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[RP] Tentes blanches : le soin aux blessés

Armoria
Plus de Titan à bord, il avait sombré. Elle se dit qu'ainsi, peut-être, il ne sentirait rien, ou moins qu'en étant éveillé. La plaie une fois nettoyée, elle se saisit de son onguent, qu'elle répartit avec générosité sur les chairs et leur entour, puis entreprit de recoudre.

Du coin de l'oeil, elle vit un homme arriver, l'épaule décorée d'une flêche. (*si j'ai bien compris ?)

Lambert, va m'extraire cette flêche, pense à la briser et à la sortir côté fer pour ne pas déchirer davantage la plaie. Prends de la charpie pour éponger.

Elle s'épongea le front, y laissant la trace du sang titanesque, et souffla.

Si quelqu'un là-dehors s'ennuie, même sans connaissances de barbier, qu'il entre ! On lui trouvera de l'ouvrage !

Elle se remit à recoudre, serrant les dents, à présent toute entière à sa tâche.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Caro
Caro, vous pouvez essayer de nettoyer les plaies de Kalo ?

La demande était formulée et sans plus attendre ...

Pas de soucis, je m'en occupe....

De tourner les talons, de prendre du linge propre et de mander à ce qu'on me porte de l'eau tiède avant tout pour nettoyer tout le sang autour de la plaie et de m'avancer vers la jeune femme

Bonjour.. je suis Caro médicastre légèrement blessé, mais je vais vous aider de mon mieux avec mon bras valide.

Posant mes affaires je l'écoutais parler tout en lui prenant le bras et de regarder la blessure de plus près.

Hum...belle entaille que voilà en effet, mais rien de bien méchant... Une bonne désinfection comme vous dites et quelques points feront l'affaire.

Je lui reposais le bras et de ma main droite trempait le linge dans l'eau bouillit qu'on avait laissé tiédir. Le bras en écharpe m'agaçait et doucement le sortait du morceau de tissus dans lequel il reposait. Serrant un peu des dents je nettoyais la plaie délicatement avant de me servir d'une décoction de thym pour désinfecter la plaie avant de lui appliquer un peu d'achillée pour arrêter le saignement.

Le temps de préparer ce qu'il me fallait pour recoudre le saignement avait plus ou moins stoppé. Il me fallait à présent passer à la suture en ayant appliqué de l'onguent juste avant

Dame, vous êtes prête ? serrez un peu les dents si je vous fais mal... au pire demandez moi de quoi mordre dessus... mais je pense que ça devrait aller.

Tendre mon bras pour pouvoir m'appliquer au mieux pour les points, faisait ressortir la douleur de mon épaule, mais peu importait, elle n'était rien en comparaison de celle de mi-janvier et où envers et contre tout j'avais soigné ceux bien plus amôchés que moi. C'est donc de la sorte que je me concentrais sur la blessure et que petit à petit je la recousais
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Enored
Voix forte qui tire l'Irlandaise de ses pensées.
Si quelqu'un là-dehors s'ennuie, même sans connaissances de barbier, qu'il entre ! On lui trouvera de l'ouvrage !

Léger sursaut pour revenir à l'instant présent. Elle avait laissé son esprit voyager sans se préoccuper des gens autour. Elle chercha celle à qui appartenait cette voix impérieuse avant de se rendre compte qu'il s'agissait de la Princesse. Elle secoua imperceptiblement la tête. Des notions ... elle en avait ... un peu ... léger soupire. Souvenir douloureux, mais si elle pouvait être utile. Comment parler à une princesse royale, l'Irlandaise l'ignorait. Elle lâcha doucement la main de son ami avant de se signaler. Regard qui cherche celui d'Armoria.


Excusez moi ... j'suis égoïste à rester là alors qu'vous avez besoin d'aide. J'ai qu'une main disponible vu qu'on m'a gentiment empaquetée l'autre ... j'voulais pas ... rien d'grave ... ils ont insisté ... bref ... je suis Enored O'Caellaigh, et là pour quelques jours. Dites moi quoi faire.
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Pulemetchik
D'un coup il ressentit un tissus froid et humide sur sa plaie, ne s'y atendant pas il eut un mouvement de sursaut puis lachat un leger grognement d'aise qui aurait pus ressembler à un ronronnement.

