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[RP] Hostel Dieu Saint Lescure

Princedusud


Il y avait du monde à la sousoupe...

Prince laissait tout le monde discuter en petits comités restreints et se faufila jusqu'où l'odeur le menait....
Le saint des saints,la marmite fumait et le fumet qui se dégageait aurait pu attirer une armée entière à trois lieues à la ronde!


Et bien!Si c'est aussi bon que ça sent bon!Allez,régalons-nous!
Mettez du chou!Ma gouvernante adore quand je laisse des traces dans les draps!!!



Tous ceux qui étaient autour étaient hilares...
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Théologien de l'Eglise Aristotélicienne & Juge de l'Officialité
Kayhan
Kay vit un Messire s'approcher.

Citation:
Et bien ! Si c'est aussi bon que ça sent bon!Allez,régalons-nous!
Mettez du chou ! Ma gouvernante adore quand je laisse des traces dans les draps!!!


Un grand éclat de rire. Kay du même en essuyer une larmichette. Au moins, la distribution commençait sur une note d'humour, et c'était aussi agréable qu'inattendu.

C'est qu'il en aura bien besoin, de bonne humeur, cet Hotel Dieu, se dit-elle.

Elle afficha son plus beau sourire, et servi au Messire un bol bien rempli de soupe, prenant soin de saisir dans sa louche quelques beaux morceaux de chou.

"Mon Père, voici pour vous. Et, mes excuses par avance pour votre gouvernante, car je vous ai bien servi en chou.."


Elle lui tendit le bol encore fumant.

S'il y a encore quelques volontaires pour une soupe bien chaude, qu'ils s'avancent !
Nessty
Tous ceux qui étaient autour étaient hilares... et bien non ! L'enchignonnée avait entendu les propos peu dignes d'un ecclésiaste et prit immédiatement ses distances en grimaçant de dégout. Déjà qu'elle n'était pas du genre à se frotter contre cet individu qui l'exaspérait au plus haut point. Elle alla donc s'accrocher au bras de son duck pour lui murmurer :

Zont mis de la verdure dans l'eau... et l'cureton partage des draps sales avec sa gouvernante... Si c'est pas une auberge ici, c'est un asile ?

D'un regard implorant, elle rajouta :

Me laissez pas ici... J'serai sage...

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Princedusud


Celle qui était accrochée au bras du Duc et qui murmurait tout le temps pour intriguer n'interressait pas le moins du monde le cureton...
Un genre de vide sidéral ou vide tout court même...


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Théologien de l'Eglise Aristotélicienne & Juge de l'Officialité
Tristans
Suite du RP commencé au poste de gué sur la halle de Tours

C'est encore loin?...

Bon, d'accord, cela doit bien être la 6ème fois que Tristans pose la question à Boudicca depuis qu'ils ont quitté le poste de gué de la ville de Tours; mais bon, en même temps cela doit se comprendre, le bonhomme que le paysan porte sur son dos pèse son poids, mine de rien! La jeune femme lui indicant de la main que le batiment se trouve juste devant eux, le barbu pousse un soupir de soulagement. Il va enfin pouvoir poser le naufragé qu'il a trouvé le matin même sur les bords de la Loire!

La porte d'entrée poussée, Tristans emboite le pas de le jeune femme. Apparement, à voir la façon dont elle se dirige dans les couloirs sans se poser de questions concernant la direction à prendre, celle-ci est une famillière des lieux. à droite, à gauche, tout droit, encore à droite... Finalement, elle pousse une porte, révélant une petite salle bien éclairée au centre de laquelle trone une couche. Plutôt sommaire, et assez confortable en apparence.

Un regard vers la jeune femme, un signe de tête comme assentiment, et le paysan pose le pauvre bougre sur le lit, avant de pousser un soupir de soulagement non feint.


Bon, ben je pense que vous n'avez plus besoin de moi à présent. Je vais vous laisser le soigner, si vous voulez bien. A la limite, tenez moi au courant sur son état de santé...

Inquiètude quand à la santé de l'inconnu? Que nenni! simplement, le bonhomme a l'air chichement habillé, et ne doit donc pas manquer d'écus; qui sait si le Tristans n'aura pas droit à une petite récompence pour lui avoir sauvé la vie?...
Boudicca
Boudicca observe avec inquiétude le naufragé qui ne semble pas etre revenu à lui pendant le trajet puis se tournant vers Tristans.

