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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Narrateur, incarné par Uriel
[Cathédrale d'Aix-la-Chapelle]



Le grand jour était arrivé.
De nombreuses fois envisagés, quelques fois repoussés pour des raisons aussi diverses que valables, ils allaient enfin être unis sous le regard de Dieu, pour le meilleur et ... pour le meilleur.

De bon matin, la place de la Cathédrale s'éveillait doucement, les badauds se demandaient quel événement se passait icelieu.
Les consignes avaient été données pour l'entretien du lieu, les bancs redisposés, et les deux lourds battants de bois complètement ouverts.
L'air frais pénétrait dans l'édifice sacré, ainsi que les premiers rais de la lumière de l'astre du jour ...
Lison, incarné par Uriel
[Confidences d'une nounou attendrie à la veille d'un mariage...]

Je suis Lison, fidèle suivante de sa Grasce Sybille. Je l'ai quasiment élevée. D'abord sa nourrice, j'ai eu la chance que ses parents, les Ducs de l'Aigle et de Chigny, me la confie dès son plus jeune âge. Puis, comme tous les enfants, elle a grandit... J'ai toujours été présente auprès d'elle. La vie nous a soudée et aujourd'hui, nous nourrissons une relation très intimiste...

Nous sommes à quelques jours des épousailles et les préparatifs vont bon train à Herbéviller. Tout s'agite. Le personnel vaque à ses occupations pour que tout soit fin prêt. L'effervescence est de mise. On a rien laissé au hasard et au fil des heures, le castel prend des airs de fête.

Des jardins à la salle de réception, tout s'anime et prend vie. Le chateau, paré de tous ses atours, aussi simples soient-ils, ne laisse aucun doute sur la joie ambiante.
Tout le monde se réjouit, du simple laquet au majordome.

Mariage d'Amour... Union providentielle... Chacun en a conscience. Et tout ce petit monde bénit le ciel d'avoir offert à notre jeune Maîtresse, un homme aussi bon et généreux qu'Uriel. Estimé et respecté, il fera sans aucun doute un Duc de grande envergure.

Le Premier Archidiacre a été présent auprès de notre Sybille de longs mois durant sans jamais rien demander en retour. Il l'a soutenue lors des périodes sombres et ça, ça n'a pas de prix.
J'ai une grande estime pour lui. Il a toute ma confiance. Je sais qu'il rendra Sybille heureuse...

Elle, de son côté, resplendit à son bras. Elle tache de lui offrir ce qu'elle a de meilleur et de plus beau : son amour, sa sincérité, sa présence...

Dans l'adversité, le couple se trouve plus soudé encore. A croire que rien, jamais, ne pourra les séparer.

Ils ont pris le temps de mesurer toute l'ampleur de leur engagement.
Elle, rudement mise à l'épreuve de par le passé, était devenue bien indécise en matière de coeur, méfiante, tellement convaincue que seul son patrimoine intéressait les prétendants.
Lui redoutait tout le clinquant de cette vie et pensait que jamais il n'aurait pu toucher l'étoile... C'est ainsi qu'il parle d'elle... Son étoile... Ça c'est elle qui me l'a dit...

Lison sourit, attendrie...

Et pourtant, il lui a seulement fallu tendre le bras pour subtiliser la Belle au firmament de leur ciel...

Sur ces mots, la suivante passa le doigt sur le vélin du faire-part si joliment enluminé.


Ils seront heureux ces deux là. A n'en pas douter ! Puisse Aristote bénir leur union et tous leurs proches venir les entourer le jour de leurs noces.
....marie....
Marie avait quittée depuis bien longtemps Nancy et la lorraine mais un pigeon venu d'on ne sais où lui fit parvenir le faire part de mariage d'Uriel.
Elle décida donc de détourner sa route pour être présente au côté de celui qui l'avait baptisée quelques mois plus tôt, pour faire honneur à son bonheur.
Arrivant tôt et ne trouva encore aucune âme, Marie resta sur le parvis en attendant de savoir ou il était convenable de s'installer n'étant pas de la famille et voulant se faire le plus discrète possible.
Uriel rencontré il y à bien longtemps à Nancy avait toujours été une personne charmante à ses yeux, de bon conseilles et arangeant comme pour le jour de son baptéme ou la datte avait été décidée au dernier moment affin d'allier les obligations d'Uriel à la présence de Morgane qui avait mit bien du temps a se décider à arriver.
Marie souhaitait que la céremonie fut célébrée dans l'église de Nancy, par attachement, ce qui compliquait notablement les choses mais cela n'avait jamais ternis le sourir bienveillant du diacre.

