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[RP]L'aventurier des passés perdus

Nictail
Nic s'était un peu détendu et avait écouté le récit de Théobald.
Dès que ça touchait à l'Ordre de la Pierre-Dieu, les histoires se compliquaient.
Mais, pour une fois, il avait à peu près tout suivi.
Il était prêt à aider son épouse de son mieux, mais, c'était à elle de décider.

Au moins, cela était facile de voir Sindbad, il était juste à côté.
Mais cela se compliquait pour la vieille femme. Rah, les ancêtres, j'vous jure !
Pourtant, Nic ne se démonta pas pour autant.


Et si nous demandions à la garde d'y aller avec un carrosse.
Ils pourront nous ramener cette fameuse Dame. Si vous acceptez de les accompagner Messire Theobald. Aucun problème de voyage ainsi !
Et je crois que ... peu nous importe sa raison si elle détient des informations.


Il tourna la tête vers son épouse pour avoir son avis.
Puis, elle fit venir Thomas et l'envoya en mission. Où ?! Bonne question !
Et enfin, elle revint avec du vin de Mirefleurs et des verres.
Merveilleuse idée pour délier la langue du Ménestrel.


Santé !

Et alors qu'ils sirotaient tranquillement en poursuivant la discussion, cherchant des solutions à leurs problèmes, la porte s'ouvrit et Thomas fit son apparition.
Ils étaient là ?! Ils qui ?!
Et là, Sindbad et Aparajita ... Tout s'expliquait !


Bien le bonjour vous deux !
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Sindbad
Sindbad entra dans la demeure d'Aiguemarine et Nictail, précédé de Thomas qui signala leur arrivée.

D'un coup d'oeil, l'homme de Constantinople constata l'état d'avancement de l'emménagement de la famille. Eux n'avaient pas eu à subir la Tradition d'un Royaume lointain. Il salua le maître des lieux :


Bonjour Nictail, bonjour Aiguemarine, comment allez vous aujourd'hui ? Un rapide coup d'oeil circulaire, Je vois que cela avance...

C'est alors qu'assis sur un siège, un verre à la main, Sindbad reconnut...

...Theobald ! Bon sang, comme cela fait plaisir de vous revoir...Vous êtes de passage ? Comment nous avez vous retrouvé ?
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Délégué Territorial orléanais auprès des provinces angloyses, protecteur d'Aparajita
Aiguemarine
Ne me dites pas que Messire Sindbad vous a suivi à Gien ?
Je ne vous dis rien.
Cela va solliciter un peu plus qu'une simple escorte. La Dame se déplace avec difficulté, en s'appuyant sur une canne. Je vois difficilement comment elle pourrait parcourir le chemin qui la sépare de Gien. Sans compter le retour...En plus, avec l'âge, sa raison tend quelque peu à s'égarer.

Ses pensées se bousculent dans sa tête, tandis que Nic donne son avis et converse avec Theobald.
Depuis Cahors, les révélations de Sindbad et le « test » pour confirmer sa véritable identité, oui, ce passé oublié la hante.
Oui, Aiguemarine aimerait comprendre certaines choses et connaître (enfin ?!) la vérité sur ses racines.

« Servir et protéger » Ces 3 mots résonnent dans sa tête. « Servir et protéger »

D'un autre côté, elle a désormais une famille, sa famille. Hors de question qu'elle les mette en danger, juste pour assouvir sa soif de savoir.
Pourtant si elle s'écoutait...Aiguemarine serait déjà en route pour Mâcon, seule...
Mais Nic ne lui pardonnerait jamais de faire « cavalier seul »

Un
« Nous sommes arrivés !!  » la sortit de ses pensées.

Pour sûr que ni Sindbad ni Theobald ne s'attendent à ce qui est sur le point d'arriver.
Au moins, là, Aiguemarine va les confronter et demander aussi quelques explications.


Bonjour Sindbad. Prenez donc place...

Elle devança le Ménestrel à la dernière question de Sindbad...

Et bien, voyez vous, Théobald cherchait Azurra.
Moi aussi, j'aimerais bien comprendre...


