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[RP Ouvert] La Poste — Parce qu'on le vaut bien.

Jean.de.cetzes.
Citation:


      À A-A.


    Ce redoublement de la première lettre de notre alphabet pourrait faire penser à un rire, qualifiable de sarcastique, d'ironique, ou de sympathique. De bien des manières en fait tant recevoir de vos nouvelles me procure un sentiment confus en tout point, d'autant que vous me proposez le soutien de votre lame. Non le votre d'ailleurs, je le note bien.

    Si en moi aujourd'hui vous croyez il n'en fut toujours pas de même, surtout pas lorsque vous m'abandonnâtes, seul, à Toulouse. Vos félicitations néanmoins me touchent. Non pas que j'attende à ce que l'on me "caresse dans le sens du poil". Dans mon souvenir d'ailleurs vous le caressiez fort bien, mais à rebours. La sensation curieuse n'était pas désagréable, mais à la longue, dans un sens, comme dans l'autre, on s'en lasse. L'habitude a souvent cet effet.

    Quoiqu'il en soit de vos chaises je ne voudrais vous priver, car je suppose que vous dansez chaque jour avec, maintenant que vous avez retrouvé le blond poète, si la description de mon maitre espion n'était point erronée. J'aurais pu en ce temps le faire arrêter en Lyonnais-Dauphiné et le faire saigner dans une geôle, mais j'avais cru en nous. Fût un temps où je l'ai âprement regretté.

    Aujourd'hui l'amertume est passée. Mais comprenez que je ne saurai le côtoyer et le voir à vos côtés. Je ne nourri aucune rancune, mais je me connais. Si de l'eau a coulé sous les ponts, je ne peux garantir qu'un soir de fâcherie - car vous savez d'avance que notre mutuelle présence tournerait ainsi une nuit sur deux - je ne le fasse, lui, couler sous un pont.

    À vous de voir.

      Jean.

      Donnée et scellée le 24e jour du mois de Mars 1462.


_________________
Astana
- « Ho. »

Bouche-bée, la danoise.

- « Bon sang de... »

La grisaille vrille d'office vers la cruche de vin. Les restes de la St Patrick lui joueraient-ils des tours ?
Une réponse était effectivement attendue. Mais jamais, ô grand jamais, elle ne l'aurait pensée de cet acabit.


- « C'est pas possible. »

Non. Tu n'as pas écrit ça, Jean. Non. C'est une blague. Mes yeux ne lisent plus droit, je dois délirer.
Pour vérifier sa théorie, elle laisse passer la nuit. Et constatant qu'au réveil, la lettre n'a pas changé :


- « Merde. »

En dépit de quelques éclats de rire aussi nerveux que coupables, le glaçon parvient à écrire ceci.


Citation:

    À Vous, Majesté,


    Qui dites que c'est à moi de voir,


    Je me demande : où voulez-vous en venir, exactement ? L'époque où je parvenais à lire entre vos alambics n'est pas si lointaine, et pourtant j'ai bien peur d'avoir mal interprété vos propos. Voyez, j'ai cru l'espace d'un instant que vous imposiez une condition à ma présence à vos côtés : l'abandon de ce blond que vous pensez poète. Voyez ! Il semblerait que je ne sache plus vous déchiffrer, sans doute est-ce dû au manque de pratique. Parce que vous ne feriez pas ça, n'est-ce pas ? Alors éclairez-moi.

    Remarquez, il apparaît que votre lecture ait été quelque peu troublée également. Vous ne devez plus savoir me lire non plus. Parce qu'autrement vous auriez compris que mon soutien personnel allait de pair avec celui de ma lame. Imaginant difficilement l'un sans l'autre vous concernant. Et ce, en acceptant notre passif commun, malgré les chopes volantes, les horreurs, et les trous dans les robes. Je sais faire la part des choses. Vous savez comme moi que dans le cas contraire, je ne me serais pas risquée à vous écrire. Je ne suis pas sénile.

    Oubliez donc l'excuse des chaises. Qui est fort mauvaise. Car je n'ai jamais dansé avec aucune d'entre elles. Ma relation avec ce type de mobilier étant purement platonique.

