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[RP] Un chemin vers la lumière

Louis1er
Nashia a écrit:
Le carrosse s’emballa d’un coup, par réflexe je resserra mes bras autours de l’enfant. Et heureusement, la folle chevaucher bien que courte duré se termina hors de la route et une de ses roue fut brisée.

Un peut paniquer et bien secouer, l’incident avait réveiller Adrien qu’elle berçait pour éviter qu’il ne ce mettent a pleurer. L’enfant semblait en bonne santé. Rassurer elle se tournais vers la duchesse, elle semblait aller bien aussi. Puis le Duc passa demander des nouvelles. Les voyages en carrosse était décidément très mouvementée et confirmais l’avis de la jeune femme comme quoi voyager a pied était certes plus fatiguant mais bien moins dangereux !

Cet avis se vu confirmé par l’attaque a la pierre d’un des soldats ! Et voilà l’orage s’y met…. Inquiète la jeune femme se terra a fond du carrosse tout prêt de la porte. Elle regardait la duchesse d’un air d’incompréhension une question muette dans le fond des yeux, « qu’est ce qui se passe ! ».
Des cries encore des cries puis des bruits d’armes, un nom Gautier ! apeurer la jeune femme ne sais pas quoi faire, elle regarde la duchesse. Nash était incapable de bouger, tétanisée.

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
Mélisende a écrit:
Le temps virait à l’orage, le coche avançait tranquillement, tandis que nous conversation. Le trajet était assez douleur pour la duchesse qui cherchait sans rien dire une position confortable. C’est la qu’elle fut projeter contre le dos du coche, les chevaux s’emballaient. La petite troupe fut engagée dan une course. Les roues sautaient sur les rochers c’est dans cette lignée que l’un d’entre elle fur brisé alors que le carrosse finissait sa course dans la boue.

Plus de peur que de mal, secoués mais pas de blessé, la jeune mère regardait son fils qui avait ouvert les yeux. Il allait bien. La contracture de son estomac s’estompa.

Peu de temps après, les hommes de bielle furent attaqués n premier par des pierres, les femmes furent jetées dans le carrosse par louis alors que la pluie se joignait à la fête.

S’en suivit des cris des bruits de lame. Et un nom, Gautier, gamins ? Les cris se rapprochaient. Il faudrait courir et vite. L’accouchement était encore top prêt et la dame n’avait pas encore recupérer toutes ses facultés de « jeunes fille ». Courir lui était insupportable d’ailleurs elle avait jamais essayer. 0 cette heure elle se demandait ou etait louis …. ;

Elle s’adressa en chuchotant à sa nourrice,


Nashia, il est probable que nous ayons à nous enfuir, ne m’attendez pas, courrez avec l’enfant et aussi vite que vous pourrez, ne vous retournez pas….

D’accord. ?

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
Nashia a écrit:
Partir… Ne pas attendre la Duchesse ? Courir sans se retourner avec Adrien ? Mais… Mais c’était impossible elle ne pouvait pas la laisser au main d’hommes pareille ! Melisende etait loin d’être en état de courir ! Elle en serait incapable ! La jeune femme jeta un regard effarée a la Duchesse

« Non… Non Duchesse je ne vous laisserais pas !»

Pourtant… C’était ca ou laisser l’héritier a ces monstres… Gamin ils en voulaient au gamin ! Enfin c’était ca qu’entendait l’esprit apeuré de Nash ! Pourtant Nashia ne pouvait pas accepter que Melisende reste seule aux mains de ceux qui les attaquaient ! Et le Duc ! Elle espérait qu’il aille bien !

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
Louis1er a écrit:
Je regardais la scène avec anxiété, mes hommes étaient tous mort et le géant me faisait face...