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Heliona
Héliona avait décidé de partir assez tôt le matin pour être sure d'arriver a l'heure au mariage de son parrain. Pour l'occasion elle avait changé son éternel uniforme de la Garde contre une jolie robe. Le garçon manqué qu'elle était se sentait vraiment mal a l'aise ainsi vêtue. Elle vérifia une dernière fois ses cheveux qu'elle avait mis une éternité a coiffer, dernière vérification pour la robe aussi ... parfait.
Elle monta enfin les marches de l'église, tentant de marcher tant bien que mal dans ces chaussures qui lui faisaient oriblement mal aux pieds.
Il n'y avait encore personne, juste une jeune femme qu'elle s'empressa d'aller saluer et attendit les invités en sa compagnie.

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Leo_de_wissocq
[Sous les marronniers, non loin de la cathédrale]

Un doux vent accompagnait les premiers jours du printemps et venait caresser les feuilles des arbres, les entrainant dans une danse légère et délicate. Léo écoutait ce souffle qui venait lui murmurer au creux de l'oreille l'arrivée des beaux jours, et de cette saison qu'il affectionnait tant. D'un naturel élégant et raffiné, il avait opté pour une tenue sobre et distinguée. Ses cheveux, que rien ne pouvait dompter suivaient la course du vent et venaient défier son caractère minutieux. Ses yeux bleus azur se perdaient aux alentours, à la recherche d'une silhouette familière.

Il attendait effectivement Liz qui devait le rejoindre de façon à ce qu'ils assistent ensemble à la cérémonie de leur ami. Son regard s'arrêta alors sur le parvis de la cathédrale; deux visages familiers s'y trouvaient. Deux rencontres faîtes à Nancy. C'était la première fois depuis leur mariage que Léo et Liz apparaissaient en publique, et il était conscient que l'annonce de leur union avait dû surprendre leur entourage respectif. Il n'ignorait pas non plus que ce mariage serait l'occasion de revoir ses compagnons de périple, et les quelques amis qu'il avait dû quitter le temps d'un voyage.

Son impatience se traduisait par les longs et lents pas qu'il faisait en attendant Liz. Il découvrait cette nouvelle sensation, arrivant habituellement en retard à chaque cérémonie où il était convié. Ses pensées lui échappèrent, et il se laissa aller à ses rêveries en attendant de voir arriver sa jeune épouse.
Liz_de_wissocq
Un peu fébrilement, Liz avait mit la dernière touche à sa toilette en posant sur ses épaules l’écharpe que Leo lui avait offert quelques jours auparavant et après avoir vérifié sa tenue d¨ un dernier coup d’oeil à son miroir, elle s’en alla en direction de la cathédrale. La silhouette de Leo faisant les cent pas sous les grands marronniers la fit sourire, lui qui habituellement était toujours en retard l’attendait déjà.

Elle s’arrêta un instant, reprenant son souffle rendu court par sa marche rapide dans les rues d’Aix-la-Chapelle, essayant de cacher sa nervosité en tentant de faire tenir une mèche de cheveux qui s’entêtait à retomber sur sa joue. Elle redoutait un peu le regard de certaines de ses connaissances, qui seraient probablement passablement surprises de la voir arriver au bras de Leo en tant qu’épouse fraîche émoulue si elles n’avaient pas déjà été prévenues auparavant.