    Néanmoins, si cela peut tranquilliser vos pulsions meurtrières : je ne vois pas ce que viendrait faire Johannes sur un champ de bataille, sachant qu'il n'est guère ferrailleur, et que je doute qu'il s'y pointe juste pour le spectacle des boyaux transpercés et des visages meurtris. De fait, sa présence à mes côtés s'en trouve réduite, tout comme le sont vos chances de le côtoyer. Magnifique, non ? Inutile de compliquer les choses. Épargnez-nous un combat duquel nous sortirions tous les deux lésés. Car vous n'aimez pas perdre, et moi non plus.

    *Rature* Épargnez-moi votre potentiel régicide. *Rature*

    Et puis vous êtes bien orgueilleux de penser que j'accepterai encore de vous rencontrer à la nuit tombée, dites.


      Astana.



Non, la dernière phrase n'était pas nécessaire, Sa Blondeur. Peut-être qu'il ne pige plus ce genre d'humour...




... certes inapproprié.




* [Passage entre les deux *ratures* bien entendu illisible.]

_________________
Jean.de.cetzes.
Citation:


      Alla stana.


    Troublée mais troublante. Perturbée et perturbante. Effarouchée et effarouchante. Tant de mots, en ces deux sens pourraient vous caractériser. Ahurissante, aveuglante, bouleversante, bousculante, déconcertante, Grosse rature façon pâté *attendrissante.*, embarrassante, éblouissante, embrouillante, détraquante. Oui. Bien des participes naviguant entre présent et passé vous distinguent de toute autre personne.

    Sans doute aussi mal-comprenante, mal-entendante et mal-voyante à vos heures sombres et/ou alcoolisées. J'ai encore le souvenir de . . . *Les points s'étirent sur la longueur, mais rien ne fut raturé, indiquant un changement de phrase* . . . la lésion que vous m'avez laissé. Je n'ai aujourd'hui guère à perdre sauf la vie. Je n'aimerai pas ce moment, mais contre on ne peut lutter. Ainsi les jeux sont faits et entendus d'avance. Vous pourriez bien me combattre, cela n'y changerai rien. Je n'ai rien à perdre avec vous, puisque déjà je vous ai perdu.

    Mais puisque vous ne voyez pas ce que l'adorateur des chaises viendrait faire avec vous tout va bien. Venez. Seule. Ou plutôt avec votre épée puisque vous souhaitez la mettre à ma disposition. Ayez cependant conscience qu'il s'agit d'un engagement envers la couronne de France et qu'on y revient pas au premier mouvement d'humeur, comme sur l'engagement de porter robe suite à un pari perdu.

      Jean.

      Donnée et scellée le 24e jour du mois de Mars 1462.



                                            P.S. : Pourquoi la nuit ? Parce que vous êtes une chauve - souris.
                                            Je ne l'ai pas oublié, même si vos tifs ont sans doute repoussé.


_________________
Floriantis.


Le parchemin est quelque peu froissé, de l’eau a légèrement vieilli la missive par endroit et une odeur saline l’accompagne.
Il a comme destinataire Asphodelle di Cesarini.


Citation:

En mer quelque part, fin février


Aspho,

Les flots ne m'ont pas englouti, aucune femme ne m'a pendu au bout d'une corde et si j'ai bien vérifié, il ne me manque rien que j'aurais perdu en mer.

Tu ne peux savoir combien te lire me fait chaud au cœur, tant j'ai la sensation d'être au bout du monde même si n’avoir que la mer comme point d’horizon me rend heureux et m’apporte cette sérénité que j’avais perdu depuis tant de mois, surtout depuis la disparition de ma soeur. Tu me manques et même lorsque tu râles tu me manques c'est incroyable et j'en arrive à me demander si je ne deviens pas fou à force d'être secoué par les vagues. Nous avons quitté les côtes normandes depuis des semaines et nous sommes vers des terres nommées Irlande, à guerroyer. Les combats sont fréquents, et de nombreux débris flottent sur la mer. J’ai réussi à en récupérer quelques uns avec l’aide d’un grand costaud qui fait plus de 6,5 pieds qu’il m’a dit et qui me tenait pour ne pas que je finisse à l’eau. Heureusement, Harpège n’a rien vu.


