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[RP/IG] Bericons, brecons, potons, TOURANGEAUX

Fullmetalmalone
Dormant à poins fermés après les combats des derniers jours, il n'entend pas tout de suite le messager qui frappe à sa porte

Hum... Oui... Oui?! Qui va là?

FullMetal enfile prestement son pantalon et attrape son épée puis ouvre la porte

C'est pourquoi? ... Ah Falco me demande? Tout de suite et avec ma culotte?
FullMetal éclate de rire en repensant à la scène de la veille

Pas de problèmes je l'enfile et je me radine

FullMetal s'équipe et sort

Un temps de chiotte pour une période mouvementée, fallait s'y attendre...

FullMetal s'avance au milieu du camp, repère le logisticien de l'armée et se met au garde à vous devant lui

FullMetal, chef de section au rapport

FullMetal sourit avant de lancer une boutade à Falco
J'ai une culotte et tout mon équipement, selon tes instructions
_________________
Amicalement,
FullMetal de Vendôme.
Gatimasse
Chateau de Tours, les coffres forts du duché...

Et t'oublieras pas Falco.
Groumpf mince, bordel...
1 pain, 2 pains, 3pains... ralala mais il en veut combien déjà?

assez pour les troupes en vadrouille, il a dit que des pirates ca avait faim, très faim..
Voyons cela...
Bon on a du stock, je vais aussi mettre du maïs en bonus, ca fera plaisir aux soldats, espérons le.

autant mettre de la viande alors nan?
boarf, nan ca je prefère les garder pour le conseil ducal et l'etat major vois-tu... ben vi hein... ca se périme vite, alors que le pain et la maïs, ca se garde longtemps dans le baluchon!
Ah ouai pas faux.
Bon tu prends ca, tu mets ca sur une charrette et tu livres a mon maitre.

Gati met un petit mot sur le colis:
Citation:
Cher Maitre,

comme demandé, voici le ravitaillement pour les troupes. Il y a plus de pain que prévu et je t'ai mis du maïs en bonus, pour le sourire de nos edentés!
Tu es prié de ne pas retourner le cerveau du livreur, il m'est précieux, donc ne l'enrôle pas!
Rends moi la charrette en bon état s'il te plait... pas comme la dernière fois, pleine de sang ennemi! j'aime ca mais c'est un calvaire a faire nettoyer!

Ta Gati adoré.

_________________
Enragée, énervée, méchante, tous les défauts du monde réunis en un même être.
***
Commissaire au commerce de Touraine
Phyladelphia
Phyla revint au campement et vit que Falco avait fait l'appel des soldats
elle laissa Brume avancé en longeant les rangs alors que Falco l'annonca au troupe...
Elle arreta son cheval et le fit tourné face à ses soldats... et commença...

Citation:
Soldats…
On dit de nous que nous sommes une armée de tête brulée… moi j’en suis fier car je sais que je vais pouvoir compté sur vous pour aller casser du Bretons
Nous serrons les meilleurs
Les bretons sont à Saumur et nous allons surement très bientôt monter en ligne
Soyons fort et fier
Nous avons dans nos rangs de grands soldats et j’ai déjà combattu les Bretons par deux fois et j’en suis revenue entière la seul chose qui m’a blessée c’est quand mon frère m’a utilisé comme bouclier
Allé trêve de plaisanterie
Nous sommes les meilleurs beaucoup ce sont joint à nous pensez-y
Haut les armes
Allons casser du breton

Maintenant cartier libre jusqu’à ce soir
Mais restez sobre... nous ferons mouvement ce soir...


Brume ce libera en faisant une belle ruade
Phyla le repris un peu et souria à ces soldats...
Elle longea a nouveau les rangs au petit trot
Falco libera les rangs et Phyla entra dans sa tente pour consulter à nouveau les cartes
_________________
Falco.
Chinon- Tente de la Capt'aine de la Vivum

Ser Davidus..Avez la trogne d'un gars qu'à trouvé les clés d'un couvent et y a passé la nuit..


Lui même s'est installé à l'entrée de la tente sous le auvent qui se remplie d'eau . Les averses succèdent au crachin qui adore lasser la place à des orages .
La brigandine finement dépolie et dénuée de tout éclat par un travail soigneux et de la prêle des bois.
Il suivra la réunion et y participera tout en frottant la visière démontée de sa salade avec l'herbe siliceuse.

