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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 1

Yolanda_isabel
L’Infante de papillonner des yeux, passant de l’un à l’autre, écoutant d’une oreille les recommandations de Naelhy, quand soudain, l’essentiel lui parvient, alors avec un sourire contrit, elle lâche la main de la Wolback. Elles ont déjà parlé à plusieurs reprises de gabarit, de taille, de poids, mais de façon si subtil que l’infante n’en a rien compris. Sait-on à cet âge-là qu’on est trop gros ? Pas Yolanda en tout cas, qui se pend de plus belle à la main du vicaire pour le coup. Jusqu’à ce qu’on l’appelle, elle tourne la tête vers son homologue étoilé et angevin, j’ai nommé Estrella.

Un coup d’œil à Fitz comme une demande de permission, et voilà que le regard qu’il lui jette se fait identique à celui de Naelhy quelques instants auparavant, gentil mais suppliant, alors les petits doigts potelés se détachent de la grande main, avec un sourire encourageant. Va mon Père. Et alors qu’elle s’apprête à rejoindre Trella, voilà que la Durée lance les hostilités, alors elle s’excuse d’un sourire vers l’angevine et rejoint la gitane et la meyre puis se glissent entre elles pour remplir un godet de lait et attraper un macaron. Un air docte aux trois femmes et alentours qui sait.


-« Alors, je vais vous expliquer comment on mange un macaron ! Attation, c’est très compliqué ! D’abord, on touuuuurne ! » Et de joindre les gestes à la parole en faisant tourner les deux coques du macaron sur elles-même pour les détacher. « Après on lècheuuuuh ! » La langue rose sucrée de venir se coller sur la ganache avec plaisir. « Mmmmmmh ! T’es pas obligée de dire Mmmmmmh mais moi, je peux pas m’empêcher ! Après, tu remets un bisou d’amoureux. Tu trempes dans le laiiiiit ! Et après tu manges ! » On trempe et on croque ! Miam deux fois ! « Mais je crois que vous êtes pas encore prêt.. »

Elle hausse les épaules en souriant, puis soudain se souvient, Trella ! Alors elle plante là, les trois femmes et rejoint en courant son Etoile.

-« Vouiiiiiiii ? C’est ton bébé ? Je l’ai jamais vue ! Je peux la voir ? »

Personne ne veut jamais lui montrer les bébés, soit disant qu’elle est trop jeune.. Alors, elle espère en se mordillant la lèvre inférieure.
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*[Parce que toi aussi, t’es tombée raide dingue de la gosse d’Oréo, clique ici
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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
Barberine




Munie de son invitation elle regardait curieusement autour d'elle, se faisant discrête tout de même

c'est la première fois qu'elle était invitée et ne connaissait savait pas du tout à quoi s'attendee

De plus quelques ennuis de route l'avaient facheusement retardée, et voila qu'elle était affreusement en retard.

Elle aura raté l'arrivée de la Dauphine, elle en était sûre.

Tant pis se fondre dans l'assemblée sans se faire remarquer en tendant son invitation à l'entrée, chercher autour d'elle une tête connue, mais en vain, examiner à la dérobée les toilettes magnifiques de ces dames.. La sienne, qu'elle avait pourtant choisi avec soin, lui paraissant maintenant bien terne, elle avait peur de passer pour une provinciale, ce qu'elle était à n'en pas douter.

Cette semaine de la mode arrivait à point nommé.
Rien de mieux pour être l'arbitre des élégances, elle serait heureuse de raconter cet évènement à ses amies.


pour le moment elle s' avance, prête à profiter de tous les conseils qu'elle pourrait recevoir.


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Rhiana
Rhiana et Karl arrivèrent munit de leur invitation, le temps que l’on vienne les accueillir, elle reconnu quelques personnes rencontrer pour certain aux feudataires du temps de son mandat ducal, pou r d’autre en Orléans, mais les deux personnes qu’elle reconnut le plus vite fut Maitre Elianor de Vergy et Dame Mariealice, toutes deux avaient fait un passage en Touraine et pour maitre Elianor, elle avait eu la joie de l’accueillir dans sa demeure

Elle vit leur ami Keridil approchez et sourit

Heureuse de vous revoir Messire Keridil, dans un lieu autre que sur un terrain de joute

