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[RP] Au Ponant, d'un éternument arrive la délivrance

Asophie
[Lorsque l'enfant parait...]

En-fin !

Une fois passée la tête, le reste du petit corps se fraya un chemin moins pénible au sein des entrailles maternelles et le miracle éternel et immuable de la vie se répéta dans cette chambre de l'assemblée du Ponant. Le premier bébé ponantais! Tout un symbole. Même si le père était italien. Tsss... Pouvait pas se taper un angevin ou un poitevin, l'Artésienne?... Bref. On allait pas chipoter sur le symbole et on ferait avec.

Alors qu'Izeliah s'effondrait littéralement après le dernier effort fourni sous les attentions de la brave Manon qui lui essuyait doucement le visage, Sophie s'empressa d'achever le travail. Après avoir libéré l'enfançon de son dernier lien, elle administra une bonne claque sur les fesses du bourreau de l'artésienne : à son tour de gueuler maintenant ! Et ça, pour braire, il se fit pas prier. C'était bien le rejeton de l'artésienne !
Tandis que la vicomtesse² venait de s'avachir, en vrac, la tête dans un oreiller, plus épuisée que la jeune mère, Sophie s'empressa de nettoyer le petit corps et de le langer avant de revenir vers l'Intendante éreintée, lui tendant doucement le fruit de ses amours :

"C'est une fille, Izeliah... Elle est magnifique."

Et se retint de tout autre commentaire sur le caractère de la petite peste qui était bien tout le portrait de sa mère, même si le petit sourire taquin qui ourla ses lèvres en disait long.
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"Connais-toi toi -même et tu connaitras l'Univers et le Divin."
Scario
Scario était assis au coin du feu avec ses compagnons. Il se demandait quand la crevette allait montrer le bout de son nez. En tout cas il en était sûr, elle ne devrait plus tarder. Depuis quelques jours l'attente se faisait de plus en plus longue, la tension grimpait tranquillement mais surement. Il observait souvent le ciel dans l'espoir de voir venir LE pigeon. Ce soir encore il observait quand il vit enfin une forme se profiler. Il se leva tout excité et impatient de recevoir la lettre, mais le pigeon traça sa route, visiblement c'etait pas son tour. Il se plongea dans une conversation quand tout à coup quelque chose le fit sursauter. Un pigeon venait d'atterir tout naturellement sur sa tête.

-Mais je rêve saleté de piaf je suis pas un perchoir! il remua la tête mais le volatile se cramponna. Scario vit une lettre accrochée à la pate du pigeon. Son coeur s'emballa, il la decorcha nerveusement et libéra par la même occasion le pigeon. Son coeur battait son plein. Il l'ouvrit et la lu attentivement. Au fur et à mesure son visage blémit.

-Mio dio bueno! Il avait recours à sa langue natale qu'en cas de force majeure. Et là s'en était une.

Il ramassa son baluchon avec le peu de provisions qui lui restait et enfourcha le premier cheval
.

-Je reviens très vite les gars, mon enfant m'attend.

Un mélange de bonheur intense et de peur s'empara de lui. Il allait enfin revoir sa femme en éspérant qu'elle aille bien. Il ne s'arreta que très brievement chaque nuit pour se reposer, il avait du mal à fermer les yeux, en proie à son excitation. Au bout d'un périple de trois jours le voila arrivé à l'endroit qu'on lui avait indiqué. Néanmoins un problème se posa. Les gardes. Le voilà paniqué, en même temps n'importe qui aurait vu sa tête en ce moment aurait pu deviner qu'il n'etait pas serein. Quant aux vêtements c'etait une autre histoire... son mantel était encore mouillé et éclaboussé de boue, ses cheveux étaient en pagaille. Comme si ces gardes de malheur allait croire que c'est l'homme de l'intendante du ponant, Izeliah Rovel. Il faut y aller au culot se dit il. Il avanca tranquillement faisant mine de pas les voir prenant un air confiant.

