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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 1

Princesselaure
En retard! A la bourre!

Le coche de Souvigny avait beau être un fleuron en véhicule terrestre, il n'en restait pas moins fragile... A peine sorti de son Auvergne qu'une roue du coche ducal avait cédé! Et hop déjà que la duchesse n'était pas partie en avance ben là ca promet! Le temps pour le cortége de trouver un bon forgeron capable de la changer... Hop on déscend tous, on le vide pour dégager du poids, un petit repas improvisé, on remet le tout dedans et on reprend le chemin pour la capitale... Bref un incident somme toute banal mais qui causa un retard légendaire à la blonde !

...

Quelques bonnes heures ou jours plus tard... Voilà le Louvre... Pfoua ce qu'il en jette ce château... On rentre vite, on s'annonce, on cherche trois plombes l'invitation... La voilà! Hop nous voilà tous dans les jardins...



Nouvelle annonce vers le maitre de cérémonie et appercevant deux têtes connues, se décida de les rejoindre... Quelle chance, une chaise de libre!!

Pardon, escusez moi... Oups... Navrée toutes mes escuses Dame... Attention... Merci...

Eh ben c'est pas de tout repos... Y en a du monde... Enfin la voilà assise de l'autre blonde du BA...

Bonjour Noéline... Fabien... Heureuse de vous trouver pour passer ce moment avec vous... Et dire qu'il faut qu'on soit à Paris pour se voir c'est un comble quand même !!!

Large sourire sur le visage de Laure tandis que son regard fuit vers les autres convives...

Tu connais quelqu'un ici toi ?? On est tous de la noblesse de France et je crois ne connaitre personne ici...

Puis l'azur qui chavire cette fois vers la scéne... Pfoua splendide... Une chance que Lanfeust ne soit pas venu, elle aura tout le loisir de commander autant de robes qu'elle désire...
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Eirwen_vergeze


[ Aux côtés de Paula Estèva, Comtesse du Gévaudan, Vicomtesse consort des Fenouillèdes, Baronne d'Alaigne, Baronne consort de Saint Félix et Seigneuresse de Mireval]

Eirween se faisait toute petite.... Issue de petite noblesse languedocienne, Eirwen de Vergèze, fille de Zagelle, dame de Vergèze, ennoblie par Marguerite de Volpilhat- , en fait, par Louis-Raphael d'Appérault son époux, sur demande de Marguerite, et de Gwendalg, son époux.

Ses deux parents étaient morts et elle n'avait point d'autre famille connue. À la mort de Zagelle, celle-ci a laissé la charge et tutelle d'Eirwen à Polstephie et servait de gouvernante à Aimelina. Elle avait également été gouvernante de Jehanne Elissa ayant été élevée par Polstephie et Cristòl.

En somme, fille de petite noblesse, orpheline, d'un tempérament aimable et doux, qui avait été choyée et qui servait une famille de plus haute noblesse, un peu une grande soeur pour la plupart des filles Sìarr-Alanha et Jehanne-Elissa.

Dans ce monde fastueux qu'était "La Haute" parisienne, elle était vraiment mal à l'aise, ayant toujours un peu peur de se tromper sur les bonnes manières. Surtout qu'elles avaient des places réservées et devaient passer devant tant de gens qui étaient sûrement des plus illustres personnages de France.



Marchant à petits pas derrière sa protectrice, la tête penchée mais la relevant de temps à autre pour s'assurer qu'elles arriveraient bientôt à leur place assignée, la jeune fille tirait nerveusement, -sans s'en rendre compte, sur son bracelet en petites perles qu'elle portait à son poignet quand soudain …. le fil se brisa, libérant ainsi une dizaine de petites « billes » qui se répandirent sur le sol.


Sursaut de stupeur ….

Devait-elle s'arrêter et ramasser une à une les perles roulant sur le sol ou bien devait-elle installer sa protectrice à sa place ?

C'est alors que le brave Gérard Manvussa, serviteur de son état -un homme au demeurant jovial malgré son air sérieux, venait porteur d'une carafe de vin afin de servir quelque noble assoiffé qui l'avait hélé. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, la jeune femme -dont le regard suivait les perles qui roulaient, vit le pauvre homme poser le pied sur l'une d'elles. Son visage, étiré comme dans un cri muet, témoignait alors toute la détresse qu'Eirwen ressentit à cet instant...