Tout était allé très vite. Les chevaux apeurer par la pierre qui volait se cabrait et glissais, éjectant leur cavalier qui se retrouvait à terre, blessé, là un géant qui avait fait son apparition et qui criait après un certain Gautier, avait massacré ceux qui lui avait fait face… La pluie avait redoublé d’intensité. J’avais prit la sage décision de descendre de cheval. J’avais Mélisende me regardait à travers la fenêtre, un sourire je lui lançais…

… Le combat commençât enfin. L’homme frappait fort, je me servais de mon agilité pour éviter sa lame. Je fus surpris par sa rapidité et ma vielle blessure au bras gauche se rouvrit… Au bout d’un long moment de combat et de passe, je commençais à prendre le dessus sur mon adversaire. L’espoir de la victoire était enfin là à porter de main. Je lançais ma passe d’arme secrète. Parade, Parade, feinte de riposte, pied droit sur le côté, demi-tour, ma lame vers la tête, le coup était imparable, l’homme se retrouverait sous terre…

Et pourtant, je me retrouvais au sol… La maudite boue m'avait fait glisser et évidement j'avais manqué ma cible… Je roulais sur moi-même et me relevais…

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
Gaultier & Iseult a écrit:
[Caché dans un bosquet, le long de la route]

Ola, c'est qu'il en a fait une belle le mômee là. Il s'inquiète, et il a raison, car ce qu'il avait pris pour un jeu tourne vite en catastrophe, lorsqu'une de ses pierres atteint malencontreusement le naseau d'un des chevaux, qui se met à paniquer et à embarquer la charrette dans une folle embardée.

Vite, finir de lancer ses caillasses pour pas laisser de traces, ça fait plus "comme les grands", puis retourner l'air de rien jusqu'au campement, au cas ou les soldats décideraient de chercher l'origine de tout ça...
Quelques pierres lancées au hasard : p'tèt ben qu'elles toucheront quelque chose...

Alors que le marmot s'en retourne au campement, les cris au loin s'intensifient : des femes des hommes... et la pluie qui commence à tomber lourdement...

Le temps d'arriver au camp, que tout est déjà trempé : tout, pas tout à fait, car il n' ya plus ni Eddy ni Iseult... Fichtre où qu'ils sont?
La peur saisi les tripes : où peuvent-ils donc bien être?


C'est pas drôle Eddy!

A mesure qu'il appele, la peur grandit : où peut être passée la petiote, elle n'a pas plus aller bien loin! Les appels s'accroissent, alors qu'au loin les cris sont tus pas les grondements du tonnerre et le martellement de la pluie...
Ses recherchent semblent durer des heures, et ni le géant ni sa soeur ne semblent odnner signe de vie. Inquiet, il s'est muni d'un malheureux bout de bois comme arme... Et bientôt, enfin, il la retrouve, assise, tremblante sans doute autant de peur que de froid, sous un arbre...


Iseult!

Pas plus de temps avant qu'il ne la prenne contre lui, la serrant de toute la force de ses petits bras...

C'est moi... C'est Gaultier...

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
LeCadet a écrit:
[Au milieu de la clairière, sous une pluie battante]

Tout s'était déroulé tellement vite... On ne voyait pas à plus d'un pas tant la pluie était intense, et les éclairs traversaient le ciel, élairant la malheureuse scène de ce pauvre géant, dressé au milieu d'une forêt détrempée, ses énormes chausses pataugeants dans une terre boueuse, plus proche d'un lit de rivière que d'un sol meuble, et dont l'eau se serrait mêlée à des quantités de sang...

Derrière lui, il y avait trois cadavres, l'un décapité et les autres sérieusement amauchés... Tout était allé si vite... Les deux premiers qui décèdent rapidement, surpris par sa charge beuglante, alors que les deux derniers, ont tenté de s'organiser... Mais bien vite, les nerfs lâchèrent pour le dernier, lorsqu'il pris la tête de son compagnon sur le pied, décrochée nette du reste de son corps... Sa course sera difficile, et pourtant, il s'en sortira, car Deg' préfère de loin retrouver le petit que de s'occuper de lui...


G...Gaultier! J...j'arrive!

