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[RP-ouvert] La tour de Lenay

Merelhyn
Merelhyn resta plantée quelques secondes, main tendue. Le chevlaier n'avait pas l'air décidé à la saisir, il se contentait de la regarder et de balbutier des paroles incohérentes. Parole, il me prend encore pour un spectre ?! Merelhyn finit par hausser les épaules et baisser le bras. Un vacarme dans la pièce d'à-côté lui apprit qu'une autre personne innocente venait d'entrer dans ce repaire de fous.

Souriant malicieusement, elle déclara au petit homme de sa voix la plys mystérieuse :

En vérité, preux et vaillant ami, de ton courage je ressens le besoin, qui m'aidera dans ma quête sera seul digne du nom de chevalier.

(Na. Si avec ça il ne m'aide pas, c'est à désespérer de l'esprit chevaleresque. N'importe quel homme digne de ce nom devrait aider les demoiselles en détresse, même fantômatiques.)

Convaincue d'avoir fait de son mieux, Merelhyn s'engagea dans les escaliers et arriva enfin sur le palier du premier étage, se demandant un peu ce qu'allait faire le petit homme.
Nashia


Ah ? ohh ? iiiihhhh ! Ennnnffiiiiinnnn un peu de lumière ! Nash s'approche toujours a taton la rame pointer droit devant, faisant des tours sur elle même pour ne pas raté un agresseur qui aurait put en profiter pour faire comme dans les histoires, l'attaquer juste pour mettre de l'action !
Non mais... Parce qu'elle si connaissait en histoire elle hein ! Nourrice d'un jeune garçon de 5 ou 6 et surtout maman d'un petite fille de 7 ans, qui avait hérité de son père (ou de sa mère... Mais ça, Nash l'avouera jamais) le goûst de la guerre, et surement parce qu'elle avait trop souvent été garder par feu son parrain... Le goût des histoires rocambolesque où le héros et bien il meurt toujours à la fin n'ayant pas supporter toute les péripéties que Nashia ou encore il y a fort longtemps Chandin lui imposait ! Et puis mourir, Nash elle préférerait l'faire en Savoie.
Bref vous l'aurez compris, Nashia veut revoir la lumière du jours... Alors elle s'approche tout doucement de cette porte (?) où l'on peut voir quelque rayons de soleil...
Il faut toujours avancer prudemment dans le noir ! Et ça on l'apprend quand on est nourrice ! Avec quatre enfant qui joue dans une seule pièce... Y'aura toujours un petit cheval... Une poupée avec un morceau de fer, une épée en bois, une fausse flèche d'arbalette ou un autre jouet plus ou moins pointu pour vous rentrer dans le pied, que vous vous mettiez a hurler et que vous réveiller en plus de toute les servantes qui ne manqueront pas de débarquer paniquées, le couple ducale avec assurément des grognements désespérer, la garde du château que si vous avez pas réveiller les gosses en hurlant, elle se fera un plaisir d'y remédier en débarquant dans des cliquetis d'armes et en hurlant des cris de guerre et des A l'HERITIER, alors que vous êtes a moitie nue dans votre piaule en train de vous tenir le pied et de souffler dessus... Bon la dessus vous rajouter les cris de quatre mômes qu'on a méchamment empêcher de rêver.. Ouai je dérive un peu...
Mais vous avez compris que la toute première prudence quand il fait noir et qu'on veut rester discret... C'est le silence et faire gaffe par la même occasion a où on pose son pied. D'ailleurs ! C'est partout pareille ! A la guerre aussi faut faire ça ! Mais j'partirais pas dans une autres anecdote... Vous allez vous lasser !
Donc c'est en silence, a l'affut du moindre petit bruit, que Nash s'approcha de la chose qui filtrait doucement la lumière quand elle entendit un drôle de bruit, un bruit de revenant a plus en douter ! Et quelque seconde plus tard pas très loins d'elle... Tout proche même ! La salle juste a coté surement ! Un cris inhumain ! Un genoux a terre dans sa position de combat favorite celle du "t'approche ta plus d'jambe" suivit d'un:


A MA VIE !