Un oeil dehors et l'autre dedans.
L'épée .
C'est un autre détail pour les arrivants.
Elle est posée en travers de ses genoux.
Nue.
Le fourreau est dans le boue. A la place, une chainette relie la garde à la brgandine.
Elle n'a pas plus d'éclat que l'armure.
Aucun reflet , même au tranchant.
Un vaste sourire croise sa balafre béante, faisant briller les dents misent à d'un coté.
Heureux de voir que les sous off rappliquent et que la vivum bruisse sous l'ondée.


Davidus....Gaffe à la Capt'aine..Elle est un peu à cheval sur les manières..
Oh..Esta!


L'air de rien il verifie que la pétroleuse n'a pas de tonnelet sous le bras et une bougie dans la main.
Il stoppe son polissagepour lui faire signe d'approcher d'un geste de son bras droit clos en moignon.

Tu viens aux nouvelles, hein?
Bah j'en ai une bonne pour toi..T'as une promotion.
Chef Sapeuse.
La Vivum est cavalerie, on peut pas trainer de l'artillerie...Au mieux une petite couleuvrine..Par contre avec de la poudre...On peut vachement rigoler ..Trouves toi un aide...Mais comme t'es la..bah tu veilleras à ce que les godets restent pleins mais se vident pas trop vite avant que la Capt'aine arrive..


Une idée derrière la tête le Falco? Tss....Comme si!
Le doux chant de l'herbe broyée sur le fer reprend.
Nouvel arrivant, qui malgrés la pluie est précédé d'un furieux parfum luxurieux.


En plus elle est l'endroit! Ah!Ah!..Ta Culotte! Va boire un godet, la Captaine va pas tarder.
Il est sympa ton parfum Full...Uh!Uh! Aller..Au boulot!
Et au fait..Voila pour toi...


Il lance une petite bourse surgie d'on ne sait où.
Des fois ce manchot semble avoir autant de pattes qu'un phasme.
D'ailleur il ressemble à ça.
Un phasme en armure.
Un clin d'oeil et c'est terminé.


Sur ces entrefaits, car contrairement à ce que les paysans croient, une armée en position ça grouille d'activité, une charette bien chargée arrive dans des gerbes de flaques et des mugissements de boeufs.
Sourcillement.
Déjà?
C'est les autres armées qui vont raler si ses combines de ravitaillement fonctionnent à cette vitesse!

Et une Capitane qui déboule dans la foulée!
Discours bref et clair.
Comme ça les sous off et toutes les oreilles dressées sauront pourquoi ya du remue ménage.



Jolis mots m'dame Capt'aine!

Hum....En selle! On s'bouge! Changement de position!
Emportez juste les chevaux de remonte et vos harnois! Chacun son paquetage! Pas d'charettes, pas d'civils, pas d'catins dans le convois!
Et oubliez pas..Sommes la cavalerie...La FOUTUE cavalerie de la Royale Touraine! Si j'vois un pieton ou un poney j'l'éventre pour me faire un hamac de ses boyaux!



Ca c'est adressé aux chefs de sections d'une voix basse et sans appel. Toujours souriante. Mais d'une façon qui se marie super bien avec les croix et stéles du cimetiére en arriére plan.

Il se léve.

(Edit pour cause de Captaine qui discoure pendant que j'plume )

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Othilie
Chose promise, chose due, Othilie avait pris ses quartiers au campement militaire.

La pluie ne cessait pas et le va et vient des charrettes de ravitaillement creusait de belles ornières qui s'emplissaient peu à peu.

Elle était affublée d'une tenue ayant probablement appartenu à un soldat qui en avait terminé de son existence terrestre, quelques taches sombres maculaient encore son tabard.

Elle pria pour son âme tout en se dirigeant vers la tente de commandement.

Elle n'eut pas le temps d'y pénétrer que la Capitaine donnait ses ordres.

Citation:
Mais restez sobre... nous ferons mouvement ce soir...


La jeune femme s'offrirait tout de même un gobelet de prune, histoire de se donner du coeur au ventre.

L'heure était venue vérifier le harnachement de la jument plus très jeune mais fidèle compagne de la jeune femme.

