Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

Tritium s'approche du chène, il l'examine longuement, avant d'entrer respectueusement dans son tronc. Après avoir lut la première page du livre, il s'empare de la plume et commence à écrire...

" Ô chène ancestral, combien de décenies as-tu vu ?
Que dis-je ? Ce serait plutôt des milénaires !
Peut-être me reverras-tu,
Si aux troubadours, ce poème ne plait guère !
Sage esprit de la forêt,
Combien de guerres sont passées sur cette terre ?
Trop sûrement, mais tu ne t'en soucis guère...
Les hommes vivent, s'entretuent, et meurent !
Mais toi, ta vie est quasi-éternelle !
Bien plus que celle des hirondelles !!!"

Tritium posa la plume, réfléchit un instant puis ajouta :
J'ai aussi écrit d'autres poèmes, mais ce qui me plaît surtout, c'est narrer les histoires...

http://viewtopic.php?t=12641&start=45
http://viewtopic.php?t=12641&postdays=0&postorder=asc&start=30
http://viewtopic.php?t=16582

Bravo tritium,
Ca fait plaisir de te voir,
Entre on va prendre un rhum,
Je t'en prie tu peut t'assoir,

Je suis content,
Du bon vent qui t'amène,
Que tu te consacre maintenant,
A l'espression litteraire d'antan
_________________

Ma fiche
Ex habitant de Honfleur, dans l'allée des poêtes,Ex Artiste troubadour

le poème sur la licorne était de moi.
_________________
Celui qui touche à Salômbo goutera à ma hache
recherche son tutu volé par Yona
Elu plus Grand Fantome, Phooka usurpe son titre
Duc fantome de Normandie

Voici un petit texte sans aucune prétention, car je suis loin d'égaler les maîtres déjà troubadours en leur confrérie...

Je précise que ce n'est pas moi le personnage de l'histoire qui rencontre une jeune fille au détour du verger...

_________________
Je ne connaîtrai pas la peur, car la peur tue l'esprit....

Hélas! Hélas! quelle triste chose que la fin d'un amour!
Au tout début, nos ames émues se paraient des plus beaux attributs.
Nos coeurs ,à l'unisson, vibraient du même frisson.
Hélas!Hélas! quelle triste chose que la fin d'un amour!
Ensuite l'habitude est venue, plus d'amour sans retenue,
Plus de doux baisers aux lèvres déposés.
Hélas!Hélas! quelle triste chose que la fin d'un amour!
Aujourd'hui, ton départ m'a surprise, et mon coeur se brise,
Je serai seule demain à pleurer cet amour si vain.

La mort

La mort une amie sincère qui partage ta vie,
Amie qui te prend quand te viens l'idée de partir.

Mort sans problème, insouciant,
Oublier les problèmes terrestres pour passer au
Repentir céleste.
Tête à tête face à soi même.

Espoir

Ephémère désir de liberté face au désespoir
Social échappatoire face a la réalité
Pouvoir de vivre sans oublier ses devoirs
Oublier le jour présent face à l’éternité
Inventer pour toujours un monde d’espoir
Rêve étoilé face à un monde noir
_________________


http://www.lesroyaumes.com/FichePersonnage.php?login=olaf_shark

Plusieurs jours après avoir proposé sa candidature pour l'ordre des Troubadours, Tritium retourna voir le livre dans l'arbre, pour savoir si il y avait d'autres candidats. Il vit que le juge du concours avait écrit un nouveau message à l'attention des interessés...

En cherchant l'inspiration, il repensa à Miwako...

Miwako, mon étoile du soir,
Notre romance avait si bien commencé !
Mais alors, que s'est-il passé ?
Je suis parti, mais comme j'aurais aimé te revoir !

Nous nous étions fillancés,
Nos noces étaient annoncées !
Mais quelques jours avant la date fixée,
Tu m'as complètement abandonnée !

As-tu rencontré quelque Don Juan ?
Ou m'as-tu trouvé lassant ?
Dans ce cas tu n'avais qu'à me le dire
Et non pas m'abandonner sans prévenir !

Tu m'as déchiré le coeur...
Et c'est pour ça que je suis parti de Honfleur.
Je fais ma nouvelle vie à Tournai,
Ils voulaient un forgeron, je l'étais...

Peut-être trouverais-je une nouvelle belle
Mais, c'était toi mon étoile...

Cette blessure était encore fraîche et douloureuse pour Tritium, et il craignait qu'elle ne se cicatrise jamais... Après avoir écrit ce poème, il ne put s'empêcher de verser une larme. Alors il repartit vers la taverne pour noyer son chagrin, en espèrant y retrouver son amie Amia.

Félicitation Isarma. Très beau Poème! les autres aussi! Je suis heureux de Voir qu'il y a tant de jeunes personnes motivées par la conférie!

Mon ami mat, il faudra très bientot s'occuper de ces personnes! Que dis tu de ce Samedi soir?

" quelles sont jolies nos dames des royaumes rennaissants
le sourire pétillant , prètent a nous donner des enfants
grace à elles je pense moins aux batailles d'antant
et c'est pour elles que je me fait beau en me levant "

" que de couples s'unissent ici ; porter par le vent
que de bonheur dans les tavernes , ça s'entend dans les chants
la fiertée d'appartenir pour longtemps aux royaumes rennaissants
nous sert d'hymne , que nous fredonnont en travaillant "

mama de clermont

qui songe qu'un jours lui aussi aura une bonne raison de rentrer du marcher les bras charger d'un magnifique bouquet d'oeuillets.....mais pour l'instant ....triste , seul le soir , il devine a travers les tentures les corps s'enlacer avant de les voir s'évaporer .
_________________


" quel douce mélodie que le cri des blessers au crepuscule de la battaille"

Allons danser, ma toute belle,
Allons danser, les soirs d'été.
Enivrons-nous, ma toute belle,
Enivrons-nous de doux baisers.
Allons chanter, ma toute belle,
Allons chanter la joie d'aimer.
Pleurons, pleurons, ma toute belle,
Pleurons, les amours passés.

HRP : mon post a été supprimé ?
_________________
Je ne connaîtrai pas la peur, car la peur tue l'esprit....

/avisant l'écritoire, commence à tracer d'une écriture régulière/

Epigramme satirique à un "overfloodeur" fier de l'être


Ridicule et bavard,
Bravache autant qu'inculte,
Blade n'est qu'un geignard,
Au Royaume, une insulte.

Il erre en matamore
Au coeur itinérant
Qui gémit "je t'adore"
Et jamais ne comprend...

Et c'est là son problème.
Un défaut de poisson ?
Brochet, anguille ou brème
Lui rendraient la raison ?

Alors gentil pêcheur,
Par simple amour de nous,
Vend, vend pour son bonheur
A Blade un peu de tout.

HdP

/souffle pour accélérer le séchage de l'encre puis s'en retourne en sifflotant /
_________________
A jamais, Croÿ !

Légumes-gumes, tissus.

Condamné injustement : même pas mort, même pas mal



L'abus de HRP tue le RP

Le regard plonger dans l'ocean
L'infini mélancolie des souvenirs vaguant
Quelle douce musique me jouer le troubadour Mat
Quand en sa visite il m'appris le doux chant des anciens
Arbre majestueux comment découvrir ta puissance
Pauvre vagabonde qui ne cherche que la connaissance
En ta sève me laissera tu lire
afin d'appaiser mon âme torturée
Et sous ton ombre m'envelopper de ta sérénité
afin qu'en mon être mon désir d"aspirer a ton ordre
devienne plus songe mais réalité
_________________
Dame Emeraude Saphirianne
Lieutenant de Police de Tréguier
Cultivatrice de légumes et Pêcheuse
Membre de la Guilde des Maraîchers
Administratrice du site "Grimoire de Tréguier"
Filleule de Sir Ellandiril,Marraine de Sir Dnarud

Encore une autre page,
Milliers de mots étranges
Parlant de marécages,
De corbeaux, de mésanges...

Ce beau livre des cieux
Quel obscure présent...
Est-ce un cadeau de Dieu,
Ou un don de Satan ?

Je n'ai sais rien. D'ailleurs,
Cela n'importe point :
Seules comptes ces heures
Passée devant ce bien.

Et le rêve éveillé
Me transpote là-bas :
Où la réalité
N'est pas celle qu'on croit

Que faut-il prouver ?
Lire est la solution :
Ecrire sa pensée
Pour garder sa raison.

A nouveau je m'égard
Dans ces étrangités
A nouveau je repars
Vers un sombre passé...
_________________
Gyscos, boulanger.

Then came man to savage in the night
To run like thieves and to kill like knives
To take away the power from the magic hand
To bring about the ruin to the promised land...

Quand je partirais sur un autre bateau,
Sur une nouvelle mer
Vers d’autres pays, dans mon gilet troué,
Je prendrais le temps de regarder le ciel
Et de dire au revoir au soleil de tes jours,
De sentir le vent sur mes joues irritées
Et de sentir le foin des granges alentours.
Quand je verrais la terre à cent mille lieues de là,
J’ouvrirais mon âme à ses appels lointains
Et bercerais mon cœur d’une nostalgie fragile
Dans un coffre de verre recouvert de satin,
Comme un revers de ta robe aux couleurs maladives,
Mon cœur se serrera en une dernière missive,
Et je me jetterais dans les lames,
Au cœur des flots tumultueux,
Et brisé comme une épave,
Je m’en irais, je m’en irais.