Vers le milieu du mois de mars

C’est une missive journal que je t’écris car je n’ai pas eu le temps de la finir.
Je suis depuis quelques jours à Honfleur, j’attends le reste de l’équipage et nous prenons ensuite la route vers le sud, avec un passage par Toulouse avant de rejoindre l’autre mer. J’espère que tu seras là. Quelle drôle de sensation d’être à terre après des semaines en mer. Je crois que définitivement, j’aime la vie à bord, cette sensation étrange lorsqu’on arpente le pont qui bouge doucement et inlassablement. J'aime à monter sur la hune, je trouve que c'est un bon endroit pour laisser naviguer ses pensées au rythme du bateau, mais nous avons essuyé quelques grains et il ne faisait pas bon de s'y tenir au risque de finir à l'eau.
On ne doit pas toucher aux mouettes ni aux groenland. Un vieux marin, celui qui m'a donné ma boussole, m'a dit que chaque mouette portait l'âme d'un marin disparu en mer. Et les marins n’aiment pas apercevoir des cormorans, ils sont signe que la pêche sera maigre surtout si des mouettes le suivent. On dit aussi que son cri annonce la dégradation du temps.
Je vois que tu as eu de quoi t’occuper durant ta fonction de bailli que je connais un peu pour avoir aidé quelque ami. Aujourd’hui tu as du finir, je ne sais plus trop quel jour du mois nous sommes je l’avoue, mais te connaissant je me doute que tu ne dois pas rester sans rien faire.


Quelques jours plus tard

Je suis resté malade de nombreux jours et j’avais laissé cette missive de côté, ayant à peine la force d’étudier. Aujourd’hui je vais bien mieux et je dévore mes livres de navigation et j'en ai d'ailleurs fini un autre hier soir.
Je me doute que tu dois travailler à cette église et à d’autres choses, je sais qu’il n’est nul besoin de dire ce que l’on fait pour le faire et j’aime à agir pareillement.

Alors quoi que tu fasses, prends quand même le temps de penser à toi et au blondinet qui vadrouille ou navigue mais n’est jamais bien loin de monsignor par la pensée. J'ai d'ailleurs toujours sur moi ton cadeau d'une certaine couleur. Et si tu ne me reconnais pas lorsque je serai face à toi, à cause de ce hâle que les embruns et l’air marin déposent sur les visages, les senteurs salines que je traine toujours avec moi ne te tromperont pas.


Que le Très Haut te garde

Je t’embrasse







Volkmar
Citation:
Sieur Parotech.

    L'absence actuelle du procureur n'a pas permis de traiter votre plainte. D'où viennent les délais dans la réponse à votre demande, car le conseil actuel fonctionne à 7, et la gestion des affaires urgentes et quotidiennes priment.
    Toutefois, je devrais vous objecter trois choses.
    La première, c'est que la réforme prônée par Maleus est aristotélicienne. Il me semble donc que l'article que vous citez manque de précision.
    Ensuite, ce papier a été affiché dans d'autres provinces de France sans donner lieu à procès.
    Pensez vous que la tolérance revendiquée par Toulouse s’accommoderait d'un excès d'intégrisme ? A preuve du contraire, l'annonce affichée n'a pas troublé la paix civile ou religieuse.
    Ce, d'autant plus que Toulouse ne dispose plus ni de curé, ni d'évêque.

    Cependant, si toutefois vous souhaitez maintenir votre plainte, sachez que celle ci doit être opposée au prévôt, afin qu'enquête soit menée par le comté avant la mise en procès.

Cordialement

Volkmar Glasmaler, Commissaire au Commerce de Toulouse.

_________________
Astana
Citation:

    Jean,


    La guerre vous aurait-elle attendri le palpitant ? Êtes-vous blessé, vos jours sont-ils en péril pour que vous m'écriviez pareilles choses ? Car si l'on n'échappe pas à la mort, seule son arrivée imminente pousse généralement à s'épancher de la sorte. Jamais auparavant vous ne m'avez autant complimentée et rabrouée en une seule missive. Ce qui soulève une question de prime importance : m'écrivez-vous cela comme une confession, ou bien dans l'espoir un peu masochiste que je verse du gros sel sur une plaie manifestement toujours à vif ?

    ...