Pétrifiée, Eirwen ferma les yeux, sentant la peur panique l'envahir. Serrant les dents et grimaçant d'avance au fracas qui allait se faire entendre, elle vit défiler dans son esprit une foule de scénarios.

Allait-on l'obliger à quitter cet endroit ? Le pauvre homme serait-il renvoyé ? Le beau cuisinier de la pièce " Epices, poivre et potée" allait-il trouver l'amour dans le second épisode ?
Yolanda_isabel
Installée au devant, elle contemple sans mot dire, ou si peu.

Un sourire à sa voisine, qu’elle n’a jamais rencontré mais dont elle connaît la robe pour l’avoir vue apparaître dans le catalogue de la gitane. Un bref coup d’œil qui ne s’appesantit qu’à peine sur la cape rattachée au plastron. Les enfants sont méchants, si méchants qu’ils se moquent de tout et de rien, mais pas Yolanda qui ne sait pas d’où vient cette lubie vestimentaire, puisqu’elle ne voit pas le moignon sous le rabat de la cape.

Et le doigt se tend impérieux vers l’estrade.


-« C’est ta Maman, Chiara ! Regarde ! »

Regarde, elle est belle, et la robe aussi. Un nouveau modèle, un de plus ! A ajouter à Clémence, Blanche et Marraine. Et là, dans ses mains atterrissent des macarons alors qu’elle avale les paroles de la Durée dont c’est le tour. Chic ! Cette semaine de la mode est un vrai délice ! Et de nouveau.

-« Regarde ! Chiara ! Encore ta Maman ! Tu seras belle comme elle, dans beaucoup d’années ! »

Quand t’auras grandi et que tu sauras défiler, à n’en pas douter ! En attendant, public, je te laisse, un macaronicide attend notre Etoile préférée.
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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
--Ella_duree


Elle est rentrée dans les coulisses après un sourire ravi en repensant au bon déroulement de son passage, elle est rentrée, et pourtant, pour la sérénité de la Sérénissime, elle surveille entre les rideaux le bon déroulement du défilé. Des encouragements sont distribués au même titre que les macarons, car les filles des Doigts d’Or ont aussi eu leur coffret spécial avec un sourire encourageant de la bourgeoise.


Allez-y, ils sont à vous.

Et là, c’est le drame, un bruit, plus fort que les autres dans la place. L’œil se risque entre deux plis et elle voit un homme au sol, alors d’un geste de la main, elle intime un ordre aux gosses des faubourgs. Un geste de la main qui dit tant de choses. Ramassez-le, ramassez tout, inclinez vous bas, ils sont nobles pas nous, mais discrètement, par pitié et pour l’Amour d’Attia.


La joie d’être obéie, la joie de voir récompenser ses efforts depuis son arrivée à Paris, son acharnement à nourrir d’une miche ou deux tous ces gosses qui traînent dans la rue, c’est elle qui avait conseillé à Attia de les engager en échange d’un repas dans son enseigne. Elle encore qui les avait à sa charge pour la semaine. Alors, elle constate avec plaisir que les gônes de la Capitale court discrètement comme après un larcin, pour ramasser le domestique mais aussi les criminelles, à savoir les petites perles, rendues une par une à la jeune fille si blême depuis le bruit. Et de nouveau, ils reviennent ses petits parisiens au sens du devoir si différent de certains, et pourtant à la reconnaissance si établie.


Z’aurez la doub’ ration d’pain et d’p’tiots plaisirs c’soir. A c’t’heure r’tournez donc à vos places.

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Calyce.
"J'veux rentrer chez moi !" qu'elle dit en s'accrochant à la manche d'une Trella qui tente de quitter les coulisses. Sourcils froncés, le regard assassin. Tu bouges je te refais le portrait ! M'laisse pas toute seule steplé. M'enfin va bien falloir lâcher l'étoile pour s'occuper des mannequins. Aider les filles à enfiler ses robes. vérifier que tout va bien et le tout sans penser à ce qui se passe derrière. Tous ces nobles regards qu'allaient se poser sur les tenues qu'elle proposait aujourd'hui. La honte.
Et c'est tout en serrant les corsets, en ajustant les cheveux qu'elle pense...