-Halte là! gueula un garde. Son plan avait foiré...z'avez un laisséez passer?
-Bien sur
! Une illumation soudaine, il fouilla son baluchon et trouva une des lettres que lui avait envoyé Ize. Il lui tendit, souligna son nom du doigt, vous voyez, I.Z.E.L.IA.H je suis là pour elle.
-Ouais, ouais et pourquoi etes vous là
? demanda l'autre garde d'une voix bourue.
Scario se dit alors qu'il avait à faire à des casses pieds de service
.
-Ma femme à besoin de moi là tout de suite! une urgence! un bébé!
Les deux grands gaillards se regardèrent un petit moment,au moment où ils croisèrent le regard de Scario ils comprirent qu'il n'avait pas l'intention d'attendre plus longtemps.
-Alors vous me laissez passer oui ou non?! leur balança t'il.
Le premier garde rumina
:
-ouais ouais...bonne journée m'sieur.

Scario entra dans la cour et sauta de son cheval visiblement épuisé de ce voyage. Bonne bête. En parlant de bête, à une dizaine de mètres de lui Scario aperçut une petite masse à quatre pattes. Bon sang ce satané chiot, il le vit enfin mais une idée lui vint a l'esprit. Rassemblant tout son sang froid et son calme Scario siffla le chiot, aucune réaction:

-Pardis il est bouché ou quoi, Fripouille! toujours rien, Ratatouille, rien, et zut il s'appelle comment deja ce foutu chiot... Pitouille! le chiot leva la tête et accourut vers Scario, bien mon grand, ou mon petit écoute moi bien, Scario sortit une lettre d'Ize imprégnée de son parfum et la mit sous la truffe du chiot apparement content de le voir, maintenant tu me dis où elle est, cherche! Scario se dit que cette tentative fut déséspérée mais c'etait une occasion de tester l'utilité de ce truc. A sa grande surprise le chiot se mit a courrir dans le direction opposée. Scario le suivit et arriva devant une porte. Son coeur batait à la chamade, il tremblait de tout son long, dans quelques secondes il allait voir son enfant! il toqua:

- Ize c'est moi je peux entrer?
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Tiss_
[ La Naissance ]

Elle en avait bavé la pauvre Vicomtesse², l’avait bien cru qu’elle allait finir sourde avec une main broyée, bon d’accord c’est pas elle qui a morflé le plus dans cette histoire mais quand même. Si ça n’avait pas été pour son Artésienne préférée, elle se serait sauvée en courant et dès le début.

La crevette enfin arrivée, Tiss enfuit la tête dans le premier oreiller qu’elle trouve, l’est fatiguée aussi la double V, c’est qu’elle a quand même trainé l’Artésienne… bien plus que les deux trois heures annoncées par Sophie.

Finalement elle relève la tête lorsque Sophie annonce que c’est une fille, sourire aux lèvres Tiss relève la tête en direction de son amie.


Félicitations ma belle… tu as fait du bon boulot, mais par contre s’il te prend l’envie de recommencer un jour, évite de m’inviter pour la délivrance… Le baptême je dis pas, mais l’accouchement.

Mauvais souvenir ? Pas du tout, bien au contraire, fallait juste lui laisser le temps de se remettre de ses émotions.

Et les azurs de se planter sur le petit bout de choux, histoire de voir si elle ressemblait à sa mère, pour le père difficile à dire, l’avait jamais rencontré l’italien, nul doute que ça n’allait pas tarder.



[ Quelques jours plus tard ]

Trop bonne la Tiss, depuis l’accouchement elle n’avait pas quitté Izeliah, enfin si quand même un peu, mais elle veillait sur son amie, jamais bien loin… faut dire qu’elle avait craqué sur la crevette. C’est que ça lui donnerait presque envie de recommencer tout ça. Théo était déjà grand, et bientôt il n’aurait plus besoin d’elle, de qui elle allait s’occuper ?

Alors que Sophie était aux cotés de la jeune maman, l’aidant surement pour l’allaitement ou quelque chose dans le genre, Tiss rêvassait imaginant déjà la crevette épouser son Théo… un jour. M’enfin elle chassa rapidement cette pensée, les paroles d’Izeliah résonant encore dans sa tête, c’est que le " ma bonne vieille Tiss ", elle l’avait toujours pas digéré !

A ce moment précis elle aurait bien cogité sur sa vengeance mais manque de chance, elle est tirée de ses pensées par un frappement à la porte. On n’a pas idée de venir déranger Tiss dans un moment pareil ! Regard vers Izeliah.