Aiguemarine s'arrêta dans sa phrase et regarda les 2 hommes à tour de rôle. Regard interrogateur.
Elle se serra contre son époux, attendant la suite avec impatience, tenant toujours dans ses mains le parchemin jauni que lui avait confié Théobald...

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Sindbad
Abasourdi, interloqué, médusé, ébahi...Les mots manquaient à Sindbad.

Qui avait parlé d'Azurra à Theobald ?

Lui même n'avait repensé à Azurra qu'en voyant le visage d'Aiguemarine à Cahors. Il n'avait parlé d'elle à personne ni au cours de son voyage, ni au monastère...

A moins que...

Et s'il l'avait évoqué pendant qu'il était sous l'effet du poison ?

Le mieux était de ne point l'évoquer, puisqu'il ne se souvenait de rien...Il prit donc la parole :


Je ne dispose pas de la réponse à votre question, Aiguemarine. A aucun moment pendant que j'étais conscient je n'ai prononcé le nom d'Azurra, ni évoqué son histoire, sauf à Sarliève devant les enfants, pendant votre dernier voyage en date. Et encore ne leur ai-je pas précisé qu'il s'agissait de leur mère, puisque, pour le moment, le souvenir de votre vie vénitienne semble vous échapper. Vous leur raconterez vous même la fin de l'histoire.

Puis, regardant Theobald, il attendit son explication.
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Délégué Territorial orléanais auprès des provinces angloyses, protecteur d'Aparajita
--Theobald


Le ménestrel dévisagea Sindbad, puis Aiguemarine.

Ainsi, la Dame de Sarliève pensait que les deux hommes étaient de connivence. Et le constantinopolitain attendait de lui une explication. Son regard affronta celui d'Aiguemarine.


Je jure sur le livre sacré d'Aristote que je n'ai point revu Messire Sindbad avant ce jour, que je n'ai entendu parler d'Azzura pour la première fois qu'à Mâcon par cette vieille femme qui me remit la missive que vous tenez actuellement en main, que le récit que je vous ai fait est la stricte vérité et que ladite missive n'est aucunement une contrefaçon de ma main.

Puis, le ménestrel se tut et récita en son for intérieur une prière afin de recommander son âme au Très-Haut, si le pire venait à arriver.

Theobald
Ménestrel et découvreur de passés perdus
Narrateur de
"La Geste d'Orient"
Aiguemarine
Aiguemarine écouta tour à tour les 2 hommes.
Ses enfants, et notamment Athalia, lui avaient parlé que le Constantinopolitain leur avait conté une histoire pendant leur absence...
Mais elle était à mille lieues d'imaginer que cela fût...la sienne.

Elle le regarda fixement dans les yeux. A aucun moment, Aiguemarine n'avait doûtée de sa sincérité.
Ils avaient vécus tant de choses, des bonnes comme des moins bonnes, que ce soit en Guyenne ou en Bourbonnais-Auvergne, et une profonde amitié les liaient. Un profond respect aussi.

Aiguemarine hocha la tête, incapable pour l'instant d'articuler quelques mots.
Non, elle ne se souvenait pas. Ses premiers souvenirs, c'était cette famille aimante en Bourgogne...

Puis ce fût au tour du Ménestrel de s'expliquer.
Et le voilà qui jurait sur le livre des Vertus. Lâchant un soupir, Aiguemarine se tourna vers Théobald...


Le nom de cette femme, vous vous en souvenez ?!
Peut-être m'évoquera t'il quelque chose ?! ou bien à ma gouvernante !


Tendue, elle sentit le vélin se froisser sous la pression de ses doigts.
Aiguemarine en profita pour jeter un regard implorant à son époux.
Elle avait vraiment besoin de son soutien. Il fallait à tout prix convaincre le Ménestrel de leur donner le nom de cette femme. Voir mieux...la faire venir jusqu'ici.

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Nictail
Nic écouta donc les explications de Sindbad et Théobald.
Il avait toute confiance en Sindbad, mais il connaissait peu le Ménestrel.
Toutefois, cela était cohérent et pouvait tout à fait être vrai.
Il sentit la main de son Aimée se crisper sur la sienne et son regard implorant le bouleversa. Il devait absolument l'aider, trouver une solution.
C'était son rôle d'époux.


