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[RP-ouvert] La tour de Lenay

Linon
[Premier étage, eh oui...]


Elle venait de trouver un banc près de la table et le soulevait péniblement quand les paroles de Salt l'interrompirent net.

Hein? Mais à qui tu parles?

Un coup d'oeil par-dessus son épaule lui dévoila une scène si ahurissante qu'elle en lâcha le banc qui retomba avec un fracas qui s'entendit probablement dans toute la tour.


Mais Salt... ! Mais lâche-la ! C'est qui ??


Elle trotta jusqu'au costaud alors qu'une jeune femme en se débattant furieusement réussissait à se libérer. Linon la considéra, interdite.


Euh... mais qui êtes-vous? Et que faites-vous chez moi?
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Letiti
[En haut dans sa prison...toujours]

Ca faisait déjà la seconde fois que la structure s'effondrait et la patience du petit bonhomme commençait à être mise à rude épreuve.
Un nouveau chapelet de jurons colorés s'échappa de ses lèvres.


Créfieu!
C'est pas foutu normalement ce truc!
Et qu'est ce y foutent?!


J'pourrais p'tet mettre le feu...la fumée attirerait du monde...
Ah oui mais si il se propage...ils arriveront pas assez vite.

Bon tentons la sieste...

Il se dirigea vers le lit, prit son chapeau dans ses mains posées sur son ventre à la place d'une fleur vu qu'il n'en avait pas de fraiche, au cas où il oublierait de se réveiller et tenta de s'endormir.

humpfff

grroumpf


raaaaaa!!!

Bon il est où ce squelette?!

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Saltarius
Saltarius lâcha ce qu'il tenait dans les mains.
Faut dire que le bâton de la jeune fille avait effleuré quelques fois...ben ...
Bref, il lâcha ce qui s'avérait être au bout du compte, une jeune fille.
Laquelle jeune fille fut vertement interviouvée par la propriétaire du lieu.

Salt se dit que ça ne le concernait plus.
Il se mit à bayer aux corneilles et se planta devant la cheminée... aussi sale que celle d'en bas...


- Dis donc, Linon, puisque ton mari aime jouer les fantômes, il devrait songer sérieusement à venir hanter vos cheminées....
J'arriverai jamais à fumer mon cochon ici .... !

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Merelhyn
Merelhyn se remit debout péniblement et s'appuya un instant contre le mur pour retrouver son équilibre. Bien évidemment, celui-ci était très sale. Elle envisagea un instant de s'épousseter puis renonça. Elle n'était pas encore sortie de cette tour, et quelque chose lui disait qu'il était vain de vouloir sauvegarder sa propreté ici.

L'autre fou s'était désintéressé d'elle, mais une femme la regardait.


Euh... mais qui êtes-vous ? Et que faites-vous chez moi ?

Chez vous ?
Merelhyn regarda autour d'elle. Y avait des demeures plus agréables, y a pas à dire.

Euh... Je m'appelle Merelhyn, je suis une bretonne en voyage, j'ai entendu des appels au secours comme quoi il y avait une personne prisonnière ici et je suis venue pour tenter de la délivrer... Je ne pensais pas que quelqu'un habitait réellement ici... Ça a l'air un peu abandoné quand même non ? Je ne voulais pas déranger quiconque, je voulais juste... aider un peu.
Lluwella
[Escalier d'entrée à l'extérieur de la tour]

Lulu attendit avec une légère trouille la réaction de la petite fille.

Une fois les aliments posés sur ses genoux, celle-ci s’était tue progressivement, puis avait concentré son attention sur la nourriture. Lulu trouvait que le temps s’était bizarrement ralenti.

Mangera, mangera pas, mangera, mangera pas, mangera, mangera pas…

La main de la petite fille s’approcha du morceau de pain, s’arrêta… changea de direction… le fromage… hésitation… le pain…
Finalement elle prit le pain dans une main et le fromage dans l’autre.
Lulu retenait son souffle.

