Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14   >>

[RP] Le Lac de Genève

Vignolles
Dame Cicou grimpait dans la barque d'un coté quand de l'autre precye avait déja regagner la terre ferme.
Ne sachant pas trop quoi faire asseyant de maintenir la barque proche du rivage temps bien que mal il apperçoit la petite qui aprés avoir entendu parler de bonbons lui tends les bras pour rester.

Moment de panique ! des bras d'enfants !

Regard vers Precye qui ne dit rien et regarde la scène comme amusé attendant une réaction.


Aide moiii môzieu te plait ! pis mamoune elle a peu' du monst'e dis y que t'en es pas un toi, c'est pas v'ai d'abo'd tous les môzieu que zont pas mézants !

Allez viens !

Vignolles attrape la petite un peu maladroitement comme une buche de bois qu'on va jeter dans la cheminée mais réussit a ne pas la faire tomber a l'eau.

Precye tu viens ? sinon j'enmène Léonie avec moi, elle a envie.
_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Cicoulette
cicou fit un sourire à la petite fille, cherchant dans sa besace elle sortit un sac de papier rempli de bonbons rouge et vert. Présentant le sac à la petite fille elle lui dit :

Choisit celui que tu veux les rouges sont à la fraise et les vert à la menthe

Souriant à la maman

désolée je me suis pas présentée je suis cicoulette de sion puis elle rajouta

désolée de ne pas pouvoir vous saluer mais moi et tout ce qui flotte ben on est pas copains donc je suis pas à l'aise!
cicou etait bien contente de ce petit tour en barque ca allait la changer
Precye
Tout était allé très vite. Precye se retrouvait finalement avec Maël à regarder Vignolles attrapper Léonie pour l'installer de nouveau dans la barque. Soupir de la maman qui se dit que finalement le dicton est vrai, les chats ne font pas des chiens !

Nan d'un tricorne!! sa fille qui faisait du charme à Vignolles pour se faire embarquer dans la promenade. Estomaquée de la voir lui tendre les bras, elle qui ne supporte pas de se laisser approcher lorsqu'elle ne connait pas. Bon certes, elle a déjà vu le blondinet mais tout de même, c'est pas comme si elle le voyait tous les jours.

Jurant entre ses dents, regroupant ses jupons, elle finit par se décider à remonter en barque, s'asseyant à côté de Léonie, face à la dame et la salue tout en se poussant pour faire de la place à son fils.

Bonjour damoiselle Cicoulette. Je suis Precye.

Un sourire contrit, et de prendre une Léonie qui semblait on ne peut plus satisfaite sur ses genoux.

Excusez ce petit monstre sur pieds, elle a tendance en ce moment à n'en faire qu'à sa tête.

_________________
Cicoulette
Cicou souriait

ravie dame precye, vous avez là deux charmants enfants

La fillette avait l'air tres à l'aise avec sieur vignolles et le petit gars semblait bien content de faire le tour en barque

elle tendit son petit sac de bonbon à tout le monde

servez vous n'hésitez pas

Cicou ne bougeait plus dans la barque, y avait du monde et elle avait un peu peur que cela chavire mais bon sieur vignolles avait dit que c'était un pro alors pour une fois il lui fallait bien faire confiance
Vignolles
Tout le monde avait embarqué et Vignolles ramait avec ses petits bras.
Un coup de rame a droite, un coup a gauche...la barque avançait doucement sur le lac, les enfants semblaient apprécier, Cicou un peu moins la tête dans le fut quand a precye elle se demandait surement ce quelle faisait la au vu de sa tête.
Le lac était remplie de pêcheurs et Vignolles saluait tout ses camarades de gaule d'un signe de la main. Le soleil avait fait son apparition et la température commençait a être agréable. La ballade des gens heureux...

_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Samiah
Depuis sa rupture, elle erre en ville. Allant d'un endroit à l'autre sans véritable but. Elle a même échappé à la mort. Grâce à l'homme qu'elle aime. Il lui a sauvé la vie.

Elle n'a plus rien. Qu'elle même et ses vêtements.

Aujourd'hui, c'est le lac qui l'appelle. Le temps s'adoucit, le froid s'éloigne. Qu'elle décide de venir y mettre les pieds.

Elle n'est pas en paix. Elle souffre tant, qu'elle n'arrive plus à voir la beauté de la vie. Rire au poisson qui sort de l'eau avant de replonger dedans tête première. Ni la mouette qui survole la surface frémissante de l'eau en quête d'un poisson qu'elle vient tout juste de rater de peu.

Samiah essuie une larme qui roule sur sa joue.