Vous aurez compris, c'est son cris de guerre, enfin hein cris ou plutôt hurlement pour le coup...
Dans un sens la Nash trouvait que ça ressemblait a un cris de bébé... Mais c'était peut être un monstre sanguinaire qui pour attirer ses proies criait comme ça ! Partager entre l'idée d'affronter le fantôme de la ou y avait de la lumière, qui d'ailleurs les fantômes hein... Ils sont toujours dans l'ombre... Puis celle d'aller vérifier si c'était bien un monstre sanguinaire ou un bébé qui chiale... Nash restait toujours dans sa position favorite, (oui une des favorite dans les favorites !).
Et voila que nash se fait de nouveau un théâtre dans sa petite tête. Le moindre petit truc autours d'elle devient dangereux. Alors quand c'est dangereux faut plus bouger. Plus bouger et se calmer... L'arme enfin la rame, toujours pointé vers l'avant, Nash se mit a faire des exercices de respirations pour se détendre... C'était un medicastre qui les lui avaient donner a faire quand elle attendait Ronan...
Bon le massage d'oreille, on s'en passera hein ! Respirant et expirant en rythme Nash répéta de nombreuse fois l'exercice... Lâchant des petits
Ousssaaaaaaaa.... Après on pourra se decider... Fallait pas rester planter la au milieu du hall accroupie si elle voulait libérer l'imbécile qui c't'ai fait coincé dans sa tour...

_________________
Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo...
Mère de Juliette l'abeille et Ronan
Miel.
[Du côté des cheminées, enfin là d'où viennent les hurlements de bébé quoi! Rez de chaussée, toujours. ]

Une tueuse de fantômes...
Elle venait de se fourrer dans les bras d'une serial-killer de fantôme. Si Miel voyait les draps se soulevaient à une allure hallucinante, dévoilant des meubles poussiéreux, des mites, insectes et autres araignées bien sympathiques, squattant l'endroit depuis des décennies... La princesse majique en couche-culottes n'en était pas rassurée pour autant.

Vlà qu'elle avait une guerrière avec elle.
Pas n'importe laquelle. Une blonde. La tueuse de vampires/fantômes (ce qui, dans l'esprit de la gosse, revenait du pareil au même)
Entre la descente imminente de Barbe blanche dans la cheminée, la noirceur de la pièce, la puanteur et l'humidité ambiante, la blonde Lulue se transformait en Buffy contre les vampires. La tueuse.

Et ca lui donnait la chair de poule. Terrorisée à l'idée qu'elle puisse utiliser ses armes contre elle, la petite Miel eut la meilleure réaction pour déjouer ses infâmes plans. [ C'est à dire, elle finit sa tafiole en s'agglutinant contre l'elfe-archère-buffy, afin que cette dernière ne bande pas son arc contre elle-même]
La magie de la peau contre la peau opéra. Miel retrouvait le calme petit à petit dans son esprit. Lovée contre Lulue, elle retrouvait sa dose de douceur, d'amour. Ses cris devinrent des gémissement. Tout petits.
Pour se stopper. Restait que le coeur qui s'emballait vitesse grand V.

Pour se stopper ?
...
Non mais vous y avez cru, chers lecteurs ?
...
Oui, il y eut un temps de calme. De répit. De soulagement pour les oreilles de Lulue et de ceux du rez de chaussées... Mais qui ne dura point.


Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin


Un ... cri ? Un SOS de détresse ? Langage codé entre bébé, pouvez pas comprendre, vous les adultes... Un "'tain sa race, m'suis fait mal, j'veux de l'aide, amenez vous presto, les gens!" (En tous cas, c'est la traduction assez précise que la princesse analysa.Oui, elle est douée, avouons le )

Cependant, non, l'enfant n'eut pas comme première réaction d'aller vers l'autre. Parce que d'abord elle sursauta et hurla à son tour. La peur reprit le dessus, Barbe blanche, Hohoho, la cheminée, les fantômes qui ont changé de pièces pour faire mal à un autre couche-culotte.

Et oui, toutes les femmes du monde le savent. Quand un enfant se calme, il suffit qu'un autre crie pour que ca reparte de plus belle. Faites chauffer la colle, c'est reparti comme en l'an 40 pour la Buffy. C'est la vie, ma pauv' lucette!
Fermez vos esgourdes, l'alarme se remet en marche pour un ptit moment.


OUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN



Elle espère que son cri saura être entendu par qui de droit. Et qu'il y décryptera bien : "Salut beau gosse". [*Narratrice qui raye cette phrase. Pas la bonne approche, on sait jamais, il peut être moche*]
"Par ici, y a des fantômes et une elfe-archère. Si tu veux jouer avec nous, t'es bienvenu coupain". Voilà.

