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[RP] Coup de collier(s), courbettes et ronds de jambe...

Trokinas
Le Comte s'avança vers Alcyone.

Euh... tu t'es endormie?

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Moaan
Amusée par un vacarme à l'extérieur tandis que la cérémonie ressemblait à un enterrement, amusée,
Moaan s'éclipsa discrètement vers le fond de la salle, entrouvrit la porte et la referma derrière elle.

A quelques pas de là donnée la grande porte d'entrée du château. Oui ! les cris venaient bien de là !
Elle s'approcha, les sons étaient de plus en plus clairs et elle cru reconnaître une voix.
Après avoir ouvert la porte, elle ne pu s'empêcher de rire en voyant le pauvre PsyK se débattre contre les gardes. Quels idiots ces 2 là aussi !
Se mordant les joues pour ne pas rigoler plus longtemps, elle s'approcha des 2 gardes en souriant


- Allons messires ! En voilà une bien belle façon de traiter votre CaC...
A croire qu'il ne passe pas assez par là matins et soirs...


Elle secoua doucement sa tête en rigolant et s'avança en posant sa main sur le bras à PsyK, puis se retourna à nouveau vers eux.

- Si vous m'avez reconnu moi, alors que je ne suis que maire, ayez au moins l'obligeance de ne plus commettre ce genres d'erreurs envers Messire PsyK.

Regardant le CaC en souriant, elle lui fit un signe de la tête pour qu'il la suive

- Que de mésaventure mon pauvre.
Venez, on retourne à la cérémonie !


Ils s'avancèrent et elle dit plus bas


- En tout cas vous n'aviez rien louper... ils ont dû manger des escargots, ça n'avance pas... *rit*

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Finitou
Corenthine était toujours au devant de l'estrade et vit que messire Ranna ne viendrait pas la rejoindre.
Elle se sentait un p'tit peu seule.

Quelques chuchotis dans la salle mais pas plus d'action que cela.

Qu'attendaient ils ?

Elle était déjà assez gênée avec un pan de robe pour cacher sa jambe fuselée du regards des personnes.

Un rapide tout d'horizon en essayant d'accrocher un regard et se sentir moins isolée au devant de la scène.

Son regard vint se planter dans celui du comte qui était aussi en train de se demander ce qui se passait. Oeillade complice et sourire en coin.
La cérémonie était d'un ennuie mortelle si ce n'était pas Psyk qui faisait encore des siennes en sautant partout.

La bourgmestre Mooan alla le chercher, plus vive que les autres.

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Alcyone
Tiens... mais où suis-je? Maismaismais que... *tourne la tête à gauche* Oula! Mais! Qu'est ce que c'est que ce binz?? *tourne la tête à droite* M'enfin! La baronne, la Sainte Anne, bien nommée en cet instant, croit devenir foldinguo, façon Ned... Une petite pièce, des gens en pyjama autour d'elle, l'air aussi éberlué qu'elle...

- Scotty! Qu'avez-vous fait?? Mais qui est cette personne!
- Je... je n'en ai aucune idée, Capitaine Kirk!
- En tout cas, elle est habillée fort étrangement..
- Silence, Dr McCoy, c'est peut-être une espionne...

- Mais... mais... je...


Ha puis m erde, quoi! Elle est baronne ou quoi??? Alcyone se redresse, dégaine son épée face à ces mécréants en pyjama qui n'ont visiblement aucun respect de la noblesse... Sont-ce des militaires ennemis? Qu'importe, elle les met en joue... surtout qu'il y en a un bizarre, dans le tas, avec de grandes oreilles pointues!