Dressée par les bons soins de Phaleg et offerte par son amour d'antan elle savait que l'animal ne broncherait pas quand l'ordre de marche serait donné.
Fullmetalmalone
Attrape la bourse pleine d'écus en souriant

Comment tu sais qu'elle est à l'endroit ma culotte d'abord?

S'éloigne en direction de sa tente et se prépare au combat en aiguisant sa lame
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Amicalement,
FullMetal de Vendôme.
Keane
"Keane attela sa vielle monture défraichie par une traction intense sous la mauvaises augures de pluie et de vents.
Mais qu'importe a cela, la bête trainer quelques choses de précieux, des victuailles fraiche pour améliorée le moral de l'infanterie, avec les évènements a venir Ser Falco a fait ce qu'il fallait pour assurée la satiété de ces hommes et de ces femmes qui avait rallier son blason."


Il prenez soins de ces hommes, c'était sans doute la qualités la plus remarquable de ce commandant qui faisait tout son possible pour donner une impression de confort sur "le champs de mars" et faire qu'il ne partent pas affaiblie par la disette vers une mort certaine ....

"Keane regarda sous la couverture tremper les précieux pain et les céréales dorée ... Malgré l'eau ruisselante, celle qui avait humidifier le ravitaillement. Cela donner faim. Tout ces monceaux de nourriture .. Il devait y avoir a vue de nez 800 écus de festins mitoyens. "


"A son arrivée la charrettes flambante neuve s'embourba a quelques mètre de la table prévu pour le déchargement, penchent d'un cotée elle aurait failli laisser la précieuse cargaison touchée le sol pâteux et grisâtre composée de roches et de terre gorgée de flotte ..."


Il repensa a ce que son père criée presque de temps a autre quant il arroser le gibier rosée d'une sauce au poivre et a la moutarde de dijon ...
La sauce cailloux comme ces messieurs adorent ...
Les pain gorgée d'eau en aurait sans doute était améliorée si il était tombée dans cette sauce cailloux ...

Il vit deux ou trois bedeaux hardi par le discours charismatique du chefs de section sans nul doute ... s'approcher l'air benêt de la mystérieuse cargaison pencher ... Malgré la protection miteuse que constituer la couverture les denrée était devenu soluble sous la pluie battante, "la soupe" comme ser Falco affectionne temps a la nommer ainsi ...

Mais l'expérience des campement lui suggérée de rapidement faire un feu et d'entreposer dans un endroit sec les précieuses douceurs de l'armée ... Et ceux afin d'éviter les moisissures, au delà de la simple coquetterie, éviter toute détérioration des qualités gustative d'une ration militaire suggère une mince chance .. parfois trop sous estimée ... de remporter la victoire.

Aussi allez t-il mettre tout son savoir faire a restaurée la cargaison, mais avant il fallait trouvée un endroit ou la stocker avant de la distribuée.

Vous trois, auriez vous l'amabilité de m'aider, ceci est votre pitance pour les quelques jours a venir, il serait dommage de les donner aux rats et aux nuisibles , faute de ne pouvoir les mettre a l'abri *tout en se frappent l'estomac* Alors je vous serez gré de nettoyer immédiatement la tente la plus proche et d'y déplacer "immédiatement" cette grosse table qui semble garnie de cent ans d'usage. Je vous en remercie par avance .


"Il sauta a pied joint de sa monture pour dégager la charrette , en espèrent que les trois passants soit assez affutée pour rendre la tente suffisamment propre et spacieuse ... Elle sera désormais la tente des cantines ... Farouchement défendu et humectent le bon pain griller arrosée de bouillon "d'herbes local" ... Il penser deja peut être braconner un ou deux lapins pour accompagner cette eau flouée ..."

"Mais pour le moment il se confronta au travail acharnée qui consisté a pousser la charrette hors du bourbier ... "


Au moins le ravitaillement est parvenu ... A nous les couards armoricain ?

Davidus48
Comment ça pas de catin dans le convoie ?

dit le barbu d'un ton scadalisé


Ben pourquoi ? et le repos du guerrier alors !!!, y en a qui charge, y en a qui ecorche, y en a qui empale et puis les autres, les planqués de l'intendance qui distribue le pain.