_________________
Princesse féerique de Linon & Letiti. Môme de 4 ans 3/4.
Apprentie Maje, sur-douée mais pas encore douée.

« Ça y est... Je vois trouble. C'est le manque de gras, je me dessèche. » (Karadok)

(Oui, un jour, je changerai d'avatar. Un jour.)
Mordred_
Sous la voute céleste de ce qui n'est autre qu'une simple blonde, mais déjà repoussé au rang de l'esprit fantomatique, le petit chevalier entendait des paroles, tel les sirènes cherchant à faire perdre chemin aux pêcheurs.

Diablerie ! C'est Diablerie !

A ne plus rien y comprendre, Mordred cherchait par tout les moyens à s'extirper de cette chaine humaine qu'on venait de lui passer. Et puis une longue hésitation lorsque la chose lui renchérit d'une douce voix comme l'annonce d'un trépas pressant dans lequel il serait condamné. Serait-ce un Ange qui serait venue le chercher dans le plus profond de cette tour maudite ?

Ne bougeant plus, ne répondant même pas, il gardait le regard fixe sur son ange démoniaque aux aspects feutrés d'un spectre. Mi tétanisé, mi admiratif, il la suivait du regarde lorsqu'elle le libéra de son étreinte et reprit course dans l'escalier et alors qu'au détour d'une marche elle disparu, le petit homme secoua sa tête et ne manqua évidemment pas de se cogner contre la poignée.

Aieeuh !

C'était pas la joie et aux sons qui venaient de derrière la porte, encore moins ! Il ne restait donc plus qu'à suivre la blonde qui avait filé à l'étage pour la suivre dans cette quête bénite. Se reprenant et retrouvant l'usage de ces jambes, c'était partie pour l'escalade jusqu'à l'étage rejoindre Merelhyn
Saltarius
Citation:
Tu pourrais prévenir, hein ! On déboule pas chez les gens comme ça, surtout sans se laver !
_________________


Simplet comprenait rien.. niente, nada.....
En plus il se faisait engueuler....

- Non mais des fois... je viens visiter votre masure et je me reçois un paquet de suie sur la tronche... Faudrait voir à améliorer l'accueil, ma bonne dame....
Que font tous ces gens ici ? Moi, c'est normal, chuis dingue et je suis les folies de ton homme mais les autres ?
Mais qu'est-ce que c'est que ça ?


Salt désigna la feuille qui venait de s'échapper du livre qu'il feuilletait.
Il lut :

Citation:
Parce que chaque jour généralement trois sont nécessaire,
Dans cette pièce vitale nous nous cacherons.
Parce que plein d'obscurité et de chaleur,
nous nous révèlerons.


-Vlà aut'chose ... Tu crois que c'est du Aristote ?

Salt était traumatisé par ses études.. Il comprenait de moins en moins
_________________
Linon
[Oohh... le premier étage ]

Linon regarda l'homme avec surprise. Mais qu'est-ce qu'il racontait ? Quels gens??

Elle jeta un coup d'oeil autour d'eux... mais non, ils étaient seuls. Elle pencha la tête avec compassion et regardant Salt, vint poser la main sur son bras.


Ça va aller, t'en fais pas. Dès que j'aurai récupéré Titi, on mangera un morceau, ça te requinquera. Figure-toi que ce nigaud a réussi à s'enfermer en haut de la tour, et la porte est bloquée...


Salt avait pris un bouquin et lut à haute voix quelques vers. Intriguée, la jeune femme lui prit le papier des mains, le relut, puis haussa les épaules.


On s'en fiche de ça. L'urgence, c'est d'ouvrir cette porte.

Elle jeta le papier par terre négligemment et s'éloigna de quelques pas en inspectant la pièce.

Le mieux, c'est qu'on trouve quelque chose pour faire bélier et défoncer cette fichue porte.
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Merelhyn
Merelhyn était arrivée sur le palier du premier étage quand elle se retrouva devant une porte sans loquet. Non mais c'est quoi cette tour de déments ? Comment je fais pour monter, moi ? Merelhyn se mordit les lèvres. Ç'aurait été plus simple si elle avait été un véritable fantôme, tiens. On passe à travers, et zouu ! fini les problèmes.