C'est tellement dur de vivre ainsi avec ce froid au coeur et à l'âme. Heureusement qu'elle a promis, parce qu'elle se laisserait coulée pour finir avec ce mal qui la torture, l'étourdie. Tout lui manque.

Elle est perdue. Totalement perdue.

_________________
A venir....mais je ne sais pas quoi écrire
Ysabeau
10 avril

Genève... C'était la première fois qu'elle mettait les pieds en Helvétie. Ils étaient arrivés en ce matin du 10 avril de l'an de grâce 1460, dernière étape avant Annecy.
L' Helvétie... des voyageurs lui avaient parlé de cette contrée étrange, où chaque canton était libre de s'administrer, où la spéculation sur les marchés était libre.
Elle espérait pouvoir rencontrer quelques Helvètes, faire connaissance.
Mais avant tout... elle voulait voir le lac ! Ce lac qu'un ami voyageur lui avait vanté, un grand, très grand lac aux eaux limpides et poissonneuses.
Au matin donc, laissant ses compagnons de voyage dans la roulotte, elle sortit, chaudement enveloppée dans une cape, car l'air était vif et frais, on était dans un pays de montagnes.
Elle demanda son chemin à quelques passants, et bientôt...


Que c'est beau !

L'exclamation lui avait échappé. Habituée aux forêts du Berry, jamais elle n'avait vu une étendue d'eau aussi grande. On ne voyait presque pas le bord opposé.
Elle s'assit au bord du lac, sous un arbre, et contempla. Quelques oiseaux dans le ciel, une ou deux barques de pêcheurs. Le calme de l'eau scintillante.
Elle se souvenait de sa promenade sur la Loire, avec celui qui n'était pas encore son cher époux, Oxytan. Cette promenade où, timidement, il lui avait déclaré sa flamme.
Peut-être auraient-ils le temps de louer une barque, et de s'avancer au milieu du lac, avant de repartir ?
Elle resta là un long moment, puis... norf, elle s'était promis de rencontrer des Helvètes, fallait se rendre en taverne sans plus tarder.
Les établissements étaient nombreux à Genève, grand ville...
Elle passa un instant au marché. Norf, les prix, en effet, étaient élevés... et les produits non taxés, ce qu'on lui avait dit était donc exact.
Fit une petite liste de produits de luxe destinés aux notables berrichons, puis entra dans une taverne où se trouvait une jeune femme.


Bonjour, je suis Ysabeau, je viens de Sancerre en Berry, nous sommes en voyage de noces.

La jeune femme se nommait Phonya, était vêtue d'une robe rouge fort seyante. Elle fut bientôt rejointe par un autre genevois au nom quelque peu anglois, Johnedward. Et Cle entra lui aussi ! La conversation fut... théologique ! mérites comparés de la religion aristotélicienne et des réformés. Souvenirs de guerre, encore et toujours... et quelques considérations économiques. Elle eut la surprise de constater que Johnedward connaissait le Poilu... sa réputation avait donc franchi bien des lieues.
Oxytan entra à son tour, Ysabeau le présenta et se serra contre lui. Ils ne resteraient pas longtemps, devant se trouver à Annecy au plus vite pour le mariage d'Anabase, marraine d'Oxy.
Ce fut un moment agréable, intéressant, instructif. Ysabeau se réjouissait de ces rencontres, regrettant de ne pouvoir prolonger son séjour.
Allez, à Annecy ils resteraient sans doute un peu, et puis, mariage fini, ils prendraient leur temps.
A la nuitée, après un bon repas pris à l'auberge où ils s'étaient arrêtés, elle visita une autre des tavernes genevoises, y retrouva Phonya et son époux Dioscoride. Un beau couple, qui semblait fort amoureux..
Et puis, ce fut l'heure de reprendre la route.
Elle se souviendrait de son bref passage en Helvétie.

_________________
Kelian
Comme tous les matins il pechait... Enfin presque comme tous les matins car depuis quelques jours le coeur n'y était plus, elle lui manquait trop.

Il se moque de rater un , deux puis un troisième poisson, il regarde sa ligne sans la voir, ses pensées sont ailleurs. A celle qu'il aime et qui est partie, non sans raisons bien sur. Il pense à cette folle dingue, il pense à ses erreurs, à leurs erreurs.

Un poisson suffit, il rentre. Rangeant sa barque il l'apercoit, de l'autre coté du lac. Il se demande si elle est là par hasard ou pour le voir mais peu importe, son coeur réagit sans se poser de questions et s'emballe.