Et Falco, arrête de jouer avec ta poudre, tu pourrai de faire sauter ta jolie belle gueule, du moins ce qu'il en reste.


se tourne vers l'arriere et montre un petit soldat sur une mule

Et par contre, concernant la mule, suis désolé mais le Troll y tient pas sur un cheval. Il a jamais su tenir d'abord. Tout ptit il s'est pris un vilain coup de sabot.
Fin, j'voudrai pas raconté sa longue vie odorante.


se tournant vers Falco tout en crachant par terre

On fait le tour du village comme hier soir ou bien on pousse un peu plus loin. Hein Falco !!!!!



Falco.
A ton avis , outre à vin?

En selle! Sommes la pour nettoyer la route, pas compter les créneaux!
Et la Troll..Prend la en croupe . Ou qu'elle galope aussi vite que nous, nafout!


Il se marre tout en allant rejoindre l'escouade de tête.
L'oriflamme claque.
Semper Vivum.

Dans le ciel, entre les nuages lourds, brillent soudain 5 étoiles en direction de Tours.
On lui apporte son cheval, son écu et le banneret d'Oserez.

Dernier regard vers les étincelles celestes.


Joli présage...Poitou se croyait fort sous le ciel..Angevins avides de cette puissance.
Prestigieuse Touraine va soudain leur donner une bonne migraine! Ah!Ah!



Ordres qui fusent.
Vivres qui sont réparties sur une file de chevaux de bâts.
Une Sapeuse qui rale, des trainards qui se battent avec une monture excitée..

Ils sont quoi?
Une poignée.
Une grosse poignée.
Mais Touraine est bonne aux échecs avec des chevaux...


Des tours de Coudray s'envole une nuée de corneilles leuciques.
Elles ne quitteront plus l'aplomb de la Vivum.
Messagéres et charognardes.
Meilleur moyen aux alliés pour savoir ou est l'ennemi..Suffit de voir planer en rond les sales bestioles.



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Estainoise
Une promotion…Esta n’en demandait pas tant…mais puisqu’il s’agissait de veiller à l’équilibre de toute une troupe en assurant le remplissage des godets et du sien au passage, Esta….se plia à la commanderie.

C’est en exécutant sa tâche avec ferveur qu’elle vit arriver la commandeuse sur son cheval fougueux.
Ah oui, elle avait une belle allure la cap’taine….et elle et son équidé, passaient devant les chefs de troupe, très fières….en annonçant enfin ce que tous attendaient….

Héhé…..finit par exploser Esta…Alors là, c’est pour de bon….on y va hein ! et Esta remplit à nouveau les godets à tous sans oublier le sien….

Ils burent tous cul sec, réalisant au final que l’heure était grave….
Et le ravitaillement arriva, celui qu’ils attendaient avant de pouvoir enfin prendre la route….

Ils se regardèrent tous….et sous l’injonction de Falco, Esta finit par filer pour préparer le départ….tout en pensant….

Hum…ma poudre et ma gueul e de feu…..j’fais comment pour la mener ?????

Elle finit par rassembler ses maigres affaires puis elle fila vers l’écurie…..


Il me faut deux chevaux d’enfer avec équipage pour charrier ma gueule de feu, ma poudre et mes boulets de pierre….Ordre du capitaine….[
finit-elle par dire….
et faites vite, ça presse….

Esta devait avoir un charme fou et une autorité naturelle qui dépassait ses réels pouvoirs…..car en un clin d’œil, deux chevaux étaient attelés à une chariote de taille modeste mais suffisante pour trimballer son arme secrète

Vous savez où on va hein….j’vous force pas, mais si vous êtes bien de la vivum….ben, dites vous que là, vous trimballez une couleuvrine….et c’est pas donné à tout l’monde…

Esta, elle, sauta sur son fidèle étalon, Cabochard…..et la rapière en l’air….elle cria…..tout en talonnant son cheval…
Il est temps les amis…..allons…..

Et elle alla retrouva le reste de la troupe au galop, la chariote suivant !
Bon alors, c’est quand qu’on y va ?
Phyladelphia
En Campagne

Toute les armée convergèrent au meme endroit
Phyla au commendement de la sienne leva le bras et fit demis tour

Nous retons ici pour la journée
Ne monté pas les tentes juste la cuisine et quelque toiles pour habriter de la pluie
Une tente sera montée au centre pour le commandement
Déposer vos fatras mais garder vos armes
Que les éclaireurs montent aux points de vue
Falco ravitaillement de la taverne les troupes on soif
http://www.lesroyaumes.com/EcranPrincipal.php?l=5
Rassemblement des troupes pret au départ à la fin de la journée
Les ordres serons donnés ne soyez pas en retard...et restez sobre...


