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[RP] Les Fauchards à l’œuvre.. Non mais!

Aegidia
Aegidia qui surveillait les brigands, les vit partir dans leur charrettes et entendit crier au feu .
Ce ne sont que des sauvages ces gens là , s'attaquer à notre château, ce ne sont que des pleutres et des couards qui se cachent derrière les jupes d'une gueuse.

Elle rameutât très vite les habitants qui faisaient leur curieux et leur demandât de prendre de l'eau dans les douves pour pouvoir éteindre le feu.
Elle les bousculât un peu pour qu'ils se démènent en criant.
Allez de l'eau et vite ,finit de vous cacher dans vos maisons , si vous ne voulez pas que vos maisons brûlent, elle les poussât vers le château .

Elle rentrât dans le château pour retrouver ses amies et reconnût la voix de Dame Xalta dans un couloir. Elle se dirigeât rapidement vers la salle du conseil.

Elle jetât de l'eau sur elle , car ses habits commençaient à ,s'enflammer . Allez Mesdames venez prendre l'air , les habitants vont s'occuper de ce petit feu .
Valeria053
Val prisonnière dans le château, entourée de flammes, la fin est proche, elle périra dans ce château où elle passe ses journées, il serai son tombeau.

Les Flammes attaquent ses vêtements, Xalta non loin d'elle est dans la même situation, dans quoi l'avait elle entraînée, son amie sa vassale allait périr aussi par sa faute, elle tapait toujours sur les flammes avec le tapis, mais la fumée devint dense, elle toussa, çà lui piquait les yeux, puis elle s'effondra à bout de forces

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François85
[Matin du samedi 8 mai]

Les rayons venaient à peine de pénétrer au domaine quand le Seigneur de Saint Grégoire-lès-Yèvres ouvra les yeux.
Comme à son habitude, il se rendit au petit salon afin de prendre connaissance du courrier qu’Hector déposait quotidiennement.
Parmi les différentes missives ce matin là, l’une d’elle était des plus inquiétante.
Après l’avoir rapidement parcouru, il l’a laissa tombée et s’empressa d’appeler son valet.


Hector…Hector ! je pars en urgence. Prépare mon armure et mon destrier, le château est tombé aux mains de vil gredins cette nuit.

[Quelques heure plus tard]

Il avait chevauché sans arrêt jusqu’à la caserne malgré la fine pluie qui lui fouettait le visage. Avec cette eau, il faudrait qu’il pense à huiler son armure en arrivant.
La caserne était à porter de vue et semblait bien agitée. Apparement, ils avaient eu vent de la nouvelle.
François pénétra dans l’enceinte de cette dernière et ne perdit pas de temps. Réunion de crise avec ses officiers.
L’heure de la mobilisation était sonné.

Après un rapide briefing, on ressortit les étendards .
L’armée « Regi Patriaeque Fidelis « était en marche.


[Dimanche 9 mai, à l’aube]



Sur la colline surplombant la capitale Orléanaise, une silhouette apparue sur son cheval.
Observant l’agitation et les mouvements de panique due à la récente prise du palais.
Le général mandata quelques soldats afin d’aller aux nouvelles.
Selon les nouvelles qu’ils ramèneront, on saura si le sang coulera.

Une demi heure plus tard, revinrent avec de bonnes et de mauvaises nouvelles.


Nous avons plusieurs nouvelles mon général.
Après la prise du château, les élections initialement prévu se sont quand même déroulé mais, les malfrats refusent de laisser les bureaux aux nouveaux élus.


Le contraire m’aurait étonné. Quoi d’autre ?

Une révolte va être organisé.

Bien.

Et aussi, voici un message de l’état major.

Il tendit un rouleau de parchemin au seigneur. François brisa le scel et le lut.
Les ordres était clairs à présent.
Il se tourna vers ses hommes et pris parole.


Mes braves, nous avons une mission qui nous ai confié. Nous reprenons nos manœuvres.