Ca y est, seulement quelques pas encore, la charrette est là, tout près... Mais, sortant de nul part, un homme apparait, comme un héros mythique, il s'interpose entre le géant et sa cible... Ca a l'air d'être le chef, ouais il est habillé comme un noble...
Pas le temps de converser que déjà le malheureux se jete sur Eddy, qui l'évite en renversant les épaules. Bien vite, c'est le combat de David contre Goliath, Eddy contre Louis, le brigand contre le noble, le père contre le père.
C'est l'affrontement de la force énorme de Deg', contre l'agilité et l'expérience du nobliaux, et chaque fois que la lame du géant rencontre celle de son adversaire, celui-ci tremble, secoué comme un arbre par un tremblement des Enfers.
Et chaque fois qu'il accélère, la brute ne manque que de peu d'être touchée par son maigrelet belligérant.

Le duel semble durer une éternité, leurs corps sont détrempés et les habits les collent, lutter dans la boue est difficile et chaque mouvement devient épuisant. Puis soudainement, le minuscule être face à lui se met à gesticuler en tous sens, face à un Deg' immobile devant se spectacle surprenant, de son adversaire qui semble danser. Un sourcil qui se lève, et c'est sa propre tête qui a failli tomber, sauvée seulement par la glissade de son adversaire dans la boue.

Le noble s'écrase au sol, et sans attendre, une chausse géante s'abat sur son visage, visant à éclater son nez comme un fruit trop mûr...
Le combat finit, le sang coulant sur ses mains depuis la garde de son arme, le géant tourne son regard vers la charrette... enfin, Gaultier... Reprendre son souffle, et y aller...

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Louis1er
Mélisende a écrit:
Le combat faisait rage, des bruits de métal s’entrechoquant. La peur commençait à paralyser la duchesse. Elle devait penser à son fils, mais son accouchement encore trop ressent l’empêchait définitivement de se mouvoir rapidement. Nashia refusait de bouger. Mais pour le salue de l’enfant il le fallait.

Nashia, je vous en prie, vous devez me laisser, l’enfant est votre seul préoccupation. Comme les votre qui vous attendent chez vous. Ne vous retournez pas courrez autant que vous pourrez et faites querir le seigneur Pyager. Filez.

C’est la qu’elles sortirent du coche. Nashia était toujours à coté d’elle. C’est la voix tremblante et dans un élan de panique que Mélisende hurla ces derniers ordres. La nourrice prit ses jambes à son cou et détala. La duchesse ne se doutait pas qu’ils étaient si proche, c’est la qu’elle vit cet affreux spectacle. Vision d’horreur : son époux au sol écrase par un pied gigantesques.. Elle se fit discrete se contentant d’étouffer un cris avec ses mains.

Le combat était terminé et le géant lui faisait face. Une foule de question lui traversa l’esprit en cet instant. La voiture était vide, louis semblait inconscient et couvert de sang, Eddo se trouvait on ne sait ou, Pygaer devait être à Bielle.
Elle recula machinalement entrant à nouveau dans le coche. L’homme faisait facilement 2 fois sa taille quand à son poids on n’en parle même pas.

Devant, ce spectacle martelé par la pluie elle se mit à regretter de ne pas voir prit le temps d’embrasser son fils avant de faire fuir Nashia. Elle ne prit pas la parole, Elle se contentait de le regarder ,le regard légèrement craintif.

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Louis1er
Nashia a écrit:
Nash regardait la Duchesse d’un air effarer comment pouvait elle laisser Mélisende aux mains de ce monstre. Mais elle avait raison. Son rôle c’était de s’occuper de l’enfant. De le protéger aussi. Elle sortit du coche en même temps que la duchesse et resta, un instant, paralysée par cet horrible spectacle ! Le Duc, les soldats… Et tout ce sang… Les yeux écarquillés d’horreur ce ne fut que les cris de la Duchesse qui la fit réagir. Sans vraiment en avoir conscience, elle c’était mise à courir le plus vite possible, la pluie ne lui facilitait pas la tache, elle trébuchait le visage fouetter par l’eau elle ne voyait pas ou elle allait mais elle courrait. Pousser par le cri de Mélisende, par la carrure de l’homme, par l’image du Duc au sol, par tout ce sang autour du coche, par les pleures d’Adrien que la course folle de sa nourrice gênait. Sans s’en rendre compte elle c’était engouffrée dans la forêt qui bordais la route.

