qui se redresse, l’émeraude verse imperceptiblement vers le rubis, et aux lèvres du Chauve, c’est à nouveau le Démon qui sourit……

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Damekay
Elle avait donc laissé là le Vicomte, lui laissant ainsi le loisir de venir pour la discussion quand il trouverait moment plus propice … encore un moment à errer dans le camps, croisant enfin Prométhée et répondant pour un sourire et un signe de tête à ces mots … pour sur que l’épée de la petite sorcière était aussi aiguisée que ses crocs ! Et encore … il lui semblait que ses dents l’étaient plus !
Le moment était venu … tant attendu par certains, tant redouté par d’autres … peut importe de toute façon, ils étaient là pour ça …

C’était le premier combat de la jeune femme, ho bien sur elle avait déjà tué à maintes reprises mais pas vraiment dans les mêmes circonstances …


Citation:
12-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Pas l’habitude de se battre en si grand nombre … la chasse qu’elle pratique n’est pas du tout pareil … alors que l’épée de la belle tournoie, elle ne peut s’empêcher de regarder autour d’elle, de chercher du regard les autres Dragons … de veiller … ainsi elle a beau tenté d’empaler l’un ou l’autre au bout de la pointe de son arme, il y a toujours une autre personne plus rapide qu’elle pour le faire !

Grognement d’insatisfaction … elle, si vive et rapide en forêt se sent totalement stupide là … et c’est de mauvaise humeur (comment ça encore ?) que la Fleur Noire regagnera sa tente après la bataille …
La nuit fût blanche, elle ne parvint à trouver le sommeil et laissa donc ses pensées vagabonder quelques part en son passé et son devenir …

Elle était néanmoins en forme pour reprendre le combat, d’ailleurs ne l’était-elle pas toujours quand il s’agissait de donner la mort ? Que cela soit par l’épée ou la fiole …
Cette fois elle était bien décidée à montrer sa présence !

Citation:

13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.


Epée au fourreau, la petite sorcière avait cette fois préféré ses dagues, plus maniables … les tenant fermement dans chaque mains, celles-ci allaient et venaient avec vivacité et fougue … l’odeur âcre du carmin parvenant aux narines de la belle ne faisait que la faire grogner encore plus, les battements de son cœur s’accentuaient … l’envie de s’abreuver devenait de plus en plus difficile à contenir …
Silhouette glissant devant ses prunelles, celle de la gitane et d’un grand aux longs cheveux ébènes qu’il lui semblait avoir déjà croisé sans trop se rappeler où … un corps qui choit au sol … un coup de grâce … le sang se répandant, la Dragonne n’en peut plus …


Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Mykana. Ce coup l'a probablement tué.


Aucune idée si la personne respire encore ou non … elle s’agenouille à côté du visage ensanglanté et sa dague vient trancher net la gorge à la peau encore si chaude … plus un regard autour d’elle cette fois, elle ne voit plus rien, n’entend plus rien … juste l’envie de presser ses lèvres et de laisser sa langue et sa gorge se tapisser de ce doux breuvage … une fois repue, elle se redressa enfin, essuyant ses lèvres de sa manche … elle passa la lame de sa dague sur ses braies avant de la glisser dans sa botte, l’autre reprit également sa place … il fait presque calme maintenant … regagner sa tente, eau glaciale qui glissera sur sa peau et se teindra du rouge de sa victime …


(même victime également ... ai fais ce que je pouvais pour pas que cela fasse tous sur elle ^^)

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Vero5

Tolérance quand tu nous tiens! Pas jeter de pierres!!

Respiration lente, pesée, le regarder bomber le torse et pérorer. Se mordre les lèvres en silence et profiter de sa protection, passer les lignes sans y laisser la vie.
Attendre des explications qui ne viennent pas et encore le laisser faire son beau sans grincer des dents et l'emplâtrer. Subir et subir encore milles petits vexations qui semble être au gout du jour. Se souvenir de ne plus jamais dispenser son art..pour si peu de considération.

Vulnérable de par sa susceptibilité, usée encore un peu..si peu d'énergie restant.. si peu d'espoir. Blessée encore un peu plus en son âme.. fatiguée...

Les trouve, dans le fonds .. très malaise sous des aspects joviale acide et vindicatif.
Vernis. théâtre ...
sur toile rouge, fer tordu, flammes, odeur acre...

Une inclination de tête en guise de salut à la belle rousse. Un sourire triste réponds à l'invitation de la dame de les camoufler sous sa tente.
Prends une gorgée de poison breton avant d'émettre un son.

Merci Vive Valeque!
On est tous né quelque part, heureusement!


Sourit doucement

Pire que provençale dame....
Marseillaise...fada et barbouilleuse
Je suis à la recherche de quelqu'un...qui j'en suis persuadée est parmi vous.
Il arrive...je précède, lui évitant de poser genoux à terre

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Sofio
Sous la tente des invités

Quelques gorgées de chouchen, le verre de l'amitié pas vraiment, elle est pas de celle qui le peuvent, sans fausse hypocrisie, pas non plus une diplomate, pas été formé pour la dentelle , une passante chez les nobles, une dame chez les autres, parfois mercenaire,parfois si tendre...


Pire que provençale dame....
Marseillaise...fada et barbouilleuse
Je suis à la recherche de quelqu'un...qui j'en suis persuadée est parmi vous.
Il arrive...je précède, lui évitant de poser genoux à terre


Étrange femme a l'accent prononcé du Sud, Marseille le bout du monde pour une Auvergnate, c'est les régions de la mer et des olives ca elle l'a appris, après le reste elle a pas suivit, elle on lui a dit tu viens a des gens a tuer, sont pas beaux méchants et marchent pas droit, faut leur apprendre la vie et la discipline, elle a foncé sur ses armes et s'est tapé la route des cigales.