- Je suis Alcyone de Sainte Anne, Baronne du Dorat, fière Limousine! D'honnêtes hommes se présentent devant une dame avant de l'insulter ouvertement en la traitant d'espionne! Je vais vous faire ravaler vos vils propos!
- ...
- Je le savais... cet appareil qui disperse les atomes est susceptible d'engendrer la folie! J'ai jamais eu confiance dans c'truc!
- McCoy, s'il vous plaît! Réfléchissez utile!
- En toute logique, c'est une femelle humaine. Assez belliqueuse, si j'en juge par son arme - archaïque s'il en est - pointée vers nous. Quant à ce qu'elle fait ici... Peut-être une distorsion anarchique de l'espace temps...
- Merci, Spock... Scotty, débrouillez-vous, mais faites-la rentrer chez elle!
- Tout de suite, Capitaine!
- Longue vie et prospérité, étrangère...


Et avant qu'elle ait eu le temps de protester, un halo lumineux l'entoure... Fichtre! Sorcellerie!!! Elle tient sa batârde bien en main, sait-on jamais, prête à faire rendre gorge à tout qui menacerait son intégrité... ou lui causerait mal! Ha! Le halo s'éteint, le sol se matérialise sous ses pieds... une voix...

- Euh... tu t'es endormie?
- Tu vas payer pour les autres!!!


Oula! Mais... Heu... Alcyone se rend compte qu'elle est en train de brandir son épée à deux pas du comte Trokinas qui finalement, ne lui veut pas tant de mal que ca... Juste savoir où elle est passée durant ce loooonnnng silence... Mais comment lui expliquer qu'elle vient de voir des dénommés Kirk, Scotty et Spock suite à une distorsion anarchique de l'espace-temps... c'est qu'elle a pas très envie qu'on appelle l'inquisition pour lui extirper des pseudos démons du corps... Elle sait très bien ce qu'elle a vécu, mais le gardera pour elle...

- Heu... Hahem... ho! vot'grandeur! vous êtes là... bien bien... héhé... oui... je... une petite absence... Reprenons...

Diablerie! Elle est sûre de s'être retrouvée ailleurs pourtant!!! Ce qui expliquerait forcément cette absence momentanée et le fait que tout le monde a l'air de patienter en l'attendant... Elle rengaine vite son épée avant que la garde comtale ne la trucide et qu'on ne la prenne encore plus pour une folle, la Sainte Anne...

Elle reçoit et lit la lettre de Ranna que lui tend un page tremblottant devant la furie rouquine... Alcyone toussote, elle reprend à haute et intelligible voix


- Bien! Messire Ranna vient de me faire parvenir une missive, il ne peut se joindre à nous. Sachez pourtant que le conseil et la mairie de guéret ont conjointement tenu à lui remettre le collier rouge d'Equite de l'Ordre Couvain pour divers mérite que je vais énoncer:
Citation:
Il a déjà obtenu le collier vert pour des services rendus à sa ville au mois de Mars 1456, notamment pour avoir fondé le GAG.
Il a repris la mairie de Guéret suite à une révolte autorisée par le conseil.
Suite à cela, il a été élu à deux reprises maire de la ville.
Durant ces deux mois et demi, il fut assidu, disponible et soucieux à la fois des finances de la ville et du bien-être des habitants.

Dans le cadre de ces fonctions de maire, il a notamment :
- initié avec succès la reconversion de la production de blé en mais et élevage.
- mis en place une filière d'exportation de viande dont une partie est destinée au Comté.
- amortit au maximum les impôts comtaux sans pour autant mettre les finances de la ville en danger.
- donné de sa personne et de ses écus pour permettre à la ville de passer ce cap difficile.

Hors ces deux mois et demi, Ranna est depuis des années un élément moteur au sein de la "mie vagabonde", une institution guérétoise qui propose aux nouveaux venus du pain à 4,05. Il participe à la vie de sa ville notamment via sa taverne, le Cave Necadas. Il a également été marchand ambulant pour le comté à titre bénévole lors de moments très difficiles et a fourni le comté en pain à 2 écus à plusieurs reprises, permettant de réduire notablement les frais de bouche, alors que les finances comtales étaient au plus mal.

Apolitique, il n'a jamais pris part aux jeux de pouvoirs. Pourtant, au quotidien il œuvre discrètement au bien commun.


- Je lui remettrai personnellement sa décoration ultérieurement. Finitou...