La jeune femme ne ce retournait pas. Mélisende était encore là bas… Elle n’avait pas suivit ! N’avait même pas tentée de fuir ! Nashia s’en voulait d’avoir obéis. Mais qu’aurait elle put faire? Elle ne pouvait rien faire à part suivre les ordres, prévenir Pygaer. L’homme qu’elle avait vu faisait bien son double… De haut comme de large !

Protéger Adrien et prévenir Pygaer. C’était tout ce qu’elle pouvait faire désormais. Retourner a Bielle par tous les moyens ! Ne pas ce retourner mettre Adrien à l’ abri et pour ca il fallait courir !

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Louis1er
LeCadet a écrit:
Il ne restait que quelques mètres, entre le coche et le géant, qui tenait son épée pointe vers le sol, dégoulinante de sang, son bouclier qu'il avait rangé sur son dos et sa dague dans son fourreau. Derrière lui, il ne restait que des corps immobiles qui se noyaient dans un vrai marécage où se mêlaient sang et terre en une boue glissante, et, face à lui, que ce coche à la roue brisée, avec quelqu'un à l'intérieur...
Sans attendre, il fit les quelques pas qui restaient à parcourir, puis commençant à beugler il se saisit de la jeune femme tremblotante qui était à l'intérieur. Pendant un instant, son regard électrique croisa celui, vert et terrorisé de la jolie brunette, avant de la projeter sans délicatesse aucune hors du coche, jusque dans la boue.


Où qu'il est!

Sans chercher à savoir où elle avait pu atterrir, le géant regarda dans le coche.

Gaultier!

Il n'était pas là... Non, il n'était pas là où il avait espéré... Son regard s'embrasa davantage encore lorsqu'il se retourna, furax, vers la jeune femme qui rampaient au sol, dans la boue et le sang, comme elle pouvait. Toujours l'épée à la main, emporté par le chagrin d'avoir perdu Gaultier, le géant saisit la jeune femme par les cheveux, et la souleva de sol sans difficulté, beuglant davantage...

Z'avez f...fait quoi d...d'Gaultier! Z'en avez fait q...quoi ?!

La tenant en l'air, Eddy la secoua un peu comme un sac que l'on chercherait à vider, puis la laisser chuter lourdement au sol. Là, il remarqua que son précédent adversaire bouger encore : il était fatigué, et avait assez tué aujourd'hui, pis ça s'fait pos d'achever quelqu'un au sol.
Un instant, la brute tenta de réfléchir comme il pouvait à une solution : c'ets là qu'il remarqua la jolie brunette au sol, visiblement sonnée. Sans attendre, toujours l'épée à la main, il prit sous son bras libre la femme à la manière d'un sac de farine, et s'éloigna à grandes enjambées vers la forêt d'où il était sorti...

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Louis1er
Mélisende a écrit:
Elle faisait tout pour étouffer sa respiration. Inutile de dire qu’i est assez difficile avec un corset, de contrôler sa respiration surtout avec la peur au ventre. Elle est courte et saccadé. Hors avec ce genre de vêtement de torture, cette respiration est suicidaire. Elle essayait de se reprendre et de tout contrôler. Des respirations profondes et lentes étaient la clé.

Il était donc en face d’elle. L’épée souillée de ses exploits précédents. Il semblait furieux et perturbé. Ce ce n’était pas pour rassurer la duchesse. Cela le rendait imprévisible. Elle se sentit saisie. Son regard croisa le sien, à peine le temps de se rendre compte qu’elle pataugeait dans la boue sous la pluie. A plat ventre dans ce mélange digne d’un film d’horreur, elle ne se retourna pas. Elle écouta, le bruit de sa voix martelée par le bruit de la pluie. Que cherchait il à la fin ? Gaultier ? De tout sa mémoire, elle ne se souvenait pas avoir croisé une personne de ce nom. La fureur se faisait sentir dans sa voix t la duchesse se disait qu’il fallait mieux filer. Elle chercha à se lever sans succès. Ses vêtements imbibés d’eau et de boue faisaient ventouse. Sans oublié son ventre qui ne voulait plus répondre de rien. Elle tenta de ramper comme elle pouvait.

