Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP] Hostel Dieu Saint Lescure

.alexandre.
Un bouillon ?
Euuh oui.


Merci.



Le nauffragé n'en touchait toujours pas une. Il était bien content de voir des gens et plus des poissons.


Savez vous ce que me veut cette dame ?
Boudicca
Boudicca lui tendit un bol de bouillon.

Cette dame vous connait apparemment mais elle n'a pas déclinait son identité. La reconnaissez vous?
Vous souvenez de votre nom et ce qui vous ai arrivé messire?
_________________
.alexandre.
Le patient semblait perdus, ses yeux indiquaient bien qu'il cherchait au fond de lui les réponses aux questions qui se présentait à lui. Mais son air dépité répondit à sa place bien avant qu'il n'ouvre la bouche

Je peux vous dire que c'est une très jolie dame mais à part cela je n'ai aucune idée de qui elle pourrait bien être.

Et quant à moi, j'en arrive à une réponse relativement similaire. Avant que vous me le disiez je n'avais aucune idée j'ignorais même où j'étais.
Tout ce dont je me souviens, ou que je crois me souvenir c'est que j'étais sur un bateau et qu'il s'est produit un grand malheur.
Zafara
Zafara arriva à l'Hostel Dieu Saint Lescure.
Elle s'était promis de venir aider.
Elle entra.
Défaisant sa cape, elle s'approcha de la première personne connue qu'elle vit.
Sa marraine Hermine.
Elle sourit.
Elle lui dit d'une voix douce:


Je suis venue vous aider.
_________________
Belle et attirante, fougueuse et passionée. Maman de jumeaux: Mary et Jules, nés le jour du Printemps, mariée à Phyll...Aime les tulipes rouges, symbole de l'amour éternel à l'instar des roses blanches,et rouges, pour la passion et le désir...
Boudicca
L'état du naufragé était plus inquiétant qu'il ne paraissait. Boudicca espérait juste une pneumonie, elle n'avait pas prévu l'amnésie. A n'en point douté, cet homme avait reçu un coup sur la tete. Seul un élément déterminant du passé du patient pourrait lui faire revenir la mémoire. Elle espérait que l'entrevue d'Hermine et de la dame apporterait plus de réponse.


Messire, j'ai cru comprendre que votre bateau a fait naufrage. La Loire peut etre très impétueuse parfois.
Cette dame semble dire que vous seriez noble au rang de duc. Au vue de vos vetements, je pencherais pour cette hypothèse.
_________________
Adela
[La veille]

Je vous demande donc de sortir. Je vais d'ailleurs vous accompagner. Nous pourrons nous entretenir dans mon bureau.


Les mots tombèrent, froids et claquants. Ses émeraudes plongèrent dans le regard hostile.
Elle aurait dût s’attendre à une telle réaction. Parce qu’elle était noble, elle n’avait pas le droit de s’inquiéter de ses amis… Et que dire du fait qu’en lui enlevant son malade, elle marchait sur ses plates-bandes ?
Elle eut envie d’exploser de rire tant la situation était burlesque mais son interlocutrice le prendrait très mal et interpréterait cela comme de la moquerie.
La vicomtesse allait la rassurée en lui spécifiant qu’elle était guérisseuse lorsque Marguerite revint, sans ses paquets, le souffle court.


La voiture est prête, ma dame.

Abandonnant son hostile interlocutrice, la rouquine retourna auprès du duc qui semblait échanger quelques mots avec l'autre dame.

Excusez-moi... Alexandre, mon ami. Écoutez-moi bien. Je m’en vais maintenant mais rassurez-vous, je reviens vite. Je ferais tout le nécessaire pour votre confort et préviendrais votre famille.

N’attendant pas de réponse, elle déposa un baiser sur son front comme une mère à son enfant malade, puis rejoignit Marguerite.

Salutations mes dames, monsieur.

Sur ces mots, les deux femmes partirent d’un pas pressé.