Elle sourit et lui tendit les invitations

Elle déposa délicatement sa main sur celle de son époux et entra dès que leur ami, les annonça

Ils allèrent saluer maitre Elianor, Dame Mariealice et dame Stephandra,

Heureuse de vous revoir Mesdames

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Chiara_cesira
Aujourd'hui Maman a dit qu'il y allait avoir une surprise. Une surprise avec de jolies couleurs, de jolies robes, de jolies dames et de jolis messieurs. Mais que pour avoir la surprise, il allait falloir être bien sage, rester tout près d'elle et ne pas pleurer -enfin pas fort- sinon il n'y aurait plus de surprise la prochaine fois.
Aussi, c'était une petite fille blondinette, heureuse mais quelque peu craintive, qui s'était accrochée à sa mère et l'avait tenue bien bien fort tout le long du trajet qui les amenait à la surprise. Car ce qu'elle ne dira jamais, c'est qu'elle avait vraiment peur que Maman s'en aille tout loin d'elle depuis la peste. Aussi aurait-elle promis n'importe quoi, avec toute la gravité qui sied à bébé de deux ans, pour que la surprise et Maman ne soit pas loin d'elle aujourd’hui.

Aussitôt arrivées, les deux petits bras s'étaient tendus et Maman l'avait mise en sécurité tout contre elle. Et c'est en les enserrant autour du cou, le visage blotti contre l'épaule maternelle que la petite Albizzi entra avec sa mère dans la surprise.
Même qu'elle se contenta de sursauter -réfrénant comme promis et courageusement une envie de pleurer- quand elle passa à côté d'une chose toute bizarre et pas belle, qui avait une grosse voix et dont l'odeur picotait le nez. Plongeant son visage dans le creux du cou de Maman, elle se laissa calmer par la douce voix et les mots réconfortants.
Lorsqu'elle releva les yeux quelques minutes après, ce fut pour se plonger dans la découverte enivrante de dames, de messieurs, de bruits, de voix et de couleurs, plus rigolotes à regarder les unes que les autres. La bouche entrouverte, les yeux écarquillés elle se laissa submerger par toute cette nouveauté.. Parce que c'était quelque chose quand même tout ça! Puis regarder d'en haut c'est bien, mais examiner soigneusement ça de plus près, c'est mieux. Aussi, elle se tortilla de toutes ses forces pour que Maman la repose à terre et la laisse explorer ce monde nouveau et inconnu.

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Karl06
[En route pour la ville Royale]
La route fut longue, les chemins défoncés par l’hiver qui se terminait ;
le cocher menait vive allure ils avaient changé de chevaux et ils ne tarderaient pas à rejoindre le Louvre.
Rhiana s’était endormie sur son épaule, elle avait insisté pour que le couple se rende à cette cérémonie qui lui tenant à cœur. Cela ne pourrait que nous changer les idées, depuis plusieurs mois, la défense de la foi aristotélicienne à travers tout horizon les tenait loin de chez eux .
Elle s’éveilla à l’approche des murs de Paris ;
Les chevaux se frayaient un passage dans les ruelles, une magnifique place dégagée s’offrit a leur passage ;
Enfin , le Louvre
[Arrivée dans la cour du palais]
Leur équipage s’arrêta dans la cour du Palais ; la porte du carrosse aux armes de Hasselt s’ouvrit ;
Karl descendit le premier, offrant sa main à son épouse pour l’aider à regagner la terre ferme.
Il secoua ses habits pour enlever le surplus de poussière.
Des palefreniers vinrent aider le cocher à prendre soins des chevaux. Un majordome s’approcha d’eux et les précéda jusqu’à l’entrée de la demeure royale.
[ la cérémonie]
Rhiana à son bras ils remirent leur carton à un huissier ;
Karl et Rhiana de Hasselt vicomte et vicontesse de Veretz
Quelques visages connus ; mais là il comptait sur son épouse pour mettre des noms sur des visages aperçus lors de leurs nombreux déplacements
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Estrella.iona
[Coulisses toujours]

Yolanda s'approche, la proie est ferrée.

Oui c'est mon bébé, bien sûr que tu peux la voir ! Une grande fille comme toi aussi responsable doit savoir s'en occuper, non ?

D'emblée, elle lui refila le bébé, au sens propre comme au figuré.

