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[RP] Bastonnade en place de Reims

Accrosenseo


Accro arriva sur les lieux.. bon sang déjà sous les couards et bousailles du duché prets à se rincer l'oeil et à fêter une fois encore leurs méprisantes hautes puanteurs qui n'avait d'égal que leur séant sur lequel ils aimaient tant se poser pour s'égosiller et flatuler!.. elle cracha aux pieds de l'un d'eux en passant en v'là plein les jolies bottes .. un rictus de satisfaction sur les lèvres elle pousse de ses coudes et arrive tant bien que mal devant.. cherche du regard des visages aimables qu'elle apprécie.. tient la juge.. et oui faut qu'elle vienne pas le choix .. s'assurer du bon déroulement de ses jugements rendus à la tête du client et surtout rendus selon les bassesses des décaux... c'est qu'il ne fallait surtout rien changer par ici.. les mêmes ânes aux mêmes postes et les mêmes miches sur les mêmes pots! ce que ca devait sentir mauvais dans ce chateau !
Elle se plante là observe le bourrel et là voit Couc.. Bon sang ce qu'elle était était frêle et pâle... jamais elle ne supportera la torture.. le poids du baton allourdi par la bêtise de ce juge, tout le poids de leur joyeuses batailles gagnantes contre ceux qui osent dire la vérité! mais c'est qu'elle est dure, si dure à entendre et à encaisser cette vérité alors on anéantie les vies et ainsi va la Champagne, laissant toujours les mêmes tout diriger.. Mais cette cité qu'est Sainte-Ménéhould a déjà tant perdu, les pilliers sont partis, la ville se meurt laissée aux mains d'un étranger à la solde de couards..
Son regard croise celui de son amie, un geste de la main, petit signe sans possibilité de l'aider, de l'arracher à ce bourrel..
Une larme glisse sur la joue.. Ô Coucouque...! si seulement ..
Elle ferme les yeux le chagrin est si lourd...

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LJS a écrit: "si on a pris le temps de coder les révoltes et les bandits, c'est pour que les joueurs se révoltent et jouent les bandits."
Adelahis
Adélahis arrivait sur la grande place. Tenant le bras d'Angel elle suivi difficilement la charette, jouant des coudes plus d'une fois. Coucouque était maintenant sur l'estrade.

Elle semblait à la fois si meurtrie et sereine. Tous les amis de coucouque savait son état de santé. Tous craignait qu'elle ne résiste à ces 15 coups. 15 coups qui ne représentait que la honte champenoise.

Elle joua des coudes une autre fois et vint se placer aux côtés de Maltea. Sans rien dire, elle adressa un faible sourire à Sosso, l'amie la plus fidèle qu'elle connaissait à Coucouque. Combien de choses avait elle vécut ensemble, combien de voyage, combien de fou rire ? Machinalement, elle attrapa la main de Maltea et la serra amicalement. Sans mots dire.

Adélahis serrait les dents. Comme elle aurait voulu les prendre elle ces coups. Son autre main serra fortement celle d'Angeldark. Elle le regarda tristement, les yeux rougis.

Puis son regard se porta de nouveau vers l'estrade, coucouque était là. Prête pour son destin, Humble parmi les humbles et la plus libre d'entre tous.

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--Samson


Le tourmenteur fit un signe aux gardes de lui détacher les mains.

la fillote avait l'air bien pâle et frêle mais encore coquette pour remettre de l'ordre dans sa chevelure. Elle l'avait nommé et il répondit



Oui, Samson c'est moi, Bourrel de Père en fils ! Avez vous un souhait avant la sentence ?

Sous sa cagoule, son visage restait froid et impassible.

D'une voix grave, il lui intima de s'avancer vers la roue. Il lorgna la foule pour voir si le Juge d'application des Peines était arrivé.


Princeelfe
Légolas avait entendu dire qu’il y avait une bastonnade sur la place publique de Reims qu’il s’y rend également. Sur place, il y a déjà plusieurs personnes qui sont venues assister disons à ce divertissement. Le garçon s’approche de la foule mais ne voit pas ce qu’il se passe qu’il décide de trouver un endroit où il pourrait regarder toute la scène. On peut entendre quelques personnes en train d'insulter copieusement la condamnée et de crier que le Bourrel doit frapper fort.

