Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, ..., 34, 35, 36   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

-fromFRLilin
Tandis qu'à l'oratoire avait eu lieu, mariage de son frère Lothaire avec tant de personnes se berçant dans les fausses illusions d'un mariage d'amour. Le Viscount prit son cousin nouvellement rentré d'Hollande à part et lui manda de le suivre en un lieu point si loin et plutôt proche.

Les deux hommes sortirent de l'Oratoire et s'avancèrent en le porche d'une Eglise face au Louvre, demeure solennel et froide du Roi des François. Lilin poussa la porte de l'Eglise tout en formulant pensivement une prière à Aristote que les missives envoyées plus tôt aient pu bien être remis.

Le chef de la maison des Cassel entra donc dans la demeure de Dieu avec son cousin derrière ....



_________________

Pourvoyeur officiel d'espoir
Navigius
Depuis quelques heures, avant que le Vicomte de Cassel n’entre à l’église, une agitation régnait en son sein. Débarqué de toute urgence de Péronne, en Artois, avec de brefs délais de voyage, la missive du vicomte s’étant égarée et étant arrivée bien en retard en Artois, le jeune ecclésiastique s’affairait à la préparation de la cérémonie d’anoblissement. Jamais n’avait-il préparé telle cérémonie avec si peu de temps, et il se devait de faire tout avec la même rigueur qu’il s’adjugeait à lui-même chaque jour. Depuis les dernière vingt-quatre heures, sa vie s’était déroulée à un rythme effréné. Partout autours de lui s’affairaient des enfants de chœurs et le personnel de l’église, l’une des plus belle de France au goût du prêtre par ailleurs.

Navigius avait pourtant les traits tirés. L’inconfortable cavalcade sur la route de Paris, une nuit blanche à chercher le texte approprié, le sermon de circonstance. Il avait réunis en toute hâte quelques enfants du chœur de Péronne, mais avec si peu de temps, il avait bien dû négocier âprement au petit matin avec le Frère Supérieur du conservatoire Saint-Francis afin d’avoir un minimum de ténors. Après tout, le chant était un élément primordial de la cérémonie. Mais il était désormais apaisé, sachant que tout serait en ordre à temps.

D’habitude, pour ce genre de cérémonie, le prêtre revêtait des étoles brodées d’or et de vastes vêtements, mais cela n’aurait jamais collé à la personnalité de l’humble diacre de Péronne. Il portait sa traditionnelle soutane noire, boutonnée à la droite. Dame Deedlitt de Cassel l’avait pourtant sermonné sur la rigueur de son habit, et ainsi, presque à contrecoeur avait-il accepté une légère broderie dorée qui redonnait de la prestance à son habit, beaucoup plus que le diacre ne voudrait l’admettre lui-même.

Il huma lentement l’air, qui était un complexe mélange de l’air vicié de Paris, d’encens, d’un soupçon de renfermer, mais surtout, d’une bonne dose de fois. Navigius n’était jamais à meilleur endroit que dans une église. Il nota immédiatement toutes les imperfections de l’architecture, pas tant parce qu’il était contrarié de ces choses, mais pour se convaincre intérieurement qu’aucune église ne pouvait rivaliser avec sa Sainte-Raphaëlle des Archanges, la Cathédrale de Cambrai qui tenait place de forteresse immaculée de la foi dans le cœur du diacre.