[Le lendemain]

Un bocal de potage, des sachets d’infusion, une bouteille de liqueur d’abricot et un peu de couture se côtoyaient dans le panier suspendu au bras de la rouquine. Celle-ci avait peu dormi et c’est les traits tirés qu’elle se présenta à l’hôtel dieu.
Sa chevelure de feu était domptée en une longue tresse qui chatoyait sur le bleu saphir de sa robe de soie.
La vicomtesse avait décidé au dernier moment de rester sur la capitale et d’envoyer Marguerite préparer, à sa place, les appartements du duc. Elle pouvait ainsi lui tenir compagnie. Un visage familier apportait toujours du réconfort en pareille situation.
Un rapide décompte des jours lui avait permis d’évaluer leur attente à 3 jours.
1 jour le temps que Marguerite rentre à loche.
1 jour le temps de tout bien préparer les appartements du duc.
1 jour le temps que Marguerite revienne sur la capitale avec les bras et la voiture nécessaires pour le voyage du duc.
3 jours. Il pouvait s’en passer des choses en trois jours. Tant qu’Alexandre ne serait pas confortablement installé à Loche, elle ne préviendrait personne de sa « découverte ». Avant, elle souhaitait s’assurer de la bonne santé du duc.

Lorsque la veuve arriva au chevet de son ami, il était assoupi. Après avoir posé son panier, Adela s’approcha et se pencha vers Alexandre afin de l’observer. Son regard sombre guettait le moindre indice sur son état de santé.
La blancheur de sa peau et les cernes sombres presque violettes sous ses yeux lui indiquaient qu’il s’était démené comme un diable pour survivre au naufrage de son navire.
Une moue inquiète incurva les courbes généreuses des lèvres de la vicomtesse.
Le bandage sur sa tête éleva ses inquiétudes.
La tête était bien trop fragile et un mauvais coup pouvait avoir des conséquences désastreuses.
Dans un soupir, la rouquine se résigna à cesser son inspection. Elle ne souhaitait pas le réveiller, et préféra aller s’installer sur une chaise non loin. Elle sortit sa couture de son panier et se mit à la tâche, patientant distraitement que son ami se réveille afin de pouvoir se faire une meilleure idée de l’étendue de ses blessures.
L’inquiétude la rongeait et formait des nœuds dans son estomac.

_________________
Zafara
Zafara venait de terminer de s'installer à l'acceuil. Elle fit un tour dans les chambres des malades et blessés pour vérifier si tout allait bien et si il ne leur fallait pas quelque chose. Elle rentra enfin dans la chambre d'un survivant du naufrage. Une dame rousse était assise auprès de lui. Elle fronça les sourcils, puis de la voix la plus aimable qu'elle put, elle dit:

Madame, s'il vous plaît, il faudrait le laisser seul dans sa chambre. Le temps qu'il se réveille tout du moins. Si vous le voulez bien, comme vous semblez le connaître, nous allons remplir un papier. Veuillez me suivre s'il vous plaît.

La dame se leva, presque hautaine, et la suivit à contrecoeur jusqu'au bureau de l'acceuil nouvellement installé. Elle l'invita à s'asseoir dans l'un des fauteuils moelleux en face de Zafara. Elle prit un parchemin, une plume et la trempa dans son encrier.

Veuillez décliner le nom du blessé, s'il vous plaît, et le vôtre. Êtes vous de la famille?
_________________
Belle et attirante, fougueuse et passionée. Maman de jumeaux: Mary et Jules, nés le jour du Printemps, mariée à Phyll...Aime les tulipes rouges, symbole de l'amour éternel à l'instar des roses blanches,et rouges, pour la passion et le désir...
Adela
Adela, toute à sa couture n’avait pas entendu approcher la jeune femme et manqua un point lorsque celle-ci s’adressa à elle. Seuls ses vieux réflexes de soldat et sa rapidité lui permirent d’éviter de se piquer.

Etonnée, elle leva ses émeraudes vers son interlocutrice, esquissant un froncement de sourcils interrogateur. Pourquoi diable n’avait-elle pas le droit de le veiller ?