Mangera, mangera pas, jettera, jettera pas, mangera, mangera pas, jettera, jettera pas, mangera, mangera pas…
Et brutalement le temps reprit son cours quand elle planta ses dents dans le fromage.


Lulu poussa un immense soupir de soulagement (intérieur le soupir hein ! parce qu’il faudrait pas troubler le calme enfin revenu).
Elle regarda l’enfant se mettre à dévorer. A ce rythme-là, il allait pas durer longtemps le calme.
Lulu se retourna vers la bâtisse.
Elle jeta un coup d’œil à la petite en train de manger et sur la pointe des pieds, elle entra dans le bâtiment.
Elle s’arrêta dans l’entrée.


Elle est où Linon ?

Aucune réponse des personnes présentes. D’ailleurs ils n’ont même pas l’air de savoir qui c’est Linon.

D’accord ! Va falloir que je la trouve toute seule.

C’est à ce moment-là que Lulu remarqua la porte sur la gauche. Il lui semblait bien que c’était par là qu’elle était passée, Linon.
Elle franchit la porte et se retrouva dans une cage d’escalier.


Linon !

Comme elle ne recevait toujours aucune réponse, elle commença à gravir les escaliers.
Saltarius
Saltarius contemplait la suie....

"Je pense donc je suie...." se dit-il... Il eut son singulier sourire en tire-lire
- Ah wéééééééé, ça c'est une pensée... faudra que je l'écrive dans un vrai livre..."
Se gratta la tête comme toujours quand il pensait...
- ça le ferait un livre de pensées du Simplet : " Mémoire d'un Saint"... nan trop sérieux : "la Simplification expliquée aux nuls "..... Nan, ça ne va pas.... " Bécassine prend racine...ou les cogitations d'un bécassinien de la première heure " NAN, trop long trop compliqué
Se passa la main sur le visage, la regarda : elle était toute noire :
" Saint Plet broie du noir" ou encore "quand le feu crépite, Saint Plet médite... " ouais ça c'est un bon titre !!!


Regarda la cheminée, imagina les flammes, le feu ...les flammes lèchant le fond... un de ses cochons grésillant sous le manteau....

Soudain, il sursauta... se souvint des phrases qu'il avait lues sur le parchemin ...

Citation:
Parce que chaque jour généralement trois sont nécessaire,
Dans cette pièce vitale nous nous cacherons.
Parce que plein d'obscurité et de chaleur,
nous nous révèlerons.


- LInon..... J'ai compris... Le Titi est dans la cheminée. Il ramone!

Il alla chercher un tabouret qui passait par là, le posa dans la cheminée, grimpa dedans...la tête dans le conduit... éternua, ré éternua... reçut un nouveau paquet de suie sur la tronche

- Sacrebleu de crème de haricots décapsulés....
Ya quelqu'un ?

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Linon
Linon écoutait cette jeune inconnue en la détaillant. Bon, elle n'avait pas l'air bien méchante... et elle était bretonne, c'était déjà ça. Un léger froncement de sourcils inquiet accueillit l'annonce des appels au secours.

Mon Dieu... il va rameuter tout l'pays...

Elle jeta un regard autour d'elle quand Merelhyn évoqua l'état de la demeure.


Oui bon, on vient d'arriver... c'est pas encore prêt. Mais non non, ce n'est pas abandonné.

Finalement, un léger sourire étira ses lèvres.

Bon, bon... c'est tout à votre honneur Merelhyn, de vous être portée au secours d'un inconnu. Vous allez m'aider, voulez-vous? Je suis dame Linon et c'est mon mari Titou... euh... le seigneur de Lenay, qui a réussi à s'enfermer là-haut.

Tout en prononçant ces paroles, Linon ramassa le banc et vacilla un peu sous le poids.

Un bruit sourd lui fit tourner la tête vers la salle et sa cheminée.