Le diacre fut rapidement tiré de ses pensées, la porte s’ouvrait. Regardant rapidement autour de lui, il fut content, tout était prêt. D’une église qui avait une mine un peu délaissée il y a quelques heures, elle avait retrouvé son charme, un charme sobre, mais charmant.
pnj
Tristan n'avait point assisté longuement au mariage de son cousin Lothaire en raison du long trajet qui lui causa un léger retard, mais suffisement pour en conclure qu'icelui n'estait rien d'autre qu'un contrat d'intérêts. Mais cela le jeune Tristan s'en moquait un peu, et puis il se disait qu'avec le temps tout s'arrangerait, et qu'ainsi les époux pourraient peut-estre faire plus ample connaissance et donc entretenir une vraie relation, forger un solide amour...
Alors que la cérémonie prenait fin, le Cassel ne préféra point s'attarder et sorti dehors afin de respirer un air plus frais, plus vrai. Quelques courtes minutes après, il fut rejoint par son cousin et chef de famille le Vicomte Lilin. Icelui le prit à l'écart et lui conta qu'il désirait lui toucher quelques mots, ce qui interpella Tristan. Qu'est-ce qui n'allait point ? Avait-il commit une erreur lors de la cérémonie ? Tristan n'estait point confiant...Sans mots dire il le suivit, d'un pas préssé et attentif.

Les deux cousins entrent alors dans une magnifique Eglise. Celle-ci semble très accueillante et charmante, mais il ne s'explique point cette venue en ce lieu sainct...un regard vers Lilin, comme pour lui demander ce qui se passe...
-fromFRLilin
A l'état de l'Eglise, un sentiment de légéreté enveloppa le Viscount. Une des missives avait donc atteint son destinataire. Un regard vers son jeune cousin le temps de lui afficher un sourire amical avant de s'avancer vers l'homme tout de noir vêtu si ce n 'est une légère broderie ajoutée à la robe.

Frère Navigius, si erreur n'est point faite de ma part? dit il en montant légèrement la fin de sa phrase comme pour formuler question, avant d'enchaîner tout de go une nouvelle.

Je vous remercie de vous être déplacé en hâte icelieu. Au moment de pousser les gonds des portes, peur me saisit qu'un empêchement put vous empêcher de venir.

Je vous renouvelle remerciement pour vostre présence et l'apprêtement de cette demeure du Seigneur.

_________________

Pourvoyeur officiel d'espoir
Navigius
Le diacre de Péronne sourit lorsqu’il reconnu le Vicomte de Cassel, Messire Lilin, dont la renommée n’était plus à faire, surtout lorsque, dans le cas du jeune prêtre, l’on officie à Sainct-Omer, l’un des bastion de la dynastie française. Il s’avança donc rapidement dans l’allée pour aller accueillir les deux hommes.

- Messire de Cassel, quel bonheur de vous rencontrer. Certes, en effet, votre missive s’est bien rendue jusqu’à mois, et j’ai ci-tôt accouru vers Paris afin de réaliser vos souhaites. Je suis au service de Dieu et de la foi, ainsi donc, de tout ceux qui la porte en leurs cœurs. Je n’ai point la chance d’avoir fait la connaissance de votre comparse, dont je déduirai qu’il est messire Tristan de Cassel, si je me fie à la peinture de vous qui est située dans le couloir menant à la chapelle Saint-Bertin à Sainct-Omer. Bienvenue à vous deux dans la maison du Très-Haut. Messire Lilin, tout est fin prêt, nous commencerons dès qu’il vous sera convenable.

Tout en parlant, le jeune diacre fit une révérence de circonstance. Il jaugea discrètement le jeune Tristan. Encore le produit de la fine jeunesse française, qui rayonnait de lumières dans les ténèbres barbares de l’Europe. Vivement les enfants de la France se dit-il, car sans eux, tous serait impossible.
pnj
Son regard vers Lilin resta sans réponse, Tristan comprit qu'il allait devoir deviner de son plein gré la suite des évènements, ou plutôt découvrir le comment du pourquoi. Un homme d'église s'avance ensuite vers eux dans l'allée principale, pour ensuite les saluer. Il le salue d'une révérance sincère, toujours sans mots dire, il préfère simplement écouter plutôt que d'entrer de suite dans la conversation. Le diacre semble connaistre son cousin puisque les deux hommes se sont adressés quelques missives jadis, selon leurs dires.