Elle talona Brume et partit en direction des autres chefs d'armées qui ce rassemblaient deja
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Hansreudi
[21 juillet..Loches, Domaine de Villandry...Départ en vacances]

Voilà, ça y était enfin. Depuis le temps que le balafré attendait ce jour. La fin de son mandat de maire et l'heure du départ avait sonné. Non pas que le poste de maire lui ait déplu, bien au contraire, il retenterait l'expérience sans aucun doute, un jour, peut-être..ou pas. Mais dans la vie, il y avait des priorités et retrouver sa femme en était une. Lui amener leurs gosses aussi. Le vrai cadeau comme tache qu'elle lui avait laissée. Et Piouf qui avait confié son gamin aussi. Le petit Jules. Enfin, lui on l'entendait pas moufeter. C'était pas comme leur exterminateur de rats. Lui par contre on savait quand il était là. C'est drôle, le balafré n'a pas réussi à remettre la main sur le chat de la veille. Juste retrouver une petite touffe de poil. A moins qu'il soit passé par la cheminée, il ne voyait pas comment la bestiole avait pu foutre le camp. Bon, encore une étrangeté de la nature.

Dernier jour à la fonction de maire de Loches. Les papiers bien rangés, tout propre, le bureau pas en bordel, pas comme les quatre dernières semaines. Il s'était même surpris à prendre un moment le balai pour nettoyer. Puis se voyant dans le miroir avec le balai à la main, il le jeta de suite. Bordel qu'est ce qui lui arrivait? Lui avec un balai à la main. Alors que jusque là, il ne savait presque même pas écrire le mot "balai". Enfin, si quand même, faut pas déconner. Toujours est-il qu'il avait bien fait les choses pour son successeur. Il n'aurait rien à redire. Pas une trace de poussière, pas une tache de pinard, rien, même pas un chat qui l'attend tranquillou roupillant devant la cheminée. Il était traumatisé par ce chat le Hans là.

Porte de la mairie fermée et verrouillée. Il fit de même pour son bureau au poste de police. Mais là il s'en foutait c'était lui le sergent et personne n'allait y foutre les pieds. Alors les papiers en bordel c'était le cadet de ses soucis. Un petit mot laissé sur la porte à l'intention d'éventuels visiteurs pour dire qu'il était parti en vacances mais restait disponible en cas d'urgence.

Direction le domaine de Villandry. Rassemblement de la marmaille.


Magaline......Tiero. Vos affaires sont prêtes? On part d'bonne heure, alors trainez pas.

Magaline, c'est quoi c'gilet en poils de zibeline que porte Tiero?? Il avait ça??

Bordel, c'est pas d'la zibeline, c'est des poils de chat qu'il a sur ses nippes le gosse. MeeeEEeeeeeerde, mais t'as fait quoi pour avoir tous ses poils sur toi mon fils?


Pas de réponse du fiston. Bon forcément l'est encore un peu petit pour expliquer ça. Puis à part trifouiller une épée ou un marteau et courir après des muridés il prêtait pas trop d'attention à ce que pouvait bien lui raconter son père. Il s'en balançait comme de son premier change. Le gamin avait les yeux brillants, le nez rouge, et naturellement, tout pour faire chier avant le départ, le front chaud. Voilà qu'il était entrain de nous faire une poussée de fière le gosse. Alors forcément y va pas venir sinon y va en attraper un peu plus. Forcément sa mère va se demander pourquoi il est pas venu. Lui va dire qu'il est malade et qu'il a du le laisser sous la garde des larbins du domaine, forcément il va se faire engueuler. Fait chier ce gosse. Pas d'autre moyen que de le laisser ici. Sûr y va se faire pourrir, mais pourrir....fait chier ce gamin à tomber malade le jour du départ aussi.