Elle se tourne vers la nouvelle prévôte avec un petit sourire. Si leur relation ont été un peu houleuse malgré leur amitié ces derniers temps, tout finit toujours par s'arranger. Le sourire s'élargit au moment ou elle s'approche de la jeune femme. Elle prend le parchemin sur lequel se trouve la patente et le lut à haute voix.



Citation:
CORENTHINE, dite Finitou

Elle possède le grade de Patricienne depuis mai 1456

Charges exercées :
- Toujours animatrice
- Porte parole en août 1456
- Connétable le 17 septembre 1456 et le 17 Novembre 1456 (un mandat et demi)
- Capitaine le 8 décembre 1456
- Toujours chef barbière
- Maistre de Conférence à l’Académie militaire
- Patricienne de l’ordre du grand Couvain en mai 1456

Depuis qu'elle a reçu le collier de Praticien, Finitou n’a eu de cesse de s’investir pour le Limousin, que ça soit au niveau du conseil, ou de l’académie militaire, ou tout simplement de l’armée.

Femme consciencieuse, mettant tout son temps et son ardeur au conseil, et à l'armée, elle devient un point important de l'état major. Elle n’en lâche pas pour autant l’investissement dans l’animation du Comté.

Elle met son travail et sa disponibilité au service du Limousin nommé Porte Parole, puis Connétable et enfin Capitaine, elle continue en parallèle les formations à l’académie pour les cadets, elle s’investit pleinement dans la défense du Comté, en participant et motivant les différents acteurs du pole de la coordination, pour que toutes les informations soit sues en tant et en heure. Elle n’a de cesse de proposer des activités aux Limousins en place publique et s’occupera aussi de la réception et de l’organisation quand le Roy vint nous rendre visite.
Elle prend à cœur toutes ces fonctions, sans en mettre une seule de côté, motivée, entreprenante, disponible, dévouée, compétente et travailleuse, Finitou est un élément clef qui ne fait que grandir et qui demande qu’a continuer sur sa lancé pour devenir une grande sans doute un jour.


- Pour tout ceci, pour t'encourager à continuer et parce qu'il sait que tu sauras t'en montrer digne, l'Etat Major a souhaité que le Limousin t'honore du grade d'Equite de l'Ordre du Grand Couvain, symbolisé par ce collier...



Elle passa le collier au cou de la prévote avant de reprendre la parole.

- Je souhaite à présent appeler le Gouverneur Amael... ainsi que Tarrelian, maire de Ventadour...

Le second nom est prononcé avec un peu plus d'émotion... même si elle sait que là... hahem...faut s'attendre à tout... mais elle s'en fiche, c'est pour ça qu'elle l'aime, pas pour un collier, un grade ou un titre...
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Finitou
L'ex prévôte et Baronne, passa le collier rouge autour du cou de la nouvelle apprentie prévôte.

Elle baissa la tête pour recevoir cette distinction avec honneur.
Corenthine était toujours ravie de pouvoir travailler pour son Comté et quand un travail était reconnu, c'était en plus une récompense.

Une fois son collier rouge posé sur sa poitrine, elle retourna à sa place pour voir la suite de la cérémonie.

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Trokinas
Le Comte sursauta en voyant une épée à 10 centimètres de son nez. Il ne pensait pas l'avoir vraiment choquée à ce point... Puis la Baronne sembla se ressaisir.

Finitou venait de repartir, il lui aurait bien fait une accolade, mais bon.... Au suivant donc. Puis le Comte vit une main qui gesticulait un peu plus loin. Il se leva et alla voir ce qui se passait en entendant son nom


PsyK, mais qu'est-ce qui t'arrives?

Un souci avec les gardes?


Le Comte souriait, et cela faisait plaisir à voir.
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Psyk
Alors que le jeune homme s'évertuer à interpeller le Comte, c'est finalement Moaan qui vient le sortir de ce mauvais pas.