Oubliant sa prise, qui est secondaire, il court autour du lac et plus il s'approche d'elle plus il ralentit, submergé par l'angoisse et la peur, l'amour qu'il éprouve.

Elle ne l'entend visiblement pas arriver, les yeux pleins de larmes, le regard dans le vide. Doucement, tremblant, il lui prend la main. Ses mots ne sortent pas, il fond en larmes. Prenant son courage à deux mains il ravale un sanglot pour murmurer:

Pardonne moi Samiah, pardonne mes erreurs et mon passé. J'ai besoin de toi, besoin de nous.


Il pose son manteau sur ses épaules la voyant grelotter de froid et lui prend les deux mains, face à elle, cherchant son regard....
_________________
Uploaded with ImageShack.us
Samiah
Samiah est tellement peu présente d'esprit, qu'un brigand aurait pu aisément la tuer. La violer. Heureusement, sa surprise passée et voyant Kelian tout près qui soudain se met à pleurer, elle ne résiste pas. Pleure autant que lui.

C'est tellement dur de vivre ainsi. De vivre ce manque, cette peine, cette douleur, qu'un peu elle aurait pu en finir. Elle lui caresse les cheveux avec une infinie tendresse.


Pardonne moi Samiah, pardonne mes erreurs et mon passé. J'ai besoin de toi, besoin de nous

Comment dire non ? Comment réfuter quand le coeur n'a qu'un seul élan, est de s'élancer dans les bras de celui qu'on aime ? Elle ne résiste pas. S'abandonne dans ses bras après l'avoir longuement regardé. Lui disant tout l'amour qu'elle avait pour lui. Tout le pardon dont il avait besoin. En cherchant tout autant dans les siens. Et le serre dans ses bras, si fort, qu'elle se sent défaillir par les forces qui lui manquent.

Je t'aime tellement mon ange.

Elle l'embrasse passionnément. Là, devant tous ceux qui peuvent les regarder. Les juger si ils s'en sentent le besoin. Mais elle, elle en avait cure. C'était son homme! Pas à cette femme d'avant et ni à une prochaine qui voudrait prendre sa place. Il est a elle. Comme elle est à lui. Rien de moins, Rien de plus.
_________________
A venir....mais je ne sais pas quoi écrire
Kelian
La sentant presque s'effondrer Kélian la retient contre lui. Ses larmes coulent sans pouvoir cesser, son coeur prêt a sortir de sa poitrine tant il bat fort.


Je t'aime tellement mon ange. A ces mots leur baiser s'intensifie, le monde peut arrêter de tourner, plus rien ne compte. Qu'eux, seulement eux, rien qu'eux.

Tout en l'embrassant amoureusement il voit défiler son passé et comme pour jeter cette partie de sa vie loin de lui et ne plus vivre qu'au présent près de celle qu'il aime il plonge son regard dans le sien, couleur émeraude, si profond.

Viens ma puce, rentrons chez nous, je vais te préparer de quoi reprendre des forces et tu te reposeras.

La soutenant par la taille, comme pour ne plus la perdre, il l'emmene vers leur maison, leur nid d'amour, pour recommencer à vivre, enfin!
_________________
Uploaded with ImageShack.us
Michelkourou
Le jour se levait à peine, ils avaient chevauchés toute la nuit et enfin il se découvrait devant leurs yeux, plus majestueux que jamais.
Le soleil levant se reflétait dans ses vaguelettes formées par le vent léger de ce début de printemps, lui donnant des couleurs d’une beauté qu’il n’avait jamais su décrire par des mots.
Il se tourna vers Mary qui était bien serré dans son dos et guetta dans son regard la première impression de la jeune femme.
La voix pleine d’émotion il lui dit « Vous comprenez, Ma douce pourquoi je tenais tant à vous le faire découvrir ? »
_________________
Mary.
Ils descendaient de Saint Claude, ils avaient franchi le col de la Faucille, et là, dans le jour naissant, un spectacle fabuleux s'offrait à leurs yeux.




« Vous comprenez, Ma douce pourquoi je tenais tant à vous le faire découvrir ? »

Michel, c'est ..... je ne trouve pas de mots pour dire ce que je ressens ! j'ai hâte de le voir de plus près, et de découvrir la ville bâtie au bord de ce lac. On doit y voir les montagnes encore plus proches que d'ici ?

Comment avez-vous pu quitter un endroit pareil ? Remarquez, je ne m'en plains pas, je n'aurais pas eu le bonheur de faire votre connaissance si vous étiez resté ici ! finalement je bénis ceux qui vous ont poussé à quitter cette ville !

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)