Ecoute, Yolanda chérie...
Non, elle ne va pas oser, quand même.
Tu vois, je suis très occupée...
Menteuse en plus !
Et avoir Aurélie dans les bras me gêne un peu et..
Mère indigne !
Je me demandais si...
Non !
Est ce que tu pourrais...
Inconsciente !
La garder ?
...

Elle a osé, cette mère ingrate. Il faut dire qu'à l'aube de ses seize ans, elle avait autre chose à faire que pouponner présentement, et même en général. Et comme elle s'était mariée trop jeune et qu'elle s'était laissée avoir par un mari agonisant doublé d'un fantôme, la vue de sa fille, qu'elle aimait pourtant au fond d'elle, lui rappelait de mauvais souvenirs.

Tu vois, je l'ai amenée parce qu'elle s'ennuie avec sa... nourrice.

Nourrice qui a plutot des allures de couvent, mais elle était quand même assez mûre pour savoir que dire cela la ferait passer pour une mère ingrate, même si elle l'était déjà un peu.
Elle sourit à la Princesse des Fées tout en espérant qu'elle serait d'accord pour jouer à la maman avec un poupon plus vrai que nature.

Mais euh... Si tu pouvais ne pas l'abîmer...

Précision importante, elle avait déjà eu vent des actes de Yolanda sur les Chevaliers du Chaos de son frère, et elle ne tenait pas vraiment à retrouver sa fille décapitée, ou autre réjouissance pas vraiment réjouissante, d'ailleurs.
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Zahra.2
{L'arrivée de l'enivrée lorraine, mère d'une "fée" il parait! }

Ne pas se perdre était sa mission à la Zahra,
bien beau le Louvre tout ça, mais c'est que la brune n'est pas trop habituée à sortir, surtout que sa fille lui avait fait parvenir quelques jours plus tôt un paquet enfermant une houppelande, pis plein d'accessoires , qui la rendrait un peu plus féminine, avec un message " Lâche tes armes Zahra, à Poil! vient pas en me foutant la honte" un truc dans le genre,
sérieux, quelle fille indigne cette Calyce, avoir honte d'elle, une militaire pleutre digne de son duché d'adoption, assez fière de porter ses armes de Beaulieu-en-Argonne, avec une démarche qui fait tourner les têtes, "ça titube grave", beaucoup ont tenté de copier son style , toujours copié mais jamais égalé qu'on dira !

Elle était bien triste de faire route seule, pourtant elle avait bien demandé aux Vicomte, Vicomtesse Von Frayner de venir, elle avait été invitée, pourquoi pas eux ? namého, d'autant plus qu'elle avait fait une grosse partie de la route de Lorraine au Royaume de France avec eux,
son "déguisement" de la journée était lourd à porter, ça trainait de partout, la seule chose qui la soulagée c'était qu'elle était enfin arrivée aux portes "du rendez-vous", mondain, qu'elle se disait, pis qu'elle était à "deux doigts" de voir les créations de Calyce, bien qu'elle en portait une de "robe", mais était-ce , une "griffée C" , aucune importance, elle était là , c'était le principal.

Elle salua la personne qui s'occupait des "laisser passer", pis chercha après son invitation, .....manquait plus que ça, l'avait un peu perdu dans son fouillis de voyageuse, ... par chance, le parchemin était resté intact, légèrement trempé d'alcool, c'est que l'alcoolique notoire lorraine avait tendance à mal refermer ses flasques, ce qui laissait trainer un parfum "mirabelle" un peu partout dans ses affaires, pour la plus grande joie de ceux qui adore cette liqueur et au désespoir de ceux qui ne supportent pas la "senteur".

Elle se présenta ainsi,

Bonjour, je suis Zahra Baronne de Beaulieu-en-Argonne en Lorraine, j'ai été invitée...


Son regard se porte sur la salle, espérant n'avoir rien raté,
elle cherche à reconnaître des visages, celui de Barberine la surprend, décidément le monde était petit et c'était avec une joie qu'elle allait passer cette semaine au Louvre, des rencontres, des retrouvailles, pis peut-être que pour une fois, elle pourra être sacrément fière de sa mioche ou pas!

Bon, pensez à ne pas trébucher, pis pas "taper la honte à la petite Fée Calyce", tentez d'oublier sa flasque pour mieux admirer les défilés, pis faire les yeux de "Cosette" à sa fille, peut-être qu'avec un peu de chance elle repartira du Louvre avec des caisses pleines de robes.... après tout elle était à Paris, s'était bien fait influencée en Lorraine, adepte de la Mirabelle, ici elle deviendra "fashion victime", poupée à habiller allez zou.