Et leur môme qui mettait des plombes à descendre. Puis alors quand elle pointa son nez il ne fut pas déçu pour le coup. C'était la moitié de sa chambre qu'elle avait foutu dans les malles. A croire qu'elle partait en expédition scientifique. Tout juste s'il n'y avait pas son lit. C'est vrai qu'elle avait exprimé le souhait de se marier et de peut-être chercher un époux sur Tours. Alors comme une femme ses malles devaient être pleines de robes, houppelandes, manteaux et trucs de gonzesses en tout genre. C'est pas grave s'il n'y a plus de place dans la voiture, son père courra derrière jusqu'à la capitale.


Chérie, tu vas m'en laisser un peu ici hein!!! j'veux bien être gentil mais c'est pas moi qui vais me taper à porter tout ça en arrivant. Manquerait plus que j'me fasse un tour de rein en portant tout c'bordel et c'est l'auberge du cul tourné en arrivant à Tours. J'm'y vois bien moi allonger sur le plumard entrain de gémir à dévorer ta mère des yeux, la bave aux lèvres sans pouvoir rien faire. Alors tu m'en vires un peu. Et quand j'dis un peu, c'est la moitié. T'sais y ont des chambres à Tours, sont civilisés, pas la peine d'emporter ton pieu. Allez, zou, file, et reviens avec ce qui est prioritaire. T'as.......20 minutes.

La jeune Reudi allégée du superflu, un bisous sur le front de Tiero et c'est presque en courant qu'il fila se foutre dans la voiture après avoir tout chargé. Il n'avait encore pas cet automatisme de faire travailler les larbins. Ils ont bien du se foutre de sa gueule. Va falloir que ça change ça aussi.

Et c'est enfin le départ. Il espérait ne rien avoir oublié. Bon, il avait les bourses bien pleines. Et c'est rien de le dire. La Châtaigne lui avait demandé de venir avec de l'argent, qu'elle en manquait. C'est étrange comme c'était souvent le cas. Il lui manquait toujours trois sous à son épouse. Lui par contre gardait jamais rien. Enfin, ce qui est à lui est à elle et ce qui est à elle....ben est à elle. Rhoooo non, c'est pas vrai, elle avait déjà suffisamment craché au bassinet pour lui offrir son moulin et son champ, il allait pas jouer les pisses-vinaigre à se plaindre pour quelques malheureux écus. Tant qu'il lui reste de quoi boire.


Allez fouette cocher, et fais pisser l'écume des naseaux d'tes ch'vaux.


[22 juillet, arrivée à Tours. Retrouver son épouse et la serrer dans ses bras. Et aussi se faire rafler son pognon]


Au petit matin, la capitale était enfin en vue. Une ville en état de siège. Des soldats grouillants de partout. Des contrôles strictes et systématiques aux portes de la cité. Il fallait montre pattes blanches pour y pénétrer. Le balafré blêmit en voyant les étalages du marché. Heureusement qu'il avait emmener de quoi bouffer parce que là les Turons devaient certainement sucer des cailloux pour pouvoir s'alimenter.

Dans un de ses courriers elle lui avait parlé d'une auberge dans laquelle elle s'y rendait régulièrement. Elle avait surtout évoqué celles qu'elle évitait. Renseignement pris auprès des pensants avec le nom de la taverne en question et voilà l'établissement enfin découvert. Ça n'avait pas l'air trop pourri, ils pourraient dormir ici la nuit prochaine. Il donna l'ordre au tenancier, qui venait de sortir dans la rue à leur rencontre, de faire décharger leurs malles et de les monter dans deux chambres qu'il aurait. Héhé, c'est pas lui qui allait se taper les affaires de leur môme. Le visage plaqué sur les vitres teintes de la taverne et son coeur manqua de sortir hors de sa poitrine. Sa Belle était là. Assise à une table. Son épouse, enfin, il l'avait retrouvée. Plus qu'une chose à faire courir vers elle et la prendre dans ses bras. Mais fallait d'abord se débarrasser de leur gamine. La Châtaigne voudrait certainement la voir, mais le balafré ne souhaitait pas se la payer dans les pattes durant les quelques heures suivant leurs retrouvailles. Une idée lui vint en tête, une qui allait lui coutait du pognon, mais baste pour ça. Il voulait sa Belle pour lui et rien que pour lui ce matin, et il raconterait qu'elle...est fatiguée et se repose. Il fait dans l'original.