Elle sentit la douleur en premier, ses cheveux tirés vers le ciel. Et une énorme main sur son crane. Elle fut bien vite sortit de la boue. Se fut un léger cri qu’elle laissa échapper. Attrapant le bras du géant pour essayer de limiter la suspension.


Z'avez f...fait quoi d...d'Gaultier! Z'en avez fait q...quoi ?!

Je ne connais pas de Gaultier.

Il la laissa à nouveau tomber sans ménagement dans la boue. La pauvre duchesse n’était plus habituée à être traitée de la sorte. Plus depuis de bien nombreuses années, Elle espérait qu’il la laisserait tranquille, qu’il partirait, qu’il comprendrait qu’il ne trouverait pas ce qu’il cherchait ici. Elle vu louis bouger, image qui la réconforta, il était au moins en vie. Le géant semblait avoir remarqué, elle pria une seconde qu’il ne trouva pas utile de l’achever. Sa prière fut entendue, mais elle ne s’attendait pas à ca. Facon sac de farine elle fut saisie et emportée dans la forêt.

Il ne se souciait vraiment pas de savoir si les arbustes qu’ils croisaient étaient susceptibles de lui faire du mal, ce fut une succession de gifles florales, avant d’atteindre le campement du géant. Elle avait les joues rouges et balafrées. La duchesse était déjà à bout de force aussi elle ne chercha même pas à s’enfuir quand il la lâcha de nouveau, contre des racines d’arbre qui eurent le ton de lui briser les reins

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Louis1er
LeCadet a écrit:
Enfin sous les arbres, les pas du géant s'accélèrent, celui-ci s'enfonçant dans l'épaisse végétation, évitant comme il peut les branche sans pour autant prendre gare à la jeune femme, qui traîne dans les ronces à chaque fois que son bras en survole un tapis.
Après quelques minutes, enfin, le géant et son paquet atteignirent la clairière. Et là, ce fut un choc : le petit bonhomme était là, assis devant la pauvre Iseult qui tremblait de peur autant que de froid, et qu'il tentait de réchauffer.

Sans doute autant de surprise que de bonheur, le géant relâcha sa prisonnière, qu'il laissa chuter au sol, au milieu de la boue. Il ne daigna pas lui accorder un regard, et il ne remarqua pas qu'elle n'avait plus l'une des amulettes qu'elle portait au cou avant, sans doute perdue pendant leur course folle dans les ronces et la végétation, pas plus qu'il ne remarqua que la tenue entière de la jeune femme était déchirée, son visage griffé par les branches qu'elle avait pris... En effet, le géant était trop occupé à s'élancer vers les deux marmots, délaissant son épée au sol pour les saisir dans ses énormes bras musculeux, les souvelant de sol en s'agenouillant devant eux.

Fait étrange, ses yeux se remplri de larmes alors qu'il serrait les deux marmots...


J...j'croyais que j'vous avais perdu... les enfants... p..prenez vos affaires, on file!

Il les relâcha, essuyant inutilement ses yeux humides d'un revers de sa manche détrempée par la pluie et le sang, s'en étallant davantage sur son visage mal rasé, puis il alla récupérer son épée, qu'il rangea au fourreau avant de rejoindre les marmots qui avaiet récupérés leurs maigres cabats.

On y va les jeunes, v...vite!

Ils firent quelques pas, Gaultier tenant la petite par la main, avant que le jeune fasse remarquer :

Et la Dame Eddy? Son petit doigt était tendu, et le géant regardé où il indiquait : en effet, au milieu de la clairière il avait oublié le corps immobile de sa victime. En deux pas, il fut à sa hauteur, la saisit sous son bras comme précédemment, puis rattrapa les petits...

F...Filons !

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Louis1er
Gaultier & Iseult a écrit:
La petiot tremblait, de froid comme de peur, et Gaultier entreprit de frotter vigoureusement ses épaules pour la réchauffer la rassurer, ne cessant pas de lui parler pour qu'elle sache qu'il était là, toujours auprès d'elle.

T'en fais pas, il va arriver, il est pas loin j'en suis sûr, t'en fais pas...