Hein? Qu'est-ce que t'as fait Salt? Titi est en haut... viens, on va défoncer la porte.
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Merelhyn, incarné par Letiti

La dame avait l'air d'avoir compris ses explications embrouillée. En tout cas, pas disposée à lui balancer n'importe quel objet à la tête pour avoir pénétré dans cette tour. Merelhyn était disposée à reprendre la parole quand elle fut interrompue par l'autre fou qui l'avait confondue avec un bout de bois.
Il braillait quelque chose d'incompréhensible, recouvert de suie noire. Dans d'autres circonstances, cela l'aurait fait rire. Elle s'approcha de lui à travers la pièce.
Il hurlait dans le conduit :


Y a quelqu'un ?

Prenant soin de se mettre sur le côté, pour ne pas recevoir toute la suie à la figure, et pour qu'il ne devienne pas soudainement violent en se croyant attaqué par derrière (faut dire que maintenant, Merelhyn se méfiait), elle dit à l'homme qui s'égosillait :

Vous croyez qu'il est coincé là-haut, c'est ça ? Vous le voyez ? Il avait plutôt l'air d'être coincé dans un pièce, comment aurait-il pu envoyer une lettre depuis la cheminée ? Il doit y avoir un passage secret dedans... Ou un mécanisme quelconque. Vous voyez quelque chose ? Besoin d'aide ?
Saltarius
La tête dans le conduit de cheminée, Saltarius entendit sa propre voix se répercuter contre les parois autour de son crâne.
- Ya quelqu'un ... ya quelqu'un ??? ya quelqu'un ?

Il s'ébroua et rééternua pour la troisième fois/
- ben wé... ya moi... nom d'une pipe en terre et des bas rouges... ya que moi dans ce trou noir.

Il entendit crépiter derrière lui comme qui dirait des questions émises par une voix fluette :
Citation:
Vous croyez qu'il est coincé là-haut, c'est ça ? Vous le voyez ? comment aurait-il pu envoyer une lettre depuis la cheminée ? Il doit y avoir un passage secret dedans... Ou un mécanisme quelconque. Vous voyez quelque chose ? Besoin d'aide ?


Le Saint n'était pas un ange.
Il redescendit sur terre, avisa la presque enfant... ouvrit ses grands yeux et montrant ses grandes dents.


- Bouhhhhhhhhhhhhh !
Trrrrrrrrrrrrrrrremblez mortelle.. chuis le génie des cheminées....


Il agita ses grandes paluches de boucher noirci devant la mine effrayée de la donzelle...
- 'Tention, si vous zavez pas été sage zaurez la fessée... Chius le Père Fouettard !!!!

Savait pas le Saint qu'il avait inventé là une grande figure de la mythologie enfantine.
D'ailleurs, il lui avait semblé entendre des cris et des hurlements d'enfants. Se dit Saint Plet qu'il irait bien crier avec eux.
Il se dirigea vers l'escalier et descendit d'un étage.

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Merelhyn
Elle avait vraiment eu peur pour lui, coincé comme ça dans la cheminée. N'écoutant que son courage elle s'était penchée pour lui attraper la jambe droite, et tirer, tirer !
Pas sûre que ça ait eu beaucoup d'effet, mais il s'était effectivement retourné. Et là, là ! ce n'était plus l'homme qui était entré dans la cheminée quelques minutes plus tôt, non. C'était un grand démon environné de cendres venues de l'enfer, le visage d'un noir de suie (c'est le cas de le dire), les cheveux dressés et le corps tordu, environné d'ombres. Dans cette vision de cauchemar seules les dents blanches brillaient, blanches, si blanches dans cette obscurité, et si grandes, s'ouvrant sur une bouche béante prête à aspirer l'âme des innocents passant à sa portée.

Et une voix ! Une voix caverneuse, rauque, se répercutant en milliers d'échos dans la cheminée.

Citation:
- Bouhhhhhhhhhhhhh !
Trrrrrrrrrrrrrrrremblez mortelle.. chuis le génie des cheminées....