Après la fraicheur, venait la morsure de l'alcool qui lui picotat tout le long du dos et le chatouillait légérement téllement il avait l'habitude de se cautériser lui même lors des blessures, en témoignaient quelques balafres au visage et d'autre, plus nombreuse sur le torse et les bras.

L'entendant raler et lancer des accusation de pochtronnage, il relevat sa hache, droite comme un I appuyée au sol sur la base du manche et la lame bien dirigée vers le crane de la jeune femme.


J'suis pas pochtron...J'aime pas les aiguilles....S'pas pareil...

Il tournat un peu plus la tête pour pouvoir observer plus ou moins les mains de la jeune femme, pret à laisser retomber sa hache à la moindre trace d'aiguille.
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Gabrielle..
Gabrielle errait dans les ruelles d'Arles. L'avait rien à faire, elle ne pouvait pas bouger... A part recevoir des nouvelles des Aigles et de leur Capitaine, elle faisait pas grand chose de ses journées. Elle se dirigea vers la tente des blessés. Après tout... Plutôt que de glander dans les rues, elle irait aider à soigner les blessés. Qu'ils soient français ou Provençaux lui importait peu, tant qu'elle ne tombait pas sur un des Memento Memori. Elle ne pouvait pas les supporter, de vrais sauvages ceux-la. Bien qu'elle n'avait qu'un bras valide, le deuxième étant entouré de bandages, elle pourrait toujours aider un peu. Elle entras dans la tente. Partout, des blessés geignants, des compresses salies, du sang... Elle s'adressa à la princesse en train de soigner un blessé, une trace de sang sur le visage.

_On est pas du même bord, et j'aurais pas hésité à vous attaquer sur un champ d'bataille. Mais la, ce sont des pauvres types qu'ont doit sauver. Si j'peux vous ètes utile à quelque chose...

Elle regardais la princesse. A ses yeux, elle avait infiniment plus de majesté comme sa, couverte de sang et au milieu d'une tente emplie d'hommes blessés et geignants, qu'assise sur un trône dans un somptueux palais vêtue d'atours magnifiques. La brune avait mis son esprit de vengeance de coté et espérait qu'Armoria en ferait autant... Des vies étaient en jeu, et ces hommes étaient des humains avant d'ètre provençaux, loyalistes ou quoi que se soit...
Armoria
Le soutien arrivait, peu à peu. Elle adressa à Dieu une muette action de grâces.

Bah, nous sommes plusieurs à n'avoir qu'une main, mais à deux personnes, on en a une paire... Merci de votre aide. Il faut aider Lambert à panser après avoir retiré cette fichue flêche, et voir s'il est nécessaire de recoudre.

Se penchant, elle coupa d'un coup de dents le fil qui avait servi à la plaie de Titan, quand entra la jeune femme avec laquelle des paroles peu amènes avaient été prononcées en taverne.

Vous faites bien, il n'y a nul bord dans cette tente... Ni Français, ni Provençaux, ni Loyalistes, ni Impériaux : juste des blessés. Merci à vous.

Elle se pencha de nouveau pour attraper son nécessaire, farfouilla dans les sachets, et en sortit une poudre, qu'elle versa dans l'une des fioles de calva qui lui servaient à nettoyer les plaies.

Tenez : cela aidera ce grand gaillard, là-bas, à se détendre, voire à s'endormir pour les soins.

Elle désignait Pulemetchik.

Mais gardez-vous de lui dire qu'il y a là autre chose que de l'alcool...
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Maelie
Les délires qui l'avaient accompagnée depuis le champ de bataille s'étaient éteints, laissant la jeune femme totalement épuisée, mais vivante.

Elle frémit des paupières, comme hésitant entre la conscience - douloureuse, épuisante - et l'inconscience terrifiante. Finalement, au bout d'une minute qui dura une éternité, le frémissement s'accrut. Il n'y paraissait pas, pourtant Maëlie luttait pour rouvrir ses yeux et laisser filtrer une lumière qui, pour faible qu'elle soit, lui poignardait les rétines.