- Ce genre de réceptions a toujours était d'un pompeux ma Chère. Je suis passé ici un peu par hasard, j'ai vu de la lumière et je suis rentré. Mais je ne pense pas m'y attarder.

A peine avaient ils fait quelques pas, que le Comte était finalement venu l'accueillir.


- Il parait que les alcooliques n'ont pas le droit de rentrer, sauf s'ils sont escortés par une jolie mairesse...

Petit sourire à l'attention de la jolie Mairesse.

-Je croit que tu es attendu m'sieur l'Comte. J'voudrait pas trop te déranger.


Accompagné de Moaan il se mit quelque peu à l'écart, écoutant silencieusement la longue cérémonie. Après un long baillement il lui chuchotta :


- Bon je vais m'éclipser furtivement. A un de ces jours Moaan.

Il lui déposa une bise sur la joue et longeant les murs s'échappa de la salle.
Moaan
Moaan riait aux sottises que lui sortait PsyK au cours de la cérémonie, au moins il y avait un peu d'ambiance dans leur coin !
Après une dizaine de minutes, il s'éclipsa ne tenant plus en place, lui donnant au passage une bise sur la joue.
Elle baissa sa tête en rosissant, et le regarda partir en souriant.

Perdu dans de douces pensées, elle secoua sa tête pour se reconcentrer sur la cérémonie et posa doucement sa main sur sa joue...

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Trokinas
Le Comte regarda PsyK disparaitre, se demanda pourquoi cela lui donnait mauvais impression, puis retourna sur e devant de la scène.
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Tarrelian
Ca y est… c’est le moment c’est l’instant, le gouverneur machinchose ne se bougeant pas, autant en finir tout de suite…
C’est donc un Tarrelian sortant de son recoin sombre qui s’avança en direction du trône comtal
Il savait pertinemment pourquoi il était convié et n’allait pas laisser passer cette occasion…

A trois pas de l’estrade il s’inclina de nouveau… pas trop bas bien sur, ne quittant pas le comte des yeux, bien que le sourire affiché fut pour Alcy


Votre grandeur…
Dire que cette invitation me ravit à moitié serait à moitié faux et il n’est pas dans ma nature de ne faire les choses qu’à moitié…

Vous m’avez convié, par l’entremise de la chancelière, à venir récupérer un collier, acquis de haute lutte et par moult sacrifice… Je m’étonne juste que la laisse ne soit pas fournie, il faut très certainement un grade en plus.

Je ne peux que vous remercier de cette… confiance et cette reconnaissance d’un travail de chaque instant… Despote n’est en effet pas un boulot facile

Quand je vois l’assemblée ici réunie…
Il embrasse la salle du regard, s’arrêtant sur quelques sommités le sourire aux lèvres Je ne peut malheureusement que refuser de faire partie d’une si prestigieuse communauté…

Le « travail » que j’ai accomplit à Ventadour ne mérite certainement pas un tel honneur et puis la chancelière a du certainement vous glisser à l’oreille que je n’étais pas un grand adepte des décorations et autres fioritures…

J’estime avoir fait mon travail de bourgmestre et n’attend rien en retour… si je n’avais pas désiré ce job remplis de contraintes et de lettres d’insultes je me serais abstenu, Sinon autant filer un collier à tous les garçons d’écuries qui font un boulot bien plus ingrat que le mien.

Il y a certainement bien d’autres personnes ici qui… « mérite » cette parure, voir qui pourrait vous vendre père et mère pour toucher du bout du doigts ce morceau de satin…


Il salua le comte, fit un rapide coup d’œil à Alcy

Fondez donc cette abeille et ajoutez la pièce que vous en tirerez aux coffres de Ventadour dans les caves comtales

Il fit deux pas en arrière, attendant une hypothétique réponse du comte
Trokinas
Le Comte haussa un sourcil. La réaction de Tarrelian n'était qu'à moitié surprenante. Mais Trokinas était de ceux qui répondait toujours à ses interlocuteurs.