C’est qui ?
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Izeliah
Et elle s'était laissé retomber sur le lit d'un seul mouvement. Epuisée, éreintée, lessivée et bien plus encore. Enfin c'était fini, elle ferma les yeux et les ré ouvrit quand elle entendit son bébé crier et le soulagement final. Une fille magnifique. Alors, elle ne contrôla plus rien. Elle prit sa fille la regarda en pleurant comme jamais elle ne l'avait fait.

Ma fille... elle lui caressa l'arrondit du visage... Ma petite Louise. Elle n'osa pas la toucher plus. Une si petite chose, Sa petite fille... Elle resta là, à la regarder, émerveillée.

[3 jours plus tard... l'heureux papa arrive enfin]

Izeliah avait quitté le lit, elle était encore un peu fatiguée, mais elle avait souhaité prendre du temps dans un baquet... elle s'y était relaxée le temps que la petite Louise Angela Di sterna dorme. Elle se demanda si elle même ne s'y était pas assoupie. Après, elle regarda les restes de la grossesse sur son corps. Des hanches plus larges, des marques sur son ventre boursoufflé. Une poitrine plus lourde, gorgée de lait. Et puis les affaires avaient repris.

Izeliah, accompagnée de Tiss et de Sophie était assise sur un fauteuil prêt du feu. C'est que ces femmes là, elle en avait besoins pour faire ses premiers pas dans le rôle de Maman. Sophie s'assurait que la petite Louise mangeait bien et c'est donc le décolleté ouvert, la crevette accrochée à son sein qu'Izeliah entendit que l'on frappait à la porte. D'abord elle pensa à un garde ou un membre du Ponant venant prendre de ses nouvelles.

Et puis cette voix, cet accent, Unique, magique... son coeur s'accéléra, s'emballa, s'enflamma tout ça en même temps ... ça fait beaucoup. La petite Louise, sentant que ça mère était toute chose, s'agitât et serra sa main sur le sein maternel.


Scario... Scar... c'est toi ! Entrare, Entrare !

Elle avait les larmes aux yeux. Elle ne pensait pas qu'il pourrait se libérer. Son coeur battait la chamade, Elle regarda fixement la porte qui s'ouvrait peu à peu pour le voir entrer. Lui l'homme de sa vie, Le père de sa fille. Accompagné de Pitouille... curieux ça.
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Scario
Après qu'Ize l'ait convié à entrer Scario s'executa. A peine avait il ouvert la porte que le saucisson sur patte se faufila. Fallait dire qu'il etait à peine plus grand qu'un poil de cul donc pas de soucis pour lui...Quant à Scario il se tenait là, à quelques mètres d'Ize, ne bougeant plus d'un pouce, le moment qu'il attendait tant, dont il revait jour et nuit était en train de se passer. Le petit bout de chou était là, apparement trop occupé pour remarquer sa présence, suspendu au sein de sa femme. Ils avaient l'air d'aller bien tout les deux, quoique... Izeliah donnait l'impression de ne pas avoir dormi depuis une semaine. Il décida enfin de se décoller du sol et couru vers Ize qu'il embrassa passionement. Qu'est ce que ça lui avait manqué! C'est alors qu'Ize lui annonca le nom de la crevette. Louise. C'est donc vers sa petite fille que Scario se tourna. Il la regardait avec attention quand tout à coup l'emotion le prenait, il dût retenir ses larmes. Il l'embrassa délicatement sur le crâne et remarqua par la même occasion une petite fossette dans le creux de la joue. Il lui murmura :

-On moins on en est sûr tu es bien ma fille, c'est alors que la petite ouvrit les yeux, et ces yeux là il aurait pu les reconnaitre parmis tant d'autres, et c'est une certitude tu es bien la fille de ta môman.

Scario avait le sourire jusque derrière les oreilles , c'est alors qu'il remarqua (c'est pas trop tôt) la présence de deux autres Dames, il leur adressa un regard chaleureux :

-C'est que j'en oublie mes bonnes manières, excusez moi. Je suis Scario, le père comme vous vous en doutez et vous devez être celles qui ont aidé ma douce à mettre au monde ce petit trésor, je vous en remercie de tout coeur
.