Le nom de cette femme, vous vous en souvenez ?!
Peut-être m'évoquera t'il quelque chose ?! ou bien à ma gouvernante !


Messire Theobald, vous vous doutez bien que cette femme est une clé pour nous.
Soit elle connait toute l'histoire et nous serons fixés.
Soit elle sait à qui il faudra nous adresser pour trouver ce que nous cherchons.

Alors, faites un effort, c'est vital. Quel est son nom ?!
Et avec un carrosse, pensez-vous pouvoir la ramener jusqu'ici ?!
Peu m'importe le stratagème que vous devrez employer pour la convaincre.
Nous avons besoin de vous. Vous en avez trop fait pour vous arrêter là.


Nic ne savait si ses mots étaient convaincants.
Il perdait parfois de sa capacité de réflexion quand il était tendu.
Il voulait aider son épouse de son mieux. Ils devaient trouver les réponses, qu'elle puisse être en paix, en harmonie avec elle-même.
Il l'aimait plus que tout au monde et était prêt à n'importe quoi pour elle.
Il lui sourit doucement, essayant de la rassurer et de la réconforter.

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--Theobald


Theobald poussa un soupir.

La satisfaction se mélangeait avec la perplexité.

Satisfaction, car s'il menait à son terme cette investigation, il tiendrait une histoire qu'il pourrait raconter à la suite de la "La Geste d'Orient".

Perplexité, parce que la démarche allait se révéler fort délicate...Mais les derniers mots du Seigneur de Sarliève le firent réagir :


M'arrêter là ? Comment pouvez vous songer à pareille éventualité, alors que j'ai voyagé un an durant aux côtés de Messire Sindbad pour connaître la clé de son passé ? Que je l'ai moi même conduit de Lourdes à Albi en pitoyable état afin de le mener vers une guérisseuse qui jamais ne vint ?

Non, Messire, je ne m'arrêterai pas, à moins que vous ou votre Dame ne le sollicitiez expressément.


Le Ménestrel marqua une pause, et reprit :

Pour ce qui est de ramener cette vieille femme jusqu'à Gien, la tâche ne sera point aisée. Outre le fait que sa condition physique ne se prête guère au voyage, le jugement de cette femme souffre de la crainte permanente dans laquelle elle vit de l'Ordre de la Pierre-Dieu. Elle se dit épiée en permanence, même dans l'intimité de son foyer, parle de sortilèges qu'ils utiliseraient pour lui parler dans sa tête ou pour apparaître en reflet dans les miroirs et les points d'eau...Inutile de vous dire que, dans ces conditions, je n'ai pas été en mesure de lui arracher même un nom. Je vais donc devoir user de stratagème pour la convaincre, à moins que vous ne m'accompagniez jusqu'à Mâcon...La chose n'est donc pas impossible, mais elle s'avère délicate à mettre en place.

Un détail frappa alors l'esprit de Theobald. Il interrogea la Dame de Sarliève :

Messire Sindbad vient de dire que vous n'avez aucun souvenir de votre vie vénitienne. Est-ce exact ?

Theobald
Ménestrel et découvreur de passés perdus
Narrateur de
"La Geste d'Orient"
Sindbad
Le dialogue poursuivait son cours entre Aiguemarine, Nictail et Theobald. Et pourtant, un point de détail échappait toujours à Sindbad.

Et plus étonnant encore, l'esprit d'Aiguemarine, habituellement inquisiteur, semblait se satisfaire de cette zone d'ombre. Il interpela donc le ménestrel :


Expliquez moi, de quelle manière avez vous entendu parler d'Azurra ?
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Délégué Territorial orléanais auprès des provinces angloyses, protecteur d'Aparajita
Aiguemarine
La tâche semblait complexe.
Heureusement Nic avait ressenti son appel et enfoncé le clou.
Mais ils ne pouvaient pas se permettre de s'absenter de nouveau, pas maintenant.
Ils avaient tant de projets à réaliser. Et puis son passé pouvait bien attendre encore quelques jours de plus.
Aiguemarine grimaça lorsqu'elle entendit que la vieille femme n'avait plus sa raison.