Prenant une profonde respiration et saluant d’un signe de la main Heliona qui gravissait les marches menant au parvis, elle traversa la place et alla glisser son bras sous celui de Leo, arborant son plus beau sourire.
Mun
[Terre de Vittel]

La vie reprenant doucement son chemin en le Duché depuis la venue de sa fille Munella, les retrouvailles ne furent pas facile entre la fille qu’ils avaient du laisser aux bon soins de valeureuses personnes. Elle avait un caractère bien affirmé, une véritable von Faryner.
Voilà déjà plusieurs mois qu’elles vivaient maintenant avec son père .
N’ayant que d’attentions pour elle. Elou toujours aussi malade et si lointaine ne pouvait les rejoindre une fois de plus.
Le Duc énervait de plus les personnes qui l’entourait sa cousine se mariant et qu’elle cousine.

Il l’avait connue si jeune aussi et ils en avaient fait des bêtises .
Se souvenant escaladant le mur alors qu’elle avait été punie par son père Flamininien . Lui apportant certains délices culinaires.
Si on les avaient trouvés tous les deux Flam l’aurait pendu haut et court.

Laissant ses idées envoyant les vêtements à gauche et droite ne sachant lequel choisir.
Celui de Vidame Vice Dominus Vétéranus ne pouvait convenir cette fois.
Les couleurs écarlates de Vittel seraient de rigueur.
Seul son épée de Vidame ne la quittait jamais s’est Rome qui lui avait donnée.
Excité énervé voyant la le temps passer et aucun de ses enfants encore prêt.

Renvoyant le personnel telles des mouches autour d’une vache, il s’avança en grands pas dans le couloir vers les chambres du fruit de sa chair.
Manquant de déraper sur les pierres. S’arrêta un instant regardant ses pieds fessant bouger ses orteils.

MES BOTTES.

Puis se plaça entre les deux portes des chambres fermées de ses enfants.
Vous voulez que je vous habille, nous allons être en retard et je n’aime pas être en retard.
Attendant qu’un bruit ou une des portes s’ouvre. Voyant une des domestiques arriver avec les botes.
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Leo_de_wissocq
[Sur le parvis de la cathédrale]

Léo sentit un bras se glisser sous le sien et tourna la tête pour embrasser la nouvelle venue et pour lui murmurer qu'elle était ravissante. D'un sourire entendu, ils commencèrent à marcher en direction de la cathédrale, pour aller retrouver les quelques invitées qui venaient d'arriver. Ils gravirent d'un pas léger les quelques marches, et saluèrent Marie et Héliona.


Bonjour Damoiselles.

Léo inclina légèrement la tête en guise de salut, et se tourna vers Liz.


Je crois savoir que tu connais d'ores et déjà Damoiselle Héliona. Il est donc inutile que je la présente. En revanche je ne pense pas que tu aies déjà rencontré Damoiselle Marie, que j'ai pu cotoyer à Nancy lorsque j'y vivais.

Il tourna alors la tête vers les deux femmes et leur dit, tout en posant sa main sur l'épaule de Liz:

Permettez-moi de vous présenter Liz, mon épouse.


Il se tut, repensant à leur mariage qui avait eu lieu récemment, sur le pont d'un bateau, et à tous les événements qui l'avait précédé. Il regarda Marie quelques instants, tandis que les souvenirs du voyage entrepris ensemble lui revinrent en tête. Un voyage pour le moins animé... Mais l'heure n'était pas aux souvenirs, mais au mariage qui allait avoir lieu et qui allait unir de façon solennel deux êtres qui s'aimaient!
Vivlyne
A réception du faire-part, Vivlyne prit sa carte afin d'y regarder la distance à parcourir. Aix-la-Chapelle... arfff....en pays allemand, plusieurs lieues, plusieurs jours de voyage. Elle fit mander une cariole bachée, prépara un coffre de voyage y mettant ses robes, nécessaires de toilettes et diverses choses qu'elle offrirait aux nouveaux époux.