    Mais soit. Je viendrais si tel est votre désir. Néanmoins, ma lame ne vous sera pas d'une grande utilité cette fois-ci, je le crains. *Ni pour les semaines/mois à venir, puisque mon ventre n'a de cesse de grossir.* Enfin, vous comprendrez pourquoi si d'aventure nous parvenons à nous rencontrer avant que vous ne vous vous fassiez trouer l'épiderme - ou le turban. Je viendrais, pour le gros sel ou tout simplement parce que personne ne doit vous caresser le poil à rebours. Ce qui n'est pas la même chose, vous en conviendrez. Bien que j'admette être douée pour les deux.

    Si je suis capable de foutre mon égo de côté, j'ose espérer que vous serez capable d'en faire de même. Et d'accepter que mon engagement envers votre Couronne attende un peu. C'est que je n'ai pas envie de finir en taule à cause d'une incompréhension, ou d'une rancœur ruminée, voyez ?


      Astana.

_________________
Jean.de.cetzes.
Citation:


      Астана,


    Attention vous vous attendrissez. Vous avez oublié le Majesté qui empêche la réminiscence d'un passé presque lointain et qui n'a guère besoin de sel, gros ou non, pour révéler ses saveurs. La sauce grand veneur n'en a jamais eu besoin.

    Mais seriez vous jalouse à l'idée que d'autres puissent à votre instar pratiquer le rebrousse poil sur ma personne pour ainsi venir l'empêcher ? Vous me laissez songeur.

    D'autant que ne comprends pas le sens de votre missive où vous affirmez que votre lame ne me sera d'aucune utilité alors que vous écriviez précédemment vouloir la mettre à ma disposition.

    Contradictoire. Oui. C'est sans doute le qualificatif qui vous va encore le mieux. Mais puisque je verrai, soit. Nous ne sommes plus à une incompréhension près. Venez donc et nous verrons ce qu'il y a matière à "ruminer".

      Jean.

      Donnée et scellée le 29e jour du mois de Mars 1462.


_________________
Astana
Citation:

    Jean,


    Vous voulez que je vous donne du Vous ? Très bien. Soyez par la présente exaucé.

    Majesté, vous devriez savoir depuis le temps que la jalousie n'a jamais été mon fort. Ayant toujours trouvé l'exercice fastidieux, et éreintant plus que de raison. Il y a, je crois, suffisamment de maux rongeant mon âme, pour que je n'aille rajouter celui-ci dans le lot. Nulle jalousie donc, ni dessein inavouable. Qui plus est, Majesté, vous êtes le premier à m'avoir reconnu des talents en matière de caresses à rebours. Vous ne pouvez donc pas m'en vouloir de considérer cette faculté comme acquise.

    Votre Somptueuse Grandeur devrait peut-être me relire de temps à autre. Ainsi, mon Roy, vous auriez compris qu'un contretemps - et pas des moindres - m'empêche présentement de mettre pleinement ma lame à votre disposition. Vous comprendrez pourquoi, et s'il le faut je vous l'expliquerai avec de vrais mots. Qui résonneront dans vos royales esgourdes, et peut-être même jusque sous votre souverain turban. D'ici là, armez vous de patience, ou de gros sel. Je prends la route dès demain.


      Astana.

_________________
Satyne
Le bout de la plume chatouillait une mine pensive. L'heure était à l'écriture.

Citation:
A Bobinir Capebeige,
Mon Epoux par la Sainte-Boulasse,

D'aussi loin que porte mon souvenir je vous vois accrocher à votre cornet, rivé à l'écoutille, et prenant plaisir à déformer mes propos. Certains diraient séniles. D'autres taquins. Mais le temps passant je m'attendris malgré moi sur des brides d'histoires qui datent. Vous me manquez. Alors je vous écris. Pour avoir des nouvelles de cette ville qui fut mon "chez moi" pendant de longs jours. Et surtout pour avoir des nouvelles de vous.

J'ai souhaité l'annexion d'Annecy à Genève, et nous avions oeuvré avec votre fils pour que cela arrive. Ce n'était pas par manque de considération pour la Savoie. C'était pour l'aventure. Car alors nous en manquions cruellement, et l'ennui qui taraudait nos esprits fatigués nous jetaient sur les routes. En travers des mairies. Dans les hautes tours des châteaux.

J'ai du avoir mon saoul de batailles. De déceptions aussi. J'ai fini par vomir une bile amère sur de nouveaux chemins et ils m'ont conduit à la rédemption que je cherchais. Je suis arrivée en Toulousain il y a de cela une année, grâce à la bienveillance de quelqu'un qui a du mal à le reconnaître. Une femme à qui je voudrai ressembler.