Ma chérie, va te reposer un moment, monte dans ta chambre et après si tu veux aller faire un tour en ville, voici 50 écus, de quoi te faire plaisir en achat. Ahhhh tu vois que toi t'as un bon père. c'est pas tous qu'aiment leur fille de cette manière. Allez, repose toi ma fille.

Hop!!! L'affaire était dans le sac. Restait plus à allait retrouver celle qui enflammait son esprit depuis des jours. Celle qui troublait ses nuits dans des rêves endiablés. Mais là c'était la réalité. Elle était bien là.

Il se voyait déjà courant vers elle, c'est ce qu'il fit d'ailleurs, courant vers elle donc tel un guépard fonçant droit vers sa proie. Elle se jeter dans ses bras en criant "chérieeeeeeeeee !!!!!" Lui ses vêtements s'évaporer au fur et à mesure qu'il avançait vers elle, hop, une chemise en moins, hop les bottes qui fondent et hop, les braies qui tombent. Se retrouver nu comme un ver et se repaitre de son corps durant des heures et des heures.

Ben c'est presque comme ça que ça s'est passé. Jusqu'au..."Elle se jète dans ses bras". Bon, y eu bien quelques baisers torrides d'échangés. Mais il y avait cru jusqu'au bout. Surtout le moment où elle se mit à lui tâter les bourses. Lui qui espérait qu'elle trouve celles qui étaient sur le point de faire voler ses braies en éclats. Mais non, elle s'arrêta à celles qui contenaient ses écus. Et alors le terrible: "Donne moi des sous, je veux ouvrir une auberge" fit du cobra dressé droit vers le ciel prêt à fondre sur sa pitance, une couleuvre pendouillant tristement dans les braies le long de la jambe. Bon, il faut avouer qu'au petit matin, en taverne, après plusieurs jours de séparations, il y avait certainement plus romantique comme manières de se donner l'un à l'autre. Mais lui et le romantisme c'était un peu comme le verre d'huile versé dans l'eau, ça se mélange pas.
Il faudrait patienter jusqu'au soir...Et bordel de chié....

Alors c'était une auberge à présent. Encore autre chose. Puis c'était déjà tout prêt dans la tête de la Reudi. Elle avait déjà trouvé le bâtiment, commencé à aménager l'intérieur, ahhhhh non y a pas à dire, ça elle avait bien fait les choses. Y manquait juste les derniers deniers pour faire le joint. Ben c'était bon, il était arrivé avec le reste.

La Semper Fi qu'elle voulait appeler sa taverne. Ben en avant pour la Semper Fi alors. Et le balafré comme tavernier. Et ben allons-y......Y se fera moins chier qu'à Loches en tous cas.

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Tayabrina.reudi
Nul doute, la commandante était aux anges. Son sixième sens lui disait que l’heure approchait où enfin elle allait retrouver son époux, ses enfants et être soulagée de les avoir près d’elle. Tours premier jour : La châtaigne s’évertua à éviter avec justesse les personnes qu’elle ne voulait pas voir. Elle prit son mal en patience en attendant que son époux arrive de Loches. Elle se prit d’amitié avec la Vicomtesse D’Hayange, attendant que les moments où elles pouvaient se retrouver un peu libre et ensemble elles allaient se rincer le gosier dans une taverne la proche de leur campement.

Elle n’aimait pas l’idée de se retrouver dans la capitale mais obligation et sécurité du château la força à boire son huile de foie de morue à grande gorgée en se bouchant le nez.


Aide moi seigneur, mon époux me manque et leur taverne me donne le frisson. Garde moi de tomber sur ceux qu’il ne faudrait pas. Tout cela sur un ton ironique bien sûr.

Elle y arriva. Chaque soir la troupe se retrouva en taverne, ou comme a l’accoutumé Rat égayait l’ambiance et permit à la châtaigne de ne pas se stresser. Elle voulait repartir sur Loches mais était tout bonnement handicapé avec L’armée qu’elle menait. Falco devait bien rigoler derrière sa chope de la savoir en stationnement sur la capitale. Le bougre lui avait plus de chance de se mangeait du breton.

Rien qu’à cette pensée la châtaigné fulminer. Ainsi donc ses chaussons étaient bien en or à la pulpeuse!