Le blondinet voit qu’il y a des habitations assez proches de l’estrade, qu’il grimpe sur le toit de l’une d’entre elle pour ensuite s’allonger. La vue est….parfaite. Légolas reconnaît la personne, qui se trouve sur l’estrade et qui doit être châtiée : Coucouque, la Mairesse de Sainte-Menehould. D’ailleurs, il ne l’a vu qu’une ou deux fois en taverne. Le garçon constate que la jeune femme est en très mauvaise santé et pense : « La sanction est vraiment trop sévère….enfin », et attend que la sentence soit appliquée.

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Coucouque
Coucouque attendait impassible, elle ne quittait pas Samson du regard, les gardes lui delièrent les mains et Samson lui donna l'ordre d'aller vers lui

Funeste erreur, vermine, pensa Coucouque et elle s'avança

Elle laissa monter sa rage, ça lui rendait un regain de force, elle se forçait à sourire, lorsqu'elle fut suffisamment proche de lui, elle laissa éclater sa haine et lui lança un magistral coup de genou à l'endroit stratégique

De la part de Scot McMotor ! Pauvre imbécile, t'as tout dans les muscles et rien dans la tête, fallait pas t'approcher, la brute.

L'homme plia les genou, des larmes lui vinrent aux paupières ,Coucouque le regarda méprisante

T'es moins fier, hein, le taureau va se transformer en boeuf, c'est la vache qui va pas être contente

Elle éclata de rire

Un souhait ? Oh oui, je voudrais voir tous les crétins de Champagne dans le même état que toi mais autant demander la lune alors viens, la brute, finissons en, je suis attendue.
Accrosenseo


Bouche bée devant le spectacle qui s'offrait à ses yeux.. les lèvres essayaient de sortir un son mais tellement éberluée par les faits les mots restèrent bloqués en elle .. Couc avait trouvé la force de ce geste et quel geste.. quelques exclamations dans la foule surement choquée comme toujours par ce qui n'était que vérité mais le peuple soumis et idiot ne savait rien faire d'autre de toute façon..
Elle finit par exploser de rire et appaludit Couc.. puis cesse et attend de voir si le bourrel se vengera sur le dos de l'accusée déjà mourrante..


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LJS a écrit: "si on a pris le temps de coder les révoltes et les bandits, c'est pour que les joueurs se révoltent et jouent les bandits."
Clotus
Clotus avait ramener le paquet que Couc lui avait mandé quelques heures avant que les gardes ne viennent la chercher,elle se retint quand elle les vit attacher les mains derrière le dos de son amie ils emmenèrent Couc et Clotus suivi la charette .

Les charognards sont déjà en place ils hurlent et insultes cette femme sans savoir se qui l'a amenées à cette révoltes ,que dire sinon qu'ils se délectent de la souffrance des gens.

Clotus serre les poing et regarde Couc monter les marches de l'estrade ,elle semble si frêle ,si menue que c'est avec un étonnement que Clotus voit Couc mettre un coup de genoux dans le bas ventre du bourell.
Ne pouvant se retenir Clotus éclata de rire à travers ses larmes,les dernières ressources de Couc furent dans se coup de genoux magistral.

Bien viser Couc,il f'ra plus de marmot pour lui succéder.

[i]Clotus s'approche d'Accro


Notre Couc c'est bien vengée et le bourell n'hésitera pas maintenant je pense qu'au premier coup elle s'en ira rejoindre son amour et c'est tant mieux,les vautours vont rester sur leurs faims.

met les mains en porte voix et hurle.

BIen visée Couc tu aurais été bonne en soule
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Loupblieux
Loupblieux sortit sur un petit balcon donnant sur la place. Il balaya l’assemblée gayarde d’un regard froid.

Le chariot arriva et Dame Coucouque en fut sortie.

Il avait du mal à reconnaître celle avec qui il discuta de longues nuits lors de la révolte, soit pour trouver issue, soit –au moins- pour comprendre.