Puis, il dicta ses ordres précis à ses officiers pour qu’il fasse le relais avec leurs sections.

L’armée s emit ensuite en mouvement. Qu’allait t’elle faire ? L’avenir nous le dira.
L’action commence réellement maintenant.


[Lundi 9 mai]

Les nouvelles suite à la prise du palais arrivèrent jusqu’à François . Les brigands avaient quitté la place mais, se trouvaient toujours sur le territoire Orléanais.
La mauvaise nouvelle de la journée fut quand il apprit que les mercenaires avaient incendié le château avant de prendre la fuite.
L'action ne faisait que commencer.
On dirait bien que ça va saigner…

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Xalta
Les voilà cernées par les flammes, Aegidia les a rejoint mais pour périr, Elle frappe de toutes ses force les flammes, soudain un bruit mat, elle se retourne, son cœur s'arrête une fraction de seconde, valeria son amie et suzeraine est au sol évanouie, ses vêtements brulent, elle prend la tenture et couvre Valeria avec pour étouffer les flammes, ses propres jupes ont le bas qui commencent par être grignotées par le feu, elle éteint les flammèches de ses mains

Elle tousse, la fumée l'empêche de bien respirer, ses yeux pleurent tous seuls, l'air est irrespirable. Elle se redresse un peu , se courbe et cherche a entrainer son amie inconsciente, elle la tire vers une des fenêtre aussi loin que possible des flammes

Aegidia , viens, nous ne pouvons plus sortir par la porte, aide moi a porter valeria près des fenêtres !

Elle n'est pas sure que ce soit la meilleure solutions elles ne font que gagner quelques minutes sur une mort qui se rapproche inexorablement au rythme des flammes qui dévorent tout sur leur passage. Elle n'en peut plus, sa respiration devient difficile, elle cherche du regard un échappatoire, elle connait que trop bien cette pièce..les seules issues sont les portes et elles sont inaccessibles du fait du brasier.
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Valeria053
Dans un sursaut Val entend Xalta, mais elle ne peut ouvrir les yeux, tout est noir
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Aegidia
Aegidia se dit pas besoin de réfléchir de trop , elle prends valéria et la met sur son dos , un peu comme un sac de pommes de terre mais pas d'autre solutions.
Elle prend xalta par le bras et lui dit :

"Suis moi Xalta "

Elle se dirige vers un mur , car la tenture ayant brûlé , la porte qui était cachée est apparue , Aegidia connaît le passage , il descend dans les caves.
Viens je le connais ce passage ,en passant par le lieu où on garde le vin on peut rejoindre les douves.Je l'ai trouvé un jour que je cherchais à manger.
Et en tirant sur Xalta fortement ,et en portant Valéria ,elle l'entrainât vers les escaliers.
Xalta criait ,mais Aegidia ne la lâchait pas.

La descende était raide et les escaliers glissants mais elle n'avait plus d'autre solution car le couloir par lequel elle était arrivé était envahi par les flammes.
Elle n'avait plus le temps d'attendre il fallait avancer.
Djehane_
Djehane avait suivi Aegidia tout du long de son chemin, mais celle ci ne semblait même pas l'avoir vu. Elle n'avait même pas cherché a avoir de l'aide et avait passé par dessus son épaule le corps inanimé de sa mère. Pas le temps de s'inquiéter pour le moment, il aurait bien l'occasion pour cela quand ils seraient tous sorti de ce brasier. Aegidia les mena tous dans un tunnel, tandis que Djéhane soutenait tant bien que mal Xalta qui avait elle même bien du mal à respirer et à avancer, en même temps tirée par la sauveuse. Il avait mouillé ses vêtements à la perspective de ce sauvetage, et bien que l'eau se soit en partie évaporée dû à la chaleur, cela suffisait à le protéger. Il avait prit aussi la précaution de garder une des nombreuses flammes au bout d'une torche... c'est tout de même bien pratique dans un passage obscur!
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Xalta
Aegidia l'attrape soudain par le bras et l'entraine vers un des murs qui a été mis a nu par les flammes, elle y ouvre une porte qui était jusqu'alors cachée et dont elle ignorait l'existence.