Hum vous recherchez quelqu'un qui se trouve ici sur MON camp

Regard vers Alex, long et appuyé

Et qui est ce donc? je ne pensais déjà pas trouvé Alex en ces terres le monde est si petit, est ce un ami a vous?un charmeur peut être que vous auriez rencontré autre temps autre circonstance, vous savez dame j'ai appris a ne point entendre le son de la tentation qui découle de la force des hommes, beaux parleurs a ne plus en finir, la mer est dans les yeux de toutes les femmes, et souvent on se rend compte que la mer c'est pourri , a des poissons qui crèvent dedans.

Parler, parler ca assoiffe, elle ressert tous le monde, a oublié un instant ou elle se trouvait, le bruit dehors des pas qui allaient venaient devant la tente la replonge dans la réalité du moment, elle se trouve dans sa tente accompagnée d'une provençale et d'un Auvergnat déclarant la Provence comme sa terre.

Savez nous avons combattu, a eu des morts, en aura d'autres.......
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Fl0rentin
[Soirée du 12]

La journée avait commencé avec l'agitation et le bordel que chacun connaissait.... l'ambiance de la soirée est toute à l'opposé.

La soirée a commencé avec une parti de ses amis en taverne. Il fêtèrent joyeusement et avec plein de fierté leur victoire... C'est sûr il y avait de quoi fêter la victoire avait été total pour eux une vrai boucherie pour les Arlésiens une défaite écrasante.

Puis un peu plus tard la soirée prit une toute autre tournure. Lui et ça douce se retrouvèrent en tête.... une soirée et une nuit magnifique qu'il ne pourrait oublier. Autant de douceur et d'amour dans cette guerre paraissait irréel et pourtant cela faisait parti de son quotidien.


[matin du 13 réveil en fanfare]

Fl0rentin avait passé une nuit plus sereine que la nuit précédente car le gros des combats étaient passé. Mais le matin il fut réveiller plus tôt qu'il ne le pensait. Le son du cor retentit dans la ville. Le jeune homme sursauta et se redressa dans son lit.... Sur le coup il n'avait pas comprit ce qui se passe mais en quelques secondes il retrouva vite ses esprits... Il tourna la tête et vit nadaelle qui se préparé déja... Le jeune dragon fit de même, s'habilla en vitesse, prit son épée et son bouclier.
Le jeune couple sorti en courant de la taverne en direction des combats... Apparemment la raclée d'hier n'avait pas calmé tout le monde. Fl0rentin se rua dans la bataille en poussant un grand cri... tout comme hier se dressa devant lui... Décidément soit elles sont courageuses soit elle sont complètement idiotes.
Sans faire de manière le guerrier lui colla un coup de bouclier suivit d’un coup de poing qui l’assomma. Sa victime s’écroula... petit rire moqueur. Eh oh 2 points de plus.


Citation:
13-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Gabrielle... Ce coup l'a probablement tué.


Fl0rentin regarda autour de lui, comme hier la victoire leur été assuré. Petit cri de victoire de la part des membres des memento.
Quelques personnes se dirigèrent vers la taverne tant dis que d’autre s’occupèrent de préparer le grand brasier. Fl0rentin resta un moment au milieu des corps ensanglanté gisant sur le sol. Il regarda tous ses visages figé à jamais…. La mort lui faisait face et pourtant il ne ressentait rien, il en était pas à sa première guerre peut être pour ça que ces cadavres le rendait peut être moins sensible….

Le jeune homme finit par se rendre dans une taverne pour rejoindre ses amis…. Comme d’habitude l’ambiance était très chaleureuse, de plus Nadaelle était présente, le jeune homme ne pouvait être plus heureux. … Il traina donc en taverne jusqu’au milieu de l’après midi…
Il finit par quitter la taverne pour aller s’entrainer mais cette fois ci, il n’allait pas être tout seul….. Il avait promis à Nadaelle qu’il allait l’aider à s’entrainer. Le couple rejoignit le campement pour aller chercher le matériel pour s’entrainer… puis ils s’installèrent un peu à l’écart, pour avoir assez d’espace. Fl0rentin lui montra comment bien tenir son épée, ainsi que la posture idéale pour parer les coups puis quelques techniques d’attaques. La leçon se déroula avec beaucoup de rire….. une complicité était entrain de se renforcer….

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Vero5
Le regarde d'une femme ..Je crois qu'avant d'y mourir demoiselle ils font bien d'autres choses tout aussi peu recommandable.... vivre...entre autre.

Vous n'aimez point les femmes? et vous vous méfiez des hommes.
Alex oui c'est une très très vielle histoire..une impression d'avoir nager dans la même mer durant l'enfance...Un ami...


Hausse les épaules

Je ne sais s'il en as. Je le regarde vivre à travers le temps...il semble débrouille il est au moins fiable...il ne change jamais!!

Reprends une dose d'hospitalité mitigé mais savoureuse


La guerre la terre les camps...ont 'ils propriétaires?
Je cherche à revoir un ami..oui.. Natale...


Laisse sa phrase en suspension et reprends quelque gorgées de chaleur tout relative

"Savez nous avons combattu, a eu des morts, en aura d'autres......."
Demoiselle... il me semble que c'est pour cette raison que vous soyez venu...vous et les votres je veux dire. On vous a demander de venir rectifier et vous venez...

Tatouille ses cotes encore marquées et douloureuses

Je ne me trompe point ? quel en sont les résultats?
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