Merci tristans. Ne partez pas encore, je dois encore abusé de votre aide. Il faudrait déshabiller cet homme mais étant une femme cela peut etre inconvenant. Pouvez faire cela? Voici des vetements secs et propres à lui enfiler. Pendant ce temps, je vais aller chercher Hermine et rapporter des couverture.

Sur ces mots, elle s'en va vite à la recherche de l'archidiaconesse, de couverture et d'un peu de bouillon. Retournant en bonne compagnie, elle frappe doucement à la porte puis l'ouvre espérant que le naufragé soit dans une tenue présentable.
Voyant que l'homme ne reprend toujours pas connaissance, elle approche une petite fiole du nez du patient pour le faire réagir. Tandis qu'elle demande à tristans et Hermine de le couvrir de couvertures.

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Tristans
Les yeux du paysans s'arrondissent à outrance à la demande de la jeune femme; quoi?? Elle veut qu'il deshabille le pauvre bougre et qu'il le rhabille ensuite avec des vétements propres?? Elle est serieuse, là, la bougresse?? Ah mais non, hors de question!! désapper une demoiselle, oui, pas de soucis, et même plutôt deux fois qu'une, mais un bonhomme... nan! pi on ne sait jamais, peut-être qu'il a des maladies sur lui!!

Il s'apprète à répondre mais la jeune femme, déjà, disparait dans l'encadrement de la porte... Soupirant en secouant la tête, il regarde le corps inanimé sur la table avec un air de dégout.. Bon, pas le choix, tenant la chemise du bout des doigts, il commence à la déboutonner, avant de la retirer du torse de l'homme; La chemise sèche remise en place, il passe aux braies ; délicat, d'enlever des braies; surtout d'un homme; on ne sait jamais ce qu'on va trouver dessous...

un lien, deux, trois defaits, il retire la chose à nouveau du bout des doigts; petit regard vers le materiel de jeu du naufragé, rien de bien exceptionnel en fait. La température glacée du fleuve est sans nulle doute passée par là. Et finalement, il lui passe les braies sèches. Fini! à peine quelques secondes avant que Boudicca ne revienne en compagnie d'Hermine. A la demande de la medicastre, il aide l'Archidiaconesse à couvrir le pauvre homme d'une couverture, avant de se reculer pour laisser la doctoresse opérer...
H1h1
La soupe de Kayhan était bien loin et les mines déconfites ou ravies avaient toutes fini par rejoindre d'autres fumets et d'autres compagnies. La cérémonie avait eu lieu et l'Hostel Dieu accueillait maintenant sporadiquement quelques vagabonds en mal de repas ; voire parfois, d'un lit pour la nuit.

La responsable achevait de rédiger son annonce concernant le recrutement d'une cuisinière lorsque Boudicca fit irruption dans son bureau, l'enjoignant à la suivre au plus vite munie de couvertures.
Hermine n'eut pas le temps de poser la moindre question. Elle se leva d'un bond et suivit la médicastre ; prenant juste le temps d'ouvrir quelque coffre et de se saisir des couvertures demandées.

Dans le dortoir des blessés, elle aperçut alors un homme étendu, à l'étrange couleur grise, inanimé et trempé. Tristans se tenait à ses côtés :

Bonjour messire Tristans. Je viens vous aider.

Dépliant les couvertures, elle s'empressa auprès du turon. Après avoir regardé le visage de l'homme qui lui était inconnu et qui demeurait toujours inconscient, elle demanda :
Connaissez-vous cet homme ? Que lui est-il donc arrivé ?
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.alexandre.
Alors que tout ce petit monde s'agitait autour de lui, notre naufragé lui n'avait rient saisit de ce qu'il se passait. Tout ce qu'il avait pu remarquer c'est que le bateau avait cessé de tester la résistance de son estomac. Le calme était revenus.

Il était tellement sonné qu'il n'avait même pas réalisé qu'il avait été déplacé et habillé de vêtements secs.

Soudain, une odeur nauséabonde.


Aaah mais ca pue, c'est dégoutant ce ...

Alors qu'il ouvre les yeux en prononçant ces mots, il aperçoit qu'il n'est absolument pas où il pensait être.

Bonjour ... euuuh permettez moi de poser la question, mais où suis je ?
H1h1
Pas le temps de répondre à la question de la responsable, l'homme reprenait ses esprits. Visiblement, l'odeur nauséabonde qui s'échappait du flacon de Boudicca avait réussi l'effet escompté ; voire au delà :
C'est presque d'un cri de rage que l'inconscient revenait au monde !

