Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14   >   >>

[RP] Le Lac de Genève

Jehane
Le phare, c'est le phare mais quand même, le lac...

Encore une!
Une mauvaise habitude de la Jeje: parler toute seule et à haute voix.
Une habitude parmi tant d'autres, toutes aussi mauvaises les unes que les autres...

Elle marche, le nez en l'air, le nez au sol.
Elle pense. Tout haut. Tout bas.
Se laisse distraire par le cri d'un oiseau, par un nuage qui change de forme, qui devient humain ou animal et qui termine en un fin filet avant de disparaitre.
Ses yeux voient tout mais ne regardent rien sauf parfois la trace translucide du passage d'un escargot.
Pour peu, elle raterait le vol du pigeon qui la suit, courageux et persévérent.


Rhannnn ça va, j't'ai vu. Qu'est-c'tu veux? Tu dois t'tromper j'attends pas d'nouvelles! D'personne d'ailleurs!
Pchhhhhh...


Un bon messager, ça insiste.
C'est précisément ce que fait le volatil qui, toutefois, prudence oblige devant l'humeur de la Jeje, garde une certaine distance.


Mais vient plus prêt, stupide zozieau!

Message déplié dans une main, quelques plumes, symboles d'un dérapage de l'accueil, dans l'autre main, elle lâche la bête qui s'envole sans demander son reste.
Jeje continue son chemin vers la rive du lac...
Parait que c'est plus romantique d'ouvrir ses missives au bord de l'eau.
Elle sourit à cette idée saugrenue.
Depuis combien de temps n'a-t-elle plus songé au romantisme?
Elle ne sourit plus, elle rit car dans sa tête résonne la réponse:
HOUUUUUUU......

Un bel arbre dénudé, une ligne d'horizon tamisée sous une légère brume... La vue est belle mais... Le lac de Morat, soudainement lui manque. Lui, sait.

Ses yeux cherchent une signature sur le parchemeni: Zeph.


Zeph... heuuuu...connais pas!

Balayage rapide, juste le temps de comprendre de quoi parle le sieur puis, arrêt sur certains mots qui dessinent sur les lèvres de la solitaire un autre sourire de contentement.

Tiens, un p'tit rayon d'soleil dans ma morne journée.
Un homme pense à m'remercier...ça existe encore?
Hihihi, mon domaine qu'il dit! Quand même, faut pas exagérer, j'ai qu'un champ et une maisonnette coquette mais modeste...
Enfin, ça fait chaud au coeur.
Allez Jeje, va répondre à ce brave sieur...

_________________
--Gamin
Le ciel était nuageux ce matin la, comme lui....

Il avait passé une nuit blanche à ressasser le passé. Et quel passé ...

Il errait en peine au bord du lac, vit quelques pecheurs mais n'avait aucun goût à les rejoindre. Non, la pêche, trop amusant, trop propre, pas pour lui...

Tout se bousculait dans sa tête, son enfance et son adolescence qu'il voudrait oublier et son passé proche, si douloureux. Il avait été marié, croyant l'aimer et être aimé. Ses amis l'avaient prévenus et il ne les a pas écoutés, mal lui en pris il s'est retrouvé au fond d'un gouffre.

Puis est entrée dans son coeur cette jeune femme qui, par son écoute et sa compréhension a su lui rendre goût à la vie. Des jours heureux s'ensuivirent, leur bonheur était total, leur union indestructible, ils ne formaient plus qu'un.
Là, pourquoi? comment?, son passé le rattrape. Son ex femme, aussi folle qu'infidèle s'acharne à les détruire. Son enfance ressurgit dans son esprit, son adolescence aussi. Il ferme les yeux un instant mais les images sont là, bouleversantes. Son besoin de connaitre la vérité est incontrolable et détruit ce qu'il avait de plus cher, l'amour que sa compagne lui donnait.

Il continuait son tour du lac, les yeux gonflés et rougis, sans colere en lui ni rage, juste de la honte... Il savait qu'il l'aimait comme on n'aime qu'une fois dans sa vie et savait que personne ne pourrait plus l'approcher.

Il quitta le lac à la recherche d'un travail, non par envie mais par besoin. Besoin d'avoir les mains sales, très sales. Comme son âme.