Elle suit Aegidia soutenue par Djehane le fils de Valeria, il faut dire que de la fumée, sa respiration est toujours difficile ce qui l'empêche de proférer un seul son, elle suit silencieusement , elle ne sait pas où ils vont, heureusement Djehane a été prévoyant et a une torche qui permet d'éclairer ce passage sombre.

Elle porte une main à son visage, mais celle-ci se fait douloureuse, à la lumière vacillante, elle aperçoit les blessures infligées par les flammes, elle ferme les yeux, ne pas penser à cette douleur, continuer de marcher vers les caves...Plus ils s'enfoncent dans la pénombre, plus l'air est frais, elle tressaille, quel contraste après la chaleur de la salle du conseil!
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Aegidia
Aegidia commençait à mieux respirer. En arrivant où l'air était frais , elle s'arrêtât .Elle regarde autour d'elle pour voir où ils sont.

Elle lâchât le bras de Xalta et vit un jeune homme qui l'aidait à soutenir Valeria, celle-ci n'avait toujours pas repris connaissance . Elle la pose avec douceur sur le sol humide .
Elle demande:

" Mais qui êtes-vous Messire?"

Grâce à la torche que celui -ci tiens, elle pût voir enfin les dégâts sur les habits de Xalta et valeria.

Elle est effrayée par ce quelle voit .Elle commence par retirer doucement les vêtements de Valéria qui n'étaient pas en contact avec la peau.Tout les jupons superflus d'abord.Valéria se mit à gémir. Elle tendit un morceau de jupon au jeune homme et lui demandât de le mouiller avec un peu d'eau.


Elle vit ensuite Xalta , son visage et ses mains sont brûlés .
En attendant pour que tu souffres moins je vais te mettre la pommade que j'ai dans mon escarcelle que Henri m'a donné pour mes bleus.

Elle mit un peu de pommade sur la figure et les mains de Xalta avec douceur.
Djehane_
Chancelant un peu sous le poids de Xalta, Djehane attendit de s'être arrêté et d'avoir déposé avec précautions cette dernière à terre où elle pourrait se reposer un instant pour répondre. Il se tourna ensuite vers la femme qu'il savait s'appeler Aegidia et qui lui avait demandé son identité.

Je suis Djehane, le fils de la femme que vous souteniez il a quelques instants. Je vous ai suivi tout du long de votre chemin, je me doutais que vous iriez les aider. Une aide n'est jamais de trop, et j'ai pris mes précautions avant de vous suivre dans ce brasier. Mais mon nom à pour le moment bien peu d'importance, seul soigner ma Mère et Xalta compte.

Il trouva une cavité dans le mur, qui lui servi à déposer la torche. A nouveau libre de ses deux mains il en tendit une pour récupérer le morceau de tissu que lui tendait Aegidia, et ramenant vers lui la gourde qu'il avait pensé à prendre et accrocher à sa hanche près de son épée, il versa un peu d'eau sur le morceau de jupon, évitant d'en gâcher pour que les deux blessés puisse se désaltérer du mieux qu'elles pourraient avec ce qu'il avait sur lui. Il donna le tissu mouillé à Aegidia et détailla les deux pauvres femmes, cloquées de partout. Il ne pouvait pour le moment, pas grand chose pour elles, juste attendre que la pommade passée sur leurs brûlures agissent. Les deux femmes avaient cette fois ci échappé à la mort de très très près, et Djehane dit qu'il faudrait qu'il envoie une lettre à son père pour le mettre au courant. Cependant ce n'était pas le moment de penser à cela, et il se remémora avec quoi on l'avait soigné lorsqu'il s'était brûlé alors qu'il était encore jeune. L'eau avait été douloureuse sur sa blessure, et seul la graisse avait eu de l'effet. Il espérait que Aegidia savait ce qu'elle faisait, car il ne savait pas si la pommade pour des bleus était vraiment efficace pour des brûlures, surtout au stade de gravité où étaient atteintes les blessées. Xalta étant à demi consciente et sa jeune infirmière ayant terminé ses soins, il s'approcha d'elle, et, reprenant sa gourde, l'approcha doucement de ses lèvres.