Machiavelo.
_________________
Fantôme errant du côté de l'église de Cosne
Feu Machiavelo de Savonarole
***

ses quelques lignes inspirez de mon crue pour la plus jolie fille que je 'nais jamais vus

si la lune était une perle je t'en ferais le plus bo des collier
je prendrai les étoiles pour pouvoir t'en draper
saisir la queu des comètes pr éclairer ton sourir
et d'un geste de la main effacer le pire

j'ouvrirai la terre pour t'en faire un abri
j'y ferai pousser des arbres pour te donner un lit
te couvrir du ciel pour te réconforté
et rester pret de toi pour une éterniter
_________________
menbre de la confrérie des assoifé de sémur

poétes et troubadour inspirez grand contteur d'aventure épique

L'étang

l'or est le plus beau trésor
ont dit les hommes
certain ont pas tort
mais eux se trompent en somme

du moins mon histoire le raconte
si je la dit en vers
c'est pour que l'on croit à mon conte
et que vous ne lui fassiez pas la guerre

un matin, un petit vagabon
la canne à pèche sur l'épaule
marchait vers son champ de blé blond
il partait pécher la saule

une fois à l'étang
le pécheur pose sa canne
et il s'étend
puis il regarde, surpris son ane

l'ane avait trouver de l'or
et en avait rammener dans sa gueule
le fermier était heureux de son trésor
il s'assit de joie près du tillleul

pendant cela
une saule s'approche et mord
la canne lacha
et partis, à tord

le lendemain le fermier
alla au village
heureux d'etre le premier
à trouver un mage

le mage surprit regarda l'or
il dit:"cela est surprenan"
c'est de l'or, tu n'a pas tort
sur ce il parti en se promenant

le fermier vint au magasin
il demanda du blé
"il n'y en a pas un car
vous étiez mon seul fermier"

"donner moi du poisson" dit l'autre
et le marchand repondit
"quel poisson? le seul est le votre"
et il parti ragant vers son logis

le fermier décidé a ne rien faire
arréta de travailler
un mois après pas une graine n'était par terre
tous les habitant ont déménager

et le fermier mouru de faim
la pépite à la main

*Nindë s'était approchée des poètes et avait écouté avec attention. Elle attendit que le calme soit retombé pour présenter courageusement le sien :*

J'ai écris le poème qui va suivre après m'être rendu compte que la beauté des mots nous dépasserait toujours, quoi qu'on fasse...


*Elle inspira et commença à lire :*

Lame d'orgueil

Le ciel éteint ses étoiles dans les larmes de mes yeux.
Et le soleil, trop proche de mon âme; me consume.
Comme le temps passe lentement quand les dieux
Nous quittent en nous laissant égarés dans la brume.

La mer est turbulente ce soir et au fond de moi
Je sais que rien ne saurait correctement l'apaiser.
Je cherche le phare de la vie mais ne le trouve pas.
Et sans lui, sans sa lumière, comme il est dur de naviguer !

La mélancolie m'attire tout à coup dans ses bras glacés,
Et malgré les morsures de cet hiver soudain j'y suis bien.
J'erre sans but sans pourquoi sans réponse sans été,
Car entre le parchemin et la danse de la main, je ne suis rien.

*Nindë rougit en demandant aux messires présents :*

Sauriez-vous par hasard comment on doit faire pour être membre de la guilde des troubadours ?

J’ai vu l’aurore du matin tomber le soir de ma vie


Dans la rue montante
Je n’en peux plus de l’attente
Trop de temps s’est écoulé
Tant de larmes ont coulé
Pour elle j’ai tué
Pour elle j’ai prié


Depuis notre premier baiser
Je ne puis me reposer
Sans penser à tes lèvres douces
Qui nous envoûta tous
Dans notre clan désert
Ma vie dure plusieurs ères

Longtemps avant ce jour
Longtemps avant que soit mon tour
Je t’ai le plus rêvé
Ton corps m’a fait baver
En te voyant dans la foule
Mon cœur se serre en boule

Le bourreau est ici
Au soir de ma vie
Je te regarde encore une fois
Cet instant dure des mois
La guillotine tomba
Et ainsi me trancha
_________________
un jour je me léverais et il fera beau ABEL CHEMOUL

Piul...c'est tout une conception tu sais !
Coutelier

Maître corbeau, sur un arbre perché
Ne fait rien de toute la journée.
Un lapin voyant ainsi le corbeau,
L'interpelle et lui demande aussitôt :
" - Moi aussi, comme-toi, puis-je m'asseoir
Et ne rien faire du matin jusqu'au soir ?"

Le corbeau lui répond de sa branche :
" - Bien sûr, mon ami à la queue blanche,
Je ne vois ce qui pourrait t'empêcher
Le repos, de la sorte, rechercher."

Blanc lapin s'assoit alors par terre,
Et sous l'arbre reste à ne rien faire ;
Tant et si bien qu'un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S'approchant du rongeur en silence,
D'une bouchée en fait sa pitance.

Moralité : Pour rester assis à ne rien branler,
il vaut bien mieux être très haut placé.

A toi mon preux chevalier!

Aujourd’hui je vais vous conter l’histoire
Belle histoire au demeurant, du preux chevalier,
Celui au cœur d’or, celui au casque d’ivoire,
De son pays parti vers des contrées éloignées,
Espérant dénicher, en haut d’une tour,
Fou qu’il était, après avoir battu le dragon,
Grimpant chaque étage, et enfin, en haut : l’amour !
Ha ! Cette dernière chambre, en haut du donjon,
Il en avait tant rêvé, il avait tant voulu,
Jour après jour, il avait tout imaginé,
Karma positif par tant de veuves défendues,
Lance aiguisée, épée au fourreau, bouclier astiqué,
Même pas une éraflure sur sa belle armure,
Non, vraiment rien ne l’empêcherait de triompher !
Oh mais une chose clochait, chose importante pour son futur :
Personne tout en haut de la belle tour dorée !
Quelle déception ! Lui qui espérait trouver,
Reine, princesse, peu importe, elle serait la bonne,
Sûrement la plus belle des créatures crées !…
Toujours est-il qu’il est reparti atone,
Une lueur de désespoir au fond des yeux,
Vraiment plus aucun rêve au fond de son âme,
« Walhalla sera le seul endroit où je serai enfin heureux,
Xénophobe était-elle peut-être cette femme ?
Y-a-t-il seulement quelqu'un pour moi dans l’humanité ? »
« Zut !! » fit-il en rentrant chez lui, « elle était venue me chercher !! »

Le soleil des Royaumes traverse les nuages,
Un troubadour monte le chemin du chêne,
Dans l’espoir d’y lire nombres de messages,
Laissés par des poètes ces dernières semaines.

S’imposant au retour une halte à la taverne,
Sera nécessaire pour désaltérer le personnage,
Afin de masquer les nombreuses cernes,
Qui noircissent les traits de son visage.

Mat arrive enfin au creux de l’arbre,
Y découvre tant d’écritures nouvelles,
Comment pourrait-il rester de marbre,
Devant ces inspirations qui interpellent.

Huit plumes se succèdent en poème,
Eras, Minos, Nindë, Ninon,
Piul, Pitouf, toi2212 et Dhukhon,
Bientôt la confrérie sera votre emblème.

Laissez juste encore un peu de temps,
Pour la prochaine cérémonie d’intronisation,
Aramirdar est parfois un peu lent,
Mais la rentrée apportera la solution.

C’est ainsi son message achevé,
Que Mat redescend la colline,
L’esprit sain et le cœur alléger,
Il s’en va vider quelques chopines...
_________________
Mat d'Ys
Duc d'Ouessant

Ascletin assis dans la taverne depuis quelques temps déjà, se décida. Il monta sur une table. Puis tapant du pied, il sorti de son luth une mélodie assurée et entama cette chanson :


En mon beau pays suis en terre lointaine,
Car point de répits, ni oncques rengaines,
Arpente les routes en quête de chevance,
Nonobstant fortune ai-je confiance ;

Chemin faisant rencontre de filles mignotes,
Aimant jouvenceaux et chantre chantant,
Nenni ont chassé mes tristes marottes,
Nonobstant fortune suis-je content ;

Au castel rencontre de preux chevaliers,
Quêtant ton grave gloire et honneur,
M’ont dit que par lâcheté au gibet irai,
Nonobstant fortune fais-je bon cœur ;

En l’église rencontre de gras curés,
Prêchant spiritualité et triste moralité,
M’ont banni du jardin des joies immortelles,
Nonobstant fortune gardé-je cautèles ;

De moi n’attendez point de péroraison,
J’emporte luth cymbale flûtes et rimes,
Sur la route en aucun cas pusillanime,
Nonobstant fortune écris-je des chansons ;

Angel Of the Night aperçoi l´ arbre dont on lui à tant parler, il entre s´empare du vieil ouvrage et commence son écrit

Je ne suis pas un maître en la matiêre et ne peux que difficilement rivaliser avec les poêmes de mes prédecesseurs, mais, je l´espere, cela devra vous aller:

Beauté dans la simplicitée
pourrait être sa devise.
Quand je l´ai rencontrée,
Je l´ai sue, c´est elle que je vise.

Pas besoins d´artifice
Quand on la voit
On veut lui dire ``kiss
Me Baby je suis à toi´´

Malheureusement
De moi elle ne veut pas
Enfin je crois
Enfin, je ne sais pas.

Mon ange la première fois que je t’ai regardé,
J’étais comme hypnotisé.
Penser a quelqu’un d’autre m’étais impossible,
Comme si tu m’avais choisi pour cible.

Ton regard pétillant,
Me fixais a longueur de journée.
Ton regard absorbant,
Je ne pouvais plus le quitter.

Le blanc de mes yeux,
De mes yeux amoureux
Regarde devant, tous droit,
Et ne voyait que toi.

Pourtant tu n’étais pas devant moi,
Seul mon esprit se souvennait de toi.
Rien ne me fera oublier ce regard si doux,
Ce regard si fou

Je ne t’oublierai jamais Amour,
Tu seras dans ma tête pour toujours.
De ton visage éblouit,
Je me suis réjouit.

Comme séparé par un brouillard,
Nous nous retrouvâmes à Thouars,
Alors mon coeur éclate,
En un cris : Hekate !
_________________

En retraite pour une durée indeterminée, mise à jour de la signature à mon retour.

Quand je croise ce regard impitoyable et froid,
Ce n’est certainement pas celui de l’indulgence !
Il dépouille mon âme chaque jour, et je crois...
Me réclame, sans doute de lourdes pénitences !