Je souhaite connaître mon passé, oui.
Il est regrettable que vous ne connaissiez son nom.
Léger soupir...

En effet, je ne me souviens pas de ce passé à Venise.
Mes seuls souvenirs remontent à cette vie heureuse que j'ai vécue dans cette famille en Bourgogne, famille que je croyais mienne, et qui ne l'es pas...à priori.


A la question de Sindbad, Aiguemarine se contenta juste de lui confier la correspondance que Theobald lui avait remis.

Je crois que ce parchemin répondra à votre question.

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Sindbad
Sindbad s'empara du parchemin et le lut.

Au fil de sa lecture, l'émotion le submergeait.

Il ne connaissait que trop l'auteur de cette prose, et sentir qu'il avait déçu celui qui représentait son modèle et qui lui avait tant apporté le blessait au plus profond de son être.

Il avait pourtant eu sa chance, et avait été quelqu'un de bien. Mais désormais, l'héritier spirituel était une héritière, celle à qui a missive était adressée. Lui n'était plus qu'un criminel en fuite. Et c'était elle qui recueillait ses dernières volontés.

Il reconnaissait pourtant bien l'auteur de la missive dans la basse estime en laquelle il tenait les vénitiens. Et cette devise qui était sienne désormais restait le seul héritage auquel il s'accrochait.

Il aurait aimé le revoir face à face. Juste pour lui dire qu'il n'était pas l'auteur du crime et du vol dont tous les éléments l'accusaient. Qu'il n'avait pas dévié de l'éducation qui lui avait été donné. Qu'il s'était attaché à être à la hauteur des exigences et des espoirs qui avaient été placé en lui.

Sortant de sa poche un morceau de tissu en guise de mouchoir, il sécha ses yeux et se moucha.

Oui, il se devait de rester le digne fils de son père adoptif...

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Délégué Territorial orléanais auprès des provinces angloyses, protecteur d'Aparajita
--Theobald


L'intelligence de Theobald tournait, en ce moment. Et comme toujours en pareil cas, il réfléchissait à voix haute :

Voilà qui est intéressant : comme Messire Sindbad, vous venez de Venise. D'ailleurs, si je me souviens bien du récit qu'il nous fit à Blois, il est la personne désignée sous le prénom de Theodoros dans la missive. Et voilà que tout comme lui, vous vous retrouvez au Royaume de France, et tous deux êtes amnésique...Encore que, dans votre cas, l'amnésie soit partielle.

Par Aristote, les analogies entre vous sont troublantes...


Mais il s'interrompit, confronté à la vive émotion du constantinopolitain à la lecture de la missive. L'homme savait quelque chose...

Et puis, il est des moments où l'investigateur se doit de laisser place à l'humain, sous peine de devenir inquisiteur.


Theobald
Ménestrel et découvreur de passés perdus
Narrateur de
"La Geste d'Orient"
Aiguemarine
Aiguemarine observait à la dérobée Sindbad.
Comme cela devait être difficile pour lui de lire cette missive.
La dernière missive écrite par son père adoptif. Et de surcroît qui ne lui était pas destinée.
Un peu peinée pour lui, là, la Dame de Sarliève.
Ne sachant que faire pour le réconforter.
Elle le savait fier et digne, et le voyait tenter de masquer sa peine aux yeux de tous.
Mais Aiguemarine n'était pas duppe non plus.

Elle se contenta juste de poser une main sur l'épaule du Constantinopolitain et de lui murmurer...


Je suis là, si vous avez besoin.

Et Theobald qui continuait ses réflexions à haute voix.
Sûr que pour le Ménestrel, cette nouvelle histoire était du pain béni.


Voilà qui est intéressant : comme Messire Sindbad, vous venez de Venise. D'ailleurs, si je me souviens bien du récit qu'il nous fit à Blois, il est la personne désignée sous le prénom de Theodoros dans la missive. Et voilà que tout comme lui, vous vous retrouvez au Royaume de France, et tous deux êtes amnésique...Encore que, dans votre cas, l'amnésie soit partielle.