A la nuit tombée, disant au revoir à son aimé, elle prit la route. Celle-ci fut longue et fort désagréable. A chaque trou, elle priait Dame Nature qu'une des roues ne se brise . Enfin, elle arriva la veille du mariage de son ami, et après moultes discussions auprès de badauds, s'essayant à la langue plus ou moins mal pour se faire comprendre, aidée par des jeux de mains, elle finit par trouver une auberge non loin de la cathédrale. Des hommes vinrent à son encontre, l'aidant à descendre de la cariole, menant ses effets à l'auberge, emmènèrent l'attelage aux écuries. Vivlyne les remercia et les paya gracieusement. A l'intérieur de l'auberge, une nouvelle fois elle se fit comprendre pour une chambre, se faire préparer un bain, manger.
Au petit matin, c'est l'aubergiste en personne qui vint la réveiller. Une femme très grande, avec un sourire large, un accent arff.. mais d'une gentillesse. Cette dernière l'aida à se préparer à s'habiller et fut émerveillée par la longueur des cheveux de Vivlyne. Elle lui demanda à la coiffer et Viv répondit à son souhait. Elle lui fit un chignon entre mêlé de nattes, fort jolie cette coiffure, mais Viv lui fit comprendre qu'elle voulait que deux mèches de chaque coté de visage, soit relachées. Ce qui fut fait. Dans sa robe blanche faite en soie réhaussée de plusieurs voilages légers, Vivlyne était prête. L'aubergiste la regarda et dans un françoys bizarre, elle lui dit simplement : tu es ... magnifique, une fff.. hum se dit Vivlyne encore et toujours une fée et non je ne le suis point... mais elle sourit aux compliments de l'aubergiste et la remercia chaleureusement. Bien que le printemps soit arrivé, il faisait encore un peu frais. Viv se couvrit les épaules d'une cape faite de fourrure blanche que son Aimé, Einskaldir lui avait faite faire, comme dans son pays d'origine, tout en haut, plus haut que les frontières françoyses, bien plus haut....

Ainsi apprétée, Vivlyne prit la direction de la cathédrale. Il y avait quelques personnes qui attendaient sur le parvis. Parmi elles, elle reconnut Marie, qu'elle bisa puis son amie Liz qu'elle embrassa très fort ainsi que Leo, puis une autre dame se tenait là à attendre. Vivlyne la salua.


- Liz mon amie comment vas tu? elle lui fit un clin d'oeil coquin alors qu'elle regardait par-dessus son épaule Messire Leo. Je suis si heureuse pour vous deux!

A trois, ils devisèrent attendant que les autres invités n'arrivent.....
Della
Un mariage après l'autre.
Aix, me revoilà !


Printemps.
Doux printemps.

Si le mariage de ma suzeraine Béatrice s'était passé sous le fin crachin de fin d'hiver, le mariage d'Uriel semblait vouloir se passer sous les premiers signes du renouveau.

Pour la deuxième fois en peu de temps donc, je me retrouvai à Aix-la-Chapelle.
Seule, cette fois, hormis une chambrière et une escorte assurant ma sécurité. Mais seule, sans proche à mes côtés. Seule comme je ne l'avais pas été depuis bien longtemps. Seule mais contente d'être là.

On comprendra d'autant mieux que j'étais heureuse dès lors que l'on saura que je devais beaucoup à Uriel.
Je me demandais parfois si le Diacre savait quelle influence il avait eue sur moi. Si j'étais cette jeune femme digne, aujourd'hui, il en avait été à sa manière, l'artisan.
J'avais été honorée qu'il m'invite à ses noces et je n'aurais pas voulu ne pas y venir.

J'étais installée dans une très belle auberge, non loin de la Cathédrale. Je comptais bien savourer ce petit voyage en faisant connaissance avec la ville.

Nous étions arrivés la veille.
Ainsi, ce jour, celui du mariage, je le réservai à me faire...jolie.
Baignée, massée, coiffée, habillée, parfumée avec soin et attention, le reflet que m'envoya le miroir me plut.
Mes cheveux avaient été nattés avec de fins rubans de soie verte et attachés en un chignon posé sur ma nuque.
Habillée de vert, une fois encore, ma robe était faite de velours lisse qui dessinait délicatement mon corps sans en rien être indécent. Un haut de fourrure accompagnait la robe et couvrait mes épaules.
J'avais autour du cou, le collier de perles fines hérité de ma mère. Je portais rarement ce bijou mais il me semblait que la nacre des perles accompagnait parfaitement ma tenue.
Le mot de la fin fut pour le parfum de jasmin, en toutes petites touches, discret mais tellement bon.