Mais au fond, le petit bonhomme craignait autant pour Eddy que pour eux : ce n'était pas dans ses habitudes de disparaître ainsi, raaaah il s'en voulait le petiot, si seulement il était pas parti faire l'idiot le long du sentier, Eddy n'aurait pas disparu, Iseult n'aurait pas paniqué, et ils ne seraient pas dans cette situation...

Soudainement, des craquements, derrirèe lui, dans la forêt : pas le temps de se retourner, etc'ets un géant au souffle court qui débarque d'entre les arbres, trempé comme s'il eut été baigné dans un lac, et portant un étrange fardeau sous le bras, charge qu'il laisse chuter lourdement au sol pour se précipiter vers eux, les soulevant du sol comme de vulgaires feuilles, les excuses du môme se mêlants aux pleurs du géant...


J'suis désolé Eddy, je voulais pas j'suis désolé...

Rapidement, le géant ordonne de réunir les affaires, ce qui est vite fait pour les mômes qui n'ont que peu, puis il est temps de partir. Alors, Gaultier s'immobilisa, tendant son doigt vers le tas informe que la brute avait laissé chuter au sol, et que Gaultier avait identifiée comme étant une femme...

Et la Dame Eddy ?

Alors que leur protecteur va chercher le paquet crasseux, Gaultier resserra doucement son étreinte sur la main de la petite, toujours tremblotante de froid, avant que tous trois ne s'élancent le long d'un sentier...

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Louis1er
Gaultier & Iseult a écrit:
La petiot tremblait, de froid comme de peur, et Gaultier entreprit de frotter vigoureusement ses épaules pour la réchauffer la rassurer, ne cessant pas de lui parler pour qu'elle sache qu'il était là, toujours auprès d'elle.

T'en fais pas, il va arriver, il est pas loin j'en suis sûr, t'en fais pas...

Mais au fond, le petit bonhomme craignait autant pour Eddy que pour eux : ce n'était pas dans ses habitudes de disparaître ainsi, raaaah il s'en voulait le petiot, si seulement il était pas parti faire l'idiot le long du sentier, Eddy n'aurait pas disparu, Iseult n'aurait pas paniqué, et ils ne seraient pas dans cette situation...

Soudainement, des craquements, derrirèe lui, dans la forêt : pas le temps de se retourner, etc'ets un géant au souffle court qui débarque d'entre les arbres, trempé comme s'il eut été baigné dans un lac, et portant un étrange fardeau sous le bras, charge qu'il laisse chuter lourdement au sol pour se précipiter vers eux, les soulevant du sol comme de vulgaires feuilles, les excuses du môme se mêlants aux pleurs du géant...


J'suis désolé Eddy, je voulais pas j'suis désolé...

Rapidement, le géant ordonne de réunir les affaires, ce qui est vite fait pour les mômes qui n'ont que peu, puis il est temps de partir. Alors, Gaultier s'immobilisa, tendant son doigt vers le tas informe que la brute avait laissé chuter au sol, et que Gaultier avait identifiée comme étant une femme...

Et la Dame Eddy ?

Alors que leur protecteur va chercher le paquet crasseux, Gaultier resserra doucement son étreinte sur la main de la petite, toujours tremblotante de froid, avant que tous trois ne s'élancent le long d'un sentier...

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Louis1er
Nashia a écrit:
. [ 3 heures plus tard, Bourg ].