Je ne vois ces yeux là qu’à travers mon miroir,
Ils me poursuivent le long de toute mon existence.
Et rien, je vous l’assure, ne peut les émouvoir...
Ces yeux impénétrables sont ceux de ma conscience !
_________________
Jeune Patriote de Franche Comté.
Eleveur de moutons.

Magnolias, que j'aime vos fragrances !

Alanguie loin de vous, jamais ne danse
Impensable ami, mon panégyriste,
Ma plume, restant sur la table, triste
Et mes jupons, et ma vie, et mes sens.
Zizanie romantique et pessimiste...

-Mais qu'est-ce donc tout ce charabia ?

Vos mots dithyrambiques monseigneur
Ont un fâcheux impact sur mon humeur
Ultima forsan, disais-je hier encore ?
Sous les magnolias, en pleurs est mon coeur.

J'ai peut-être, dans ce poème, usé d'une ressemblance avec les manières de Georges Sand... Que celui qui la trouve se signale ^^
Sinon, il n'a rien de commun avec une oeuvre classique... Je ne saurais dans quelle catégorie le ranger : dada, absurde, surréalisme ?... Je suis perplexe, ma plume me joue des tours !
_________________

Flanaghan était déjà passé plusieurs fois dans cette auberge, sans jamais osé laissé de trace dans le vieil arbre qui se trouvait à côté... Mais aujourd'hui que la cour de Champagne l'avait nommé son Troubadour officiel, il fallait qu'il franchisse le pas. Il se dit quoi de plus sensé pour essayer d'entrer dans le cercle des troubadours que le poème l'ayant déjà permis d'atteindre son titre. Il entra donc discrètement dans l'arbre pris la plume puis un grande inspiration, se remémora tout les vers et les retranscrit!

Quand les ombres recouvre les corps
Dissimulant les traits du visage
Laissant les prudes et les sages
Se terrer en attendant la mort

Alors naissent les amours interdit
Qui bravent l'apparence et les on dit
Pour ne reconaître parmis les Hommes
Que l'amour qui se fiche de qui nous sommes

La raison ne guide les sentiments
Et le coeur rarement se méprend
C'est lui le seul guide amoureux
Suivant un chemin bien vertueux

D'aimer au delà des différences
Au delà des titres fiefs et blasons
L'être auquel tout le temps on pense
Sans se fier à la triste raison

Si l'amour était une prison
La liberté ne serait plus de saison
Je ne renoncerais jamais à ma passion
Douce inspiratrice de mon imagination

Il renferma le livre respectueusement et quitta sans un mot l'arbre et la taverne... puisse les Troubadours l'accepter comme un des leurs!
_________________
La liberté est la seule cause pour laquelle il vaille la peine de se battre...

Coups de tonnerre

Moment unique et merveilleux
Quand a la croisée d'un regard
Immobile et figé, on reste hagar
D'un amour naissant entre deux

Chevauchée fantastique
Que celle de l'amour
Et malgré certains détours
cette instant reste magique

C'est au calme et romantique
Qu'après quelques émois
Une confirmation, pour elle, pour moi
Qu'ils sont atteint du sentiment mythique



L'enfant et la vie

Il y a toujours, dans les champs,
une idée, un enfant,
s'encourrant, virvoltant,
entre les fleurs, ballancées par le vent

S'arrêtant au sommet de la colline
à coté de l'ancêtre tronnant, majestueux,
de son passé en témoigne, un couple d'amoureux,
de leur graphiti signé amant et libertine

D'un amour déchu, que le temps peu a peu,
recouvre a jamais de son écorce
effacant pour la fin des temps cette amorce,
rendant la pureté au maitre de ces lieux

D'autre viendront, peut-être même cette enfant,
qui devenu grand, témoignera dans le bois
de son amour, de ses exploits,
pour finir libéré de son passé pesant

Et même quand viendra la fin,
de son compagnon, la vie durant
a l'ombre de ses feuilles, tombant
il fera que vive son destin.



Bari
_________________
Ne peut détourner son regard de cette flamme qui danse et invite à l'Amour

La famille s'agrandit, Après Baba la gourmande, voici Helio l'ex-marionette ...

Que du bonheur !!!

Apres avoir éclusé un peu et s'être soulagé sur un vieil arbre derriere la taverne, Velkan de sa voix douce, suave et neanmoins virile déclama :


Je te vois, dans mes rêves
Je reprends me fil lorsque le jour s'achève
Je vois des gens, une autre vie
Que j'aurais souhaité vivre
vivre avec toi ici

J'aimerais parfois que ce drap,
soit mon linceul,
Avoir un dernier rêve laisser l'ici bas
laisser derriere moi une trace sur l'ecueil

Retrouver l'amour blessé
pour lequel on a encore tant de larmes a verser
Retrouver le reconfort d'une boite
la chaleur moite
De la terre sur soi.


Ah ce qu'on est bien quand on est completement plein

aprés lecture l'inspiration viens

comme un enfant aux yeux de lumiére
qui vois passer au loint les bateaux
comme l'oiseau bleu survolant la terre
vois comme le monde, le monde est beau
beau ce bateau dansant sur les vagues
ivre de vie d'amour et de vent
belle la chanson naissante des vagues
abandonées au sable blanc

blanc l'inocent le sang du poéte
qui en chantant invente l'amour
pour que la vie s'abille de féte
et que la nuit se change en jour.
jour d'une vie ou l'aube se léve
pour réveillez la ville aux yeux lord
ou le atin éfeullant les réves
pour nous donner un monde amour

moi je ne suis q'un garcon de l'ombre
qui vois briller l'étoil du soir
tois mon étoile qui tisse ma ronde
viens allumer mon soleil noir
noir la misére les hommes et la guerres
qui crois tenir les rénes du temps
pays d'amour n'a pas de frontiéres
pour ceux qui ont un coeur d'enfant

comme un efant aux yeux de lumiéres
qui vois passer au loin les oiseaux
comme l'oiseaux bleu survolant terre
pour nous donner un monde amour
_________________
merci maitre tesla et les loups de champagne
cultiveurs de légume a moins de 10 écus

Mélancolie, fasse Dieu que tu me laisses,
Mon coeur est las de toujours te céder.
Je te le dis, je ne veux point t'aimer
et sans tarder il faut que cela cesse.

Je t'en supplie, fuis-moi, prends la tristesse
Qui m'envahit, qui me fait l'oublier.
Mélancolie, fasse Dieu que tu me laisses,
Mon coeur est las de toujours te céder.

Et s'il te sit, défait moi des promesses
Ou'un jour de détresse j'ai pu te donner ;
Défait ces liens, laisse moi retrouver
ses baisers, ses sourires et ses caresses...
Mélancolie, fasse Dieu que tu me laisses...



_________________

à Montreuil Bellay, près Saumur, mon âme à son âme liée...

Mon Bien-Aimé, puisque tu me délaisses

Mon bien aimé, puisque tu me délaisses,
Même les prières n'y pourront rien changer...
Ores loin de moi tu préfères t'exiler
Oubliant tout, mes baisers, tes promesses.

Il faudra bien qu'un jour enfin j'acquiesce
Le Temps peut-être efface le passé
Mon Bien-Aimé, puisque tu me délaisses,
Même les prières n'y pourront rien changer...

Me resteront souvenirs de liesse,
De doux murmures, lentement effacés.
Mon coeur blessé ne saura plus aimer.
Mon Bien-Aimé, puisque tu me délaisses...
_________________

à Montreuil Bellay, près Saumur, mon âme à son âme liée...

je suis le noir, le sombre
collé a toi , ton ombre.
je suis l'aboutissement de ta vie afin de trouer ta tombe,
je suis,
ton pire ennemi,
le cauchemard de ta vie,
le temps qui passe et qui sourit devant ton agonie,
en fait,
le but de ma quête,
est de créer des tempêtes dans les profondeurs de ton être
je suis ton maître
le seul prophête
viens lire dans mes tablettes
tu seras mon adepte alors accepte et devant moi pèse ta dête.
je suis un dieu qui dort dans la catacombes
mon reves sera furieux tu verras comme je suis immonde
maintenant perds plus ton temp
va ! mon enfant
du couloir des ombres , rejoins les rangs.



un mauvais dieu dort dans les catacombes
encore une heure ou deux pour pouvoir posséder le monde
un mauvais dieu dort dans les catacombes
les druides l'avaient enfermé dans le royaume desombres

la confrérie des troubadours ouvre à nouveau ses portes, vous qui souhaitez être apprentis troubadours, écrivez, faites battre notre coeur au rythme d'une mélodie de mots.
_________________
point de présent, aucun avenir, juste un passé

La jeune femme ne passait qu'à la nuitée, laissant discrètement son parchemin, comme une trace de son passage.

Si fort fut mon chagrin, si sincères ses regrets,
Si lourde était sa peine, si légères mes caresses,
Si âpre ma solitude, si patients ses baisers,
Si loin est-il parti, et moi de fuir sans cesse.

Si longue séparation, si court le temps donné
À nos cœur éprouvés pour retrouver l’ivresse.

Si ardents autrefois, ores si intimidés,
Si fiers et si secrets, ores sans heurt ni rudesse,
Si prompts à douter d’eux, ores prêts à tout donner,
Si amers leurs remords, ores si intenses promesses.

Si douces retrouvailles, si grande envie d’aimer
Quand deux âmes liées enfin se reconnaissent.

peut-etre que se n'es pas vraiment un poeme mais... il vien du coeur

je voudrais t'embrasser envore une fois
je voudrais etre dans t'es bras pour toujours
je voudrais te revoir me sourir
je voudrais te dire que je t'aime
je voudrais etre elle qui es aujourd'hui dans tes bras
mais la choses que je voudrais le plus c que tu me dise que tu m'aime
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...

((hrp je les trouve super franchement^^))
_________________

edit choup : bot

HRP : c'est un bot, un robot qui a posté ca partout sur le forum.. s'il y en a d'autre ds le coin que j'ai pas vu, faite moi signe !