"-J'aurai su, j'aurai pas v'nu.
-Pense aux macarons !
-Mouais.
-Au réglisse qu'elle a dit la dame !
-Han ouais...
L'en baverait presque...
-C'est ça, que la force du macaron soit avec toi !


Les filles défilent et elles reviennent. Ca s'est pas trop mal passé faut croire.


M'ci beaucoup les filles ! Non non Eli, plus de robe pour aujourd'hui...j'crois.

C'est fini, elle va pouvoir rentrer à sa maison !... ou pas. Vlà t'y pas que le maitre de cérémonie lui demande de venir à son tour. M'enfin pas de soucis : saluer c'est pas la mort. Elle y va. La minime qui triture anxieusement une mèche de cheveux , on se fend d'une timide courbette pis on fait demi-tour, le rouge aux joues. Eh bah non ! Faut dire un petit mot qu'il dit le môssieur très classe. Gné ? C'était pas écrit dans le contrat ça !

Humpf.

C'est pas un mot ça, Calyce.


Euh bah... Merci Attia.

Vlà, elle en a même dit deux de mots. Elle a juste dit ce qu'elle pensait, la jeunesse toussa...
C'est par où la sortie ? Viiite.

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Viens chercher bonheur DTC
Keridil
[Ce n'est qu'un au revoir ! Premier Jour : Done !]

Voilà, merci Attia !

Ou comment le môsieur très classe se met à la jouer Jacques Martin.
Et il la renvoie d'un geste cordial en coulisse, avant de se tourner de nouveau vers le public.
Bon bah cette première journée s'est pas trop mal déroulée niveau défilés et présentations.
Départ en douceur, sans extravagance, juste pour donner le ton, et gourmandises à l'appui.
On peut le dire, l'Amahir est satisfait.


Et bien voilà ! Sur ces mots, les présentations du jour se terminent, mais il en reste quatre ! Nous vous remercions, nobles invités, de votre présence et de votre participation massive à ce jour. Evidemment, nous espérons que vous nous suivrez encore demain, et après-demain, et cetera.
Maintenant, les personnalités de notre Illustre Royaume sont invitées à rejoindre la presse, afin de donner leurs impressions sur cette première journée dédiée à la mode !...*

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*Suite de cette journée dans le topic dédié aux interviews de personnalités. Ouverture de la deuxième journée. Vous pouvez encore poster ici, un peu.

Bon jeu !

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Attia.
[ Dans l'assemblée - aux anges]

Y avait pas a dire on était mieux dans le public que dans les coulisses a beugler a tout va.
Au bras de son blond, et un coffret spécialement fait pour elle la gitane picorait les delicieux macarons apres avoir essayé d'en fourrer dans le bec du blond.

Elle souriait, pas peu fière.
Tout semblait bien se dérouler.
Elle s'accorda la luxe de rester assise jusqu'au defilé de Calyce.
Non pas qu'elle avait soudainement confiance, mais les macarons Ladurée ont ça de magique qu'ils anesthésient toute angoisse en vous.
De plus elle savait que sa soeur spirituelle ne laisserait pas le tout partir en branle, oui La Durée est perfection, ce qui passe avec elle ne peu se ternir de mediocrité.

Et elle était loin la médiocrité. Calyce avait une patte sure et inovatrice, et c'est avec plaisir que la gitane admira les robes qui se présentaient.
Elle se joignit aux applaudissements et lorsque la jeune fille donna son mot de la fin... la gitane en eut les yeux brillants.
La semaine de la mode débutait a peine et elle aurait pu s'achever sur cette note.
Calyce ne lui devait rien, son talent lui appartenait, mais il faut dire que la gitane était particulièrement fière de Calyce car lorsqu'elle était arrivée a l'atelier des doigts d'Or, elle ne faisais que peindre. Il avait fallu lui donner confiance et aujourd'hui, elle presentait ses creations.
La gitane pouvait passer a la postérité. La relève était assurée.

Elle se leva et applaudit energiquement, le coeur gonflé de bonheur.
Finalement, elle vivait, elle sentait chaque parcelle de son etre vivre. Personne n'allait mourir.