Ça pour trembler, elle avait tremblé. Tétanisée sur place, oui. Récitant toutes ses prières les unes après les autres, sans même que sa voix soit audible.

Credo in Aristotelicem...

Mais c'était quoi, exactement, cette maison de déments ? Merelhyn serait bien partie, mais l'homme possédé par le démon s'était dirigé vers les escaliers. Impossible de prendre ce chemin. Et puis, il y avait quelqu'un d'efermé ici. Et ça, Merelhyn ne l'aurait souhaité à personne, même à son pire ennemi...



Lluwella
La porte des escaliers avait claqué juste derrière elle, et Lulu trouvait que décidément cette bicoque était vraiment très sombre. Bon là encore, pour monter, ça pouvait aller mais descendre les escaliers dans le noir ça allait pas être possible.
Elle avançait très lentement tâtonnant chaque marche avec le pied, et se guidant avec la main sur le mur. Parce qu’en plus, y a même pas de rampe.


Un moment donné, l’escalier semblait faire un virage à droite. Juste au moment où elle s’engageait dans la courbe, elle sentit que quelque chose la frôlait.

Courageusement (ou trouillardement allez savoir), elle retint un hurlement. Des fois, vaut mieux se taire. Les trucs qui trainent dans le noir vaut mieux pas les provoquer (ou leur signaler qu’on est là, sait-on jamais. Elle préférait pas se faire bouffer, Lulu.

Pendant quelques secondes, correspondant à l’ouverture de la porte du rez de chaussée par la "chose" qui l’avait frolé, l’escalier fut éclairé d’une lueur diffuse qui lui confirma qu’il y avait bien une courbe devant elle, puis elle se retrouva à nouveau dans l’obscurité.

Elle hésita quelques instants vu qu’elle ne savait pas ce qui était sorti et que Miel était en bas, mais de toute façon elle était incapable de redescendre suffisamment vite dans ce noir complet. Ce qui était plutôt inquiétant vu que la « chose » semblait être douée de vision nocturne, elle, vu la vitesse avec laquelle elle circulait dans le noir.


Du coup, elle accéléra le rythme pour grimper les dernières marches et se cogna le nez dans une autre porte.

Aouch, saleté de baraque !!!!

Elle tâtonna pour trouver la poignée, et déboucha sur un palier très poussiéreux.
Elle s’avança dans le couloir. Là au moins, il y avait un semblant de lumière qui provenait d’une salle au fond à droite.

Linon ! T’es où ? T’aurais pas une bougie que je redescende. Fait trop noir dans les escaliers.
Letiti
[en haut dans sa prison]

Le squelette était terminé. Clair qu'il avait de la gueule. Le maje en aurait presque posé son chapeau dessus. Tous les os avaient trouvé leur place et il pouvait même remuer les bras. L'était content de lui, heureux, rempli d'allégresse, absolument....

Cornegidouille!
Y en à ras l'porc de ces foutues raclure'ries!


A grande enjambées (de taille normales quoi) il se dirigea vers la porte et abattit son poing de frustration dessus.

Bong...
AIIIEEEEEE


Nouvelle bordée de juron envers la porte et quelques coups de pied. Sous la douleur sil posa se déplace et poussa du coude Une des têtes sculptées parfaitement horribles à coté de la porte.
Pivotant alors qu'elle n'aurait pas due, elle découvrit un petit conduit. Le Maje souffla pour essayer de voir quelque chose, puis la curiosité prenant le pas sur la prudence ou la raison glissa sa main par la fente d'un air inquiet.


Ahhhh!!!

Il fit un bond quand sa main rentra en contact avec quelque chose de dur et froid. Il finit par réitéré le geste avant d'avoir à nouveau inspecter en vain l'ouverture.
Sa main trouva cette fois la prise et poussa....


Créfieu! C'est quoi c'merdier?!