[ HRP : j'ai horreur de bacler les rp's mais là je peux pas faire plus long, pas le temps hrp ce soir demain je peux faire plus long, promis ]
Lunconnu
La route avait été longue et fatiguante pour le heraud Flandre. A la demande du comte Lillin, il était venu témoigner de la validité de l'évènement du jour.
Ses hommes étaient restés dehors afin de s'occuper des montures et préparer le retour.

Geoffroy entra dans l'église et se mit légèrement en retrait, le calme et la sérénité du lieu contrasté avec la route. Il profita du calme et de ce moment pour faire une petite prière a Aristote.

Puis il attendit que la cérémonie se passe.

_________________
]
pnj
Puisque Tristan n'avait point eu assez de temps jadis pour observer les décors et les scultures extérieures de l'édifice religieux, il décida de porter son regard sur les mûrs et décors de l'Eglise pendant que son cousin parlait avec le diacre. Non qu'il ne s'intéressait point à la discussion, simplement il ne savait que dire, ne comprenant toujours pas le pourquoi de cette venue en lieu sainct.

Par la suite, un nouvel homme entra et se mit à l'écart. L'esprit de Tristan estait maintenant complètement déstabilisé, ne connaissant point l'arrivant il adressa un second regard à son cousin, pour lui mander quelques explications.
Thegregterror
Venant juste de féliciter le nouveau couple, Deedlitt et Grégoire avaient quitter l'Oratoire pour rejoindre une Eglise qui devait se trouver non loin. Il n'y était jamais entré, même s'il l'avait déjà vu par le passé. Il l'avait plus aperçu qu'observer, mais au vu de sa position face au Louvre, difficile de la rater.

Boitant toujours très légèrement, cela était suffisant pour l'ennuyer et garder une faible douleur dans la cuisse, le Comte fut content d'atteindre enfin le porche. Ils entrèrent dans la batisse de Dieu, entrant dans l'atmopshère si particulière des Eglises. Quelques murmures faisaient échos, venant d'un groupe de personnes vers lesquelles ils se dirigèrent sans mot...

_________________
Deedlitt
Deedlitt retrouvait petit à petit le sourire...Après le mariage arrangé de son cousin, elle allait assister à une tradition familiale. Chose très heureuse pensa t-elle...
Elle était toujours au bras de son époux, elle ne l'aurait lâché pour rien au monde.

Il semblait que le voyage et les déplacements n'arrangeaient rien à l'affaire, il souffrait sans doute...Il aurait pu la laisser venir seule, mais il n'était pas ce genre d'époux là.

Un fois rentré dans la sainte battisse, elle lui murmura quelques mots..


Mon aimé, j'espère que la douleur ne t'accable pas trop. N'ais aucune crainte une fois en Artois je veillerai à ton repos...

Elle laissa la phrase en suspend, et afficha un petit sourire, elle avait toujours aimé s'occuper de son époux, et pour un peu qu'il ne soit pas trop blessé, c'était l'occasion de le subtiliser au royaume quelques temps.

Ils avaient continué leur marche jusqu'au premier rang, elle salua s"un sourire le Diacre de Péronne, qui s'était déplacé pour l'occasion, et avisa Lilin et Trisan.

_________________
En refection...
Lunconnu
Lunconnu attendait lorsqu'il vit Deedlitt et son mari rentrer dans l'église.
Une fois qu'ils furent installés, il alla saluer la première Comtesse de Flandre avec qui il avait travaillé. En gardant un excellent souvenir.


Votre grandeur Deedlitt, c'est une joie de vous revoir, nous nous croisons beaucoup en ce moment.

Lunconnu lui sourit.

J'espère que votre mari se remet bien de sa chute. Et que nous aurons l'occasion de nous voir prochainement.