[23 Juillet, Tours Chéri je veux une auberge Turonne]

Plus qu’à attendre le balafré qui pointe son nez avec les enfants. Elle avait fleuri une idée de plus réjouissante, avoir sa propre taverne àTours et ainsi pillé une bâtisse sans avoir l’impression de ne pas être chez soi. Qu’on le veuille ou non, jamais elle n’avait ressenti un sentiment de bon accueil à Tours, et cela allait changer. Tourangelle jusque le dernier goûte de sang. Pas question de laisser la capitale si délaisser, a défaut de ne plus pouvoir rattraper les âmes perdues, sauvons les nouvelles.

Dès que l’époux se pointa la main chaude parcourait avec assiduité son corps, s’arrêtèrent sur sa convoitise, les bourses des tunes de son époux. La bourse semblait bien pleine.

Chéri je veux bien que tu m’offre une auberge à Tours, je veux, je veux !

Refuser cette demande serait frôler la mort, car la châtaigne savait foudroyer rien qu’avec son regard. C’est à ce moment où elle attendait la réponse de son époux. Qu’elle se rendit compte que ses enfants n’étaient pas avec son tendre. Soit, peut-être bien que monsieur avait jugé bon de les laisser à l’arrière. Parfait, elle aura moins d’arrière a protéger et sera à même de protéger avec acharnement « ses hommes » (n’imaginez pas le pire, c’est de ses soldats que je parle ^^) à elle.

Maintenant mon époux que vous m’avez offert l’objet de mon désir à Tours, ce soir c’est avec obéissance que je vous servirai. On trouvera bien un coin sur les remparts.

Un clin d’œil à son époux, ils regagnent la Semper Fi. Y avait de l’organisation à faire. Notamment se préparer à prendre l’ennemi dans le filet.
_________________
Drunk
[Samedi 23 juillet, la Semper Vivum en mouvement quelque part entre Chinon et l'Anjou]

Un homme restait à l'écart, comme si cette guerre n'était pas sienne et pourtant ...

Drunk savait que Ser Falco en connaissait long sur son sujet mais il ne pouvait pas s'imaginer comment le très haut jouait avec eux. A tel point que le rougeaud se demandait si ce n'était pas le sans-nom qui avait repris les commandes de sa destinée.
Et ses nouveaux compagnons de route pouvaient déceler ses doutes tant son visage affichait un air sceptique.

Deux jours auparavant la Pitaine avait fait un discours. Drunk avait affiché un large sourire comme si une révélation lui avait été faite.

Puis il s'était occupé du destrier que l'on lui avait confié. Son maître voulait une cavalerie, de fou il devenait cavalier. Aux yeux des autres, il devait passer pour un illuminé, car après avoir pansé l'animal, il resta à ses côtés, l'étudiant apparemment sous toutes les coutures. Puis il s'était mis en selle pour suivre la patrouille.

La veille ils avaient chevauché en Anjou puis étaient revenus rapidement en Touraine , ce qui ne surpris guère l'ancien qui avait l'air d'en avoir fait des batailles.
Ceux qui l'eussent eu croisé par hasard sur un champ de bataille en tant qu'allié ou en tant qu'ennemi, ne le reconnaîtraient pas.
Il avait acquis de la retenue, il avait l'air posé, serein et une force interne semblait émaner de son corps.

Drunk changeait, était-il en train de s'assagir?

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Phyladelphia
Elle avait donner cartier libre à ces hommes
Elle avait elle envie de galopé au grés du vent
Elle n'avait pas revu son frère depuis longtemps elle s'ennuyait
Heureusement que son cheval était là jeune, fougueux et imprévisible encore...
Elle adorait sa
Il y avait entre eux deux une complisité qui naissait
Phyla a l'écoute des moindres faut pas de son etalon
Et Brume attendant la moindre déconcentration de sa cavalière

Elle dirigea son cheval sur les hauteurs du campement
C'est alors qu'elle surpris un soldat en retrait
Elle ne les connaissait pas tous, mais elle l'avait deja vu avec Falco ce devait être le fameux Drunk...
Il devait surement ce mettre à l'abris des directives de Falco qui devait lui en faire voir de toute les couleur...
Elle l'observa un instant a la dérobade avant de lancer Brume au galop pour rejoindre le haut de la coline
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