Elle envisagea un instant de demander au preux chevalier qui l'avait suivie dans l'escalier de défoncer la porte, mais quelque chose lui disait que c'était une mauvaise idée. On ne savait pas trop ce qui avait été enfermé là-derrière, et c'était peut-être piégé. Pis dans la cage d'escalier, pas facile de prendre de l'élan pour défoncer le bois.

Mieux valait explorer l'étage, trouver un autre escalier ou comprendre le mécanisme d'ouverture. Merelhyn s'engagea alors dans le couloir, hésitant face aux portes ouvertes. Au fond, une lueur ! Quelqu'un ? Elle avancea résolument jusque dans la salle à manger.
--La_tour


Parce que décidément on pouvait compter sur les aventurier du dimanche pour ignorer superbement les secrets de la tour quand celle ci fait son possible pour les mettre sur leur passage, le vent s'engouffrant par la fenêtre fais tourner les pages du livre ouvert que tiens encore Saltarius.

La dans notre salle à manger, la grande table trônant entre deux bancs de chênes massifs, le simplet tenait son livre ouvert sur une des premières pages. On pouvait deviner les mots à moitiés effacés:


Citation:
Manuel d'entretien... utilisation......pièges... closes...tour....
Lluwella, incarné par Letiti


Lulu sentait la petite se serrer contre ses jambes, petite qui, soit dit en passant avait cessé de jouer les cornes de brume (Lulu espérait que ce n’était pas que momentanément, mais l’hérédité titiesque laissait craindre que non. Ca faisait longtemps qu’elle avait cessé d’y croire à Barbe Blanche, Lulu !)

La blonde baissa les yeux vers l’enfant pour essayer de voir s’il y avait une raison à ce silence quand la flèche partit toute seule pour aller se ficher dieu sait où. Seulement le décochage fut si immédiatement suivi d’un tel hurlement d’outre tombe à vous glacer les sangs
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin
qu’il y avait forcément un lien de cause à effet.

Serait-il possible que j’ai réellement touché quelque chose de pas très naturel ? pensa Lulu

Vu qu’en plus, le premier cri s’accompagna d’un second qui, lui, avait du sens A MA VIE ! c’est sûr qu’elle avait dû réussir à trucider (ou plutôt à presque) quelque chose.

Et franchement, elle ne préférait pas savoir quoi. Elle l’avait exploré la cheminée. Y avait rien dedans. Ca, elle en était certaine. Rien de visible en tout cas. Mais là, elle commençait à ne plus en être si sûre, qu’il n’y avait rien dans cette foutue cheminée.

Elle allait prendre Miel dans ses bras pour sortir le plus vite possible de cette maison maudite quand il y eu un écho au premier cri
OUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN
Et là, pas de doutes, ça provenait… de ses pieds… C’était Miel.

Elle sentit ses cheveux se dresser sur sa tête. La CHOSE, probablement mourante s’était emparée de la petite. Un cas de possession…

Le premier mouvement de Lulu fut de s’enfuir, mais un brusque sentiment de culpabilité la saisit. Si elle avait pas décochée cette flèche, ça serait pas arrivé. Elle rattacha son arc dans son dos et prit la petite fille vagissante dans ses bras.

Peut-être que la chose était très attachée à la maison et que le simple fait de sortir suffirait à la décrocher de Miel. Sans compter que dehors il faisait jour. Ca devait pas trop aimer la lumière les créatures de la nuit.
Et sinon y aurait plus qu’à l’emmener chez le curé pour faire un exorcisme.

Quoique le curé de Saumur c’est un hérétique, non ? Ca peut faire des exorcismes les hérétiques ?
Pas la peine de te poser tant de questions, Lulu. Première chose : courir vers la sortie. Le reste on verra après.

Nashia


[Dans le Hall d'entré]

Nash se redressa doucement… Son exercice l’avait un peu détendue… Mais pas suffisamment pour quand voyant détaler devant elle une sourie elle ne réagisse pas…