Sergent, lieutenant, procureur, premier-lieutenant…. Il avait longuement œuvré à la sécurité en Champagne, y croyant à chaque fois ! Et quelle ne fut pas sa colère lorsqu’il apprit que l’armée du duc de Joigny avait été détruite !

Pourtant, aujourd’hui, il savait que celle qu’il avait fait arrêter risquait de ne pas survivre au quinzième coup de bâton.

Loupblieux était persuadé, à l’issue de son enquête, que Dame Coucouque avait surtout voulu donner de la voix au peuple… et qu’elle n’aimait point la violence. Celle qui allait s’abattre sur son corps.
Rebelle, oui, à des lois, mais pas au bras armé. Et pas tant pour elle mais plutôt pour ceux qu’elle défendit durant de longs mandats.

Il crut croiser le regard de Coucouque qu’il soutint un instant et, ne désirant assister à ce spectacle, rentra écrire sa lettre de démission.
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Loupblieux, poète oublieux raffolant de poules d'eau farcies,
Premier Lieutenant de la Prévosté de Champagne, Lieutenant à la Prévosté de Langres.
Maltea
Maltea vit arriver Coucouque. Son cœur se serra et sans qu’elle s’en rende compte les larmes coulèrent sur ses joues. Elle savait au fond d’elle que c’était la fin.
Elle lui fit un petit sourire forcé lorsqu’elle leur en fit à Sosso et à elle.

Sa grande sœur n’était plus que l’ombre d’elle-même. Maltea se demanda si elle arriverait à marcher jusqu’à la roue.
Elle n’avait qu’une envie, monter sur l’estrade et l’enlever, quitte à frustrer le bourreau ainsi que la majorité des personnes venue en ce lieu rien que pour satisfaire leurs besoins primitifs.

Quelle ne fut pas sa surprise de la voir avancer mais surtout balancer un coup de genoux au bourrel. Dans un premier temps ahurie par ce qu’elle venait de voir, elle resta sans voix. Cependant elle ne put réprimer un fou rire une fois l’étonnement passé.
Elle reconnaissait bien là sa grande sœur et sa rage. Le bourreau n’aurait jamais du toucher Scot, c’est à cause de lui qu’elle l’avait perdu et qu’elle avait du élever seul leur enfant.

La tristesse revint rapidement lorsqu’elle entendit le dernier souhait de Coucouque.
Elle était attendue mais avait-elle pensé à ceux qui restaient ? Elle ne voulait pas la voir mourir sous les coups du bourreau. Son état était bien trop fragile pour qu’elle en survive. Cet homme frappait comme un boucher. Elle avait vu l’état lamentable de Scot, les plaies causées par le bâton s’étaient infectées, et lui en si grande forme n’y avait pas survécu…

Toute à sa tristesse, elle n’avait pas vu Adel, ce n’est que lorsqu’elle sentit que quelqu’un prenait sa main et la serrait qu’elle redescendit sur terre. Elles n’échangèrent aucune parole mais elles s’étaient comprises.

Les yeux rougit d’Adel en disait long et Maltea n osa pas montrer les siens. Elle s’était promise d’être forte et de ne pas laisser son chagrin et sa colère prendre le pas mais c’était plus fort qu’elle.
Elle ne savait toujours pas comment elle réagirait aux coups. Pour cela il fallait attendre…

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Adelahis
Adélahis n'en croyait pas ses yeux. Coucouque, faire ça. Elle cligna plusieurs fois des yeux. Coucouque avait toujours calmé le jeu. Elle était la garante de la paix, du "calmer le jeu". Et là, d'un coup de genoux, elle venait de ratatiner la virilité du Bourrel. Elle regarda Angeldark en montrant Coucouque du doigt complètement éberluée. Il grimaçait.

Elle se mit à rire. Fallait pas toucher à son amour. Et Adélahis savait bien qu'elle en aurait fait autant. Une femme qui aime est pire que tout quand on touche à son homme ou à sa famille.

Elle regarda Coucouque et lui cria :
Coucouque, tu es une Grande Dame !