La dune m'envahit et me submerge.
La dune m'étouffe et le faiseur est mon père.
Je rale, soupire, et je gamberge,
Rien à faire, mon distille m'exaspère.
Le souvenir m'habite et me hante
D'un monde doux, d'un monde d'eau.
Le souvenir me réveille et lente
Est ma chute, je tombe sur le dos.
Rien ne me retiendra plus, elle est partie.
Rien ne me sauvera plus, tout est fini.
_________________
Je ne connaîtrai pas la peur car la peur tue l'esprit...

un coeur qui aime un autre,
un homme qui aime une femme,
une vie qui gache la votre,
une vie pourtant sans âme,

j'erre pour toujours,
parmis vos sourire et vos amours,
en espérant enfin qu'un jour,
je puisse moi même voir le jour,

les ténebres dans mon âme,
dans vos coeurs une flamme,
et moi je pourris de l'intérieur,
je voudrais disparaitre à cause de cette douleur...

mais qu'est ce que le temps face a moi?
qu'est ce que les secondes pour mon corps?
qu'est ce que les heures pour ma douleur?
et qu'est ce que les minutes quand tu es dans mon coeur?...

Madd, angelle détestée du ciel...
_________________

vous vous croyait puissant vous vouys croyer beau
mais laisser moi continuer mon histoire
et apres vos mensonge vous frapperons vous meme
le lendemain de retours a la taverne
son ex fiancer arrivant
une chose horrible ces produit
remplit de crainte ma voi me disait
attention tu vs souffrir
je lignoras que je m'en blame
une heure plus tard elle arriva

refrain

la soufrence et dur et quan elle frappe a votre porte
mieux vos la laisser entrer sinon vous soufrirait

elle arriva si belle est delicieus mais pas pour moi
elle offrit des fleur a son ancien fiancer
de haine et de rage j'e sortit de la taverne et m'enfermit
elle arriva 5 seconde plus tard
me demandant pardon
je lui accordat a grande peine
elle m'enbrassa en disant ceux ci et mon dernier baiser
_________________

la notre et voila
le coeur briser vie a jamais soufrant
toucher par cette derniere erraflure
car maintenant son coeur est de pierre et ne voit plus aucun sentiment
_________________

FFFFFFFFFZZZZZZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzz chpoc!

pour elle,ma tendre tourterelle

Tant de nuits passées a vous regardez
Sans pouvoir un instant vous dénudez
Ma tentation et si grande a vous caressez
De me blottir dans vos bras endiablées
De sentir a l’exaltation vos doux secrets parfumés

Amour si lointain et si proche
Mon cœur en a maints reproches
De ne pouvoir êtes votre soupirant
Une nuit,un jour, une année ,a l’éternité
Dans vos bras j’aimerais y trépasser

Ma belle ingénue mon amour mystérieuse
Un jour je l’espère être votre tendre preux
Vous tournoyez a vous rendre passionnez
Ce jour là ma vie en sera que félicité
A vous a la postérité ces tendres baisés

Je veux mourir et renaître dans tes bras
dans un monde ou la mort n'existe pas
Et ou la vie est éternelle
pour que je puisse te dire que je t'aime
pour l'éternité
_________________
Ireth Anárion
Soeur de Sorchaa et cousine de Wellannn et Sequelle

Un regard, un espoir,
un amour, un devoir,
celui de t'aimer,
de te protèger...

Deux coeurs réunis,
n'en formant plus qu'un,
débordant d'énergie,
un amour sans fin,

car notre histoire éternellement durera,
en tout cas je l'éspère ma foi...
et aujourd'hui je n'ai plus peur,
de t'ouvrir mon coeur,
et de te dire ce que je cache depuis toujours dedans...

je t'aime, et c'est mon plus beau sentiment dont je te fais cadeaux...

Madd, à mon fiancé, toi et moi pour toujours et à jamais...
_________________

*madd lis ce que damien a écris peut de temps avant elle, alors au pied de l'arbre elle se met à chanter, avec une voix encore plus mélodieuse que d'habitude*


il m'a brulée,
complètement consumée,
il a détruis mes rèves,
mes sourires se sont éffacés sur ses lèvres,

on a tout vécu,
ensemble tout vu,
l'amour avec un grand A,
et la souffrance je l'ai vue avec lui,

et moi j'ai voulu revivre,
panser mes plaies et survivre,
parce que il m'avais fait mal,
parce que son amour m'a detruis...

mais à présent j'ai trouvé,
ce que je n'avais jamais pensé à chercher...
j'ai trouvé l'amitié,
avec un grand A tout comme notre amour en avait,
et l'amitié elle ne fait pas soufrir,

l'amitié m'a fait gravir les marches,
lentement je suis sortie des ténèbres,
et chuis partie de l'horreur avec un grand h,
j'ai enfin réussi a trouver la lumière...

refrain:
et pourquoi pas toi?
viens je t'emmenerais,
ou même moi,
je ne suis jamais arivée...

mais je sais qu'à deux on y arriveras,
toi et moi,
deux amis pour la vie,
alors suis moi et tu verras,
que le bonheur peut être infini...

parce qu'avec toi aussi j'en ai vécu,
des choses que j'oublierais pas,
avec toi aussi j'avais tout voulu...
mais certains rèves s'effacent tu vois...

refrain:
alors viens avec moi,
et ensemble on trouvera,
la clé qu'on à cherché,
celle de l'amitié,
ce truc qui fait pas soufrir,
ce truc pour qui on s'rais prèt à mourir,
viens avec moi et je te montrerais,
qu'il n'y a pas que l'amour qui fait rêver...
_________________

Je mets par écrit ici ce que le droit m'interdit à l'oral :
mon coeur est bien trop meurtri, a perdu son idéal.
Que de passions nous vécumes, que de fois nos corps brûlèrent !
Mon âme encore cherche dans la brume les longs moments d'hier.

Jamais mon coeur n'a tant souffert d'être ainsi éloigné d'un autre,
Jamais mes lèvres n'ont offert de meilleur accueil qu'aux vôtres,
Jamais mon corps n'a eu si froid d'être si seul sans la chaleur
que vous lui donniez autrefois avec tant de bonheur !

Je ne suis que la moitié d'un homme sans votre coeur sous ma poitrine,
je suis vidé de tout en somme sans près de moi votre âme divine.
Il me semble une éternité que je ne vous ai étreinte,
je pensais pourtant triompher de cette passion que j'ai cru éteinte.

Les nuits passent et s'achèvent sans que je puisse fermer un oeil,
je voudrais tant garder ce rêve qui semble près de son cercueuil !
Mais je n'aurais jamais cru pouvoir ainsi vous succomber,
en échange d'une piètre vertu, j'obtiens un rêve brisé.

Vos lettres sont bien abîmées d'être trop souvent parcourues
par mes yeux rendus délavés, les larmes y ont bien trop couru.
A chaque mot mon coeur s'embrase et mes lèvres s'entrouvrent
imaginant qu'à chaque phrase votre parfum me recouvre.

Pardon madame pour cette déclaration qui ne vient pas à point ;
j'aurais voulu à l'unisson nous offrir un futur commun.
Mais à présent les dés sont jetés, je ne reprends pas la main,
je voulais juste que vous sachiez combien je vous aime, enfin.

Je vais à présent retourner dans l'ombre de ma vie
et tâcher donc d'oublier ce qui ne m'est pas permis.
Je voulais juste que vous sachiez à quel point j'ai aimé
vous avoir là, à mes côtés, allongés dans ce champ de blé.

Adieu ma Dame, je m'en vais, je reprends ma longue route.
Je ne saurais peut-être jamais effacer ce grand doute :
Ai-je eu raison de succomber au droit plutôt qu'au charme
d'une femme que j'aimais, et dont j'ai causé les larmes ?

Un dernier mot, un dernier souhait que je voudrais voir exaucé :
je vous souhaite de rencontrer, vous la dame de mes pensées,
un homme qui puisse être parfait, avec qui vous puissiez rêver,
Et trouver dans les champs de blé un avenir à votre idée.

L'amour est un jeux
si dangereux
Qui rarement nous rend heureux
mais si souvent malheureux

Sa nous donne le sentiment
que pour un instant
rien d'autre n'est important
que le moment présent
Car on sait quand peu de temps
tout peut s'éffondrer stupidement

Mais on persiste à aimer
parce qu'on a été créé
Pour cette unique posibilité
_________________
Ireth Anárion
Soeur de Sorchaa et cousine de Wellannn et Sequelle

Personne n'a ce droit...

j'aime votre poème fait de renoncement, et pourtant si beau!
_________________
point de présent, aucun avenir, juste un passé

mon reve il est impossible
et pour sa te le reveler de te servirait a rien
enfin peut etre plus tard si il pourrait devenir possible
alors je te leux releverait
_________________

moi mon cercle est plus simple
j'essais de t'oublier plus je t'aime est tout me raproche vers toi
_________________

aimait c'est tout ce que je voulait faire
et si tu veut je veut bien rerecommencer
moi je t'aime et je ne vit que pas l'air que tu rejete
un sourir sur ton visage me rgorge de joie
_________________

la pluie est moi,
tristesse est mon coeur,
la pluie est mon âme,
je ne suis que douleur,

douleur d'avoir trop aimé,
et d'avoir été aimé,
douleur d'être née,
et d'avoir fait mal...

la douleur est mon foyer,
tout comme l'est votre maison,
je n'ai aps de chez moi,
je erre sans raison,

mon coeur est brisé,
consumé à jamais,
alors qu'au début,
il ne demandais,
qu'a etre repus,
par des sourires gais,

et aujourd'hui je erre,
à jamais et pour toujours,
je erre et je meure,
je meurs d'amour...
_________________

Un amour au-delà des mots
Un amour dans mon coeur et si beau
Partout ton visage me poursuit
Ton sourire est un souffle sur ma vie

Quand je souffre d'absence
C'est encore ta présence
Qui vient troubler mes pensées
Me donnant l'envie de m'envoler
Comme l'oiseau vers sa destinée

Tu es ma source et ma joie
Le fruit d'amour que je cueille ici-bas
Quand tu caresses ma peau
Je frissonne j'en oublis tous mes maux

Quand tu m'offres un baiser
C'est du ciel bleu pour la journée
Avec toi l'amour est splendeur
C'est le parfum du bonheur

Cet amour est protégé par un écrin
Seulement ouvert par le pouvoir de nos mains
Je savoure avec toi nos moments calins
Nos plaisirs interdits et coquins

Au delà de la passion
Tu repeinds mon horizon
Tel un ange ou un démon
Tu enflammes mes sens et ma raison

Je te dépose ces mots du bonheur
Comme un brin d'amour comme une fleur
Cueille les en douceur
Qu'ils viennent s'échouer sur ton coeur

Puisque l'amour avec toi n' est que douceur
Réinventons le à chaque fois qu'il se meurt
_________________
Veille sur son bien-aimé Rhuyzar et ses ami(e)s du ciel.

