Togukawa_kadokawa
Le premier témoin à parler est Shinken. Le juge écoute son témoignage et en note les principaux éléments :
- Nakayama a été reconnue à la place du Shomin
- le Sô était vide avant son attaque par l'accusée
- le salaire des mercenaires était de 20 kobans
- je me considère au dessus du conseil et...
Le juge s'arrête, lève la plume et biffe la dernière ligne.
Il s'amusait de voir que le jugement de Takezo restait ainsi dans les mémoires. Il se rappelait le jour où il avait annoncé ce jugement par contumace, en même temps que l'ancien conseiller Emark. Jamais personne ne s'était plaint de la peine pour Emark, par contre celle pour Takezo alimentait les conversations de la ligue anti-Tokugawa, qui perdurait malgré la disparition de Takezo.
Toujours est-il qu'il passe outre les commentaires déplacés et inutiles du premier témoin pour écouter le second, Hinks. Ses notes s'enrichissent des éléments suivants :
- les salaires des mercenaires à 20 kobans a duré 3 jours
- il a été recherché un fonctionnaire des finances
- le Sô présentait un déficit de 100 kobans à se reprise
- un mandat n° 6018 a été fait à un certain Kushiel qui refuse de le rendre
A la fin du témoignage du second témoin, le juge s'apprêtait à commenter lorsqu'encore une fois un homme se lève pour interpeler les témoins.
La main du Juge se crispe car, comme il s'en doutait, cette intervention en provoque d'autre.
Donc, encore une fois, il se lève et lève le ton.
S'il était possible que le public laisse le jugement se dérouler sans provoquer d'esclandre, j'en serais fort aise !
Il regarde l'homme qui a interrompu le déroulement de la justice.
Je vous prierai de bien vouloir vous asseoir et écouter à présent.
Ce n'est pas à vous de questionner les témoins, mais au procureur et à moi-même. Merci de nous laisser travailler.
Je vous suis toutefois reconnaissant de prendre la défense de la justice, mais la justice et ses représentants peuvent se défendre tous seuls et sont bien assez intelligents pour laisser les attaques et tout éléments qui est inutile à cette affaire glisser sur eux.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel argument est utilisé contre nous, et encore une fois, cet argument nous laisse de marbre et nous ne nous abaissons même pas à le relever.
Une seule chose nous occupe l'esprit en ce moment : la recherche de la vérité dans cette affaire.
Tout propos non directement lié à la prise du Sô par l'accusée est ignoré, comme cela se doit.
Petit signe de tête montrant à l'homme un siège vide, et le juge reconsulte ses notes, puis s'adresse à Nakayama.
Les postes de miliciens à 20 kobans me semblent effectivement excessivement rémunérés. Je ne serais pas surpris que seuls des membres de votre entourage aient été embauché d'ailleurs. Mais soit, cela ne représente que 48 kobans pour 4 miliciens pendant 3 jours ; cette somme reste dérisoire.
Pouvez vous par contre nous expliquer cette recherche de fonctionnaire ? Dans quel but vouliez vous cet homme ?
Ensuite, ce mandat, est-il de votre fait ?
Puis se tournant vers le procureur.
Tasuki-sama, essayez de trouver ce Kushiel s'il vous plait. Il me semble qu'il serait intéressant que cet homme soit mené devant nous,à plusieurs titre d'ailleurs. D'une pour témoigner, et de 2 pour s'expliquer sur la raison de son silence face aux interrogations de Kinks-sama.
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- Nakayama a été reconnue à la place du Shomin
- le Sô était vide avant son attaque par l'accusée
- le salaire des mercenaires était de 20 kobans
- je me considère au dessus du conseil et...
Le juge s'arrête, lève la plume et biffe la dernière ligne.
Il s'amusait de voir que le jugement de Takezo restait ainsi dans les mémoires. Il se rappelait le jour où il avait annoncé ce jugement par contumace, en même temps que l'ancien conseiller Emark. Jamais personne ne s'était plaint de la peine pour Emark, par contre celle pour Takezo alimentait les conversations de la ligue anti-Tokugawa, qui perdurait malgré la disparition de Takezo.
Toujours est-il qu'il passe outre les commentaires déplacés et inutiles du premier témoin pour écouter le second, Hinks. Ses notes s'enrichissent des éléments suivants :
- les salaires des mercenaires à 20 kobans a duré 3 jours
- il a été recherché un fonctionnaire des finances
- le Sô présentait un déficit de 100 kobans à se reprise
- un mandat n° 6018 a été fait à un certain Kushiel qui refuse de le rendre
A la fin du témoignage du second témoin, le juge s'apprêtait à commenter lorsqu'encore une fois un homme se lève pour interpeler les témoins.
La main du Juge se crispe car, comme il s'en doutait, cette intervention en provoque d'autre.
Donc, encore une fois, il se lève et lève le ton.
S'il était possible que le public laisse le jugement se dérouler sans provoquer d'esclandre, j'en serais fort aise !
Il regarde l'homme qui a interrompu le déroulement de la justice.
Je vous prierai de bien vouloir vous asseoir et écouter à présent.
Ce n'est pas à vous de questionner les témoins, mais au procureur et à moi-même. Merci de nous laisser travailler.
Je vous suis toutefois reconnaissant de prendre la défense de la justice, mais la justice et ses représentants peuvent se défendre tous seuls et sont bien assez intelligents pour laisser les attaques et tout éléments qui est inutile à cette affaire glisser sur eux.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel argument est utilisé contre nous, et encore une fois, cet argument nous laisse de marbre et nous ne nous abaissons même pas à le relever.
Une seule chose nous occupe l'esprit en ce moment : la recherche de la vérité dans cette affaire.
Tout propos non directement lié à la prise du Sô par l'accusée est ignoré, comme cela se doit.
Petit signe de tête montrant à l'homme un siège vide, et le juge reconsulte ses notes, puis s'adresse à Nakayama.
Les postes de miliciens à 20 kobans me semblent effectivement excessivement rémunérés. Je ne serais pas surpris que seuls des membres de votre entourage aient été embauché d'ailleurs. Mais soit, cela ne représente que 48 kobans pour 4 miliciens pendant 3 jours ; cette somme reste dérisoire.
Pouvez vous par contre nous expliquer cette recherche de fonctionnaire ? Dans quel but vouliez vous cet homme ?
Ensuite, ce mandat, est-il de votre fait ?
Puis se tournant vers le procureur.
Tasuki-sama, essayez de trouver ce Kushiel s'il vous plait. Il me semble qu'il serait intéressant que cet homme soit mené devant nous,à plusieurs titre d'ailleurs. D'une pour témoigner, et de 2 pour s'expliquer sur la raison de son silence face aux interrogations de Kinks-sama.
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Pour "clébart" qui existe soi-disant pas, on écoute tes références historiques...)