La fin était proche, mais Coucouque allait partir avec dignité, honneur et libre. Cette idée adoucit la peine qu'Adélahis ressentait.

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Coleen
Coleen allait reprendre la route le ramenant vers les siens quand il fit du monde sur la place et dame Coucouque monté sur l'estrade .Son coeur se serra ,il avait vu la jeune femme plutot et savait qu'elle n'était pas en état de subir telle sanction .

Pourquoi n'avait elle pas fait appel de son jugement , pourquoi ?
Il était perché sur son étalon et pu la voir donner un bon coup de genoux dans les bijoux de famille du boureau .Il en aurait rit si il ne pensait pas que la jeune femme avait laissé ses dernières forces dans ce dernier geste .
Il ne voulait pas assister à ce spectacle méprisable pour lui .On ne devait pas dans ses convictions profondes frapper femmes et enfants .

Il talonna son cheval pour aller retrouver sa famille qui lui manquait tant depuis 120 jours .Il jetta un dernier regard sur l'anccienne maire de STE puis un regard circulaire sur l'ensemble de la place ,ecoeuré par les curieux .

Il fila rapidement pour quitter Reims priant pour la paix de l'âme de Coucouque .

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--Samson


Le bourrel fut surpris par le coup de genou donné dans ses parties les plus intimes. Le souffle coupé, les larmes lui montérent aux yeux. Il inspira fortement pour que la douleur passe.

la bougresse avait encore quelques forces, elle perd rien pour attendre se dit -il .

Il n'avait point demandé à être bourreau, il était né ainsi !

La transmission se faisait de père en fils . Il fait peur et habitait la maison du pilori, il ne fallait pas le toucher, il était maudit.
Il est la personnification de la mort, il est la mort qui veille au milieu des vivants.

Samson était obligé de prendre en charge d'autres tâches comme la torture, l'équarissage des animaux morts, la capture des chiens errants, l'ensevelissements des supplicés et des suicidés, le nettoyage des cloaques ou encore la surveillance des bordels.

il était haÏ et méprisé. Ce mépris de la société se manifestait de milles manières. Pendant longtemps, le bourreau était qualifié « d’opérateur », « maîtres des basses et hautes œuvres ».
Il le savait tel était son destin.
On pensait que le bourreau qui avait souvent à briser des os, avait des connaissances en anatomie. Il était donc rebouteux.

Il faisait aussi commerce de remède contre la douleur, fournissait des drogues aux personnes soumises à la torture pour leur éviter d’avouer, … Cela lui assurait un revenu confortable.


Il l'attrapa fortement des ses mains puissantes par la chevelure et demanda aux gardes de la coucher sur la roue.
La roue était faite de deux solives et pourvues d'encoches avec des liens pour attacher les membres.


Gardes, placer la bougresse sur la roue !, dit il d'un ton sec

Les gardes s'éxécutèrent et placèrent Coucouque sur la roue. Le tourmenteur lui attacha les mains et les pieds avec des cordelettes.



Sosso76
Sosso regarda son amie arriver, celle avec qui elle avait tout fait...
Partir de Conflans les avait sauvé d'une mort certaine à l'ennui.
Puis le départ pour Sainte, la rencontre avec Mötor, l'exil à Laval, le retour en Champagne, l'assassinat de Mötor, les madats de Ko, de Torfis où elles avaient entamé leur vie de nomades sur leurs ânes.
Qu'est ce qu'elle avaient pu rigoler.
Leurs vies avaient été bien remplies, Sosso ne regrettait rien encore moins d'avoir écouté Torfis lorsqu'il lui avait dit avant de partir en une contrée quelconque de prendre régulièrement des nouvelles de Dame Coucouque, qu'il affectionnait déjà tout particulièrement. Grand bien lui avait prit d'entretenir cette communication entre les seux personnes (elles le saurait plus tard) qu'elle aimerait le plus en ce royaume.

A tout ces souvenirs, elle sourit à son amie, une larme roulant sur sa joue.

Lorsqu'elle vit avec quelle vigueur Couk emascula le bourel, son sourire se fit plus prononcé mais ne lui enleva pas l'amertume qu'elle ressentait...