Jamais je te t'oublirais, toujours je t'aimerais...

j'etait si joyeux
avant quand ma seule
chose a faire
etait de me surpasser au sabre
et puis je t'es rencontrer
mon coeur c'est emballer
j'ai tout fait pour toi
j'ai meme rencontrer la mort deux fois
pour au final
que tu aime un autre que moi
suite a ce jour
les malheurs ont commencer
mon pere meurt
je suis atteint d'une maladit incionnut
et aucun medecin ne peut me guerir
car il ne save pas ou j'ai attrapper sa
la veriter c'est un enfer
car mon mauvait coter a
prit le contriole
mis ggdoye est arriver
cette femme si douce et si belle
m'as fit reprendre le controle
malheuresement des blessure
ne peuvent etre penser
cette maladit je les toujours
maisekllze s'affablit
mon mauvait coter
n'as jamait etait aussi joyeux
tout sa car j'ai aimer
une vie ruiner
mais une autre ne fait que commencer
la douleur vas devenir ma force
et ainsi je vais
pouvoir me venger
de ce frere qui m'as tous pprit
et qui m'aqs rendu malade
l'ange de la mort
un jour nous affronteront et cett fois un seul survivras
tu te sauveras pas
moi non plus j'usqua maintenant nous nous sommesx affronter mes jamais
jj'usque au bout
je te vaincrerait
_________________

vous qui souhaitez faire partie de la confrérie des troubadours, venez nous rendre visite, nous recherchons des apprentis qui aiment autant que nous la poésie, les histoires, la musique, le jonglage, nous comptons même dans nos rangs un philosophe, nous recherchons également des peintres de talent pour décorer notre galerie.......

un seul lien :

http://forum.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?t=99791
_________________
point de présent, aucun avenir, juste un passé

dommage! ce n'était qu'une simple proposition de ma part, moi aussi j'écris ce que je ressens et je recherche simplement la compagnie de gens qui me ressemblent, ce n'est pas pour le succès que j'écris, j'écris à mon ami, à mon amant Brena que j'adore, c'est lui mon inspiration..........

Une boucle.
Souvent, je viens m'asseoir au coin du feu,
Je t'écoute avec ravissement,
J'ai du rêve plein les yeux!
J'observe chacun de tes mouvements,
Tu me parles avec emphase de voyages audacieux,
De paysages merveilleux!
Tu les décris avec force geste,
Nous marcherions d'un pas leste,
Nous monterions jusqu'aux cieux!
Tout doucement, je m'approche de toi,
J'effleure ta joue de mes doigts,
Captivée par tant de récits fabuleux
De dragons, d'amours heureux,
De princesses chéries avec tendresse.
Je passe la main dans tes cheveux,
Pour une douce caresse,
Me vois-tu seulement quand tu tournes les yeux?
Tu me parles de sentiments
Que j'aimerai encore ressentir
Ne serait-ce que l'espace d'un instant.
Hélas! je suis morte depuis si longtemps.
Je ne suis qu'un fantôme
Qui hante un tout petit royaume
Fait de souvenirs,
Bien souvent, je souris à tes mots d'esprit,
Trop souvent je pleure sur mon devenir,
J'ai si froid! Alors, je viens m'asseoir au coin du feu, et............
Lorna

et si un jour il disparaissait de ma vie, je cesserai à jamais d'écrire, car j'aurais fini d'exister............
_________________
point de présent, aucun avenir, juste un passé

je vous comprends, je n'ai jamais cherché gloire ou public averti, je n'écris que pour un seul! si cela plaît à d'autres c'est tant mieux! le seul que je cherche à séduire c'est mon ami!
_________________
point de présent, aucun avenir, juste un passé

Je crains de m'être mal exprimé, Dame Lorna, et vous prie de m'en excuser.

Je n'ai jamais voulu dire que vous étiez en quête de gloire ou de reconnaissance. Je voulais juste dire que pour ma part il m'est impossible d'écrire un poème quand il est attendu. J'écris des vers un peu partout dans le forum quand l'envie m'en prend, mais je ne saurais poster quelque chose sachant que quelqu'un attend de le lire, vous comprenez ?

Soit dit en passant j'ai bien aimé vos poèmes, et j'adopterais bien "Est-ce la longueur d'un nom qui fait la noblesse d'un coeur ?" pour devise.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles

1/
Bleu océan est mon coeur,
Rouge sang est mon âme,
Car l'amour en moi se meurt,
Et j'ai mal bon sang, pire qu'une lame.

Autour de moi tout est sans vie,
Plus rien n'as de goût ni d'odeur.
Le ciel est noir, le sol est gris,
Et moi j'ai vraiment mal je pleure.

Coeur détruis,
Ame sans vie,
Je ne comprend plus rien,
Tu es vraiment trop loin...

Toi mon coeur,
Toi mon âme,
Pourquoi ne veux tu plus m'aimer?
Pourquoi t'ai je un jour abandonné?

Le monde me detruis petit à petit;
Je disparais, tu ne remarque rien,
Car moi pendant ce temps je reste tapie,
Loin de ton regard, pour que tu ne fasse rien...

Laisse moi disparaitre,
Lentement me consumer,
Ne plus jamais renaître,
Mourir à tout jamais.

Enfin je trouve ce que je veux,
Le revoir et vivre comme avant,
Car quand il a disparu de mon ciel bleu,
Je suis tombée dans le néant.

Je voudrais le rejoindre là haut,
Entendre à nouveau ses mots,
Toutes ces phrases qu'il me disait,
Car c'est lui que j'ai aimé...

2/
une goutte de sang
pour oublier tes yeux

une goutte de sang
pour oublier nous deux

une goutte de sang
pour oublier que je t'aimais

une goutte de sang
pour oublier ton odeur sur mon oreiller

une goutte de sang
pour oublier ta voix

une goutte de sang
pour oublier autrefois

une goutte de sang
mais je suis vide à présent....
_________________

que l'amour est compliquer
surtout a conpagner de la timiditer
j'aime une dame depuis si longtemops lui avouer je les fait
ce fiancer auqssi
me faire abandonner aussi
et tout de meme l'aimer encore
et en oublier les autre
je l'aime
mais cette fois je me tait
car le plus beau c'est d'aimer et de croire
_________________

d'après le dictionnaire ce n'est rien d'autre qu'un organe musculaire,
dans les hirtoires c'est lui qui dit je t'aime,
pour moi il ne bat plus,
pourtant on dit bien 10 battements la minute...

mais comment savoir,
quand autour tout est noir,
quand le plus bel amour qu'on a eu,
un jour s'en est allé et du coup on ne sais plus...

est ce que je t'aime?
m'aime tu toi?
et si ça dure qu'une semaine?
et si ça dure un mois?

je voudrais t'aimer rien que toi,
t'aimer éternellement,
mais mon coeur hésite je crois,
il voudrais ne plus soufrir inutilement...

alors je te dis tous ces mots,
ceux que j'avais déjà dit à d'autre,
on est peut être fait l'un pour l'autre,
mais mon coeur ne veux rien entendre...

"mais écoute bon sang!
-non, je ne veux plus aimer...
-s'il te plait laisse moi l'adorer éternellement!
tu sais très bien que ça ne durera pas longtemps..."

je regarde le ciel,
il est noir de jais,
avant il était couleur miel,
mais mon coeur ne veux plus aimer et je le hais...

il fait résonner en moi des mots,
des doutes et des chagrins,
je voudrais oublier et renaître à nouveau,
car mon coeur lui n'entend rien...

"s'il te plait écoute au moins!
-non, l'amour nous a briséste rapelle tu...
-mais moi je voudrais l'aimer même si ça ne sert à rien!
-l'amour t'as déjà brisée cette fois il va te tuer..."

pourquoi n'écoute t'il pas,
pourquoi ne puis-je donc pas aimer?
s'il te plait aide moi
a ne pas à nouveau sombrer....

aidez moi je vous en prie,
j'en ai marre de toute cette douleur,
assez de toutes ces larmes et de mes cris,
s'il vous plait réveillez mon coeur....

n'importe qui, aidez moi,
je veux sourire comme autrefois,
de nouveau vivre toutsimplement,
et oublier tout mes tourments...

je retombe lentement,
dans ce que j'apelle le néant,
j'ai beau crier et apeller au secours,
il n'y a personne, et je ne connais plus l'amour...

je disparais lentement,
lentement mais surement,
je m'efface des mémoires,
et je tombe lentement dans le noir...

je ne sais plus qui j'aime, alors aidez moi...
_________________

je pense comme je respire,
c'est à dire difficilement,
comment savoir alors que mes souvenirs,
en ce oment hante mon présent,

comment m'aider? je ne sais pas,
peut être en me disant la vérité...
peut être en disant ce que j'ai au fond de moi,
mais je n'oserais jamais...

drole de pensées au fond de moi,
toutes issues de la douleur,
douleur de vivre, douleur de quoi?
douleur de savoir qu'intérieurement je meurre...

si tu veux m'aider,
me libèrer,
alors aide moi à mourir,
a disparaitre et enfin sourire...
_________________

euh...merci captaine^^
_________________

C'est l'histoire d'une fille,
c'est l'histoire d'une vie,
à regarder la terre et le soleil,
et ce disant "quelle merveille!"

et un jour elle est descendue,
sur cet univers qu'elle avait tant voulu,
et elle a voulu aimer tout le monde,
mais le monde est parfois immonde...

il l'a lentement détruis,
pris tout son temps et il l'a finie,
elle a fini par désespérer,
de n'avoir personne pour l'aider...

qui pourrais l'aider dites moi?
cette fille qui souffre tout les mois,
toutes les heures, toutes les secondes,
cette fille qui n'est quère plus qu'une ombre...
_________________

Magnifique Madd, tout simplement magnifique
_________________
Veille sur son bien-aimé Rhuyzar et ses ami(e)s du ciel.