SPLAFFF


Vous avez bien compris que ce bruit plus ou moins mouiller correspondait au bruit d’une rame qui met fin a la vie d’une sourie… Oui, elle avait surement terrorisé bien du monde cette petite bête… Mais, elle avait fait une erreur en voulant surprendre la Dame de Pettinengo. Elle vivait dans un castel, elle y était habituée à ces petites bêtes. Surtout quand on considère que dans sa maison a Chambéry elles y étaient maitres… Tout comme dans celle de Belley… A Annecy elles y étaient moins nombreuses, Nash et les chiens leurs donnaient la chasse ! Enfin bref… Nash avec la force de l’habitude releva sa rame… Sortie un mouchoir brodée de son corsage et essuya le bois Avant de fourrer le mouchoir salit dans sa besace...
Finalement ce petit meurtre animalier avait remis Nash d’aplomb… Prête désormais à affronter le fantôme et l’horrible créature ! Le choix restait difficile à faire… Et Nash était indécise... Mais la une tornade pleurnichant sortie de la grande salle ou elle se trouvait… Et avant que Nashia n’ai eut le temps d’abattre sa rame la chose avait filé vers l’entré !
Ce fut simple ! Si la où elle était y avait un truc qui faisait suffisamment peur pour que la chose cours aussi vite et cris si fort ! Elle ne devait pas rester la hein ! Alors comme on lui avait dit quand elle avait mis les pieds en Provence !
Retraite Nash Retraite ! Mais on reviendra !
Et donc voila la nash qui avait fait son choix ! Courir vers la deuxième source de bruit ! Le cri Monstrueux et inhumain ! Réaction surement stupide ! Mais au moins… Elle ne verrait pas ce qui faisait pleurer la première tornade !
Elle s’arrêta juste devant la porte d’entré… Elle ne savait plus vraiment où aller mais savait juste que le bruit venait de par ici… Toujours en garde, la rame pointé devant elle, Nash écoutait bien intensément pour trouver la source du bruit… Ou un tout autre indice sur un tout autre endroit a explorer !

Euh... Y a quelqu'un ? Z'êtes qui ?

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo...
Mère de Juliette l'abeille et Ronan
Letiti
Toujours personne qui lui répondait. Mais le Maje avait retrouvé en parti ses esprits. Les avait jamais il eut entièrement? Il fit encore une fois le tour des deux pièces. Elles étaient relativement spacieuse, assez haut de plafond, mais un squelette dans une des deux pièces vous donnait inévitablement un sentiment de malaise... on se demande bien pourquoi.

Bon!
Parti comme c'est parti, je suis pas sorti de l'auberge, ou plutot de la tour.
Quitte à mourir, ce serait mieux que je meurs comme un vrai seigneur:
L'air serein, sage, dans le lit, les mains sur le ventre et cette couronne sur le crane.

...

Donc faut déplacer ce macchabée!


Il allait sans plus de cérémonie pousser le squelette en bas du lit, de l'autre coté de l'entrée. C'est comme avec la poussière, faut pousser du côté ou on voit pas du premier coup d'œil. Mais un grand valet attira son attention. Si on pouvait y poser des vêtements pour qu'ils soient comme quand on les portes, on doit pouvoir faire pareil avec ces os.

Allez ce serait dommage de gâcher un squelette entier!
Et puis j'ai jamais vraiment fait de puzzle.


Se servant du fil de couverture comme d'attache, son couteau pour faire les entailles, il commença à remonter tranquillement le squelette en position verticale os après os.

J'espère que j'aurais le temps de finir...

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Merelhyn
Merelhyn s'avança dans le couloir, jusqu'à la pièce du fond, qui avait de la lumière. Dans l'embrasure de la porte, abandonné par terre, un bout de parchemin. Surprise, Merelhyn se pencha pour le ramasser et, faisant appel à sa mémoire pour déchiffrer l'écriture (elle avait appris plus ou moins à lire, mais plutôt moins que plus), plissant les yeux dans l'osbcurité, elle lut :

Citation:
Parce que chaque jour généralement trois sont nécessaires,
Dans cette pièce vitale nous nous cacherons.
Parce que plein d'obscurité et de chaleur,
nous nous révèlerons.


Yeux écarquillés, Merelhyn se demanda un instant si elle avait bien lu. Ça ne voulait rien dire, encore un charabia stupide écrit par un ivrogne ! Oui... Mais le parchemin avait l'air de plutôt bonne qualité, surtotu si on considérait qu'il était resté dans cette tour pendant on ne savait combien de temps. Et l'encre n'avait pas trop pâli non plus, ce qui là encore témoignait de sa qualité.
Un ivrogne riche alors ? Merelhyn grommella entre ses dents.