Elle savait que c'était la fin d'un temps heureux.
Son regard se posa sur Darka, ce même regard n'était point empli de rancoeur. Darka avait accompli sa tâche et devait bien regretter en ce moment même d'avoir été juge en cette période, d'avoir du rendre ce verdict comme si elle ne connaissait point l'accusé devant elle.
Elle lui adressa un léger sourire lui signifiant qu'elle comprenaità contrario d'approuvé.

Le bourel après le coup que lui a porté Couk ne serait sûrement pas tendre et le dernier souffle de Couk ne tarderait point.
Sosso attendra de pouvoir récupérer le corps étaeint de sa camarade, compagne de route. elle saurait la veiller, la préparer et l'enterrer à côté de ceux à qui Couk a voué sa vie ....
Coucouque
Samson pris le temps de se remettre, elle voyait qu'il avait mal mais surtout qu'il était en rage. A l'instant où il la tira par les cheveux elle su qu'elle avait gagné la partie, cet idiot n'imaginait pas qu'il allait faire ce qu'elle voulait, frapper et frapper fort.

Elle regarda Messire Loupblieux, lui méritait d'être traité avec respect, lui au moins avait compris ce qu'elle désirait , ils avaient longtemps discutés et avaient fini par sympathiser, elle lui sourit.

Elle vit également Darka qui lui parut aussi pâle qu'elle même, elle savait qu'elle avait été obligée de juger sévèrement même si l'acte d'accusation ne tenait pas la route, il fallait faire un exemple et enrayer dans l'oeuf la moindre velléité de contestatation, les gens en place tenaient à leurs prérogatives, que la Champagne s'enlise ils s'en fichaient, mais un jour viendrait ou ils auraient des comptes à rendre, elle en était certaine... elle fit un petit salut à Darka qui dans son coeur restait une amie.

Elle eut juste le temps de faire un dernier signe à ses amies pour leur
montrer que tout allait bien, qu'elles ne devaient pas être tristes.
Elle envoya un bisou à Sosso, sa chère So celle qui savait tout d'elle , celle sur qui elle comptait pour relayer Malt auprès de son fils, celle qui ferait en sorte qu'il rejoigne sa famille.


Elle hocha la tête, refusant de penser à son fils, tout irait bien, il était petit, il l'oublierait, surtout ne pas y penser.

Samson la plaqua sur la roue et l'attacha solidement, le moment était venu, elle savait que quand il déchirerait son chemisier il lui faudrait serrer les dents, essayer de ne pas hurler, du moins au premier coup, fallait faire perdre toute retenue à la brute. Elle lui lança un regard méprisant,

On y va, mauviette? T'as toujours ta voix ou tu parles comme une gonzesse? Frappes, Samson, t'as déjà eu l'air assez ridicule, montres ta force pour rattrapper le coup!
Angeldark
Angeldark tenait fortement le bras d'Adelahis, crispé. Couc était vraiment mal en point, mais elle s'évertuait à se montrer forte, et il savait qu'elle le ferait jusqu'au bout. Son regard se perdait sur son amie, semblant devenir flou par instant, où il se remémorait tout ce qu'il avait vécu avec Couc. Jamais il n'oublierait, jamais Ste Ménéhould ne l'oubliera.

Couc fut détachée, mais l'instant d'après, elle envoya son pieds dans les parties intimes du bourreau. Alors qu'Adel lui montrait du doigt stupéfaite, Angel ne put que bredouiller.

Magnifique Couc...

Elle avait cependant du y laisser ses dernières forces. Au moins, cela ne serait pas trop long, car Samson ne laisserait jamais passer ça. Il y avait du monde, tous les amis de Couc étaient la. C'était bien le minimum, et ils resteraient jusqu'au bout. Elle avait d'ailleurs demandé à Adel et lui de l'enterrer, et c'est tous ensembles qu'ils iraient le faire.

Samson s'était remis, et Coucouque n'avait plus que le plus dur à passer, le plus rapide aussi. Elle haranguait encore le bourreau. Angel sourit légèrement, une larme coulant sur sa joue alors qu'il serait fort sa femme contre lui.
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