Oh ! Des papiers à remplir dites-vous ? Oui, bien-sûr, je vous suis.

La veuve déposa avec précaution sa couture dans son panier, se leva et épousseta ses jupes avant de suivre la jeune femme. L’estomac noué par l’inquiétude, Adela la suivit le regard perdu dans ses pensées alors qu’elles traversaient un long couloir pour finalement se retrouvée à l’entrée de l’hôtel Dieu où avait été nouvellement installé un comptoir d’accueil.
La rouquine prit place dans le fauteuil qu’elle lui indiqua.
A sa question, elle ne put que rougir. Non elle n’était pas de la famille même si à plusieurs reprises elle avait bien failli… Son destin était étrangement lié à cette famille et en avait fait une amie des plus proches et des plus fidèles. Mais comment expliquer cela à une inconnue ?
Elle prit une inspiration.


Non, je ne suis pas de la famille. Enfin… Je suis une amie proche. Je me nomme Adela de Vaisneau, Vicomtesse douairière de Fronsac, Baronne douairière d’Ittre et Dame du pavillon de Thoury.

Ses émeraudes regardèrent la jeune femme transcrire ce qu’elle venait de dire. Quand elle eut fini, Adela poursuivit.

Le naufragé se nomme Alexandre de Cheroy, Duc de Dunois, Baron de Sully et Seigneur de Chéroy. Son navire a… coulé alors qu’il quittait le port d’Orléans. Pour le moment j’attends de connaître son état avant d’avertir ses proches. Je ne voudrais pas… Enfin…

Elle se tut et attendit que le froid cristal se reforme dans son cœur. Au moins, quand il était là, elle ne ressentait plus rien.
Son regard sombre suivait les mouvements de la plume qui, vivement, grattait le papier.

_________________
Zafara
Zafara inscrivit à toute vitesse le noms sur le papier.
Elle releva les yeux vers Adela.


Très bien, merci, je vais aller voir en cuisine pour trouver à manger à votre ami, soyez sans crainte, il est entre de bonnes mains. Il se fait tard, vous devriez aller vous reposer, vous semblez épuisée, vous pourrez revenir demain matin. Je demanderai à notre medecin de faire un nouveau diagnostic et de vous expliquer de quoi il en retourne. Douce nuitée à vous, Dame./

Elle sourit, et raccompagna la dame rousse jusqu'à l'entrée, elle semblait épuisée.
Elle avait été très courtoise avec elle.
Elle referma la porte et descendit en cuisine.
Elle remplit un bol de soupe et sur un plateau, elle le posa, accompagné de pain, de beurre et d'une tranche de jambon.
Elle prit de l'eau en plus d'un verre et remonta vers la chambre d'Alexandre.

Elle poussa la porte d'un coup de hanche et pénétra dans la pièce.
Elle posa le plateau et entreprit d'aérer quelque peu la chambre.
Le blessé semblait se réveiller.
Elle s'assit sur le bord du lit.
Lorsqu'il battit des paupières en ouvrant les yeux, elle lui dit d'une voix douce et en souriant:


Comment vous sentez vous? Vous sentez vous capable de manger?
_________________
Belle et attirante, fougueuse et passionée. Maman de jumeaux: Mary et Jules, nés le jour du Printemps, mariée à Phyll...Aime les tulipes rouges, symbole de l'amour éternel à l'instar des roses blanches,et rouges, pour la passion et le désir...
--Joran
Un petit garçon entre au matin en pleur dans la battisse....

Il se mets à hurler...


Madame Madame..... venez vite.... il y a mon papa qui bouge plus ....
Il est dehors devant les murs de la ville.....


Il cherche de l'aide du regard et de la voix...
Boudicca
Boudicca rangeait quelques onguents dans la salle d'apothicaire quand une infirmière vint la prévenir qu'un enfant craignait pour la vie de son père. Elle prit sa besace rapidement puis se rendit à l'entrée pour interroger le garçon au visage familier.

Bonjour, mon garçon. Que se passe t il? on me dit que ton père aurait besoin d'un médecin. Quel est son nom et le tien? Raconte moi tout mais avant indique moi le chemin pour se rendre près de lui.