Mode bon chic, bon genre pour la semaine, enfin tant qu'elle garde le clapet fermé, pis qu'elle reste sobre.


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"Aléa jacta est"
Barberine




un nom familier annoncé à l'entrée de la salle.

une silhouette qu'elle reconnaitrait entre toutes.

Décidément le monde était petit.

Zahra le seul visage familier de cette assemblée.

Avec un grand sourire, elle se remémore les fantaisies de la jeune femme et les ...chut même les pensées peuvent parfois être si fortes qu'on les entend.

Elle compte bien passer un moment agréable à rire , à essayer des toilettes, à se choisir les plus exotiques en compagnie de l'exubérante jeune femme.

Restant un peu en retrait, elle regarde autour d'elle s'il y a un point de ravitaillement, à coup sur c'est là que les deux amies se rejoindraient pour festoyer, sans débordement bien sur.

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Fallgor


[Pelouse royale et planches en chauffe]

Ah, l'arrivée du Printemps ... De belles choses pointaient le bout de leurs nez/pistils/étoffes. Du renouveau, Charles en avais plus que besoin actuellement. Plusieures blessures s'étaient crées, certaines refermées jusqu'au prochain combat. Aussi, quand Stephandra était venue leur proposer une mission en plein air, avec que du gratin et surtout de beaux vêtements, bref une mission facile qui lui permettrais de lui changer les idées après ces mois de convalescence, il ne s'était pas fait prier.

Sachant que l'évènement était tourné vers l'esthétisme, il avais revêtu une tenue simple mais élégante : une chemise blanche bouffante aux poignets, auquels étaient attachés de petits rubans pour qu'elle ne gêne pas ses mains, au cas où quand même hein, des braies bordeaux. Sans compter son éternel attirail : ses bottes renforcées, sa brigantine et son épée ainsi sa cape blanche frapées de la croix de l'Ordre. Il se doutais qu'il était loin de faire l'ombre au futur défilé, et celà lui allais parfaitement. Un garde se devais d'ête efficace, mais surtout discret.

- Qu'il soit su que pour la sécurité de chacun, voici la Garde Royale !

Charles releva les sourcils tout haut, modèle arche gohique, alors que la Capitàn les dirigeais vers zee place tou bee et qu'on les annonça ! Alors ça, il ne s'y attendais pas, on peux bien le dire. Il ne rougirais pas tout de même, ce n'est pas une annonce qui allais le faire tomber de son cheval - qu'il avais par ailleurs laisser tranquillou à l'étable - aussi il fit un léger sourire à l'annonciateur et inclina la tête pour le remercier de l'acceuil. Pas discret, mais bien agréable.
Il lança un coup d'oeil à Stephandra, laquelle lui fit un léger signe de tête qui étais sa manière de dire : "Maintenant, met-toi au boulot et vas à ta place".

Ce qu'il fit prestement, près du trône jusque la vide detiné à recevoir le royal popotin, plus précisément à l'arrière gauche. Il sourit légèrement en pensant qu'il serais probablement l'un de seuls non-fieffés aussi pret de la Reyne dans cet évènement strictement sélectif. Enfin, il commençais à prendre l'habitude d'évoluer dans un monde qui n'était pas vraiment le sien, quoi que.

L'analytique pris le dessus. Il scruta la scène et les emplacements que prendrais les invités. Bien qu'il ai vu le plan, le réel et toujours plus percutant. Distance, tout ça quoi. Il se mis en faction, une main posée nonchalement sur le pommeau de son épée. Aucune geste brusque ou aggressif, de toute façon il portait les couleurs de la Garde. Il attendais que tout se mette en place. Heureusement, il n'était là que pour garder, et non pas organiser. Charles se demandais vraiment lequel était le pire en cette si belle journée.