Les mains dans les poches, son regarde dans le vide, il esperait la voir, la revoir, la toucher et pouvoir lui dire combien il est malheureux
Precye
Le réveil se fait brutal. Douloureux. Avec un double sentiment qui envahit la cabocharde tête blonde. Car se voiler la face c'est une chose, mais quand on a passé son temps ces dernières semaines à se la voiler doublement alors qu'elle savait pertinemment ce qu'elle se refusait, l'oedème n'en est que plus poignant.
L'oreiller sur la tête pour tenter de reprendre pied dans la réalité et d'étouffer la plainte qui lui monte à la gorge. Venin qui se distille dans tout son être. Et ce froid glacial qui reprend lui aussi possession de l'âme.
Incapable qu'elle est de faire bonne figure devant les enfants, c'est en hâte qu'elle s'habille, plaquant néanmoins le sourire de façade, du "je vais bien, tout va bien" qu'elle a appris à manier à merveille ces dernières années.
Au-dehors il fait beau et les azurs se font imperturbables en se posant sur ses enfants.

Mettez vos mantels, il fait beau, une petite promenade au lac ne nous fera pas de mal. Maman est de garde sur les remparts cette nuit, il faut en profiter.

Et c'est ainsi qu'un moment plus tard, ils avaient atteints la surface lisse du lac. La jeune femme se laisse glisser contre un tronc d'arbre. Et la jeune maman qu'elle est semble reprendre le dessus. La mère est inébranlable, mais la femme elle, il en va autrement. Les prunelles océan suivent et s'accrochent aux moindres mouvements de Maël et Léonie qui profitent de ces instants privilégiés auprès de leur maman.

_________________
Vignolles
Jolie journée ensoleillée, le lac d'un calme plat a en faire palir les remparts de Genève. Vignolles était à la pêche comme a son habitude depuis plusieurs semaines maintenant.
L'oeil vif, la ligne dans la main droite et les asticots dans la gauche, une allure de pêcheur proffessionel.
Faut dire qu'il commence a connaittre et maitriser le sujet aprés avoir commencer au bord avec du petit poisson, il est vite passé au choses sérieuses et s'avanturer au large avec les vrai pêcheurs, ceux qui pêche du gros.
Il grimpe dans sa barque et commence a ramer quand il apperçoit sur la berge Precye avec ses enfants. il leur fait signe de la main.


Coucou Precye ! ça va bien ?

Belle journée n'est-ce pas ?


Trois ou quatre coups de rames et le voila proche de la berge pour discuter avec eux.
Il accroche un asticot au bout de la ligne et la jette a l'eau quand même on sait jamais le poisson ça prévient pas et ça mort toujours quand on s'y attends pas.

_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Precye
Elle le regarde en train de vérifier ses lignes et voir si les hameçons tenaient.Elle en avait déjà vu certes mais n'avait jamais pris la peine de les manipuler ni d'en monter une . Elle le vit s'approcher dans sa barque qui commençait à tanguer avec le remous de l'eau même si le lac semblait calme .

Je vais bien et toi ? Une journée ensoleillée oui.

Désigne sa canne du menton.

c'est pas moi qui risquerais de faire la folle sur cette chose là.

Un coup d'oeil sur Léonie qui s'amusait à courir après son frère, tous les deux riaient bruyamment. Entre le bruit et le mouvement, ça serait étonnant que les poissons ne soient pas effrayés.
Sourire un brin malicieux de Precye, qui se souvient de leur dernière entrevue lors d'un concours de pêche. Il lui avait parlé d'un certain poisson.

Alors tu te fais pêcheur maintenant ?

La blonde finit par se lever de son tronc et se rapproche vers le rivage. Elle reste néanmoins à distance respectable de la barque. Allez donc savoir pourquoi.

ça mordille ou ça frétille ?

_________________
--Forhim
Elle en menait pas large.

Depuis des jours elle tournait constamment dans les rue de la ville. Qu'elle cherchait une raison pour lui parler. Pour l'aborder. Pour comprendre son mal être pour comprendre sa raison d'être. Sans le trouver nul part.