Avec un petit grognement mécontent, elle finit par ouvrir les yeux complètement, avisant le ciel aux allures de toiles de tente qui la surplombait. Elle n'eut pas le temps de se poser de questions : sa jambe droite se mit à l'élancer violemment, comme si la lame qui l'avait traversée venait de réitérer son forfait. Un cri de douleur surpris et révolté lui échappa.
Voila... Tout lui revenait, avec une brutalité et une précision dont elle se serait bien passée. Et le premier mot qu'elle articula fut comme un cri du coeur.


Adrien ! coassa-t-elle misérablement.

Affolée, elle tourna le regard autour d'elle, avisant des silhouettes couchées, comme elle, et d'autres qui s'affairaient entre les couchages. Il fallait qu'elle sache. Elle tendit la main pour attirer l'attention, sans grand espoir.


S'il-vous-plaît... Quelqu'un... fit-elle, entre ses dents serrées par la douleur.
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De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
Gabrielle..
Gabrielle regarda la blessé apeller et s'accroupit près d'elle. Elle avait été grièvement blessée à la jambe d'après ce qu'elle pouvait voir. Elle prit sa main dans la sienne et fouilla dans sa musette, en sortais une petite fiole.

_Tenez, prenez sa, sa vas apaiser votre douleur...

Le breuvage lui avait été donné par les mercenaires qui se battaient la-bas, en Aix. A l'origine c'était pour soigner son bras, mais elle n'en avait pas eu besoin. Le remède délivrait de la douleur quelques heures, mais ne soignait pas le mal. Elle se relevas et prit la fiole que lui tendait la princesse. Elle repéras l'homme auquel elle devait le donner et s'avança vers lui, abandonnant pour quelque instant la femme. Elle donna la boisson à l'homme.


_Buvez sa, c'est du calva, sa iras mieux après...

Elle lui fit boire jusqu'à la dernière goutte et rendit la fiole vide à la princesse, puis retourna au chevet de la jeune femme auquel elle avait fait boire le contenu de sa fiole. Elle avait visiblement une question à poser. Au vus de son accent, elle devait être languedocienne... Comme elle... Foutue guerre, qui forçait des amis à se battre et à s'entre-tuer... Toutes deux auraient pus être amies, mais durant cette guerre elles auraient aussi put s'entre-tuer sur les murailles... Pour quoi, au fond? Les français envahissaient des terres ne leurs appartenant pas, les loyalistes défendaient leur idée, les Marquisaux défendaient leur titre...

Peut être que si toute ces manigances politiques cessaient, on seraient en paix... On se bats pour rien... Tout le monde a tort, tout le monde a raison dans cette fichue guerre...

Les seuls pour qui elle n'éprouvaient aucune pitié étaient les membres de la memento qu'elle avait vus dans leur taverne... Elle espérait qu'ils n'étaient pas tous comme sa, mais Sofio, et les autres... Des meurtriers... Mais les pauvres types de Nkhan et des autres... Ils défendaient aussi leurs idées... Quel incurie politique les forçaient donc à faire couler du sang pour que le pouvoir de quelques dignitaires, Levan ou Ledzepellin, en soit renforcés? Ils bâtissaient tout deux leurs trônes sur des cadavres...
Maelie
Une jeune femme s'approcha et lui fit boire quelque chose... Le goût ne lui disait rien, et son état lui interdisait toute résistance, aussi finit-elle par l'absorber. Restait à espérer que cela l'aiderait.

Elle soupira en reposant la tête, mais déjà la femme s'éloignait vers un autre blessé. Ah... N'était-ce pas Pulemetchik ? Où diable était-elle ? Le cours chaotique de ses pensées retombèrent sur sa préoccupation initiale, juste alors que celle qui devait être infirmière revenait.
Maëlie tenta de la regarder dans les yeux, bien que les siens fussent encore peu coopératifs.


Vos prègui... Adrien... Ont es Adrien Desage ? Es viu ?*

Elle avisa qu'elle s'était exprimée en langue d'Oc, sans réfléchir. Elle se reprit donc, avec efforts.

Est-il vivant ?