Par Aristote, les analogies entre vous sont troublantes...


Aiguemarine ne savait que répondre.
Le silence se faisait pesant dans la pièce, et peu à peu tous les regards se braquèrent vers Sindbad.
En l'état actuel des choses, il était le seul à pouvoir l'aider.
Mis à part la vieille bonne femme de Mâcon.
Encore fallait'il la ramener ici afin qu'elle livre ses secrets à Aiguemarine.

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Sindbad
Sindbad sentit qu'il devait se ressaisir : tout le monde détournait le regard, mais leur air embarassé ne le trompèrent pas.

Seule Aiguemarine lui murmura une parole encourageante. Toujours là pour lui...La regardant, il lui adressa un sourire. Un peu forcé, certes, mais compte tenu des circonstances, c'était toujours cela de pris.

Puis, il s'adressa à Theobald, lui montrant la missive :


Puisque vous aimez les analogies, en voici une autre : l'expéditeur de cette lettre à Dame Aiguemarine n'est autre que mon père adoptif. Qui était parti en voyage le jour même ou la jeune Azzura disparut. Tout le monde a alors cru à une fugue de la petite.

Il est donc curieux de constater que mon père ait su où lui écrire, alors que nous l'avons cherché une semaine durant. Donc soit il savait où elle avait fugué, soit il a lui même organisé sa fuite. Et curieusement, cette fuite intervient au moment précis où Romeo voulait forcer la petite Azurra à reprendre son entraînement au maniement des armes et aux techniques de combat et de survie avec Silvio. Or, je sais qu'il y avait un profond désaccord entre mon père et Romeo au sujet de l'éducation d'Azurra. Je reconnais bien là mon renard de père...


Il dévisagea alors Aiguemarine :

En lisant ce courrier, son projet m'apparaît clairement : vous donner l'éducation nécessaire pour permettre à l'Ordre de se développer hors de la cité vénitienne. Il vous le dit lui même, il n'aimait pas les vénitiens, et je partage ses vues à leur sujet. En plus, il est possible qu'il ait cherché à faire échapper l'Ordre à l'emprise de Romeo en le situant ailleurs.

Il marqua un temps de silence, puis lâcha :

Par contre, c'est vrai que cela commence à faire beaucoup d'amnésiques...
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Délégué Territorial orléanais auprès des provinces angloyses, protecteur d'Aparajita
Nictail
Nic était rassuré de savoir que Théobald ne s'arrêterait pas là.
D'ailleurs, c'était une mine d'or pour un conteur comme lui.
Du moment qu'il prenait garde de ne jamais révéler leur vraie identité.

Il écoutait les trois autres discuter doucement.
Il était très attentif pour ne pas rater de bouts trop importants de l'histoire.
Petit à petit les pièces du puzzle se mettaient en place.
Sindbad avait établi une théorie des plus logiques, ce devait être cela.


Oui, cela me semblerait fort logique, en effet.
Profiter d'un voyage pour l'emmener avec lui et la soustraire à ... Roméo et Silvio.
Avec les relations qu'il devait avoir, je suppose, il avait des contacts un peu partout et a pu confier Aigue à une famille aimante.

Non, elle s'appelait Aiguemarine, pas Azurra.
Toutefois, l'amnésie de mon épouse a contrarié ses plans.
En effet, elle n'a jamais servi l'Ordre, ce qui a fait qu'elle a été perdue pour ... la cause.
Vous qui vous y connaissez mieux que moi, vous croyez qu'il existe un produit qui fasse perdre la mémoire ?!


Nic se demandait ce qui pouvait passer par la tête de Sindbad.
Rien ne paraissait vraiment sur son visage, mais il devait être affecté.
Alors qu'il n'avait jamais trahi, son Père adoptif était mort en le croyant. Cela ne devait pas être facile à digérer. Toutefois, là-haut, il connaissait maintenant la Vérité ...

Nic essayait de les aider au mieux, mais il se sentait un peu perdu parfois.
Et cela avait de quoi être encore plus perturbant pour Sindbad et Aigue ...

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