Elle attendit un peu, et discretement rejoignit les coulisses ou elle passa ses troupes en revue, distribuant remerciement et félicitations.
Elle se rapprocha de Bee , Calyce, et les gratifia chacune d'un baiser sincère et plein de tendresse.


- Vous avez assuré!

Elle n'en fit pas de même pour les mannequins qui elles n'eurent droit qu'a des compliments bienveillant. Il leur restait tous les autres jours de la semaine de la mode a affronter.
Effleurant doucement l’épaule de La Durée, la gitane attrapa la main de la pâtissière qu'elle pressa doucement.


- Merci pour tout ...

Elle posa un léger baiser sur la main délicate.
Le reste de la journée, elle le consacrerait au blond. Oui lui refuserait il un massage pour la debarasser de toutes ses tensions ? Certainement pas!
Elle pourraient se reposer un peu avant la deuxieme journée.

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--Clarinha


J'étais depuis peu au fond de l'espace à ciel découvert de l'événement, et j'avais commencé d'observer le ciel pour savoir si avril nous réserverait quelque poisson, lorsqu'un tintement, celui de perles s'éparpillant sur le pavage inégal, ramena mon attention à l'assemblée.
J'avais la langue bien en poche, mais l'ouïe vive. Tous mes sens l'étaient, à dire vrai.
Des perles sur le pavage du jardin, cela s'infiltrerait les mois passant dans les jointures, et l'on n'y verrait plus rien. Mais à cette heure, trop nombreuses concentrées en un si petit espace, elles étaient un danger vers lequel, zélé et nez au vent, se précipitait Gérard Manvussa.
Pouvais-je sortir de ma position effacée ?

L'on m'en ferait guère le reproche, je l'espérais, si c'était pour éviter un dégât notable. D'autant que le vin ne s'éponge pas facilement sur les dalles, et qu'il s'y retrouverait forcément, si nul n'intervenait ; et nul n'était en passe d'intervenir, semblait-il, trop occupés à ouïr les explications d'un maître des cérémonies emphatique. Le vin, répandu là, qui gâterait les ourlets des plus belles robes, et le coccyx endolori de Gérard Manvussa, étaient deux choses que je pouvais éviter, vite, très vite. Maintenant ou jamais.

Je m'élançai.
Il n'y eut pas de fracas.

Bondissant sur la pointe de mes escarpins, j'attrapai avec une douce fermeté le bras de Gérard, que son plateau privait de voir ses pieds, et lui fis un doux signe de tête vers le plancher des vaches.


-« Com licença... »

C'était tout ce qui m'était venu. Du portugais, ma langue. Il faudrait que je m'entraîne à la bannir. Y parviendrais-je ? Bonne question.

J'adressais alors un sourire à la jeune femme en bleu et blanc, d'une robe à la griffe de ma maîtresse, Jehanne de Cassagnes-Begonhès, et que j'avais, je le reconnaissais, cousue moi-même, sur les patrons de la vieille.

Gérard Manvussa partit arroser le gosier d'un autre nobliot et je m'agenouillai pour ramasser les perles. C'était cela, ma place : servir, veiller au bon déroulement de l'événement, surtout ne faire aucune esclandre. Bien paraître.


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Azkaban
Il se faisait bien discret dans le public, admirant, les pupilles aussi grandes ouvertes que sa bouche l‘enchainement des prestations des mannequins sur la scène…Très alléchantes ces p’tites choses là.

La tentative de sa brune pour lui enfourner un macaron réussie à la perfection, si seulement il avait eu l’idée de clore un peu cette expression latente sur son visage, mais non et heureusement me direz vous, c’était une première fois, le premier qu’il lui ait été donné de déguster, un « Ella Durée » toujours imité jamais égalé parait il...
Cette petite masse sucrée en bouche ses yeux se fermèrent dans un soupire de bien être pour laisser le charme opérer, rapidement le craquant empli de douceur laissa place à un moelleux incomparable, en son cœur, une ganache aux fruits irrésistibles, un tout à faire frémir le plus dur des soldats. Lui était loin d’en être un, il fondait littéralement en même temps que ce macaron, dans une grande inspiration il se pinça la lèvre inférieure. Il comprenait aisément l'adiction de toutes ces dames à ce mini bonheur édulcoré.