Et il fut l'heure de me rendre en la cathédrale.
Je m'y rendis accompagnée de ma chambrière, faisant office de dame de compagnie, pour l'occasion.

Toutes deux, nous arrivâmes sur le parvis et je saluai poliment les personnes se trouvant déjà là, connues ou pas.
D'ailleurs, à part Uriel, je me demandais s'il y aurait d'autres visages connus, ceux du temps de la Lorraine...

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*~* B.U.T.*~* Absente du 6 au 11/04.
Chpiot
La boulangère avait loué une chambre dans une auberge dès son arrivée à Aix-la-chapelle. Le voyage avait été long, et épuisant malgré la beauté du paysage. Elle avait bien fait de prévoir une journée de battement. Au moins elle avait passé une nuit réparatrice pour pouvoir être présentable pour l'évènement.
Tout en se préparant, elle repensait aux conditions dans lesquelles elle avait rencontré Uriel.
La champagne et ses incessantes querelles de voisinage.. Des allers et venues réguliers passant par Compiègne ou le jeune homme avait animé quelques messes, et elle heureuse de voir enfin son église animée le temps de sa présence en ville.
Elle avait prit plaisir a assister à ses offices et a discuter un peu avec lui en taverne.
Elle attrapa sa brosse à cheveux pour essayer de dompter ses cheveux rebelles quand ses yeux se posèrent sur le faire-part qu'elle avait reçu quelques jours plus tôt. Elle avait été aussi surprise que ravie en le recevant... touchée même qu'il ait pensé à l'inviter.

Elle fini de tresser ses longs cheveux roux et d'en lier l'extrémité avec un nœud de satin du même vert que sa robe. Il était l'heure de se rendre a la Cathédrale. Dernière vérification, et la rouquine prit la direction de la Maison du Très-Haut

Quelques personnes étaient déjà là, guettant l'arrivée des fiancés. Chpiot savait qu'il y avait très peu de chance pour qu'elle croise lors de la cérémonie un visage connu... aussi se fit elle discrète, un peu à l'écart des petits groupes qui commençaient à se former.

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Heliona
Héliona fit signe a tous les nouveaux arrivants et alla rejoindre Leo et Liz

Bonjour Leo, bonjour Liz. Je suis contente de vous voire tous les deux.
Alors comment ça va depuis le mariage?


Elle continuait de regarder les gens qui continuaient a arriver, cherchant du regard d'autres têtes connues
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Niconoss
Niconoss a Aix depuis quelqu'un temps pour des affaires impériales de hautes volées, avait reçu un courrier, l'invitant a se joindre a la joie des futurs mariés, enfin tout le tralala habituel ... Malgré ces obligations, il prévu un trou, pour se libérer et aller assister a ce mariage.
Il était l'heure, en route vers la cathédrale, il ajustait son costume, toujours présent sur lui, ses différentes médailles, épaulettes etc ...
Arrivant auprès de la cathédrale, il commença a monté sur le parvis, seul ou presque il n'y avait encore que très peu de monde. Ne reconnaissant que peu de monde, il s'isola rapidement dans un coin, n'osant pas déranger ces amies Liz et Vyv déjà en grande conversation.
Peut être viendrait elle le voir quand elles en auront le temps. Des nouvelles d'Epinal et de la Lorraine ne serait pas en trop dans ce mariage !
Joce_rr
À peine arrivé à Genève, quelques jours de repos seulement, puis il avait dû sceller Josette pour reprendre la route. Heureusement, Aix, n'était pas trop loin. Et puis, des compagnons de jadis en Lorraine seraient sans doute croisés sur la route.

Celui qui venait de traverser la France repartit donc vers le sud avec son habit de pélerin, son bouclier et son bâton (avec lequels, il n'aurait su quoi faire en cas de besoin). Arrivé à Aix, il prit une petite chambre dans une modeste auberge, Le lendemain de son arrivée, il prit un bon bain, et s'habilla de son ancienne soutane, propre et digne, sans montrer son rang.