J'y travaille.

Mon inconstance s'est transformée en assiduité, et je suis devenue Bailli du Comté. En charge des finances. Je m'éduque. Bonne petite conseillère. L'envie de fuir m'a un peu quitté.

Et vous ? Toujours aussi sourd ? Médecin fou à vos heures ? Suis-je votre seule femme à l'heure actuelle ? Dites moi ! Comment vont Guilhem ? Colineau ? Eglantina ? Nashia et Iris ? Et Annecy ?

Dans l'attente de vous lire je vous souhaite le meilleur,

Bien amicalement,

Satyne
O.M.



Citation:
A la brune,

J'avais plaisir à croire que nous faisions une paire. Et par ce simple fait tu me manques. Je suis sur Castres en Toulousain. Si l'envie t'en prends, ramène ta trombine que je te noie de bières.

Je te supplierai presque de venir me chercher si j'étais déraisonnable. Mais la raison est bien la seule chose qu'il me reste.

Que deviennent Silvi ? Goha ? Ombrette chérie ? La p'tite rousse ? le papy de mon coeur ? Et la bleusaille ? Que fais-tu ? Où es-tu et où vas-tu ?

J'ai besoin de nouvelles.

Bien à toi,
L. D. Satyne
Nyxx


Chère Quiche ..

Je souhaite te féliciter chaleureusement suite à ta ré-élection en bonne gardienne
de notre cité chaurienne ..

Citation:
1. Quiche_de_lorraine : 54.4%
2. Clemence_isaure : 43.9%
3. Amhal : 1.8%


De même, je te souhaite sagesse et patience dans la continuité de l’exécution
de ta belle tache ..

Notre ville, Castelnaudary avec toutes les autres villes de Tolosa, forment la base
de notre beau Comté où il fait bon vivre ..

Qu'elle baigne dans la prospérité, qu'elle puisse continuer à croître dans le bonheur de ses habitants,
bonheur que tu as toujours su préserver dés les premiers instants de ton engagement,
et ce dans le respect et la bonne humeur ..

Amicalement,

Nyxx ..



_________________
















Theodule
Depuis de longs moys l'idée avait germé en la blonde tête du marchand. Plusieurs moys s'écoulèrent avant qu'elle ne prenne la forme de débats et discussions en taverne. De la taverne, ils avaient gagnés les bancs du château Trompette. Rassembler volontaires et organisateurs, trouver nom du festival, obtenir soutien de la maison du Porc-Epic, dessiner l'emblème du Festival tout n'était pas terminés. Pour l'heure, le marchand à peine arrivé, envoya missives aux bourgmestres et au Coms.


Citation:
Au Coms de Tolosa, sieur Ouranos
A la Duchesse de Guyenne, dame Clytie de Kilkenny
De Theodule de Cassel, humble marchand


Que votre jour soit bon,

Ce jour je rédige humblement cette missive ...
Je rêve qu'un jour la devise du Grand Festival de la Couronne résonne à nouveau car "qu’importe la victoire, que le spectacle soit beau !" Je rêve qu’un jour, même sur les terres du Comté de Tolosa retentissent cris d'une foire, appels des jongleurs, notes des musiciens et agitations pour des épreuves telles que des joutes, des duels à l'épée, des combats de bâton, du tir à l'arc, lancer de haches ... Je un rêve qu’un jour sur les collines toulousaines les armagnacais, les guyennois, languedociens, les rouergats et tous les toulousains pourront s’asseoir ensemble à la table du Petit Festival de la Couronne. Je rêve que joie, bon esprit soient révélés lors de ce Festival pour honorer les couleurs de chaque cité participante.

Telle est mon espérance. C’est la foi avec laquelle je vous écris humblement ce jour. Avec cette foi et votre bon accord, nous serons capables de relever des cendres le prestigieux Grand Festival de la Couronne. Avec cette foi, nous serons capables de transformer les discordes du Comté de Tolosa, du Duché de Guyenne en une superbe symphonie de fraternité. Et sachant qu’un jour, nous participerons tous au Petit Festival de la Couronne. Ce sera le jour où tous les clairons et chants célébreront l'ouverture du Festival. Et, si Toulouse, Guyenne doivent être une grande province, que cela devienne vrai.