Hhhmmm…Damnation…que c’est bon.la vache. Ceci dans un murmure, la bouche mi pleine.

Et cet arôme, l’avait elle choisit consciencieusement ? La fraise de bois…Le sucre titillait ses papilles avec taquinerie puis glissait lentement dans sa gorge ça en était presque jouissif. Les yeux toujours clos, les vagues de souvenirs venaient l’envahir, celles d’une dégustation au pied d’un arbre, les mots qu’ils avaient échangés, les rires, les gestes, la dégustation de fraises des bois…mais surtout les baisers portant cette saveur inoubliable.

Maintenant qu’il avait eu ce goût, il en voulait la sensation, retrouver sans attendre les lèvres envoutantes de sa belle gitane. Avant qu’elle ne reparte auprès de son équipe, il lui vola un baiser plein de promesses, d’une chaleur à la limite du raisonnable devant les gens à proximité mais lui, ne voyait qu’elle et ses envies. Ses mains la laissèrent s’échapper encore…Elle avait d’autres vents à emprunter à cet instant, lui, dans son sillon, serait toujours là, respirant son doux parfum de fruits et d’avenir. Sa silhouette s’enfuyait vers l’arrière scène, lui derrière, marchait en souriant.

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Antonia
La blondinette, assise à la gauche d'Ariadne, n'avait pas raté une miette du défilé, hochant la tête aux paroles de la rosebonblonde, c'était vrai que c'était prometteur.

Et puis le moment des macarons, Antonia, comme beaucoup de femmes, était gourmande et les sucreries étaient l'un de ses péchés mignons tout comme les tartes d'Ari, se pencha vers elle avec un petit sourire et murmura:


Ils ont l'air succulents

Et le défile qui reprend, Antonia ne manqua pas d'interpeler ses voisines pour la robe dotée du bustier s'attachant sur le devant et celle vieux rose, son style et sa couleur. Et puis la fin du défilé. Se levant, elle dit à Ariadne et Seleina:

Et bien vivenement demain et la suite, si ce n'est que le début, ça promet pour la fin du défilé.

Sourit largement et regagna l'auberge avec les deux jeunes femmes.
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Marjolainne
La duchesse de ligny s était faites petite lors de son entrée ,se qui n empêcha pas le maitre de cérémonie de lui montrer sa place .
elle passa devant plusieurs personnes et trouva enfin le siège qui lui était réservé..
elle n u pas longtemps à attendre le début du défilé


C était son premier défilé et elle trouva les robes magnifiques. elle espéra pouvoir en acheter une ou deux avant de rentrer en lorraine.
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Jehanne_elissa
[Un peu avant, quand elle reçoit les macarons! ]

Sa main libre s’était tendue mécaniquement. Une boîte de macaron pour elle ? En son honneur ? Oh Seigneur, si ça c’est pas un privilège ! La même réflexion que son amie naissait sous ses cheveux roux : elle aussi avait droit à des macarons tout comme la Reine, tout comme Clémence, tout comme les autres grandes dames de ce Royaume. Se sont des petites étincelles, de petits éclats de joie qui viennent animer son regard quand elle réalise que cette boite, entre ses mains, est nommée ainsi car on a pensé à elle. Elle aussi ne parvient à dire de mots, c’est en suivant Eilinn loin de l’estrade qu’elle se retourne, réalisant son impolitesse, pour articuler un « merci » silencieux à l’attention de la bourgeoise. Et de se concentrer pour regagner leur place alors qu’entre le Lapin et la boîte de macarons elle est un peu chargée…

En passant à proximité de Tante Pol , Aimelina et Eirwen elle s’arrête et fait signe à Eilinn qu’elle la rejoint. Quitte à avoir mis le bazar un peu hein, autant continuer et pas se gêner ! Elle se penche alors, murmure encore des « désolée, excusez-moi, oups pardon désooooolée » pour s’approcher de ceux qui sont sa famille, pas celle du sang mais celle du cœur. Son regard se pose plein de douceur sur Aimelina quand elle lui tend des macarons, puis intrigué sur sa vassale Eirwen – qu’est-ce qui la rend si crispée ?- alors qu’elle fait le même geste et enfin, dans un élan de sa spontanéité mal placée et bientôt légendaire, elle se débarra se de la boîte sur les genoux d’Eirwen pour poser une bise enfantine sur la joue ronde de tante Pol.