Hermine lui sourit largement, heureuse de le voir reprendre vie et s'empressa de répondre à sa question afin de le rassurer :

Bonjour messire. Ne vous inquiétez pas, vous êtes à l'Hostel Dieu Saint Lescure.
Je suis heureuse de voir que vous reprenez conscience grâce aux bons soins de notre médicastre.
Comment vous sentez-vous ?

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Boudicca
Boudicca sourit soulagée au réveil en sursaut du naufragé. Hermine lui expliquait déjà où il se trouvait.


Messire, on vous a trouvé ... du moins messire Tristans ici présent vous a trouvé inanimé et flottant parmi les débris de votre bateau dans les eaux de la Loire. Il vous a sauvé d'une mort certaine.
Voici, un peu de bouillon bien consistant. Cela devrait vous réchauffer le corps en plus des couvertures.
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Adela
A événement exceptionnel, temps exceptionnel. La chaleur écrasante, du moins pour la saison, pesait sur ses petites mais robustes épaules. Sa lourde chevelure de feu était relevée en un chignon complexe de tresses, évitant ainsi de lui tenir trop chaud. Vêtue d’une chemise de flanelle blanche et d’une jupe de soie rouge sombre, la vicomtesse déambulait dans les rues de la capitale, à l’abri de son ombrelle. Le soleil avait la fâcheuse tendance à entrainer l’apparition de tâches de son sur sa peau diaphane. Et ce même s’il s’agissait des premiers et timides rayons de soleil de l’année.
Marguerite la suivait, les bras encombrer du fruit de leurs emplettes.
Oui, la veuve était de sortie pour faire quelques emplettes mais pas du genre que l’on pourrait s’attendre d’une femme de son âge.
La rouquine se préparait à retourner en Orléans pour aider à rechercher un ami disparu en mer. A croire que le sort s’acharnait contre cette grande famille.
Elle était penchée sur une orange qu’un marchand lui tendait lorsque son regard perçant fut attiré par le corps d’un homme que l’on faisait entrer dans l’hôtel Dieu à l’aide d’un brancard.
Son cœur se serra.
Et dire que peut-être en cet instant, il arrive la même chose au duc de Dunois ou pire encore. Mais cette dernière possibilité restait inenvisageable. En tous les cas, pas pour l’instant.
Ses longs doigts fins lâchèrent quelques écus dans la main du marchand qui la laissa partir avec un petit sac de fruits.
La rouquine s’approcha de l’entrée de l‘hospice et tenta de se renseigner sur ce qui était arrivé à l’homme qu’on venait d’amener. Elle avait toujours été très curieuse et dans le cas présent bien plus qu’à son habitude. Une sorte d’intuition.
Un naufragé lui répondit-on.


Marguerite, te rend-tu comptes ! Personne ne sait qui est ce pauvre homme et il pourrait mourir loin des siens sans que ceux-ci ne le sachent ou puissent même l’aider à traverser cette épreuve. Quelle tristesse ! Je n’ose pas imaginer qu’il puisse arriver la même chose à…

Ses émeraudes s’agrandirent de stupeur.

Se pourrait-il que ce soit lui ?

Adela engloutit alors les marches qui la séparaient de l’entrée et s’engouffra sans hésitation dans l’établissement, traversa les couloirs pour faire enfin irruption dans la salle où les lits des malades s’emboitaient comme les maillons d’une longue chaîne.
Instant d’hésitation.
Comment pourrai-t-elle retrouvé l’inconnu ? Passer de lit en lit lui prendrait un temps fou et elle se ferait très certainement sortir avant même d’en avoir vérifié la moitié.
C’est alors qu’un attroupement de deux femmes et un homme autour d’un malade, attira son attention.
Mais bien-sûr ! Ce devait être lui, il venait d’être amené alors on lui prodiguait les premiers soins.
D’un pas décidé, la vicomtesse traversa l’espace qui la séparait de l’inconnu naufragé.

Bonjour dit-elle en passant avec nonchalance devant l’attroupement pour mieux apercevoir le visage de celui qu’elle souhaitait identifier.

Oh ! fut sa seule exclamation. Ses mains vinrent couvrir ses lèvres vermeilles et son petit nez.