Lunconnu se retira discretement, la laissant ainsi vaquer à ses occupations.
_________________
]
pnj
Soudain, sortant de ses pensées, Tristan remarque de nouveaux arrivants, qui peu à peu se dirigeaient vers eux, empruntant l'allée principale. Il reconnaict l’allure du couple et devient tout de suite plus souriant. Il s’agit bien là de sa sœur et de son aimé. Attendant que ceux-ci arrivent à sa hauteur, Tristan réajuste son vêtement, comme pour se préparer à les accueillir. Cela faict, il salut ces deux estres qui représentent beaucoup à ses yeux.


Chère sœur, cher beau-frère je suis ravi de vous recevoir en ces lieux, bien que je ne sache moi-mesme point grand-chose de la situation. J’espère que le petit trajet jusqu’icelieu se déroula bien pour vous.


Puis l’inconnu qui depuis le début estait resté au fond s’approcha pour saluer les nouveaux venus. Il pencha son regard sur ses habits et sur les blasons qu’il arborait et cela mit la puce à l’oreille du jeune homme. Il reconnut, de par ses armes, que l’homme estait un Héraut. Peut-estre estait-ce la raison pour laquelle Tristan se trouvait là…il attendit la suite avec impatience.
Thegregterror
Grégoire avait souri à la remarque de son épouse.

Ne t'en fais pas, la douleur ne saurait m'accabler, je trouve juste ennuyeux de ne pouvoir marcher correctement à tes côtés...

Arrivant enfin, le Comte reconnut et salua Tristan, Lilin et Navigius, même si un peu surpris de voir ce dernier en la ville de Paris. Au moins, il était ainsi sur que la cérémonie se déroule sans encombre avec le diacre péronnais, pensa-t-il. Il ne connaissait pas le dernier homme, ces caducées laissant seulement apparaitre à Grégoire qu'il s'agissait d'un héraut.

Il sourit à Tristan, qui apparement ne savait pas la raison de tout ceci, et jugea bon que ce n'était pas à lui de l'en informer. Il jeta un regard à son épouse avant de répondre.


Le trajet s'est bien passé. D'ailleurs il serait dur d'en être autrement en Paris, où de nombreuses batisses sont tout simplement fascinantes.

Encore plus vrai qu'ils étaient passés tout proche du Louvre. Regardant un discrètement autour de lui, il se demandait s'il manquait quelque chose pour l'annoblissement à venir.
_________________
Navigius
Le jeune diacre tanguait d'un pied à l'autre, dans l'expectative du signal qui lancerait la cérémonie. Il n'était pas d'un bon alois de forcer le début de la messe, alors il attendait patiemment que les invités s'installent, et que messire Lilin lui fasse signe de commencer. Un siège pour Tristan avait été placé devant les marches du choeur, au centre de l'allée.
-fromFRLilin
L'atmosphère de la maison du Seigneur lui fit errer l'esprit. Différentes pensées lui vinrent : les hautes falaises de la belle Albion, l'absence des parents de l'épouse de son jeune frère et bien d'autres encore. Cependant la pensée à laquelle fut celle concernant sa belle épouse et leurs enfants.

Le bruit que le prêtre émettait lorsqu'il tanguait sur ses jambes, tira le viscount de sa rêverie. Il secoua légèrement la tête puis rouvrit les yeux et fixa le prêtre.


Mon père, ne tardons plus et commençons donc la cérémonie.

Tout en se retournant vers son jeune cousin, Lilin comprit que moult gens étaient arrivés depuis ses rêveries. Il remarqua sa frappante cousine et son blessé d'époux et le héraut d'armes de Flandres. Toutes les personnes dont la présence étaient nécessaires, étaient réunis. La cérémonie pouvait donc commencer.

Quant à vous mon cousin, n'ayez crainte et sachez que nous sommes ici aujourd'hui pour respecter serment et tradition familiale envers vostre personne.

Le Viscount alla donc prendre place près des membres de sa famille et point trop loin du siège de son cousin.
_________________

Pourvoyeur officiel d'espoir
See the RP information <<   1, 2, 3, ..., 34, 35, 36   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)