- « On se retrouve plus tard… »
Puis un regard amusé vers Eirwen et Aimelina. « Régalez-vous avec les macarons, mais laissez moi au moins en goûter un ! »

Et un sourire pour les trois Languedociennes, une main maintenant libre qui vient piocher dans la boîte et aussi généreuse en excuses qu’elle est arrivée, Carlita soigneusement serrée contre son cœur, elle remonte rapidement au rang des Vicomtesses, retrouver sa place auprès d’Eilinn. Un regard heureux se pose sur son amie, un regard fier, le regard des grands jours ou tout va extraordinairement bien. Pas de doutes, ce monde tout beau tout rose est assurément celui de Jehanne Elissa.

- « Je pense que tu va être la Premier Maître d’Hôtel la plus connue de toute l’histoire… »


Et à une main de se libérer pour goûter son macaron. Mais en plus c’est bon !
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Ariadne
Après avoir reçu, comme tous la boite de macarons, Ari avait eu du mal a résister à la tentation, et lorsque le maitre de cérémonie annonce la fin du défilé pour ce jour, elle sourit à Anna et Leina et répond à la blonde...

J'ai en effet hâte d'être à demain ! Mais en attendant, j'ai encore plus hâte de gouter ces gourmandises !

Esquisse un sourire mutin et fronce le nez, les yeux rieurs. Diantre que ce petit séjour s'annonçait bien...
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Crysania
Voilà, elle en avait manqué un petit bout du discours du Maitre de Cérémonie, on parlait bien de création, de délicieux, doux, mais de création mangeable ! Et c'était pas la femme qu'on mangeait ici hein.
Des macarons ! Et bien là, la Rousse en avait souvent entendu parlé, en avait gouté qu'un seul il y a fort longtemps. Pas désagréable comme goût, mais enfin... Elle devait avoir les pupilles gustatives capricieuses à l'époque, autrement, sans aucun doute, en aurait-elle redemandé. À moins que celui qu'elle avait goûté, n'avait pas l'honneur d'être fait avec autant d'amour qu'en parlait la femme qui était présente devant la noblesse écoutant religieusement ses paroles.

Sous les mots, des enfants, se mirent à se mélanger au travers de la foule, offrant à chacun un coffret. Atterrit dans les mains de la Rousse Comtesse, celle dernière l'accueilli avec surprise. La Rouquine scruta un instant le coffret, mais seulement l'extérieur. Faut bien le dire, le coffret était sensationnellement beau. Profitant de ce petit moment que le calme revienne, que la suite s'enchaine, un demi tour de la tête vers la gauche arrière, regarder avec un sourire son ami. Au cas où il se serait poussé, on ne sait jamais.
Mais non elle savait très bien qu'il était encore là, ange qu'il est, il ne l'aurait pas quitté ainsi sans rien dire.

Après un moment, où ses yeux étaient revenus vers le podium, voilà qu'on parlait encore de manger. C'est vrai que ça commençait a gargouiller un chetouille.

Tant dis que la Dame Macaron cédait sa place au Maitre de Cérémonie, la Comtesse baissa les yeux un instant, le temps de regarder ce qui se trouvait dans le coffret. Quoi que, elle s'en doutait quand même. Elle qui n'osa pas en prendre un en ce lieu, mais si gentillement invité par le Keri, de ses deux doigts, enfin le pouce et l'indexe, n'en prit un, l'observa d'abord. Il ressemblait un peu à celui qu'elle avait déjà gouté, mais pas pareille. Celui la semblait beaucoup plus appétissant faut bien l'avouer. Du bout des dents, elle en prit une croqué, petite hein. Prenant bien le temps de déguster, de savourer les saveurs dans sa bouche et puis bon, finalement fini le reste rapidement, refermant la boite pour éviter de la vidé comme une gourmande affamée. Déposé sur ses genoux, elle tenta d'oublié ce coffret alléchant en gardant son attention sur les présentations suivante.