Il s'accroupit à côté d'Ize et la regarda longuement, il l'aimait ce petit bout de femme et c'est rien de le dire. Sans elle sa vie n'aurait plus aucune saveur, elle est sa raison de vivre et il n'est pas prêt de l'oublier. Accroupit à ses cotés son coeur tournait à plein régime, désormais un autre rayon de soleil illuminera son quotidien, et ce rayon de soleil s'appelait Louise Angela.

-Tu as été très forte ma chérie, je suis fière de toi. Le plus dur est passé maintenant à nous de tout faire pour lui donner une bonne éducation. On y arrivera ensemble, je t'ai... Pitouille qui estimait qu'on s'occupait plus de lui décida de se faire entendre, Scario se retourna et le foudroya du regard, oh toi ne me cherche pas d'accord tu as été bien aimable et tout et tout mais maintenant basta!
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Izeliah
Son coeur s'arrêta peut être quand ses yeux croisèrent ceux de Scario. Il était en piteux états mais il était là, entier et en bonne santé. Elle laissa passer un soupir de soulagement. Et puis, il l'embrassa, avec passion. Le contact de ses lèvres, sa chaleur, son amour, tout lui revenait et l'explosion dans sa poitrine ne la trompait pas. Elle lui murmura que c'était Louise. Quand il parla de la fossette elle lui colla une pichenette sur l'épaule.

Hey ! Didon ! bien sur que c'est ta fille ! nanmého !

Scario connaissait tout du passé d'Izeliah, il la taquinait, mais elle restait légèrement susceptible avec ça. Pour la simple et bonne raison qu'elle avait peur de le perdre à cause de ça. Elle lui sourit néanmoins puis elle lui présenta ses amies.


Voici Sophie de Terrides... dict la terrible. Et là Otissette, c'est elle qui t'a écrit, elle a pas mis de bêtises dans la lettre hein ? , On l'appelle aussi V au carré.


Elle glissa sa main dans les cheveux poussiéreux et poisseux de Scario, lui sourit amoureusement. Elle aurait bien voulu oublier tout ce monde pour fêter comme il se doit les retrouvailles. Elle l'aimait, à n'en plus finir. Louise termina son repas. Izeliah la redressa, réajusta son décolleté, l'aimait bien son décolleté Scario, et cala Louise sur son épaule le temps qu'elle rende le trop plein d'air.


Pitouille ! Va te coucher. Le petit s'exécuta la mine boudeuse. Je m'occuperais de toi après.

Elle regarda Scario à Ses genoux qui ne lâchait pas Louise du regard. Comme émerveillé par le petit bout qui était à eux. Peut être le meilleur d'eux. Elle allait finir par aimer les voyages en mer la Izeliah.

Tu veux que je te fasse préparer un baquet mi amore ? tu dois en avoir besoins. Je m'occuperais de toi si tu le veux. Louise va dormir un bon moment et Tiss pourra veiller sur elle. Sauf si tu veux la prendre toi dans tes bras ?
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Scario
Il se tourna et regarda alternativement les deux Dames:

- Enchanté madame la terrible, j'éspère que n'avez pas honoré votre surnom en compagnie de ma femme, il se tourna vers Otissette, enchanté! par contre il faudra que l'on m'explique cette drôle d'appelation... V au carré.

Scario essaya de s'imaginer toutes les combinaisons possible pour éclaircir le mystère de ce surnom mais rien n'y faisait.

Il ne s'etait toujours pas remis de ses émotions, la petite Louise avait finit son repas. Au fond de lui il éspérait qu'elle ne serait pas trop gourmande, il craignait un peu que les ballons d'Ize se dégonflerait à ne plus s'arrêter.

Pitouille s'était fait remballer, il se tourna et adressa un sourire narquois au chiot. Scario se regarda de haut en bas et sentit qu'il avait vraiment besoin de se laver, ce voyage n'etait pas de tout repos et le temps n'était pas de son côté: deux jours entiers de pluie, difficile de faire pire, surtout que les températures étaient assez basses. Etonnant d'ailleurs qu'il n'était pas tombé malade, enfin bon ne crions pas trop vite ça peut encore arriver.