Levant la tête, elle sursauta en voyant un homme au visage couvert de suie, et, plus loin, une silhouette féminine. Peut-être pourraient-ils l"aider ?
Saltarius
Citation:
Le mieux, c'est qu'on trouve quelque chose pour faire bélier et défoncer cette fichue porte.


- Ouaip, ça je comprends bien....

Il se mit à fureter pour trouver quelque chose, ramassa un bout de bois, qu'il cassa dans ses grosses papattes.
- Trop sec.

Prit un tabouret qu'il balança contre la porte.
Chboing...Crac...
- Trop petit, par les cougnasses de sainte Vignasses, ya rien comme bélier ici, vais chercher une chèvre !!!

Se dirigea vers l'escalier, vit un corps, immobile, une feuille à la main.
Une momie peut-être ? L'avait lu à l'université que des sauvages là bas où le soleil se lève, emballent leur mort pour qu'ils tiennent plus raides
- N'importe quoi, s'était-il dit, un mort c'est raide... et ma foi, les vivants parfois aussi.

Il s'approcha et prit le corps à bras le corps, l'inclinant vers la porte...

- J'ai trouvé un bélier....
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Merelhyn
Merelhyn resta un instant stupéfaite, quand l'homme la souleva du sol. Ça va pas, non ? Il la prennait pour qui ? Elle se débattit férocement et, tenant toujours son bâton, visa le bas du ventre...

Elle se souvenait très bien de ce que sa mère lui avait dit petite, à savoir que les hommes pouvaient faire les fiers et pavaner comme des paons, il suffisait de les atteindre aux endroits sensibles pour les faire tomber.

Ceci dit, pas si facile de viser avec un bâton. Mais même si son coup échouait, elle espérait bien que cela suffirait pour que cet espèce de fou la lâche.
Lluwella
Lulu hésita un quart de seconde. Devait-elle passer par la porte ou la fenêtre qui était plus près. La porte c’est mieux quand même. Elle traversa précipitamment la grande salle avec une Miel toujours hurlante dans les bras. Elle espérait que le cri de la petite n’était pas signe de souffrance. Pourvu que ce soit la créature qui s’exprime et pas la petite fille.

Lulu pressa encore le pas esquivant avec adresse tous les obstacles qui se dressait sur sa route, les meubles, les draps étalés partout.
Quand elle arriva dans le hall d’entrée, elle faillit marquer un temps d’arrêt tant il y avait de monde. Qu’est-ce que c’était que tous ces gens qu’elle n’avait jamais vu ?


Finalement, j’ai eu tort. Titi a vraiment recruté du monde pour arranger sa maison. Ca fait plaisir de pas être toute seule.

Elle jeta un coup d’œil un peu étonné à la jeune femme avec une rame.

Pas très utile pour éliminer la poussière ça. Par contre pour les souris pas mal, mais après faut nettoyer. Beurk.

Elle slaloma entre tout le monde et arriva enfin dehors.

Elle prit la petite fille et la tendit devant elle pour voir si elle n’avait pas de signe extérieur de possession, une belle couleur verte par exemple.
Quoique là à force de hurler, elle avait pris une jolie teinte rouge presque brique qu’on était en droit de pas trouver très naturelle. Elle observa quelques instants pour voir si la lumière du jour avait un effet.


Mouais pas trop. Mais peut être que ça a été instantané. Si ça se trouve, tant qu’elle était à l’intérieur de la tour, elle était verte. Mais dans le noir j'ai rien vu. En tout cas elle était pas fluorescente, ça, ça se serait vu.

De toute façon, être à l’air libre ne pouvait que lui faire du bien. Déjà elle hurlait moins fort.

Saisie d’une idée subite, Lulu assit l’enfant sur l’escalier.

Normalement... c’est la digne fille de Titi. Si elle a hérité de ses cordes vocales, elle a aussi dû hériter de son estomac, la pauvre. Si elle se jette sur la nourriture, c’est qu’elle est redevenue elle-même. En plus, si ça marche, ça va la faire taire quelques minutes. P’t’être même plus, si elle s’endort une fois rassasiée. Et j’aurais le temps de retourner là-dedans.
Sinon, c’est que le monstre qui la possède est toujours là. Ca mange pas les esprits, frappeurs ou non. Et là va falloir aviser.


Elle se mit à farfouiller dans sa besace remplie de provision et en sortit un morceau de pain, un de fromage et une pomme. Elle déposa le tout sur les genoux de la petite fille. Et attendit le verdict avec appréhension.

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