Jamais je te t'oublirais, toujours je t'aimerais...

Le "tu" est simplement un mystère, enfoui loin là bas dans mon coeur...
non je ne dirais pas c'est qui...
_________________

( complètement HRP: tu peux me dire en mp l'age que tu as? Je suis bluffé... )
_________________
Ainsi vécut Erwyn William Conrad of Kylebonhamm, 35e du nom, fils de Muron of Kylebonhamm, et de Jean Bunois

le noir...
infini, partout autour de moi, j'ai mal, entends-tu? je souffre le martyre...
le noir continue à s'emparer de moi, je ne vois plus le ciel, ni le soleil, plus rien, rien du tout, à part ce noir de jais qui envahis la moindre de mes bonnes pensées, je n'arrive plus à vivre, et bientôt, je n'arriverais plus à respirer...
Pourquoi ne puis-je donc pas revoir ton visage? te regarder autant que je veux? prendre ta main dans la mienne et tout oublier dans tes yeux?
Si seulement mon coeur m'avait dis plus tôt de ne pas te laisser partir, de crier, de te ratraper, de te dire tout ce que je garde au fond de moi et qui se propage dans mes veines tel un poison...
Ce poison, il me fait mourir lentement, toi seul est son antidote, mais comment te le dire? Comment te l'avouer à toi, dont je ne cite jamais le nom dans ces messages que je laisse lisibles à tout le monde?
toi même tu les lis, le sais tu? tu peux les lire d'où tu es, je ne dirais pas non plus de quel endroit je parle, peut être es tu juste en face de ce livre, que tu lis mes mots un par un, chaques lettres réssonant à présent dans ton esprit...
ce que je peux dire en tout cas c'est que j'ai mal, que je voudrais me réfugier dans tes bras et tout oublier, tout, même le beau passé.
...mourir dans tes bras et ne plus rien regretter...
_________________

si a moi son ses mesage je peut te le dire
je t'aime toujours
mais tu tes fiancer
tu as toi meme
celler ton destin
moi je suis qu'une ame mourrante
sans l'ombre d'interressement
ma seul joie sdi s'en est une est de dire que peut etre
demain ele reviendra
mais tous les jour sont triste et malheureux
j'en souffre tu as fait tous le ben
qu'il y a en moi
grace a toi je suis un ange
une ame bonne
et moi comme un idiot je me suis laisser gouverner
par des sentiment
autement incommodable
j'en pleur encore
_________________

Combien de mois, combien d'années
t'ai-je cherchée, désespéré,
etendu dans ma sombre vie
sans aucun goût ni envie ?

Combien de fois t'ai-je appelée
hurlé ton nom à m'égosiller
espérant qu'un jour viendrait
ou tu me rejoindrais ?

Combien de prières ai-je donné
à tous les Dieux que je connais
pour pouvoir enfin te tenir
pour tout mon avenir ?

Combien encore, je n'ai compté,
de fois où je t'ai embrassé
depuis que tu est venue apporter
la lumière dans mes journées.

Je ne saurais jamais compter
tout ce que la vie m'a donné
ni ce que je lui ait demandé
mais en tout cas je sais

que rien ne me sert de mesurer
toutes ces choses-là, il est vrai
puisqu'à présent tu es à mes côtés
pour un morceau d'éternité.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles

Dans ce doux paradis d'autrefois
je me promène encore parfois.
Dans les rêves que je fais de toi
rien ne nous sépare, ni dieu ni loi.

Tes chaudes lèvres retrouvent leur place
auprès des miennes qui jamais ne s'en lassent,
et nos deux corps comme autrefois
retrouvent ensemble ce tendre émoi.

Toi ma mie, mon âme, mon péché et ma foi
sache que je n'ai nul envie de rester loin de toi.
Et mon coeur défaillant, déchiré par les lois
au travers de mes songes t'a rejoint cent fois.

Mon âme est lourde et mon coeur est froid,
mes mains cherchent sans cesse un souvenir de toi,
ma peau se déssèche de ce manque d'autrefois,
et pourtant de rester exilé je n'ai guère le choix.

Malédiction des dieux ou règlement des hommes
m'empêchent à jamais de croquer avec toi la pomme
que nous goutions avant avec tant de délice.
Sache que tout comme toi je suis au supplice.

A présent oublie-moi si jamais tu le peux,
va chercher refuge pour ton coeur dans d'autres cieux,
pars à la recherche d'un destin plus heureux.
Moi je ne puis plus t'offrir mieux que de longs adieux.

Ebius était entré dans le coin des troubadours pour déclamer une quelconque ode à Aristote-sait-quoi lorsqu'il entendit le poème d'Akioa...

Bon, distance de sécurité : 10 mètres, oki.
Expression du visage : euh... très amicale, ça devrait aller...
Pas de mouvements brusques, les mains vides et en évidence...
Comme cela je devrais pouvoir survivre...

Ca a le mérite d'être original, et c'est bien tourné, bravo : ça donne des frissons !

Arraché à mon envie subite
de déclamer ici quelques vers
je pense que je vais prendre la fuite
avant qu'Akioa ne m'aie découvert...

Point que son ire ne me concerne
ni que j'ai quelque reproche à me faire
mais lorsque colère le gouverne
l'être n'y voit plus très clair.

Cela serait trop contrariant
de risquer d'être ainsi écloppé
par cette dague qui fend le vent
juste parce qu'on est sur son trajet.

Je vais alors prestement me retirer
de cette pièce où je suis de trop,
vous souhaiter de bien vous venger
et m'en retourner au galop.

Joignant le geste à la parole, il disparut sans demander son reste.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles

Ebius se poeme ne t'etais pas destiner mais si tu ta senti viser ces toi qui vois
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...

je t'aime et mon coeur souffre mille tourmant et alors
et alors quoi que tu fasse je suis avec toi je t'aime et je t'aimerais
mes demain est un jour plus sombre qsue l'autre mes quand je te voit mon ciel s'eclaire je t'aime
_________________

j'ai vu ton visage,
après il n'y avais plus d'orage,
il n'y avais plus de nuages,
dans mon ciel devenu mirage...

voir tes yeux même dans le noir,
voir ton visage me donnais espoir,
mais quand celui ci a disparu
je me sentais seule, j'étais perdue,

j'ai mal au coeur mais tu ne semles rien voir,
aveuglé par ton amour et ton désespoir,
je t'aime toujours le sais tu?
je t'aime toujours mais je suis perdue...

perdue entre milles hommes qui ceulent tous m'aimer,
perdue entre milles paroles qui arrivent à m'appaiser,
mais pas à t'oublier...
_________________

Si un jour la terre devais tourner à l'envers,
et le ciel lentement se dégrader,
alors je prète a tout défaire,
simplement pour te voir vivre dans un monde parfait...

Si jamais un jour tu venais a être blessée,
par ce monde qui m'a dégoutée à jamais,
dans ce cas je serais toujours là pour t'aider,
je te prendrais sous mon aile et te rassurerais,

et si un jour l'eau venait à te manquer,
j'inventerais milles histoires pour t'abreuver,
si le soleil venait à te bruler,
je te dirais tous les mots qui savent soigner...

qu'est ce qu'on ne ferais pas pour la meilleure de toutes les mères?

_________________

l'annonce de sa mort m'a tuée,
complètement boulversée,
je me suis sentie brisée,
tel une coquille écrasée,

Mon coeur à fait un bond,
cette nuit en le revoyant,
pourtant tu étais mort non?
serais tu un revenant?

"Je reviens d'un long voyage,
où j'ai longuement pensé à ta voix,
elle m'a redonnée du courage,
celui que j'avais perdu sans toi..."

Moi aussi j'étais perdue,
complètement déboussolée,
tu es mon soleil et ma vue...
Je t'aime pour toujours et à jamais...
_________________

J'écris à nouveau une lettre, ça faisait longtemps pas vrai?
Je pense à toi, à ton doux visage, ça me fait sourire...
J'aimerais qu'un jour nous soyons à deux, comme avant, peut être qu'un jour cela se réalisera...
Je sais, cette lettre n'est pas vraiment un poème, pas de rimes et encore moi de vers, alors je vais en écrire un à présent...

Le ciel,
immensément bleu,
immensément rien,
et en même temps tout,
tou c'quon vit à deux...

La terre,
elle aussi toute bleue,
elle aussi tout et rien,
elle est comme tes yeux;
comme à elle je t'appartiens,

pas beaucoup d'inspiration,
alors j'écris ces quelques mots,
en espérant que mon imagination,
puisse te faire trouver le repos...