Bois Xalta, cela te fera du bien.

A petite gorgée, elle but. Il l'arrêta, pour qu'elle laisse du précieux liquide pour sa mère. S'approchant d'elle, il vit qu'elle était à moitié inconsciente. Son état n'était pas pire que celui de sa vassale, mais elle semblait n'avoir pas soutenu la douleur, et gémissait. Lui murmurant des paroles réconfortantes, il fit glisser le goulot entre ses lèvres, et la rassurant toujours, elle se mit à boire, suivant ses paroles.

Bois Maman, tu es sorti de cette pièce, ne t'inquiète pas, tu es en sécurité, nous allons te sortir de là, bois pour le moment.

Tout en murmurant, il tâchait de ne pas toucher d'endroits sensibilisés par les brulures.
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Aegidia
Aegida remerciât le jeune homme de son aide .
Tu as bien fait de nous suivre et ton aide me sera bien utile, surtout avec une torche .
Je pense que nous devrions repartir car c'est dangereux de rester ici.
De plus ta mère a vraiment besoin de soins . Ce que j'ai mis sur les brûlures ,devrais calmer un peu leurs douleurs .
Mais elles ont besoin de soins plus important . Si je me souviens bien nous devions atteindre bientôt la sortie qui conduit aux douves , j'espère qu'il me restera assez de force pour porter ta mère jusque là.


Après il faudra que tu appelles pour avoir de l'aide.

Elle reprit Valeria et la remit sur son dos avec précaution, la tenant par les jambes .

Je compte sur toi pour aider Dame Xalta ,donc passer devant je vous suivrai , la lueur de la torche m'aidera.

Aegidia reprit doucement le chemin qui les menais à la liberté , en serrant les dents , mais elle ne devait pas flancher , il fallait qu'elle tienne encore un peu .
Djehane_
Suivant les indicatives d'Aegidia, Djehane se retrouve à la tête de la file, tenant fermement Xalta d'un bras tandis qu'elle marchait comme elle pouvait, et de l'autre côté la torche, qu'il dressait devant lui pour éclairer ce tunnel obscur. Après des mètres et des mètres il aperçu enfin une clarté, plus claire que celle qui les entourait. Djehane lui même n'en pouvait plus, il était à bout de force, et il n'osait même pas imaginer l'état dans lequel était les trois femmes derrière lui, qui avaient en plus subit la fumée bien plus que lui, qui avait pu et pensé à bien se protéger. Ils émergèrent enfin, et déposant avec le plus de douceur possible le corps de Xalta, il se tourna vers Aegidia, la seule à encore pouvoir comprendre ce qu'il lui dirait, les deux autres étant totalement hors d'état de faire quoi que ce soit après ce périple souterrain en plus.

Je m'en vais chercher de l'aide, surtout ne bougez pas, que je puisse vous retrouvez facilement lorsque je reviendrais.


S'en allant en courant, il avait prit soin avant bien se repérer et il se dirigea vers la source de bruit la plus proche. A sa gauche, le château flambait, et plus les flammes montaient, plus il menaçait de s'effondrer, ce qui ne tarderait pas à arriver. Revenant sur sa mission première, Djehane se précipita vers la première maison qui vit. Criant, il faisait des signes vers le château. Une personne s'intéressa alors à lui, un homme qu'il ne connaissait pas sans aucun doutes, mais cela, le jeune garçon en avait bien peu à faire, du moment qu'une personne venait l'aider à sauver sa mère et la vassale de celle ci. Reprenant son souffle du mieux qu'il pu après avoir couru comme un lapin échappant à son chasseur, il expliqua aussi clairement qu'il pu.