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Keridil
Travail à la chaîne.
Les arrivées se rapprochent et se font machinales. Des saluts, des sourires, des invitations à s'installer.
Voilà le credo qui va devenir tellement, tellement familier.
La valse des accents, venant de tout le Royaume de France, n'a de cesse de faire entendre sa douce musique aux oreilles du brun.
Un impérial par-ci, un languedocien par là, et d'ailleurs...pas d'Orléanais ?
Ce ne sont pourtant pas ceux qui seraient le plus en droit de se dispenser de conseils en matière de mode, et Orléans n'est pas si loin de Paris.
M'enfin soit.
Un visage connu fait toujours le plaisir de l'Amahir, qui alors se montre encore plus courtois qu'avec les autres et y va de sa remarque personnelle.
Par exemple ?


Le couple de Hasselt, des Auvergnats, comme Maman, si sa mémoire est bonne.

Vicomtesse Rhiana, Vicomte...le plaisir est partagé, et...on ne peut pas toujours porter une cotte de maille. Il faudrait que vous veniez à Alluyes, cet été. Je pense que ma mère serait heureuse de vous revoir.
Bref, ravi que vous soyez venus à cet évènement, vos places sont en rangée III. Bonne semaine !


Puis de faire suivre la baronne de Beaulieu, avec un sourire courtois et aimable, comme on le fait pour tout ceux qu'on ne connait pas, mais qu'on estime tout de même de par une invitation qui en dit long sur le Pedigree de son détenteur.
Le soleil monte, monte et monte, et assoiffé, le brun se risque.


Dites moi, vous !

Oui, il parle au sévère.

Vous iriez me chercher une fiole, remplissez là de bière fraîche, ou de quoi que ce soit d'autre, mais frais, je vous prie.

Qu'il est bon de voir un homme de cette trempe et d'un tel caractère à son service.
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Ricco
encore une mission Vii Haiiiieeee PPpiiii pour Ricco ! Il n'avait pas trop réfléchi pour accepter la mission. Mais avait-il le choix ?? non ! un garde royal ne refuse jamais une mission d'escorte de la Reyne.

Ricco aurait voulu un accueil un peu moins chaleureux de la part du maître de musique de l'endroit. D'un autre coté, on devait bien se douter que si la Reyne était présente, la garde suivrait, voire même précéderait.

Signe de tête de la capitaine qui voulait tout dire, Ricco fit un petit tour de l'endroit, un petit tour de vérification quoi !

Cette fois-ci pour ne pas trop se faire remarquer comme lors du banquet à Reims, il avait décider de prendre place à la gauche des coulisses. Comme cela, il pouvait avoir un œil sur le trône, sur les invités et sur le défilé lui-même.
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Cassian_darlezac
[En coulisse également]

Qu'est-il donc venu fiche ici ? Voilà la question que se pose l'intrépide bourguignon, alors que les bras ballants il voit tout le monde s'activer autour de lui sans savoir quoi faire. Le voyage s'était pourtant bien déroulé, prémisse d'une semaine agréable et riche en amusement. Discrètement son regard se pose sur sa sœur qui ne semble guère plus réactive, alors un sourire nait. Tout se passerait bien, il n'y avait pas lieux de s'inquiéter, n'est ce pas ? Et si certains le cataloguaient parmi les chochottes pour avoir osé aller parader au Louvre telle une jouvencelle, il s'en cognait éperdument. Oui, il en avait rien à faire puisque s'il le faisait, il le faisait pour Elle !

Mais qui est Elle vous demanderez vous ? Eh bien Béatrice de Castelmaure-Frayner, tudieu ! La seule, l'unique, l'élégante, l'admirable, la royale Béatrice. Il avait là une chance inespérée de pouvoir l'éblouir et il imaginait déjà son regard radieux se poser sur lui alors qu'il exécuterait un salut digne des rois. Alors elle s'avancerait les joues légèrement rosées, ferait fie des témoins d'un amour déraisonné et lui tendrait la main pour un chaste baiser...

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Jehanne_elissa
La Fashion Week… la voila en route pour la Fashion Week des Doigts D’or. Ben oui elle ne pouvait pas ne pas y aller et ceci pour plusieurs raisons, ou plutôt ne devrions-nous pas parler d’excuses ? La jeune Goupil aime bien avoir « plusieurs choses qui la poussent à », c’est rassurant, ça donne l’impression que tout est sagement ordonné, que tout a un sens et suit un fil bien défini. Et dans le cas présent les raisons sont au nombre de trois, trois choses qui la poussent à. Primo elle a reçu une invitation et on sait la jeune Vicomtesse un tantinet mondaine. Secundo Eilinn y sera et ça, ça aurait pu être la première raison, c’est tout du moins une des raisons de cœur. Et tertio et bien… C’est une fille, une jeune fille que dis-je, une ado donc assez attirée par les tissus, les jolies couleurs, qui peuvent mettre en valeur. Donc la voila qui saute du coche frappé des armes Volpilhat et qui se dirige vers les jardins du Louvre.