Aucune réaction...pas un cliquetis..rien... Il haussa les épaules puis tira. Le manche bougeait. Il tira un peu plus fort et entendit nettement un raclement au niveau de la porte provoqué par son effort.
Il lacha le manche et se rua sur la sortie...ouverte?

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--La_tour


Schling...clang...

Faut pas croire, elle est vieille la tour. Et comme tout bon noble, ses donneurs d'ordres étaient un peu parano. Le mécanisme d'isolation avait parfaitement bien fonctionné, le maje était reclus dans la chambre tout en haut.

Or le voila qui avait trouvé le mécanisme ouvrant la porte de l'intérieure. En tirant le levier, le petit bonhomme avait oté deux barres d'acier qui s'étaient fichées dans l'épaisseur de la lourde porte.
L'accès au niveau deux de la tour lui était donc accessible, bien que sombre puisqu'encore inexploré.



Seule la porte faisant l'interface entre le premier étage et le second était encore fermée.
Son mécanisme d'ouverture allait il être trouvé par le maje de l'intérieur? les autres de l'extérieur? Ou être défoncée par l'énergique avocate?
Saltarius
Saltarius était tout guilleret , se dit qu'il était bien en Père fouettard.
Il arriva donc au rez-de-chaussée et entra dans la salle à manger. Vit encore une cheminée. A dire vrai, il l'avait déjà explorée celle-là...

Il vit aussi le petit monstre qui occupait ses amis Linon et le Maje et les empêchait de traîner dans les tavernes.
Se dit, le Simplet, qu'il devait faire son rôle de Père Fouettard et lui apprendre les bonnes manières.
D'ailleurs, il n'aimait pas les gosses.
Ca rend leur parents débiles, se mettent à parler comme des oiseaux : gouyigouzi gouzi..; areuhhhhhh, kikou, lol et bisoubisou....
détestait ça le Saint.
Parlez-moi d'un Mortecouille et VentrePétard de mes deux !!!Ca vous pose un gentilhomme ça ! Même que la Duchesse Fiz l'avait pris comme conseiller en jurons !


Il s'approcha de l'enfant qui le regardait d'un air effaré :
- Bonjour enfant de Linon et du Titi... t'appelles comment encore ?
Mélasse ? C'est ça...

Il sourit de ses grandes dents blanches sur fond noir, même que dans le noir, on ne devait voir que ses dents...;

- Yek, Yek, moi chuis le Père Fouettard et je vais t'apprendre les bonnes manières tu veux ?

L'enfant devait fort avoir envie de pleurer.
Salt leva sa main. Tout aussi noire...

- Répète après moi et ne te trompes pas surtout... Je te fouette si tu te trompes.
Quand tu verras ton papa tu lui diras
- Bonjour Messire Baronnet de mes deux .....

Répète après moi : Bonjour Messire Bas rogné de mes deux ....
A ton tour...
J'attends .... Une fois ... deux fois...

Le saint leva sa sainte paluche de boucher...
L'entendit comme un sanglot ....et le début d'un hurlement.
Comment c'est ce petit paltoquet de lardon de rien du tout qui peut faire ce bruit ?


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Letiti
[Au 2° étage]

Le maje descendit les escaliers dans la pénombre. IL mit un peu de temps à ce que ses yeux s'habituent à l'obscurité, le filet de lumière provenant du haut de la tour étant suffisant.
Enfin il parvint à la porte contre laquelle les gens butaient depuis le départ. Je vous passerai les détails sur l'efficacité de ces aventuriers quant au fait d'ouvrir une porte^^.

Il tenta en vain de pouser la porte, puis de frustration s'énerva encore une fois:


Jarnicoton!
Sal'té d'porte à la noix!


Il fila plusieurs coup de rage dans la porte close.

Trognon!
Salt!
Qui qu'vous soyez!
ouvre moi bordel!
J'en peux plus d'être enfermé!
A l'aiiiideeeeeeee

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