*S'il-vous-plaît...Adrien... où est Adrien Desage ? Est-il vivant ?

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Kalopsite
Le matériel est là a portée de main de la blessée dévouer pour aider les autres, infirmière improvisée alors qu'elle devrait se reposée, je lui laisse mon bras confiante, j'en ai vu d'autre... Avec douceur, elle désinfecte, applique l'achillée.
Elle prépare l'aiguille, le fil, les saignement diminuent, c'est bon signe.


Je suis prête, vous pouvez y aller, ne vous inquiétez pas.

L'aiguille qui s'enfonce, je serre les dents, contrôle ma respiration, je sens les larmes qui montent, mais rien ne coulera, juste une perle au coin de l'œil, essayer de me concentrer sur autre chose il le faut, je me tourne vers la couche a coté, Armoria termine son travail de couturière coupe le fil, Titan est toujours inconscient et c'est mieux ainsi.

Merci Princesse, murmurais je

Je reporte mon attention sur mon bras, les points s'enchainent, la dame s'applique pourtant elle n'a point facile, sur son visage je peux lire sa propre douleur...

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Le manoir des artistes
Majda_eulalie


Voici qu'arrivait l'autre gourdasse ! La Gabrielle près de Maelie ? Ah ça non, elle ne lui permettrait pas de toucher à un cheveux de son amie, de celle qui était témoin à son mariage.

Elle s'approche, mais c'est le bordel ici ! Et la princesse trouve ça bien, remercie Dieu en voyant ses yeux tournés vers le ciel. Grrrrrrrr, elle ne voit pas que c'est infesté d'ennemis ? Bien heureuse d'être sur ses jambes, même si elle a le bras senextre à demi déchiqueté, tant qu'elle est sur ses jambes, pas question de les laisser s'en approcher.

Regardant son époux, elle se précipite vers le côté des "grands blessés", voire, "presque morts"... où se trouve Maelie et Adrien.

Toisant Gabrielle d'un par son regard froid, elle s'assoit d'autorité près de son amie, et lui passe une main sur le front.


Òc, òc, es viu. Sangfoisonat, mas viu. Devètz luchar entà subrevìver, meunà amiga. (1)

Essuyant une larme en voyant que son amie tente de reprendre pied, elle esquisse un timide sourire.

Courage Maelie, battez-vous ou je vous met mon pied dans le fondement. Je vous interdit de mourir, vous m'entendez ? Adrien va se remettre, et il a besoin que vous soyez forte. Il a déjà eu le coeur brisé une fois, et il a besoin de vous. Alors tenez bon, luttez...

Elle se penche, tenant son bras, et embrasse maelie sur le front, puis cherche Quirin du regard.




(1) Oui, oui, il est vivant. Blessé mais vivant. Vous devez luetter pour survivre mon amie.

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Prunille
Et voilà le gros balèze qui la menace de sa hache.
Non mais... Rêve éveillé ?


J'suis pas pochtron...J'aime pas les aiguilles....S'pas pareil...

Oui, pas pochtron, mais poltron, ça oui !
C'est pas une petite aiguille qui va vous tuer, bougre d'âne.


Du renfort vient lui donner à boire du calva fourni par la cheftaine en personne.
Elle reconnait là Gabrielle, la maîtresse de l'autre Savoyard croisé en taverne.
Lui sourit.
Continue à nettoyer la plaie, comme si la hache n'était pas à quelques centimètres de son visage.
Elle sait qu'elle aura le dessus.
Suffirait d'enfoncer ses doigts dans la plaie au bon endroit...
Inéluctablement, la valide aurait le dessus sur le blessé, la loi du plus fort ne s'applique que quand celui-ci n'est pas salement amoché.


Bougez encore votre hache, et vous vous retrouverez cul nu devant la Princesse, j'en fais mon affaire.

Sourit, et continue son ouvrage.
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Gabrielle..
Gabrielle observas la gamine Maure près de la blessée. Elle posa une petite bouteille de terre cuite au chevet de la blessée.

_Quand la douleur reviendras vous boirez une gorgée de sa. Je pense qu'il vaudrait mieux que je vous laisse...