Il ne pouvait l'éviter éternellement. Il fallait qu'elle sache à tout prix. Ça lui faisait mal ce silence. Cette disparition de sa vie comme si quelque part elle n'avait plus d'importance juste parce qu'il souffrait dans son âme et conscience. Ça elle l'avait comprit.

Alors qu'ils s'étaient jurés de toujours tout se dire. Aucun secret. Que de la transparence, et voilà qu'il se terrait seul avec lui-même et ce mal qui le rongeait. Surement jusqu'à ce que mort s'ensuivre.

Elle avait mal aussi. Tellement. Que souffrir ainsi lui faisait perdre tous ses moyens toute sa raison lucide d'agir avec le bon sens. D'un peu elle quitterait la ville. Cette torture de l'âme lui devenait insupportable. Elle voulait l'aider. Elle voulait qu'il soit là près d'elle à pleurer, la battre même, mais qu'il soit là, en vie.

Comprenait-il simplement qu'elle souffrait quand il était ainsi? Quand il agissait dans le silence du mal? Elle n'en pouvait tellement plus, qu'elle avait décider d'agir. De prendre les moyens irréversibles pour en finir.

Ne plus souffrir tel était sa raison d'être. Là maintenant. Sur les profondeurs de cet eau. Se laisser couler jusqu'à plus aucune notion de réalité soit sienne. Et c'est là qu'elle le vit. Marchant tête baissée comme une âme honteuse de son existence comme une âme perdue dans le vide du néant.

Elle n'osa l'interpeller. Elle n'osa même trop s'approcher. De peur qu'il la voit, de peur qu'il s'éloigne à grands pas et qu'encore une fois, s'efface de sa vue, de sa vie.

Une larme perla sur sa joue.

Elle lui emboîta le pas. En douceur. Juste pour ne plus le perdre de vue.

Elle l'aimait tellement et le voir au moment où ses intentions étaient macabres elle avait prit son apparition pour un signal. Elle ne partirait pas par le fond des eaux. Le lac n'aurait pas son cadavre comme nourriture. Enfin pas maintenant


...Mon amour se murmura-t-elle. Reviens vers moi. reviens vers nous.Notre amour. On vaincra je te le promets mais ne part pas. Pas comme ça...Je t'en pris. Comme elle aurait aimé lui hurler ces mots. Lui faire entendre son coeur à l'agonie. Non, elle n'oserait pas. Pas encore.
Vignolles
c'est pas moi qui risquerais de faire la folle sur cette chose là.
Alors tu te fais pêcheur maintenant ?

ça mordille ou ça frétille ?


Quoi ? la barque ? tu t'y risque pas ?

Avec moi ? suis devenu un pro de la pêche, un vrai marin !


*S'agitant dans sa barque, la faisant vassiller de gauche a droite*

Allez viens faire un tour avec moi, t'a pas envie ? les enfants vont adorer ça c'est sur !

Pis comme je frétille pas trop en ce moment...ça mordille pas, alors autemps profiter d'une balade sur le lac, nan ?


*Se rapproche du bord pour les faire monter*
_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Precye
Une chevelure blonde ébourriffée sort du feuillage annonciateur du printemps. Elle regarde au pied de l'arbre, deux écureuils se battrent pour une vieille noisette qui traînait là. Un coup de main dans le vent comme pour faire fuir quelque chose ? Quelqu'un ? puis un coup de reins en arrière et la voici qui fait un cochon pendu autour de la branche. Avec l'agilité d'un chat elle ne met pas longtemps à retrouver la terre. Léonie passe une main sur ses petits jupons retroussés, les tapant et les tirant pour les remettre en place sous l'oeil goguenard de son frère. Puis c'est au tour de sa chevelure emmêlée qu'elle tente maladroitement de recoiffer.

Toi quand tu seras plus grande, tu seras encore pire que maman !!

La petite haussait les épaules déjà attirée par la silhouette dans la barque qui ne lui était pas inconnue. Elle l'avait déjà vu à la maison. Et il était marrant à se tortiller ainsi dans sa barque.

Toiii z'y ti connais !!


Allez viens faire un tour avec moi, t'a pas envie ? les enfants vont adorer ça c'est sur !