_________________

une lueur eclair me vie
je penssais cette nuit infinie
au bout de cette nuit
j ai trouvé cette lueur
un lueur d espoir
que je vis dans ton regard
une lueur d amour
qui ne demandais rien en retour
une lueur que l on peu partagé
une lueur qui ne demande qu a t aimé

Elle ne saisse de me regarder
vue ces yeux elle n'aurait jamais pu y penser
meme pas oser se l'imaginer
mais elle commence à realiser

une jeune fille va etre assaciner
dans cette meme soirée
juste a ces coté
elle devra ecouter
tout ces crie despéré
et meme se faire a l'idée
qu'elle aussi va y passer
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...

si je peus me permettre

aimé quelqu un c est partagé
partagé ses emotions
partagé ses peines
partagé ses je t aime

peut-etre que ya trop eu de sand qui a couler
peut-etre que j ai trop tuer
peut-etre que sous mon épée trop de monde on crier
peut-etre que je devrai tout changer
mais je ne suis pas decourager
alors je nes plus qua continuer
de faire en sorte que le sang continue de couler
quil y aille beaucoup de monde tuer
et qua des kilometre vous entendiez
tout ce mondes crier
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...

le vent pousse dans le sens contraire comme pour dire non
mais je sait maintenant je vais sauter de cette falaise
un dernier pas une dernire soufrance pour en etre liberer
un saut le mien
le saut de l'ange lui seul me delivera
et me turas
tout sa pour ne put te voir dans les ras d'un autre
la falaise m'offerd ma derniere vision est ton frere viendras
je t'aime
_________________

Petite Fleur
qui dans l'ombre se meur
attendant du soleil une lueur
ou une autre petite fleur


Tu resteras ainsi
le temps qu'il faut
tu restera ainsi
tout près des roseaux


ta patience est sans fin
le temps glisse sur tes pétales,
se pose un instant et détales;
veillesse te fuit avec déclin


Un jour,
Petite Fleur
une fillette au alentour
te regardera avec une lueur
au fond des yeux


Délicatement elle te prendra
et chez elle, elle t'apportera
à sa maman elle t'offrira
Amour et Amitié tu représenteras


Douce Petite Fleur
heureuse maintenant tu te meure
l'esprit libre, ô grand coeur
Dans le mien tu demeures
_________________
Veille sur son bien-aimé Rhuyzar et ses ami(e)s du ciel.

Jamais je te t'oublirais, toujours je t'aimerais...

une larme,
pour toi,
pour mon coeur brisé,
pour le monde entier,
pour mon âme à moi,

un cri,
pour tous ces gens tués,
pour toutes les femmes blessées,
pour tous les enfants morts-nés,
pour le monde à jamais brisé,

une flamme,
qui dans mon coeur lentement brule,
et lentement me consume,
je suis consumée...
détruise à tout jamais...
_________________

j'ai vécu trop longtemps dans le ciel,
aujourd'hui c'est mon dernier jour sur terre,
et je compte mourir et disparaitre tel les arcs en ciel,
mon temps est terminé adieu rèves solitaires...



_________________

Je rêve d'être riche à millions
afin de vivre sans faim
et pour pouvoir un beau matin
prendre la mer sur mon gallion.

Je rêve d'avoir assez d'écus
pour voir le monde et les étoiles
et pour qu'il n'y ait plus aucun voile
entre le rêve et le vécu.

Je rêve d'avoir une immense fortune
pour pouvoir fuir ce qui m'importune
et profiter dans les îles ensoleillées
de la chaleur d'une vie rêvée.

Je rêve tant et tant d'argent
que j'aurais vendu mon âme pour
en avoir au moins suffisament
pour de mille vies pouvoir faire le tour.

Mais que m'importe à présent,
de rêves je ne ferai plus.
Le monde du songe affriolant
en moi à jamais s'est tut.

En effet de quoi pourrais-je rêver
lorsque ma vie est ainsi comblée,
vie qu'à tout rêve je préfèrerai
tant que tu seras à mes côtés.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles

Mon passé est bien garni
Comme je suis encore en vie
Je me croyais béni
Mais par mes yeux j’ai été trahi

Je sui née en Italie,
J’ai voyagé en toute folie
J’ai combattu et connu
Des terres non-advenues

Pendant des jours
J’ai fait la course,
J’ai cru aimer
Et leur amour j’ai supplié.

Mais maintenant que je te vois,
Ô ange déchu, reine des rois
Je connais un sentiment
« Amour », l’appelle t’on

Je veut avec toi finir mes journées,
Avec toi être le dernier des hivers
J’espère tu comprenne,
Que je t’aime plus que moi-même
Dans un monde ou l’amour
Semble avoir disparut.

Ma vie t’appartient,
Ma mort entre tes mains
Et moi qui te supplie
De m’aimer jusqu'à la fin…

Te reconnais-tu dans ce poème ???
Veut tu te reconnaître au moins ???
Accepte tu mon baiser,
Que nos lèvres se touchent enfin ???

Je n’ai plus que quatre mots à écrire,
Apres quoi je te laisse libre choix
Choisi entre ma vie et ma mort,
Mais sache avant que :
Je t’aime Madeleine




Te voir heureuse avec un autre,
Est le plus terrible de mes supplices.
Te voir heureuse avec moi,
Est le plus stupide de mes désirs.
Et pourtant ne pas te voir heureuse
Me tuerait.




Parle-moi de ce bois ou tu étais nue
J’ai connu là la joie du monde.
Qu’aurais dit le chasseur,
S’il m’avait pris, le soleil dans les bras ?
(J’aimerais que se soit toi et moi dans ce bois que j’ai rêvé…)




Laisse moi me réfugié dans tes bras
Dans les moments de tristesse.
Vien te cacher dans les miens
Dans les moments de détresse.
Que tes yeux violets
Soient ma lumière dans l’ombre.
Que ma voix te guide
Dans les ténèbres les plus profondes.
Q’un de tes sourires
Soit le plus précieux de mes trophées.
Que l’un des miens
Soit pour toi un collier de perles.
Que tes lèvres
Remplissent de chaleur mon cœur.
Que les miens
T’apportent réconfort.
Que ton amour
M’appartienne.
Que le mien
Soit totalement tien.
Aimons-nous à jamais !!!




Nous aurons toute l’éternité pour nous aimer,
Alors viens vite car l’éternité est faite de secondes !!!
Je l’aime.
Ah ! De mon cœur la passion est telle
Qu’aimer n’exprime pas ce que je sens pour elle !




Son visage est le plus beau des spectacles,
Et l’harmonie la plus douce est le son de la voix de celle qu’on aime.




Ah ! Ma Dame, ne craignez plu de me voir désormais.
Vous le savez, je suis timide en face de vous.
Votre regard est pour moi ce qu’il y a de plus doux et de plus terrible ;
Vous avez sur moi tout pouvoir,
Et ma passion même n’ose en votre présence s’exprimer que faiblement.




J’ai tout appris de vous
Jusqu’au sens du frisson.




Que m’importe le jour ?
Que m’importe le monde ?
Je dirais qu’ils sont beaux
Quand tes yeux l’auront dit.




Je suis honnête, malhonnête,
Avec moi votre vie sera une fête
Je cour l’aventure,
J’aime l’écriture
J’ai une solide instruction.
J’ai reçut une bonne éducation.




Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches,
Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches,
Et qu’à vos yeux si beau l’humble présent soit doux.




Pourrais-je. Sans trembler, lui dire : Je vous aime ?
Mais quoi ! Déjà je tremble ; et mon cœur agité
Craint autant ce moment que je l’ai souhaité.

Quelques années après la création de l'arbre des inspirations, Mat y repassa par hasard.
Etonné de voir tant d'oeuvres, il ne peut empêcher un sourire d'éblouir son visage. Il venait de terminer une chanson et se dit que le meilleur endroit pour la faire découvrir était ici...

Le troubadour repartit vers chez lui en chantonnant...


*Inspiré de Jean Ferrat / LA MONTAGNE
_________________
Mat d'Ys
Duc d'Ouessant

les ange sont immortel
il vivent jusqua qu'on les tue
vous croyer les enviait
a cause de leur immortaliter
mes sacher jeune gens
que vous une blessure de coeur vous ne vivrait que cent ans au grand maximun
alors que les ange subiront cette blessure jusqua la nuit des temps

alors preferer vous quoi etrer immortel et subirent a vie vos blessure
ou alors mortel
_________________

Si ce que vous dites,
grace a moi serai possible
ô bonheure que vous me donnriez!!!
Mais si cela vous coute trop cher
laissez moi au moins partager votre douleur,
et la mentenir dans mon coeur
afin qu'elle ne puisse vous ateindre.

Tu as accepté être mon ange,
J’ai voulu être ton soleil,
Maintenant nous sommes un,
Et plus rien de toi ne me séparera.



Sache qu’en voyant tes yeux
J’ai vu le ciel,
Qu’en touchant tes lèvres
J’ai senti le frison
Qu’en écoutant ta voix
J’ai entendu l’amour
Q’en flairant ton parfum
J’ai flairé la vie.


Pour première fois, en te voyant, j’ai pus me dire :
« Oui, je sais ce qu’ai aimer »



D’aujourd’hui en avant quand je te verrais je pourrais être fier de moi,
Car je penserais que c’est grâce a moi que tu souri de bonheur !

si selement sourire de bonheur elle savait ce que c'etait
_________________

u souffriras bien mille mord avant de voir ce sourir je te le dit
_________________

Mon coeur semble destiné a soufrir
car j'ai eu l'audace d'aimer un ange
Seul son sourir peut me faire rire
Le reste n'est que tourment et demence

Pourtant tu ne peut rien me faire
car ma seule mort serait la sienne
et tu lma cheris trop pour la tuer
alors pour l'instant je suis en paix

Certains disent que les anges sont des héros,
des être purs fait pour protèger la terre,
sachez que certains anges que vous trouvez si beau,
on eu pour mission un jour de vous détruire...

Je suis un ange, celui de la vie,
et pourtant un jour on m'a enlevée,
sur cette terre que j'aime tant moi aussi,
j'ai dû un jour tuer pour la liberté...

Crois tu jeune humain que j'en sois fière?
Non, je ferais tout pour repartir en arrière...

Crois tu petite enfant que j'ai eu honte?
Oui, quand tu m'a regardée je me suis sentie immonde...

Alors terre chérie pardonne moi,
d'un jour t'avoir fait mal sans le vouloir,
je t'en prie excuse moi et aide moi,
car à présent j'ai même peur des miroirs...