Ils sortirent de l'hotel dieu suivi par des brancardiers.
_________________
--Joran
Joran leva les yeux vers la Dame toute de bleue Vêtue.... Il reconnu Dame Boudi...

Boudiiiiiiiiiiiiiiiii---------................
dit Joran en pleurs

c'est mon papppaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Zebraaaaaaaaaaaa


et le petit d'attraper la main de Boudicca


Viittteeee, il ya du sang partout.....

et de prendre le chemin de la sortie de la ville en tirant Boudicca
Jades
Il est parfois des être qui on le don de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. C'est ce qu'elle se dit en apprenant par la Vicomtesse de Fronsac que l'héritier Cheroy se trouvait en Touraine complément perdu au sens propre hum comme au figuré apparemment. Mais ça passons, se qui la dérangeait était davantage l'accueil fait à la son amie, étonnant venant de l'hôtel dieu. Hum une occasion pour quitter Vendôme et rejoindre le temps d'une visite, Tours...

Auberge non loin du lieu d'asile, autres lieu l'aurait étonnée connaissant la sympathie qu'éprouvait la rousse pour la famille Orléanaise. Il devait lui tarder d'accueillir le naufrager chez elle? Le temps qu'il reprenne vigueur. Si fait elle s'annonça à l'aubergiste.


Pouvez vous quérir la vicomtesse de Fronsac qui loge céans? Hum pourquoi ce regard étonné? Quoi cliente inconnue? Hum la belle rousse ? Et d'un sourire graveleux il accéda enfin à sa demande.
_________________
Adela
[A l'auberge, une rue plus loin de l'Hôtel Dieu]

Soupir de satisfaction. Lèvres qui s’étirent en un doux sourire.
Toc. Toc. Toc.
Froncement de sourcils. Encore cet aubergiste qui profite qu’elle prend son bain pour venir la déranger. La rouquine le soupçonnait d’espérer pouvoir en apercevoir un bout.


Quoi encore ???

Pas de réponse. Exaspérée, elle sortit de la baignoire, quittant ainsi l’asile chaud de l’eau savonneuse. Agacée, elle enfila une chemise et des braies qui se collèrent aussitôt aux formes arrondies de son corps. D’un geste brusque, elle ouvrit la porte en parlant sur un ton rageur.

Je vous ai déjà demandé…

La surprise se dépeignit sur ses traits et ses yeux s’emplir de joie.

Jades ! Ça alors ! Mais entre donc !

Elle céda la place pour laisser passer son amie, puis referma la porte derrière elle, la claquant au nez de l’aubergiste.

Tu n’étais pas obligée de venir. De toute façon, les visites ne semblent pas autorisées à l’Hôtel Dieu. Va savoir pourquoi ! Ce n’est pas un pestiféré, juste un naufragé. Je n’ai même pas encore put m’assurer de sa bonne santé. C’est te dire ! Ah ! Si Claudi était là !

Un large sourire éclaira son visage à la pensée de son ancien mentor. Puis son attention retourna à son amie. C’était bien qu’elle soit là. Au moins, elle ne serait pas seule aujourd’hui à affronter les mégères de l’hospital.

Je m’habille et tu m’accompagne ?
_________________
Jades
Ah claudi... Oui Tout avait une saveur fade sans la guérisseuse. De toutes celle qu'elle avait connu, elle fut bien la seule à donner un trait de joie de vivre même quand les pire situation était. Elle aurait été des plus utile et bénéfique autre d'hermine.

Oui je t'en prie nous iront le chercher ensuite.


Car elle était bien la raison de sa venue. Outre l'hospitalité légendaire ou pas en fait de la Touraine le fait de bloquer le peu d'espoir pour le Cheroy de recouvrer la mémoire ne lui plaisait guère. Bien que n'ayant que peu supporter le père hum disons que le fils avait droit à un minimum de respect..

Tu as pu prévenir sa famille ou ignorent t-ils sa présence en Touraine?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)