Effectivement, la jeune Maure s'était précipité au chevet de la femme. Bah, Gabrielle allait les laisser. Elle pouvait pas sentir la mioche et c'était réciproque... Or, ce n'était pas vraiment le lieu pour un règlement de compte. Elle se dirigea vers la blonde et son blessé à la hache. L'osait menacer celle qui le soignait elle? Elle lui prit la hache et alla la poser un peu plus loin, hors de sa portée.

_Il serait sympathique de ne pas menacer ceux et celles qui vous soignent messire... Et surtout de ne pas leur coller une hache à quelques centimètres du visage!

Elle l'observait... Normalement, le produit devrait bientôt faire effet et l'excité de la hache devrait bientôt se calmer...
--Diego_de_castille
L'espagnol entras dans la tente. Il avait pris soin de s'encapuchonner, de façon à ce que les français puissent difficilement reconnaitre un membre des Aigles. Une besace autour de la taille, il se dirigea au chevet de la première blessée qu'il croisa. Elle avait été atteinte à la jambe... Peut-ètre par ses compagnons, peut-être par lui... La question n'était pas la. Le jeune castillan était ici pour soigner les blessés, pas pour les achever. Malgré les risques qu'il encourrait si il était démasqué, il n'avait pas d'armes sur lui. Seulement une besace contenant des flacons de remèdes en tout genre. C'était le soigneur des Aigles de Castille, et, une fois le combat finis et ses compagnons soignés, Cristopho l'avait autorisé à venir à Arles pour soigner les blessés. Il relevas doucement les draps du lit de la jeune femme et observas un instant la plaie, détournant avec douceur les bandages. Une gamine était accroupie à coté de la tète de la souffrante, une maure à ce qu'il voyait... Bah, sans doute la gamine aucun son Capitaine Lucas en voulait tant. Il se détourna pour éviter qu'elle le vit et sortit un flacon de sa besace, ainsi que de la charpie et un pansement. Il humidifia le linge à l'aide d'un petit flacon d'alcool et désinfecta avec soin la plaie. Une fois cela fait, il vida une partie du contenu d'un pot sur la plaie. Il avait appris se remède d'un médecin Arabe; les herbes étaient d'excellentes cicatrisants. Il pansa la plaie, remit les draps mais laissa la jambe de la jeune femme à l'air libre pour éviter que la chaleur occasionné par le drap ne déclara une hémorragie.

_Ne couvrez pas sa blessure, sinon les saignements vont revenir et s'intensifier. Je reviendrais se soir changer son bandage. En cas de problèmes, aller me quérir, je reste dans cette tente...


Malgré tout ses efforts pour couvrir son accent, n'importe qui un peu attentif pouvait facilement déduire ses origines. Tant pis, s'il devait mourir ici, il mourait ici. Il était venu sans arme, pour soigner ses ennemis d'hier. Il se dirigea vers le le blessé autour duquel était groupé deux femmes: une dame de sa connaissance et une autre qu'il n'avait jamais vus... Il posa sa main sur l'épaule de la brune et lui chuchota à l'oreille:


_Gabrielle, c'est moi, Diego. J'ai besoin d'un endroit ou dormir se soir, je vais rester ici jusqu'au prochain affrontement à Aix.
Maelie
L'apparition de Majda lui fit l'effet d'une hallucination. Etait-ce possible ?
Les mots qu'elle prononça furent comme un baume, qui gonfla le coeur de Maëlie d'allégresse. Vivant... Vivant ! Un sourire heureux étira ses lèvres, tandis qu'elle leva la main vers la joue de Majda.


Mercè...
Dans sa voix teintait le soulagement,mais aussi une note de profonde affection.

Et comment allez-vous ...viser mon fondement si vos yeux sont ...flous de larmes, meuna amiga ?
Malgré sa grande paleur, et les crispations de son visage lorsque sa jambe l'élançait, elle adressa un sourire où se lisait l'ombre de sa malice coutumière.

Je suis désolée... Vous me voyez-là en fort mauvaise... posture, Dòna. Mais ce n'est rien qu'une petite ... estafilade.

Pieux mensonge, s'il en était...
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PC HS !
De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
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