_________________

une elfe a jamais danner
un ange et demon dans un corp
un amour eternel
_________________

non je ne t'aiderai en rien
pour moi tout est pareil
sauf que lah tu en soufrira
_________________

Allez je griffone un truc

Tu m'as aimé et je t'ai aimé
Je t'ai confier mon âme et tu m'as dit je t'aime
Aujourd'hui je ne suis plus, tu m'as oublié
Je dois te quitter je le sais, mais je n'ose pas écrire ce courrier

Triste, abandonné j'ai divagué sans but
Ton image voila la vérité
Des âmes charitable m'ont recueilli
Ma soeur, les liens du pacte, les liens du sang

Et soudain je flanche, que vais je devenir sans toi

C'est là que je te vois
Si j'osais, j'ai envie, je ne sais pas
Regarde moi sourit moi et dit moi
Je cherche encore cette personne
Cette personne rien que pour moi
Ce pourrais t'il que se soit toi
_________________

(HRP ba tu vois ma soeur c'est bien HRP)

La souffrance d'une soeur.

Le passé s'écoule mais ne tari pas,
Ôh toi l'élue dit moi qui ta fait cela.

Le présent avec le temps ce tari,
Ôh toi l'élue dit moi qui.

Le futur est déjà notres présent,
Ôh toi l'élue dit moi quand.

Le temps s'écroule sous tes larmes,
Je t'en prie reste en paix garde toi des armes.

Moi je reste et demeure,
A jamais au près de toi ma chère soeur.

(HRP C'est triste ma soeur... HRP)

En ce matin de printemps,
Mon coeur est emplis de tourment,
Te voir ainsi m'assombrie,
Toi qui est et restera mon amie,
Je ne peux rien faire pour d'aider,
Et cela me voie désoler,
Pourquoi cette tristesse,
Toi que j'ais vue revivre avec ivresse,
J'aimerais t'aider,
Mais cela ne met pas accordée,
Toi que qui me manque un peu plus,
En ces jours de tristesse je ne peux,
Qu'avec tendresse regarder le ciel,
Et prier pour que ton âme guérisse.

Le jour de mon arrivée,
Tu as été là pour me guider,
Toi qui te nomme démon,
J'ais vue en toi en semblant de bon,
Tu m'a sourie,
Et avec joie je t'ais suivie,
Ce jour s'assombrie,
Mais mon coeur t'a suivis,
Tu repart en guerre,
Et cela je ne peux le faire,
Mon âme te guidera,
Toi qui part pour ce combat,
Je te suivrais ou que tu aille,
Adieu mon ami,
Je me souviendrais de toi,
Pour le reste des temps,
Toi que l'on nomme Léviathan.

(HRP En hommage a Angel of the night qui nous quittes HRP)

Madd??? que dit tu la???
Que ce passe t'il pour que mourir soit ton "destin"???
Pourquoi veut-tu ainsi m'abondoner a mon sort???
Ton absence serait ma mort...

Explique toi,
sous les etoiles
dit tout
a mes atentives oreilles...

Retire tes mots
Ou justifie-les
En tout cas sache
Que des deux façons je te suis...

Dans la mort et Dans la vie...

reveille du matin

pour y trouvé du chagrin

tu as décidé

que nous devions nous quitté

quand bien meme

si lon s aime

le mal ronge mon coeur

par cette fuite du bonheur

les larmes qui coulent

sans que je ne les refoule

cette vie qui passe

parfois l on voudrait qu elle trépasse

sa reglerait parfois les chose

pour unr fois pas une prose

un sentiment de perdition

qui vient de mon fin fond

les pleures ne serve a rien

si se n est qu a faire partir son chagrin

ma consience me rapelle

combien tu es belle

nos moments moments de bonheur

resteront dans no coeurs

mais l on ne peus rien faire

mais le temps faira son affaire

pour evacué notre chagrin

arrivé de si beau matin



[/img]

la veriter fait mal des fois
mes il des chose qu'il faut eviter
comme oublier tout ses souvenir
vonlontairement
_________________

Ah Manah...
Que je suis narvé que ceci nous mene a ça
mais toi qui a été avec moi, tu sais de quoi je parle
Regarde toutes le quetes,
et nome moi une ou il ne m'ai pas haï.
Regarde ma petite poesie,
ou je previent l'arrivée de la haine.
Regarde sa reponse,
ne croit pas tu qu'il me cherche?
Et bien voila,
je suis la,
il m'a trouvé
enfin il pourrai m'etrangler
mais non!
il echape
car par derier attaquer il aurait preferu!
Ne te rends tu pas compte?
Que je suis pas le seul a condamé?
Ne vois tu pas ses actions?
Aussi terribles que les mienes, si pas plus?

Si, par etre le seul
a savoir confontrer le danger,
je dois a tes yeux etre cruel,
j'en suis desolé,
mais avant,
analyse et reflechit
en tant que toi et pas que son amoureuse
et tu veras peut-etre
que je suis pas le seul mechant.

Moi aussi j'ai un coeur,
et afronter Damien le fait soufrir
je m'en vais au combat,
avec chances de mourir
Moi qui aime aussi,
et pas pour autant je recule.
j'espere la vie, certes
mais la mort ne me fait pas peur,
car si je me meurt,
c'est que dieu l'aura choisit
et si je me meurt,
celle qu'habite mon coeur
m'aura au moins comprit...

pourquoi aimer ?
quand l on ne peus plus aimer
pourquoi rire ?
quand l on ne peus plus sourrire
pourquoi vivre ?
quand l on ne veus plus vivre
pourquoi rêver ?
quand tes rêves ton quitté
pourquoi exister ?
quand ton amour ta quitté
pourquoi se sentir bien ?
quand l on a plus envie de rien
pourquoi etre moi ?
quand l on est plus toi et moi
pour avoir faim ?
quand cette faim vous a quitté
pourquoi cet amour ?
quand l on ne veut plus de cette amour
pourquoi,pourquoi ?
parce que tu es au fond de moi
parce que me sent vide
parce que je pense a nos moment
parce que sans toi je ne suis plus moi
parce que je t aime simplement

tu commences a peine?
mais je suis sur que toi t'en est plus un.
Oui, sans que se soit ma faute,
madd soufriras... peut etre en tout cas
mais elle, elle saura m'excuser.

Et ne met pas en excuse sa securité,
elle est incredible pour tout celui qui te connais.

Merci de ton pardon Manah,
avec ça je pourrais mourir
le coeur plus leger,
en oublinat au moins un de mes péchés

J'm'enferme dans ma bulle, je n'regarde personne dans les couloirs de mon esprit
Il est déjà trop tard, il fait déjà si noir...
On a essayé, réessayé, on est tombé, on s'est relevé comme dans toutes les histoires
D'amour sans moralité à la fin, et même à la fin, on a toujours encore un peu faim,
et c'est là qu'on se fait mal, j'm'enferme dans ma bulle
Sur ma vie j'n'ai aucun contrôle, sur ta vie aucun contrôle
Je glisse sur le monde qui m'entoure, c'est drôle

Dans le mal ou je me perds, dans le vide où je me noie
Bien sûr il y a mes guerres mais il y a surtout toi
Dans le noir des nuits trop claires, dans le silence de mes combats
La solitude qui se resserre, des souvenirs qui ne meurent pas

A ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
A ce silence

Si tu pars je ne reste pas
Si t'abandonnes, je baisse les bras
Surtout ne m'en veux pas pour tout ce que je n'suis pas

Mais si t'avances, je viens vers toi
Si tu m'entends, réponds-moi
Sans toi je ne prends pas cette vie construite pour moi

A ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
A ce silence

Comme dans toutes les histoires d'amour sans moralité à la fin...
J'm'enferme dans ma bulle, j'n'regarde personne dans les couloirs de mon esprit
Il est déjà trop tard. il fait déjà si noir...
On a essayé, réessayer, on est tombé, on s'est relevé...
J'm'enferme dans ma bulle...

A ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
A ce silence
_________________

Regarder tes yeux,
c'était mon bonheur à moi,
entendre ta voix,
qui avait il de plus beau?

et tu est parti,
de ma vie à jamais effacé,
un chateau de carte comme je t'ai dit,
toi tu me réponds que c'était un grand chateau, un vrai...

Juste que le vent qui l'a ebranlé était trop fort,
Moi je suis sure que lefeu qui brule lentement dans mon corps,
Face à ce vent horrible,
est bien plus terrible...

J'ai mal,
dans le corps,
dans le coeur,
dans la tête,
partout...

Je crie,
je pleure,
j'ai mal,
je meurs,

mais tu n'es plus là...

Ta vie m'apartenais?...Je crois que je dois te rendre ton coeur à présent,
mais il semblerais quetu ai arraché le mien en même temps...

J'ai mal le sais tu?
Je crie,
je pleure,
je ris,
je meurs,
je marche,
Plus d'espoir,
Plus de joies,
Rien que l'a douleur...

Douleur d'un coeur d'ange arraché sauvagement...
Larmes d'ange qui se transforment en bijoux en atteignant le sol,
Restons amis alors,
bien que moi mon coeur soit mort...

_________________

Souffir, c'est te regarder
Sans pouvoir t'approcher
C'est te desirer
Sans pouvoir te toucher
C'est t'aimer
Sans pouvoir t'embrasser

Souffir, c'est vouloir ton amour
C'est pleurer sans verser de larmes
C'est la nuit en plein jour
C'est crier en silence

T'aimer c'est baser un monde sur ton sourire,
C'est le faire au son de ton rire
C'est le voir s'écrouler
En réalisant
Que je ne suis rien pour toi

Le ciel semble s'illuminer soudainement,
tel le si beau sourire de ma chère maman,
mon frère entre dans la maison,
sourire au lèvres et sautant tel un mouton,

futur fiancé de la jeune elfe,
que je salue au passage,
félicitations aux jeunes fiancés,
qui j'èspère un jour serons mariés...
_________________

tes yeux si chaleureux
sont la porte de ton coeur
pendant ses jours heureux
je ni voyais que du bonheur