Pis comme je frétille pas trop en ce moment...ça mordille pas, alors autemps profiter d'une balade sur le lac, nan ?

Ouiiiiiiiiii mamoune !! viens viens on va 'mener avec le môzieu !!

Pas le temps de dire quoi que ce soit que déjà la diablotine blonde s'escrimait à grimper dans la barque, s'aidant de ses petites mains qui s'accrochaient au bras "du môzieu" alors qu'elle tricotait tant qu'elle pouvait de ses gambettes afin de se hisser sans perdre l'équilibre. Maël s'était avancé lui aussi et hésitant regardait sa mère.

On peut y aller maman ?

Deux océans tempêtueux qui se posent sur Vignolles avant de s'adoucir devant le spectacle qui s'offre à elle. Pour un peu, elle en éclaterait de rire en voyant la tête du blondinet. Il était déjà pas plus à l'aise la première fois qu'il avait rencontré Léonie, lors d'une visite dans leur demeure.
Les joues se gonflent et le nez se plisse légèrement alors qu'elle se souvient de leur dernière conversation en taverne. Ils avaient pourtant bien dit qu'ils devaient se tenir loin l'un de l'autre.

Oui Maël, tu peux.

Après tout, ce n'était qu'une promenade en barque, et tout aussi buccolique que cela puisse paraitre, elle n'avait rien à craindre, surtout escortée des enfants. C’est ainsi que quelques longues minutes plus tard, le frêle esquif se retrouva au beau milieu du lac lorsque Léonie ne manque pas d'ouvrir la bouche.

BOUUUUUUUUUUUUUUUH BOUHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!

Et de regarder Vignolles.

Mamoune elle a dit que le monst'e l'est queque pa' au fond de l'eau !! Ze l'appelle !! dis môzieu, tu penses il va ven'i ?

Quelques timides rayons de soleil réchauffaient la frileuse matinée embrumée et faisait chatoyer l’or et l’azur de la toilette de la savoyo-genevoise. Elle avait bien eu du mal à prendre place dans l’embarcation, ses amples jupons l’encombrant d’autant plus qu’elle ne souhaitait point les froisser.

Après avoir changé de place à maintes reprises ,cherchant une position confortable et peu exposée au vent , la blonde s’installa ,et admira le paysage , une expression sereine et réjouie illuminant son visage de madone, non sans jeter quelques regards méfiants sur le pêcheur.

_________________
Vignolles
BOUUUUUUUUUUUUUUUH BOUHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!

Mamoune elle a dit que le monst'e l'est queque pa' au fond de l'eau !! Ze l'appelle !! dis môzieu, tu penses il va ven'i ?



Le monstre ? venir ? naaaaan ! il trop peur de moi !

*Vignolles montre sa hache posée dans un coin de la barque*

La barque s'avançait doucement sur le lac, les enfants semblaient content quand a la maman elle semblait plutot...craintive, envers l'embarcation ou le pêcheur ? il ne savait pas trop au vu des regards de la blonde. Il la regardait dans sa robe, tenue pas adaptée à la pêche mais plutot ravissante il devait bien l'avouer.
La journée semblait donner le ton d'une partie de pêche bien remplie, Vignolles prépara sa ligne, attrapant un ver du bout des doigts et le montrant aux enfants qui semblaient trouver ça marrant regardant le ver se tortiller dans tous les sens.



Allez on pêche un gros poisson et on file le faire griller, vous allez voir ils sont délicieux.

*Lance dans l'eau le ver qui se tortille au bout de l'ameçon*
_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Precye
Ses fins doigts vinrent frôler la surface de l’eau tandis qu’elle jetait un regard rieur sur ses enfants qui semblaient bien se plaire et apprécier le moment, ravis d'aller de surcroit faire griller les poissons ensuite.

Le sourire se fait taquin en regardant Vignolles s'occuper de sa ligne.


Voyez les enfants comme il fait ça bien! On pourrait croire qu’il a fait ça toute sa vie! Quelle élégance dans le mouvement, tu as trouvé là ta seconde vocation ?