Que Déos et Sainte Illinda vous gardent,
Faict en la ville de Toulouse le 19ième du moy de Mars de l'an d'Horasce 1462
ToC

Citation:
A la Comtessa d'Armanhac e Comenge, dame Firielle de Castel Vilar de la Duranxie
A la Comtess du Languedoc, dame Ulrika Lieselotte von Stern
Au Coms de Roergat, sieur Twa_Corby de Pereilhe dict le Renard
Au Coms de Tolosa, sieur Ouranos
A la Duquessa de Guiana, dame Clytie de Kilkenny
De Theodule de Cassel, humble marchand


Que votre jour soit bon,

Ce jour je rédige humblement cette missive ...
Je rêve qu'un jour la devise du Grand Festival de la Couronne résonne à nouveau car "qu’importe la victoire, que le spectacle soit beau !" Je rêve qu’un jour, même sur les terres des Comtat d'Armanhac e Comenge, du Lengadoc, de Roergat, de Tolosa et du Duché de Guiana retentissent cris d'une foire, appels des jongleurs, notes des musiciens et acclamations lors d'épreuves telles que des joutes, des duels à l'épée, des combats de bâton, du tir à l'arc, lancer de haches ...
Je un rêve qu’un jour sur les collines les armagnacais, les guyennois, languedociens, les rouergats et tous les toulousains pourront s’asseoir ensemble à la table du Petit Festival de la Couronne. Je rêve que joie, bon esprit et paix soient révélés lors de ce Festival pour honorer les couleurs de chaque cité participante.

Telle est mon espérance. C’est la foi avec laquelle je vous écris humblement ce jour. Avec cette foi et votre bon accord, nous serons capables de relever des cendres le prestigieux Grand Festival de la Couronne. Avec cette foi, nous serons capables de transformer les discordes des Comtés d'Armagnac et des Comminges, du Languedoc, du Rouergue, de Toulouse et du Duché de Guyenne en une superbe symphonie de fraternité. Et sachant qu’un jour, nous participerons tous au Petit Festival de la Couronne.
Ce sera le jour où tous les clairons et trompettes célébreront l'ouverture du Festival. Et, si Armagnac et Comminges, Languedoc, Rouergue, Toulouse, Guyenne doivent être des grandes provinces, que cela devienne vrai.

Que Déos et Sainte Illinda vous gardent,
Faict en la ville de Toulouse le 19ième du moy de Mars de l'an d'Horasce 1462
ToC
Citation:
Au maire d'Albi, dame Franca
Au maire de Castelnaudary, dame Quiche de Lorraine
Au maire de Castres, sieur Wilfred
Au maire de Foix, dame Xena de thoisy
Au maire de Tolosa, dame Velenda
De Theodule de Cassel, humble marchand


Que votre jour soit bon,

Ce jour je rédige humblement missive pour vous demander aide dans l'organisation d'un Festival sur les terres occitanes rassemblant participants sous la bannière de leur ville. Joie, bon esprit et concorde entre tous seront les maîtres mots car "qu’importe la victoire, que le spectacle soit beau !"

Ce Festival se déroulera en terres toulousaines pour sa première édition. Les terres organisatrices changeront au gré des éditions suivantes. Ce Festival comportera 5 épreuves ouvertes à tous et à toutes. Ces épreuves seront des joutes nautiques, des duels à l'épée, des combats de bâton, du tir à l'arc, des lancers de haches. Ce Festival a besoin de l'aide des maires, des animateurs pour se montrer digne successeur du Grand Festival de la Couronne.

C'est pourquoi je vous demande aide pour sa promotion envers vos concitoyens, pour son organisation à trouver responsable d'inscription, arbitres et autres fonctions. Sans vous, cette première édition du Festival Occitan ne sera pas une réussite.

Que Déos et Sainte Illinda vous gardent,
Faict en la ville de Toulouse le 7ième du moy de Avril de l'an d'Horasce 1462
ToC

_________________
Satyne
Citation:
Salutations Chère Capitaine,

J’suis pas dans les vaches que je te vends. Je ne peux donc pas prétendre de leur bonne santé quand elles arrivent chez toi. Mais j’parie que tu les as poussé au cul pour qu’une en crève aussi vite. Faut les traiter avec amour tes bestioles. Pas comme des trouffions de soldats !