    Combien de temps avait-elle courut ? Depuis combien de temps était elle partie ? Elle ne savait pas ! Nashia continuais de courir, trempée jusqu’aux os, pensant à protéger l’enfant plus qu’elle-même, dans la foret elle avait souvent trébuchée, elle s’était rattrapée d’un bras tenant dans l’autre Adrien . L’orage n’avait pas cessé, elle avait arrêté de courir dans ses bras Adrien c’était calmé, elle n’en pouvait plus. La jeune nourrice ne tenait pas à le gêné en continuant de courir alors elle avait adoptée une marche rapide… Son regard paniqué cherchait vainement une présence humaine…
    Elle était épuisée, frigorifiée, son seul désir, s’assoir, se réveiller ça ne pouvait être qu’un cauchemar ! Pourtant l’urgence la poussait en avant. Le cri de la duchesse, le sang par terre, le duc au sol et la carrure de l’homme ! Adrien gigotant dans ses bras...
    Et là elle aperçue les murailles reprenant sa course elle arriva en trombe ! Elle ne ressemblait plus a rien il fallait l’avouer ! Ecorcher dans sa fuite, en pensant à protéger l’enfant plus qu’elle-même sa robe couverte de boue, déchirée par endroit, tremper jusqu’au os, son regard paniquée ses cheveux défait tremper, ses joue rosit par sa fuite, son teint livide, lui donnait l’air d’une folle. Et là son cœur fit un bond ! Elle n’aurait pas a le chercher il était la ! Courant elle attrapa la manche de Pygaer. Ses yeux se remplir de larmes de nouveau. Mais plus de soulagement que de peur maintenant. Elle n‘arrivait pas a parler, le souffle trop court pour pouvoir dire une phrase cohérente.



    « Py… Pygaer… le Duc… C’est le duc… Les chevaux ! Le géant ! Mélisende ! Enlever… »


    Là, était bien les seuls mots qu’elle pouvait prononcer sur le coup. Incapable de formuler ses idées elle divaguait complètement. Elle regardait Pygaer incapable de prononcer un mot de plus. Elle tremblait de froid, de peur, de fatigue… Dans ses bras Adrien pleurait doucement. Nash le berça sans s’en rendre compte…

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Louis1er
pygaer a écrit:
Du haut des remparts, Pygaer avait vu s'approcher une silhouette d'une personne qui lui semblait famillière. Quand elle s'approcha de lui, il la reconnut et il sut de suite que quelque chose de grave était arrivé. Devant, lui se trouvait une Nashia trempée, les cheveux en bataille, la robe déchirée et le regard fou, berçant l'héritier du Duc dans ses bras

Avant qu'il n'eut le temps de lui poser une question, elle s'agrippa à lui:

/SPAN>
Citation:

« Py… Pygaer… le Duc… C’est le duc… Les chevaux ! Le géant ! Mélisende ! Enlever… »


Malgré l'incohérence de ses paroles, Pygaer comprit immédiatement que l'heure n'était pas aux vaines questions mais à l'action. Il mena doucement la nourrice totalement désemparée jusqu'à ses quartiers, hélant un garde en lui intimant l'ordre d'aller chercher un médicastre et en appelant un autre en lui commandant de rassembler le plus d'hommes possible.

Après avoir reçu quelques renseignements supplémentaires d'une Nashia totalement déboussolée, il fonça dans la cour, enfourcha Noireaud et partit à bride abattue à la tête d'une petite troupe d'hommes. Ils chevauchèrent ainsi pendant quelques temps et arrivèrent sur les lieux du désastre.

Pygaer avait déja vu bien des choses, mais ce qu'il vit là devant ses yeux lui donna une drôle d'impression dans les entrailles. Le spectacle était effrayant. Partout des cadavres de soldats jonchaient le sol, là le cou brisé, là les entrailles à l'air. Le fier carosse du Duc semblait avoir été la proie d'une rage sans bornes, les portières arrachées, les flancs enfoncés. Descendant de cheval, Pygaer ordonna aux hommes de sécuriser le périmètre puis se mit à la recherche du Duc et de la Duchesse. Fouillant dans les décombres, Pygaer sentit son inquiétude grandir lorsqu'il découvrit des traçes de sang dans ce qui restait du carrosse. Il scruta du regard les environs et découvrit bientôt le Duc affalé à terre totalement inanimé. Appellant l'infirmier de service, il courut vers le Duc. S'agenouillant près de lui, il constata que ce dernier était vivant certes mais en piteux état.

Il secoua doucement le bras de son suzerain et ami Voyant celui-ci reprendre connaissance, Pygaer en profita pour l'assaillir de questions[/i]

Votre Grâce, comment allez-vous? Que s'est-il passé? Qui a osé vous attaquer? Qui a tué nos hommes. Etaient-ils nombreux ? Et où est Dame Melisende... nous ne la trouvons nulle part











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