_________________
Cicoulette
cicou penaude s'approchait du bord du lac
elle avait un panier dans une main et un fût à son pied.....et oui elle était prete à pêcher.......bon pas de canne mais elle avait là l'essentiel

cicou connaissait mal les environs donc s'asseyant sur la rive elle attendit le "super pêcheur"

elle regardait des enfants qui jouaient, des hommes qui pêchaient

ralala la vie avait l'air paisible ici
Vignolles
Voyez les enfants comme il fait ça bien! On pourrait croire qu’il a fait ça toute sa vie! Quelle élégance dans le mouvement, tu as trouvé là ta seconde vocation ?

Seconde vocation peut-être, bien loin de la première sans nul doute mais plaisante je dois dire.

Continuant a pêcher il apperçut une silouette au loin qu'il connaissait, il se rapprocha de la berge murmurant a precye : c'est une dame de Sion en visite, je lui ai proposé une ballade en barque, cela ne te dérange pas si elle monte avec nous ? on la mettra entre nous...tu sait...pour la distance entre nous..dit-il avec un sourire coquin.

Dame Cicou ! ouhouhhh ! dame Cicou ! par ici !

Vous êtes venu finallement, montez a bord avec nous. Je voie que vous avez enmener de la réserve comme promis.

_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Precye
c'est une dame de Sion en visite, je lui ai proposé une ballade en barque, cela ne te dérange pas si elle monte avec nous ? on la mettra entre nous...tu sait...pour la distance entre nous.

Cela ne me dérange nullement, mais peut-être la dame préfèrerait-elle une promenade plus tranquille en barque ?

C'est que la demoiselle ne s'attendait sûrement pas à une promenade au tarif de groupe.

Puis c'est gentil à toi, ça aura diverti les enfants un moment.

Et se tournant vers le rivage.

Venez vous installer damoiselle, nous allons pour notre part regagner la maison, termine t'elle en s'adressant aux enfants. Elle regarde un peu plus fixement Léonie qu'elle surprend avec sa moue du '"nah j'veux pas moi" et l'arrête net avant qu'elle ne dise quoi que ce soit.
S'extirpant de la barque, la jeune femme prend Léonie dans ses bras, tout en attendant que Maël la rejoigne.

Faites bonne promenade ! Merci encore à toi.

Et puis il venait de lui rappeller qu'ils devaient rester éloignés l'un de l'autre. Autant mettre de la distance tout de suite. Elle n'allait sûrement pas lui gâcher son plaisir.

Hop hop les enfants, nous rentrons !! Nous allons aller préparer un gâteau pour le repas de ce soir !

_________________
Cicoulette
cicou etait super génée.....s'approchant de la rive....
saluant la dame et sieur vignolles elle s'installat dans la barque non sans mal

murmurant doucement

j'espere ne pas les faire fuir

cicou ne savait plus quoi faire, les enfants partaient tirailler par leur mère

elle avait emmener un panier repas pour plusieurs personnes vu que sieur vignolles lui avait dit qu'ils seraient plusieurs

J'ai emmener de quoi manger pour tous et j'ai même des bonbons

elle n'était guère rassurée sur ces planches de bois assemblées
--Leonie_



J'ai emmener de quoi manger pour tous et j'ai même des bonbons.

Et quand une fauvette de cinq ans décide qu'elle ne veut pas partir, c'est déjà une moue boudeuse qui se fend sur le visage, mais quand elle entend parler de bonbons, c'est une petite boule d'énergie qui arrive à échapper des bras de sa mère pour retourner à la barque.

Un sourire timide devant la dame.

Z'est vai madame tu n'a des bonbons toiiii ? Moi ze les n'aime mais mamoune elle dit faut pas t'op en manzer que ze vais avoi' bobo aux quenottes ap'ès. Se tourne vers sa mère. Mamouuuune viiiiiiiens qu'on va peze' le poizon pis le môzieu il a dit que le monst'e il a pas peu' lui !!

Et c'est reparti pour la grimpette dans la barque mais glissant la petite fille jette un regard vers sa mère et subitement tend les bras vers Vignolles.

Aide moiii môzieu te plait ! pis mamoune elle a peu' du monst'e dis y que t'en es pas un toi, c'est pas v'ai d'abo'd tous les môzieu que zont pas mézants !
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)