Izeliah le tira de ses pensées et lui proposa de prendre un bain, à se demander si elle lisait dans ses pensées
...

-Bien sûr ça me ferait le plus grand bien! je vais pas salir notre petit ange, je me fais tout propre et je la prendrai dans mes bras après, mais euh... regard gêné vers les deux Dames, il murmura à l'oreille d'Ize : je ne vais pas prendre mon bain ici si?
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Tiss_
Et lorsque le Papa apparait, forcément la double V, le scrute des pieds à la tête, après tout ce qu’elle a entendu sur lui, faut bien qu’elle s’assure que tout est vrai.

Beau… oui pour sûr elle ne pouvait pas nier.
Bien fait… là non plus rien à redire.
Italien… l’accent incontestable.
Polit… encore d’accord.

Bon d’accord Izeliah ne lui avait pas mentit Scario avait toutes les qualités que lui avait énumérés son amie.
A regarder la petite famille, le sourire naissait sur les lèvres de la Vicomtesse, c’est qu’ils étaient attendrissant… l’en serait presque jalouse Tiss.


Scario enchantée, ravie de vous rencontrez enfin, depuis le temps qu’Izeliah me parle de vous. Au fait félicitations vous avez une petite fille ravissante, et une femme très courageuse, elle en a bavé vous savez. Mais elle a été parfaite comme toujours.

Pour le V au carré, c’est tout bête, je suis double Vicomtesse en Anjou, mais comme c’est un peu long… on abrège.


Pas le temps d’en dire plus que déjà, comme par enchantement elle se retrouve désignée nounou, bien entendu elle en est ravie, mais comme elle aime bien faire rager l’Artésienne.

Hein quoi Tiss veiller ? Bah voyons Izeliah ! C’est payé combien la nourrice ?

Petit sourire en coin, avant de reprendre…

Bien sûr que je vais veiller sur elle, avec plaisir même, ça vous dérange pas que je l’emprunte à long terme ? Je vous la rendrai disons vers l’adolescence, quand elle fera ses premières crises tout ça. Ca vous va ?

Et ne vous inquiétez pas Scario, avec Sophie on a plein de choses à faire, on va vous laissez tous les deux.


Coup d’œil vers la terrible.


N’est ce pas qu’on a du travail Sophie ? Faut qu’on fasse tourner la boutique pendant que Madame Izeliah se repose !

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Izeliah
Quand scario lui murmura à l'oreille qu'il ne voulait pas prendre se décrasser devant les filles, Izeliah se mit à rire. Non seulement elle n'avait pas l'intention de permettre à quiconque d'autre de voir Scario dans le plus simple appareil, mais en plus, elle avait bien l'intention d'en profiter elle pour se rincer l'oeil et de profiter des quelques minutes d'isolement pour réclamer un peu de tendresse à son presque époux.

Mais non Amore... il y a une pièce dédiée pour ça et je vais tout barricader pour pas qu'on nous dérange.

Elle lui sourit amoureusement tout en passant sa mains sur son menton. Elle se leva et alla placer Louise dans les bras d'Otissette.

C'est payé en gratitude des heureux parents. Et rien que ça ! Et non tu ne peux pas nous emprunter Louise. Elle est à nous et rien qu'à nous. Si jamais tu me la prends, je te tue. C'est aussi simple que ça.

Izeliah caressa doucement le front de sa fille, tout sourire. Louise se mit à bailler et à s'étirer dans les bras d'Otissette.


C'est dur ma Fille hein, c'est pas les bras de maman, elle revient vite maman ma puce, elle va s'occuper un peu de papa qu'est tout cracra.

Petite coup d'oeil narquois à Scario et tirage de langue de rigueur. Elle appela alors son petit chien, se mit accroupi et commença à le caresser doucement.


Toi mon pitouille, tu gardes la V² des fois qu'elle essaie de s'enfuir avec la petite. Si elle le fait tu lui mord tout ce qui passe à portée.

Le petit chien aboya et essaya de lécher le visage D'Izeliah qui se recula à temps. Elle se releva et tendit la main à Scario comme invitation à le suivre.
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