Bien cordialement, (pas trop non plus),
Sat’

(et au lieu de te lancer dans l'élevage, lance toi plutôt du haut des remparts !)
Maleus
Citation:


Cousine,

Je te savais pressée d'expulser le petit être dans ton ventre mais je n'aurais imaginé que tu fusses entourée d'autant de marmots.

Je me doute que la découverte d'un petit frère t'ait remuée et je compatis mais fais attention à ne pas te transformer en nourrice. Moi qui espère tant que tu n'ai pas de place au conseil comtal, il ne manquerait plus que tu restes coincée ici pour garder un œil sur la nouvelle génération.

Et parlons-en de la génération future... Non content d'être un petit merdeux, ton frère ne cache pas sa foy en des idoles païennes du grand nord pourtant délaissées depuis des siècles par ton peuple... Imagine ma tête quand il m'a parlé de ses "dieux", de son Thor et pour en rajouter une couche a nommé les saintes écritures, je cite : "Le livre des verrues."

Mais ce n'est pas tout, et je m'amuse à imaginer ton visage quand tu liras ceci, il veut semble t'il devenir chevalier ! Oui tu as bien lu, chevalier.

Je pense que tu auras fort à faire avec ce jeune coq, je te souhaite bien du courage.

Maleus E. d'Assay.

Ps : Il faudra que nous parlions du synode d'ici la fin des élections, me semble qu'avant même de commencer cela s'avère être un beau bordel.




_________________

Adieu Fab'
Dame_louanne.
Un pigeon bien grassouillet vint ramener une missive scellée pour la comtesse.




A vous Asphodelle Di Césarini, comtesse de Toulouse
De nous Louanne Vicomtesse des Sept Forges, dame du Mariage

Que vostre jour soit bon,

Je vous envoies personnellement cette missive, afin de vous signaler nostre arrivée sur votre sol.
Nous sommes deux lances de nobles, accompagné de leur mesnie ainsi que quelques gardes.
Nous veillerons à ce que ses derniers ne sèment pas le trouble dans votre charmant comté si acceuillant.
Si vous avez besoin d'une aide quelconque, sachez que vous pourrez compter sur nous dans la mesure de nos moyens, nous avons quelques compétences dans plusieurs domaines.

Qu'Aristote vous garde et sache guider vos pas,

Faict à l'Auberge la Toulousaine le 24 éme jour d'Avril de l'an de grâce 1462

Louanne Vicomtesse des Sept Forges, dame du Mariage





_________________
Asphodelle
"Dame du Mariage"...
C'était sûrement supersticieux, mais elle se demande si elle devrait pas toucher cette Dame comme les statues de Sainte qui ont des pouvoirs de guérison.

Faites qu'il m'épouse un jour !! faites qu'il m'épouse un jour !!!

En plus de la politesse et du plaisir de cette belle lettre, elle réponds prestement, mais encore une fois en retard...

Grommelant sur elle-même, elle rédige :



Citation:
A vous Louanne Vicomtesse des Sept Forges, dame du Mariage
De nous Asphodelle Di Césarini, comtesse de Toulouse



Votre lettre est fort courtoise, et je vous remercie de m'avoir fait connaître votre arrivée, ainsi que vos dispositions.
Autrefois j'étais Normande, nous fumes donc voisines, et je garde une place spéciale à cette terre là-haut juchée, dans les vents salés et frais qui cognent sur les falaises, et jouent avec les branches des pommiers.

Pensez-vous que je pourrai tous vous rencontrer en personne? J'aimerai prendre connaissance de vos conditions de séjour, vous saluer de vive voix, et vous inviter à faire bombance à mes côtés pour me faire pardonner de ce retard de courrier.

C'est plaisir pour nous que votre passage, sentez-vous bien et usez de nos services chaleureux, Toulouse vous reçoit sur ses nobles terres !! victuailles et abondance sur vos pas, pour emporter en vos terres la beauté de nos paysages et le goût de nos spécialités.


Que la vie vous soit douce, et le Très-Haut loué,

Rédigé en la bonne ville de Toulouse,

Asphodelle di Césarini, Régente de Toulouse

_________________
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