C'est toujours avec une grande attention qu'elle scrutait, toute émerveillé des robes qui passait devant ses yeux. Elle n'avait rien a redire, elles étaient tout simplement splendide ! Elle n'était pas que prometteuse, mais gagnante celle qui avait créer ces robes.

Pour sur, La Comtesse, bien avant d'être Comtesse... avait fait ce métier.. mais elle avait bien fait de rester dans la classe des paysans, parce que quand même, elle était loin d'avoir le un quart de leur talen.

Maintenant fallait les applaudir ces magnifiques. Ce qu'elle fit avec enthousiasme, peut-être même un petit peu trop, vu que le coffret sur les genoux, passa à deux cheveux de se ramasser par terre, rattraper de justesse.

Conclusion de cette fin de journée, presse et tout et tout... D'abord se relever et accrocher le bras d'Aster, pour pas le perdre parmi tous ces gens.


Tu veux aller donner ton impression sur cette première journée et qu'on voit ton nom dans tout le Royaume ? Qu'elle lui lance amusé.
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Chambellan du Rouergue
Plumedange
[Quelques jours avant le jour J]

*Lorsque Plume avait appris qu'ils partaient en famille à la Fashiown Week, évènement auxquels ils avaient tous été invités, elle en avait été transportée de joie.
Pendant tout le temps qui avait précédé, elle en avait parlé constamment, à tel point que des fois sa maman la rabrouait gentiment ou que son papa lui proposait une friandise pour atténuer le flot de paroles un instant.
Feuilletant les brochures, apprenant le programme part cœur la blondinette ne se lassait pas de rêver.
Ce matin là, elle ne prit pas très longtemps à choisir sa robe car elle avait bien passé une semaine à réfléchir à laquelle porter et qu'elle était posée bien en évidence sur un mannequin de sa chambre.
Cela n'avait pas été de tout repos pour Marie-Victoire qui avait eut le droit de voir un défilé de sa fille avec l'ensemble des robes de sa garde robe pour cet évènement particulier.
Finalement elle avait revêtue un robe faite par l'atelier qui justement faisait le défilé.
Sa sublime robe faite pour le sacre de la Reyne auquel elle n'avait pu assister parce que sa production de nougat avait souffert d'un incendie.*




[Le premier jour du plus beau jour de sa vie ou presque]

*En voiture Simone! Enfin Plume!
En route pour la fashiown week, l'évènement mondain à ne pas rater.
Papa, maman, cousine ceci, tout le monde est là.
Heureuse, un sourire jusqu'aux oreilles, elle savoure cette sortie familiale.
Gaiement elle bavarde avec Cecilia dans la voiture, parlant des couleurs, des tissus de robe qu'elle préférait, adorant la soie si douce ou encore la dentelle qui si joliment ouvragée rendait les robes tellement adorables.
Une main posée sur celle de sa mère, la jeune fille lui posait très peu de questions, la connaissant plutôt réservée.
Quelques fois une soudaine envie la prenait et elle sortait sa tête de la voiture faisant des signes à son papa tout en l'appelant de la même façon.
Lorsque la voiture s'arrêta elle en sauta presque à terre.*


-Nous sommes enfin arrivé!
Père, Mère, dépêchons nous avant que cela ne commence!


*Tout en parlant elle s'avançait vers les gardes, rayonnante.
Elle les passa sans s'arrêter, laissant son papa adoré et sa maman chérie les présenter.
Un regard autour d'elle, les gens étaient tous rangés par couronnes.
Duc, duc...c'est ou les ducs, parce que son papa il l'était...
Ah! Là bas! Tout devant sur les côtés, parfait, elle ne pourrait rien rater!
Entrainant la familia vers les sièges VIP de la haute noblesse, elle s'installa avec grâce sur un siège et put entendre confortablement installée le discours d'ouverture, mais aussi voir le joli ruban rose mourir, voletant doucement jusqu'au sol brisé en deux.*


-Pauvre ruban...

*Mais elle l'oublia bien vite complètement obnubilée par les robes.
Ah un moment, elle faillit se lever en disant "Je la veux!" tellement elle adorait la tenu présentée.
Retenant le nom de la couturière, elle se pencha vers son papounet.*


-Père, je désire cette merveille!
Pensez vous que nous puissions acheter les tenues présentées?

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