Derrière elle, elle entendit Marguerite lâcher tous ses paquets.
Le soulagement gagnant enfin sur la stupeur, la veuve se jeta à genou au chevet de l’homme et se saisit de sa main qu’elle baisa.


Qu’Aristote soit loué ! Alexandre ! Vous êtes vivant !

Elle ne put se retenir de rire de soulagement avant de reprendre bien vite son sérieux. Toutefois, la lueur dans ses émeraudes persista.
La rouquine se releva et se tourna vers la femme la plus proche.


Merci de vous en être bien occupé mais je vais le transférer à ma demeure. Je veillerais moi-même à ses bons soins. Le duc ne peut rester dans un tel lieu, entouré de malades.

Sans attendre de réponse, elle s’adressa alors à Alexandre.


Mon cher, je vais de ce pas préparer votre convalescence. Nous nous revoyons plus tard, je vous le promets.
Marguerite ! Vite, allez faire chercher la voiture. Il n’y a pas une minute à perdre. Je souhaite que le duc soit très vite bien installé et à son aise.

- Oui, ma Dame !


Marguerite ramassa ses paquets avant de détaler à toute vitesse.
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H1h1
L'homme était apparemment encore bien affaibli : ses premiers mots, lancés sur un ton de surprise mêlé à la terreur, auraient pu faire penser qu'il avait recouvré toutes ses forces. Mais une fois ses réponses obtenues, il sembla retomber dans une léthargie importante et son visage perdit le peu de couleur qu'il avait conquis lorsqu'il s'était animé auparavant.

Hermine fut alors pratiquement rejetée en arrière, poussée par une femme inconnue qui s'imposa avec toute sa vêture, toute sa chevelure, tous ses paquets. Elle envahissait littéralement l'espace. Un instant, la responsable se demanda ce qu'elle faisait là : elle aimait visiblement parader et la représentation risquait de perdre de son effet si elle avait lieu auprès des uniques souffreteux de Touraine !


Merci de vous en être bien occupé mais je vais le transférer à ma demeure. Je veillerais moi-même à ses bons soins. Le duc ne peut rester dans un tel lieu, entouré de malades.
Bonjour, je suis Soeur Hermine Hanke, responsable de cet Hostel Dieu. Pardonnez-moi mais... votre nom m'échappe. Vous êtes.... ?

D'autre part, vous n'avez rien à faire ici alors même que notre médicastre est en train d 'officier.
La jeune femme songea alors qu'elle devrait recruter de manière urgente un gardien avant d'être envahie de la sorte quotidiennement.

Je vous demande donc de sortir. Je vais d'ailleurs vous accompagner. Nous pourrons nous entretenir dans mon bureau.

D'un geste sans appel, Hermine indiqua la porte de sortie.

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.alexandre.
En effet, le jeune homme avait lancé en l'air ses interrogations mais n'avait pas sut faire preuve de plus de vigueur que pour se redresser et suivre une conversation.

Les brides de réponses qu'il reçu lui passèrent dix mille lieues au dessus de la tête. Tout autour de lui était flou et il lui était toujours impossible de dire si les mouvements et les conversations qu'il percevait étaient réelles ou bien le fruit de son imagination.


"Ah ... l'hotel de dieu" se dit il. Peut être suis je mort en fait ...


Une jolie rousse avait déboulé à ses cotés, s'agitant et criant dans tous les sens ... que lui voulait elle donc. Ne pouvait il pas reposer en paix maintenant qu'il était mort.
Boudicca
Boudicca fut soulagée à la vue du naufragé reprenant enfin ses esprits. Soulagement passager quand une dame rousse déboula comme un char d'assaut vêtu de soierie. Elle semblait connaitre le naufragé mais elle n'en su pas plus car Hermine cherchait déjà à l'entrainer loin de là.

Bonjour dame, je me nomme Boudicca d'Arkan, médicastre diplomé du séminaire Lescurien. Votre ami vient juste de reprendre connaissance et il est encore trop affaibli pour effectuer quelque déplacement. Il serait plus sur qu'il reste quelques jours ici. Rassurez vous, il sera bien traiter selo son rang. Il est pour le moment le seul malade ainsi puisque l'hotel dieu vient juste d'etre d'ouvrir ses portes.

Puis se tournant vers le malade.

Messire, vous sentez vous capable de prendre un peu de bouillon? Cela vous redonnera un peu plus de vigueur. Une infirmière pourra vous aidez si vous ne vous en sentez pas la force.
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