Sieur Tarrelian, votre réaction, bien qu'emportée vous honore. Je suis d'accord avec vous sur le fait que ce n'est qu'un morceau de métal, mais il représente ce que les habitants pensent de vous. Vous avez oeuvré pour le bien de Comté, et c'est normal que vous ayez droit à cette récompense. Cependant, sachez que même si réfuser une telle chose est un marque de valeur, vous refusez la reconnaissance de votre peuple, ce qui est vraiment dommage voire outrageant. Il est plus facile de donner que de recevoir par moment. Je vous invite à méditer là dessus.
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Tarrelian
Petit sourire amusé, le comte tente de défendre ses institutions, normal après tout…

Votre grandeur, sauf votre respect, je ne pense pas que les habitants de Ventadour aient été consultés pour cette distinction… Et croyez moi ce n’est surement pas une abeille qu’ils m’enverraient…

Oui j’ai œuvré et je continuerais à le faire pour ce comté auquel je tiens.
Par contre je ne suis pas d’accord quand vous dites qu’il soit « normal » que j’en sois récompensé…
Je n’ai pas besoin d’une carotte pour me faire avancer… Et surement pas d’un collier lourd de symbolique…

Si mon refus vous outrage vous m’en voyez désolé et marri… Mais je ne vais surement pas changer un choix de vie pour qui que ce soit, fusse t il comte et encore moins pour une reconnaissance matérielle… Et ça je suis sur que même vous pouvez le comprendre


Il sourit à Alcy

J’aurais bien une solution, mais qui pourrait encore passer pour outrageante…

Il siffla en direction de l’arrière de la salle…
Un cliquetis ne se fit pas attendre, des griffes grattant la pierre, un tintement métallique également
Une boule de poil hirsute sortit du même coin d’où Tarrelian avait attendu une bonne partie de la soirée, un chien miteux traça son chemin au travers des jambes de la noble assemblée, tenant un trousseau de clés dans la gueule

Tarrelian pencha la tête sur le coté, un sourire tout paternel sur les lèvres, puis fit volte face pour se retrouver à nouveau face au comte


Votre grandeur, j’vous présente Drago, porteur des clés de ma bonne ville de Ventadour…
Je les perdais sans cesse… Et avec tout ces gens mal intentionné qui rodent sur nos bonnes terres…
Enfin soit…
Si vous m’y autorisez j’aimerais que ce collier lui revienne, ça lui iras mieux au teint qu’a moi…
--Lechat


Le chat qui passait par là,prèsent et abscent sans cesse comme le sont toujours les chats, entendit le nom de son maitre, si toutefois ce concept avait un sens en certains lieux.

Il était au moins d'accord sur un point avec Tarrelian, si le choix avait appartenu aux habitands de ventadour, ce n'est pas un collier qu'il aurait eu mais une corde.

Il était d'accord aussi que certains priviléges étaient réservés à ceux qui ce soumettait au pouvoir plutôt que d'ecouter et d'aimer le peuple.

La seule chose surprenante dans l'histoire c'est que du coups, cette homme qui avait si savemment leché les bottes d'ULM et aboyé comme un bon chien contre son maitre s'etonne de recevoir ce prix.

Etait il aussi naïf qu'incompetant.

Il siffla et cracha, avant de s'eloigner des 2 cabots.
Trokinas
Le Comte coninuait de sourire, mais c'était un sourire chaleureux et non ironique.

Tarrelian, vous ne m'offensez pas en refusant cela, c'est votre droit le plus précieux. Je respecte ce choix, je me suis simplement permis d'essayer de vous montrer un autre point de vue que le vôtre.

Puis le Comte regarda le Chien en question.

Et bien si vous voulez le donner à Drago, qu'il en soit ainsi. Cependant, je ne suis pas sûr que tout le monde trouve son nom à son gout. Voilà une trace d'humour bien particulière, et j'avoue que je n'aurais pas affubler quelqu'un que j'apprécie d'un nom pareil, mais là aussi, nous devons être différent. Alcy, tu veux donner son collier à Drago.?

Cette fois, le sourire était amusé.
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