Ma mère... besoin d'aide... brûlée... Vite! S'il vous plaît aidez moi! trouvez de quoi soignez des brûlures, n'importe quoi qui puisse guérir...


L'homme sembla comprendre malgré l'incompréhensible charabia que le jeune venait de lui sortir. Faisant appel à ses amis, l'homme rassembla en moins de temps qu'il faut pour le dire, des linges propres, et demanda à Djehane de le conduire là où attendaient les trois femmes. Deux ou trois hommes les accompagnaient, surement pour pouvoir porter les blessées incapables de se déplacer.
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Xalta
[Dans les souterrains]

Elle était fatiguée, mais elle continuait de lutter, la douleur se fait plus violente au fur et à mesure de sa marche, ses pieds la font atrocement souffrir, Une pause, quelques gorgées données par Djehane, elle retrouve un peu de sa voix et murmure un merci, elle tente même le sourire, elle pose sa tête contre la paroi froide, cela la soulage, elle regarde Val toujours inconsciente , elle s'inquiète. Il faut se relever, appuyée sur le bras du fils de sa suzeraine, ils prennent la tête de la marche, les couloirs luis semblent interminables.

Marcher, ne rien penser à d'autres...Enfin de l'air frais , plus vif arrive sur son visage, ils ne doivent plus être très loin de la sortie, ils sortent enfin, Djehane la fait assoir, elle se laisse aller contre un talus, entend juste Djehane s'éloigner, elle essaie de respirer calmement, s'approche de Valeria que Gidi a déposé à son tour, un sourire, puis elle se penche vers valeria, elle commence à l'interpeller doucement.

Val! val !
Allez ma belle réponds ! Ouvre au moins les yeux !
Allez ouvre les ....sinon tu ne verras pas les beaux chevaliers blancs en armure venus à notre secours !


Même là, elle faisait de l'humour idiot, elle ferme les yeux. Au loin on entend des cris, des sons leur parviennent plus ou moins forts, elle sait juste qu'ils se trouvent au pied du château. Elle espère que Djehane trouvera de l'aide, puis elle se retourne vers Aegidia qu'elle trouve bien pâle en même temps rien d'étonnant avec l'effort qu'elle vient de fournir.

Gidi? ça va?
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Keridil
Keridil était des hommes qui avaient été appelés par le fils de Valeria. Le jeune homme l'avait reconnu, il avait quelques fois travaillé dans son champ.
Le château était toujours fumant.
Keridil portait des seaux d'eau et avait pris un nécessaire de médicastre à la hâte dans une maison qui n'était même pas la sienne...il espérait que ça ne gênerait pas trop les habitants, il repasserait plus tard.


Où sont-elles ?
Le jeune garçon indiqua la sortie des souterrains ducaux.
Gidi était là, comme toujours la première sur les lieux.
Les hommes qui accompagnaient se ruèrent vers les blessées.
Keri s'engouffra dans le souterrain, remontant jusqu'aux salles du château.

Rhaaaa !!
Cri de désespoir, le passage s'était obstrué, des poutres étaient déjà tombées.
Il redescendit en vitesse jusqu'aux Dames.

Vite, emmenons les près de la Loire, le souterrain risque de s'écrouler !

Et Keridil de porter Xalta, qui se réveillait tout juste jusqu'aux abords du fleuve où déjà quelques évacués se massaient, reprenant leurs esprits.
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Aegidia
Aegidia entendit la voix du jeune homme , elle dit oui d'une petite voix quand elle l'entendit dire qu'ils étaient enfin sorti du souterrain et qu'il allait chercher de l'aide.

Elle posât Dame Valéria avec douceur en l'appuyant contre un talus . Puis se laissât tomber près d'elle , elle sentit une douleur violente au dos ;elle eut à peine le temps de regarder autour d'elle ,de voir le ciel, puis tout deviens blanc , elle s'écroulât comme un pantin sur l'herbe .
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