Au creux de ses bras : une de ses plus belles. Une de ses chéries, une de ses plus jolies, une des favorites. Une des lapins Princesses, conçue certainement durant le sacre de Béatrice, une jolie et jeune lapine d’un blanc immaculé avec pour seule couleur, qu’on pourrait dire faire tache mais qui n’est en réalité que charme, un rond noir sur le sommet du crâne. Cette belle lapine a sang bleu vif se nomme très modestement Son Altesse Carlita et c’est sa première sortie mondaine d’où les égards et la douceur de la Vicomtesse pour sa Princesse au poil blanc. Quand on décline son identité la jeune Goupil adresse un gentil sourire tandis que Martha tend l’invitation avant d’entrer, le regard vert cherchant ça et là un visage connu. Enfin, chercher… Bien grand mot.

Il se pose aléatoirement sur une coiffe, sur un visage sans jamais se satisfaire car il ne cherche que des cheveux bruns cours et des yeux d’azur. Et finalement ils tombent sur cette silhouette connue et aimée, celle de sa meilleure amie, n’oublions pas, best friend for ever, et peut-être encore plus qu’avant depuis leur discussion nocturne en Bourgogne… Et à la jeune Goupil de fondre comme un V8 vers son amie, Carlita bien serrée contre elle, de s’apprêter à des salutations bruyantes et joyeuses avant de voir une dame qui lui est inconnue avec elle. Alors on se calme, on adresse un grand sourire « toute dents du bonheur à l’air » pour l’inconnue, on serre de sa main libre l’avant bras de son amie puis on incline la tête.


- « Bonjorn Eilinn ! Je suis si contente de te voir, il fait si beau et il y a tant de monde ! Les journées à venir seront certainement radieuses avec autant de belles choses et de belles personnes… Mais je m’excuse de vous interrompre. » Nouvelle inclinaison de tête et grand sourire adressé à la dame. « Je m’appelle Jehanne Elissa de Volpilhat, heureuse de vous rencontrer Donà…? »

Et un regard à la fois amusé et gêné qui va d’Eilinn a la dame. Oui, aujourd’hui plus que les autres, on vit au pays des bisounours, tout est joie et bonheur, aimez-vous tous elle vous aimera encore plus ! C’est le Printemps !
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Akane
Normandie, le Louvre.
Etape dans un hostel non loin. Et bien non, la normande ne revêtirai pas de robe, mais cependant, elle porterait une exclusivité des Doigts D'Or, spécialement confectionnée pour elle. Braies, chemise, bustier, cape et cuissardes, le plus simplement du monde.




Tenue défroissée, cuissardes lacées, elle se fit mener aux jardins dans sa voiture, en descendit rapidement, bras en écharpe suite à une récente brulure au poignet.

Un Keri Keri Keriiiiiiii en vue, elle alla le saluer :


- Bonjour mon cher ! Ai je besoin de me présenter ? Comment allez vous ? Désolé de ne m'être pas rendue aux festivités en votre honneur mais...


Désigne son bras...
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Par la plume, et l'épée !
Fabien74
Pssshht psspssspss ssshhht

Plaît-il?

Mon âme! Nous ne serons pas annoncés? Mais quelle est donc cette ineptie?

Devant le visage contrit du valet, le vicomte esquissa une moue indifférente.

Tudieu, les gens de Paris ne sont peut-être pas plus raffinés que les provinciaux après tout!

Rassénéré, son épouse au bras, le vicomte traversa la cour du Louvre, où ils avaient laissé leur voiture.
Lors qu'ils s'apprêtèrent à pénétrer dans les jardins de la forteresse, le couple hérissonnais fut accueilli par celui qui avait mené les négociations pour Orléans, à l'union des deux fleuves.


Bien le bonjour Excellence, ravi de vous revoir en d'autres circonstances.

Le visage de l'Auvergnat se barra d'un sourire franc.

Cette semaine promet d'être pleine de surprises!
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