Il se dirigea enfin vers la cathédrale où devaient se marier Uriel et Sybille.
Montant lentement sur le parvis, il étudia lentement les personnes présentes. Peu lui étaient familiers. Peut-être la Dame Della, croisée jadis à Nancy. Elle quittait la ville quand lui y arrivait. Il lui fit un petit signe de tête poli car il n'était pas certain qu'elle le reconnaitrait. Puis, il se fit discret et attendit que les autres invités se manifestent.

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Poupounet
[Bourgogne]

Nevers en premier lieu au palais épiscopal pour récupérer la voiture et aussi bon nombre de ses tenues et bijoux. Après tout c'est quand même plus sur que de tout laisser dans son auberge à Cosne, au moins là la garde pourrait les protéger. Donc une fois les malles faites direction Dijon pour récupérer les tenues de cérémonie et le cavalier. Ba quoi, l'évêque de Nevers n'allait pas aller à un mariage seule. Donc, direction la belle capital.
Premier arrêt dans les ateliers ducaux, elle avait vu avec les couturières pour qu'elles réalisent une robe et un ensemble aux couleurs "Bourgogne". Le travail était splendide, sa robe de velours bleue agrémenté d'un bustier, d'une ceinture ainsi que d'une chemise et de bas bordeaux, le tout brodé de fils d'or. Non sa robe était une merveille, mais le costume de monsieur n'était pas mal non plus, la chemise, braies, botes, bas, gilet était bordeaux le tout recouvert par un mantel bleu toujours brodé d'or. Non décidément ces femmes étaient parfaite. D'ailleurs elle avait dit à Eusaias de virer l'homme qui les dirigeaient pour nommer l'une d'entre elles. Il n'avait aucun gout et franchement quelle idée de mettre un homme à la tête d'une fonction aussi importante ! Au fait qui a dit qu'évêque était synonyme de sac à patate ? Non Poup resterait toujours élégante et séduisante.
Arrêt suivant au bureau du cavalier, elle se débarrasse de tous ceux qui l'enquiquine et qui essayent de le retenir. Non pour se voyage il serait avec elle point final. Se débarrasser aussi des gardes, hum là non elle ne réussirait pas ce coup d'éclat, sans compter que c'était plus prudent d'être escorté. Elle accepta donc que certains membres de l'Ost viennent avec eux. C'est d'un pas enjoué que les deux complices prirent le chemin d'Aix.


[Aix la chapelle, aux portes de Paris ? Ba non c'est la porte de la Chapelle ça, bande de pignouf]


Donc une fois la bonne direction de prise vint le moment des tremblements et autres désagréments. Entre les chemins boueux, les auberges pas vraiment fréquentables, sans compter sur celles où ils ne restait qu'une chambre, ils étaient gâtés. Enfin bon la bonne humeur régnait au sein du petit groupe, heureusement d'ailleurs. Donc après moult et moult aventures, les voilà arrivé. Enfin dira t-elle a ce moment là, ba oui elle commençait à en avoir marre.

Aller hop, une auberge, un bon repas et une bonne nuit serait pas du luxe. Un bain ! Ah oui un bain. Elle fit donc préparer deux chambres, ba oui hein ^^ Deux bains, son cavalier n'allait pas sentir non plus, ils avaient un certains standing à conserver. Allez une fois, récuré et tout propre, ils purent enfin se restaurer.

Enfin le lendemain arrive et ils n'ont pas le temps de se reposer, il faut se laver. Et oui encore, l'évêque de Nevers est à cheval sur la propreté. Manger, oui oui les cérémonies c'est long et pas question d'avoir un petit creux en cours de route. Moment final, l'habillage, bas, jupons, chemise, et tout le tintouin, le bijoux épiscopaux, médailles en tout genre et surtout la bague. La crosse était resté à Nevers, elle trouvait que cela faisait trop surtout pour danser après. Elle alla vérifier que son compagnon était prêt et bien habillé, il faut entendre par là selon ses souhaits, avant de prendre le chemin de la cathédrale d'Aix la Chapelle.

Sur le parvis elle reconnu deux trois personnes à peine, c'est une amitié toute récente qui l'avait fait venir ici. Elle salua l'évêque de Genève qu'elle avait croisé en Bourgogne et approcha de Della au bras de son cavalier.


Bonjour Della, comment allez vous ?
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